CHAPITRE 13 Très Chère Augusta
Arthur et Tonks étaient dans le salon avec les jumeaux, au-dessus de leur magasin. Aussitôt Arthur lança les sorts de silence et confidentialité. Il demanda à Tonks de tout leur dire des événements de Gringotts.
- Pour la lecture du testament de Sirius, il y avait Dumbledore, Percy, Ron, Hermione, les Malefoy, maman et Remus.
- Harry n'était pas la ? demanda Arthur étonné.
- Non, dit Tonks, les jumeaux Weasley échangèrent un regard lourd de sens.
- Sirius a laissé de l'argent uniquement à sa famille, à Harry et Remus. Mais nous avons eu la surprise de découvrir qu'il avait un fils, Lord Seth Orion Black. Et que celui-ci devenait le chef de famille, héritant de tous les biens Black, du square Grimaud et qu'il devenait le tuteur de Harry.
- Arthur émit un long sifflement.
- Quoi ? Firent Fred et Georges très surpris.
Un long silence suivit. Harry avait changé de tuteur, cela aurait des conséquences, c'était sur il y avait une lutte de pouvoir pour l'arme qu'il représentait, malheureusement.
- Continue Tonks, dit Arthur sinistre.
- Bien sur, Dumbledore a piqué une colère monumentale voulant s'opposer aux dernières volontés de Sirius, quand Seth est entré, après une discussion houleuse, Ron a essayé de l'attaquer, Draco Malefoy l'a défendu, et les gardes du corps de Seth ont envoyé Ron au tapis. Alors Percy a voulu lancer un autre sort sur Seth, mais Lucius Malefoy l'a transformé en veracrasse.
Les jumeaux ricanèrent. Arthur lui, était consterné que Ron attaque ainsi le fils de Sirius, et de quel droit ?
-Albus a voulu aussi attaquer Seth dans le dos, mais le gobelin l'en a empêché, après ils sont tous partis.
- Comment est ce Seth Black ? demanda Arthur
- Très séduisant, il ressemble à Sirius, il est puissant, jeune vers les dix huit ans, et très sympa. Il a récupéré le square Grimaud, et il a prit la fabuleuse décoratrice Kara Ferguson, alors vu qu'il a réintégré tous les Black à la famille….
- Quoi tous les Black ? demanda Georges.
- Oui maman, moi, Narcissa, et Draco…mais pas Bellatrix. Après, on s'est tous retrouvé : tata, maman, Draco, Seth et un copain a eux Blaise je crois, au square pour discuter décoration. Maman et Narcissa étaient là aussi, elles discutaient avec Walburga.
- Fred as-tu une pensine ? Tonks j'aimerais voir tes souvenirs demanda Arthur. Il restait pensif devant la réunification du clan Black, c'était un élément très important, il en était sur.
Les trois Weasley plongèrent dans les événements de Gringotts. Quand ils en sortirent, il y eu un grand moment de silence consterné.
- Papa, pourquoi Ron et Hermione étaient ils la ? Tu étais au courrant ? demanda Fred
- Et sans Harry….compléta Georges
- Pourquoi pensaient ils avoir le droit à l'héritage de Sirius ? interrogea Fred
- Et que faisait Percy là surtout, par ailleurs j'ignorais qu'il connaissait si bien Albus… constata Georges.
- Et d'après ce que l'on a vu dans la pensine Ron et Hermione ont l'air de détester Harry dit Fred
- Mais que se passe-t-il bordel ! S'énerva Arthur, et cette discussion entre Percy et Albus que nous avons surpris…Et non je ne savais pas que Ron et Hermione allaient à la lecture du testament. Bordel de merde, on me prend pour un con.
Les jumeaux regardèrent leur père avec des yeux exorbités, jamais ils ne l'avaient entendus dire un gros mot, et jamais ils ne l'avaient vu aussi en colère, même lors de leurs pires bêtises. Des choses allaient changés, c'était grave.
- Quelle discussion ? demanda Tonks.
- Ils disaient que tu es une traîtresse Tonks, que nous sommes des idiots manipulables dont Molly tire les ficelles, qu'Albus veux récupérer le tutorat d'Harry pour son argent, et qu'il pourra mourir comme son idiot de parrain, et puis il y a cette décision qui ne me plait pas du tout de former Ron et Hermione comme aurores, alors que Harry ne bénéficie de rien et restera prisonnier tout l'été chez ses moldus.
