Hey, hey, hey! Désolé pour le retard, vraiment. Je ne pensais pas continuer cette histoire pour être honnête, mais l'inspiration m'est revenu donc voici un chapitre ben plus long que les précédents pour me rattraper.

J'espère que vous ne serez pas déçus.

Bonne lecture et n'hésitez pas à commenter.

Le réveil avait été difficile pour les six jeunes britanniques. Hermione s'était réveiller avant tout le monde et s'était accoudée à la fenêtre pour observer la forêt. Cinq heure trente. L'Angleterre prolétarienne se levait pour traîner sa carcasse à l'usine, la jeunesse britannique rentrait de boite de nuit, les veine enivrée d'alcool et le regard bleu de fatigue. Les commerçants ouvraient leur stores, les jeunes marchands de journaux commençaient leur tournées, la ville de Londres devait s'éveiller petit à petit mais elle ne pouvait pas le voir. Perdue au milieu de la forêt, emprisonné pour la bonne cause, séquestrée par la justice, elle attendait patiemment que les autres se réveillent.

Sa place était-elle vraiment dans cette demeure ? Y avait-il un destin, un parchemin tracée à l'encre qui recensaient son parcours ? Peut-être bien qu'il s'agissait là d'une œuvre du destin. Peut-être qu'elle avait sa place ici, finalement. Elle ne savait plus où donner de la tête, elle ne savait plus si les principes qu'elle avait fondé, l'histoire qu'elle avait apprise par cœur dans d'immense livres poussiéreux étaient véritables. Elle ne savaient plus si ses petites valeurs de petite anglaise valaient encore réellement quelque chose.

Elle décida de prendre une douche en attendant que les autres se réveillent. Elle se dirigea donc vers les douches communes, se déshabilla après avoir vérifié que personne n'était aux alentours et se glissa sous l'eau chaude. Elle sentit les muscles de son corps se détendre, son esprit s'adoucir et s'abandonna à ce petit moment de plaisir. Quand elle sortit de la douche, ses cheveux bruns ondulé mouillés, elle entoura son corps d'une serviette en attendant de sécher puis s'habilla d'une tenue de sport.

Lorsqu'elle sortit dans le couloir pour rentrer dans son dortoir, elle croisa Sirius qui la toisa du regard, intrigué qu'elle sorte de la douche si tôt le matin. Hermione, elle, fut intrigué de la présence si matinale du parrain de Harry.

- Déjà réveillée, Hermione ? Demanda ce dernier

- Oui, je ne dors pas beaucoup la nuit.

- Je vois ça. Tu ne sera pas en retard, au moins.

- C'est certain... Répondit la brune.

Sirius lui tendit un sourire amicale puis fit demi tour pour retourner en direction de la cuisine mais Hermione l'interpella.

- Pourquoi sommes nous ici ?

L'homme se retourna pour lui faire face. Il l'observa un instant, semblant peser le poids de sa réponse.

- Pour la justice, Hermione.

- Quelle justice ? Qu'est-ce que vous attendez de nous ? Qu'est-ce que le Cercle attends de six jeunes paumés, produit de l'Angleterre de Thatcher.

- La révolte, jeune fille. C'est normal que tu te pose des questions, mais dès que tu commencera le combat, tu sentira le besoin de justice couler dans tes veines, tu vivra pour ça, tu mangera pour sa tu te lèvera pour ça le matin. Tu ne pensera qu'à ça et tu comprendra pourquoi tu es là. Des gens meurent, Hermione, des gens crèvent de fin dans les rues de Londres, des familles sont bombardés par l'armée britanniques en plein cœur de Belfast, tu n'as pas vu la misère, alors tu ne sais pas pourquoi tu es là, mais accepte de la regarder en face, sans baisser les yeux. Car si tu baisse les yeux devant la misère, c'est que tu as honte, que tu te sens responsable. Tout ceux qui laisse Thatcher et l'armée britannique détruire des familles entières sont responsable. N'oublie jamais que cette femme a été élue.

Hermione ne répondit rien, elle essayait d'enregistrer les mots de Sirius, de les graver dans sa mémoire, comme pour se prouver que sa présence au sein du cercle avait un sens. Elle baissa les yeux et fit demi-tour. Le réveil allait bientôt sonner pour les autres, alors elle regagna sa chambre, prête à démarrer la journée.

Les autres se levèrent les uns après les autres. Les yeux embués par la fatigue, le corps engourdi, mais l'esprit était là, et il devait le rester. Tous descendirent à la cuisine ou leurs mentors les attendaient. Ils prirent place autour de la table sans un mot et commencèrent à se servir dans le petit déjeuné qui avait été mis à leur disposition. C'est cet instant que choisis Remus pour prendre la parole.

- Bien, j'espère que vous avez tous passé une bonne nuit, et que vous êtes prêts pour la première journée : La journée de teste.

