Salut tout le monde. Ca fait longtemps que je n'ai rien posté, le chapitre précédent explique déjà tout. J'ai remarqué que mon recueil était le premier affiché lorsque l'on tape "lemon undertale fr" sur google, je m'en sens très honorée, donc merci tout le monde!

J'ai dit que je changerais de style de lemon suite à plusieurs remarques de personnes avisées m'ayant donnés des conseils, j'ai commencé l'écriture de plusieurs trucs mais... je n'ai jamais vraiment terminé quoi que ce soit. J'ai hésité très longtemps avant de publier ça, ça doit faire un ou deux ans que je l'ai en réserve dans mes dossiers bien au chaud, attendant son heure pour être publié. Et oui, ce lemon contient *encore* un viol! Mais bon, je vais pas le cacher toute l'éternité.

Donc je préviens : Oui, ce lemon est un viol. Oui, ce sera le dernier lemon que je posterais car je suis maintenant HORS DU FANDOM. Profitez bien, et bonne lecture, désolée pour ceux que cela dérange!


Frisk était maintenant contrainte de se battre contre Asgore, malgré toutes les aventures qu'elle avait vécu avec ses amis. Toriel, Sans, Papyrus, Undyne, Alphys, Mettaton… Elle leur demandait silencieusement pardon alors qu'elle était sur le point d'asséner le coup fatal à Asgore en se répétant qu'elle n'en avait pas le choix. Mais elle se ravisa, et laissa tomber l'arme en soupirant.

- Je… Je ne peux pas, Asgore ! Je ne peux pas vous tuer, j'aime l'Underground et tous les monstres, je ne veux pas en partir !

- Vraiment, petite humaine ?

Asgore s'était apprêté à mourir, mais un large sourire réconfortant se dessina sur son visage lorsqu'il vit le désarroi de l'humaine.

- Ne t'en fais pas, tu n'es pas obligée de me tuer, tu peux venir avec moi et nous formerons tous une grande famille heureuse !

Mais soudainement, une multitude de petits pétales blancs se formèrent autour du roi et vinrent le percuter l'espace d'une seconde, réduisant à néant les quelques points de vie qui restaient au monstre.

- Non Flowey, fait pas ça !

Mais il était trop tard : Le puissant roi était maintenant réduit en poussière, et la petite fleur sortit du sol sous le regard désespéré de Frisk qui voyait ses rêves de famille réduits à néants sous ses yeux. Tout ce qu'elle voulait, c'était s'en aller ; pas affronter encore quelqu'un d'autre, pas après cette scène.

- Howdy, Frisk ! Alors, tu croyais avoir ta happy end dès maintenant ?

- Flowey, je t'en pris, n'essaye pas de m'affronter !

- T'affronter ? Mais non, idiote !

Flowey fit un clin d'oeil à Frisk, puis perdit son visage mignon qui se transforma en une grimace affreuse et médisante.

- Je vais te tuer, toi et tous les autres dans l'Underground !

Frisk recula d'un pas, effrayée ; mais avant que Flowey ne place un autre mot, elle prit son courage à deux mains.

- Non Flowey, tu ne peux pas faire ça !

Elle s'avança de deux grands pas rapides sous le regard perplexe de la fleur qui ricana en la voyant s'approcher.

- Eh, tu es suicidaire ?

Il déploya une racine qui manqua de se planter dans le bassin de l'humaine, mais elle l'esquiva aussitôt et se jeta au coup de la fleur.

- Q-Qu'est ce que tu fais, idiote ?! J-J'allais te tuer, alors arrête de m'interrompre !

- Flowey, je te propose un marché… Si tu me promet de ne tuer personne et de ne leur faire aucun mal, alors tu as le droit de disposer de moi comme bon te semblera.. Tu pourra me tuer, encore et encore. Laisse juste tout le monde en dehors de ça !

Flouwy haussa un sourcil, surpris. Elle semblait très sérieuse, et il hésita à accepter.

- Tu es sûre de ce que tu me propose ?

- Complétement.

Elle le regarda d'un air déterminé, les larmes aux yeux. Elle en avait juste marre de voir tout le monde essayer de la tuer, puis mourir après. Elle n'avait pas fait plusieurs Resets juste pour que cela se termine encore d'une mauvaise manière.

- Très bien. Je te promet que je ne blesserai personne.