Ils oublient tous que Harry m'a sauvé la vie, qu'il a sauvé Giny, nous avons une dette sorcière très important vis-à-vis de Harry, indépendamment que j'adore ce gosse.
- Harry nous a permis de démarrer notre affaire en mettant les fonds de base, il est généreux, gentil nous l'aimons beaucoup dit Fred, Georges approuvant avec de grands mouvements de tête.
Les quatre sorciers présents dans la pièce réfléchirent en silence à toutes ces informations. Il venait de mettre le doigt sur quelque chose d'énorme.
-Il nous manque des éléments dans cette histoire, il y a quelque chose contre Harry. Tout tourne autour de lui. Il faut que je le voie. Attendez moi, je ne serais pas longue, dit Tonks.
POV Tonks
Tonks sortit rapidement de la pièce, elle partit au point de transplanage du chemin de traverse, et atterrit à quelques rues de Privet Drive. Elle se métamorphose en représentant de commerce des plus commun, et elle alla sonner chez les Dursley.
Maugrey qui effectuait la surveillance ce jour là, ne vit rien d'anormal.
Une Pétunia à la bouche pincée, et à l'air revêche ouvrit la porte au coup de sonnette de Tonks.
- Madame Dursley, Simon Brigs de la Société Tout propre, j'aimerais vous présenter mes produits, et vous offrir des échantillons gratuits, qui feront de vous la plus parfaite ménagère du quartier.
- Oh mais c'est très intéressant, entré Monsieur, passez dans le salon….dit Pétunia avec un grand sourire.
Dés que la porte fut refermée sur la rue, Tonks sortit sa baguette et mis Pétunia sous imperium. Elle allait faire ce dont elle avait longtemps rêvé, explorer cette maison, devant laquelle, elle avait si souvent fait la planque.
La maison était d'une propreté irréprochable, à tel point que cela en était suspect, elle demanda à Pétunia de la conduire à la chambre de Harry.
- Madame Dursley ou est Harry Potter ? Est-il à la maison ? demanda Tonks en montant les marches.
- Non, ce monstre a disparu depuis quatre jours au moins…
- Comment ça au moins ? vous ne savez pas depuis quand votre neveu à quitté la maison ?
- Non, on glisse un bout de pain par la trappe, et on l'oublie, sauf si il fait du bruit Vernon va le dérouiller, mais les assiettes n'étaient plus vidées depuis trois jours, alors j'ai vérifié…il était partit.
- Merlin, au bout de trois jours, quelle horreur dit Tonks atterré
Mais si l'ordre n'était pas au courrant, où était Harry ? Et pourquoi sa tante l'appelait « monstre » ?
- Que reprochez vous à Harry ?
- C'est un sorcier, il est anormal…..Tonks était choqué, c'était quoi cette famille ?
Elles arrivèrent devant une porte sale, équipée de cinq verrous extérieur et d'une petite trappe. Tonks eu des frissons glacés à la vue de cette porte, cela lui rappelait un peu trop la porte d'une cellule de prison.
Et pourquoi le héros du monde sorcier était-il traité ainsi ? Oh, elle se doutait bien que ses relatifs ne l'aimaient pas beaucoup mais à ce point, ce n'était pas imaginable.
Tonks ouvrit les multiples verrous avec l'angoisse tenaillait au ventre, elle poussa la porte, et pénétra dans la pièce. C'était une chambre misérable, les meubles branlants, de mauvaise qualité, cassés, des barreaux à la fenêtre, et vu de l'intérieur, ce n'était pas pour la protection du pauvre Harry. Dans un coin une vieille bassine rouillée qui devait servir de toilette. Cette chambre était une prison, Harry était en prison tout les étés depuis des années. Une angoisse énorme submergea Tonks, qui se précipita pour vomir dans la bassine, elle ressentit du dégoût pour son aveuglement à elle et aux autres. Elle reprit contenance prenant sur elle, on n'était pas un auror pour rien. Elle se transforma en Harry et se pencha à la fenêtre de la chambre, du moins entre les barreaux pour bien se montrer. Maugrey sortit de sa planque et lui fit un petit signe de la main, Harry/Tonks lui répondit avec un petit sourire.