- Qu'est-ce que c'est ? Demanda Luna

- J'y vient, Luna. Cette journée va consister à vous faire passer toute une série de testes dans toutes les disciplines pour définir vos domaines de prédilection. Vous allez passer une série de cinq testes : Tir à l'arme blanche, tir à l'arme à feu, vol à la dérobée, combat, stratégie. Vous serez évalué par vos tuteurs, à savoir Sirius, Lily, James et moi même. Après ces testes, nous vous attribueront des spécialités, ces spécialités détermineront votre emploi du temps puisqu'elles seront les disciplines qui vous prendront le plus d'heure d'entraînement dans une semaine complète. Sur ce, bon appétit et soyez prêts.

Ils ne répondirent pas et se mirent à engloutir leur petits-déjeuners. Ils partirent ensuite courir pendant une demi heure dans la forêt avec Sirius. Il s'agissait d'une sorte d'échauffement.

- Comment tu fais pour tenir le rythme comme ça Luna, tu transpire même pas ! S'exclama Harry en essayant de rattraper la jeune blonde dans sa course.

- C'est grave à la méditation ça, Harry. Je médite souvent pour apprendre à mon esprit à dompter mon corps. Tout est dans la tête tu sais, une fois que tu as fait comprendre à ton cerveau qu'il était le maitre, tout n'est plus qu'une question de maîtrise de sois.

- Ouais... Je vois, ouais... En attendant j'ai un poing de côté.

La blonde leva les yeux aux ciel. Plus loin derrière, Ron observait Hermione qui courait à vivre allure, comme pour évacuer. Les cheveux ondulés de sa queue de cheval virevoltaient au rythme de ses pas, son corps fin et ferme se balançait dans un mouvement mécanique pour ne pas perdre le tempo de la course, ses joues étaient légèrement rouge, elle haletait sous l'effort, il la trouvait magnifique. Elle était belle comme le jour, tout près d'elle mais il ne pouvait ni la toucher, ni l'embrasser ni même lui dire qu'il l'aimait, tout simplement parce qu'elle le prendrait pour un fou.

Plus loin, Ginny courait à un rythme effréné, maîtrisant son endurance d'une main de fer, ne fléchissant pas sous l'effort, les traits marqués par la détermination. Malfoy observait la jeune femme se mouvoir sans relâche, la sueur dévalant son dos, quelques mèche rousse se détachant de son chignon lâche. Elle voulait y arriver et elle savait qu'il lui fallait un mental de plomb, elle vivait de cette soif de vengeance depuis qu'elle avait réalisé qu'elle pouvait changer les choses. Même à petite échelle.

Malfoy n'était pas gêné par l'effort, encore moins par la course, il avait l'habitude de devoir prendre la fuite. Il ne lui fallait pas puiser dans son fort intérieur pour trouver les ressources nécessaires.

Au bout de trente minutes de course, tous exténués, ils rentrèrent pour se diriger en salle d'entraînement. Là, leur mentors les attendaient. Ils se mirent en ligne, reprenant leur souffle, pour écouter les instructions des anciens.

- C'était difficile, mais vous avez bien tenu vos trente minutes, félicitation. Maintenant passons aux choses sérieuses.

- Ah parce que c'était que la bande annonce, ça ? Demanda Harry, épuisé.

- Oui, tu as tout compris Harry. Répondit Lupin. Maintenant vous allez passer les testes par duos et vous aurez les résultats des évaluation à midi.

Lupin répartie les groupes pour le premier tour. Luna et Malfoy commencèrent au combat, Ginny et Ron au tir à l'arme blanche, et Harry et Hermione au vol à la dérobée. Au second tours, après que chaque duos ai tourné dans toutes les disciplines, ils se répartirent dans les deux dernière disciplines : Le tir à l'arme à feu et la stratégie.

Ils apprirent à utiliser des armes en tout genres, à se familiariser avec leur corps pour l'utiliser comme moyen de défense et d'attaque, à faire marcher leur logique et leur intellect, à être fins et stratèges, ils apprirent à se découvrir des points forts et des points faibles. Tout cela sous l'oeil attentif de leurs mentors qui faisaient offices de jury.

Les évaluations battaient leur plein.

A midi, Lupin mit fin à toute activité et invita les six combattants a aller se doucher, tous étaient complètement en sueur, même Luna. Dans les douches des filles, celles-ci commençaient à se déshabiller.

- Je trouve qu'on s'en sort bien. Lâcha Luna en enlevant son t-shirt.

- On ne s'en sort pas bien, on apprends, Luna. On s'en sortira bien quand on aura gagné. Dit Ginny

- Oui, c'est sûr, mais je voulais dire, on est logé, nourrit, on vois la nature, on fait du sport, les choses auraient pu être pire.

- Probablement. Répondit Ginny, mais le plus dure reste à faire. On a des comptes à régler.

