p style="margin-bottom: 0cm;" align="LEFT"span style="color: #292929;"span style="font-family: Arial, Geneva, sans-serif;"span style="font-size: 9pt;"La lumière diaphane de la lune traversa ses prunelles comme si son être lui appartenait corps et âme. Les battements de son cœur se firent si calmes, presque nuls et pourtant, elle, ne possédait pas la moindre sérénité sous cet astre qui semblait vouloir la dévorer. Son dos se courba en un arc de cercle improbable tandis que la souffrance l'étreignait dans un étau infâme dont elle ne pouvait se débarrasser. Elle n'avait jamais sût. C'était toujours la même rengaine, comme si la mort la frappait à chaque seconde. /span/span/span/p
p style="margin-bottom: 0cm;" align="LEFT"span style="color: #292929;"span style="font-family: Arial, Geneva, sans-serif;"span style="font-size: 9pt;"Ses os se brisaient à l'intérieur d'elle, poussant d'effroyables craquements qui transperçaient sa chaire. Violacée de bleus, hérissée d'une fourrure naissante, sa peau hurlait à l'agonie quand elle, ne le pouvait plus. Rendue muette par la douleur... Ses organes se compressaient dans des formats inhumains, il y avait en elle comme un chaos macabre qui explosait de toutes parts. Et elle ne pouvait rien contre cette nature qui la dominait, cette animalité régit par le mortuaire voile de lune qui s'infiltrait par ses pores, empoisonnait ses veines. Son visage s'allongea alors que ses muscles détruisaient savamment le surplus d'os qui empêchait sa gueule pleine de crocs d'apparaître. Aveuglée... Lorsque ses yeux furent assaillies de multiple contusions, broyés sous la chaire qui tendait à les écarter de chaque côté de son nouveau visage canin. Ses pattes avaient réduits à néant la délicatesse de ses jeunes mains, sa colonne vertébrale lui avait fait envisager comme l'Enfer serait doux comparé à cette vie où la rangée de petits os émergeait hors de son dos pour former une queue. Comment pourrait-elle jamais oublier ces sensations ? Quand sa cage thoracique s'émiettait en écrasant sans pitié ses frêles poumons, se compressait, rapetissait... La jeune mutante cherchait l'air, noyée dans un océan de violence déchaîné dont elle ne pouvait pas s'échapper. Les vagues déferlantes se trouvaient à l'intérieur d'elle, bousculant ses tripes jusqu'au désir de vouloir les vomir. Mais enfin, elle sût trouver la lumière, au haut des tumultes effrénés. /span/span/span/p
p style="margin-bottom: 0cm;" align="LEFT"span style="color: #292929;"span style="font-family: Arial, Geneva, sans-serif;"span style="font-size: 9pt;"A quatre pattes sur la terre humide, elle leva son regard devenu jaune sur le ciel obscur. Et comme happée par son bourreau sélénite, elle hurla. Pas de douleur, non, pas de ses hurlements que l'Homme pousse quand arrive son trépas. Un hurlement de loup ; et elle était désormais un loup, campé sur ses puissantes épaules, ses griffes s'enfonçant dans le sol. /span/span/span/p
p style="margin-bottom: 0cm;" align="LEFT"span style="color: #292929;"span style="font-family: Arial, Geneva, sans-serif;"span style="font-size: 9pt;"Ses os se brisaient à l'intérieur d'elle, poussant d'effroyables craquements qui transperçaient sa chaire. Violacée de bleus, hérissée d'une fourrure naissante, sa peau hurlait à l'agonie quand elle, ne le pouvait plus. Rendue muette par la douleur... Ses organes se compressaient dans des formats inhumains, il y avait en elle comme un chaos macabre qui explosait de toutes parts. Et elle ne pouvait rien contre cette nature qui la dominait, cette animalité régit par le mortuaire voile de lune qui s'infiltrait par ses pores, empoisonnait ses veines. Son visage s'allongea alors que ses muscles détruisaient savamment le surplus d'os qui empêchait sa gueule pleine de crocs d'apparaître. Aveuglée... Lorsque ses yeux furent assaillies de multiple contusions, broyés sous la chaire qui tendait à les écarter de chaque côté de son nouveau visage canin. Ses pattes avaient réduits à néant la délicatesse de ses jeunes mains, sa colonne vertébrale lui avait fait envisager comme l'Enfer serait doux comparé à cette vie où la rangée de petits os émergeait hors de son dos pour former une queue. Comment pourrait-elle jamais oublier ces sensations ? Quand sa cage thoracique s'émiettait en écrasant sans pitié ses frêles poumons, se compressait, rapetissait... La jeune mutante cherchait l'air, noyée dans un océan de violence déchaîné dont elle ne pouvait pas s'échapper. Les vagues déferlantes se trouvaient à l'intérieur d'elle, bousculant ses tripes jusqu'au désir de vouloir les vomir. Mais enfin, elle sût trouver la lumière, au haut des tumultes effrénés. /span/span/span/p
p style="margin-bottom: 0cm;" align="LEFT"span style="color: #292929;"span style="font-family: Arial, Geneva, sans-serif;"span style="font-size: 9pt;"A quatre pattes sur la terre humide, elle leva son regard devenu jaune sur le ciel obscur. Et comme happée par son bourreau sélénite, elle hurla. Pas de douleur, non, pas de ses hurlements que l'Homme pousse quand arrive son trépas. Un hurlement de loup ; et elle était désormais un loup, campé sur ses puissantes épaules, ses griffes s'enfonçant dans le sol. /span/span/span/p