Note de la traductrice :

Après une longue absence (plus d'un an !), je suis de retour (pour vous jouez un mauvais tour) !

Le pourquoi du comment pour cette longue absence on me demande ? Simple : LA VIE ! (Voilà~ !)

Sinon, deux choses :

- Je recherche une bêta-lectrice/un bêta-lecteur pour corriger les fics que je traduis (Faut dire que j'ai plus donner de signe de vie pendant plus d'un an, donc je serais pas étonner qu'elles me fassent la tête (JE SUIS DÉSOLÉE ! ))

- Est-ce que vous voulez un rythme de parution plus rapide ?

Si oui, y a-t-il des gens intéressaient pour me filer un coup de main ?

Si non, préférez-vous que je me concentre juste sur une (deux grand max) traduction ? Lesquelles dans ce cas ?

Sinon, ce nouveau chapitre contient de nouvelles informations… très, très intéressantes… Kukuku !

Allez ! Réponse aux reviews et je vous laisse tranquille !

Cassie : Surprise ! Je suis de retour. Pour les points de vue, je pense que celui-ci, le suivant et les prochains vont être définitivement à ton goût (du moins je l'espère). Et Peeves va nous apprendre beaucoup de choses sur Sally.

Pour le blabla habituel : RIEN n'est à moi. Harry Potter appartient à J.K Rowling et Why to Sort a Student is a Horrible Job appartient à Ebenbild. La seule chose qui m'appartient est cette traduction.

Note de l'auteur :

Disclaimer : HP ne m'appartient pas, juste l'idée que j'ai utilisée sur les personnages... tout ce qui est reconnaissable est à Rowling.

Information : AU-Répartition, prend place dans HP1. Réincarnation-fic !

À propos de Peeves : Certains d'entre vous ont des idées très intéressantes pour lui et j'ai été tenté de changer mes plans pour lui juste pour suivre vos idées... mais bon, je suppose que j'ai depuis longtemps décidé qui sera mon Peeves, donc cela n'arrivera pas. Au lieu de cela, je pourrais donner quelques indices pour l'instant, mais il vous faudra attendre la réponse finale.

MERCI pour vos suppositions. Non, je ne dirais pas qui de vous a raison. XD Vous verrez dans le futur. Jusque-là, vous aurez toujours à deviner, désolé. XD

AVERTISSEMENT : changement de rating ! J'ai décidé qu'il était temps d'ajouter un peu de sérieux à cette histoire – juste un peu. Je prévois de garder en majorité de l'humour mais j'ai besoin de plus sérieux pour continuer mon intrigue.

Pour tous ceux qui m'ont envoyés des idées pour les farces : MERCI BEAUCOUP !

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WHY TO SORT A STUDENT IS A HORRIBLE JOB

CAS D'UN ÉLÈVE – LA COLLABORATION

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« Vous savez, mon oncle, peut-être devriez-vous y aller un peu plus doucement avec eux... »

« Plus doucement ? Ce sont des Serpentard. Ils ne respectent pas les gens qui n'ont pas de pouvoir ! »

« Oui, eh bien... mais ils sont aussi des enfants – les effrayer à mort - »

« Était exactement ce que j'aurais dû faire dès le début ! »

« Oncle Salazar... »

« Non ! Si tu ne me crois pas, va le lire à la bibliothèque. Je pense qu'il y a un livre sur Poudlard quelque part... »

« L'Histoire de Poudlard. »

« Tu vois - »

« C'est n'importe quoi. »

Silence.

« Ah, eh bien... c'était il y a mille ans après tout - »

« Ce n'est pas - »

« Oh, silence toi ! Je sais exactement ce que je fais ! »

« Oncle... »

« Non ! Ma maison, mes règles. Allez, va voir tes propres élèves et élève-les comme tu veux qu'ils soient – ou remplace tes mères. Qui sait mais ils en ont besoin, R'ena à toujours était trop préoccupé pour s'occuper d'eux comme elle le devait ! »

« Ils ne sont plus les élèves de ma mère, oncle ! Et ils ne sont plus à vous non plus ! Vous n'auriez pas- »

Cette fois, une troisième voix interrompue. « Oh, ferme-là, Lena. Il a raison. C'est sa décision ! Et même si ce ne l'était pas – ce qui est fait, est fait. » Ce fut le Choixpeau.

« Et ils ont finalement compris ma position, » ajouta Salazar avec un sourire en coin. « Dans l'ensemble, cela en valait la peine. »

La réponse fut un soupir.

« Et je croyais que vous aviez cessé d'être un Seigneur des Ténèbres il y a quelque temps... »

Le Choixpeau se mit à rire.

« Perdre ton corps a aidé à perdre l'esprit aussi, hein, Lena ? Ou as-tu en quelque sorte oubliée que le moment où nous nous sommes rencontrés, il a toujours été un Seigneur des Ténèbres – farceur ou non ? »

« Mais il n'a jamais été un Seigneur des Ténèbres devant les élèves - »

« Eh bien, il est un élève maintenant. Tu ne peux pas t'attendre de lui qu'il applique les mêmes règles qu'à l'époque... »

La réponse fut un soupir exaspéré.

« Cela va causer des ravages dans l'école... »

Cette fois, le Choixpeau renifla.

« Cela n'a rien de nouveau, Lena. Il a toujours causé du chaos – Seigneur des Ténèbres ou pas. »

Et son adversaire ne pouvait même pas objecter à ça.

« Au moins, il est à Serpentard cette fois-ci... »

La réponse fut une moue de l'objet de leur conservation.

« Et c'est la faute à Godric. Je voulais être un Gryffondor ou un Poufsouffle ! »

La réponse fut une exclamation d'horreur. « Merlin aie pitié ! Poudlard aurait été détruite dans la semaine si cela été arrivé, mon oncle ! »

Curieusement, ni Salazar, ni le Choixpeau n'objectèrent à cette observation particulière...

sSsSsSs

La maison Serpentard avait toujours été la maison la plus hiérarchisée de Poudlard. Il était normal dans cette maison que plus vous étiez doué et, plus vous étiez vieux, plus vous seriez élevé dans les rangs. Les élèves de la maison de Serpentard étaient simplement formés de cette manière.

Si vous étiez nouveau, vous auriez du mal à lutter contre les élèves plus âgés, alors vous leur cédé jusqu'à ce que vous soyez vous-même plus vieux. C'était quelque chose que tous les Serpentard apprenaient à accepter en quelques semaines. Même si vous étiez le chef de votre année, aussi longtemps qu'il y avait des années supérieures, vous auriez toujours des supérieurs.

Bien sûr, ici et là un intrus existerait.

Certains élèves étaient tout simplement trop gentille pour Serpentard et à cause de cela, restait en bas de la maison toutes leurs années à Poudlard. D'autres étaient incapables de construire les connexions appropriées pour avancer plus haut, ou n'avait pas assez de puissance pour gagner les combats de pouvoirs au sein de la maison. Certains étaient même tout simplement trop paresseux pour essayer de s'élever, ou ils étaient incapables de s'intégrer réellement dans la maison, et à cause de cela finissait au fond.

D'autres à la place avancées en quelques années inhabituelles au sommet absolu de Serpentard. Ceux-là finissaient reines ou rois incontestés de Serpentard, incontestable en raison de leur puissance, leurs connexions ou leur cruauté.