- On a surtout besoin d'entraînement. Je pense que tout ça donne un sens à nos vie. Répondit la blonde.

Ginny se tourna vers Hermione qui n'avait pas dis un mot depuis le début.

- Et toi, Hermione ? On peut savoir ce que t'en pense ? On t'entends jamais... C'est à se demander ce qui te pousse à rester.

Hermione fixa Ginny un instant. La rousse avait opté pour un ton acerbe et piquant. Comme une provocation.

- Moi ? J'en sais rien.

Ginny éclata d'un rire sarcastique.

- Évidemment ! On t'apprends les codes de la politique, pas les idées. Tu apprends les programmes établies par la bonne Angleterre bien pensante, mais la réflexion, c'est pas ton fort.

- Pardon ? Fit Hermione, exaspérée.

- Oh rien, c'est juste qu'au final, tu vaut pas forcément mieux que les chien de garde de la grande Maggie. Répondit Ginny.

- J'te permet pas de me parler comme ça, Ginny.

- Oh, voyez-vous ça, la grande, l'intellectuelle Hermione Granger m'interdit de hausser le ton devant elle ! Je tremble de peur. Regarde toi, Hermione, tu es lâche.

- Va te faire foutre, Weasley.

- Belle répartie. Je te trouve bien impolie envers des gens qui ont faillis se faire explosé le crâne dans la mercerie à cause de toi.

- Stop ! On va se calmer maintenant et respirer un grand coup. On n'est pas ici pour la guerre mais pour la paix, n'est-ce pas ? Alors maintenant, tout le monde à la douche ! Intervint Luna pour calmer le jeu.

Ginny et Hermione échangèrent un dernier regard meurtrier puis chacune se dirigea vers la douche. Du côté de la douche des garçon, l'heure était aux complainte de monsieur Malfoy.

- Bordel, si c'est comme ça tout les jours, j'demande un salaire ! Déclara le blond

- Tu peux pas rester cinq minutes sans te plaindre, Malfoy ?

- Si, quand je suis en train de m'envoyer en l'air, ou quand je fume un pétard, ou encore quand je suis torché, et aussi quand j'me branle...

- Ca va, on à compris blondie ! Lança Harry.

- Ce que je dis te choque, Potter ? Non mais parce que vraiment, si c'est le cas, dis-le, j'en parlerais plus souvent.

- T'as dû faire l'école du rire, Malfoy, j'vois pas d'autre solution.

Cette réplique arracha un sourire à Ron. Ne pas pouvoir ouvertement se moquer de Malfoy avec son meilleur ami lui faisait mal. Mais il ne pouvait pas craquer, il ne devait pas. Il était une taupe, une putain de taupe.

- Vous pensez que ça va donner quoi les résultats des évaluations ? Demanda alors Ron pour essayer de créer une conversation.

- Je sais pas, j'm'en cogne complètement. Répondit Malfoy.

- Moi je suis une merde en combat, mais je pense qu'en tire je suis pas mal. J'pense que je suis plus habile que fort. Déclara Harry

Évidemment que tu es habile, Harry, souviens toi de tes matchs de quidditch. Songea Ron.

- Et toi ? Demanda Harry en le sortant de ses pensées.

- Moi ? Je... J'en sais rien.

- Oui bah ça c'est sûr ! Tu sais jamais rien t'façon toi. Lâcha Malfoy.

Ron ne déclara rien et Malfoy ayant finis de prendre sa douche sortit de ses dernières avant tout le monde. Il décida de tracer le plus rapidement possible en direction de la cuisine quand il se heurta à quelqu'un. Il releva brusquement la tête en s'écriant « bordel tu peux pas faire gaffe où tu marches ! » puis fut forcé de constater que son interlocuteur n'était autre que Ginny. Il l'observa un instant.

- Va t'faire foutre Malfoy.

- T'es toujours dans mes pattes toi. C'est pas possible tu peux pas vivre sans moi. Déclara-t-il.

- T'es super drôle maintenant t'es gentil tu me laisse passer.

- Oh arrête je tremble de peur face à ta menace !

- Tu commence à me les briser sec, Malfoy ! S'énerva réellement la rousse

Plus elle s'énervait et s'affirmait, plus le jeune homme jubilait. Il aimait provoquer les nature renfermées.

- Mais c'est qu'elle se rebelle la petite !

- C'est quoi ton problème, au juste, Draco ? T'as pas apprécié que ta mère te cache son appartenance au Cercle ? T'as pas apprécié que ta propre mère se batte plus que toi ?!

Il fut soudain pris d'une colère presque insurmontable à l'évocation de sa mère par la rouquine. Il avança d'un pas en sa direction en levant la main, Ginny recula d'un pas. Malfoy serra le point puis ferma les yeux pour inspirer un grand coup.

- Bah vas-y Malfoy, frappe moi, ça serait si simple.

