Histoire: Une Touche de Couleur dans le Gris

Livre 1 : Nuancer le noir.

Date: 5 octobre 2016

Beta:
MiaKoTo

Fandom: D Gray Man

Avertissement: Non, je ne possède pas D Gray Man et je ne fais aucun profit avec cette histoire.

Résumé:hum, lisez déjà le premier chapitre, on verra après...


Chapitre 1 : Bienvenue chez les Kamelott

Mon pied tambourinait le sol au rythme d'une musique celtique aléatoire. Alors oui, je stressais un peu. Mais pour ma défense, c'était mon premier entretien d'embauche.

Me forçant à me calmer, je souris timidement à l'homme devant moi.

Sérieusement, je n'aurais jamais pensé que je chercherais un jour un travail comme femme de chambre. Déjà, parce que j'étais plus orientée vers les arts et deuxièmement parce que franchement, qui emploie encore des femmes de chambres de nos jours ?

Et voilà tout le problème. Je n'étais plus dans le bon vieux XXIeme siècle avec tous ses problèmes de pollutions et de fruits chimiquement modifiés. Non, moi, j'avais trouvé le moyen d'atterrir dans le passé.

Parce que sinon ce n'est pas drôle, bien sûr. Qui veut d'une bonne vie normale de lycéenne après tout ?

Oui, alors là je n'ai peut-être pas l'air d'être très stressé, mais c'est parce que je n'ai pas encore digéré ce qui m'est arrivé.

Vous savez, c'est comme lorsque quelqu'un meurt. Vous ne réalisez pas vraiment qu'il n'est plus là jusqu'à l'enterrement. Ou le crématorium. Enfin vous voyez ce que je veux dire, non ?

Enfin bref, j'avais seulement découvert mon état lorsque je m'étais réveillée ce matin-là, chez une vieille dame à la périphérie de la ville. Après m'avoir rapidement expliqué qu'elle m'avait trouvé dans un village voisin détruit récemment par quelques brigands elle s'était alors apitoyée sur mon manque apparent de mémoire. Emue, elle m'avait rapidement envoyé chez son frère, qui travaillait apparemment dans la maison d'un riche noble, pour y trouver du travaille. Elle avait surement dû avoir pitié de moi. On était apriori le 26 décembre (1884 merde !) ici, et la neige et le froid étaient bien présent.

Complètement déboussolée et amusée par le nom de la famille, (Kamelott, comme Road et Sheryl dans D-Gray man. Sérieusement, je ne pensais pas que des gens avaient vraiment ce nom-là…) j'avais suivi le mouvement, menant à l'instant présent.

Ayant sans doute fini de me scruter, le vieille homme commença à m'interroger.

« Eglantine, » Vous savez, la vieille dame qui m'avait recueilli. « M'a fait savoir que vous sembliez avoir des problèmes de mémoires. Vous souvenez vous au moins de votre nom ? »

Heureusement que je me débrouillais bien en anglais, parce que vu le langage archaïque…

Essayant tant bien que mal de former une phrase grammaticalement correcte, je souris une nouvelle fois au vielle homme.

Enfin vieux, ce n'était pas vraiment le cas de le dire. Peut être pour l'époque, avec ses 60 ans bien tassés, l'employé forçait le respect auprès de ses congénères, mais pour moi, malgré ses sourcils froncé à la McGonagall, il me rappelait seulement mes oncles.

« Je m'appelle… Eve Campbell, monsieur. » Re-sourire timide en espérant qu'il m'aide.

Mon nom n'était pas vraiment Eve Campbell… voir pas du tout en faite. Je m'appelle Ennaèl, mais pour l'époque, je pense que ça passerait mal. Et puis, quand tu arrives dans un nouvel endroit sans savoir comment, il faut toujours se trouver un nouvel alias ! Oui, je sais, trop de films d'aventures et de mangas Shonen… mais que voulez vous ? On ne se refait pas.

