Voici une réécriture de cette histoire de la série de Hawaii 5-0 et de Percy Jackson. La série se passe dans la saison 4 de Hawaii 5-0 et après de la guerre des géants dans le Sang de l'Olympe. Que j'ai publié plusieurs fois et que j'ai raté, mais je crois que c'est bonne.
Remerciements : Je remercie à vous, mes chers lecteurs qui prennent le temps de lire mes histoires qui ne sont pas très réussi.
Avertissement : les Personnages de PJ et de Hawaii 5-0 ne m'appartiennent pas. Sauf, l'histoire et mon imagination pas très fertile.
L'appel
Steve
Je prends mon café sur ma plage, tout est tranquille. Les sons des vagues m'apaisent, les rayons du soleil me caressent mon visage tanné. C'est si tranquille, pas de stress avant une heure. Quand soudain le téléphone de la maison sonne. Je soupire, je me lève et j'entre dans ma maison. Étrange, ce n'est pas quelqu'un du travail, parce qu'habituellement ils m'appellent sur mon cellulaire. Je décroche le téléphone et je dis :
— Allô?
— Bonjour M. McGarrett, je me présente Me Murray je suis l'avocat de Sally Jackson. Avant vous dit quoi ce soit que vous direz vous de prend un bon café? dit Me Murray.
— D'accord, où et quand, dis-je.
— Que direz-vous au bistro Le Hawaiien et dans 15 minutes? Et votre sœur Mary va être là, dit-il.
— D'accord, bye, dis-je.
Je raccroche le téléphone, je prends mes clés de voiture et je pars. Plusieurs questions se forment dans ma tête : pourquoi un avocat appelle chez moi? Qui est-ce Sally Jackson? Et de plus son nom est familier. J'arrive au bistro Le Hawaiien, j'entre dans le bistro, je vois Marie avec sa fille adoptive Joan, je m'approche de sa table et je dis :
— Bonjour, Mary.
— Bonjour, Steve, dit-elle.
— Alors tu as eu un coup de téléphone d'un certain Me Murray? dis-je.
— Ouais, me répond-elle.
— Euh… ça te dit quelque chose Sally Jackson? dis-je.
— Voyons, Steve! Sally Jackson c'est notre cousine, dit-elle exaspérer.
Nous commandons un café, 5 minutes plus tard, un homme petit aux cheveux bruns arrive à notre table. Il porte ce qu'un avocat portera à la Cour du Tribunal et une valise en cuivre et il dit :
— Bonjour, merci d'être déplacé aujourd'hui. Vous demandez ce qui se passe. Bien, comme je me suis présenté au téléphone. Hé, bien, il y a environ un mois, votre cousine Sally a eu un accident de voiture et elle est morte. Et puis que vous êtes les seuls parents proches d'elle, nous donnons la garde de son fils, dit l'avocat.
— Attend, quoi!? Je ne savais pas que Sally a eu un fils, dis-je.
— Steve, calme-toi, dit Mary.
— D'accord je vois, bien ça reste que vous avez la garde du garçon, dit Me Murray.
— Comment il s'appelle et quel âge a-t-il? dit Mary.
— Persée Jackson, mais il préfère qu'on l'appelle Percy, il est né le 18 août 1993 et il a 17 ans. Il est TDAH et dyslexique, il n'a pas de très bonne note à l'école, il s'est faite expulsé et explosé plusieurs écoles et il n'a pas beaucoup d'amis, par contre il a une petite amie, dit Me Murray.
— Super! On va être obligé de s'occuper un adolescent délinquant exploseur d'école, dis-je.
— Bon s'est réglé, voilà la photo et dernière chose, il ne peut pas encore se déplacer, est-il possible l'un d'entre vous pourrait aller le rencontrer? Demain? dit Me Murray. Et je dois vous avertir qu'il a été dans l'accident et il est tombé dans le coma depuis.
— Le pauvre, mais malheureusement, je ne pourrais pas, j'ai un rendez-vous avec Joan, dit Mary.
— Bon, il reste que moi, dis-je.
— Bon s'est réglé, je vous donne votre billet.
Sur ce, il tend la photo et le billet, Mary prend la photo et moi je prends le billet, elle sourire et elle la tend. Je prends la photo et je l'examine. L'image est un adolescent de 16 ans, les cheveux noirs corbeau en bataille, comme s'ils étaient balayés par le vent, la peau tannée comme s'il passait la journée à la plage, les yeux verts comme la mer méditerranéenne, il est bien bâtir comme un nageur olympique. Il porte un T-shirt vert, d'un jean noir, un collier avec quatre perles et une montre sur son poignet gauche. Il y a une expression d'insouciance et d'innocence, mais sa posture, nous dit le contraire, sa posture semble être en alerte comme s'il attendait qu'on l'attaque.
