Joyeux Noël à tous !

Merci à vous qui avez lu cette fanfiction en discrétion ou alors en laissant un commentaire.

Pleins de Bacciolino à tous !


Epilogue : Le réveil :

L'obscurité avait laissé la place à la lumière. La froideur de la glace à la chaleur de la flamme. Le silence au brouhaha qui se faisait entendre à ses côtés.

Encore sous le coup des gellures, Sans avait du mal à reprendre conscience. Il commencé à retrouver pied dans la réalité. Il essayait de distinguer les mots qui étaient prononcé à côtés de lui. Les murmures étaient devenu un brouhaha. Ce qui n'était pas dinstingable auparavant, Sans commençait peu à peu à le comprendre.

Ses paroles, oui, il entendait son nom. Son nom être répété à plusieurs reprises. Il senti la chaleur de la peau de Frisk réchauffant une partie de ses os encore froid. Il pouvait sentir l'écharpe de papyrus lui chatouillant le visage. La douceur d'une couette qu'on posait sur son corps encore engourdi par la fraicheur de sa cage de glace.

« Sans… Réveille toi, s'il te plaît. »

Des perles d'eau salés attérir au niveau de ses faucettes. Quand les orbites de Sans se remirent à luire. Le squelette avait dans un premier temps la vision trouble. Il voyait des formes au-dessus de lui, sans pouvoir donner de mots sur ces dernières. Ni de Nom, ni de paroles pour les distinguer. Ce n'était que d'étrange silhouette floues.

Sans du prendre quelques secondes avant de comprendre se qui lui arrivait. Quand il comprit que la voix de la silhouette n'était autre que son frère Papyrus, sa vision se fit moins trouble. Les traits de son cadet entrain de pleurer au-dessus de lui le réveilla complétement. Frisk était à ses côtés, tout comme Undyne, Alphys et tous les invités pour la fête. Sauf Asgore.

« Je suis si content Sans. Je suis heureux que tu te réveille. J'avais si peur… Je ne voulais pas te perdre. » pleura Papyrus en tenant fermement son frère.

« Je…suis…Désolé… Je ne voulais pas vous inquiétez. » souffla Sans qui avait du mal à prononcer ses paroles. Non pas par honte. C'était encore l'effet des engelures de son corps. Papyrus le recouvra de couverture chaudes et le prit dans ses bras, tout en le frottant énergiquement.

« Je vais te réchauffer frangin. Ne t'inquiéte pas. Je suis là pour toi. On va passer une superbe fête ensemble. Tout va bien se passer. »

Frisk acquiessa en ramenant à Sans une tasse de ketchup épicé chaud pour l'aider à se réchauffer. La conction avait été préparé par Grilby. Undyne et Alphys avaient préféré s'éloigné pour discuter avec Toriel.

Soudain, une multitude de question s'interposèrent dans l'esprit de l'aîné. Tout en buvant sa boisson, il demanda paisiblement :

« Où est Flowey ? Et… Comment vous m'avez retrouver ? »

« Asgore s'occupe de la petite plante. Et c'est à cause du petit chien que nous avons accueilli ici que nous t'avons retrouvé. Il m'a volé le cadeau que j'allais recevoir de Frisk et s'est enfui avec. Je l'ai poursuivi, tous les autres m'ont suivi pour nous diriger vers un étrange laboratoire où tu étais enfermé, en glaçon. »

Les larmes de Papyrus se remirent à perler de plus belle. Sans avait mal au cœur de voir son petit frère souffrir ainsi. Sans tendit la main vers les sanglots de son frère pour les attraper entre ses doigts, quand Papyrus resserra encore plus fort son étreinte.

« Désolé Pap'. J'aurais du faire plus attention. Je ne pensais pas que quelques chose comme ça se produirait. Ne t'inquiète pas, regarde, je suis en vie et en un seul morceau. Héhé. »

Au-delà de son sourire, Papyrus put voir les larmes du coin des orbite de son frère. Lui aussi avait eu peur de le perdre. De ne plus le rejoindre. D'être séparé à jamais de lui. L'aîné tenta de cacher ses larmes en posant sa tête contre l'armure de son petit frère. Il ne voulait pas se montrer faible. Mais il était ainsi à ce moment précis.

« Il faudra qu'on offre un os à notre cher toutou. » souriait Sans.

« Ah non ! Pas de mes os ! Il a déjà dévoré tout ceux que je comptais offrir et … » soudain Papyrus se mit à tourner la tête dans tous les sens, cherchant quelque chose de précis.

« Une probléme frangin ? »

« Il est parti où le toutou ? »

Dans la noirceur de la nuit, en haut de la colline, le petit chien blanc était entrain de remonter le tas de neige pour arriver vers une silhouette. Une ombre qui l'attendait. Ce dernier s'abaissa pour câliner la tête du canidé qui l'avait aidé dans son œuvre.

« Merci d'avoir protéger mes fils. Pourras-tu les faire rire encore un peu et continuer à veiller sur eux, le temps que je trouve une solution pour revenir dans ce monde. »

Le chien aboya en acquiessant.

« C'est bien mon petit. Je vais devoir te laisser. Je te promets, qu'un jour, mes fils se rappeleront de moi, Gaster. Leur père adoptif. Je reviendrais pour veiller à nouveau sur eux. Merci de leur servir de guide. Et, prend soin aussi du petit humain. Il pourra surement les aider dans leur quête. »

Sous les étoiles, avant de disparaître, Gaster regarda une dernière fois la ville qu'il avait connu. Et doucement dans la nuit, sans que personne ne l'écoute, il murmura :

« Joyeux Noël à tous. Et à tous une bonne nuit. »

FIN