Chapitre 3

-Ça c'est bien passé finalement.

Ron hocha la tête, enlevant sa robe de mangemort qu'il passa au dessus de sa tête.

-Il faut qu'on contacte Skeeter ce soir, pour qu'elle nous laisse pas en plan.
-Je pense pas qu'elle le fasse, répondit Harry en commençant à marcher vers le château. Même si on avait pas de moyen de pression, elle ne laisserait pas passer un scoop pareil.

Ron hocha la tête, plutôt d'accord avec lui. Ils finirent le trajet en silence, mais arrivé à la Salle Commune des griffondors, ils croisèrent le regard d'Hermione et comprirent tous deux que les problèmes arrivaient.

-Il faut qu'on parle, Ron. Et Harry, tu viens avec nous.
-Mais je…

Ne les laissant pas protester, elle leur attrapa un bras chacun et les tira derrière elle jusqu'à leur dortoir. D'un simple regard furieux, elle fit partir tous les garçons présents, désireux de ne pas être pris dans les disputes du trio d'or.

-À présent, Ron, tu vas m'expliquer cette histoire.

Ron soupira, il était fatigué d'avance de cette conversation. Il commença à expliquer, tout comme il l'avait fait à Harry, les raisons qui l'ont poussé à rejoindre les rangs des mangemorts, puis la relation qu'il entretenait désormais avec Voldemort.

Mais contrairement à Harry qui avait tout de suite accepter, Hermione se mit en tête de lui démontrer qu'il avait tord d'agir comme il le faisait. Et Ron avait beau essayer de lui expliquer, elle ne voulait rien entendre :

-Mais c'est un monstre, c'est le mal absolu, il n'est pas humain !
-Un monstre, je ne dis pas le contraire, mais je ne vois pas en quoi il est le mal absolu...
-Il a tué des centaines de personnes !
-Lestrange aussi.
-Il est fourchelangue !
-moi aussi, intervint Harry.

Ron accorda un sourire à son meilleur ami, soulagé qu'il le soutienne, mais Hermione n'en avait pas fini :

-Il... Pardon Ron, mais il n'est pas humain.
-Si tu le dis. Maintenant si tu as fini…
-Je n'ai pas fini ! Il n'a pas de cœur, il ne peut pas aimer, il ne peut pas t'aimer.

Ron commença vraiment à s'énerver et se leva, déclarant plus sèchement qu'il ne l'aurait voulu qu'elle se faisait des idées sur lui et sur son Maître.

-Et en quoi je me fais des idées ? Demanda sèchement Hermione de sa voix hautaine, comme si elle le mettait au défis de trouver un argument.

Ron se retint de lui hurler dessus et se contenter de marmonner :

-Comme si j'allais te le dire. Je vais envoyer un hibou à Skeeter, à tout à l'heure.

Il quitta le dortoir en ignorant l'appel de Harry et les cris de Hermione. Il ne voulait pas la voir, il détestait ce qu'elle lui avait dit, et il avait envie de hurler de rage. Mais il se contenta d'accélérer son pas pour rejoindre la volière, espérant que le vent frais le calme.

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Quand Ron revint au dortoir, Hermione n'était plus là, et même durant les cours elle ne leur adressa pas la parole de la journée.

-J'ai essayé de lui parler hier soir mais elle n'a rien voulu entendre… lui confia Harry, tout aussi dépité.
-On va devoir faire sans elle, alors…

Harry hocha la tête et ils s'éloignèrent de tous les élèves qui partaient vers la Grande Salle, se dirigeant vers la Sorcière Borne. Ils ne rencontrèrent aucun problème dans le passage secret et arrivèrent au Village sans encombre. Ils y trouvèrent sans mal la journaliste qui les attendait impatiemment en faisant les cent pas, pas loin de la cabane hurlante.

Elle sembla presque aussi étonnée que ravie quand elle les vit, mais ils ne perdirent pas de temps en palabre. Harry lui expliqua rapidement son rôle puis Ron attrapa leurs mains pour transplaner sans plus attendre.

