Bonjour tout le monde ! Je tiens à vous souhaiter de bonne fête !
Et nous y voilà ! Je poste enfin l'épilogue de cette belle histoire. C'est une page qui se tourne mais je ne veux pas plomber l'ambiance maintenant !
Chanson du chapitre : Safe & Sound - Taylor Swift
Épilogue
La jeune femme était dans l'herbe fraîche, sous le saule pleureur de sa maison. Elle regardait les enfants jouer dans l'immense jardin. Max et Rafaël Lightwood-Bane embêtaient le plus jeune avec des sarbacanes.
-Max, Rafaël ça suffit ! Les disputa leur tante.
-Je crois que c'est peine perdue Isa.
Clary sourit à son parabatai, sa moitié. Les enfants de Magnus et Alec adoraient les farces. Particulièrement quand Max usait de sa magie. Clary laissait les enfants jouer. Ce n'était que des blagues sans méchanceté et elle savait pertinament que son fils ne se laissait pas faire. Isabelle mangeait paresseusement son pudding en caressant son ventre. Après deux tentatives de grossesse sans succès, Isabelle attendait enfin son enfant. Elle accoucherait dans un mois à Idris et avait hâte de pouvoir prendre son fils dans les bras. Cette grossesse était très importante pour Isabelle, donc pour Clary. Combien de nuit Isabelle avait-elle passé à pleurer dans les bras de son parabatai ? Isabelle, dans toute sa puissance et sa grandeur, avait montré sa faiblesse devant ses fausses couches. Alors quand Isabelle avait passé le stade fatidique des trois mois sans complication, elle avait enfin profité pleinement de cette grossesse. Un bonheur que toute la famille partageait.
-Benjamin remue sans cesse depuis ce matin.
-C'est un digne descendant des Lightwood, sourit Clary.
Les deux femmes avaient le bonheur d'attendre un enfant en même temps. C'était encore un évènement qui avait rapproché les deux femmes. Elles se confiait des secrets, des astuces et partageaient en même temps leur échographie.
Les trois enfants se chamaillaient à propos d'une énième bataille d'eau quand Isabelle perdit sa patience.
-Comment peux-tu laisser les gamins faire autant de bruit ? Le médecin ne t'a pas prescit calme et repos jusqu'à la fait de ta seconde grossesse ?
-C'est pour ça qu'on est à Idris non ?
-Non c'est parce que Maia insistait pour que Will passe ses vacances chez elle. Et qu'il ne voulait pas être entouré de loup-garous.
Clary allait répondre quand elle reçut une énorme vague d'eau sur le visage.
-William Luke Herondale. Cesse de rire immédiatement.
Devant l'hilarité des enfants, Clary perdit courage. Le manoir Herondale était toujours le terrain de jeu favori des enfants avec son immense jardin et son étant privé. Il était difficile de canaliser les garçons quand leurs pères n'étaient pas là.
-Qui a fait ça ? Demanda une voix dans le dos de Clary.
-Oh ça va chauffer, ricana Isabelle.
-Qui a fait ça ?
-Jace ne sois pas trop sévère, soupira Clary.
Les trois enfants baissèrent la tête. Il y avait une grande solidarité entre eux, ce dont Clary était vraiment fière. Le trio n'aurait jamais dénonçait l'un d'eux. C'était à la fin à la mort et cela depuis qu'ils avaient commencé à jouer ensemble. Et surtout à faire des bêtises.
-Papa on a pas fait exprès et...
Jace croisa les bras. Il regarda son enfant et un sourire apparut sur ses lèvres.
-Will, qu'est-ce que j'ai dit à propos de jeter de l'eau sur les adultes ?
Le garçon marmonna quelque chose. Clary voyait bien que son fils se sentait coupable de cette bêtise. Elle le connaissait suffisamment pour savoir que c'était lui qui avait jeté de l'eau sur sa mère et sa marraine.
-Je n'ai pas compris Will.
-Qu'il ne faut pas jeter de l'eau n'importe comment.
-Exactement. Si tu vises ta mère, assure-toi que tu l'aveugles assez longtemps pour te cacher.