Il baissa le poing, ne pouvant s'abaisser à frapper une femme et la poussa aux épaule pour qu'elle finisse par heurter le mur. Elle sentit le mur froid contre son dos et l'acoup retentit dans sa tête.

- Je t'ai déjà dis, Weasley, d'arrêter de parler de ce que tu ne connais pas, et je ne te le répèterais pas une autre fois. Ne joue pas avec mes nerfs. Déclara-t-il d'une voix rauque.

Elle l'observait. Quelque part, elle se demandait ce qui la poussait à le provoquer jusqu'à ce qu'il en tremble de colère. Peut-être parce qu'elle savait qu'il était faible sur ce sujet là et peut-être aussi qu'elle voulait qu'il extériorise. Elle savait qu'il était muré dans un sarcasme en béton armé, n'acceptant pas de faire face à ses propres faiblesses. D'un certain côté, elle le respectait d'une manière ou d'une autre et attendait qu'il lâche prise et tombe en pleur dans ses bras, mais tout ce qu'elle obtenait était sa violence et sa haine. Elle devait persévérer. Elle ne savait pas pourquoi mais si elle devait choisir un allié au sein du cercle, elle préférait autant que ce sois Malfoy. Pour la simple et bonne raison qu'il était le seul, pour elle, à ne pas faire semblant. Il était le seul à en avoir suffisamment dans le ventre pour être productif, il était le seul qui avait autant de rage en lui et d'envie de vengeance qu'elle. Alors comme à chaque fois qu'elle n'avait pas assez de violence et de rage dans le cœur envers quelqu'un pour répondre à sa haine par la haine, elle décida de choquer, de déstabiliser et de répondre par la tendresse. Elle passa doucement sa main sur la joue du jeune homme, plantant son regard bleu dans celui glacial du blond.

- Regardes-toi, Draco, regarde la rage que tu porte.

Il ne savait pas quoi dire, ni quoi faire, il était déstabilisé par le geste inattendu de Ginny. Une fois de plus, la jeune fille le prenait au dépourvu et jouait avec ses vieux démons. Il aurait pu la démolir avant qu'elle ne vienne glisser sa petite main tendre contre sa joue, il aurait pu la descendre plus bas que terre, la rabaisser, la haïr puisque c'était ce qu'il savait faire de mieux, mais la tendresse, il n'en avait jamais reçu, il ne connaissait pas ce phénomène. Même quand il avait couché avec ses nombreuses conquêtes d'un soir, c'était pour lâcher prise, c'était pour oublier le reste, c'était dénué de toute forme de tendresse, c'était brutal et sans aucune forme de plaisir sentimental, juste pour décompresser. Pourquoi en un geste simple, Ginny pouvait le paralyser, le rendre vulnérable et plus faible que jamais ? Sûrement parce qu'elle creusait, elle voulait savoir jusqu'où le jeune homme pouvait aller, elle voulait transgresser les limites qu'il lui imposait et ça, personne ne l'avait jamais fait avant. Malfoy contrôlait et les autres devaient s'en contenter. Il fut effrayé par cette perte de contrôle, effrayé par sa propre réaction alors il répondit par ce qu'il connaissait de mieux :

- qu'est-ce que tu cherche, Weasley ?!

- Lâche prise, Malfoy.

Il sentait qu'il allait lâcher prise d'une manière ou d'une autre si elle continuait. Sois il éclaterait en sanglot, ce qui ne lui était pas arrivé depuis bon nombre d'année, sois il se jetterait sur sa rival pour s'accaparer son corps tout entier. Alors il saisis violemment le poignet de la jeune femme pour le rejeter.

- ne me touche pas.

Puis sans ajouter quoi que ce soit, il s'éclipsa en direction de la cuisine. Ginny resta stoïque un instant, cherchant à ne pas essayer de comprendre le geste du jeune homme, puis elle finit par se diriger vers la cuisine en compagnie des autres.

Une fois tous à table, Lupin décida de leur annoncer à tous les résultats de leurs tests. Il avait d'abord songé à les convoquer un par un, mais estimait qu'il n'était pas nécessaire de générer une telle perte de temps dans leur journée, d'autant plus qu'ils s'entraînaient l'après-midi même.

- Bien, j'ai en main les résultats de vos évaluation et je vais donc vous les annoncer à voix haute. Premièrement, sachez que vous serez réparties en duos puisque c'est ainsi que sont tombé les résultats. Le premier duo sera composé de Luna et de Ron. Luna, tes résultats ont démontré que tu était une stratège hors pairs et que tu avait l'esprit vif, telle sera donc ta spécialité. Ron, quant à toi, tu a prouvé que tu pouvait être un véritable escamoteur puisque tes meilleurs résultats se trouvent en vol à la dérobée. Le deuxième duo sera composé de Harry et Hermione. Harry, les tests ont révélé chez toi un tireur à l'arme à feu hors paire, et Hermione, je ne sais pas qui t'as appris à lancer les couteaux, mais il faudra que tu me donne son nom. Le dernier duo, par déduction... Ginny et Draco. A ma grande surprise, vous avez tous les deu atteint un score maximal en combat. Vous êtes donc le seul duo à avoir le même domaine de prédilection. Sur ce, vous aurez très vites vos emplois du temps. Bon appétit.

