Ami lecteur, amie lecrice, si tu viens de cliquer sur ce lien par hasard,

Laisse-moi t'en dire plus sur l'histoire qui va suivre avant que tu commences la lecture.

Déjà, merci d'être là et bienvenue !

Ensuite, sache que Bras de Fer se situe après Civil War donc attends-toi probablement à des spoilers, quoique les quatre premiers chapitres ont été écrit avant la sortie du film.

C'est ce qu'on appelle une crack-fic, c'est-à-dire une fiction à la limite du parodique et qui tend vers le gros n'importe quoi. Pour faire simple, j'ai écrit en mode yolo ! Ça ne se veut pas sérieux du tout !

Je ne mets pas le pairing/ship/couple final dans le résumé pour ménager le suspens. Ça ne serait pas drôle autrement :) Qui va gagner ? Mystère !

C'est une fic classée dans les films Avengers parce que toute l'équipe va venir faire une apparition dans la deuxième et troisième manche :)

L'histoire s'articule en trois manches. (Je ne sais pas s'il y a des manches dans les vraies tournois de bras de fer, mais ici oui). Dans la première manche, les chapitres alternent entre le point de vue de Sam et celui de Bucky, chacun cherchant à gagner des points (c'est-à-dire gagner l'amour de Steve).

C'était sensé être une histoire courte de 25 pages maximum – haha, who am I kidding ? Je croyais avoir pêché une dorade et me voilà avec un calamar géant au bout de mon hameçon… (Je n'arriverai jamais à faire un OS, tristesse) Cette histoire devient HORS DE CONTRÔLE, À L'AIDE !

J'ai commencé à écrire ce calamar, mmmh – pour faire bref, l'idée a surgi lors d'une conversation avec HyperRaspberry ! Vous connaissez ses fics ? Si vous aimez ce chapitre, faites-moi plaisir, allez faire un tour chez elle. Elle est adorable, elle écrit des fics vraiment drôles (avec des références ! de la musique ! des femmes !) super cools, je vous la conseille.


Bras de Fer

Première manche


Sam : 1 POINT


"Je pense qu'on devrait proposer à Sam de venir habiter avec nous" lança Steve par-dessus son épaule lorsque Bucky entra dans la cuisine.

C'était l'une des pièces communes aux Avengers qui habitaient dans la résidence – c'est-à-dire lui, Steve, Wanda, Pietro et Vision. Il était à peine sept heures du matin. Bucky n'avait jamais été matinal, contrairement à Steve qui, en jogging et tee-shirt moulant indécent, revenait de son jogging, et il mit quelques secondes à comprendre la portée de ses paroles.

"Quoi ? Sam ? Wilson ? Le Faucon ? Ici ?"

"Ouais." Steve appuya sur le bouton de la machine à café. Après une explication de Tony, de Rhodes et de Vision, il avait réussi à comprendre son fonctionnement mais il était toujours très concentré lorsqu'il l'utilisait, front plissé, sourcils froncés.

Pendant que la cafetière ronronnait, il se prépara un milkshake et expliqua à Bucky tout en jetant pêle-mêle fraises, myrtilles et framboises dans le mixer : "Puisqu'il fait officiellement partie des Avengers maintenant, il pourrait se rapprocher. J'y réfléchis depuis qu'il m'a dit qu'il peut obtenir une promotion à l'Assoc' des Vétérans de New York. Ça serait plus simple pour lui et plus sympa de l'avoir là. Qu'est-ce que tu en dis ?"

Bucky n'aimait pas du tout l'excitation sous-jacente dans la voix de Steve pendant qu'il exposait sa brillante et lumineuse idée.

Pourquoi tu penses à Sam pendant tes jours de congé, pensa-t-il avec amertume avant de s'apercevoir que Steve le regardait et guettait son avis. Il se frotta le visage pour lisser les plis du sommeil et retint un Je n'ai pas spécialement envie que le Pigeon de DC vienne s'installer ici, ce que Steve aurait trouvé désobligeant et pas très sympathique.

