AHHHHHHHHHHHHHH ENFIN FINI !
Ewi ^^ Ceci est le dernier chapitre de cette petite fic ~ Et j'avoue que je suis contente de l'avoir enfin fini.
J'ai réussi mon objectif des vacances ;-; Je voulais juste finir cette fic et c'est fait !
Bon... Sur ce... Bonne lecture !
Elnia.
Directement après avoir tourné la clef dans la serrure de son appartement et avoir poussé la porte, il se fit attaquer par un attaque câlin surprise de son chien et de son ventilateur.
-Où-es ce que t'étais ?
- Je euh… J'étais à la pizzeria.
Et il leur raconta la sombre aventure qu'il avait vécu dans son bureau de surveillant de nuit.
Au début bien sûr, ses étranges amis ne le crurent pas. Mais après qu'Antoine leur ait montré la trace qu'avait laissé la seringue sur sa peau, leur conclusion était unanime.
-TU T'ES DROGUE ?!
-Hein ? Mais non je te dis ! On me l'a fait de force !
-Menteur !
Antoine soupira, sachant très bien qu'ils ne le croiraient jamais et alla se préparer à manger et mangea comme quatre, depuis le temps qu'il n'avait pas mangé, il devait se rattraper !
Ceci fait, il fut pris d'une immense envie de se coucher, mais avant cela, il se rendit à la douche, histoire d'être bien propre dans son merveilleux lit.
Il prit quand même la peine de secouer ses cheveux mouillés avec une serviette sèche pour ne pas tremper son oreiller et laissa la pauvre serviette bleue pâle traîner lamentablement sur une chaise tandis qu'il s'endormit dès que sa tête toucha l'oreiller.
Tandis qu'il dormait, ses deux compagnons de vie discutaient.
-Tu en penses quoi de son histoire ?
-Il ment ! Encore ! Il m'a déjà parlé de ses animaux peluches robots la dernière fois en plus !
-On parle aussi je te rappelle.
Samuel écarquilla les pâles en entendant les paroles de ce pervers. Il n'y avait même pas pensé, ayant oublié depuis longtemps qu'il n'était qu'un objet lui aussi. Il fallait dire qu'à part dans l'émission, jamais son propriétaire, son ami plutôt comme il l'appelait, n'avait un comportement différent envers lui à cause de sa condition d'objet. Antoine était quelqu'un de très ouvert d'esprit et on se sentait immédiatement « normal » quand on passait du temps avec lui.
-Ben… J'en sais trop rien sur le coup.
-Je pense qu'on devrait l'empêcher d'y retourner cette nuit.
-Ouais. Mais euh… Il le voulait vraiment cet argent.
-Je vais y aller à sa place. Tu viens avec moi ?
-Je préfère surveiller Antoine.
-Comme tu veux.
Et c'est ainsi que la nuit venue, tandis que le propriétaire de l'appartement dormait toujours, un chien en peluche dont un œil manquait se rendit à la Freddy Fazbear's Pizza tandis que minuit approchait grandement.
La pizzeria étant vide à son arrivé, il put accéder au petit bureau de surveillance et grimpa sur la chaise en s'aidant de sa solide mâchoire. Une fois en haut, il remarqua qu'il était minuit et tandis que son œil parcourait le bureau, il remarqua un téléphone cassé. Il ne pourrait pas appeler chez lui en cas de problème… Dommage.
Le temps passa, Richard s'ennuyait à mourir, et entendant du bruit dans la cuisine, il grogna. N'était-il pas seul aux dernières nouvelles ?
Il se posa cinq seconde sur le bureau et réfléchit… Pour se définir comme vivant, il fallait qu'il mange. Bon ça, c'était bon. Il fallait qu'il puisse se reproduire… Ah ben merde. Il n'était pas vivant. Donc, si il n'y avait que lui dans la pizzeria, ainsi que les animatronics, pouvait-il dire qu'il n'y avait pas un soupçon de vie en ce lieu ?
Le sortant de ses pensées, Bonnie passa sa tête dans le bureau, Richard le dévisagea quelques instants avant que le gros lapin violet ne prenne la parole :
- Il est où le gardien de nuit ?
-C'est moi ce soir '-'
-O.O Tu parles ?!
-Toi aussi je te ferrais dire.
-… Mais mais…. LES GARS URGENCE VENAIT TOUT DE SUITE. RÉUNION D'URGENCE.
C'est ainsi que moins d'une dizaine de minute plus tard, tous les animatronics étaient réunis dans le petit bureau, regardant fixement la petite peluche, toujours avachi sur la tablette, qui lui réchauffait le ventre.
Bonnie expliqua sommairement la situation à ses amis et compagnons de travail et ils se mirent légèrement à l'écart pour parler.
-Comment on fait ?
-Ben on le bute.
-Mais… C'est que… Il bouge donc il a un exosquelette… Et il a aussi un costume… Donc…
C'est à ce moment-là que Richard s'incrusta dans la conversation :
-Ça vous dirait pas de venir dans le bureau ? Je me sens seul. On pourrait parler de notre vie de non vivant.
-Pourquoi on accepterait ?
-Parce qu'il y a rien à faire d'autre.
Un grand silence. Ce fut la seule réponse à laquelle il eut droit.
Déçu, il baissa la tête et retourna sur la tablette, se réchauffant de nouveau le pelage.
-Bon, ok. On veut bien discuter… Après tout c'est pas souvent qu'on voit d'autres objets qui parlent…
-J'imagine.
-Il fait froid, éteint le ventilateur par contre s'il te plait.
-Oui…
Et le chien/peluche éteignit le ventilateur. Mais ce dernier continua de tourner, sous un regard remplie d'incompréhension, lancé par toutes les personnes de la pièce.
-Creepy…
-Oui… O.O
-Maintenant je comprends pourquoi les gardiens de nuit ont souvent plus de batterie…
Et ils continuèrent à discuter le reste de la nuit. Le lendemain, Antoine fut payé et on lui demanda si il voudrait recommencer une nouvelle semaine.
« J'y réfléchirais » fut son unique réponse avant de partir avec son chien, sans se retourner.
Voilà !
Pensez à la petite review !
ça fait toujours extrêmement plaisir ^w^
A bientôt sur une nouvelle fic !
Elnia.