Ginny ne savait quoi penser : c'était comme si quelqu'un avait lu dans ses pensées en comprenant qu'elle voulait Draco uniquement pour seul allié. Elle n'était pas dupe et savait que ce serait dur à vivre. Elle savait qu'il allait la haïr un moment. Mais elle voulait aller jusqu'au bout et comprendre le spécimen.

Malfoy, lui savait qu'elle allait le faire chier jusqu'au bout. Il voulait l'éviter le plus possible mais le destin en avait décidé autrement. Un silence retomba sur la pièce, chacun méditant sur les résultat, semblant s'accommoder de leur sort. Sans dire un mot, ils finirent leur repas et furent contraints de retourner s'entraîner, par duo.

Du côté de Ron et Luna, l'heure était à la réflexion. Le jeune homme ne connaissait pas beaucoup Luna, il ne lui avait jamais vraiment parlé et se demandait qui pouvait être la Luna mortel.

- Tu vas voir, on va former une équipe de choc, Ronald !

- Tu peux m'appeler Ron, tu sais. Réponds le jeune homme avec un léger sourire amical

- Ok, Ron !

Ils se dirigèrent dans une salle spécial pour leur discipline qui demandait une concentration et un calme particulier.

De leur côtés, Hermione et Harry ne s'étaient pas décroché un mot. Le jeune brun ne reconnaissait plus son amie depuis son entrée dans le Cercle. Elle semblait ailleurs, perturbée, vide, comme si quelque chose s'était cassé en elle, comme si elle avait perdu le goût de la bataille. Il voulait lui parler, la secouer, la réveiller, lui dire que tout allait bien se passer, mais les mots ne sortaient pas. Il avait peur d'effleurer la sensibilité de la jeune femme. Il voulait la retrouver souriante et ambitieuse comme il l'as connu enfant, il voulait qu'elle recommence à le sermonner quand il laissait ses caleçon traîner, il voulait qu'elle lui tape le derrière de la tête quand il faisait des blagues grivoise, qu'elle ris aux éclats après une dispute lorsqu'elle essaye de bouder dans son coin mais qu'elle ne peut résister face aux blagues idiotes de son ami. Il voulait la retrouver, elle, sa meilleure amie.

Il l'observait lancer les uns après les autres d'une déterminations de loup. Elle avait les yeux rivés sur la cible, envoyait les armes blanches se planter violemment dans le murs sans broncher. Il finit par se risquer à l'approcher.

- qu'est-ce qui va pas Mione ? Demanda-t-il avec la timidité d'un enfant.

Elle se retourna dans un geste vif, comme un automate, comme un robot, son regard noir vint se planter dans les prunelles vertes de Harry.

- J'ai l'air d'aller mal ?

- Oui, Hermione Granger, tu as l'air d'aller mal. Qu'est-ce qu'il se passe ?

- Rien, tout va très bien Harry, pourquoi ça irait mal ? J'ai tout laissé derrière moi, tout ce que j'avais construit et acquit, pour venir ici, tout le monde apprends qu'il a des parents géniaux quand moi je n'en ai même pas, mais sinon, je ne vois pas en quoi ça pourrait aller mal ?

Harry ne dit rien, dans un premier temps, puis médita sur sa réponse.

- A quoi pourrait servir ce que tu apprends dans les livres si tu ne le met pas à profit.

- A profit de qui ?! J'ai pas demandé à être un héros moi, Harry. Je ne suis pas Ginny, je ne suis pas imbécile de croire à n'importe quelle promesse faite par une espèce de gourou délirant.

- Lupin n'est pas un gourou ! Il sais très bien ce qu'il dis, fait lui confiance, si mon oncle le suit c'est qu'il sais ce qu'il fait ! Hermione comment peux-tu traiter un ancien de l'IRA de gourou ? Ces gens la sont des résistants !

- Peut-être pour toi Harry, parce que tu es en partie Irlandais, mais l'IRA n'est rien d'autre qu'un groupuscule violent, qui commet des actes terroristes, l'IRA tue harry, autant que l'armée britannique.

Le jeune brun écarquilla les yeux et sentit un frisson de haine et de rancoeur lui traverser le cœur et se propager dans tous son corps après avoir dévalé sa colonne vertebrale contre une onde de choc. En furie, il saisit une arme à côté de lui et tira dans la cible à plusieur reprise. Il jeta l'arme à quelques mettre, au sol, puis se tourna en furie vers une Hermione pétrifié face à la furie de son meilleur ami.

