Réponses reviews !

kuro. : Ah ça fait plaisir de voir que je ne suis pas la seule tarée ici !

Elys : Merci ! Mais ne t'en fait pas ! La suite, la voilà ! ^^

Liu Proxy : Hey ! Merci, j'ai beaucoup aimé écrire ce moment x) Et je ne pense pas faire ce genre de chose. C'est vrai que ce serai un sacré bordel si les FELL passaient chez les SWAP, mais après peut être que l'inspiration viendra et que ça se fera ^^'. Après pour les autres AU je ne pense pas, je préfère me concentrer sur les FELL et SWAP. Je ferais peut-être une fic sur d'autres Au oui, si l'inspiration vient là aussi x)


Heyy ! C'est moi ! Alors pour ceux qui sont comme moi, des couches tard et qui vois cette fic sortir à 3:00 du mat', et bien bienvenue dans le club des gens qui se font chier alors qu'il peuvent tout simplement dormir comme des blaireaux ! Nan mais franchement, je me fais chier et je publie... Alors que je dois réviser pour mon putain de bac blanc qui arrive juste après ces putains de vacances ! Vous aussi vous être du genre à vous dire ''Bon aller, j'ai tous, il me reste plus qu'à réviser !'' mais en fait vous voyez votre ordi ou votre ps3, ou votre Ds, ou votre (on s'en fou !) et ça vous démange de l'utiliser. Et ça donne ça : ''Bon aller, juste une partie, c'est vite fait, c'est le calme avant la tempête'' mais non, grosse erreur ! Résultat : Tu as passé toute ta journée sur ton ordi ou tes jeux, laissant tes pauvres feuille de révision moisir sur le coin d'une table. Ahh... Progrès à la con ! Technologie à la con !

Non, la technologie on a beau dire, mais c'est bien. Sans ça, je vous aurez jamais connu, et vous non plus ^-^ ! Et on ne pourrais pas passer notre temps devant des bonne fanfic ou des bon doujins ou des bons porno ! Ok ça s'était pas nécessaire... Bon, c'est parti pour la suite ! Oh, attention, LEMON !


Précédemment

- Tu as touché à Sans, hein ?!

- STOP ! Ça suffit maintenant !

*Pop*

- Tu dois venir. Le Boss veut que l'on parle.


- Qu... H-heh ?!, paniqua un petit rouge. Da fuck... ?!

En effet, Sans pouvait paniquer. Par nous ne savons quel moyen, celui-ci s'est retrouvé dans sa chambre. Il l'eut reconnu notamment grâce à son pauvre lit, sur lequel il se trouvait, et autres diverses objets que Sans pouvait entrevoir. L'odeur d'humidité comblait de même la chambre. Il avait l'habitude, il ne s'occupait pas de cet endroit à cause du travail que son frère lui donnait.

L'ambiance de la pièce semblait étrange aux yeux du petit. Le genre d'ambiance sombre, peu éclairée, mais cependant plutôt chaude. Sans ne savait pas trop quoi ressentir. La pièce était chaude, ce qui rendit l'atmosphère agréable, mais elle était à la fois effrayante, à cause de la basse lumière qui la comblait. Ce climat-la, Red ne le connaissait pas. Qu'est ce qu'il se passait ?! Sans était vraiment perdu, était-ce encore un des plans tordu de son frère ?!

S'imaginant alors les pires choses qui lui passèrent par la tête, il fut prit d'un frisson désagréable, qui le fit encore plus paniquer. Il voulut alors se lever mais se sentit retenu. Il dirigea alors son regard effrayé vers ce qui le retenait, et vit, sentit, une sorte de bracelet de fer, attaché au radiateur...

- Qu...Qu'est ce que... ?!

Voulant l'enlever, il se débattu de toute ses force, mais c'était perdu d'avance... Sans ne pouvait rien faire face à ce qui ressemblait à des menottes... Il était piégé ici, dans le noir. L'ambiance était tout compte fait désagréable et effrayante. Ne cherchant pas à se défendre plus, il appela, se doutant qu'une seule et unique personne était capable d'une telle chose.

