Bonjour bonjour !

... Oui, je sais, je suis en retard, et je n'ai pas d'excuses. Mais bon, ce dernier chapitre est arrivé finalement, c'est déjà ça, non ?

Disclaimer : Mes Ocs m'appartiennent, bien que l'univers où ils évoluent appartiennent à Oda !

Bonne lecture !


Marco se réveilla en sentant Lilith bouger contre lui, et il l'observa dormir. Il soupira en essuyant d'un geste délicat du pouce les dernières traces de larmes que sa petite sœur avait versé lors des funérailles de Frédérick la veille. Ç'avait été difficile pour tout le monde, mais encore plus pour Lilith, qui n'avait pas arrêté de penser que c'était de sa faute si le second commandant avait trouvé la mort. Quoi que la famille avait pu dire, elle n'en avait pas démordu. Et les Castarmiens s'étaient bien gardé d'intervenir, respectant leur deuil tout en évitant d'envenimer les choses.

Le premier commandant soupira avant de se lever doucement et de s'habiller, essayant de ne pas déranger Lilith dans son sommeil. Il avait déjà eu du mal à la faire s'endormir la veille au soir, et il était persuadé que s'il ne l'avait pas obligé à dormir exceptionnellement à nouveau avec lui, elle aurait fait une nuit blanche, de peur de voir dans ses rêves Frédérick l'accuser de sa mort.

Si Crystal s'était doutée que le problème se poserait, Marco était sûr qu'elle n'aurait pas fait en sorte de terminer les souffrances de leur frère le plus vite possible, même si ça devait lui peser sur le cœur. Personne ne lui en avait voulu, pas alors qu'elle l'avait fait avec l'accord du concerné, pour qui les anti-douleurs n'avaient rien pu améliorer.

- Marco ? fit une petite voix ensommeillée, et le blond vint s'asseoir sur le lit à côté de sa petite sœur le temps que celle-ci émerge totalement.

Cette dernière vint finalement se blottir contre lui bien que réveillée, n'ayant aucune envie de se lever. Il soupira en caressant distraitement les cheveux emmêlés de sa petite sœur, avant de l'enjoindre à se mettre debout.

- J'ai pas envie, veux pas partir...

- Tu n'as pas le choix poussin. Il faut qu'on aille sur Castarmir pour le démon, tu le sais bien.

- Je veux pas perdre notre lien, geignit-elle en tournant la tête vers lui. Je veux pas te perdre...

- C'est un risque à prendre, avoua-t-il passant ses bras sous elle pour la faire asseoir de force. Mais ça ne changera pas toute l'affection que j'ai pour toi. Crois-moi, tu ne te débarrasseras pas de moi aussi facilement, la taquina-t-il tristement en la serrant contre lui.

Ils restèrent quelques minutes ainsi, puis Marco se leva en prenant Lilith avec lui, l'obligeant à sortir du lit.

- Va manger, je vais préparer tes affaires, lui murmura-t-il. Tu prendras ta douche avant que l'on ne parte.

L'enfant fit la moue, puis acquiesça en soupirant avant de sortir de la cabine de son frère. Le commandant soupira à son tour, la mort dans l'âme. Il se détestait pour lui avoir menti. Elle ne tarderait pas à être débarrassé de lui. Une fois à Castarmir, elle y resterait, songea-t-il amèrement en sortant à son tour de sa cabine. Leur Oyaji avait été intraitable là-dessus, et bien qu'il comprenait et acceptait les raisons de cette décision, elle n'en n'était pas moins dure pour lui comme pour Lilith. Surtout qu'il n'avait pas été prévu de lui dire avant le départ, sachant pertinemment qu'elle ferait alors tout pour rester. Marco n'aimait pas l'idée de la mettre devant le fait accompli, mais il n'avait pas d'autres choix.