- Tu ne sais rien de l'IRA ! Tu ne sais rien de la vie en générale !

Il n'entendit pas la porte s'ouvrir derrière lui et continua de s'acharner sur Hermione.

- Tu crois tout savoir parce que tu apprends tout ! Mais les choses ne s'apprennent pas ! Elles se vivent ! T'as rien vu de la misère de Belfast toi ! Tu met pas les mains dans la merde ! Sans l'IRA on aurait plus rien ! Eux au moins, ils se battent ! Comment tu peux dire que ce sont des putains de terroristes, alors qu'ils sont la résistance de toute un pays ! Tu n'est qu'un petite blasé ! Blasé parce que tu sais que tu n'aura jamais de couilles ! Au final, les anglais sont tous les même ! Tous !

Il sentit des petits bras l'attraper par la taille pour le tirer en arrière, loin de Hermione. Il reconnu Luna. Il sentit les lèvres de la blonde frôler son oreille et murmurer « calmes-toi Harry, c'est finit, ça va aller... ». Il respira fort un grand coup pour se calmer puis il se retourna pour planter son regard dans celui de Luna. Les yeux bleus de la jeune femme l'apaisèrent un instant. Il réalisa alors que Ron, Sirius et sa mère, Lily, avaient assisté à la scène. Tous le fixaient avec de grands yeux. Hermione écarquilla les siens en réalisant que tous l'avaient entendu critiquer l'IRA. Elle crut mourir de honte sur l'instant et voulu disparaître. Mais c'était impossible elle était bien là. La mère de Harry le regarda attristé, Sirius surpris et Ron s'en voulu mortellement : tout ça était de sa faute. Harry fixa une dernière fois l'assemblée avant de partir en furie en direction de son dortoir. Luna le suivit en courant. Hermione resta planté là. Elle regarda Lily potter, honteuse de ses propos, elles ne savait plus où se mettre. Lily tendit un regard déçu à Hermione.

- Lily, tu peux remmener Ron s'entraîner, je vais discuter avec Hermione.

Lily et Ron sortirent de la pièce pour reprendre l'entraînement et Sirius décida de discuter avec la brune pour lui faire cracher ce qu'elle avait sur le cœur. Il l'observa un instant : elle était rouge pivoine et semblait regretter amèrement ce qu'elle avait dit.

- Qu'est-ce qui t'as pris Hermione ?

- Je... j'en sais rien... Il avait l'air d'avoir connu et traversé tellement de chose à côté de moi je... j'ai pas supporté... j'suis désolé Sirius, j'pensais pas ce que j'ai dit sur l'IRA j'ai...

- Pété les plombs. T'as pété les plombs Hermione.

- Je sais mais... j'suis anglaise et j'suis qu'une petite étudiante, je suis même pas irlandaise moi j'ai rien connu...

- Arrêtes Hermione ! Arrêtes de te voiler la face et de faire comme si t'avait l'explication à tout dit moi la vérité, qu'est ce que t'as dans le ventre, qu'est-ce que t'as sur le cœur qui t'empêche d'avançer ! Lâche tout bordel, Hermione !

- Y a rien, ça va, j'ai juste été énervée sur le moment, ça va bien.

- Mais arrêtes de me mentir ! Je te connais depuis que t'es gamine alors tu joue ce jeu là avec qui tu veux mais pas moi !

Elle planta son regard dans celui de Sirius, se sentant comme piégé.

- Il a retrouvé ses parents lui... Murmura-t-elle presque de manière inaudible.

Soudain Sirius compris. Il compris ce qui avait bloqué Hermione.

- Hermione je...

- Non... t'es pas désolé. Et t'as pas à l'être. Commença-t-elle des trémollos dans la voix. Les miens sont partit, et ils ne reviendront jamais. Ils sont... une larme discrète dévala la joue de la jeune fille, mort... Ils sont morts Sirius. C'est finis.

Plusieurs larmes se mirent à coulé sur les joues de la jeune femme et sa vision à se troubler lorsqu'elle sentit les bras puissants de Sirius l'entourer. Elle se sentit soudain protégée, en sécurité, aimée...

De son côté, Harry était entrée en furie dans sa chambre sans pouvoir contrôler sa colère. Luna entra juste après lui pour l'empêcher de péter les plombs. Il s'apprêtait à jeter toutes les affaires d'Hermione par terre lorsqu'elle l'attrapa par le bras pour qu'il se retourne et la regarde.

- Arrêtes ! Harry, calmes-toi... Déclara-t-elle d'une voix douce et apaisante dont elle seule avait le secret.

- Que je me calme ? Bordel, comment elle peut dire des trucs pareils, merde, c'est Hermione ! Elle supporte pas l'injustice, elle supporte pas Thatcher !