Voldemort n'avait pas fait dans la demi-mesure pour les accueillir, son manoir avait été préparé pour être somptueux, recouvert de multitudes de gravure d'argent qui n'était pas là la dernière fois. Une centaine de mangemorts étaient présents en deux lignes entre lesquelles ils s'avancèrent et même le mage noir avait revêtu d'une robe noire particulièrement belle et impressionnante. Rita prenait des notes à la vitesse de la lumière, sa plume à papote se déchaînant sur le parchemin qui lévitait à côté d'elle, et elle ne perdait rien de ce qui les entourait.

À côté de Voldemort se tenaient d'un côté Rogue qui, bien qu'impassible, les fusilla tout de même subtilement du regard, et de l'autre côté Malfoy Senior, qui tentait d'avoir l'air encore plus noble et orgueilleux que d'habitude.

Aujourd'hui est un grand jour, chers lecteurs et chers lectrices, car aujourd'hui, nous pouvons remercier le Sauveur d'avoir enfin mis un terme à la Guerre que nous craignons tous, et que le ministère n'avait pas réussi à contrer.

Ils furent conduits au bureau du mage noir, où seuls Rogue, Malfoy, Harry, Ron et Skeeter fut admis. Les deux mangemorts furent placés de chaque côté de l'imposant bureau, tandis que deux sièges seulement faisaient face à celui de Voldemort. Ils échangèrent un regard, mais le mage noir fit rapidement comprendre que la place de Ron était sur ses genoux à lui. Une manière de rappeler à Harry qu'il menait la partie, sans doute. Il s'assit donc aux côtés de Skeeter et fit face au seigneur des ténèbres.

Grâce à un formidable jeu d'alliance et à son charisme exceptionnel, Harry Potter a su faire entendre sa voix et son amour pour le monde sorcier afin d'en obtenir la protection.

Malgré les regards hallucinés des mangemorts et de la journaliste, Harry et Voldemort engagèrent sans préliminaires des pour-parlers longs et animés, tandis que Ron les calmaient tour à tour lorsque les baguettes commençaient à sortir. Voldemort cherchait la suprématie des sangs-purs et Harry plaidait pour une égalité entre créatures magiques. Et dans toute la première heure des échanges, il ne fut pratiquement jamais question des moldus.

Les débats furent rudes et les argumentations convaincantes…

-Plus de droits aux sangs-purs !
-Plus de droits pour tout le monde !
-Les sangs-purs sont supérieurs !
-Un elfe de maison vous écraserait en duel !
-Les sorciers n'ont d'ordre à recevoir d'aucune espèce !
-Apprend la modestie !
-Je suis un mage noir !
-Ça n'a aucun rapport !

Mais le Survivant avait des alliés puissants pourvus d'un don de persuasion impressionnant.

-Allez, ce n'est pas si grave, disait Ron en se blottissant contre Voldemort. Après tout, tant que le monde magique est sauvegardé et que tout le monde est heureux, c'est le principal.
-Mais je…
-Ouais, écoute Ron !
-Silence Potter !
-L'important, c'est de protéger la magie, ça doit être notre priorité. Tu n'es pas d'accord ?

Voldemort marmonna puis hocha finalement la tête.

-Mais on doit supprimer les moldus.

Néanmoins, Vous-Savez-Qui n'était pas à court d'arguments, et ses positions étaient claires et compréhensibles. Votre dévouée, Rita Skeeter, ne pouvait ignorer la conviction et la passion qui animait son regard.

-Attends mais tous les moldus ne sont pas des monstres !
-Et vous en savez quelque chose Potter, n'est-ce pas ? Rappelez-moi comment les moldus qui t'ont élevés t'ont traité ?
-Il faut pas en faire une généralité non plus…
-Aucun sorcier accepterait de vivre parmi les moldus, même ceux qui y sont nés refusent leur monde de barbare !
-Ah ah ! Donc tu avoues que les nés-moldus sont comme les sorciers !