Ou en tout cas pas souvent. Et vu que ça fait dix ans que je ne lâche plus les mangas, ça risque d'être dur d'arrêter. Quoi que si je reste longtemps dans cette époque… y'aurait moyen.

Par sevrage intégrale. Urgh…

Enfin bon, arrêtons de digresser, j'ai choisit Eve Campbell, parce que D-Gray Man est mon manga préféré et que, vous savez, avec des gens s'appelant Kamelott comme employeur, ça fait un peu private joke.

Mais si je ne suis pas engagée, je repenserais sûrement mon nom, parce que je pense que ça m'énerverais rapidement d'être appelée « Eve » tout le temps. Même si entre les deux, je préférais être engagée, parce que comment est ce que je suis censée me trouver un travaille dans ce XIXeme siècle alors que je n'existe littéralement pas ?

Même si ça me fait du mal de le dire, être engagée par piston est ma seule chance.

Alors décider à obtenir ce poste, je fis de mon mieux pour répondre aux attentes du maître d'hôtel. Même si je n'avais pas vraiment la foi d'être femme de chambre. Non, sérieusement, avez-vous déjà regardé « Gran Hotel » ou « Downtown Abbey » ? Les employés se lèvent aux aurores, se couchent super tard, et sont traités par la plupart des gens comme de la pourriture ! et ils n'arrêtent jamais ! Je ne suis pas sûre de pouvoir suivre le rythme alors qu'il me faut un minimum vital de 8h de sommeil…

Enfin bon, j'essaierais et au pire, je suis sûre que je pourrais faire institutrice en campagne. Vu « la petite maison dans la prairie », j'ai clairement le niveau…

Enfer ! Maintenant que j'y pense, je dois faire partie du groupe intellectuel de la société ! Je connais même plusieurs formules et aspect de la Physique Chimie, de SVT ou des Maths qui n'ont pas encore été inventé !

Waow. Ça fait du bien de se sentir intelligente de temps en temps…

Enfin bon, le vieil homme semble intéressé par ma connaissance du Français. Il explique qu'ils reçoivent souvent des invités d'autres pays et que c'est intéressant pour leur maison d'avoir des employés bilingue. Ce qui je pense est rare à l'époque vu son approbation. Il est encore plus content lorsque je lui dit que j'ai une certaine connaissance rudimentaire de l'espagnol et m'apprends gaiement que son maître parle Portugais. Je ne vois pas trop le rapport…. Peut-être pense il que je pourrais apprendre la langue plus facilement ?

En tout cas, il semble contant alors je préfère ne pas piper mot.

Finalement, à mon grand soulagement, il me souhaite la bienvenue.

Bonne ou mauvaise chose, je suis engagée au manoir Kamelott.


Les premiers jours furent… difficiles. Non, en fait carrément horrible. Sérieusement, je suis même surprise d'avoir pu faire la moitié de ce que j'ai fait : je n'aurais jamais cru avoir l'endurance nécessaire.

Très franchement, la vie comme femme de chambre fin XIXème siècle était comme je le pensais : fatiguant au possible.

Je n'ai même pas pu ouvrir un livre en une semaine ! Pas que j'en ai de livres maintenant… ouah la déprime.

Chaque jour, il fallait être opérationnel à 6h, c'est-à-dire, se lever à 5h30 au maximum. Parce que pour se laver à l'eau froide, il faut avoir la foi… Mais bon, n'ayant pas trop le choix, je serre les dents et j'y vais.

Cependant, on peut se dire que j'ai eu de la chance… les toilettes existent ! J'ai presque pleuré de joie quand je les ai découvertes près de la salle de bain. Une autre maid m'a dit qu'elles venaient d'être installées pour les employer. A priori, l'invention est récente et révolutionnaire.

Je ne peux qu'être d'accord.

Bref, après avoir mangé dans la grande cuisine en compagnie des majordomes, nous rejoignons à 6h précise les responsables des employés qui nous donnent nos tâches à faire.