- Harry, regardes-moi ! L'armée britannique finira par lever le camp, d'accord, je te promet qu'on fera tout pour que plus jamais ces monstres ne lèvent le feu sur les gamins de Belfast à la sortit des écoles. Je te le jure, mais il faut que tu te calmes, si tu veux te battre, tu dois avoir la tête froide.

Soudain, comme pour se calmer, il saisit la jeune fille par la taille et plaqua ses lèvres à celles de la blonde qui lui répondit immédiatement. Elle glissa ses petites mains contre les joues du brun avec une douceur infini. Il recula sa tête pour la fixer dans les yeux, ces yeux bleus venu d'ailleurs.

- Retournes-y, Harry.

Il baissa les yeux et obéit. De leur côté, Ginny et Malfoy ignoraient tout de ce qu'il venait de se passer et ils s'en fichaient bien puisque Malfoy se prenait des coups depuis une heure par des anonymes embauché pour se battre contre eux. Malfoy, bien qu'ayant reçu des coups douloureux de défendait du mieux qu'il pouvait. Ginny l'observait patiemment se battre sans répis, attendant son tour. Elle le voyait se défendre avec une aisance sans faille. Pour elle, aucun doute, il venait bien de la rue. Il en avait pris les réflexes et la méfiance. Il avait appris à se battre. Elle, n'avait jamais eu a se battre et redoutait le moment ou elle allait devoir faire ses preuves. Elle avait toujours eu de bon réflexe et s'était peut être en ça que résidait les résultats de son évaluation. Remus mit fin au combat de Malfoy, le félicita, le corrigea sur certains points puis ce fut au tour de Ginny. Elle inspira un grand coup puis se planta au centre du tatami.

Le ninja en face d'elle portait une cagoule et était complètement vétu de noir. Il était un pro, elle l'avait vu à sa façon de se battre. Sa réflexion et son analyse lui portèrent préjudice puisqu'elle n'entendit pas le coup de départ et elle n'eut pas le temps de contrer le coup de poing en plein ventre que lui envoya son adversaire. Elle se plia en deux et tomba au sol en se tenant le ventre.

- relèves-toi. Ordonna Remus d'un ton sec.

Elle rassembla ses forces et se releva. Elle vit le ninja se ruer sur elle, prêt à lui envoyer un autre coup de poing. Elle le devança et saisi le bras de ce dernier pour le tordre. La douleur fit reculer d'un pas le ninja.

- c'est bien, continu, ne baisse pas ta garde Ginny.

Malfoy l'observait. Elle se pris des coups au visage, un en particulier lui ouvrant la lèvres, elle se fit mettre à terre, rouer de coups violent, il se dit que le ninja allait la tuer. Les remontrances de Remus ne semblaient pas la faire réagir puisqu'elle n'arrivait pas à se relever. Elle baissa les yeux remarquant que le sang avait couler jusque sur son cou puis son t-shirt blanc. Elle paniqua durant une fraction de seconde puis se repris immédiatement. Elle était à terre, ensanglantée, la jambe endoloris, elle essayait de se relever, ne voulait pas abandonner mais chaque effort pour se relever s'achevait de la même manière : Elle retombait à terre.

Draco la regardait se battre contre elle même, lutter pour se relever, intérieurement, il ne voulait pas qu'elle finisse le combat comme ça. Ginny, elle, ne voulait pas s'humilier si tôt.

- Relèves-toi ! S'écriait Remus de plus en plus sévèrement.

Son corps lui faisait mal, il lui fallait quelque chose, un déclic, une source dans laquelle puiser. Malfoy voyait le ninja qui s'apprêtait à se jeter une nouvelle fois sur ginny. Il se dit que ce serait le coup de grace si elle ne se relevait pas, il allait l'achever sur place, alors dans le silence assourdissant qui encombrait l'esprit de Ginny, la voix de Malfoy s'éleva au dessus du reste.

- Fait pas ta fillette, Weasley, et relèves-toi.

Ginny releva la tête, comme si elle avait vu un fantôme. Cette phrase résonna dans sa tête comme un brouaha incessant, une dose d'énergie, sa fierté se réveilla d'un coup, elle s'appuya sur ses bras, ramena ses jambe en avant et se releva difficilement. Le ninja se jeta sur elle mais elle l'esquiva et au moment ou ce dernier se retourna, elle lui colla son poing dans la figure. Le ninja fut affaiblit et mit quelque seconde à se relever. Quand il se releva pour faire face à la jeune rousse, le regard de cette dernière avait changé et était désormais rempli de haine.

- Maintenant l'échauffement est terminé, montre moi ce que t'as dans le ventre. Lâcha-t-elle.

Les efforts pour frapper le corps de Ginny que le ninja avait fournis jusqu'alors l'avaient fatigué et Ginny était remontée à bloc. Celui-ci, sans surprise allait se ruer sur la rousse quand celle-ci éleva sa jambe dans un coup magistral digne des plus grands arts martiaux et lui envoya un coup de pied violent dans le ventre qui envoya directement le ninja à terre.

