« Je te regarde.

Je t'observe du coin de l'œil depuis longtemps. Déjà trop longtemps.

Tu ne me vois pas, et de toute façon, tu ne m'as jamais vu...

Comment attirer ton attention. Tu restes là, sans me voir. Depuis le début. Depuis que je suis là.

Tu restes là. Sur la rambarde. Tes altères sont pas loin. Tu t'es entraîné comme un dingue aujourd'hui. Comme l'autre jour. Et le autres jours...

Je suis venu apporter ton repas. Même pas un merci.

T'es un con.

On s'est battu. Comme l'autre jour. Et les autres jours... C'est uniquement dans ces moments là que tu me regardes. Même pas un sourire. Une habitude désormais.

Et me voilà. Je te regarde de ma fenêtre. Pourquoi t'es comme ça. J'ai jamais voulut t'aimer moi ! Tu m'énerves !

T'es un con. »

Zoro est face à l'océan, en silence. L'océan lui rappel quelqu'un. Mais il se tait.

Comme toute les plante, Zoro à soif, alors le voilà partit pour la cuisine.

En entrant, il retrouve un cuistot, la tête sur la table. Assoupit. Tant pis.

La réserve est pleine, Zoro peut aller ce servir, mais non. Zoro préfère s'asseoir en face de ce cuistot. Et il préfère passer sa main dans ses cheveux, au cuistot.

« - Laisse ma tignasse... T'es un con.

- Désolé, je pensais que tu dormais.

- Je dormais, et t'es là... T'es un con.

- T'es cheveux sont comme toi, j'y peux rien...

- ça ''comme moi'', sois plus clair...

- Ils sont parfait.

- Quoi ? »