C'était Serpentard.

C'était normal.

Marcus Flint avait toujours pensé que ça resterait ainsi toutes les années où il resterait à Poudlard – mais vint alors Potter.

La première chose qui était différente avec le garçon, Marcus le découvrit le jour où le garçon fut réparti à Serpentard.

Potter s'était assis à leur table après avoir donné une courte révérence vers Theodore Nott et embrasser la main de Daphné Greengrass et celle de Tracy Davis.

Contrairement aux autres premières années, le garçon était étrangement rigide sur les bonnes manières, en prenant toujours soin sur la manière d'abordé les autres élèves, toujours assis droit et en parlant d'un ton mesuré.

Donc, la première impression d'Harry Potter était une contradiction. Potter était un sang-mêlé connu, mais en même temps, il avait été clairement entraîné pour être encore plus formelle qu'un garçon sang-pur de son âge se comporterait.

Puis le festin pris fin et Marcus eu un autre aperçut sur la personnalité de Potter.

Ils avaient emmené les premières années dans leur salle commune et Potter avait immédiatement disparu dans ses ombres.

Contrairement aux autres premières années, qui essayaient de trouver leur place dans leur nouvelle maison, Potter observait.

Il continua même a observé lorsque leur directeur de maison entra.

Ce fut l'entrée de leur directeur qui annonça à Marcus Flint que les choses seront différentes dans la maison des serpents.

Severus Rogue, un homme qui favorisait normalement les Serpentard, était entré et s'était moquait de Potter avec mépris.

« À partir d'aujourd'hui, Serpentard sera votre famille, » dit Rogue, ses yeux noirs insondables se tournant vers Potter. « Et comme dans toutes les familles à proprement dit, il y aura des règles que certains d'entre vous pourrez trouver difficile à suivre. » Marcus et beaucoup d'autres avaient suivi le regard de Rogue vers le première année de Serpentard inconscient qui se tenait dans l'ombre.

« Je sais que certains d'entre vous pourrez avoir du mal à accepter leur nouvelle place au bas de la hiérarchie, » à nouveau, les yeux de Rogue glissèrent vers Potter. « Alors que d'autres, qui connaissent un comportement exemplaire se hisseront vers le sommet - » cette fois, il se tourna vers le garçon Malfoy. « - Donc je ne le dirais qu'une fois : votre place dans Serpentard n'aura rien à voir avec votre... célébrité... dans le monde extérieur - » encore un regard vers Potter. « - Ici, vous serez uniquement jugé sur vos compétences, qu'ils soient insignifiants et inutile de mentionner, ou tout simplement pas encore poli. » A cela, il se tourna vers les autres premières années.

Néanmoins, les intentions de Rogue étaient claires.

Potter n'était pas l'un d'entre eux.

Il était peut-être réparti dans leur maison, il portait peut-être leurs couleurs, mais il ne sera pas l'un d'entre eux.

Même les premières années semblèrent comprendre le message – enfin, tous les premières années sauf celui qui avait été répudié par eux.

Et cela continua – aucun ne questionnant pourquoi Rogue avait autant l'intention de rejeter ce garçon en particulier.

sSsSsSs

Peut-être, Marcus n'aurait jamais repensé à la répudiation du garçon Potter, s'il n'y avait pas eu le lendemain matin. Après tout, le garçon avait semblé être inconscient – et un Serpentard qui ne voit pas qu'il a été éjecté, n'était pas un Serpentard. Comme cela est arrivé, ce sera à cause du lendemain matin que Marcus Flint commencera à accorder plus d'attention au Serpentard qui n'était pas considéré comme l'un d'entre eux.

Le matin après la répartition, le garçon était assis où les étudiants des plus hauts rangs de Serpentard avaient leurs places.

Bien sûr, Marcus et ses amis, qui faisaient partie de ses Serpentard de plus hauts rangs, n'étaient absolument pas ravi quand ils arrivèrent à la table et virent qu'un première année occuper leurs sièges.

« Hé, Potter, » avait dit Marcus, agacé. « N'as-tu pas écouté hier quand Rogue nous a expliqué les règles de Serpentard ? »

À cela, le jeune garçon se retourna et le regarda.

« Parlez-vous de ce discours fortement objectif, rempli d'insultes à mon encontre, Maître Flint ? » Répondit le garçon avec un sourcil levé, avant de prendre un peu de toast et d'œuf pour remplir son assiette. « un événement fortement offensant, si vous me demandez. »

Marcus cligna des yeux à cette surprise.

Le garçon n'avait pas tort en soi. Leur directeur de maison avait peut-être expliqué les règles comme toujours, mais contrairement aux dernières années, à chaque fois qu'il avait parlé de les briser et d'être incapable de les comprendre – même à chaque fois qu'il avait prononcé une insulte – l'homme avait regardé Potter. Et Potter avait manifestement remarqué, même s'il avait semblé à ce moment-là qu'il n'avait pas du tout compris les implications vers lui.

« Exactement ce discours, Potter, » opta finalement Marcus.

Potter haussa les épaules.

« Bien sûr que j'ai écouté, » dit-il en étalent du beurre sur son toast. « Il aurait été hautement impossible de ne pas s'assurer que je sache les règles de la maison... surtout si je prévois de les briser – ne trouvez-vous pas, aussi, Maître Flint ? »

C'était, pensa alors Marcus, définitivement une étrange explication à entendre. Cependant, leur directeur de maison avait constamment laissé entendre que Potter serait incapable de comprendre les règles. Peut-être que l'homme avait raison... ou peut-être que le garçon avait décidé de protester contre son traitement en faisant exactement ce que leur professeur avait laissé entendre qu'il allait faire...

« La maison Serpentard, Potter, est basé sur ces règles, » opta finalement Marcus. « Il y aura beaucoup de monde mécontents si tu oses les briser. » Et avec cela, il regarda ostensiblement sa place – la place où Potter était actuellement assis.

Le garçon étala de la marmelade sur son toast, puis pris une bouchée, apparemment inconscient des regards de Marcus.

« Se sentir mécontent ne les aidera pas, Maître Flint, » dit-il à la place. « Mais bon, je suppose qu'ils ont le bon âge pour apprendre à faire face à la déception. »

Le froncement de sourcils de Marcus s'approfondit à ce sujet.

« Tu devrais trouver un autre endroit pour t'asseoir, Potter, » chuchota précipitamment un des années inférieurs – un deuxième ou troisième année – à Potter à ce moment. Il était juste à temps pour empêcher Marcus de sortir de ses gonds et de défier le première année à un duel de sorte que l'impertinent morveux apprendrait à ne jamais chercher ses aînés.

Le garçon Potter leva les yeux à cela et vers celui qui lui avait dit de changer de place.

« Pourquoi ? » Demanda perplexe Potter. « J'aime m'asseoir ici. »

Et pendant une seconde, Marcus pensa que Potter ne savait vraiment pas – mais alors, Potter se retourna et un regard amusé rencontra le sien.