S'ensuit une frénésie de nettoyage, car tout doit être fini pour 8h au plus tard.

A ce moment-là, certains employés vont réveiller la famille principale pendant que d'autres, dont je fais parti, vont aider aux cuisines et mettre la table.

Pendant que les employeurs dînent, nous allons nettoyer en vitesse leurs chambres. Ensuite, nous obtenons une pause plus ou moins longue, dépendant du travail à faire dans la journée.

A ce moment-là, il est généralement 9h30, et je suis déjà au bout de ma vie.

Après, je suis affectée aux cuisines à éplucher les légumes ou pommes-de-terre pour le déjeuner.

Après le repas, j'aide mes supérieurs dans n'importe qu'elle tache m'étant assigné jusqu'au diner, où je suis envoyé ranger la bibliothèque ou n'importe quelle autre pièce ayant été utilisée dans la journée.

Juste après manger, nous obtenons enfin une pause, et je m'écroule dans mon lit jusqu'au lendemain.

C'est tellement éprouvant, que même le jour du nouvel an, je n'ai pas pu tenir jusqu'à minuit.

Enfin bon, croyez le ou non, mais en une semaine, même en scrutant chaque recoin de la maison, je n'ai jamais vu un de mes employeurs ! A croire qu'ils le font exprès.

Certes, ils n'étaient pas présent mes trois premiers jours mais tout de même…

Bref, cette après-midi, le frère d'Eglantine, qui se trouve être le gérant des majordomes, est venu me voir. Après plusieurs questions concernant ma vie au manoir, il me tendit une enveloppe contenant mes gains de la semaine (ma première paye !) et me dit que je pouvais prendre une pause jusqu'au diner, pour aller voir la ville par exemple.

Extatique, je m'empressais d'aller dans ma chambre pour me changer dans une des vieilles robes que m'avais donné la mère Eglantine avant mon départ et me dirigea dehors.

En ce 3 janvier 1885, il faisait particulièrement doux. Malgré la neige recouvrant le sol et le temps très froid des derniers jours, le soleil avait finalement réussi à percer, et ses rayons réchauffaient gaiement l'atmosphère.

Calmement, je me mis à marcher le long du chemin menant à la grande porte. Très franchement, je ne savais pas vraiment quoi faire de mon temps libre. D'habitude quand j'ai un peu de temps, je prends un ordi et je lis des fanfic, ou j'écris et dessine, mais je ne peux pas vraiment faire ça ici.

Je presse le pas et sort des sentiers battus en espérant arriver à la ville plus rapidement. Il me faut une distraction, et vite. Dans toute la semaine que j'avais passé… he bien… dans le passé, je n'avais pas vraiment eu le temps de penser à ce qui m'était arrivé.

Tout s'était passé si vite ! je ne me souvenais même pas de comment j'étais arrivée là…

Perdue dans mes pensés, je mis un certain moment à remarquer les traces de pas dans la neige devant moi.

Sautant sur l'occasion de me changer l'esprit, je suivis avidement les indices, et arriva rapidement à une petite clairière.

Au milieu de celle-ci, une femme blonde emmitouflée dans une cape blanche qui avait l'air très confortable respirait avec difficulté, assise sur un tronc d'arbre tombé.

Me précipitant à ses côtés avec inquiétude, je l'aidais de mon mieux à réguler sa respiration. Après quelques minutes et une dernière quinte de toux, la femme releva la tête dans ma direction et me sourit timidement.

« Vous allez mieux ? » je demandais en enlevant mes mains de ses épaules, toujours assise à ses côtés.

« Oui, merci » dit elle en se redressant. « Je m'excuse, je semble avoir eu une crise, je pensais pourtant pouvoir au moins aller jusqu'à l'entré.. » soupira-t-elle avec tristesse.

« Il n'y a pas de problèmes. Vous voulez que je vous accompagne au manoir? » je demandais espérant une réponse positive. Je ne voulais vraiment pas être seule avec moi-même.