-Jace ! Protesta sa femme.
Le père des deux enfants prit son fils dans ses bras et le fit tourner.
-Comment se porte mon enfant préféré ?
-Tu n'as que moi, répondit Will en levant les yeux au ciel.
-Et bien je connais déjà tes soeurs.
-Ça compte pas, protesta son fils.
Clary regarda le père et le fils rire ensemble. Ils se ressemblaient tellement que Clary en était presque jalouse. Elle n'avait donné que ses boucles rebelles à son fils. Le reste venait de son père. Jace relâcha Will et alla voir ceux de son parabatai. Il leur ébouriffa les cheveux dans un geste tendre.
-Vous avez le bonjour de vos pères.
-Je suis sûr que dady a encore demandé quand est-ce que nous rentrons.
-C'est parce que dady et papa nous aimes, expliqua Rafaël.
-Dites les enfants, ça vous dit de passer la nuit chez grand-mère et grand-père ?
Les enfants de Magnus et Alec appelaient Jocelyne et Luke grand-mère et grand-père.
-Oh oui !
Clary laissa échapper un soupir de soulagement. Elle aimait Will plus que sa propre vie mais passer une soirée sans son fils de sept ans était un moment de répis que Clary accueillait avec plaisir. Et elle était loin d'avoir eu une journée tranquille. C'était l'anniversaire de Will et il fallait encore lui préparer la petite surprise.
Clary était devenue aussi bonne en cuisine que sa mère. Elle ne saurait jamais tricoter ou coudre droit mais elle laissait ce plaisir à Isa. Après tout les deux femmes n'étaient pas parabatai pour rien ! Quand Luke vint chercher les petits monstres, il passa voir les deux femmes enceintes.
-Comment vont mes trois petits enfants ?
-Benjamin ne cesse pas de remuer.
-Les petites ne remuent pas autant qu'on pourrait le croire. Elles sont plus calmes que ne l'était leur frère.
-C'est vrai que Will t'en a fait voir de toute les couleurs.
-Il tient de son père, plaisanta la petite rousse.
Isabelle se leva en prenant appuie sur Luke. Isabelle était devenue professeur d'équitation quand elle était à Idris. Simon lui, avait réussi à convaincre l'Enclave qu'un psychologue était très utile. Il travaillait souvent à Idris l'été mais pour rien au monde il n'aurait accepter vivre ailleurs qu'à New-York. D'ailleurs l'Institut était réputé être un très bon centre de formation depuis quelques années. Et quand Simon donnait des leçons de psychologie ou d'autres matières à des adultes formateurs, Isabelle apprenait aux enfants comment créer un lien avec les cheveux. Clary rejoint son mari dans la maison une fois les enfants partis.
-Tu sais que Maman va hurler quand elle apprendra que toute la tribu des petits monstres arrivent chez elle ?
-J'en ai parlé avec Luke au Conseil, il n'y voit pas d'objection et puis, on pourra préparer tranquillement l'anniversaire de notre enfant.
Jace posa les mains sur le ventre de Clary et le caressa tendrement. La jeune femme avait du mal à croire que sa vie était devenue si paisible. Après la mort de son frère, Clary avait eu beaucoup de mal à reprendre une vie normale. D'ailleurs y était-elle parvenue aujourd'hui ? Quand elle voyait tout le travail qu'elle devait faire, entre les cours de runes à l'Institut de New-York, les réunions du Conclave et les nombreuses disputes au seing de la famille, elle en doutait encore. Jace embrassa Clary et l'aide à préparer le repas du lendemain tout en lui détaillant les dernières informations de l'Enclave.
-Joyeux anniversaire Will, chantait toute la famille.
