Salut à tous et à toutes !

Oui, je publie une nouvelle fic, oui j'ai pas fini mes anciennes fic, vous permettez ?

J'ai eu l'inspiration pour ce Us Papyrus x Uf Sans !

A la base, ça devait juste être un Os...
Mais c'est parti en couille durant le cours de français, j'ai fais 3 pages, qui ne raconte rien sur le couple. Ce n'est que le commencement ! Ne m'en voulez pas ! :o

Je tourne toujours autour du pot, mais je peux pas commencer une histoire sans queue ni tête !

Bref, je ne sais pas encore quand sortira la suite, si je ferais un petit lemon, je ne sais pas encore. Ce que je sais, c'est que je vais pas me faire chier demain durant mes 2h de pauses !

Je suis tellement à font sur tous ces couples d'undertale... Et de tous ses monde parallèles !

Bref, j'espère que ça vous plaira, dites moi vos avis ! (Ah et ne faites pas attention au parenthèse... Ma schizophrénie s'est un peu lâchée sur ce texte)

Enjoy !

Kiss de Renard !


* Pop *

Ce son à peine audible indiquait l'apparition soudaine de Papyrus. Le squelette s'était téléporté à Waterfall, mais, étrangement, il ne se souvenait pas avoir utilisé son pouvoir pour interagir de la sorte. Pourquoi se trouvait-il face à un mur en brique, sa main droite positionnée à 45° de son corps ?

Flash-Back

Pap se trouvait à Waterfall, à vendre ses Hots Cats. Malgré sa fainéantise (oubliez pas qu'il s'agit d'UnderSwap Papyrus!), il s'ennuyait. Personne n'était venu le voir à son stand aujourd'hui, pas même Chara (qui remplace Frisk, je sais que tu sais, mais ne sait-on jamais. Oui ici je te tutoie, tu vas me tuer du coup ?). Il ne l'avait pas vue depuis un bon bout de temps d'ailleurs.

Il décida alors de partir. De marcher. IL voulait marcher pour changer, cela comblerait son ennuie. Et peut-être se pouvait-il qu'il croise l'humain ?

Une cigarette à la bouche, cela faisait un bon laps de temps que Papyrus n'avait pas tant marché. La question était, avait-il déjà autant fait d'effort au moins une fois dans sa vie ? Il utilisait habituellement sa magie pour se déplacer, évitant donc le PLUS d'effort possible. Il passa la statue Memory, puis le Temmie village et s'arrêta dans une salle dans laquelle s'y trouvait un panneau. Dessus était inscrit « Do not Press » (« Ne pas appuyer », si tu es nul en anglais, mais il faut le faire quand même).

En dessous de l'écriteau, des briques, de différentes couleurs qui étaient incrustées dans le mur. Le jeune, vieux squelette (ah merci le Français, grâce à ça je viens de créer un oxymore ! Merci la 1°L!), ne s'étant pas du tout préoccupé de l'indication du panneau, effleura les pierres. Et par pure curiosité, Pap pressa l'une des roches...

* Pop *

FinFlashBack

Papyrus se rappela alors avoir appuyé sur ce caillou incrusté... Sa couleur l'avait particulièrement attiré. Voici donc la raison pour laquelle sa main était positionnée ainsi, encore élevée à 45° de son corps.

L'endroit dans lequel le squelette s'était fait téléporter n'était pas si différent de celui d'il y a de ça, quelques minutes. Seul un petit détail interpella l'orange (je l'appelle comme ça à cause de son pull, et de ses organes qu'il fait apparaître par pure magie). Les roches colorées avaient disparu. Elles étaient le seul moyen de repère (et peut-être le seul moyen de revenir chez lui ?) pour le squelette.

Après tout, était-il vraiment ailleurs ? Était-il si loin de chez lui ? Si loin de son confort et de son frère ?

Il fallait croire que... Non. Il ne s'en préoccupait pas à vrai dire. Il ne paniquait pas Pour lui, ce qu'il venait de faire n'avait rien changé. Juste la disparition des vieilles pierres multicolores. C'était tout. Il ne fallait pas en faire tout un plat en fin de compte... Il soupira, se disant qu'il avait perdu son temps à analyser des cailloux, bien qu'il n'avait que du temps à perdre, alors temps qu'à faire...

Le squelette remit sa main (qui était retombée le long de son corps le temps de ses réflexions) dans la poche de son pull orangeade et tourna les talons. Il alluma alors une nouvelle cigarette, pour remplacer celle disparut lors de sa « téléportation » vers un « autre monde » et reprit sa marche vers l'endroit d'où il était parti. Cette expérience qu'il définissait étant inutile le fit légèrement ricaner. Eh, il n'avait pas à s'en faire...

Il reparcourra waterfall, sans prêter attention aux regards insistant et dévisageant des monstres aux alentours.

Il vit alors au loin, une personne, ou un monstre de petite taille. Chara ? Sans ? Il se contenta de s'approcher, puis, il vit une autre silhouette plus grande que la première, s'approcher de celle-ci. Ils semblaient vêtu tous deux de vêtements assez sombres, en cuir noir (Assez rock quoi, comme je les aimes) et ressemblaient pas mal à Papyrus (en gros, ils ressemblaient à des squelettes, lel).

Curieux, mais, ne désirant point interrompre ce qui semblait-être une dispute, Pap, s'adossa à un mur, puis observa furtivement les deux êtres, tout en tendant ses oreilles pour avoir une meilleure écoute (oui les squelettes n'ont pas d'oreilles, tu vas pas m'apprendre la science Ginette ! Tu commences pas ! Désolée...)

Premièrement , il entendit une voix plutôt grave et assez paniquée, qui semblait provenir du plus petit squelette. Puis une autre qui avait à peu près ma même intensité, un poil plus crédible, lui criant dessus. Il s'agissait bien sûr du plus grand (avoue tu ne le savais pas).