- B-boss... ? S-s'il te plaît, laisse mois sortir ! Je ne recommencerais plus !, s'écria le petit squelette, haletant de frayeur, et prit par les pleurs. Boss...

Sans s'excusait autant qu'il le pouvait. Il ne savait pas de quoi, mais il s'excusait. Il en était persuadé, c'était bien le grand rouge qui était derrière tout ça. Qui ça pouvait être d'autre ?

Mais ce qui étonna le petit rouge, était qu'il n'était pas habitué à cela. Normalement, son Boss est là, avec lui, et lui fait subir des choses improbable. Mais là... Est-il en train de tester un nouvelle punition ? Car si c'est le cas, ça avait l'air de, malheureusement, marcher...

- Boss... S'il te plait..., abandonna Sans, ayant épuisé toutes ses forces.

Des bruits de pas se firent entendre. Red voulu réagir, mais il n'y parvient pas. Son corps était comme manipulé par quelqu'un d'autre, c'était étrange.

- Allons, allons, tu es réveillé ?, fit une voix charmante.

Sans releva cette fois rapidement la tête. La lumière s'alluma, éblouissant alors le petit squelette. Il mit sa main libre devant ses orbites. Il put distinguer une grande silhouette en face de lui, avec une touche de orange...

- Tu n'as pas à paniquer comme ça, tout va bien, fit Stretch.

- Où suis-je ?, se contenta de demander Sans. Pourquoi... ?

- Dans ta propre chambre. Oh, et, excuse-moi pour les menottes, on ne voulait pas que tu fuis lorsque tu te serais réveillé, prit de panique. On t'a trouvé dehors, gisant par terre, fit Papyrus en détachant les menottes de Red.

- On.. ?

- Ton frère est parti voir si un humain rode dans les parages. Il me rappelle souvent mon frère...

- Qu'est ce que...

Sans ne comprenait plus. Depuis quand les deux grands s'entendaient ? Ne voulaient-ils pas s'entre-tuer au départ ? Et puis, gisant par terre ? Comment ? Pourquoi ?

Trop de questions naviguèrent dans la tête du petit. Il observa alors son ami, assit a côté de lui. Son regard était vide, s'en était presque effrayant. A quoi pensait-il ?

- E-euh... Ça va ?, le questionna Sans, inquiet. Qu..qu'est ce que tu f... A-ahh... !

Le cœur, ou l'âme, de Sans, se mit à battre la chamade. En effet, le grand orange s'était mis au dessus de Sans, à califourchon, et venait de lui mordre le cou. Red ne pouvait rien faire, il sentit qu'il avait une force incroyable. De plus, il ne savait pas s'il voulait le repousser ou non... Ce qui était une pensée problématique. Sans ne devait appartenir qu'à son frère, pourquoi il fait ça, il est suicidaire ?!

- S-s'il te plaît, arrête, tu vas te faire tuer.. !, le supplia le jeune rouge, mais... Ahh ! A-arrête !, haleta-t-il.

- Plus maintenant.

Sans pouvait remarquer une petite lueur orange au niveau du bas ventre de Papyrus. On dirait que c'est trop tard, Sans aurait dû se méfier... Car maintenant, lui aussi commençait à se réveiller. En réalité, il en mourrait d'envie, mais il était trop fier et avait trop de dignité pour l'avouer. Et de plus, s'il le faisait, ce serait trahir son frère, et se faire punir... Mais il ne pouvait plus reculer. Les choses se déroulaient ainsi, il ne pouvait rien faire contre le destin ni contre la volonté de son cœur.

Stretch continuait de mordre et lécher le cou du petit. Celui-ci passa ses bras autour du cou de son agresseur, laissant derrière tous problèmes, alors qu'il s'approcha de Red pour l'embrasser. Ceci était comme un signe qui était donné à Papyrus, lui indiquant qu'il pouvait y aller, faire ce qu'il voulait.

Que Sans était consentant.