Tout le monde avait fait le déplacement à Idris pour l'anniversaire du fils de Clary et Jace. Les enfants étaient surpris car en général, leur anniversaire ne se faisait pas avec toute la famille. Will Herondale, portrait craché de son père, était à l'image de sa famille. Courageux, charmeur et sarcastique. Il avait le don pour faire rire tout le monde. Ses magnifiques yeux bleus pétillaient de bonheur et Clary tomba une fois de plus sous le charme de son fils. Comme le jour où elle avait accouché, à New-York. A surprise de tout le monde, Clary avait accouché avec seulement une semaine d'avance. Sa grossesse avait donné des cheveux blancs en plus à Maryse. Elle se considérait comme la grand-mère paternelle de Will, après tout, elle avait élevé Jace depuis son plus jeune âge. Dès le lendemain de la mort de Sebastian, tout l'Enclave avait débarqué à l'Institut pour vérifier la rumeur de cette mort. On avait demandé tous les détails à Clary mais elle avait refusé de se confier. Après tout, Sebastian était son frère. Et c'était elle qui l'avait tué, de ses propres mains. Elle l'avait fait pour le monde obscur, mais avant tout pour protéger Jace et son enfant. Elle avait encore beaucoup d'émotion en repensant à Sebastian. Au delà du monstre qu'il était, il avait simplement cherché à se faire aimer de Clary, elle ne pourrait jamais l'oublier. L'enterrement de Sebastian avait été rapide et sans cérémonie. Seuls Jace, Clary et ses parents y avaient assisté. Clary avait versé une seule et unique larme pour son frère. C'était un adieu au frère qu'elle avait voulu avoir, celui dont elle avait rêvé toute petite. Pas le monstre qui avait provoqué sa fausse-couche. Jace lui, n'était là que par respect. Après tout Sebastian aurait pu être son frère adoptif, ne l'avait-il jamais considéré ainsi au fond de lui ? Et le tuer avait été nécessaire pour Clary et Jace, pour protéger leur petit Will.
Clary cligna des yeux et ses souvenirs s'envolèrent pour revenir à l'instant présent. A l'anniversaire de son fils.
-Et où est Tessa ? demanda-t-il.
Clary s'était toujours étonnée de la relation très fusionnelle entre Will et Tessa. Elle en arrivait parfois à se demander si Will n'était pas la réincarnation de son ancêtre. Jace avait un jour dit à Clary que s'il avait appelé son fils William c'était en hommage à son ancêtre. Tessa arriva sans faire de bruit et cacha la vue au fils de Clary.
-Devine qui c'est.
-Tessa ! s'écria Will.
Le jeune garçon rit et prit Tessa dans ses bras. Clary regarda son enfant avec amour et bien bienveillance. Rien n'était plus beau que voir son enfant heureux. Will reçut beaucoup de cadeau, encore une fois. Mais le plus beau cadeau fut celui de ses parents. Ce cadeau avait provoqué une dispute chez les Herondale. Clary était contre cette idée mais Jace lui avait assuré qu'il était parfait pour Will. Alors Clary avait accepté à contre coeur.
-Viens là Will, exigea Jace.
Le petit garçon blond obéit sans protester, Jace avait une autorité naturelle sur son fils. Le père du petit garçon dévoila une cage contenant un faucon Pèlerin.
-Will je vais te raconter une histoire.
Clary se figea.
-L'homme qui m'a élevé m'a donné le même oiseau quand j'avais ton âge. Il m'a demandé de le faire obéir à n'importe quel prix.
-Et qu'est-ce que tu as fait papa ?
-J'ai rendu l'oiseau docile et aimant.
-Et qu'est-ce-qu'il s'est passé ?
-L'homme a tué mon oiseau. J'en ai retiré deux grandes leçons.
Will était très attentif au parole de son père.
-La première leçon à été de m'apprendre qu'aimer c'est détruire et qu'être aimé c'est aller à sa destruction.
-Mais papa tu m'as toujours dit que l'amour était une belle chose.
-J'en viens à ma deuxième leçon mon grand. J'ai ensuite réalisé que ce n'était pas l'amour qui détruisait tout. C'était la haine. La haine détruit tout sur son passage. Alors Will je te demande d'aimer cet oiseau du plus profond de ton coeur apprends-lui à t'aimer en retour.
Les yeux du petit garçon s'agrandirent de joie et il prit son père dans ses bras. Il remercia tout le monde pour ses cadeaux et fila à l'étage avec ses cousins.
