Chapitre 1 : L'arrivée
Petite note : Tous les personnages appartiennent à leur auteur (Stephenie Meyer), seuls les nouveaux personnages sortent de mon imagination.
Il s'agit de ma première Fanfiction, alors je vous prie d'être patient et sympa, cela fait des années que j'ai lu les livres alors ne soyez pas étonnés si vous rencontrez des oublis ou des faits quelques peu vagues.
Bonne lecture à tous, les critiques constructives sont les bienvenues. Donnez-moi votre avis sur l'histoire.
Ps: Je préviens, je ne suis pas une grande fan de Bella et bien que je ne prévois pour l'instant pas de me lancer dans une critique dans cette histoire, il se pourrait bien qu'elle prenne quelques mauvais cotés dans le futur (cela reste à voir).
Seattle – Aéroport – 14H35
Charlie Swan, plus connu sous le titre de chef Swan attendait avec impatience que sa nièce sorte de son avion. Nièce qu'il n'avait pas vu depuis quelques années mais avec qui il correspondait régulièrement.
Il avait reçu un coup de téléphone quatre mois plus tôt de la part de sa belle-sœur qui vivait en France et qui lui demandait si sa fille pouvait passer les deux prochaines à Fork dont une au lycée de la ville et ce pour préparer une entrée en faculté aux états unis.
La jeune fille avait déjà une autre amie qui se proposait de l'héberger mais son frère et sa belle-sœur préféraient grandement que leur fille soit avec un adulte qu'ils connaissaient et en qui, ils avaient confiance. Voilà comment il s'était retrouvé à attendre sa nièce à l'aéroport de Seattle. Son vol avait atterrit depuis une vingtaine de minutes déjà, et certains voyageurs commençaient enfin à sortir.
_ Bonjour oncle Chuck, salua une jeune fille à sa gauche
Surpris Charlie Swan tourna vivement la tête vers la jeune fille qui venait de s'adresser à lui. D'environ 17 ans, elle avait de longs cheveux châtain foncés, quasiment noirs, détachés et plutôt long, qui entouraient un petit visage ovale avec des joues rondes. Elle avait des yeux en amandes et des iris vertes, un vert foncé comme la mer en colère. Son teint n'était pas blanc pâle comme Bella mais pas non plus très mate, pour Charlie, elle ressemblait simplement à une jeune fille en bonne santé. Le fait qu'elle arborait un sourire lumineux en lle ragardant ne faisait qu'ajouter à sa beauté. Il se prit soudainement à souhaiter que sa fille, Bella, soit aussi avenante que cette jeune fille.
_ Wow Lalita, heureusement que tu m'as reconnu parce que sinon j'aurais attendu longtemps. Tu as tellement grandi, déclara-t-il en se frottant l'arrière de la tête.
_ Merci oncle Charlie, en même temps cela fait presque dix ans que tu n'as pas mis les pieds en France, répondit-elle en l'enlaçant.
_ Donne-moi tes bagages, nous partons, annonça Charlie en prenant des mains la valise de sa nièce, alors qu'il allait la débarrasser de son bagage à main, un cabas en cuir qu'elle portait en bandoulière à l'épaule, Elle protesta :
_ Cela ira oncle Chuck, ma valise est déjà bien assez lourde pour toi, dit-elle. On partage la charge.
_ Bien ! Suis-moi, acquiesa t'il.
Charlie les conduisit vers un pick-up de police comme ceux des rangers à la télé, pensa Lalita en montant.
_ Cela fait moins d'une heure que j'ai posé les pieds sur le territoire américain et je suis déjà dans une voiture de police, se moqua-t-elle
_ Il y a intérêt à ce que cela ne devienne pas une habitude, dit-il faussement sévère, ce qui la fit rire.
Le trajet continua dans un silence confortable, Charlie avait mis la radio en fond pour se détendre, des chansons des Rolling Stones et des Beatles passaient en boucles. Alors qu'ils dépassaient la pancarte « Bienvenue à Forks », Charlie brisa le silence.
_ Au fait, je ne sais pas si tes parents te l'on dit mais en ce moment Bella vit avec moi.
_ Bella ? Répéta-t-elle en haussant un sourcil
_ Isabella, ma fille avec René, précisa t'il
_ Oh oui pardon, j'avais oublié qu'elle préférait être appelé Bella. Pas de soucis, ça me fera un peu de compagnie féminine, déclara-t-elle avec un sourire.
_ Et bien, féminine certes, mais compagnie je n'en suis pas sûr. Au vu de son regard curieux, il ajouta, elle vient de rompre avec son petit ami, une histoire plutôt moche.
_ Oh ! La pauvre ! Quel salaud ! S'exclama Lalita dans la voiture ce qui fit amena un léger sourire sur les lèvres de Charlie.