« C'est un siège confortable, ne trouvez-vous pas, aussi, Maître Flint ? »

Puis, délibérément lentement, Potter mangea le reste de son toast et de ses œufs, avant de se lever et de laisser la place. Il s'inclina légèrement vers Marcus et ses amis, puis partit avec raideur : « Puisse votre matinée être béni, Maître Flint. »

Et Marcus se demanda comment Potter pouvait être en même temps extrêmement formel et à la manière d'un seigneur, bien se comporter tout en brisant délibérément plusieurs règles de Serpentard. C'était une étrange combinaison – ce sera le début de plusieurs rencontres étranges entre Marcus et Potter. Ces rencontres allèrent si loin, que seulement trois semaines plus tard, Marcus s'était résigné à défier Potter verbalement à chaque petit-déjeuner. Il semblait que le garçon s'était vraiment entiché de la place de Marcus à table...

Et ce fut bientôt quelque chose que les autres années supérieures remarquèrent aussi. Bien sûr, les farces qui se produisaient les avaient distraits pendant un certain temps, mais bientôt Marcus avait plus de personnes qui le défiait pour sa place dans la hiérarchie de Serpentard qu'auparavant. Il semblait que le fait que Potter puisse lui échapper quotidiennement avait détruit une partie de la réputation de Marcus – du moins jusqu'à la fin de septembre.

sSsSsSs

À la fin de septembre, Marcus se réveilla en se sentant malade.

Cependant, il supposa que c'était simplement un rhume et alla prendre son petit-déjeuner comme toujours avant de se diriger vers les cours. Les classes se déroulèrent bien, même si Marcus se sentait un peu malade et rapidement la journée prit fin et Marcus se dirigea vers la bibliothèque pour terminer ses devoirs.

C'est alors que c'est arrivé.

Deux étudiants de rang inférieur de la même année que Marcus l'encadrèrent soudainement dans le couloir de la bibliothèque avant de le forcer à changer son chemin pour l'une des salles de classe inutilisées.

Marcus sut instantanément ce qu'ils prévoyaient : un discret défi pour sa position dans la maison Serpentard – pas tout à fait légale, mais pas illégal non plus.

Et Marcus, puisqu'il n'était pas allé à l'infirmerie, ne pouvait pas dire non.

Marcus se maudit intérieurement à cela.

Il n'avait pas la force de battre un challenger à ce moment – c'était un moyen sûr de perdre cette position qu'il avait travaillée depuis sa première année. S'il n'avait pas été malade, il n'aurait eu aucun problème et si Potter n'avait pas utilisé en permanence le siège de Marcus au petit-déjeuner, il n'aurait eu aucun problème.

Mais comme cela était maintenant...

Marcus devina qu'il devait prier pour qu'un miracle le sauve.

Le miracle se produit – juste pas de la manière que Marcus pensa que se serait.

« Oh... des petits Serpentard sur le point de briser les règles, » jailli soudainement une voix et puis Peeves apparu pas très loin de Marcus, traversant le mur d'une autre salle de classe inutilisée. « Peevesie est tellement heureux de voir certains enfants plus turbulents ! Quels plans ont les petits Serpentard ? Colorer les étages pour embêter Rusard ? Lancer de craie ? »

Une lueur maniaque entra dans les yeux dans les yeux du poltergeist à cela.

« Duel ? » A ce mot, le poltergeist s'étira et la lueur monta en intensité. « Oh... Peevesie va regarder ! Peevesie adorera regarder ! »

« Ce que nous faisons ne te concerne pas, Peeves ! » grogna l'un des deux autres Serpentard à cela. « Va causer tes problèmes ailleurs. Ceci concerne la maison de Serpentard ! »

Le soudain sourire malicieux du poltergeist n'était certainement pas rassurant pour Marcus.

« Mais Peevesie adore regarder une bonne farce ! » S'exclama Peeves tout en montrant ses dents d'une manière presque sauvage. « Et Peevesie peut sentir une bonne farce de partout ! »

L'autre des deux challengers de Marcus se moqua à cela.

« Quoi qu'il en soit, » dit-il. « Tant que tu n'interfères pas. Si tu le fais, nous irons le dire au Baron ! »

Le sourire sur le visage du poltergeist ne diminua pas.

« Peevesie ne fera rien, » s'exclama le spectre. « Eddy n'aura pas à intervenir pour garder Peevesie sur le bon chemin ! »

Marcus devina que le spectre parlait du Baron Sanglant quand il parlait de « Eddy ».

Les autres Serpentard semblèrent comprendre cela aussi, puisque qu'après avoir ricané de Peeves pour une seconde fois, ils se retournèrent vers Marcus.

« Eh bien, Flint, » dit l'un d'entre eux en souriant. « Maintenant que nous sommes enfin seuls... Moi, Rufus Amicus Carrow te défie, Marcus Sebastian Flint, à un duel pour ta place dans la hiérarchie de la maison Serpentard. Est-ce que tu acceptes ou déclares forfait ? »

Ça y est.

Les mots redoutés.

Marcus soupira.

« J'accepte, » dit-il. Et il n'avait pas vraiment le choix. S'il avait déclaré forfait, il n'aurait pas seulement perdu sa position actuelle dans la maison Serpentard, mais il aurait fini tout en bas de l'intégralité de la hiérarchie.

Le sourire sauvage de l'autre Serpentard et de son témoin ne rassura pas du tout Marcus.

Puis Carrow brandit sa baguette et avant que l'esprit embrumé de Marcus puisse même penser à faire le même chose, un sort est jeté dans sa direction.

L'instant suivant, Carrow était jeté contre le mur opposé – portant un masque de clown moldu tandis que son tutu se transformait en un de couleurs vives et surtout, discordantes.

Où il rencontra le mur, une tache énorme de couleur violet vif resta.

Peeves éclata de rire.

Le deuxième Serpentard se tourna vers Peeves à cela, plissant ses yeux.

« Tu as promis de ne rien faire, sale nuisance ! »

« Oh ! Mais Peevesie n'a rien fait ! » chantonna le poltergeist à cela avant d'éclater de nouveau de rire. « Peevesie n'oserait jamais interférer avec de grandes farces comme ça ! Jamais ! Jamais ! »

Carrow plissa les yeux à cela, puis il sembla arrivait à la conclusion que c'était Marcus qui l'avait fait.

Il brandit sa baguette vers l'autre Serpentard et jeta un autre sort.

Marcus ne pouvait que regarder l'élève de rang inférieur être de nouveau jeté contre le mur, les couleurs de ses vêtements devenant encore plus hideuses tout en laissant une tache de couleur vert vomi.

Cela fit éclatait de rire Peeves de nouveau.

« Peevesie adore ça ! » chanta le poltergeist. « Peut-être que l'idiot numéro deux de Serpentard veux essayer aussi ? » Cela sonnait curieusement plein d'espoir...

Marcus fixa juste, son esprit ne parvenant pas vraiment à comprendre ce qui se passait.

« Qu'est-ce que - » parvient-il finalement à prononcer. Il ne put prononcer plus puisque l'autre Serpentard sortit sa baguette et essaya de lui jeter un sort aussi – juste pour échouer aussi spectaculairement que Carrow tout en peignant une partie du mur en un beau jaune soleil.

Heureusement, Peeves répondu à la question même s'il n'avait pas fini.

« Tu es actuellement en duel avec un autre Serpentard, » ricana le poltergeist. « Il est toujours agréable de voir le travail de mon idole pour protéger les protocoles de Serpentard. »

Puis le poltergeist montra ses dents.