La fleur fit un sourire mauvais à la fille qui fut prise d'un tremblement incontrôlable. Ce n'était qu'une fleur ; Il ne pouvait rien lui faire de mal, n'est ce pas ?
Elle avait alors lâché Flowey pour se relever et s'écarter de deux pas en arrière.

Soudainement, jaillissant du sol devant elle, quatre longue racines lui attrapèrent chevilles et mollets pour la soulever du sol sans qu'elle ne puisse se débattre.

- E-Eh ! Qu'est ce que tu fais ?!

- Tu as dis que je disposais de toi comme bon me semblait, non ? Alors j'ai le droit de faire ce que je veux de ton corps ?

- Je pensais que tout ce que tu voulais c'était me tuer; encore et encore, en boucle… Non ?

Flowey ne put s'empêcher de pousser un grand rire moqueur au nez de la jeune fille.

- Ahahah, ce que tu peux être naïve !

À ces mots, il s'approcha de la fille qui était complètement suspendue par les lianes de Flowey, à sa mercie. Une autre tige jaillit du sol et vint se glisser le long de la jambe de Frisk, qui frissonna à ce contact.

- Q-Qu'est ce que tu veux me faire…?!

- Voyons Frisk, ne pose pas de questions débiles, tu sais très bien ce que je compte te faire ~

La racine qui remontait lentement la jambe de l'humaine agrippa soudainement le short qu'elle portait et le lui arracha vivement, suivi de son haut. En moins de quelques secondes, elle se retrouva en sous vêtements alors qu'elle tremblait encore de peur.

- N-Non Flowey je t'en pris, je suis encore vierg-

La fleur ne l'écoutait pas. Elle détacha le soutiens-gorge de l'humaine et lui retira lentement sa culotte, faisant durer le moment.

- Eheheh, ça rend tout cela plus excitant encore !

Plusieurs autres racines sortirent du sol, encerclant la fleur et Frisk. Deux d'entre elles vinrent s'enrouler autour des seins de la fille, les caressant et titillant ses tétons. En parallèle, la fleur s'était approchée d'elle pour pouvoir mieux observer son entrejambe et ses réactions. Il sortit sa langue de sa bouche pour lui lécher le clitoris tendrement, et Frisk se tendit alors en se mordant violemment la lèvre pour ne pas gémir. Ce que Flowey était en train de lui faire, cela la chauffait énormément alors qu'elle détestait cela. Elle ne pouvait pas admettre le fait qu'elle commençait à prendre du plaisir dans ce viol consenti.

La fleur s'amusait en voyant le visage de l'humaine partagé entre le plaisir et le dégoût. Il rentra sa langue en elle, la tisant encore plus, alors qu'elle commençait à avoir du mal à retenir ses gémissements. Les lianes malmenant sa pauvre poitrine n'arrangeaient pas les choses, rendant son corps sensible et toute chose, alors que d'autres commençaient à se glisser sur sa peau pour la maintenir et mieux toucher ses points sensibles : l'une d'elle s'enroula autour du bassin de Frisk, tandis qu'une autre s'enroula autour de son clitoris. Elle réagit finalement en lachant un profond gémissement, secouée toute entière par les sensations que la fleur arrivait à lui faire éprouver.

Au bout d'un moment, Flowey retira sa langue de la fente de la fille et les racines s'arrêtèrent de se mouvoir ; Frisk que son calvaire était fini, et elle poussa un profond soupir de soulagement en reprenant vivement son souffle perdu.

- C-C'est bon, tu vas me relacher maintenant…?

Mais à la place d'une réponse, une racine plus épaisse que les autres sortit de terre et vint se positionner à l'entrée de la fille.

- N-Non !

La tige s'enfonça alors violemment en elle, et un cri traversa ses lèvres ; un mélange de douleur et de plaisir lui chatouillait le bas ventre, elle ne savait pas comment décrire cette sensation.

Flowey remarqua un filet de sang couler de l'entrée de Frisk où sa racine l'avait pénétrée jusqu'au fond ; il n'y prêta pas attention, n'esquissant qu'un sourire à l'idée qu'il avait défloré la petite humaine pure qu'elle était. Bientôt, il allait la transformer en esclave sexuelle qui ne vivrait plus que pour se fait violée par des racines, à jamais.