Les deux camps trouvèrent bien vite un terrain d'entente grâce à cet échange diplomatique, et parvinrent à un compromit avantageux pour tout le monde. Les sourires qu'ils échangèrent furent comme des promesse pour le monde nouveau qui venait de naître grâce au courage et à la franchise de deux sorciers incroyables.

-Bon, alors, on renforce le code international du secret magique, mais on ne tue plus les moldus, accepta Voldemort à contre-cœur.
-On donne le droit du port de la baguette à tous les êtres magiques à la conditions qu'ils se soumettent aux mêmes lois que les sorciers, dicta ensuite Harry avec satisfaction.
-Et tout enfant vivant chez les moldus possédant la magie sera pris en charge par une famille sorcière, continua Voldemort avec un grand sourire.
-C'est bon, on a tout ?
-Non, Potter, il reste une chose encore.
-Et quoi donc ?
-Je veux que Weasley m'appartienne officiellement.

C'est ainsi que, dans le grandiose manoir de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom dont la splendeur n'égale que la puissance de son maître, l'accord le plus Historique de notre siècle plaça l'Élu à la tête des héros de l'Angleterre.

-C'EST PAS UN OBJET !
-IL A MA MARQUE !
-C'EST PAS UNE RAISON !
-J'ANNULE TOUT JE TE PREVIENS !
-C'EST DU CHANTAGE !
-Maître, intervint Malfoy en s'inclinant. Il y a peut-être une solution à ce différent.

Ils l'observèrent, surpris de son intervention.

-Parle, Malfoy.
-Vous pourriez vous marier.

Ron rougit brusquement et Harry se rassit, un peu hésitant.

-Et comme ça tu lui appartiendras aussi. Ça me semble un bon compromit. Tu serais d'accord, Ron ?

Mais n'oublions jamais le valeureux sacrifice de Ronald Weasley, acceptant de s'offrir aux mangemorts en guise de bonne volonté, c'est par son sacrifice que la parole de notre Sauveur a été entendu et prise en compte.

Rogue tenta de faire entendre à son maître qu'un mariage entre hommes serait une mauvaise idée, ce qui déclencha aussitôt la colère du meilleur ami de Ron, et les deux se hurlèrent dessus sans plus prêter attention aux autres jusqu'à ce que, las, Voldemort demande à Rogue et Malfoy de sortir. Une fois que tout fut calmé, on demanda aux deux concernés si ça leur conviendrait et, une fois fait, Harry fut si heureux qu'il les enlaça tout deux pour les féliciter, avant de reculer vivement pour éviter les doloris.

L'échange se conclut par une franche accolade entre notre héros et notre ancien ennemi, scellant ainsi leur alliance pour, nous l'espérons, l'éternité.
Mes chers lecteurs, mes chers lectrices, célébrons la Paix ! Aujourd'hui est un jour nouveau, célébrons le ensemble, pour la gloire de notre peuple, le départ nouveau que prend la Grande-Bretagne magique !

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Personne dans la Grande Salle ne revenait de ce qu'ils venaient de lire dans la Gazette des Sorciers. Si les deux garçons du trio d'or n'avaient pas confirmé ce qui y était écrit, la population de Poudlard l'aurait sûrement prit pour un canular de très mauvais goût.

Depuis le début du déjeuner, Dumbledore s'entretenait avec Rogue à voix basse et la plupart des autres professeurs ne semblaient pas se remettre du choc et ne cherchaient pas à restaurer le calme dans la Grande Salle tant ils semblaient perdus. De tous, il n'y eut que Hagrid qui, les larmes aux yeux, vint les féliciter tous les trois en leur serrant la main.

Hermione, toujours enfermée dans son mutisme, ne le démentit pas plus qu'elle accepta ses félicitations, mangeant rapidement en silence avant de se lever, désirant apparemment s'isoler pour échapper à l'humiliation publique qu'elle ressentait.

Mais Harry et Ron la suivirent sans hésitation, et ne l'écoutèrent pas quand elle demanda furieusement à être laissée tranquille.