« S'il te plaît, ne brandit pas ta baguette et accepte le défi. C'est beaucoup plus drôle de regarder la malédiction faire ses conséquences sur les transgresseurs, ne trouves-tu pas aussi ? »

Et ce fut le jour où Marcus commença à soupçonner que tous les faits en histoire n'étaient pas forcément vrais. C'est aussi le jour où ses défis commencèrent à diminuer. D'une certaine manière, ceux qui le défier et lui jeter un sort alors qu'il n'avait pas brandi sa baguette, finissait dans des conditions les plus intéressantes d'une certaine manière, Peeves semblait toujours savoir quand le chercher pour une place au premier rang et même l'augmentation de plus de Serpentard piégeaient après l'avoir défié les firent le laisser tranquille en quelque sorte. Il semblerait qu'aucun d'entre eux ne voulaient risquer de se balader maquiller comme un clown pendant une semaine ou plus...

Juste une chose restait de ses épisodes qui dérangeaient Marcus.

Peeves avait dit qu'il était « en duel » avec quelqu'un d'autre – mais le seul qui l'avait défié sans duel était Potter...

Est-ce que cela voulait dire qu'il était en duel avec un première année de Serpentard ?!

Marcus aurait essayé de se libérer de ce duel – s'il n'avait pas été témoin de ça même pas une semaine plus tard...

sSsSsSs

C'était un vendredi soir et Potter, comme d'habitude ne se trouvait nulle part, même à proximité de la salle commune. Au lieu de cela, Marcus le vit assis dans une alcôve près de la bibliothèque, en train de lire. Ce n'était pas une activité inhabituelle pour le Serpentard mal réparti, donc Marcus n'aurait même pas pris la peine de s'arrêter, ou de même de jeter un coup d'œil à l'enfant, si le garçon n'avait pas parlé juste quand Marcus l'avait passé.

« Je ne ferais pas ça si j'étais vous, » dit le garçon et Marcusse retourna, pensant que le garçon lui avait parlé – juste pour voir que le garçon ne le regardait même pas. Au lieu de cela, Potter regardait quatre filles de quatrième année de Serdaigle qui avait acculé un première année de Serpentard.

Theodore Nott, reconnu Marcus.

Et peut-être que Marcus serait intervenu alors, puisque le garçon était l'un d'entre eux, mais avant même qu'il ne puisse y penser, Potter s'était déjà levé et avait marché entre les quatre Serdaigle et le Serpentard.

« Arrêtez ça, » répéta-t-il et Marcus ne l'avait jamais entendu parler d'une voix aussi soudainement glacial que tranchante.

Une des Serdaigle – Cho Chang, était son nom, si Marcus se souvenait bien – se moqua du garçon Potter.

« Et tu penses vraiment qu'on est effrayé d'un sale, petit Serpentard comme toi ? » demanda son amie.

Potter leva un sourcil.

« Peur, non, » dit-il. « Du moins, tant que vous ne me provoquez pas plus. »

Cette fois, Cho Chang pris la parole. « Et que feras-tu si nous le faisons ? Tu n'as aucune chance contre une seule de nous – et nous sommes quatre. »

Le visage de Potter était un masque inexpressif.

« Vous ne voulez pas savoir, » répondit-il alors.

Les Serdaigle éclatèrent de rire à cela.

« Tu es un première année, petit Serpentard – que peux-tu faire ? » dit l'une d'entre elles. « Nous jeter des étincelles ? »

Et puis, avant même que Potter ne puisse sortir sa baguette, une autre Serdaigle lança un Expelliarmus sur lui et lui prit.

Potter regarda juste sa baguette, puis le visage des Serdaigle, mais quand Cho Chang pris son sac avec un sourire mauvais, quelque chose changea dans ses yeux.

Les yeux normalement verts clairs s'éclairèrent avec des flammes d'argent, consumant la pupille comme l'iris.

Marcus n'avait jamais vu ou entendu parler d'un changement comme ça.

Puis, l'un des autres Serdaigle déchira le sac de Potter – et subitement le couloir fut jeté dans l'obscurité la plus totale.

Seuls les yeux curieusement argentés de Potter pouvaient être vu, leurs regards effrayants, promettant un châtiment douloureux.

Marcus ne pouvait actuellement pas voir, ce qui se passait, mais il pouvait très bien entendre les cris de terreur des Serdaigle.

Puis la lumière revint.

Les Serdaigle n'avaient pas l'air en forme mais leurs comportements avait totalement changé. Leurs yeux étaient emplis de peur et ils s'éloignaient du gamin de onze ans avec la même méfiance qu'ils montraient normalement à Rogue.

« Ma baguette et mon sac, » dit le garçon Potter, sa voix inexpressive.

Une des Serdaigle se prosterna et répara le sac avant de le lui remettre avec la baguette tout en essayant en même temps de garder désespérément ses distances.

Potter les pris de ses mains, ses yeux toujours brillant avec des flammes d'argents.

« La prochaine fois, je ne serais pas aussi gentil avec vous, » dit-il aux étudiantes plus âgées. « Continuez vos brimades et je vous ferais arrêter de force. Croyez-moi, vous n'aimerez pas mon idée de punition. »

La réponse fut une courte réponse d'une des têtes de Serdaigle. Puis elles fuirent.

Potter se tourna plutôt vers Theodore Nott.

« Dites-moi si elles essayaient de nouveau, » dit-il froidement. « Je ne tolère pas les brimades. Si les professeurs ne l'empêchent pas – je le ferai. »

Et avec ça, Potter retourna dans son alcôve et son livre comme si rien ne s'était passé à l'instant.

Ce fut le jour où Marcus commença à penser que peut-être – juste peut-être – Potter était plus ce qu'il n'y paraissait.

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Un jour plus tard, Marcus fut appelé dans le bureau du directeur.

Marcus ne se sentait pas à l'aise avec la convocation, mais il ne parvenait pas à trouver ce qu'il avait fait, alors au finale il haussa des épaules et y alla.

Au moment où il entra dans le bureau du directeur, il ne put s'empêcher de déglutir.

Il y avait non seulement le directeur, mais aussi les quatre directeurs de maison qui l'attendait.

« Vous vouliez me voir, Monsieur le directeur ? » dit Marcus, priant que – quelle soit la raison pour laquelle il a était convoqué cela ne se termine pas par son expulsion ou pire.

« En effet, M. Flint, » répondit le directeur, son visage sérieux, ses yeux graves. « Asseyez-vous, s'il vous plaît. »

Si cela n'avait été un manque de respect, Marcus serait resté debout. Mais il était un Serpentard. Il était un sang-pur bien élevé. Donc il s'assit.

« Puis-je vous demander pourquoi vous m'avez convoqué, Monsieur le directeur ? » demanda-t-il.

Le directeur se contenta de le regarder après cette question, avant que le vieil homme ne soupire.

« Vous êtes ici, M. Flint, pour discuter de vos farces perturbants cette année. D'après ce qu'on m'a dit, vous avez toujours été un élève modèle, donc vos farces cette année - »

« Excusez-moi, Monsieur le directeur, » interrompit Marcus à cela. « Mais – de quels farces parlez-vous ? »

Le visage du directeur s'assombrit.

« Les tutus, le changement de sexe - »

« Mais – je n'y suis pour rien ! » objecta Marcus, bien conscient qu'il avait enfreint des règles sociales, mais aussi incapable d'attendre jusqu'à ce que le directeur ait terminé son accusation.