-Ça manque vraiment de fille ici, se plaint Isabelle.
-Attends la prochaine fournée de Clary, on aura des filles en culotte qui hurleront tout autour de nous, plaisanta Simon.
Il se prit une claque derrière la tête de la part de sa femme. Ce qui fit rire Jace. Une sorte d'amitié courtoise était née entre eux. Enfin devant les autres. Alec avait confié à Clary que Simon et Jace s'entendaient vraiment très bien et échangeaient des plaisanteries. Surtout depuis le mariage de Jace et Clary. Comme si Jace avait enfin accepter l'idée que Clary n'aimait et n'aimerait que lui.
-En y repensant, vous avez choisi les prénoms de vos filles ? demanda Maryse.
Clary et Jace échangèrent un regard complice.
-Nous avons appelé la plus petite Celine Isabelle et la seconde Nevaeh Jocelyne, expliqua Clary.
Tout le monde accueillit la nouvelle avec joie. Il était évident que ces futurs enfants seraient heureux et aimés, tout comme l'était Will. Tessa alla chercher Will pour passer un peu de temps avec lui avant de repartir chez elle.
Une fois tout le monde rentré chez eux, Will se blottit contre sa maman. Il posa sa tête sur son ventre et chanta une berceuse pour ses petites soeurs.
-À la ronde, jolie ronde, des bouquets plein la poche. cendre cendre, nous tombons tous.
Clary serra son fils fort contre elle, elle détestait cette berceuse mais elle faisait partie des berceuses traditionnelles des Herondale. Cette berceuse rappelait trop à Clary son passé. Elle ne le détestait pas particulièrement mais elle détestait d'avoir perdu autant de personne. Et les cendres, les cendres étaient tout ce qu'il restait de ses personnes mortes.
Clary caraissait les boucles blondes de Will. Son petit trésor. Il dessinait des formes avec son doigts sur le ventre de sa mère. Nouant ainsi des liens avec Celine et Nevaeh. L'insouciance de Will et l'ignorance de l'histoire de sa famille était une des choses que Clary aimait chez Will. Maintenant qu'elle était mère, elle comprenait mieux le comportement de sa mère. Garder les secrets sombres, les histoires douloureuses et les actes difficiles à expliquer à un enfant, était probablement plus sage pour le moment. Elle se promit qu'un jour, elle raconterait toute son histoire à ses enfants. Elle expliquerait pourquoi un carnet de dessin se trouve sur sa table de nuit. Elle racontera comment elle a rencontré leur père. Elle parlera de Tobias, de Samuel. Elle dévoilera l'existence de Sebastian. Peut-être même qu'elle expliquera pourquoi leurs parents dorment avec une arme sous l'oreiller. Oui un jour, Clary leur racontera tout. Mais pas maintenant. Parce que son enfant était trop petit. Au fond, elle se doutait qu'un jour, Will saurait tout ce que ses parents avaient traverser avant de l'avoir. Il posait beaucoup de question sur les dessins de sa mère, les cauchemars qu'elle faisait chaque année à la même date. Et surtout, il parlait parfois de Samuel. Pour lui ce n'était que l'immense arbre dans le jardin de l'Institut, juste un compagnon de jeu. Mais Clary n'était pas prête de lui parler de tout ça. Elle attendrait encore quelques années. Elle voulait qu'il grandisse dans un monde utopique, sans danger. Un monde pour lequel Clary et Jace avaient combattu. Un monde pour lequel Clary avait tué son propre frère.
-Tout va bien mon ange ? demanda Jace.
Clary n'avait même pas remarqué les larme sur son visage jusqu'à ce que Jace les essuie.
-Je vais bien, je repensais juste à notre vie d'avant.