Puis elle s'éloigna de la fenêtre et redescendit avec Pétunia.
- Cela fait longtemps qu'il vit dans cette cellule la haut ? demanda Tonks d'une voie éteinte.
- Depuis ses douze ans.
- Et avant ?
- Et bien là, Pétunia désignais le petit placard sous l'escalier.
Tonks alla ouvrir la petite porte, s'agenouilla et vit un petit matelas sale encore sur le sol, avec un vieux dessin, représentant un papa, une maman et un petit garçon scotché au mur. Elle eu une remontée de bile, qu'elle ravala, Tonks pleura longtemps, là par terre en regardant le réduit, deux petits soldats cassés posé comme des merveilles sur un rebord de la plaintes. Il fallait qu'elle sorte d'ici. Elle n'arrivait plus à respirer.
Elle se redressa, fit face à Pétunia toujours sous imperium, fut tentée de lancer un doloris, et lui lança un oubliette. Elle reprit son apparence de représentant, sortit, et partis d'une démarche naturelle.
A l'abri des regards, elle pu transplaner vers le chemin de traverse, pour retrouver les Weasley.
Fin du POV
Arthur réfléchissait cela faisait un moment qu'il avait des doutes, trop de choses l'indiquaient, et sa femme que venait elle faire dans l'histoire ? C'était elle qui avait exigé de gérer les finances du couple, argumentant qu'elle s'occupait des dépenses de la maison et des enfants. Il l'avait laissé s'en charger, cela le dégageait d'un soucis, et il pouvait se concentrer sur son travail et ses recherches sur l'artisanat moldu. Il avait été trop laxiste, et il n'avait rien vu. L'aveuglement n'était pas une excuse, et il payait sa paresse aujourd'hui. Sa famille trempait dans une salle histoire. Et c'était sûrement très grave, il le sentait.
Les jumeaux se parlaient doucement recoupant des éléments, analysant les comportements de chacun. Mais tous les trois trouvaient, au bout d'un moment que Tonks mettait du temps à revenir, et cela les inquiétaient. Ils finir par attendre dans un silence de plus en plus pesant.
Tonks ouvrit la porte brusquement, les faisant tous sursauter. Elle avait les cheveux gris, et des larmes coulaient sur son visage.
- Que se passe-t-il ? Il est arrivé quelque chose à Harry ? cria Arthur. Ils s'étaient mis debout tous les trois à son arrivée.
- Non, enfin je ne sais pas, attendez je vais vous montrer, je ne suis pas en état de parler. Tonks sortit avec sa baguette son souvenir et le mis dans la pensine. Les trois hommes plongèrent dedans.
Quand les Weasley sortirent, ils étaient dans une rage rarement vue chez des sorciers, une aura rouge se dégageait de leurs corps. Ils étaient en fureur. Quelques objets de décoration du salon explosèrent sous la pression.
- Je vais aller immédiatement demander des explications à Dumbledore cria Fred.
- Je vais aller tuer les Dursley dit Georges avec haine.
- Non arrêtez, il faut réfléchir intervint Arthur, mettez votre coté Gryffondor en sourdine. Dumbledore était forcément au courrant, il le savait, il faut retrouver Harry avant tout. Mais ou est il ?
Un silence pesant s'abattit sur les occupants du salon.
- Il s'est peut être échappé, et il se cache proposa Tonks.
- Attendez, nous devons vous raconter quelque chose, hier Dobby, l'elfe qui aime tant Harry est venu nous rendre visite nous apportant une grande boite avec pleins de droxys. Le mot qui accompagnait cette livraison était « Avec les compliments de Lord Seth Black » dit Georges.
- Nous savons que Dobby n'est fidèle qu'à Harry. Nous savons que seul Harry connaissait notre utilisation des droxys dans la préparation de certaines de nos farces. Ajouta Fred.
- Alors comment Seth Black peut il nous envoyer Dobby avec des droxys, si il ne connaît pas Harry ? dit Georges.
- On dirait bien que Harry nous à laisser des indices, un message, pour le retrouver si nous le voulions. Dit Fred.
- Et nous le voulons mon cher Georges.
- Les jumeaux vous êtes géniaux, dit Tonks.
- Mais ou trouver Seth Black ? demanda Arthur, il détient les secrets de cette histoire, j'en suis sur.