« M. Flint ! » C'était Rogue. « Vous avez été repérer par différents enseignants après avoir maudit vos camarades à plusieurs reprises ! Ne. le. Niez. Pas ! »

Marcus cligna des yeux confus.

« Mais je n'ai pas maudit - »

« Donc vous êtes en train de nous dire que vos camarades sont transformés en clowns et qui sait quoi juste par hasard après vous avoir rencontré ? » cracha Rogue.

Les yeux de Marcus s'agrandirent.

« Non ! Mais Peeves - »

Il ne put même pas terminer sa phrase que le directeur se redressa soudainement.

« Peeves ! » s'exclama-t-il, puis il se tourna vers les portraits des directeurs sur le mur. « Est-ce que l'un d'entre vous pourrez amener notre poltergeist ici s'il vous plaît. Il semblerait après tout qu'il ait quelque chose à voir avec ces farces... »

Marcus ouvrit la bouche pour continuer, mais il fut stoppé d'un regard par son directeur de maison. Ce regard était l'un de ceux qui montrait combien était mécontent le professeur et Marcus était un Serpentard. Il tenait à sa vie. Donc, il referma sa bouche de nouveau et attendit en silence.

Cinq minutes plus tard, Peeves entra dans le bureau du directeur, souriant grandement – puis le spectre repéra Marcus et son sourire s'agrandit davantage.

« Oh... est-ce que le petit Marcus prévoit d'attendre un défi du directeur ? » s'exclama le poltergeist en caquetant. « Oh ! Peevesie adorerait voir le directeur peindre les murs ! »

Puis le poltergeist ricana.

« Oh combien Peevesie adorerai ça ! »

« Peeves ! » c'était le dircteur. « Qu'est-ce que tu racontes ? »

Le poltergeist leva les yeux à cela.

« Petit Marcus est maudit, » dit-il. « Tant qu'il est défié, personne ne pourra se battre avec lui aussi longtemps qu'il n'a pas accepté en brandissant sa baguette. »

Puis un sourire malicieux apparut sur le visage du poltergeist.

« Peut-être que le directeur veut essayer ? » demanda innocemment le spectre.

Le directeur et les directeurs de maisons se regardèrent avec surprise. Puis Rogue prit la parole, le visage crispé.

« Flint ! Qu'est-ce qui se passe ? »

Et Marcus prit une profonde inspiration et commença à expliquer.

À la fin de son explication, le directeur le regarda pensivement.

« Puis-je jeter un coup d'œil ? » demanda-t-il finalement à Marcus et Marcus hésita un instant avant d'hocher la tête – que pouvait-il faire ? C'était le directeur, près tout...

Deux secondes plus tard, le directeur était cloué au mur où une tache de couleur bleu vif l'entourait et Peeves éclata de rire de nouveau.

Il semblait que le créateur de cette protection particulière était vraiment un génie...

« Peut-être que ce n'était pas aussi bonne idée que ça, » pensa Marcus tout en regardant le directeur qui essayé de se libérer de la farce sans réussir. « Peut-être que je devrais fuir pendant que le peux encore... »

sSsSsSs

La fois suivante que Marcus eut cette pensée, fut quand le Prince actuel de la maison Serpentard perdit finalement patience avec le garçon Potter juste deux semaines avant Halloween.

Cette nuit-là, quand Potter revint d'une visite avec ses amis de Gryffondor, le préfet de septième année l'attendait dans la salle commune.

« Cela a assez duré, Potter, » dit le Prince, pas le moindre du monde amusé. « Tu es un Serpentard. Collaborer avec des Gryffondor n'est pas ce que fait un Serpentard. Cela doit cesser ! »

Potter leva juste un sourcil au septième année.

« Donnez-moi une bonne raison pour cela, » dit-il finalement, inclinant sa tête sur le côté, apparemment en considération.

« Je t'ai donné la raison, » fut la réponse ricané. « Tu es un Serpentard. Nous n'entendons pas avec les Gryffondor. Ressaisis-toi maintenant avant que je m'occupe de toi. »

En entendant ses mots, les yeux de Potter commencèrent à briller avec ce feu argenté de nouveau.

« Ne me menace pas, petit prince, » dit-il froidement. « Il y a des choses dans ce monde, dont vous n'aimerez pas l'expérience. Des personnes dont je fais partit. »

Pendant un instant, il y avait quelque chose de tangible dans l'air autour de Potter, quelque chose qui faisait écho dans toute la salle commune. Puis le sentiment disparu comme s'il n'avait jamais été là et Potter parla de nouveau.

« Je suis peut-être un Serpentard – mais je ne suis pas quelqu'un que l'on peut contrôler. Votre directeur de maison l'a dit lui-même : les Serpentard savent qui sont leurs supérieurs. Je sais les miens – et je n'essayerai pas de m'intégrer en me prosternant aux pieds de personnes qui ne le sont pas. »

Et avec cela, il se retourna et laissa le Prince de la maison Serpentard debout, comme si l'autre garçon n'était absolument pas une menace.

« Très bien, » dit le Prince. « Nous allons voir comment tu pourras faire face quand tu n'auras plus personne vers qui te tourner. »

Potter s'arrêta à cela et se retourna pour faire face au Prince.

« Personne vers qui se tourner ? » demanda-t-il sans émotion. « Dites-moi, oh prince de Serpentard, n'y a-t-il jamais eut quelqu'un pour m'écouter depuis le jour où je suis arrivé ici ? Pensez-vous vraiment que je n'ai pas entendu ses insultes envers moi, prononcé par votre directeur de maison ? Croyez-vous vraiment que je n'ai pas vu sa haine dans ses yeux ? Le préjugé dans les vôtres ? Je les ai tous vu. Je l'ai toujours fait. Maintenant, dites-moi honnêtement – qui m'a donné une chance à partir du moment où j'ai été réparti à Serpentard ? »

La salle commune était complètement silencieuse à cela.

Potter regarda autour, les jugeant et Marcus eu l'impression d'être d'une certaine façon... déficient. Comme s'il n'avait pas passé un test important.

« Personne ? » dit sans émotion Potter à ce moment. « Il semblerait, que mon hypothèse n'était pas fausse, alors. »

Puis il se tourna vers le Prince.

« Je suppose que ce n'est pas plus mal si vous me bannissez de la maison, » et avec cela, il s'inclina et quitta la salle commune de nouveau.

Le moment où l'entrée se ferma, le Prince se retourna et regarda les autres élèves de Serpentard.

« Potter a maintenant démontré qu'il n'était pas l'un des nôtres. À partir de maintenant, nous allons le traiter comme la nuisance qu'il est. Peut-être qu'il apprendra à se comporter comme un bon Serpentard. »

Dès lors, le garçon Potter fut essentiellement évité par le reste de la maison. Le Prince s'évertua à ce que personne ne pense même à parler au garçon ou même à travailler avec lui.

Si cela c'était produit pour un autre, le directeur de maison serait intervenu, mais c'était Potter – donc rien de ce genre ne se produit.

Au lieu de ça, cela empira au fil du temps. Ils changèrent le mot de passe afin que Potter ne puisse plus entrer dans la salle commune et les dortoirs, s'assurèrent qu'il ne puisse plus manger à la table de Serpentard et firent de sa vie un enfer.

Potter à la place, ne semblait pas trop dérangé par cela. Il se moqua de leur comportement, ses yeux les regardant constamment, toujours allumé avec ce feu argenté, observant plus que quiconque.