Après tout, Sam n'avait rien fait de personnel à Bucky.

C'était même plutôt l'inverse. C'était lui avait détruit sa voiture, qui avait tenté de lui tirer dessus, qui lui avait arraché une aile et l'avait balancé dans le vide à plus de sept cent mètres d'altitude. Alors que Sam avait retourné ciel et terre pour aider Steve à le retrouver.

C'était justement ça qui dérangeait Bucky. Ces petits détails, mis bout à bout, ne semblaient plus si innocents. Steve avait raconté leur rencontre et cela ressemblait plus à un flirt en bonne et due forme qu'à une discussion cordiales entre deux inconnus – dans le temps, Bucky avait été un sacré dragueur, il s'y connaissait en flirt !

Mais il garda ces pensées pour lui.

Lorsque Steve lui avait expliqué que Sam avait repris ses ailes pour l'aider à enrayer les plans d'HYDRA, Bucky avait trouvé ça aussi généreux que douteux. Mais que Sam remue ciel et terre pour le retrouver lui, un type qu'il ne connaissait pas et qui avait voulu le tuer trois fois, Bucky trouvait ça carrément suspect ! Et cette façon qu'avaient Sam et Steve de se sourire ou d'échanger des vannes… Ça l'insupportait.

Quelqu'un de moins charitable aurait pu dire que Bucky était jaloux que Sam ait pris dans le cœur de Steve la place de nouveau-meilleur-ami mais celui-ci avait pris soin de clarifier les choses dès le début : personne ne pouvait remplacer Bucky dans son cœur. Il était et serait toujours son seul-meilleur-ami-et-frère-de-cœur.

Et c'était bien ce qui inquiétait Bucky. Car si lui gardait sa place immuable dans l'affection de Steve, celle de Sam était amenée à évoluer. Et pendant que lui resterait éternellement comme ami et frère, une situation autant chérie que maudite, Sam pourrait conquérir le cœur de Steve sans craindre aucune concurrence.

Oh, Steve pouvait bien sortir avec qui il voulait. Ce n'était pas Bucky qui allait se plaindre, après toutes ses tentatives échouées d'avant la Guerre pour le caser. Et s'il voulait sortir avec un Pigeon rouge à lunettes teintées… Grand bien lui fasse. Mais tout de même, quelque chose le chiffonnait dans cette affaire. Et qu'on ne lui fasse pas remarquer qu'il était jaloux ! Il était un adulte mature et responsable qui avait laissé sa vie d'esclave d'HYDRA derrière lui ; ça ne l'empêcherait pas de coller une baffe métallique à quelqu'un, surtout à sept heures du mat' –

"Bucky ? Hé oh ! T'en penses quoi ?"

Celui-ci écarquilla les yeux, brutalement rappelé à l'ordre.

"Tu es sûr que tu as bien dormi ?" s'inquiéta Steve. "Tu as une petite mine. Tiens, prends un smoothie, ils sont délicieux !"

"Merci" grogna Bucky, assommé de sommeil et rendu docile par la voix soucieuse de Steve. Il prit le gobelet en plastique machinalement.

"Mauvaise nuit ?"

"Ouais, comme toujours…"

"Je t'ai entendu vers trois heures..."

"Mmmh sûrement…"

"Je t'ai déjà dit de ne pas hésiter à venir me voir si t'avais besoin d'aide."

"Tout va bien, Stevie, tout va bien, ne me prends pas la tête dès le matin s'te plaît…"

Bucky ne comptait plus ses cauchemars. Il sirota son smoothie, appréciant le sucre des fruits sur son palais.

Steve repartit à la charge : "Et pour Sam ? Ça te dérange pas qu'il vienne ?"

Bucky avala sa gorgée de travers et toussa. "Heu, non non, pas du tout mais… Je ne vois pas où il pourrait dormir. Tu n'as pas peur que –"

"Que quoi ?"

"Qu'à force d'accepter du monde, on se retrouve à empiéter les uns sur les autres ? On est déjà assez serrés…" finit Bucky maladroitement.