- Moi je sais, il réside chez les Malefoy dit Tonks, et je peux y aller tata Narcissa, me recevra avec plaisir.
- Alors, nous allons tous y aller maintenant dit Arthur avec un nouveau regard brillant de détermination et de colère contenu.
POV Augusta
Augusta Londubat poussa un soupire excédé, en tapant de sa canne sur le sol. Neville assis dans un angle du salon, se figea, baissa la tête.
Le salon était luxueux, mais on n'en voyait pas grand chose, les lourdes tentures, étaient toujours tirées, baignant la pièce d'une faible luminosité.
Un vieille elfe se présenta en s'inclinant et annonça les visites de l'après midi.
- Maîtresse, Madame Narcissa Malefoy, et Madame Androméda Black Tonks demandent audience.
- Faites entrez, Fluck dépêchez vous, à mon âge on attends plus. Dit Augusta impérieuse.
Narcissa et Androméda entrèrent, saluèrent l'aïeul avec respect, puis prirent place dans des fauteuils. Elles ne remarquèrent pas Neville assis sur sa chaise dans un angle.
- Ne perdons pas de temps, qui est ce nouveau Lord Back ? D'où sort il ? je veux tout savoir exigea Augusta en tapant de la canne.
Androméda réprima un sourire, Augusta se voulait plus dur qu'elle ne l'était en réalité. Mais la communauté sorcière avait énormément de respect et de considération pour elle.
- C'est le fils de Sirius Black répondit Androméda.
- Et sa mère ? continua Augusta
- C'était une Zabini, de la branche Italienne dit Narcissa, Androméda lui adressa un regard de gratitude.
- Mais faut il que je vous tire les vers du nez, parlez ! exigea Augusta perdant patience.
- Il n'est pas du coté du Lord Noir, il est son ennemi et tous les Malefoy ont ralliés sa cause.
- Bien dit Augusta plus détendus.
- Augusta, il faudrait une pensine, je vous montrerais ce qui s'est passé à la lecture du testament de Sirius, vous comprendrez alors qui est notre chef de famille. Dit Narcissa.
- Neville dépêche toi, va chercher une pensine…on me fais toujours attendre ici bougonna Augusta, pendant que Neville rapportait avec empressement l'objet demandé.
Androméda extirpa un souvenir en fil blanc, qu'elle déposa délicatement dans la bassine.
- Neville tu m'accompagneras dit Augusta, et ils plongèrent tous les deux dans la pensine.
Narcissa et Androméda échangèrent un regard lourd de sens, si elles avaient répondus à la curiosité d'Augusta ce n'était pas pour assouvir son goût des potins, mais pour la rallier. Wallburga leur avait parlé des réunions de l'ordre, car elle savait tout.
Et depuis que Narcissa savait que Harry Potter et Seth Black ne faisait qu'un, elle avait compris beaucoup de choses. Elles en avaient discuté entre sœurs, rétablissant définitivement l'ancienne complicité.
Augusta et Neville sortirent de la pensine, dégoûté par les comportements d'Albus et sa clique.
- Comment Albus a-t-il osé s'opposer aux dernières volontés de Sirius, les rejetons Weasley sont des arrivistes, et je ne parle pas de cette sang-de-bourbe, mais quelle honte, dans quelle société vivons nous ?
Narcissa réprima un petit sourire, quelle ironie Augusta avait utilisé le terme de sang-de-bourbe, pour la Granger, c'était excellent, quand elle dirait ça à Lucius….
- Vous me cachez encore quelque chose toutes les deux, et je veux savoir exigea Augusta. Les deux sorcières échangèrent un regard, que Augusta remarqua avec une moue d'anticipation, cela allait être croustillant, elle le sentait.
- C'est un grand secret que nous allons vous confier, et bien sur nous vous demandons la prudence car les conséquences d'une maladresse serait énorme dit Androméda.
- C'est entendu, vous savez qui je suis, mon petit-fils et moi nous ne dirons rien.
- Je ne parlerais pas assura Neville d'une voie ferme, Narcissa lui jeta un regard évaluateur et curieux
Androméda capta ce regard, qui la réconforta sur la valeur de Neville.
- Lord Seth Orion Black a réalisé un rituel d'adoption posthume, par le sang annonça Androméda. Augusta en eu le souffle coupé.