Au lieu d'être assis à la table de Serpentard, il était assis à Gryffondor.

Au lieu de parler à des amis ou camarades de dortoir, il commença à parler à son chapeau.

Et même avec le mot de passe changé, on pouvait toujours le trouvait dans la salle commune ou les dortoirs après le couvre-feu – personnes ne sachant comment il était entré.

À la surprise de Marcus, Theodore Nott, contrairement aux autres, ne se détournait jamais de son chemin de façon à fuir l'autre garçon ou le rendre misérable. Il ne parlait pas officiellement à Potter, mais il ne disait rien quand le garçon était assis à côté de lui dans la salle commune ou à la bibliothèque. Au lieu de cela, il donnait souvent ses devoirs à Potter à relire et les corriger pour lui ou lui prêter un de ses livres.

Les autres Serpentard regardèrent ce spectacle avec un mauvais œil, le Prince semblant de plus en plus en colère à mesure que Nott ignorait ses ordres.

Ce fut le lendemain d'Halloween, que Marcus réagi finalement.

Il saisit Theodore Nott par le bras et l'entraîna dans une salle de classe inutilisé juste après les cours.

Nott le regarda juste froidement.

« Tu veux quelque chose, Flint ? » lui demanda-t-il.

Les yeux de Marcus se rétrécirent, mais Theodore était un première année de Serpentard d'une famille respectait qui était allié avec les Flints. Marcus devait au moins essayer de le mettre en garde.

« Le Prince n'est pas ravie de toi, Nott, » dit-il. « Si tu ne commences pas à t'éloignait de Potter, il va agir. Je ne veux pas que tu ais à le battre en duel pour tes décisions. Tu perdras si tu le fais. »

Les yeux de Nott rétrécirent à cela.

« Je vais tenter ma chance avec lui alors, » dit-il froidement finalement. « Je peux vivre avec sa colère – mais je ne survivrai pas si… » Il devint inaudible à cela, détournant la tête. « Peu importe. Je te remercie de l'avertissement, Flint. »

Mais cette fois, Marcus ne pouvait pas laisser cela se produire.

« Tu ne semble pas comprendre, Nott, » siffla-t-il. « Tu es aussi sur le point d'être rejeté par toute la maison de Serpentard pour tes actions – après avoir été complètement écrasé par le Prince lui-même pour ton refus d'écouter les règles. »

Il fut surpris quand Nott rencontra ses yeux, la tête haute, à cela.

« Je sais, Flint, » dit-il. Mais je ne peux pas suivre les ordres du Prince pour ça. Moi, contrairement aux autres, je tiens à ma vie - »

« Mais - »

« Tu as vu de quoi est capable Potter ! L'incident avec les Serdaigles – ce n'était pas de la chance ! Cette magie que tu as vue – elle était complètement sous son contrôle. Pas de la magie accidentelle ! Pas de la chance ! C'était un putain d'exemple effrayant de plein contrôle ! Le moment où le Prince voudra contester directement Potter, il perdra ! » élabora Nott.

Marcus soupira juste à cela.

« Potter est toujours un enfant de onze ans. Ses capacités à utiliser la magie ne sont rien mais ordinaire. Il n'a aucune chance… » expliqua-t-il finalement à l'héritier Nott. Dit-garçon leva juste un sourcil.

« Moi, pour ma part, je ne suis pas en mesure d'utiliser la magie du sang avec la même faciliter qu'il a démontré, » déclara froidement Nott à cela. « Si tu pouvais faire cela à son âge, alors peut-être que je me trompe et que je suis incroyablement lent à apprendre la magie comme ça, mais j'ai toujours pensé qu'il n'y avait pas beaucoup de personnes pour apprendre, ou même pour maîtriser la magie du sang à la génération de nos grands-parents – voir un si jeune, j'ai pensé qu'il valait peut-être mieux rester dans ses bonnes grâces… »

Ce fut alors le déclic dans l'esprit de Marcus.

Feu argenté dans les yeux de Potter.

Feu argenté, avalant pupilles et iris.

La magie du sang.

Même les sang-purs de nos jours avaient cessés de pratiquer ce genre particulier de magie pour la plupart. Il y avait des rituels qui étaient encore en partie enseigné à leurs enfants, mais la vraie magie du sang était considéré comme beaucoup trop dangereuse à pratiquer. Trop de sorciers avaient s'étaient soit perdu eux-mêmes ou avaient été forcé de payer un lourd tribut pour ses utilisations.

Aujourd'hui, il n'y avait plus beaucoup de personne qui l'utilisait. Les seuls dont Marcus pouvait se souvenir étaient les Ollivanders et, assez curieusement, les Lovegoods. Et aucune de ses familles n'étaient connus pour être tout à fait saine d'esprit…

« Comment as-tu - ? » commença-t-il à demander, mais Nott l'interrompit.

« -Sut ? » dit-il railleur. « J'ai su dès le moment où je vis ses yeux brillait dans le noir. Contrairement aux autres, je n'ai pas oublié les histoires que mes parents me disaient enfant sur Salazar Serpentard. Je suis même allé jusqu'à confirmer mes doutes au près du Baron Sanglant le jour après avoir été sauvé par Potter. Sais-tu ce que m'a dit le Baron ? Il a dit : 'Quoi que vous fassiez, n'allez pas à son encontre. Allez à l'encontre votre propre maison. Allez à l'encontre de l'école – si vous le devez, allez à l'encontre du monde entier ! Mais n'allez pas à son encontre si vous voulez vivre.' Comme je l'ai dit, je tiens à ma vie. Même si je suis rejeté par la maison, même si je défiais à un duel – je resterai dans les bonnes grâces de Potter. »

Et avec cela, Nott quitta la salle, laissant derrière un Marcus Flint songeur.

Ce soir-là, le Prince défia finalement Theodore Nott en duel devant toute la salle commune.

« Puisque que tu penses que tu peux refuser de m'écouter, je suppose que tu es prêt à me combattre, » se moqua-t-il du garçon. Theodore Nott rendit le regard enragé avec des yeux vides.

« Je ne pense pas que je peux gagner contre vous, Prince, » dit-il finalement.

« Donc, tu admets déjà la défaite ? » Ricana le Prince.

Le reste de la salle commune rigola à cela – du moins, jusqu'à ce que le Baron Sanglant entra.

« J'ai été alerté d'un défi pour le chef des élèves de Serpentard ? » demanda-t-il d'une voix grave.

Marcus frissonna à cette voix. Cela lui donnait toujours des frissons et normalement, il préféré quitter la salle commune si quelqu'un défié le Prince puisqu'il détestait entendre la voix du fantôme quand il venait observer le duel.

Cette fois, Marcus ne pouvait s'en allait. Nott était un allié de sa famille – il devait au moins regarder le duel.

« Theodore Nott a décidé que mes ordres n'étaient pas définitifs, » dit froidement le Prince. « Puisqu'il a décidé qu'il savait mieux, il doit me le prouver. »

Le Baron Sanglant se tourna ver s Nott à cela – et, à la surprise de Marcus, grimaça.

« Êtes-vous sûr de vouloir faire cela, prince ? » demanda-t-il finalement au Prince, tandis que ses yeux ne quittait pas l'enfant Nott. « Il n'est même pas la moitié de l'année depuis le début du terme. Vous avez déjà décidé une fois à tort – voulez-vous vraiment vous faire défaire ? »

Le Prince fronça les sourcils à cela.