Les autres lianes se remirent à glisser sur son corps alors qu'elle remuait pour se débattre, mais toute résistance était futile. Elle était très fermement maintenue au dessus du sol, et elle poussa alors un autre cri appelant à l'aide.

- N-Non… Aidez moi ! Sans, Undyne, Toriel ! Quelqu'u-

Exaspéré, Flowey fit rapidement rentrer l'une de ses racines dans la bouche de la fille pour la faire taire, la glissant jusque dans sa gorge et faisant des allés retours en rythme avec les mouvements qu'il faisait plus bas dans la fille.

Celle-ci gémit alors encore plus fort. Encore tout tremblante -mais de plaisir, cette fois là-, elle commençait elle même à faire des mouvements avec son bassin sans s'en rendre compte pour enfoncer plus profondément encore la tige. La douleur était vite passée et seul le plaisir et l'excitation la contrôlaient maintenant.

- Ahah ! Est-ce que tu serais pas en train de prendre ton pied ? T'es vraiment dégueulasse !

Mais la fille n'entendait déjà plus les mots de Flowey, subjuguée par cette sensation nouvelle : elle pouvait sentir chaque mouvement que la fleur exerçait en elle contre ses parois intérieur, jusqu'au fond d'elle où la tige se cognait contre l'utérus de manière violente mais sensuelle.

Jugeant qu'une racine ne suffisait plus à la satisfaire, Flowey fit en sorte qu'une autre "tentacule" fraye son chemin en Frisk et la pénètre au fond d'elle, au même rythme que la première, et Frisk ne put s'empêcher de crier de plaisir malgré l'enclavement de sa gorge.

L'humaine n'en pouvait plus. Elle ne tentait même plus de résister, et se laissait totalement faire face aux désirs pervers de Flowey qui ne s'arrêtait plus de malmener la fille. Il voulut d'abord rajouter une troisième racine en elle mais se ravisa ; il avait trouvé un meilleur endroit où la rentrer, le dernier endroit qu'il n'avait pas encore touché.

Il positionna la racine devant les fesses de Frisk et força légèrement pour l'écarter. L'humaine tenta d'abord de se débattre à nouveau et de lui demander de ne pas le faire, mais elle ne pouvait absolument rien faire d'autre que d'essayer : elle n'avait aucune emprise sur la situation, c'était Flowey qui choisissait pour elle.

La tentacule pénétra les fesses de l'humaine qui sentit d'abord une vive douleur la tirailler. Mais au fur et à mesure sur que Flowey l'habituait à sa présence derrière, soit quelques minutes plus tard, la douleur commençait à disparaitre et était remplacée de nouveau par du plaisir. Elle se sentait comblée, littéralement, de partout.

Au bout de quelques minutes à continuer ainsi, Frisk tenta de mordre du plus fort qu'elle le pouvait la liane dans sa bouche pour se retenir. Elle était sur le point de jouir, et Flowey ne manqua pas de le remarquer.

- Regardez moi ça, elle essaye encore de se retenir. Comme c'est touchant ! Tu pense encore pouvoir t'en sortir comme ça ? Laisse toi aller, ce sera d'autant plus meilleur ~

L'humaine se rendit alors compte qu'il avait raison : peu importe ce qu'elle ferait, elle ne se sortirait pas de cette situation. il allait la violer, encore, encore et encore. Mais à ce niveau, était-ce encore du viol ?

Frisk se lâcha alors soudainement, et poussa un long cri de plaisir. les trois racines en elles accélèrent la cadence, tapant jusqu'au fond d'elle tandis que celles caressant ses seins et son clitoris continuaient de plus belle à la malmener, pour accompagner son jouissement qui fut si intense qu'elle faillit tourner de l'oeil. Elle se cambra, tendue, et gémit de plus belle avant de crier le nom de la fleur.

- F-Flowey ! ~

Elle se détendit lentement, et les longues racines s'arrêtèrent de faire leurs mouvements répétitifs en elle. Flowey la relâcha et la posa sur le sol, avant de s'approcher d'elle.

- C'est très bien ça, j'espère que tu continuera à me satisfaire encore longtemps ~

À ces mots, Frisk ferma les yeux, épuisée, alors que Flowey s'éloignait dans la direction inverse pour la laisser avoir du repos, seule.

Elle savait que son calvaire n'en était certainement pas fini.