Remus annonça la fin du combat.

- c'est bien Ginny, tu t'es bien défendu. Pense à ne pas baisser ta gardes la prochaine fois ça t'évitera de te retrouver à terre pendant la moitié du combat. Va nettoyer tout ce sang, Malfoy va avec elle.

Les deux jeunes partirent en direction de l'infirmerie. La jeune femme ne dis pas un mot et saisi une compresse pour essuyer le sang. Elle finit par céder à la tentation de provoquer le blond.

- T'as eu peur hein ?

- De quoi tu parles, Weasley ? Demanda le blond d'un air détaché.

- Quand j'étais à terre, t'as cru qu'il allait me tuer.

- Non, j'en avait rien a foutre, j'étais juste lassé de ton incompétence.

- C'est ça ouais.

- Arrêtes de délirer cinq minutes et enlève tout ce sang avant que les gens pensent que tu sais vraiment te battre.

- Pfa ! J'te mettrais à terre un jour tu verra.

- Rêves pas trop,

- putain y en à plein mon t-shirt, va falloir que j'le nettoie à la main.

Le jeune blond sentait que la rousse allait enlever son t-shirt, là, devant lui, et il n'était pas prêt à ça. Il n'allait pas pouvoir cacher longtemps l'effet qu'elle lui faisait, il ne voulait pas qu'elle le découvre. Il l'avait déjà embrassé une fois par manque de retenu et c'était bien la seul faiblesse qu'il contait s'être accordé. Au moment ou elle allait enlever son t-shirt il la stoppa.

- non !

Elle l'observa, étonné.

- j'peux savoir ce qui te prend ?

- J'tiens pas à vomir en te voyant te dénuder, puis t'façon, tu va jamais pouvoir enlever ça à la main.

- T'es vraiment un trou du cul quand tu t'y met, fait pas l'enfant Malfoy, j'pense que des filles en sous vêtement t'en a déjà vu plus d'une dans ta vie et si je te dégoûte tant que ça, tu n'as qu'à te tourner !

Elle ne lui laissa pas le temps de répondre et ôta son t-shirt découvrant son ventre ferme et plat, et sa poitrine arrondit recouverte d'un fin soutient-gorge noir.

- Seigneur... Marmonna Malfoy.

Il ne pouvait pas sortir de la pièce, ce serait trop louche, mais la proximité avec le corps de la jeune femme produisait sur lui un effet décuplé qui n'allait pas tarder à ce voir. Il fut soudain pris de panique et se leva brusquement pour attraper les poignets de la jeune fille.

- Arrêtes.

- T'as un problème toi, hein. Déclara-t-elle en planta son regard bleu dans celui du blond.

- Tais-toi.

Soudain, il plaqua ses lèvres à celle de la rousse, une fois de plus, avec plus de ferveur et de fougue encore que la fois précédente. Elle ne le repoussa pas, au contraire, elle plongea ses doigts fins dans les cheveux de Draco. Ce dernier caressa du bout des doigts le ventre plat et nu de la jeune fille. Il sentit un frisson s'emparer de la peau de Ginny. Il ne voulait pas s'arrêter là. Il ne voulait pas finir frustré une fois de plus. Il recula sa tête, fixa Ginny quelques secondes avant de défaire le pantalon de la jeune fille. Contre toute attente, elle se laissa faire. Une fois débarassé de tout ses vêtements et ceux de Ginny, il agrippa ses cuisses qu'elle enroula automatiquement autour du bassin du jeune homme. C'était comme un besoin imminent, comme une supplication qu'il lui faisait. Il l'embrassa à nouveau, mordillant sa lèvre inférieur, s'imprégnant des gémissements étouffés de la belle rouquine puis ce fut elle qui finit par lâcher « Vas-y Malfoy. ».

Il n'en fallut pas plus au jeune homme pour obéir, il entra en elle d'un coup sec, lui arrachant un gémissement de douleur et de plaisir à la fois. Elle l'encourageait à continuer, tout son corps voulait celui de Draco, elle ne contrôlait plus son esprit ni même sa raison, et elle s'en fichait bien. Plus il accélérait, plus elle enfonçait ses ongles dans le dos du blond. Ils finirent par atteindre le nirvana simultanément et ginny, haletante, déposa des baiser dans le cou du blond. Il sentait la respiration saccadé de la jeune femme contre sa peau, ses petits doigts fins contre son torse, ses cheveux doux dans son cou, il haletait, les bras entourant la rousse. Ca avait été brute, rapide sans amour juste dirigé par un instinct plus fort encore que la raison ou la logique. Et c'était fait. Ils ne pouvaient plus revenir en arrière...

Voilà, voilà, vous pouvez lâcher vos avis les copains!