« Je n'ai rien décidé à tort, Baron, » commença-t-il à dire, mais le Baron soupira juste et secoua la tête.

« Alors faites-le, Prince. Et faites-le maintenant. Si vous êtes chanceux, il ne le saura pas jusqu'à ce que vous ayez terminé ici, » dit le fantôme avec lassitude. « Bien que je ne compterais pas sur elle… »

Immédiatement, le reste de la salle commune fit un peu d'espace pour le Prince et son adversaire. Theodore Nott se tenait toujours, comme enraciné sur place et Marcus pouvait voir la peur dans les yeux du garçon, que le garçon essayait désespérément de cacher. Pour être honnête, Marcus était surpris que le garçon soit encore debout et n'ai pas fui jusqu'à présent.

Puis la plate-forme s'activa et les sorts qui protégeraient les opposants de la foule, et la foule des sorts des opposants, apparurent.

Le Prince sourit et sortit sa baguette.

L'enfant Nott se tenait juste là, suant maintenant de peur.

Puis le Prince agita paresseusement sa baguette, lançant une malédiction à l'enfant. Marcus la reconnu immédiatement comme une malédiction de douleur limité.

Personne ne s'attendait à ce que ce duel ne dure plus que d'un sort – et peut-être qu'ils auraient eu raison, si le sort avait touché sa cible.

Cela ne se produisit pas, ce fut soudainement repoussé et retourné à l'envoyeur avec une force qu'un Protego normale ne pouvait rassembler.

« Il semble que vous n'avez pas tenu compte de mon avertissement, petit Prince, » prononça une voix douce, et puis Harry James Potter entra complètement dans la salle commune. Ses yeux brûlaient d'un feu argenté et l'attitude insouciante qu'il affichait en dehors de la salle commune avait changé pour le même masque inexpressif qu'il avait affiché lorsqu'il s'était chargé des intimidatrices de Serdaigle et des menaces du Prince.

Le Baron Sanglant se tourna vers le nouvel arrivant.

« Mīn hearra, » dit-il en hésitant. « Je pensais que vous n'étiez pas intéressé dans l'habituelle querelle pour la place du chef des élèves. »

Les yeux argentés se tournèrent vers le Baron Sanglant.

« Je ne vois aucune raison de ne pas le faire, Edward, » dit-il. « Mais puisqu'il semble que rester en dehors de ce genre de querelle enfantine ne soit pas accepter et puisque je les aie menacés avant et qu'ils ne veulent toujours pas écouter, je suppose que je dois appliquer véritablement ma menace. »

Et avec cela, ses yeux argentés trouvèrent ceux du Prince.

« Sa'zu, » dit une autre voix, venant du chapeau de Potter. « Ce sont des enfants… »

« Ce sont des Serpentard, gúþwine, » répondit le garçon Potter. « Ils devraient savoir mieux. »

La réponse fut un soupir du chapeau enchanté.

« Au moins, respecte les règles d'Helga pour les punitions, s'il te plaît ? » demanda-t-il ensuite.

Potter sembla considéra cela pendant un moment, puis il haussa les épaules.

« Très bien. Pas de mise à mort, alors, » dit-il, et cette fois, un frisson de peur parcouru Marcus. Cela n'aurait pas dû sonner aussi menaçant que ça l'a fait, étant donné que cela venait d'un enfant de onze ans.

Le Prince se moqua à cela.

« Donc tu penses que tu peux tout simplement t'interposer dans le duel entre moi et Nott ? » dit-il en ricanant.

Potter souleva juste un sourcil et tourna son regard vers le Baron Sanglant.

« En fait, puisque vous avez défié un de ses alliés, il le peut, Prince, » dit le fantôme avant de se tournait vers Potter. « Puis-je vous rappelez le tapis, mīn hearra ? » demanda-t-il. « Je ne pense pas que, contrairement à la dernière fois, cela sera aussi aisée d'en trouver un après l'avoir souillait avec le sang. Qualité comme ça coûte une petite fortune maintenant. »

Marcus n'était pas le seul à fixait le Baron Sanglant après cette exclamation.

« Le… le tapis ? » entendit-il un des jeunes élèves bégayais. « Pourquoi êtes-vous inquiet pour le tapis ?! »

Le Baron Sanglant haussa simplement les sourcils, clairement indifférents.

« Il a réussi à presque saigner son dernier adversaire sur le dernier, » répondit le fantôme. « Non pas que je n'ai jamais aimé l'ancien tapis. Mais celui-ci est une toute autre affaire. »

« Il peut encore déclarait forfait, » dit Potter tout en sortant de la zone d'ombre pour allait dans la zone de duel. « Ainsi il n'y aura pas de chance que le tapis soit souillé. »

Le Baron soupira et se tourna vers le chapeau.

« Et vous avez cru que vous étiez parvenu à réduire un peu ses vieilles habitudes, » dit-il.

Le chapeau ricana.

« Au moins, il a décidé de la jouer fair-play grâce à moi ? » proposa-t-il.

Le baron soupira de nouveau, puis se tourna vers le Prince et Potter.

« Très bien, commencez, » dit-il tout en faisant un signe à l'enfant Nott de quitter la zone de duel, ce que l'enfant fit avec reconnaissance.

Le Prince se tourna vers son nouvel adversaire, jugeant Potter avec un ricanement.

Marcus savait que la majorité de la salle commune s'attendait à ce que cela finisse aussi rapidement qu'aurait dû le duel de Nott. Potter n'était qu'un premier année, après tout.

Mais Marcus – même s'il n'y avait pas vraiment compris l'interaction entre le Baron Sanglant et Potter – n'était pas sourd. Il avait entendu la finalité qu'avait utilisée le Baron en parlant du duel. Le Baron n'avait même pas envisagé que le Prince gagnerai…

Puis le Prince jeta son premier sort – une malédiction de coupe à la limite du légale.

Potter fit un pas sur le côté.

« Trop lent, » dit-il.

Le Prince grogna et jeta son deuxième sort, et de nouveau Potter fit un pas sur le côté.

« Encore trop lent. »

C'était comme regardé un enfant de bas âge essayait de dépasser un adulte.

Qu'importe ce que lançait le Prince, Potter faisait toujours simplement un pas sur le côté et laissez passer.

En quelques minutes, le Prince commençait à être frustré – les commentaires de Potter sur sa vitesse n'aidant pas.

Les sorts du Prince devinrent plus erratiques et la frustration brisa le masque de Serpentard du Prince – pourtant, Potter n'avait pas brandit sa baguette, mais évitait les sorts de toute façon.

« Ta visée est vraiment mauvaise maintenant, » commenta Potter.

« Sale petit - ! » et avec ça, le Prince chargea le petit première année, magie oubliée. Il balança son poing vers le jeune garçon, mais Potter esquiva puis riposta.

Marcus ne pouvait même pas suivre Potter avec ses yeux. Une seconde, le garçon avait esquivé la charge du Prince, la suivante dit Prince était couché au sol, la tête tenu sur le côté par une main dans les cheveux et un couteau sur la gorge.