Steve jeta un regard circulaire. La pièce était vide. Personne d'autre qu'eux dans l'immense cuisine aux plans de travail rutilants aussi longs qu'un tremplin de saut à ski. Personne dans le salon de quatre-vingt mètres carrés aux six canapés, cinq fauteuils, deux tables, quinze chaises, deux étagères à DVD et une télé format cinéma.

"Il reste la suite du troisième étage. Je pense que Sam appréciera d'être en hauteur et elle me semble assez grande" dit Steve, la voix plus réservée maintenant que Bucky hésitait.

Chaque suite faisait au minimum quarante mètre carrés.

Protester sur l'espace vital nécessaire à chacun était aussi vain que ridicule. Tony Stark n'avait pas lésiné sur les moyens. Ça lui avait permis d'apposer une plaque en bronze à l'entrée de la résidence pour s'auto-féliciter de la construction du complexe, avec son portrait de profil et un texte dégoulinant d'éloges que lui seul avait pu écrire.

"Ah oui !" Bucky se frappa le front de sa paume de chair dans une parodie de surprise. "Cette suite-là ! Je l'avais oublié ! Je trouve que tu devrais lui proposer Steve, c'est une excellente idée !"

Son sourire forcé et son ton faussement enthousiaste étaient si peu convaincants qu'il eut peur d'être pris en flagrant délit d'hypocrisie mais Steve, tout à la satisfaction d'être approuvé, ne s'en aperçut pas.

"Je vais l'appeler alors ! Hum, quand il fera jour. Je suis pratiquement sûr qu'il va accepter. Tiens, tu veux du café ? Du milkshake ?"

Il rayonnait. Cela lui arrivait beaucoup plus souvent depuis que son vieil ami était venu prendre ses quartiers dans la résidence Avengers.

"Franchement Buck, ça me ferait tellement plaisir de vous avoir tous les deux réunis auprès de moi !"

Bucky s'obligea à sourire en retour. Heureusement que Steve se concentrait pour jongler entre le café et le milkshake car son rictus avait une apparence cannibale. Prêt à déchirer la jugulaire de Sam dès qu'il passerait la porte avec ses bagages.

Je ne peux pas en dire autant, mon vieux. Pigeon, tu gagnes peut-être un point dans l'affection de Steve, pensa Bucky avec une fougue carnassière, mais le match ne fait que commencer.


Bucky : 1 POINT


Sam ne posa pas ses bagages dans la résidence. Tel un ouragan, Steve lui prit ses trente kilos de valises des mains comme si elles ne pesaient rien – ou que Sam n'était pas assez costaud pour les porter lui-même – et les emmena d'autorité à sa chambre sans lui laisser la possibilité de se rétracter.

Sam le laissa faire avec un sourire attendri et une blague au passage pour faire bonne figure. Pour rien au monde il n'aurait refusé cette invitation qui avait des allures de rêve éveillé. Captain America en personne, idole des super-héros entre tous, proposait à lui, Sam Wilson, petit gars de Harlem au passé mouvementé, de venir habiter dans la colocation des Avengers. Une opportunité pareille ne se laissait pas refuser !

"Voilà ta chambre !" s'exclama Steve en ouvrant la porte en grand.

« Chambre » était un mot réducteur. Sam avait sa propre cuisine, une énorme chambre, sa salle de bain (était-ce un jacuzzi dans l'angle ?), le tout était aussi grand que sa maison de Washington DC et meublé avec goût (sûrement par FRIDAY).

Il s'esclaffa. "Je ne regrette pas d'avoir dit oui !" dit-il en faisant ses premiers pas dans la chambre.

"Tu m'étonnes" persifla une voix qui n'était pas celle de Steve.

Sam se retourna lentement. Barnes était adossé au chambranle de la porte, un air narquois sur le visage, les bras croisés. "Faucon" dit-il ensuite avec une moue dédaigneuse, le coin de la lèvre remontée.

Sam le salua d'un hochement de tête, sachant que seul Barnes percevrait son hostilité dissimulée dans cette seule salutation.