Mon cellulaire sonne, je prends mon cellulaire et je regarde mon afficheur et il indique :
Danny Williams
Mary me regarde et elle dit :
— Je sais, tu dois y aller, mais on se reparlera de tout ça, ce soir.
— D'accord bye, dis-je.
Je sors du bistro, je repense à notre cousine Sally si je m'en souviens, elle avait les cheveux châtains, les yeux bleus qui changeaient de couleurs à la lumière, elle vivait à New York. Danny m'attente devant sa nouvelle Camaro noire. Sans un mot, je m'assois sur le côté conducteur. Celui-ci entre dans la voiture et il me dit :
— Ça va? Tu as une tête d'enterrement.
— Danny, pas maintenant, dis-je durement.
— Bien, moi je dis que tu vas dire maintenant, dit Danny.
Je soupire et finalement, je me lance ce qui s'est passé avec l'avocat et que je dois partir à New York. Quand j'ai fini mon récit, Danny est maintenant perdu dans ses pensées et il dit :
— Qu'en est-il du père du gamin?
— Euh… je ne sais pas. Je l'avoue que je n'ai pas pensé à celui-là, dis-je.
— Écoute Steve, tout va bien se passer. L'équipe est là pour te soutenir, si tu as besoin et en plus que je suis père, je peux de te donner des trucs, dit Danny.
Nous restons silencieux et nous arrivons à destination. C'est une petite plage cachée par les arbres. Chin nous attend, nous nous approchons de lui et il dit :
— Salut les gars, Steve, ça va? Tu as une tête d'enterrement.
— Euh… ouais… dis-je avant d'être coupé par Danny.
— Steve vient d'apprendre que ça cousine Sally, qui vivait à New York vient de mourir, en laissant un fils de 17 ans, TDAH et dyslexique.
— Ha, d'accord, dit Chin. Bon, des marcheurs ont trouvé la victime.
Nous le suivons, je vois un cadavre d'une jeune fille d'environs de 17 ans, suspendue par une corde qui lie les bras et les jambes à un arbre, un bâillon qui lui noue sa bouche, elle a les longs cheveux brun chocolat ondulé, la peau basanée d'une pâleur mortelle. Ses vêtements sont presque enlevés du corps. Une longue ligne rouge sang barre son cou. Danny frémit, quand il la voit. Pauvre Danny, lui-même père d'une fille. Moi-même, incapable de regarder plus longtemps. Chin poursuive son homologue :
— La victime est inconnue, pas de carte d'identité, rien.
— Max, tu as quelque chose? dis-je en voyant notre docteur légiste autour du corps de la victime.
— Messieurs, je crois que la cause de la mort est l'écorchement, dit Max. J'estime que vers l'heure de la morte est vers minuit. Et j'ai trouvé à ses pieds un collier en cuir de cinq perles en argiles.
Je prends le collier de cuir, les cinq perles d'argiles ont toutes une image différente. La première perle est peinte tout en noir et un trident vert lumineux au milieu. La seconde est une sorte de toison d'or. La troisième est une sorte de labyrinthe. La quatrième est un gratte-ciel avec des écritures d'une langue étrangère. Et la cinquième perle est peinturée d'une partie orange avec l'inscription : CHB et de l'autre mauve avec l'inscription : SPQR, au milieu, un personnage en couleur d'or.
XXX
Midi
Vers midi, Danny et moi nous entrons dans la morgue, je vois Max au côté du corps et je dis :
— Max, tu nous appelé?
— Oui, je vous appelé, parce que j'ai découvert quelque chose d'horrible. Il s'avérer que notre jeune victime s'est fait attacher et violé avant qu'elle se fasse écorché. Et je peux vous affirmer que plusieurs personnes qui sont impliquées. Mais par contre, elle ne s'est pas laissée faire.
— Qu'est que ça signifie? dit Danny.
— Elle a des signes de défenses, j'ai envoyé de l'ADN que j'ai trouvé sous ses ongles et le sperme, c'est tout, dit Max.
— D'accord merci, Max, tu nous appelles, s'il y a du nouveau, dis-je.
XXX
Quelques heures plus tard
Vers la fin de la journée, j'entre chez moi. Mary prépare le souper. Je la salue, je prends une douche rapide et je descends. Nous mangeons silencieusement et je le brise :
— Qu'est-ce qu'on fait avec le garçon?
— Je vais le prend chez moi, dit Mary.
— Non, je vais le prend chez moi, déjà tu as Joan et tu n'as pas assez d'argent pour occuper deux enfants, dis-je en pensant à ses antécédents criminels du gamin.
— Steve, n'oublie pas qu'il a 17 ans, dit-elle. Il est presque un adulte et est-ce que Catherine est au courant de Percy?
Je jure dans mon souffle et Mary dit :
— D'accord… elle n'est pas au courant. Au pire, tu lui diras quand elle arrivera.
