Salut salut les potterfriends.
Je débute dans la fanfiction donc soyez indulgent. Il est possible qu'il y est des incohérences ou bien des fautes d'orthographes. J'essaye de faire au mieux.
L'histoire se passe la plus part du temps au temps des maraudeurs. Intrigue, conspirations, mensonge et surtout action sont au rendez vous.
J'espère que vous apprécierez votre lecture. N'hésitez pas à commenter et à donner votre avis =)
Bonne lecture.
Chapitre 1er :
Il y a des jours où tout semble se liguer contre soi, et en ce mardi 13 juillet, un jeune sorcier avait atteint son sommet d'emmerdement.
La journée avait pourtant bien commencé. Il s'était réveillé tôt, de bonne humeur et avait pu prendre son petit déjeuner auprès de la femme qu'il -on rêver mieux ? Non sûrement pas. D'ailleurs, depuis la fin de la guerre, il ne s'était jamais senti aussi bien, aussi en phase avec lui et son couple. Ce combat depuis la naissance lui avait tout pris, famille et amis. Pas un seul jour passait sans qu'il n'y pensait. La culpabilité est un vilain défaut qu' Harry Potter cultive dans son petit jardin secret. Il avait eu le temps de ruminer encore et encore pendant ces années de reconstruction du monde sorcier. C'est pourquoi, il avait refusé de poursuivre ses études, refusant d'étudier où étaient mort tant de ses camarades.
De même, il voulait s'occuper entièrement après que Ginny fut engagé dans sa carrière de joueuse professionnelle de quidditch. Ainsi, il avait décidé d'être auror, son projet depuis plus de trois ans. Le jeune couple ne se voyait plus beaucoup mais chaqu'un pensait ses blessures et se retrouvait le soir quand cela était possible.
Si il était heureux de la fin de la guerre, l'impact psychologique qu'elle avait eu sur lui était énorme. Il n'était pas rare de le voir sursauter au moindre bruit et sortir sa baguette. De même, les cauchemars ne l'avaient jamais quitté. La paix n'avait pas changé les habitudes du jeune sorcier. Elle l'avait, au contraire, rendu très méfiant et froid sous certain aspect. Il n'était souriant qu'avec ses amis, quand il se sentait libéré. Ces derniers avaient bien réussi. Hermione avait réussi à trouver un poste au sein du ministère, dans le département de justice magique pour devenir prochainement sous secrétaire d'état . Ron lui avait abandonné ses études pour aider George au magasin. Si Hermione avait eu du mal à accepter, Molly Weasley l'a fortement remercié et a apprécié le geste. Ron et Hermione poursuivait leur relation de couple comme leur amitié avait été, c'est à dire en se chamaillant. Harry soupçonnait le rouquin de faire exprès. Mais ils avaient établi leur rythme de vie...
Harry lui avait bénéficié d'une formation accéléré, au vu de la situation ministérielle catastrophique. Son entrée ne fut pas de tout repos, entre méfiance extrême des anciens et l'adoration des plus jeunes. Mais à force de persévérance et beaucoup de travail, il avait fait son trou et, s'il n'avait pas la sympathie de tout le monde, il avait le respect et s'était le plus important. Il était devenu chef d'équipes d'un nouveau service, les immoderatus, après avoir fait ses preuves pendant sept années intensives d'après guerre. Cette petite troupe faisait partie de la crème de la crème des aurors. Une sorte de forces spéciales, en quelque sorte. Ils étaient à la limite de la loi, ayant le droit de la contourner pour atteindre les ennemis de l'état les plus durs à trouver.
Retour en arrière :
- Voilà mon projet monsieur Potter. Qu'en pensez-vous ?
Le concerné scruta les autres personnes dans la pièce. Kingsley Shacklebolt, le 1er ministre l'observait. Les autres membres, conseillers, et directeurs des services ne disaient rien non plus, au courant de la nouvelle avant le Survivant visiblement.
- Monsieur le conseiller, vous êtes conscients de ce que cela implique ? Une liberté quasi-totale d'agents pour traquer des sorciers, quitte à avoir le recours aux sortilèges impardonnables.
- J'en ai parfaitement conscience Monsieur Potter, siffla Deaport, conseiller et responsable de la réforme « action » du 1er ministre. Si on vous le présente ce n'est pas pour votre autorisation mais pour que vous preniez la tête des immoderatus.
- Merci d'avoir pensé à moi Conseiller, suis touché de tant d'attention.
Le chef des aurors, Kevin Daese bougea nerveusement sur sa chaise. Le survivant était probablement le meilleur élément de son service mais l'auror respectant le moins la hiérarchie. Deux personnes arrivaient à le cadrer : le 1er ministre, ami du sorcier et lui, son directeur à force de persuasion mais aussi en fermant les yeux sur les écarts de son subordonné.
Harry regarda Kingsley pendant quelques secondes, puis devant son mutisme, fixa de nouveau son regard sur son principal interlocuteur. Visiblement, il était le meneur du projet mais pas le décideur quand au meneur des immoderatus. Il n'a jamais pu encadrer Harry donc pourquoi le choisir ? Une seule réponse, il n'avait pas le choix.
- Pourquoi moi monsieur le conseiller ?
Le Conseiller se tourna vers le ministre et ces collègues, semblant chercher de l'aide puis comme si les mots lui arrachaient la gorge, il dit :
- Nous pensons que vous être le plus adapté pour prendre la tête de ce sous-département ministériel.
Autrement dit, « je n'ai pas le choix ». Il fut tenter de refuser devant cette proposition. Mais connaissant Kingsley, il avait valider le projet.
- Très bien, j'accepte
Fin Flashback
« Hé oh, le rêveur ! s'exclama la rouquine.
- Hein quoi ? Excuse moi j'étais dans mes pensées, balbutia le jeune homme
- Oui je vois sa. Je disais donc que je devais y aller et que l'on se rejoint chez maman ce soir. Ron et Hermione seront aussi là ! Toi comprendre ou moi répéter, dit elle en rigolant.
- Moi avoir compris jeune rouquine au tempérament de feu. Passe une bonne journée et fais mordre la poussière à ta gardienne préférée.
Harry se leva et l'a pris dans ses bras et l'embrassa.
- J'ai pas un tempérament de feu ! S'exclama Ginny d'une façon boudeuse.
- Mais bien sûr, ironisa Harry.
- Bonne journée alors, faisant mine d'être vexée.
Elle prit son manteau, grimpa et arrivée devant la porte, elle se retourna et dit en rigolant :
- Fais bien attention au travail.
- Comme toujours mon ange, répondit-il, comme toujours.
- C'est bien ce qui me fait peur, maugréa-t-elle. Puis elle partit dans la fraîcheur estivale matinale
Il ne pensait pas alors qu'il serait privé d'elle aussi rapidement.