- Bonjours professeur.

- Miss Granger, j'espère ne pas vous déranger, je suis venu chercher le livre « Sortilège de défense du XVII siècle ».

- Bien sûr. Entrer je vous pris, je vous le rapporte dans un instant, s'exclama Hermione en s'écartant sur sa droite pour laisser passer son enseignant de DCFM.

Elle referma la porte de ses appartements de préfète en chef puis se dirigea dans sa chambre sans avoir aperçu son professeur lancer un sort informulé pour verrouiller la porte ni l'a suivre.

Lorsque monsieur Willis se posta au seuil de la chambre à coucher de son élève, il vit celle-ci penchée au dessus de sa valise. Cette vu lui coupa le souffle.

La jupe remontée légèrement, des jambes longues et fines à la peau pâle. Il savait à cet instant se qu'il devait faire car son départ était prévu pour le lendemain matin juste avant le petit déjeuner et il ne pourra plus voir cette créature de rêve à la crinière sauvage qui hantait son esprit jour et nuit depuis qu'il était arrivé un mois plus tôt pour remplacer le professeur Lupin au poste de DCFM.

Alors oui, il avait mit en place son plan et cette visite pour récupérer son livre était au final qu'un prétexte pour aller voir miss Granger. Maintenant qu'il était chez elle, il lui restait plus qu'a exécuter la deuxième partie de son plan.

A cette pensée il sourit intérieurement :

- Auriez vous besoin d'aide Miss ?

Vous m'avez fait peur professeur, répondit Hermione qui s'était retourné. Non ça ira, je viens de le retrouver, mais merci.

La jeune Gryffondor s'avança vers son professeur pour sortir de la pièce, le livre que son enseignant lui avait confié quelques jours au par avant dans la main et un sourire accroché sur son visage mais elle ne se doutait pas un seul instant quel sort monsieur Willis lui resservait pour la soirée. C'est pour cela que lorsqu'elle arriva à sa hauteur, quand il posa une main sur son épaule droite, elle fut des plus surprise :

- Je tiens à vous remercier miss Granger.

- Professeur, c'est à moi de vous remercier pour m'avoir permis de lire et de travailler avec cette merveille.

- Voyons miss, se n'ai pas de cela que je voulais parler, dit-il en repoussant la sorcière à l'intérieur de la chambre et en refermant la porte.

Il sortit ensuite sa baguette et lança un sort d'insonorisation car il savait que la jeune femme allée crier, se qui pourrait alerter un de ses collègues ou un élève.

Il savait ensuite qu'il ne pourra pas être attaqué car elle avait laissé sa baguette sur l'étagère à côté de la cheminé. Il avait un avantage sur elle et Hermione le savait.

Elle commença à reculer, paniquée, cherchant des yeux aux quatre coins de la chambre quelque chose pour se défendre pendant que Willis s'avança vers sa proie pour la prendre au piège entre le mur et son corps qui colla le plus possible à celui de la jeune sorcière, lui montrant ainsi à quel point la situation dans la quelle ils se retrouvaient l'excitait :

- Laissez moi partir, lâchez moi ! cria Hermione en sentant deux grande mains glisser le long de ses flanc puis passer en dessous de la jupe plutôt brutalement.

- Tu es résistante Hermione. En général j'aime beaucoup mais je ne peux pas me permettre de faire durer le plaisir.

Il recula soudain de quelques pas et avant que notre Gryffondor puisse faire un seul mouvement, il pointa sa baguette droit devant lui, en niveau des deux yeux de la rouge et or et murmura :

- Endoloris!

Un jet de lumière sortit immédiatement de l'extrémité du bois pour atteindre de plein fouet Hermione qui poussa un hurlement à vous déchirer les tympans avant de tomber au sol, prise de spasmes produit par la douleur qui se répandait dans chaque muscle de son corps. La douleur fut insupportable durant plus de 9 minutes où durant se temps, pendant que Hermione convulsait dans tout les sens sur le sol de sa chambre, son professeur profita du spectacle, un sourire carnassier aux lèvres.

La douleur diminua petit à petit jusqu'à disparaître complètement mais elle convulsa encore légèrement, elle avait encore l'impression qu'on lui enfonçait des centaines de lames dans le corps. Elle sentit même pas, sur son visage des larmes qui coulaient à flot depuis le début de ce cauchemar.

Vidée de ses forces, elle essaya même pas de se redresser pour se remettre debout. Elle resta là, allongée sur le côté droit, sur le sol froid.

Willis s'agenouilla à ses côtés, les yeux remplis de désire. Il la releva en l'empoignant par les cheveux pour l'allonger violemment sur le lit. Des gémissements de douleurs et de peur s'élevèrent dans la chambre et l'exaltation de l'homme augmenta à l'entente de ces bruits.

Hermione voulu mourir à cet instant car elle savait exactement se qui allait se passer pour elle maintenant mais son cerveau refusa et lutta de toute ses forces pour rester éveillé. Son corps était sens vie. Pas le moindre mouvement, à par les tremblement violents du au sort impardonnable qu'elle venait de recevoir.