Ils se détestaient cordialement – ou ils se comportaient comme tels.

Sam lui reconnaissait des circonstances atténuantes pour leur première rencontre et n'en gardait pas ombrage – ou très peu. Cependant, Barnes continuait d'être hostile avec lui alors qu'il avait récupéré toute sa tête et qu'il était parfaitement aimable avec les autres membres de l'équipe. Sam avait du mal à avaler la pilule. Alors il gardait ses distances et ne faisait le strict minimum pour être poli.

De plus, il n'aimait pas les regards un peu trop appuyés que Barnes posait sur Steve lorsque celui-ci ne le regardait pas. Meilleurs amis, c'est ça ! Et moi je me déguise en poulet. Barnes en avait après Steve et Sam trouvait ça malsain au possible. Après tout, ça pouvait être un mécanisme de survie, un désir pervers ou pire, une ruse d'HYDRA – Sam n'arrivait pas à se convaincre lui-même, il savait qu'il était ridicule.

Il continuerait à veiller sur Steve, même si cela voulait dire s'opposer au plus dangereux assassin russe que le monde ait connu. Mais il était sûr d'une chose, Barnes serait le plus grand adversaire qu'il avait eu à affronter. Sam n'était pas sûr d'avoir toutes ses chances face à lui.

En attendant, si Sam pouvait continuer à faire équipe avec Steve (ou plus)… À veiller à ses arrières (ses fesses)… Et à rester auprès de lui (dans son lit ?)… C'était un avantage supplémentaire non négligeable.

Pendant ce temps, Barnes l'observait toujours de son regard perçant de psychopathe, sans ciller, comme s'il espérait que Sam s'enfuie en courant. Ce qui ne risquait pas d'arriver !

Steve réussissait l'exploit de bondir tout en restant immobile. Il semblait monté sur ressorts et ses iris pétillaient.

"Voici tes clés. Ta penderie. Un porte-manteau. Ta cuisine. Y a de la vaisselle, des fourchettes, des couteaux, des verres, des assiettes –"

"Stevie" coupa Barnes en accentuant bien le diminutif affectueux, "Pourquoi tu ne ferais pas visiter le reste de la maison à Wilson au lieu de lui faire la liste des meubles de son appart' ?"

"Y a un état des lieux à remplir ?" demanda Sam.

"Pourquoi, t'as peur de casser des trucs ?" susurra Bucky dans son dos, ce qui eut le don de l'agacer.

"Tu parles" répondit Steve en refermant les placards, inconscient du climat d'hostilité qui régnait entre ses deux amis, "Si tu as un problème, parle-en avec FRIDAY, c'est tout. Viens, Sam ! On va te faire visiter la maison !"

Sam ne mentionna pas qu'un était de trop dans ce trio.

Bucky le savait parfaitement vu son petit sourire sournois.

Steve passa une main sur l'épaule de Sam et l'entraîna hors de sa suite. Il était le seul à habiter au troisième étage pour le moment bien que Natasha et Clint avaient une chambre au fond du couloir lorsqu'ils voulaient venir – leurs visites étaient rares et courtes.

Sam se laissa guider jusqu'au toit, qui constituait une parfaite piste d'envol, puis ils redescendirent, Bucky errant derrière eux comme un spectre soupçonneux.

Steve lui présenta Vision qui était d'un majenta métallique surprenant et trop poli pour être humain mais qui, malgré son ensemble pull-chemise rétro, était adorable.

Wanda était adorable aussi et elle semblait être la petite sœur de la résidence, dorlotée et choyée par tous. Sam s'était entraînée avec elle et ils avaient fait une poignée de missions ensembles mais ils ne s'étaient jamais rencontrés en tant que civils.

"Où est Pietro ?" demanda Steve après que Sam ait serré la main de la jeune femme.

"Je ne sais pas" murmura Wanda. Elle continua pour Sam. "Pietro était mon frère jumeau. Il est mort dans le combat contre Ultron l'année dernière."

Sam recula de surprise en voyant un jeune homme aux cheveux argentés apparaître derrière sa sœur dans une gerbe d'étincelles bleues.