-J'ai été idiote à ne pas vous croire et vous avez réussi à le prouver, qu'est-ce que vous me voulez de plus ?
-Mais non, Mione, ne sois pas bête… fit Harry en essayant de la tranquilliser.
-Tu es celle qui s'est le moins souvent trompée de nous trois depuis le début de notre scolarité, on serait mal placés pour te reprocher ça…

Hermione ne répondit rien et les garçons la tirèrent jusqu'à la tour de Griffondor en passant chacun un bras sous les siens, souriant sans malice, simplement content qu'elle ne soit plus en colère contre eux.

Ils étaient amis après tout.

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Ils avaient tous plus ou moins pensé que Dumbledore détestait Voldemort, ou du moins, qu'il le suspecterait suffisamment pour tenter de raisonner Ron quand il avait apprit qu'il allait se marier et qu'ils avaient besoin d'un lieu pour la cérémonie. Mais ils auraient aussi dut se rappeler que le directeur de Poudlard avait toujours été un peu dérangé, et que ''l'amoûûûûr'' était son argument principal pour accepter tout et n'importe quoi. Il s'était donc joyeusement proposé pour tenir et présenter la cérémonie.

-Mes chers amis, commença-t-il dans sa grande robe blanche parsemée de fleurs colorées qui se déplaçaient d'elles-même sur le tissus. Nous sommes réunis ce soir pour célébrer l'union de deux sorciers impressionnants !

Face à lui, Ron et Voldemort s'échangèrent un sourire (enfin, Ron sourit et Voldemort grimaça). Ils étaient tous deux vêtus de longues robes de sorciers noires, ouverte devant sur des tuniques blanches très cintrées. C'était Hermione qui avait choisi leur tenues, pour en faire le symbole de ce que représentait réellement cette union : l'amour d'un mage noir amenant la paix.

-En ce jour, Tom Mar…
-Hm hm !
-… Lord Voldemort et Ronald Billius Weasley vont lier leur magie et leur cœurs pour l'éternité.

Molly sanglotait dans les bras d'Arthur, et Harry en faisait de même dans ceux de Hermione. Heureusement, il n'y avait ni journalistes, ni représentants du ministère. Seule la famille Weasley, Harry, Hermione, Rogue et la famille Malfoy avaient été invités au mariage et parmi eux personne, pas même Draco Malfoy, ne prendrait le risque de se moquer du comportement du Survivant en une pareille occasion.

-Jurez-vous, messieurs et mesdames les invités, de bénir leur union sur votre foi et sur votre magie ?
-Nous le jurons, dirent-ils tous ensemble.

Harry se moucha un peu bruyamment et Hermione lui tapota le dos en lui demandant de faire un effort.

-Jurez-vous, messieurs les fiancés, de prendre soin l'un de l'autre tant que le soleil brillera et que votre magie brûlera ?
-Nous le jurons, dirent-ils tous deux.

Harry pinça les lèvres, tremblant un peu de voir son meilleur ami épouser ainsi quelqu'un, se sentant pire qu'un père voyant sa fille lui être volée, la colère en moins. Mais il ne dit rien, parce que au fond, il savait que ça rendrait Ron heureux, et que ça ferait du bien à Voldemort, alors ça ne pourrait pas être mieux… Mais tout de même, son Ron n'était-il pas un peu trop jeune pour s'engager de la sorte ?

-Harry, tiens-toi un peu !
-Je sais, Mione…

Dumbledore lui jeta un coup d'œil rieur puis reprit :

-Veuillez lier vos mains et pointer vos baguettes vers la terre, nourricière de notre magie et de notre corps.

Ron et Voldemort se mirent face à face et s'exécutèrent. Une lumière douce jaillit de leurs mains et, entre eux, là où leur baguette était pointées, un arbuste commença à pousser, l'écorce du tronc sombre mais les branches d'un beige très clair, presque doré. Il grandit jusqu'à atteindre leur mains, presque à un mètre du sol, puis se stabilisa.

-Vous êtes désormais reconnus comme époux légitimes devant la loi et devant la magie, messieurs et mesdames les invités, vous pouvez applaudir, et messieurs les mariés, vous pouvez vous embrasser.