L'orange esquissa un léger sourire, puis il passa sa langue dans la bouche de Sans, à la recherche de sa jumelle. Il balada sa main sous le T-shirt de sa victime, caressant le cou, les côtes, et enfin la colonne vertébrale. Sans laissa s'échapper un petit gémissement tout en haletant, tandis que des vas et viens se firent lentement sur sa colonne. Le petit rouge ferma les yeux, profitant au maximum des douceurs et caresses qui lui étaient offerts. Les préliminaires n'avaient jamais étés aussi agréables. Cela changeait des violences qu'il subissait avec son crétin de frère. Et cela, Sans le pensait, il avait intérieurement traité son frère de crétin ! Il se mit à frissonner. Et nous ne saurons pas si c'est à cause de l'idée que se fait Sans à voir son frère en rogne, ou à cause de la main de Stretch qui vient de parvenir jusqu'à Popol.

Il avait sûrement remarqué qu'il était réveillé. D'ailleurs, le Popol de l'orange avait l'air de devenir impatient, tout comme son propriétaire, et tout comme Sans... Les deux jumeaux n'en pouvaient plus d'attendre.

Papyrus observa Sans, le T-Shirt relevé jusqu'au cou, les mains disposée de chaque côté de sa tête, la sueur roulant sur ses joues rouges, les yeux peinant à s'ouvrir entièrement, et les halètement s'échappant de sa bouche tordue de plaisir. Il esquissa un sourire, comme ayant comprit son Seme (j'espère pour vous que vous connaissez parce que je ne donnerais pas la définition ! Mweheheh, oui je suis cruelle, internet existe mes cher amis ^^ Et puis, vous êtes censé connaître si vous accrochez le Yaoi), et celui-ci lui répondit d'un léger hochement de tête.

Stretch défit alors la ceinture de son bas, et retira celui de Sans, le laissant – presque – à nu. Il était parfaitement exquis au yeux de l'orange, qui en aurait presque saigné du nez. Mais non, il bandait et c'était bien assez suffisant. Il prit son membre en main et le plaça, de sorte à ce qu'il puisse rejoindre la tranchée de Sans (=w=) et s'approcha de son Uke (lui aussi vous devez connaître!) pour lui donner un baiser langoureux.

- Vas-y, lui fit Sans, haletant dans le cou de son bien aimé.

Ayant capté le message, il lança brusquement son bassin vers celui de Red, ce qui le fit se courber en arrière.

- H-hey... D-doucement... s'il te... plait... A-ahh !

- D-désolé... C'est trop dur... J-je vais essayer...

L'orange avait prit le membre de Sans en main, faisant ainsi de léger mouvement de vas et vient. Le petit rouge mit ses mains devant sa bouche, de peur que son frère soit revenu, l'entende et ne vienne.

- Ne retient pas tes cris... Il ne reviendra... Pas de si peu..., lui haleta Stretch à l'oreille (oui, ''oreille'')

- M-mais... Ahh... AHHH !

Les coups de bassin de Stretch se firent plus rapide et fort. Sans en perdit la notion des choses. Il ne savait plus quoi penser, tout se chamboulait, et tout s'évadait de son esprit. Il ne savait plus ou mettre de la tête. Il était, au paradis.

Le couple de squelette était proche, haletant ensemble et s'épanouissant ensemble. Sans accrocha ses main au dos du pull orange de Papyrus et le tira vers lui pour l'embrasser. La folie s'était emparée d'eux. Une main à Stretch était du côté droit du visage de Sans, tandis que l'autre s'occupait de son bout de chair, sur lequel il y pressa son pouce. C'était la chose en trop. La goutte d'eau qui fait déborder le vase (lol, métaphore... ?). Les larmes qui coulaient en fureur sur les joue rougis de Red ne s'arrêtaient pas, des larmes de joie bien sûr. L'orange mit un dernier et violent coup de bassin à Sans, avant que lui et son Seme ne viennent, ensemble.

Le plus grand squelette, épuisé, s'étala sur Sans, les deux haletant. Ils avaient fait le plein de sensations.

Sans ne voulait pas imaginer ce que son frère ferait s'il était au courant de cela. Il fronça les sourcil, et le mit de côté, pensant que ce n'était pas vraiment le moment. Papyrus se releva, se retrouvant au dessus de Red. Il lui fit un léger sourire compatissant.

