Chapitre 13
Lou PDV
À peine le temps de frapper à la porte des Black qu'elle s'ouvrit immédiatement. Je n'en croyais pas mes yeux je me retrouvai face à face avec lui, ce garçon que j'avais rencontré au mariage de Bella. Je n'avais pas trop réussi à le cerner dans le noir, mais je compris vite que ce garçon est le fils de Billy, Jacob. Il ne ressemble plus du tout à l'adolescent qu'il y avait sur la photo que Bella m'a montrée. C'est un homme qui ce tien devant moi maintenant enfin un homme… pour moi c'est un dieu… tout est si parfait chez lui, ses yeux d'un noir si intense, son corps si muscler, sa peau d'une couleur caramel… que tu as envie de croquer. Soudain, je rencontre son regard, impossible de m'en défaire.
Il me regardait bizarrement, je n'arrivais pas à d'écrire son regard, dans son regard il y avait du doute, de la curiosité et de l'émerveillement .
J'avais cette impression de l'avoir connu toute ma vie…
—Jacob, dit mon père surpris, ça fait du bien de te revoir dans le coin mon garçon. Lui dit mon père alors que Jacob continuer toujours à me regarder. Jacob avait enfin compris que mon père lui parlé, il me quitta des yeux et regarda mon père.
—Vous avez des nouvelles de Bella, lui demanda-t-il directement.
—Oui, ils prolongent leur voyage de noces, elle a chopé un virus, ils veulent attendre qu'elle aille mieux avant de reprendre l'avion.
—Elle est malade ?
—Elle m'a dit de pas m'en faire mais elle semblait… dans les vapes. Mon père lui expliqua.
—Elle va s'en remettre papa t'inquiète pas, lui dis-je pour le rassurer.
—Je l'espère, Jacob je te présente ma fille Lou, Lou je te présente Jacob le fils du vieux débris qui se trouve dans la maison.
—Tu sais ce qu'il te dit le vieux débris ! Cria Billy qui était dans la maison.
Jacob reposa son regard sur moi, mais cette voici son regard avait changé. Je pouvais y voir de la curiosité et de la haine. Qu'est-ce que je lui
ai fait pour qu'il me regarde comme ça ?
—On se connaît papa, informe-je Charlie.
—Ah bon, dit Charlie surpris. Mais d'où ?
—On sait croiser au mariage…
—Oh, d'accord.
Billy arriva derrière son fils
—Charlie, Lou entrait, nous invita Billy avec un grand sourire, Jacob bouge tes fesses de devant la porte on peut plus passer tellement que tu prends de la place, repris Billy.
Jacob n'avait toujours pas bougé;
—Jacob ? interrogea son père.
—Euh, oui pardon, marmonna-t-il. Il se décala pour nous laisser passer, il passa devant moi et prit la direction d'un vieux hangar qui se trouve derrière la maison.
J'étais tellement distrait par Jacob que j'avais oublié mon louveteau dans la voiture.
—Euh papa j'arrive tout de suite j'ai oublié Amarock dans la voiture, je préviens mon père. Je fermai la porte de la petite maison et pris la direction de ma voiture.
J'avais à peine ouvert la porte de la voiture que Amarock bondit sur le sol est se met à courir avec ma machine j'eus du mal à le suivre mais j'ai vu qui se dirige vers le vieux hangar là où se trouver Jacob !
J'essayais du mieux que je pouvais à me déplacer rapidement, mais avec toute cette boue qui se prenait dans les roues de ma machine c'était difficile, une fois arrivée devant la porte du hangar je la pousse légèrement. À l'intérieur, se trouver je pense un garage, il y avait des outils partout, des pièces de voitures, des taches de cambouis et d'huile sur le sol. Et devant moi se trouver Jacob qui était debout avec Amarock le portant par la peau du cou et il le regardait droit dans les yeux.
—Je peux savoir ce que tu fais avec ce louveteau . Me demanda Jacob, comment aurait-il pus savoir que c'était le mien ?
—Et toi je peux savoir ce que tu fais à le porter comme ça ! Repose-le tu vas lui faire mal ! lui criai-je dessus.
—Mais non, ne t'inquiète pas, la louve porte ses petites comme ça quand il n'arrive pas à surmonter un obstacle. Et je te repose la question qu'est-ce que tu fous avec un louveteau, me dit-il en tournant la tête vers moi. Il avait un regard assez sévère.
—C'est Charlie qui la trouver dans la forêt, sa mère est morte, il m'a proposé de le garder et j'ai accepté maintenant repose l'a terré !
—Tu aurais dû le laisser dans la forêt, ce n'est pas un chien mais un loup. Je te conseille de le remettre dans la forêt.
—Mais bien sûr allons le remettre dans la forêt pour qu'il se fasse manger par d'autres bêtes, ou pire que des chasseurs le trouvent et le tuent mais en voilà une bonne idée ! Lui dis-je sarcastiquement.
—C'est la loi de la nature c'est tout. Me dit-il en le reposant à terre.
—Oui peut être, mais je refuse, je le garde point final et ce ne sont pas tes affaires. Soudain Jacob s'approcha dangereusement de moi, ce qui me fit reculer.
—Ce sont mes affaires parce que les loups d'ici sont protégés par ma tribu, alors je te conseille de le remettre là où Charlie l'a trouvé. Me dit-il plein de haine.