"Wanda, arrête de dire à tout le monde que je suis mort…" soupira-t-il.

"Parfois" poursuivit Wanda écarquillant grand ses yeux, "J'entends encore sa voix dans ma tête."

Adorable mais perchée. Sam sut immédiatement qu'il s'entendrait bien avec elle.

Barnes le prit à part, profitant d'un interlude pendant laquelle Steve parlait avec Vision.

"Pourquoi t'es venu là ?"

"Pour m'imprégner de l'ambiance d'équipe – et puis j'aime bien faire la fiesta, il paraît que les soirées de Stark sont d'enfer !" répliqua Sam immédiatement.

"Sûr" fit Bucky avec un hochement de menton dédaigneux – Ne te moque pas de moi, Wilson.

Il baissa la voix, s'avança vers lui pour paraître plus menaçant. "Si t'es ici pour Steve, tu ferais mieux d'abandonner."

Sam haussa les sourcils, l'air vindicatif. "Je te demande pardon ?"

"Il est à moi" fit Barnes en désignant Steve du pouce.

"Dans tes rêves" murmura Sam, intraitable.

Les hostilités étaient lancées.

Il refusa de laisser à Barnes le moindre pouce de terrain et tint sa place. Ils s'affrontèrent du regard à quelques centimètres d'écart, indifférents à leur poitrine qui se frôlaient.

"Aucune chance, le fossile. Il tombera dans mes bras avant que t'aies eu le temps de bouger."

"Je voulais t'épargner, Pigeon, mais là c'est trop tard. Ça va être violent."

Sam eut un sourire prédateur. "Tu croies que tu me fais peur ?"

"C'est la guerre que tu cherches ?" gronda Barnes d'une voix fauve.

Sam plissa les yeux. "Quand on m'cherche, on m'trouve."

"Alors c'est la guerre que t'auras" conclut Bucky d'un ton ténébreux.

Sam sentit un frisson de mauvais augure lui courir sur la colonne vertébrale et il se demanda dans quoi il venait de s'engager avant de dévier son regard vers Steve. Sa carrure idéale, son visage ciselé, sa bonté évidente, sa tendresse cachée…

En effet, aucune chance qu'il le laisse à Barnes.

Il descendit avec Steve au premier étage pour terminer la visite. "Là c'est ma chambre. Si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas à frapper."

Compte sur moi, pensa Sam férocement.

"Au rez-de-chaussée, la cuisine, le salon commun, une salle télé supplémentaire et une salle de réunion en cas de besoin. Fais comme chez toi, Sam !"

Le sourire de Steve était aussi contagieux que celui de Sam était éblouissant.

"Génial, merci Cap ! Et sans être indiscret… Où est-ce que Barnes dort ?"

"Bucky ? Oh ici, avec moi." Steve cogna sa jointure contre sa porte. "Sa chambre est à côté de la mienne."

Le sourire de Sam glissa de travers avant qu'il le réajuste. Sa surprise dut être visible car Steve ajouta plus bas : "Oui c'est plus facile pour lui. Il a encore des mauvaises passes, des cauchemars."

"Ok."

"Ma présence l'aide à mieux gérer les difficultés, tu vois ?"

"Je vois."

Ben voyons… C'était sûrement vrai mais Barnes devait jubiler de dormir à deux mètres de la chambre de Steve.

C'était donc vrai. Une joute venait d'être lancer entre eux deux, un affrontement sanguinaire dont ne sortirait qu'un seul vainqueur, celui qui gagnerait l'amour de Steve.

Il a déjà une longueur d'avance sur moi, pesta Sam intérieurement, mais il est hors de question que je le laisse gagner.


Voilà pour le premier chapitre !

Les prochains viendront au gré du rythme d'écriture (ohé ohé matelot) (et aussi des commentaires, faut pas se leurrer héhé)

N'oubliez pas d'aller jeter un coup d'œil chez HyperRaspberry ! Sa fic Un Monde Métallique vaut le détour.

A la prochaine :D