Salut tout le monde! Et non, je ne suis pas morte. Je vous accorde que ce chapitre est très court contrairement aux autres. Cependant c'est plus un chapitre pour vous rassurez. Je n'abandonne pas mes différentes histoires, on va dire que pour le moment je suis dans une période de lecture extrême (J'en dors plus tant je me laisse séduire par les fics). Du coup j'ai un peu de mal à décrocher pour écrire. Mais je vous rassure tout de suite, dès que mes cours, et tout autre occupation me laisseront plus de temps (que je n'aurai pas de temps libre à partir de 23 heures) j'écrirais. Sur ces bonnes paroles, bonjour, bon soir et bonne nuit à chacun de vous, moi je retourne à mes devoirs. :)

Oh et n'hésitez pas à me signaler les fautes (j'avoue ne pas avoir eu le temps de corriger) et n'hésitez pas à laisser un petit commentaire.

Donc pour Claraseth voici la suite demandé. Et Ccbandedenouille tu as l'explications de l'absence de suite.

Sur ce, bonne lecture :)


Lorsque je me suis réveillé au creux des bras de Reborn, j'avais oublié tout problème, toute chose existant en ce monde. Seul Reborn emplissait mon esprit, sa chaleur, le bien être qu'il me faisait ressentir, le bonheur de ses bras autour de mon corps, le plaisir de toucher son torse, son corps sans que cela soit due à un combat.

« La marmotte daigne se réveiller ? » Un léger sourire vint fleurir sur mon visage tandis que je me lovais un peu plus dans les bras de mon cher et tendre.

« Je n'ai plus le droit au merveilleux réveil de mon cher tuteur ? » J'avais tenté d'être le plus ironique possible, mais faut avouer que cela était plus sa spécialité à lui.

« Ne rêve pas trop. Seuls les derniers événements m'ont empêché de me comporter en tuteur. »

« Dis plutôt que tu m'aimes trop pour être sadique avec moi. » Ma réplique fut récompensée d'une tape sur la tête qui eut le mérite de me faire rire.

« Parce que tu crois que je t'aime que depuis hier ? Mon amour pour toi ne m'empêchera pas de rester le tuteur sadique et autoritaire. Mais d'être ton conjoint me permet de céder lorsque je sais que la situation le mérite. »

« Oh ~ Et la situation mérite quoi d'autre ? » Je ne sais pas comment la situation avait pu en arriver là, mais notre conversation avait l'air de tanguer entre flirt et leçon de morale.

« Idiota. » Ses lèvres se posèrent sur les miennes avec une délicatesse que je ne lui connaissais pas.

« Les enfants ! Le petit déjeuner est prêt ! » L'appel de ma mère nous fit sortir de notre petit cocon.

« Il faut croire que tu ne pourras me montrer toute les joies de t'avoir en compagnon maintenant. »

« Qui est le pervers maintenant ? Allez, file t'habiller. A moins que tu ne veuilles que tout le monde ne voit à quel point tu m'appartiens ? »

Je me sentis rougir de la tête au pied avant de me jeter sur le premier haut qui me passait par la main. Le destin choisit que j'enfile une chemise de Reborn. Je le vis soupirer du coin de l'œil avant de sortir une autre chemise de l'armoire et de l'enfilé.

J'observais cet être si sublime qui s'habillait avec un érotisme dont je ne pense pas qu'il ait conscience. Du moins je ne pense pas qu'il sache qu'il est si sensuel. Il tournait la tête vers moi tout en finissant de nouer sa cravate noire.

« Tu devrais mettre un pantalon. Quoi que maintenant ton surnom de Dame-Tsuna prend tout son sens en français. »

Nié ? Devant mon air niais il m'expliqua ce qui signifiait le mot "Dame" en français.

Je me tournais vers le miroir pour me voir mais j'eu le sentiment d'observer une jeune fille ayant piqué des vêtements à son copain. La chemise me donnait l'air de portée une tunique et accentué mon côté efféminé. Dans le miroir je vis le reflet de Reborn se rapprochait. Il transforma Léon en corde et l'enroula au niveau de ma taille. Une étincelle de désir pris place dans ses yeux.

« Peu importe ton apparence, tu restes sexy ~ » Sa voix était rauque, envoutante. Je n'arrivais à détacher mes yeux des siens. Mon cœur battait de plus en plus vite. « Il est temps de descendre ma Dame, il ne faudrait pas être en retard au repas. »

Son sourire devint moqueur tandis qu'il quittait la pièce. J'enfilai rapidement un jean avant de le poursuivre.

« Reborn ! Je ne suis pas une fille ! »

Je fus accueillie dans la salle à manger par son sourire moqueur.

« Une nouvelle tunique, ma puce ? » J'entendis Yamamoto et ma mère pouffaient. Je me saisis de ma 'ceinture' et lui jeta à la figure avant de tenter de quitter la pièce.

« Ohayo Juudaime ! » Je me retrouvai fasse à un Hayato rouge cramoisie.

« Ohayo Hayato. Tu es tout rouge, tu as de la fièvre ? »

Je me rapprochai de lui pour vérifier ma théorie et je le vis reculer en bégayant, alternant son regard entre Reborn et moi.

« Oh, je vois. »

Je me sentis rougir de la tête au pied. Je m'installai à table, n'osant plus regarder personne. Ce que cela pouvait être gênant !

Je mangeais tranquillement mon petit déjeuner, réfléchissant à tous les derniers évènements, tentant d'oublier que toute la maison savaient ce qu'il c'était passé entre Reborn et moi hier soir. Mes yeux s'écarquillèrent de stupeur.

« Reborn … Est-ce vraiment moi qui est ordonné à Mukuro de tuer deux hommes ? Ils souffraient, c'étaient des enflures de premières … Mais … »

Sur le coup je n'avais pas vraiment pris conscience de mon acte. Mais il n'en restait pas moins que j'avais donné l'ordre de tuer deux hommes. Comment avais-je pu ? J'étais un monstre ! Comment pouvais-je avoir commis un tel acte en me donnant des excuses pour cet acte. Même pour Byakuran je m'en étais voulu et j'avais été soulagé de voir que le futur ayant été modifié il allait rester en vie. Mais là je ne pouvais plus modifier les choses … J'avais tué deux hommes, sans remord et j'avais pris plusieurs jours à en prendre conscience …

Moi qui n'aspiraient qu'à changer cette mafia … J'avais fait de l'un de mes hommes un meurtrier … Comment avais-je pu ? Comment cela n'avait pu choquer aucun d'eux ? La mafia avait-elle déjà autant d'impact sur chacun de nous ? Il va de soi que Reborn et un tueur à gage et Mukuro un meurtrier mais … Jusqu'à lors chacun de leurs crimes n'avaient pas été fait suite à l'un de mes ordres … Qu'étais-je devenu ?

« Je suis finalement ce que mon père voulait. » Je suis comme lui, je ne suis qu'un meurtrier …