- C-ça va...?, lui demanda-t-il.

- O-oh... Oui, merci.. Et toi ?, lui renvoya-t-il, gêné de la conversation malaisante (alors ce mot n'existe pas, mais je l'utilise quand même! Je suis son créateur ! Même si vous l'avez déjà entendu !)

- Oui.

- Nous devrions nous rhabiller et nettoyer tous ça avant que le Boss n'arrive...

- Attend... Tu croyais vraiment qu'on allait en rester là ?, lui fit Papyrus, souriant, les yeux vicieux.

- H-hein ? Comment ça- Ahh... Qu'est ce que...

Stretch reprit le membre de Sans en main.

- Je n'ai pas fini de te faire gémir, fit-il se léchant les lèvres. Regarde, tu bande encore. Il te faut pas grand chose... Sans..., fit-il d'une voix douce et étrangement sexy.

Il se dirigea vers le membre et jeta un regard vicieux et attirant vers Red.

- Jouit pour moi, Sans, encore...

- O-oui... Ahh...

Papyrus prit le sexe du rouge entièrement en bouche, et joua avec à l'aide de sa langue.

- Sans...

- P-papyrus...

- Sans..

- Pap..

- Sans.

- Hmm.. Ahh...

- Sans !

- SANS !

L'interpellé releva brusquement la tête.

- Q-que... Heh ? B-boss ?! Mais...

- Depuis quand on s'endort durant les réunions, Sans ?! Tu n'as donc pas apprit les bonnes manières ?!, hurla Fell, fou de rage.

- Quoi ? Mais je... D-désolé Boss, je ne recommencerais plus..., Sans baissa vulgairement sa tête.

Us Papyrus était présent aussi, et regardait étrangement Sans, à la fois d'un air compatissant, et à la fois d'un air vicieux et soupçonneux.

- Hm... Disons que ce n'est pas grave... J'espère pour toi que ton rêve était intéressant, comparé à cette conversation stupide que j'ai eu avec un crétin stupide !

- Le crétin stupide il t'emmerde !

- Huh ?!

- O-okay Boss, on se calme... ! Il... Il ne le pensait pas, hein ?, fit Sans en s'adressant principalement au grand orange.

- Humf..., tourna la tête l'orange, vexé.

Fell n'avait pas l'air d'avoir remarqué l'état de Sans, étant donné la remarque qu'il lui avait fait. Pourtant, il rougissait. Il a dû croire que Sans rougissait de honte et de peur... Il était habitué à cela... Popol était cependant réveillé, et tout ça a cause de ce maudit rêve.

« Comment ça un rêve... C'était si... Réaliste... Et si... Bon ? », pensa Sans, affichant un air grandement déçu et méprisant sur le visage. « Pourquoi a-t-il fallu que je fasse un rêve comme ça ?! Ce mec vient d'arriver dans le coin et je m'excite déjà, m'imaginant avec lui au point de me faire bander putain ! Conscience de merde... Et rêve de merde ! », souffla le rouge.

Il faut d'ailleurs croire que Papyrus ne se préoccupe pas beaucoup de son frère étant donné tout le temps que Red à dormit... Il ne lui a prêter aucune attention. Mais bref, le petit rouge devait s'occuper de cette vilaine bosse qui le serrait dans son short, et cela allait être plus difficile que dans son rêve...


FIN !

Alors c'est le premier LEMON que je fais alors on ne juge pas ! Non non non ! Je te vois venir =-=

Bon, ne me jugez pas non plus sur les fautes ! A trois heures du mat' je vous le dit, je vois mal les fautes (ou je ne veux pas les voir) m'enfin bref... La fin vous a déçu ? Moi aussi ;-; Nan mais j'aime bien faire des petits coups comme ça x)

En fait ça se trouve tout le monde a capté que ce n'était que du fake ce LEMON ;-; pauvre de moi... Bon j'y vais moi ! Mon père se lève dans 1h ! oh merde... 40 minutes maintenant ! (aller fait des maths c'est bon pour la santé =w=)

Aller, salut ! Kiss de Renard à vous mes renardeaux ! :*