Jace regarda son fils avec tendresse. Jace avait beaucoup de mal à reparler de leur passer. Pas pour l'oublier mais par pudeur. Il lui arrivait de pleurer dans les bras de Clary. Plusieurs fois, Clary avait retrouvé Jace dans ses pensés, le regard triste ou apeuré. Et puis les peurs étaient devenues des vieux souvenirs avant de se transformer en fantôme. La naissance de Will avait permis au couple de se renforcer et de devenir encore plus fort. Ils s'étaient mariés quand Will venait d'avoir deux ans. Un mariage tout en simplicité, devant l'Inquisitrice, leurs proches à Idris. Et puis, cédant à Clary, Jace avait accepté qu'ils se marient également à New-York. Pour la paix et pour Clary, ils avaient même élevé leur fils à New-York. Ils ne voulaient pas que Will subissent la pression de parents célèbres. Ils voulaient que leur enfant vive dans une ville où il était tranquille dans la rue, où il pouvait aller à l'école comme les autres enfants. Will avait reçu une éducation mêlangeant tradition nephilim et terrestre. Il avait été à l'école privé la plus réputée de la ville et avait appris à se battre en même temps. Il ne portait pas encore de rune mais était déjà promis à un avenir radieux. Tout le monde en avait conscience. D'ici quelques années, Will quitterait New-York pour se forme dans un autre Institut, choisis par Jace et Clary, probablement celle de Los Angeles. Là où vivaient Tessa et Jem et Emma Carstairs, l'amie de Clary. Jace et Clary suivraient le même schéma pour leurs filles. Même s'ils avaient bien conscience que des jumelles étaient plus compliqués à gérer qu'un enfant tout seul. Et puis les filles étaient toujours difficile à élever, selon Magnus.
-J'espère que nos filles seront aussi adorables que Will, chuchota Jace.
Il le prit dans ses bras, le petit garçon s'était endormi avec son doudou dans les mains. Il aida de son autre main Clary et lui serra sa main.
-Allons nous coucher Clary, il est tard.
FIN.
Et voilà. Il ne me reste plus qu'à faire beaucoup de remerciement !
Tout d'abord, je fais des milliards de bisous à ma parabatai, celle qui est devenue mon bras droit, ma confidente, ma Leeyh Je suis tellement heureuse d'avoir écrit cette fanfiction car c'est grâce à elle que je l'ai rencontré. Elle, cette fille adorable, incroyable et drôle. On a des espèces de connexions mentales qui font d'elle ma parabatai !
Je remercie également tous mes lecteurs ! Que vous ayez laissé des reviews ou non, vous avez été là ! Merci beaucoup !
J'ai commencé cette histoire il y a plus d'un an maintenant. C'est une page de ma vie d'auteur. Une page que j'aime plus que les autres.
J'ai commencé une nouvelle histoire (Youpi !) mais je ne sais pas ce qu'elle vaut. Je n'y suis pas autant attachée qu'à celle-ci. Leeyh m'a demandé un jour pourquoi j'avais plus de mal avec cette nouvelle histoire. Je te réponds ici : Tu vois, Ce n'est pas si facile, m'a fait découvrir la joie de l'écriture spontanée sans plan. Elle m'a aussi fait découvrir un univers plus merveilleux que je ne le pensais. le fandom de TMI est génial ! Il suffit de te connaitre pour en avoir la preuve.
J'ai aussi connu beaucoup de galère durant cette année d'écriture, à commencer par la destruction de mes rêves de petite fille. Et une des choses qui m'a aidé à sortir du lit, à continuer de vivre était Ce n'est pas si facile. Parce que je savais que vous deviez avoir la suite. Car il n'y a rien de pire que de commencer une histoire sans en connaitre la fin. Alors je me levais, l'écrivais, je postais. Voilà. Et puis aussi Ce n'est pas facile, a été le début de notre grande amitié. Et ça, rien ne pourra la remplacer. Il y a des amitiés plus précieuses que d'autres. La tienne m'est précieuse. Donc cette histoire m'est précieuse.
Que reste-il à dire ? Pas grand chose !
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Je vous souhaite tout le meilleur que la vie peut vous offrir. Je vous aime tellement mes Anges ! Que l'Ange Raziel vous accorde sa bénédiction et veille sur vos jours.
Alouqua, votre auteur dévouée et totalement folle ! (On se retrouve bien, je le jure sur l'Ange)