C'est ainsi que sous les applaudissement des personnes qu'ils aimaient et/ou respectaient le plus, Ron et Voldemort échangèrent leur premier baiser, tout en timidité et maladresse, puis s'enlacèrent de telle sorte que le visage du mage noir ne soit pas visible des invités, afin que personne au monde ne puisse voir le premier sourire de Voldemort.

Enfin, personne sauf Dumbledore évidemment, mais cela, il vaudrait mieux ne pas le faire remarquer à voix haute.

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C'est ainsi que la seconde guerre de Voldemort connut une fin prématurée mais heureuse. Le grand public n'eut jamais accès à toutes les informations, bien entendu, mais dans le monde de la magie, les sorciers ne se posaient pas beaucoup de questions.

On ne peut pas dire que Voldemort et Ron vécurent paisiblement et eurent beaucoup d'enfants, mais au moins, ils furent plutôt heureux.

Comme prévu, les sorciers s'isolèrent encore plus du monde moldu et les nés-moldus furent bien plus rapidement pris en charge par la communauté. Les êtres magiques eurent un peu plus de mal à s'intégrer à la société sorcière en temps que membre à part entière, mais en étaient tout de même très satisfaits d'une manière générale.

Le monde magique, complètement séparé du monde moldu, dut entièrement se réorganiser. C'est ainsi qu'ils placèrent à leur tête Harry Potter et Voldemort qui, malgré leurs innombrables disputes, arrivaient néanmoins à faire fonctionner leur gouvernement plutôt correctement.

Dans la mesure où Harry était un horcruxe (comme le révéla Dumbledore peu de temps après le mariage), Voldemort n'avait plus d'intérêt à mettre fin à sa vie, il s'arrangea donc pour lui faire partager son immortalité. Quand à la prophétie qui aurait du les forcer à s'entre-tuer, et bien, ils se dirent qu'elle n'était peut-être pas si importante que cela (notamment parce que cela les arrangeait tous le deux de l'ignorer ostensiblement). Et lorsque l'on n'accorde plus d'attention à une prophétie, elle perd son pouvoir. C'était déjà un problème de réglé.

Une trentaine d'années plus tard, le monde magique remarqua que ni l'un ni l'autre ne semblait prêt à mourir et qu'il était probable qu'ils gouvernent éternellement. La réaction fut étrangement passive : dans la mesure où ils représentaient tous deux un symbole idéalisé et idolâtré, la Grande-Bretagne les laissa faire.

Mais le problème, c'était que Ron n'était pas un horcruxe, il ne pouvait pas donc pas bénéficier de l'immortalité de Voldemort comme le faisait Harry et Nagini. Hermione et lui durent donc trouver une autre solution pour rester à leurs côtés : ils devinrent des vampires. Oh, ce n'était pas une transformation aisée et il y avait plein de désavantages à cette situation, mais leur seul but était de rester aux côtés de Voldemort et Harry, alors la solution était appropriée.

C'est ainsi que l'Angleterre magique rentra dans une ère de prospérité éternelle, grâce à l'amour improbable entre deux êtres.


Et voilà, c'était le dernier chapitre de "Mon Meilleur Ami et Son Amant (je crois)", j'espère qu'il vous a plu malgré le choc du couple (que je ne pensais pas tant provoqué, je suis si naïve...)

Je voudrais remercier les lecteurs anonymes : Chloe et Amista, ainsi qu'à ma chère Royale Correctrice qui a fait l'effort de revoir mon histoire alors qu'elle était déjà débordée de travail. Applaudissez-la ! Un grand merci également à tous ceux qui ont aimé cette histoire, qui ont prit le temps de me le dire ou de mettre la fanfiction dans leur favoris, vous ne savez pas à quel point c'est important pour nous, auteurs, qui ne gagnons pas une mornille pour notre travail !

Information à ceux qui lisent triangle : je recommence bientôt la publication, le chapitre a été transmis à ma bêta, soyez patients ça arrive.

Bonne journée ou soirée à tous, et à la prochaine j'espère !

Yume la pitite chaussette cannibale u_u