Elle sembla surprise quelques instants, puis acquiesça en souriant. Je l'aidais à se relever et je pris son bras, offrant mon soutien.

« Alors », commença-t-elle après quelques instants « Que faites vous dans la forêt en plein milieu d'après midi ? »

Repoussant une branche d'arbre de notre chemin, je lui répondis maladroitement. Même après une semaine immergée dans la langue anglaise, j'avais encore du mal à former mes phrases. « Je travaille au Manoir, et le… hum, gérant ? des employés m'a donné mon après midi. Je ne savais pas quoi faire, alors je pensais aller en ville… »

« Ho, cela fait longtemps que vous travaillez au manoir ? » demanda-t-elle nonchalamment en me scrutant du regard.

« Non, une semaine je pense… » dis-je mal à l'aise sous son regard. « Le travail est difficile, mais tout les employés que j'ai rencontré ont été gentil avec moi et j'ai un lit et de la nourriture… » Balbutiai-je.

Son regard s'adoucit et elle m'offrit un nouveau sourire. « Oui, les employés du manoir sont très gentils. »

Ne sachant pas trop quoi dire, je laissais la conversation mourir et me concentra sur le chemin. Ralentit fortement par la neige, nous venions à peine de rejoindre la route principale. Bientôt nous verrions le manoir.

Heureusement, le silence maladroit ne dura pas, et je fus bientôt entrainer dans une conversation très intéressante sur le travail de femme de chambre avec la femme blonde. Je n'avais pas vraiment de connaissance sur le sujet à part ma semaine d'employé et les quelques films et séries que j'avais vu dans le même thème, mais la conversation était intéressante et nourrie par des anecdotes des deux côtés.

Pour la première fois en sans doute une semaine, je ris de bon cœur à ce que disait la femme, et fus presque déçue lorsque j'aperçu la porte principale du manoir.

« Au fait, je ne vous ai pas demandé ce que vous vouliez faire au manoir. » je demandai avec curiosité.

« He bien je rentre chez moi. » dit-elle amusée. « Je voulais allée à la porte arrière accueillir mon mari et ma fille, mais il semblerait que c'était trop difficile pour moi. » expliqua elle tout en grimpant gracieusement les marches menant au manoir. « Comment-t-appelle-tu ? »

Toujours ébranlée par l'implication qu'elle était, en fait, mon employeur fantôme, je mis quelques instants à lui répondre. Pendant ce temps, les portes du manoir s'était ouvertes, et deux femmes de chambres en sortir en courant, s'empressant de faire entrer leur maitresse au chaud.

Haussant les épaules à l'affichage, je décidais d'aller aider aux cuisines, attirée par les promesses d'une soupe chaude.


« Miss Campbell, Maître Kamelott vous attend dans son bureau. » Me dit un majordome avant de sortir de la cuisine.

Une pomme de terre dans une main, un couteau dans l'autre, je clignais les yeux de surprise. Une semaine sans voir personne et puis bim ! le lendemain de ma rencontre avec la maitresse, le maitre m'appelait à son bureau ? Si c'est pas louche ça…

Regardant malheureusement mon tas de patates à éplucher, je tendis le couteau à une autre Maid présente dans la cuisine et partit dans les étages supérieurs.

M'arrêtant quelques instants pour me laver les mains et remettre une mèche rebelle en place (autant faire bonne impression…) je lissais ma jupe nerveusement et toqua à la porte du bureau.

Au son d'un « entrer ! » fatigué, je poussa la porte et entrais dans l'étude confortable.

Il n'y avait personne à l'intérieur de la pièce, mais je pouvais entendre très clairement des bruits de feuilles dans la bibliothèque adjacente à l'étude.

Attendant calmement que le maître daigne me faire l'honneur de sa présence, (non parce que sérieusement, c'était lui qui m'avait demandé de venir ! c'était une tactique d'intimidation ou quoi ?) je laissa mon regard glisser sur le décor d'un air ennuyé… avant de m'arrêter nette, la bouche ouverte.