Il rentra dans la cabine de Lilith et eut un sourire fatigué en voyant que c'était assez bordélique. Il ne put s'empêcher de ranger en même temps qu'il préparait le sac de l'enfant. Enfin, les sacs plutôt, parce qu'il était hors de question qu'elle reste sur Castarmir sans toutes les possessions qui lui tenaient à cœur. Une fois qu'il eut terminé, la cabine sembla plus terne, sans vie, comme elle allait le rester sans aucun doute pendant encore quelques années. Son cœur se serra, et il secoua la tête. Non, c'était mieux ainsi, pour elle comme pour eux. Elle pourrait ainsi grandir à l'écart de la violence du monde et de leur mode de vie, et avec beaucoup moins de chances de se faire assassiner. Et de plus, ses frères et lui n'auraient pas à s'inquiéter pour elle alors qu'ils s'apprêtaient à entrer en guerre contre Big Mom. Leur équipage pouvait encore tolérer qu'elle tente de faire main mise sur l'île Gyojin, mais l'enquête sur la disparition de l'équipage de la Rose Sauvage l'avait pointé comme responsable, et il était plus que temps de faire comprendre à la Yonkou qu'il y avait des limites à ne pas dépasser. Il était alors préférable que Lilith ne soit pas sur le navire pour devenir une proie idéal pour l'adversaire. Et vue les capacités de sa petite sœur, Marco ne doutait pas un seul instant que Big Mom se ferait un plaisir de l'intégrer de force dans son équipage si elle en prenait connaissance. Il frissonna de dégoût, et se promit qu'une chose pareille n'arriverait pas tant qu'il serait en vie.

Il prit les sacs et descendit de la vigie rapidement, arrivant sur le pont pour tomber sur Izou qui le fixa avec un air triste.

- Tu ne devais être pas au réfectoire ? s'inquiéta le blond.

- Si, j'y suis allé, mais... J'ai pas pu rester Marco, ça me rend malade de mentir à Lilith, avoua le seizième commandant en soupirant. J'ai du mal à me faire à l'idée qu'on ne la reverra plus.

- Avant quelques années, corrigea son frère. Crois-moi quand je te dis que dès qu'elle sera majeure, elle n'hésitera pas à revenir. Ça ne sera plus aussi dangereux pour elle à ce moment-là, ajouta-t-il pour lui même.

- Ça va faire sept longues années au moins... Elle nous a tous conquis, hein ? Elle me manque déjà alors qu'elle n'est même pas encore partie... Et avec la mort de Frédérick, j'ai l'impression que mon cœur ressemble à une passoire.

Le blond serra son frère contre lui en silence. Ils surmonteraient cette mauvaise passe comme ils avaient surmonté les précédentes : avec difficulté mais ensemble. Ils finirent par se séparer quand ils sentirent un des Castarmiens, l'elfe, arriver vers eux. I'dril leur signala qu'ils devraient bientôt partir, et Marco récupéra les bagages de Lilith dans un soupir avant de saluer son frère et de suivre l'elfe, qui demeura silencieux jusqu'à ce qu'ils arrivent devant le siège où siégeait Shirohige, Lilith sur ses genoux.

Le premier commandant se mordit les lèvres pour ne pas afficher sa tristesse. Cette scène-là ne sera plus habituelle sur le Moby Dick, comme tant d'autres choses, et vu les regards de ses frères et sœurs, tous pensaient la même chose. Si Lilith n'était pas aussi jeune, si quelqu'un ne cherchait pas à la tuer, si elle n'avait de démon intérieur... Elle aurait pu rester. Mais avec des ''si'', on pourrait refaire le monde, songea amèrement le blond avant d'inviter Lilith à dire au revoir à leur Oyaji avant qu'ils ne partent. Il s'écœurait lui-même, mais il ne faisait que suivre les ordres, et ô combien les ordres étaient pour une fois détestés, bien que nécessaires !

Et bientôt Jun les rejoignit tout en s'excusant de son retard, puisqu'il préparait leur moyen de locomotion, si Marco pouvait dire ça, jusqu'à Castarmir. Il sortit un cristal de sa poche et demanda au petit groupe composé d'I'dril, de Marco et de Lilith de se rassembler autour de lui. Il envoya un peu de sa magie dans le cristal, qui lui servirait de catalyseur et de point d'ancrage, avant d'incanter :

- Par le Transferus Porte ouvre-toi, et vers Castarmir emmène-moi !