- Arr... arrêtez... je vous en... supplie. supplia Hermione dans un souffle.

- Hermione maintenant je peux vraiment commencer. Je suis si prés du but... Je ne vais pas m'arrêter alors que se que je désirs est à ma portée, ricana Willis qui se plaça à califourchon sur elle.

L'agresseur caressa les courbes de sa victime en savourant la douceur de cette peau qu'il avait rêvé de toucher depuis plusieurs semaines. Certes la peau était plutôt froide mais il apprécia énormément ce toucher. Il la caressa encore quelques secondes avant de décider de passer aux choses sérieuses.

Il déboutonna un à un la chemise blanche de son élève mais arrivé au dernier, celui-ci résista. Il poussa un grognement de rage et frappa violemment Hermione en pleine figure à l'aide de son poing droit. Nouveaux gémissements de la jeune femme et nouvelles larmes chaudes coulant le long de ses joues puis le goût du sang dans la bouche. Il arracha sa chemise qui partit en lambeau sous la force de ses bras. Puis n'y tenant plus, il déboutonna son propre pantalon en mordant avec force les tétons rosies de Hermione qui cria sous cette nouvelle douleur.

Elle ferma les yeux priant pour que ce cauchemar s'arrête une bonne fois pour toute avant qu'il n'atteigne le point de non retour. Elle sentit sa culotte se déchirer et lui fouetter la peau, désespérée, elle supplia encore :

- Non... Arrêtez non...

Avant qu'elle n'ait eu le temps de dire autre chose, elle reçu une gifle qui lui fit tourner la tête sur le côté gauche.

Tais toi sale sang de bourbe ! Je suis en train de perdre patience et tu me fais perdre mon temps. Alors écoute moi bien maintenant : je n'ai pas l'intention d'arrêter et je vais te baiser plus d'une fois !

Après ce dernier mot prononcé, Hermione ressentit une douleur vive entre ses cuisses et son bas ventre. Elle cria de douleur et de terreur à la fois. Son instinct de survie aida ses bras à se soulever pour se poser sur le torse de son agresseur et avec le peu de force qu'elle avait en resserve, elle le poussa pour qu'il se dégage d'elle, mais sans succès :

- Je vois que tu n'es toujours pas coopérante alors je vais recourir à une méthode simple. dit-il simplement en sortant son membre du vagin de son élève.

Il prit sa baguette qu'il avait posé tout à l'heure sur la table de chevet, attrapa les poignets de la rouge et or pour les plaquer de chaque côté de sa tête puis lança un sort qui permit d'attacher les petites mains de l'adolescente avec du fil barbelé. Les pointes de métal s'enfoncèrent dans sa chère et du sang y sortit aussitôt. Encore de la douleur, va t-elle cesser un jour ?

Satisfait de voir le résultat, le professeur de DCFM s'enfonça profondément en elle en laissant un gémissement de plaisir s'échapper de sa bouche. Elle était si étroite, c'était tellement bon ! Il commença de brutaux et profond va et viens qui fit souffrir Hermione encore plus.

Les minutes s'écoulèrent trop lentement pour notre sorcière et trop vite pour l'homme qui abusait d'elle, qui lui, était émerveillé par les vagues de plaisirs qui montaient en lui. Ni tenant plus, il souleva la femme en glissant ses mains dans le dos de celle-ci et la rapprocha de lui d'une telle brutalité qu'un craquement d'os se fit entendre suivi immédiatement par un hurlement.

Lorsqu'il eu fini de jouir, il se retira et constata une grosse tâche de sang sur le draps :

- Je reviens... Je n'ai pas fini avec toi ma jolie.

Durant la soirée, il l'a viola encore trois autre fois d'affiler avant de lui dire simplement qu'il était satisfait et que ses désirs aussi. Il enfila son pantalon qu'il avait enlevé complètement la deuxième fois, constatant que celui-ci le gênait dans ses mouvements de hanches, prit sa baguette et la rangea précieusement dans sa poche. Il se pencha pour murmurer à la Gryffondor :

- Quatre heures de plaisir, voilà pourquoi je t'ai remercier tout à l'heure. Ne t'en fait pas, je reviendrais très bientôt juste pour toi ma belle. Il lui caressa le visage qui était couvert de sang, j'allais oublier une dernière chose :je pense que ce lit est bien trop confortable pour une sang de bourbe comme toi et qu'il fait drôlement chaud ici.

Sans détacher ses mains, il plaça le corps de Hermione en travers du lit de façon à se que ses jambes touchent le sol en pierre froides et partit de la pièce en laissant un sort de climatisation à la chambre.

Une fois qu'il fut sortit, la préfète en chef éclata en sanglot et laissa retomber la pression qu'elle avait accumulé depuis quelques heures avant de sombrer dans l'inconscience.