_ Et bien c'était en fait de sa faute à elle, annonça t'il dans ton un peu sombre et les sourcils foncés. Je dois bien t'avouer que j'éprouve bien plus de peine pour lui, que pour elle en ce moment. Il s'arrêta quelques secondes pour choisir ses mots, elle a beaucoup changé alors ne le prends pas mal si elle n'est pas très ouverte avec toi.
_ D'accord et puis ne t'en fait oncle Chuck, je suis une grande fille, il n'a aucune raison pour que nous ne devenions pas amies et puis si cela ne l'intéresse pas, je m'efforcerais de ne pas la déranger.
_ C'est gentille de ta part, tu es suûr de bien âtre la fille de mon frère, se moqua t'il
_ Certaine, j'ai un caractère de cochon au réveil et je mange comme six. Maman me le rappel assez souvent, répondit-elle.
_ Nous sommes arrivés. Dit Charlie en garant la voiture devant une maison sur deux niveaux typiquement américaine.
_ O.k., sans vouloir t'offenser oncle Chuck mais ta maison est d'un cliché ! Ria t'elle devant l'air éberlué qu'il fit. Non mais franchement, une maison à un étage dans une banlieue, qui je suis sûr, est tranquille avec des maisons qui se ressemblent toutes. C'est tellement américain, je suis sûr qu'il ne manque que le chien pour compléter le reportage. Et cette camionnette à la couleur horrible…
_ Hey je te ferais savoir que cette camionnette est en parfais état de marche, s'exclama Charlie
_ Du calme, je ne fais que critiquer sa couleur, un bon coup de peinture : bleu nuit ou vert émeraude lui riait bien, ça ferait plus impressionnant, je suis sûr que les autres camionnettes arrêteraient de se moquer d'elle. Non parce que l'orange rouille, ce n'est pas top pour se trouver un bon par choque.
_ Moque toi, moque toi ! Tu es bien la fille de ton père. Votre humour ne vole pas haut.
_Hey ! I resent that ! Je te ferais savoir que mon humour est incroyable. Les américains ne comprennent rien à l'humour français. I'll let you know my humor is amazing. You Americans don't understand the French humor, seriously!
_ Entre avant que je ne te montre ce que, nous, américains faisons pour s'amuser !
Charlie montra sa chambre à Lalita. C'était un espace totalement ouvert situé dans le grenier, aménagé un mois auparavant. Les fournitures étaient en bois banc. La fenêtre donnait sur la forêt et une banquette permettait de s'installer juste dessus et de profiter de la vue. (une idée de chambre à associer à la mezzanine et à décorer selon ce qui est décrit .fr/pin/38632509287737038/). Les rideaux et les coussins étaient bleu nuit dorés. Un voile blanc transparent entourait le lit a baldaquin posé contre un mur d'un coté de la pièce. Des lanternes de toutes les taille et couleurs parsemaient les murs et le plafond de la pièce. Un espace servait de petit bureau avec une table en bois de type que nue l'on pouvait trouver dans les ateliers d'artistes, une table haute accompagné de chaises de bar. Une salle de bain avait été aménagée dans une petite pièce adjacente. Un paravent séparait la chambre de la parie dressing. Enfin un énorme attrape rêve avait été accroché sur le mur au dessus du lit.
Lalita trouvaient sa chambre parfaite, très hippy chic.
_ J'espère que cela te convient, ta mère m'as dis que tu adorait les mélanges ethniques et que je me suis dis qu'un coté luxueux ferait un peu plus féminin.
_ Je l'adore sincèrement, c'est parfait mais je ne savais pas que tu t'y connaissais en décoration, lui répondit-t-elle en souriant
_ Que crois tu, nous américains avons le design dans le sang, il n'y a pas que les français! ria t-il adossée à la porte avant de continuer en se redressant; Plus sérieusement, et ceci reste entre nous car je ne veux pas que Bella l'apprenne, j'ai demandé à la mère d'Edward, l'ex de Bella, de m'aider. Elle restaure et décore des maisons, je n'ai fait que lui dire ce que tu aimais suivant les indications de ta mère et elle a crée ça.
_ Wow, elle a vraiment du goût. Et merci oncle Chuck, d'avoir fait ça pour moi, alors que tu ne devais pas être à l'aise, ajouta la jeune fille en l'embrassant sur la joue.
Embarrassé, Charlie se dirigea vers la porte en prévenant la jeune fille qu'il la laissait se reposer et s'installer.
Alors qu'il s'apprêtait à descendre les escaliers,
_ Oh oncle Chuck ! Quand pourrais-je rencontrer Bella?
_ Elle est ce moment chez des amis, tu la verras ce soir, lui répondit-il en descendant.
Lalita sourit avant de se tourner vers sa chambre pour les futurs mois à venir.