« Ho mon Die… euh, je veux dire Merlin. »

Oui, Merlin. Non parce que très franchement, mieux vaut pas invoquer Dieu dans cette pièce… ou même dans cette maison. Non faisons mieux et ne le citons même pas dans cet univers !

Engourdie par le choc, je fermais la bouche et essaya un remix de la poker pair de Kaito Kid. Remix parce que malgré tous mes efforts, je devais tout de même avoir l'air convenablement choqué.

Ce qui me fut confirmé lorsque « Maître Kamelott » me lança un regard bizarre en entrant dans la pièce.

Déglutissant sans bruit, je l'observa s'installer dans son fauteuil confortable avec un soupir fatigué. A son tour, il me jugea du regard pendant quelques instants, avant de me montrer la chaise devant lui d'un geste de la main.

Faisant tout mon possible pour ne pas m'écrouler dans le siège indiqué, je plaquais un sourire plus que faux sur mes lèvres et attendis qu'il parle.

« Miss Campbell… M. Clark m'a dit que vous saviez parler français, c'est cela ? » Dit-il en enlevant son monocle.

J'acquiesçais, ne faisant pas confiance à ma voix pour l'instant.

« Comment vous plaisez-vous au manoir ? » dit-il tout à coup dans un français clairement accentué.

« Tout va très bien » articulais-je calmement. Waw, plus d'une semaine sans entendre une seule goute de ma langue natale, ça m'avait manqué.

Il me regarda encore quelques instants avant de me demander si je voulais un avancement.

« Ma femme… » Commença-t-il très sérieusement. « A des problèmes de santé très important. Je souhaiterais lui assigner quelqu'un en tout temps, et comme elle a semblé apprécier votre compagnie hier, j'aimerais que vous remplissiez ce rôle. »

Encore un peu choquée par ma découverte antérieure, je répondis que je serais très honoré de faire ce qu'il m'était demandé.

Il m'expliqua alors mon rôle en détail, mes devoirs, comme mes avantages et une demi-heure plus tard, je sortais du bureau, toujours dans un état second.

Marchant jusqu'à ma chambre, je m'écroulais sur mon lit, notant vaguement qu'Amelie, ma camarade de chambré n'était pas la.

Claquant mon visage dans l'oreiller, je criais le plus fort que je l'osais, étouffant le bruit tout en essayant de m'étouffer moi-même.

Urgh, sérieusement, j'avais bien assez joué à The Legend of Zelda pour le savoir… les coïncidences n'existe pas. Et puis allez, Yuko le dit elle-même, tout est « inéluctable ».

Moi qui avais tant bataillé sur le sujet, je devais bien me rendre à l'évidence.

Parce que sérieusement, qu'elles étaient les chances que je me retrouve dans D-Gray Man ?


Bonjours! Alors voila une nouvelle fanfic :) Vous pouvez remercier MiaKoTo pour la corrections des fautes.

Comme je l'ai déjà dit, la priorité restera sur Une année pour vivre, Mais j'ai juste tellement d'idée pour cette fic! Je ne pouvais juste pas ne pas la faire!

Honnêtement, je ne sais même pas si je pourrais la finir un jours tellement j'ai de choses à marquer... Non sérieusement, on en est déjà à 20 chapitre pour UAPV et on est encore en septembre -_-'
Donc ne parlons même pas de cette fic, dont la période temporel est de 4 ans!

Comme vous avez pu (ou pas) le deviner, cette fanfic se déroulera en deux parties et je vais peux être même commencer la deuxième partie en parallèle, par ce que sinon je pense qu'elle ne verra jamais le jours...

J'ai un plan très détaillée pour les deux parties, il me faut juste la motivation de l'écrire :) Alors n'hésitez pas à m'inonder de review (bonne ou mauvaise, j'aime les critiques constructives) ça m'aiderait vraiment!