— Mary, je vais prendre Percy chez moi, dis-je avec insistance.
— D'accord, tu gagnes, dit-elle.
— Et pour l'école? dis-je pour changer le sujet.
— Déjà réglé, il va commencer l'école quand il sera prêt, dit-elle.
— Déjà? Qu'elle école va-t-il allé? dis-je impressionné.
— La même école que tu es allé à Kaiser High School (N/A je ne sais pas de quelle école que Steve allait quand il était jeune. Et cette école existe vraiment), dit-elle.
— D'accord, dis-je. Ceci qui met fin à la discutions, dis-je.
XXX
Deux heures plus tard
Catherine arrive dans la maison, elle nous dit salut et elle part prendre une douche. Après quelques minutes, elle revient dans la pièce et elle mange. Je lui dis nerveusement :
— Euh… Catherine, Mary et moi nous avons une annonce à faire.
— D'accord, c'est quoi? dit-elle curieusement.
— Notre cousine Sally Jackson de New York est morte dans un accident de voiture et elle laisse un fils seul, dis-je.
— Ho, je suis désolé pour vous, mais pour le fils, je ne comprends pas ce qu'il vient à voir dans la discussion, dit-elle.
— Hé, bien, on a la garde du garçon, dit Mary.
Nous lui expliquons la situation. Plus tard durent la soirée, Mary et Joan, partent à leur maison, alors que moi je prépare ma valise, après Catherine et moi, nous allons nous coucher. Incapable de dormir, je pense à mon petit cousin que je ne connais pas. Je revois la photo de lui, une expression d'insouciance et d'innocence, une posture en alerte prête pour un combat. Et je m'endors.
XXX
Le lendemain
Je descends de l'avion, je marche dans l'aéroport et je vois Me Murray. Je m'avance vers lui et il me dit de le suivre. Nous prenons le taxi et nous partons à l'hôpital.
XXX
Une heure plus tard
Je n'aime pas l'hôpital, il me fait revenir de mauvais souvenirs quand j'étais jeune. Nous marchons dans le couloir blanc et stérile. Me Murray tourne vers une porte et l'ouvrit. Nous entrons dans la pièce qui est également blanche. Il n'a que deux personnes dans la pièce, un est assis à côté du lit et l'autre est couché dans le lit d'hôpital, la personne qui est assise à côté du lit est une fille qui âgé de 17 ans aux cheveux blonds bouclés comme une princesse, elle a un corps d'une athlète, la peau bronzée, elle semble aux filles de Californie, sauf les yeux d'un gris orageux, ils brisent l'image de la fille de Californie.
Celui qui est couché sur le lit d'hôpital n'est nul autre que Percy. Il est pareil à la photo, sauf à quelques détails près : sa peau est pâle, il y a des poches sous les yeux fermés, une longue cicatrice qui part de sa tempe gauche et qui descend jusqu'à l'oreille, ses cheveux ressemblent à un nid de rat. Le pire d'en tout, il a un tube qui sort de sa bouche et des milliers fils sont reliées à Percy. J'ai envie de partir en courant en mettant de pleurer et de me cacher dans un coin en boule.
La jeune fille tient la main du garçon en lui murmurant des mots, elle lève les yeux vers nous et elle dit :
— Salut Me Murray.
— Bonjour Annabeth, M McGarrett, je vous présente Annabeth Chase, la petite amie de Percy et Annabeth, je vous présente Steve McGarrett.
— Enchanté de vous rencontrer, dit Annabeth en me donnant une poignée de la main.
— Le ravis est pour moi aussi, dis-je en prenant sa main.
— Bon, je vous laisse, dit Me Murray.
Et il part. Je prends une chaise, je m'assois devant elle et nous restons silencieux. Je regarde la poitrine de Percy monter et descendre lentement.
— D'où venez-vous? dit Annabeth.
— D'Hawaï et vous de New York? dis-je.
— Non, de Californie, mais je suis née à New York, j'ai vécu ma jeunesse en Virginie et après mon adolescence en Californie, dit-elle.
— D'où vous êtes connues? dis-je.
— Au camp que nous allons qui est situé à Long Island et depuis que nous avons douze ans. Quand je l'ai rencontré pour la première fois, il s'était blessé au mur d'escalade, il était tombé sur la tête, pendant deux jours je l'ai soigné, quand il s'est réveillé pour de bon, je lui dis : « Tu baves dans ton sommeil. » Et depuis nous somme meilleur ami.
— Depuis quand datez-vous?
— Nous sortons ensemble depuis le jour de son seizième anniversaire et il y a environ trois semaines c'était son dix-septième anniversaire, dont ça fait un an et trois semaines, dit-elle.
Nous arrêtons de parler et je regarde encore Percy.