Des étincelles dorés surgirent des doigts du scientifique avant de créer la silhouette d'un porte banale, si on oubliait les contours dorés, et lorsque que la Porte fut tout à fait prête, I'dril l'ouvrit, et à travers l'ouverture l'on pouvait voir un bout de plage et de grands arbres. Lilith passa la première, suivit par l'elfe, puis Marco et en dernier Jun.

Ils arrivèrent sur une plage presque déserte, si ce n'était l'elfe qui les attendait. Ses longs cheveux argentées cascadaient librement dans son dos, grand lévrier maigre, et ses yeux cristallins les fixaient avec un certain détachement.

- Vous devez être Marco et Lilith. Jun, menez l'enfant dans les laboratoires, quant à vous commandant, suivez-moi. I'dril, vous pouvez disposer.

- Bien, Matriarche, répondirent les deux Castarmiens avant d'obéir, et Lilith hésita un instant à suivre le scientifique.

Elle leva ses yeux vers son grand frère qui lui ébouriffa les cheveux avant de se baisser à sa hauteur. Il embrassa son front doucement, avant de la regarder avec tendresse. Il n'y avait plus de retour en arrière possible, c'était la dernière fois qu'il la voyait avant sans doute quelques années, mais il ne devait pas la laisser le soupçonner.

- Tu me promets d'être courageuse ?

- Oui, chuchota-t-elle, avant de demander pourquoi il ne pouvait pas être avec elle.

- Je serais plus un boulet qu'autre chose, mais je te promets de rester toujours à tes côtés, ici, murmura-t-il en désignant du doigt le cœur de sa petite sœur. Tu obéis à Jun aussi ? Évite de lui faire des cheveux blancs le temps où tu es sous sa responsabilité.

- Comme si je pouvais faire tourner en bourrique quelqu'un en moins de dix minutes, renifla-t-elle, avant d'intercepter le regard amusé de son Lié. Bon, d'accord, c'est possible ! grogna-t-elle, déclenchant un léger rire chez son aîné.

Ce dernier la serra une dernière fois contre lui, avant de la confier à Jun. Lilith suivit le scientifique en silence, jetant un dernier coup d'œil derrière elle, et une fois qu'ils eurent disparu, la Matriarche prit la direction opposée. Marco eut un instant d'hésitation avant de la suivre, et ils arrivèrent au début des habitations arboricoles. Le blond se sentit un instant mal à l'aise en sentant qu'on l'épiait, mais il s'obligea à se détendre, surtout quand son Haki lui signala qu'il s'agissait surtout d'enfants qui les regardaient passer sans se montrer.

Soudain, une Voix familière apparut sous le scan de son Haki, et il ne fut guère surpris quand au détour d'un arbre Iqbal surgit.

- Marco-san ! C'est un plaisir de vous voir ! s'exclama-t-il, avant de s'apercevoir qu'il y avait aussi la Matriarche, qu'il salua de façon moins bruyante.

Cela fit sourire l'elfe, qui lui rendit son salut.

- Iqbal, comme tu es là, pourrais-tu accompagner le commandant dans l'arbre aux Milles Lucioles ? Il attendra là-bas jusqu'à ce que le bannissement soit terminé.

- Mais pourquoi aux Milles Lucioles, Matriarche ? La magie qui entoure l'arbre va couper le lien entre Marco et Lilith...

- C'est le but, le coupa-t-elle doucement, avant de lui intimer d'exécuter sa demande.

- Venez, suivez-moi Marco ! fit l'adolescent en le prenant par la manche, et l'adulte se laissa entraîner.

Iqbal les mena au pied au pied d'un arbre qui ressemblait à un saule pleureur – mais si tous les saules pleureurs faisaient trois fois la taille et trois fois la largeur de son Oyaji, Marco voulait bien en manger ses plumes – et ouvrit la porte taillée dans l'écorce. Il laissa entrer l'adulte avant lui, et le commandant ressentit instantanément la rupture du lien entre Lilith et lui, et ça lui fit physiquement mal. Il n'avait pas ressenti cette sensation de perte depuis longtemps.