—Non je le garde ! Est-ce que tu sais ce que ça fait d'être toute seule toute la journée sans personnes à qui parler ?! Et bah moi c'est ce qui m'arrive et ce louveteau est la meilleure chose qui me soit arrivé depuis que je suis arrivé ici. J'ai la chance de pouvoir en prendre soin et ce n'est pas donner à tout le monde d'élever un louveteau. C'était ça où il l'aurait mis dans un zoo. Tu crois vraiment qu'il aurait été plus heureux en cage ?! Je pense pas alors au lieu de critiquer, essayer de voir le bon coter des choses! Plus je parlais, plus Jacob s'approcher de moi… Et pour être franche je commence à avoir peur. Je craignais le pire mais je m'attendais pas du tout à ce qui arriva.
—Pourquoi à tu cette machine et un tuyau ? Me demanda-t-il doucement.
—J'ai un cancer de la thyroïde, stade quatre plus précisément en phase terminale et en plus de ce cancer, j'ai des nombreuses métastases qui font en sorte que ces derniers remplissent mes poumons d'eau et rende l'oxygénation difficile. Je suis donc obligée de me promener avec une machine à oxygène tout le temps.
—Depuis quand es-tu comme ça ? Demanda-t-il, dans son regard il y avait de la tristesse mais je pense que c'était plus de la pitié comme toute réaction de gens à qui j'explique ce que j'ai…
—Depuis l'âge de six ans. Lui dis-je doucement.
—Et tu vas guérir .
—Sincèrement ? lui demande-je.
—Oui s'il te plaît.
—Non.
—Mais il y a forcément des remèdes nous avons évolué dans la médecine maintenant.
—En vérité non… quand tu es en terminale, c'est fini ils ne peuvent plus rien faire pour toi.
—Et la chimio ?
—J'ai arrêté il y a un moment, à quoi ça sert de s'intoxiquer alors que tu sais que tu vas y passer .
—Ça te maintient en vie plus longtemps au moins.
—Non ça me fait perdre juste mes cheveux…
—J'aurais aimé pouvoir t'aider.
—Pourquoi on se connaît à peine, c'est vrai pourquoi voudrait-il m'aider ?
—Parce que je le veux.
—Malheureusement tu peux rien faire, je suis condamné.
PDV Jacob
Je n'arrivais pas à me reprendre en main mon loup prend le dessus à chaque fois que je voulais prendre la parole. Il me faisait ressentir des choses que je n'avais pas envie de ressentir. Mon loup l'a trouvé tellement jolie, avec ses grands yeux de couleur chocolat, ses cheveux brun et long. Il faut que j'arrête de divaguer et que je me reprenne en main.
—Malheureusement tu peux rien faire, je suis condamné.
—Rassure-toi, il y a des centaines d'autres personnes qui sont comme toi.
Je sentis mon loup grognait intérieurement à ce que je venais de dire. En levant les yeux je vis le regard de Lou…
Dans son regard il n'y avait rien d'autre que de la tristesse et du dégout. Mon loup grogna de plus en plus, il était en colère contre moi pour avoir dit ça à notre imprégnée enfin SON imprégnée !
—Je sais pourquoi tu es comme ça… Tu étais et je pense que tu es amoureux de ma soeur, et tu le prends très mal son mariage. Mais sache que j'y suis pour rien donc ne te sans pas obliger, être un sale con ! Me dit-elle énervée.
—Tu ne sais rien de moi, alors évite de débarquer comme ça dans mon garage en croyant tous savoirs ! Je lui hurlais dessus.
—Pourquoi est tu comme ça tout ce que je veux c'est t'aider, me dit-elle tristement.
Mais quand va-t-elle comprendre que je veux de l'aide de personne tout ce que je veux c'est qu'on me foute la paix !
—Mais je n'ai pas besoin de toi ! Ce n'est pas en arrivant ici, comme une fleur bleue que je vais me confier à toi comme si tu étais une psy ! Alors dégage d'ici et évite de revenir. Mon loup se manifester de plus en plus si je continuais à lui parler comme ça j'allais exploser devant elle.
Mon regard tomba dans le sien et je vis des larmes tombées mais elle les effaçait d'un coup de main.
—Très bien reste comme ça ! Mais il faut que tu saches que tout le monde souffre de te voir comme ça ! Ton père est dans un état que normalement une personne comme lui ne devrait pas être ! Alors vu que tu n'es pas foutu de prendre soin de lui je le ferrais à ta place, tu ne seras pas débarrassé de moi aussi facilement. Fais ce que tu veux de ta vie à près tout ce n'est pas la mienne, mais sache un truc, même si j'aime ma soeur il faut que tu sache que derrière ses airs de petite ignorante et douce elle est extrêmement manipulatrice quand elle sait ce qu'elle veut, elle fait tout pour l'avoir et croit moi quand je te dis ça, tu ne la connais pas aussi bien que moi, me dit-elle en partant à grands pas loin de moi.
Coucou tout le monde je suis vraiment désolé pour ses longs mois d'absence, mais je reprends l'écriture donc je vais essayer de vous poster un chapitre assez régulièrement. Je sais que celui-ci et cour mais j'espère qui vous plaira bonne lecture. xoxo