- J-Je suis d-désolé patron... Je-

- Je me moque de tes excuses, espèce d'incompétent !, l'interrompit-il. J'en ai assez de ton comportement fainéant, Sans !

- D-Désolé b-boss..., s'excusa timidement l'insulté en baissant la tête.

Papyrus vit que le plus grand se faisait appeler « Boss » ou bien « Patron » (oui c'est la même chose dans deux langues différentes) par le dit « Sans ». Il semblait vraiment intimider le jeune squelette à terre avec son apparence diabolique. Il paraissait plutôt agressif d'après Pap... Par ailleurs, le plus petit se faisait donc appeler « Sans ». Que se passait-il ? Son frère ne porterait jamais ce genre de chose, et il n'est pas le genre de type à se laisser marcher dessus aussi facilement. De plus, il n'avait pas cette intensité de voix, et ne fréquentait pas ce genre de personne...

Soudain, le squelette eut un déclic.

Ces rochers de couleurs, était-ce... ? Non, une erreur de telle ampleur ne pouvait pas se produire... Il rêvait juste. Oui c'était ça. Il rêvait. Il faisait même un cauchemar, et il allait se réveiller... Vite...

Et si ce n'était pas un rêve ?

Et si c'était la réal-

* Clac *

(* un bruit se fit entendre dans toute la surface de la pièce *)

Le son sortit Papyrus de ses pensées les plus profondes.

Il secoua sa tête de gauche à droite pour se réveiller, ce n'était pas le moment de dormir ou bien même de rêvasser ! Après avoir reprit ses esprits il remarqua un grand silence. Il orienta alors son regard vers les deux personnages qu'il espionnait avant de s'être évadé ailleurs.

Ses yeux s'écarquillèrent, et en firent tomber ce qui restait de sa cigarette, lorsqu'il vit le plus petit squelette à terre, se caressant la joue, et versant des larmes incontrôlables Tandis que l'autre avait encore sa main mi-levée sur le bas côté à sa droite (je sais pas si ça existe dans ce genre de circonstance, mais chuuuuuuuut, tu n'as rien vu).

- Contentes-toi de faire ton travail comme il faut, imbécile !, hurla l'énervé. Et soit rentré à l'heure !

La victime (oui ça fait un peu pitié mais bon) ne répondit pas, toujours sous le choc de la frappe, ce qui fit grogner son supérieur.

- Sans ?, grogna donc le rageur.

- O-Oui... Oui, compris p-patron..., répondit timidement jeune à terre, toujours les larmes aux yeux.

Le grand râleur tourna alors le dos à sa victime et s'éloigna d'un pas énergique.

Papyrus le regardait s'éloigner, tandis que sans s'en rendre compte, il s'était déjà dirigé vers le petit homme à terre se faisant appeler Sans.

Il se retrouva alors en face de lui. Le Sans était toujours à terre, assis, à se frotter ses yeux trempés. Il n'avait toujours pas remarqué la grande présence en face de lui.

Papyrus tandis sa main vers celui-ci, voulant l'aider. Il voulut ouvrir la bouche pour lui parler, le rassurer, mais... Il n'en eut pas le temps.

Le garçon à terre remarqua l'ombre de la main d'un inconnu sur lui, s'approchant petit à petit de lui, ce qui le fit réagir.

-Ne... Ne me frappe pas... S'il te... plaît..., bégaya l'effrayé, et levant ses mains à la hauteur de son visage en guise de défense.

Papyrus était surpris de sa réaction. Ce squelette semblait vraiment avoir été traumatisé... Il ne voulait en aucun cas le lui faire peur, ou encore moins lui faire de mal. Il fit alors disparaître sa mine surprise et lui fit un sourire rassurant, lui indiquant qu'il n'avait rien à craindre avec lui.

Sans, voyant que ce qu'il pensait sentir arriver n'arrivait pas, leva les yeux tout en gardant sa position de défense et vit que son « agresseur » lui tendait la main. Il remarqua de même un sourire, magnifiquement dessiné sur le visage de son interlocuteur, lui inspirant une grande confiance en lui.

Attends, à quoi pensait-il là ? Peut-être est-ce tout simplement une ruse. Ce monstre, étant de la même race que la sienne, pouvait bien lui faire du mal non ? Pourquoi pas ? Il avait l'habitude après tout... Il devait craindre les autres, mais devait-il le craindre lui ? Il sentait pourtant une lueur de bonté en lui. Il l'appréciait, d'un simple regard. Lui tendait-il la main en guise de gentillesse ?

Le petit squelette rougis face à ses réflexions, et à l'idée de pensée qu'il rencontrait quelqu'un de, gentil.

- Qu... Uhm... T-Tu ne me frappes pas... ?, le questionna timidement l'effrayé, commençant à baisser ses bras.

- Eh, ricana d'abord l'interpellé. Pourquoi devrais-je ?

Le squelette à la dent dorée ne répondit point. Il resta un petit moment à le fixer.

Pap n'attendait pas vraiment de réponse de la part du petit. Il poursuivit alors sa phrase.

-Je m'appelle Papyrus. Ça va aller, Sans ?


Voili voilou !

C'est la fin de ce premier chapitre, des avis ?

J'en ai trop dis ? Pas assez ? :o

Si je n'ai pas précisée la couleur de la roche désignée par Pap, c'est totalement normal, je tiens à le dire, je vous voit venir. Je tient à mettre du suspens ! (Oui sur une pu**** de couleur de caillou, oui j'ai pas trouvée mieux , tu te calme Josiane !)

Bref, merci d'avoir lu jusqu'au bout !

Kiss de Renard !