- J'imagine que c'est douloureux, fit sur un ton d'excuse Iqbal, gêné. Désolé.

- Ça va gamin, je ne vois pas pourquoi tu t'excuses, tu n'es pas responsable de tous les maux de la terre.

Iqbal grinça des dents en entendant son épithète, mais il se retint de faire retentir haut et fort son mécontentement. Il n'avait pas envie de se mettre à dos le commandant, surtout en l'ayant déjà vu en colère.

Ce dernier se mit à faire les cents pas dans la pièce, nerveux, allant de l'escalier qui menait aux étages supérieurs jusqu'au mur opposé tout en évitant les meubles – un canapé et des chaises autour d'une table – que contenait la pièce.

L'adolescent hésita un peu, avant d'aller s'asseoir sur le canapé. Plusieurs minutes, sans doute une dizaine, s'écoulèrent sans que le silence dans la salle ne soit brisée par autre chose que le bruit des pas de l'adulte sur le sol, ce qui rendit nerveux à son tour Iqbal. Il se doutait de ce qui inquiétait à ce point l'homme, mais il avait confiance dans les sortceliers de Castarmir pour que Lilith ne soit pas blessée lors du bannissement.

- Tout va bien se passer, Marco-san, essaya-t-il de le rassurer tant bien que mal. Vous pourrez rentrer chez vous avec elle sans aucun soucis.

Le Dampyr aperçut alors l'air triste et désolé de l'homme, et comprit.

- Elle reste ici, n'est-ce pas ?

L'adulte acquiesça, et déjà l'enfant lui promettait qu'il veillerait sur elle, ce qui lui tira un sourire, rassuré de savoir que sa petite sœur avait déjà un ami prêt à la soutenir sur l'île. Néanmoins, ce sourire s'évanouit quand Iqbal lui demanda les raisons de cette décision. Il soupira avant de les lui exposer brièvement, et l'enfant le fixa sérieusement de ses yeux roses, presque moralisateur.

- Vous devriez lui expliquer, Lilith n'est pas idiote, elle comprendra. Et elle l'acceptera d'autant plus facilement, pas comme si vous la laissiez ici en partant comme un voleur, avant qu'elle ne se réveille.

- Tu n'as pas à me dire ce que je dois faire, petit.

Iqbal grimaça en entendant l'adjectif, mais laissa passer avant de rétorquer :

- Je ne vous ordonne rien, je n'oserai pas, c'est juste un conseil.

L'enfant lui coula ensuite un regard lourd de sous-entendus, qui fit soupirer l'adulte. Ce n'était pas une mauvaise idée, mais il savait que Lilith n'accepterait pas de l'écouter une fois qu'il aurait commencé à lui expliquer. En tout cas de vive voix. Il prit un air songeur, avant de demander au garçon de lui trouver un crayon et un papier, que ce dernier sortit de sa poche en souriant innocemment. Le commandant préféra oublier ce fait et prit ce qu'il avait demandé des mains du gamin avant de lui intimer de filer. Iqbal n'obéit pas tout de suite, passant nerveusement d'un pied sur l'autre, avant de demander d'une toute petite voix

- Dites... Si j'ai bien compris... Quelqu'un cherche à assassiner Lilith, et vos ennemis pourraient la prendre pour cible vu sa faible force de combat ?

Marco haussa un sourcil en s'installant sur la table, s'interrogeant sur ce que voulait le Dampyr.

- Si... Enfin vous croyez que... qu'elle le prendra bien si je demande à un des combattants de l'île de l'entraîner ? La Matriarche ne voudra pas vraiment sauf si l'un d'eux accepte explicitement de la prendre pour élève, et comme ça en plus elle travaillera sur l'utilisation de sa magie en même temps qu'elle se bat... expliqua l'enfant.

- Tu connais quelqu'un qui accepterait ? l'interrogea l'homme, comprenant ce qu'il avait en tête.

- Accepter, je ne suis pas sûr, mais j'ai deux-trois personnes en vue...

- Demande à quelqu'un dont la manière de se battre ne repose pas sur la force brute, mais sur la vitesse et l'agilité, lui conseilla Marco. C'est ce qui lui conviendrait le mieux.