- Neville, tu dois apprendre, que ceci est un secret des sang purs, peu de sorciers connaissent ce rituel antique. Il était réalisé, il y a plusieurs siècles, pour éviter que les familles nobles ne disparaissent pendant les grandes guerres.
Il faut avoir une lignée pure, sans tâche, peu de familles peuvent prétendre à cet honneur aujourd'hui.
Ce rituel transforme le sorcier physiquement et intellectuellement, lui donnant les pouvoirs familiaux de la famille à laquelle il se relie.
Il est réalisé que dans des cas exceptionnel et très rare. Cela le vieilli de quelques années, apportant maturité et changeant la structure mentale.
Mais cet acte de haute magie nécessite un tel courage et un tel amour d'un coté comme de l'autre, que peux peuvent y prétendre.
De nos jours, seul les gobelins peuvent réaliser ce rituel, car il faut leurs magies pour le faire. Pour cela la candidature est soumise au Conseil Suprême gobelin, qui est seul juge, si le sorcier en est digne.
Et cela ne s'est pas produit depuis plus de mille ans, te rends tu compte de l'importance que cela a ? Expliqua Augusta
Qui était il avant ? Murmura Augusta estomaqué par cet acte de haute magie.
- Augusta, je dois ajouter que le rituel a été fait en plus, sous magie magistra, dit Androméda d'un ton grave. Augusta eu un coup au cœur, le sorcier suprême était né.
- Narcissa, Androméda il y a une prophétie datant de l'époque de Merlin qui parle de ce sorcier suprême, changé par rituel du sang posthume et béni par magie magistra.
- Que dit elle ?
- Personne ne le sait elle est gardé au département du Mystère à une place d'honneur, sur un coussin d'or. Qui était il avant ? répéta Augusta.
- Harry Potter
Les Londubat, Narcissa, et Androméda partirent pour le Manoir Malefoy, Augusta et Neville voulaient rencontré Harry et lui parler. L'histoire, du monde sorcier allait prendre un tournant
Fin POV
Draco, Blaise et Seth discutaient allongés sur des chaises longues près de la piscine, sous des parasols.
Il faisait une chaleur caniculaire, sans un souffle d'air. Et, les trois jeunes hommes savouraient des cocktails de jus de fruits frais. Ce moment de détente était bienvenu.
- Draco on est trop bien chez toi, dit Harry avec un sourire de satisfaction en s'étirant sur le ventre et en enfonçant la tête dans le matelas.
- Lui dit pas ça, il va être imbuvable après, en plus t'es vachement tentant Harry. Ce maillot, ces tatouages …wahh t'es une vraie bombe, je suis prêt à devenir gay rien que pour toi dit Blaise d'une voie langoureuse.
- Arrête de déconner Blaise ; Harry tes tatouages me tues littéralement, ils sont trop beaux. Dit Draco, ne pouvant s'empêcher de passer le doigt sur le serpent dans le dos d'Harry.
- Hey Draco, si Sévérus voit ça quand il va rentrer, filleul ou pas filleul il va te massacrer. Dit Harry en rigolant
- Dis plutôt que c'est parce que je te fais de l'effet, quand je te touche…
- Même pas en rêve, plaisanta Harry, je te verrais bien avec un beau dragon en tatouage cela t'irait bien.
- Ouai peut être, c'est vrai que quand on voit ce que cela donne sur toi…Un bout feu chinois ? demanda Draco
- Plutôt un magyare a pointe rigola Blaise, au faite Harry, Antonio va passer tout à l'heure, Lucius doit aller le chercher après être sorti du journal.
- C'est super, et puis mon Sévérus rentre ce soir, avec de la chance on pourra manger tous ensemble. Dit Harry rêvant déjà à revoir son amour.
- Salut les mecs alors on fait les lézards…Pansy Parkinson et Théodore Nott venait d'arriver
Draco, et Blaise les saluèrent. Puis Draco se tourna vers Harry.
- Je vous présente Lord Seth Orion Black, il est mon cousin, dit Draco, et le mien ajouta Blaise. Seth fit un signe de tête en guise de saltations.
- Wahh alors ça c'est un exploit, je suis curieux de voir ton arbre généalogique, ça doit être quelque chose… dit Théo impressionné.
- C'est vrai qu'il n'est pas commun rigola Seth.