« Performance pitoyable, » dit froidement le garçon. « Pas de patience, pas de discrétisions, pas de force dans votre pouvoir, ni une bonne position ou stratégie. Si je l'avais voulu, vous seriez mort dans la seconde. »

Un immense silence empli la salle commune à cela. Ils regardaient tous vers leur Prince et l'un des garçons qu'ils avaient rejetés.

« Espèce - ! » s'exclama le Prince, et essaya de se jeter sur l'enfant Potter. L'instant suivant, du sang souillait le tapis et les Serpentard qui avaient décidés de brandir leurs baguettes pour aider le Prince, crièrent lorsque leurs mains commencèrent à cloquer.

Le Prince fit un bruit d'étouffement. Il n'était pas mort, pour l'instant, mais compte tenu de la quantité de sang perdu, il le sera dans les minutes qui suivent.

Potter le regarda froidement, ses yeux tranquilles comme si cela ne le dérangeait pas le moindre du monde qu'il vienne juste de presque trancher une gorge.

Le Pince à la place – comme la plupart des Serpentard – avait la panique dans ses yeux.

Même Marcus tremblait sous le choc et la peur.

Potter, au lieu de cela, se leva juste et rangea son couteau avant de regarder avec intérêt sa main trempée de sang. Il frotta son pouce contre son index et le majeur, étalant le sang un peu plus – tout étant absolument pas dérangeait par les souffles d'étouffement du Prince.

Puis les premiers Serpentard comprirent ce qui se passait exactement et soit se retournèrent pour quitter la salle commune pour appeler Madame Pomfresh ou le directeur de maison, tandis que d'autres se précipitèrent aux côtés du prince soit pour endiguer le flux de sang ou essayer des sorts de soins sur lui.

Aucun des sorts ne fonctionna et l'entrée ne voulait pas s'ouvrir.

Une pure crainte était maintenant mêlée sur tous les visages des élèves de Serpentard.

Puis Potter leva les yeux, juste vers le Prince qui s'étouffait dans son propre sang.

« La prochaine fois, » dit froidement Potter. « L'illusion d'une gorge tranchée sera le dernier de vos soucis. »

Et avec cela, il laissa sa main retomber à ses côtés – et avec elle, le sang sur sa main et le tapis disparu. La blessure sur la gorge du Prince disparu aussi tout simplement de l'existence. Immédiatement, la main du Prince saisit sa propre gorge, confirmant qu'elle était entière et indemne.

Puis il se tourna vers Potter.

Le garçon retourna son regard également.

« Je ne vais pas jouer à nouveau, » dit Potter sans émotion, puis il se retourna et sortit de la salle commune à nouveau – l'entrée coulissant pour s'ouvrir pour lui comme si de rien n'était.

Les autres Serpentard suivirent sa silhouette avec leurs yeux en silence.

Lorsque l'entrée se ferma, le silence resta jusqu'à ce que Marcus retrouve finalement sa voix.

« Une illusion ? » demanda-t-il, toujours pâle de peur. « Comment ? Je veux dire… on ne peut pas produire simplement une telle illusion réaliste avec un simple charme… »

Ce fut le Baron Sanglant qui répondit.

« Ce n'était pas un charme, » dit-il. « Il est un maître des arts de l'esprit. Quoi que vous ayez vu – cela ne s'est jamais produit. Il a crée tout cela dans vos têtes. »

« Mais – pourquoi ? » questionna un des troisièmes années. « Pourquoi ?! »

La réponse fut un regard grave.

« Parce que pour toute sa nature enjouée, il est toujours une personne que vous ne voulez pas croiser. Il ne tolère pas l'intimidation et il ne tolère pas la partialité. Soyez heureux que sa méthode préféré pour enseigner ceux qui l'offensant, sont les illusions. »

Et ce fut finalement le jour où les Serpentard comprirent que le garçon Potter était non seulement l'un d'entre eux – mais aussi leur supérieur.

Le lendemain, quand Marcus vint à la table dans la Grande Salle et trouva Potter mangeant à sa place, il déglutit avant de se mettre sur une autre place.

Marcus ne se souciait pas de ce que dira Rogue.

Potter était un Serpentard.

Il était une sorte de type insouciant.

Il était meilleurs amis avec Griffondor.

Il aurait aimé être répartir soit chez les Griffondor ou les Poufsouffle.

Il n'a pas de rang officiel dans sa maison.

Bref – tout cela ne changeait rien.

Potter était un Serpentard – et aucun des Serpentard ne voudra plus jamais le défier à nouveau.

sSsSsSs

« Je pense toujours que vos actions n'étaient pas correct, » dit en soupirant Lena.

Salazar haussa juste les épaules.

« Je m'en moque, » dit-il. « Je devais leur apprendre – leur apprendre j'ai fais. C'était la même chose la dernière fois que j'ai fais partit de la maison. »

« La dernière fois vous étiez le directeur, mon oncle ! » s'exclama Lena, agité. « C'était différent ! »

Salazar grogna à cela.

« Non, je ne l'étais pas, » dit-il. « La dernière fois, j'étais un étudiant – exactement comme maintenant. »

« Alors pourquoi -»

« Parce que j'étais toujours à la recherche d'un moyen pour expier mes péchés, » répondit en soupirant Salazar.

« Et maintenant, vous ne l'êtes plus ? » demanda surprise Lena.

Salazar secoua la tête.

« Je le ferais toujours, » dit-il sincèrement. « Jusqu'à mon dernier souffle, je vais essayer de réparer le grief que j'ai causé à ceux que j'aimais le plus. C'était ma faute. Tout ce qui est arrivé était de ma faute. J'ai fait une erreur et nous l'avons tous payé dix fois. »

« Mère objecterai -»

Salazar secoua juste la tête.

« Elle ne le ferai pas, » dit-il.

« Mais Peeves le ferait, » déclara le Choixpeau et Salazar cligna des yeux à cela, confus.

« Peeves ? » demanda-t-il. « Je croyais -»

« Nope. Elle ne déteste plus ce nom maintenant. Elle se fait appeler comme ça depuis des siècles maintenant. Je suis vraiment surpris que tout les deux vous ne vous soyez pas rencontré jusqu' à maintenant… » dit le Choixpeau.

Salazar cligna des yeux.

« Eh bien, j'étais préoccupé, » dit-il. « Mais je suppose que tu as raison. Je devrais rencontrer Peeves de nouveau… »

Le Salazar sourit.

« Mais d'abord, je vais devoir mettre en place ma prochaine farce en l'honneur de la sorcière la plus brillante que je connaisse ! Est-ce que tu crois qu'elle va apprécier cela ? »

Le Choixpeau gémit juste.

« Juste ne fais rien à la bibliothèque. Si tu le fais, je suis pratiquement sûr que tu n'apprécieras pas sa réponse à ta blague ! »

Le sourire en réponse n'était pas du tout rassurant. Mais bon, c'était Salazar Serpentard – donc à quoi s'attendait Godric…

« Nous sommes morts. Il n'y aucun moyen que nous survivons à sa colère. »

sSs

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sSs

Explication :

mīn hearra – mon seigneur

Gúþwine – vieil anglais pour 'camarade de guerre'

sSs

Donc voilà pour aujourd'hui.

Désolé que cela ai pris autant de temps. Dernière année d'université et autre. Comme cela ai, je suis heureuse d'avoir trouvé le temps pour finalement mettre à jour. Je déteste définitivement la vie réelle TT.

Eh bien, jusqu'à la prochaine fois.

Ebenbild