Le Dampyr eut une grimace, avant d'acquiescer, disant qu'il voyait qui pourrait faire l'affaire, et il s'éclipsa après avoir salué l'adulte, qui lui se mit à écrire une lettre. Il demanderait à quelqu'un sûrement à Iqbal par ailleurs, de la donner à Lilith. Il étala tout ce qu'il ressentait vis-à-vis de ce que Lilith verrait comme un abandon, essayant d'écrire le plus de choses rassurantes aussi, surtout pour qu'elle n'aille pas se mettre en tête que c'était à cause de la mort de Frédérick qu'elle restait sur Castarmir. Il ne put s'empêcher de pleurer en terminant la lettre, un peu, se séparer de Lilith étant l'une des choses les plus dures qu'il n'ait jamais eu à faire. Il se leva dans un soupir, alors que Jun entrait dans la pièce, l'air sombre, ce qui inquiéta tout de suite l'adulte. Et cette fichue magie qui l'empêchait de sentir le lien !

- Alors ? demanda-t-il avec anxiété.

- Le démon a été banni sans problème, et il semblerait que le lien soit toujours là. Mais... On a effectué les tests, ajouta le scientifique en serrant les poings, sa colère presque palpable. Il était là depuis sa naissance ou presque, cracha-t-il, et la magie de Lilith en a été affecté. Pas de façon irrémédiable, s'empressa-t-il de corriger en sentant la magie de Marco s'éveiller sous sa colère, elle restera juste sensible à la magie démoniaque, et elle va devoir réapprendre à contrôler sa magie puisqu'une partie luttait depuis son plus jeune âge contre le démon. Elle va mettre peut-être... Trois, ou quatre ans. On arrivera à la retenir sur Castarmir jusque-là, mais après...

- Cette lettre devrait la convaincre de rester plus longtemps, souffla le premier commandant en tentant tant bien que mal de se calmer, tout en tendant ce qu'il avait écrit. Et comme promis, ajouta-t-il en sortant sa dague et en défaisant le papier autour, voici ma Vivre Card pour Lilith.

Jun acquiesça en les prenant, puis l'invita à le suivre, la Matriarche l'attendant pour ouvrir une Porte et le renvoyer sur le Moby Dick. Marco le suivit en silence, et laissa son regard errer sur les arbres alors qu'ils se dirigeaient vers la plage. C'était là que sa petite sœur allait vivres les prochaines années.

Il espérait que sa famille avait pris la bonne décision pour elle, et il ignora son cœur qui lui disait de faire demi-tour, tout comme les larmes qui menaçaient de couler sur ses joues, alors qu'il passait la Porte qui le ramènerait chez lui.

Fin de la première partie...


Me regardez pas avec cet air meurtrier, cette fin était prévue depuis longtemps ! Je sais qu'on a pas les réactions de Lilith à la suite de cet acte, ni ce qu'il va se passer ensuite, tout simplement parce qu'il est plus simple pour moi d'en faire une ellipse, même si vous aurez des détails dans le prologue/premier chapitre de la seconde partie.

J'ai du mal à croire qu'on en est déjà arrivé à la fin... Je remercie tous ceux qui ont pris le temps de reviewer, tous ceux qui ont mis en follow/favoris et même les lecteurs fantômes. Je n'aurai jamais imaginé que ce crossover prenne des proportions pareils, c'est grâce à vous et je ne vous remercierai sans doute jamais assez.

Au fait, la seconde partie débutera à la fin des épreuves du bac, dès que j'aurais les dates je les mettrais sur mon profil. Et comme, je suis gentille, je vous offre déjà le résumé de cette seconde partie :

Les tribulations d'un poussin sur Grand Line.

A seize ans, Lilith se trouve désormais bien assez grande pour retourner à la maison, armée de la Vivre Card de son frère et en embarquant Iqbal au passage. Mais le voyage va sans aucun doute être semé d'embûches - on est un aimant à ennui jusqu'au bout ou on ne l'est pas - et il se pourrait bien que cela se répercute sur sa famille...

... Pitié pas tuer ?