Pansy et Théo regardèrent Seth. Il était impressionnant, on sentait la puissance émanait de lui. Ses tatouages autour des biceps étaient magnifiques.
Et il était beau, tout simplement beau…ses formes athlétique parfaites, ses yeux verts avec ses long cheveux noir envoûtant. Ils restèrent bloqués devant tant de séduction, il débordait de sensualité.
Pansy et Théo étaient en transe. Blaise et Draco rigolèrent de l'effet que produisait Harry sur leurs amis. Cela permis aux deux nouveaux de reprendre pieds avec la réalité.
Ils décidèrent d'aller tous dans la piscine, Théo et Pansy avaient prévu le coup, ils furent en maillot de bain en deux minutes. L'eau avait la température idéale, et dans cette journée à la chaleur étouffante, la fraîcheur de l'eau était un bien fait. Ils jouèrent à une version sorcier du waters polo. Pansy et Théo manquèrent la balle, lorsque Seth se tourna pour répondre à une question de Blaise, et donc, leur présentât son dos. Ce qui fit beaucoup rire Blaise et Draco.
Ils s'installèrent, ensuite, autour de la table en terrasse, et un elfe leur apporta des bières au beurre, et des gâteaux. Harry s'était sentit de suite à l'aise avec eux, ils étaient sympas et gentils, rien à voir avec les rapports qu'ils avaient eu à Poudelard.
- Pansy, je voudrais te demander un truc ? dit Draco.
- Là tu m'intrigues…tu hésites a poser une question ? dit Pansy.
- Mais non, tu es bête, j'ai appris quelque chose et je voudrais que tu me dises ce que tu sais…
- Va y je t'écoute, et pour la réponse je verrais…
- Il parait que Giny Weasley est enceinte, tu sais qui est le père ?
- Quoi ? Non….mais quel gourde…attends que je réfléchisse….c'est récent puisqu'en fin d'année cela ne se voyait pas.
- Ouai elle serait enceinte d'un mois dit Blaise.
- Alors elle couchait avec Dean Thomas, Terry Boot, et Vincent Crabb….
- NOOOOOOOOOOOOON et Blaise s'écroula de rire par terre.
- Ca devient une habitude Blaise de te rouler par terre dit Seth avec un sourire en coin.
Blaise se redressa difficilement, tu peux parler toi …et chez l'antiquaire c'est de la faute à qui si j'ai du sortir, hein ?
- Bahh t'avais vu ses dents….
- Vous n'allez pas commencer tout les deux, vous êtes insupportables.
- Draco, il y a eu pas mal de choses qui se sont passées on dirait, va falloir que tu m'expliques…dit Pansy.
-Oui et moi aussi cela m'intéresse dit Théo avec beaucoup de sérieux tout d'un coup.
- On verra ….répondit Draco évasif…
Théo fit la moue, puis reprit, Alors Seth dis moi tout, Zabini, Malefoy et Black t'es un tueur.
- Et encore il peut pas te donner son dernier noms, t'aurais une attaque.
- C'est malin Blaise dit Draco
- C'est quoi tout ces mystères, je croyais que nous étions amis, lança Théo avec colère.
- Ne t'énerve pas Théo, ce secret est lié à la sécurité de Seth, nous avons prêter Blaise et moi un serment inviolable, et nos parents aussi..
- Attends Draco tu es en train de me dire que les familles Malefoy et Zabini, ont tous prêté un serment inviolable à Seth pour sa sécurité
- Oui répondit Draco
Théo et Pansy les dévisagèrent tous les trois. Plus personne ne parlait et la tension augmentait.
Théo devint pensif si Draco, Blaise et toute leurs familles avaient fait un serment inviolable c'est que la situation devait être très grave. Il avait porté un jugement su Seth, et il ne se trompait jamais sur les personnalités, il avait un sixième sens pour cela. La famille de Draco était engagée auprès du Lord noir, celle de Blaise plutôt neutre, et Seth ? Théo avait l'intuition qu'il était contre le Lord. Donc trois courrant de réflexion différent. Et pourtant ils étaient amis, très amis même. Ce Seth lui inspirait confiance, il voyait dans ses yeux, son honnêteté, sa loyauté, sa gentillesse. Alors qu'est ce qui pouvait être plus dangereux que le seigneur des ténèbres ? Assez, sa décision était prise.
- Seth je vais prêter serment moi aussi dit Théo d'un ton grave.
- Moi aussi dit Pansy…
- Ce n'est pas un jeu, vos vies risques d'être en danger, j'ai beaucoup d'ennemis puissants, dit Seth.
- Je l'ai compris, mais je vais suivre mon intuition qui ne m'a jamais trompé.
- Et si elle te trompait cette fois-ci ? Le risque est trop important et tu ne me connais pas. Par ailleurs j'ai un lien familial avec Draco et Blaise, tu n'as aucune obligation envers moi.
- Pour ce que tu viens de dire, pour ton honnêteté, je choisit de te suivre, tu as la stature d'un chef, prends mon serment dit Théo d'un ton catégorique. Théo tendit sa main et sortit sa baguette, et attendit en défiant Seth droit dans les yeux.
Après un soupire Seth attira sa baguette d'un sort informulé, Théo fit une moue ironique, Seth haussa les épaules.
- Ne me le reproche pas, si tu viens à le regretter dit Seth.
- Ne présume pas de mes engagements et de mes sentiments répondit Théo.
Seth tendit le bras, les deux mains se touchèrent.
Pansy qui avait assisté à tout l'échange avait également prit sa décision, et elle savait qu'elle ne le regretterait pas. Elle tendit à son tour le bras, toucha leurs mains, et sortit sa baguette.
- « Moi Théodore Nott jure sur ma magie de garder les secrets de Lord Seth Orion Black, de le défendre, et de l'aider dans ses projets, je serais son allié »
- « Moi Pansy Parkinson jure sur ma magie de garder les secrets de Lord Seth Orion Black, de le défendre, et de l'aider dans ses projets, je serais son alliée»
- « J'accepte », les trois fils argents s'enroulèrent autour de leur mains puis disparurent
Draco alla chercher une pensine et Seth commença à enlever ses souvenirs.
POV Sévérus
Sévérus poursuivit la préparation de sa potion, les deux heures de sommeil lui avaient fait du bien. La potion était presque terminée.
Il avait réussit l'exploit de faire une potion qui coupait le lien définitivement, malgré tout le Lord garderait un bourdonnement constant ainsi qu'une migraine latente, qui ne feraient qu'empirer le temps passant. Mais au moment de la prise de la potion aucuns symptômes ne se ferait ressentir, il aura l'impression d'être guérit.
La restructuration mentale d'Harry avait définitivement abîmé ce qui restait d'âme dans le corps du seigneur des Ténèbres, celle-ci était trop amoindrit pour supporter d'être encore diminué.
Harry restait un Horecrux pour le moment, mais il ne subirait plus les visions de ce dément, le lien serait rompu pour toujours avec cette potion.
Sévérus en avait profité, pour donner à plusieurs rats un poisson fatal mais agissant au bout de quinze jours. Il serait alors en mission pour le lord, donc insoupçonnable. Et cette très cher Nagini qui adorait le gibier, allait se faire un plaisir de dévorer ses petits protéger. Qui de toute façon auront des réflexes plus lents, et don aucune chance de s'en sortir. Nagini serait morte avant son retour fin Aout.
Sévérus partit rejoindre son Maître, il était pressé de partir, il en avait marre de tout ce cirque.
En plus Harry lui manquait horriblement, a son retour il faudrait qu'ils parlent de leurs futur maison, d'avoir peut être un animal, et les soirée à deux au coin du feu…
Sévérus alla s'agenouiller avec répugnance devant le grand lézard blanc.
-Monseigneur j'ai réussit une potion unique qui arrêtera les migraines.
- Donne vite, je ne tiens plus, ma tête va exploser.
Voldemort bu toute la potion, quelques secondes après il se redressait ne ressentant plus aucune douleur, il ne s'était d'ailleurs jamais sentit aussi bien, il revivait
- Ah cette potion est réussit, bien, as-tu trouvé à quoi été du ses migraines ?
- Cela pourrait être lié à la dépression de Potter, et le fait qu'il revive dans sa peine la douleur que je lui infligeais pendant les leçons d'occlumentie.
- Oui., bien sur, c'est sûrement la raison…que veux tu pour récompenses ?
- Vous servir est un plaisir Monseigneur, je voulais vous dire que Dumbledore a décidé de m'envoyer demain en mission d'une semaine en Afrique du Sud, pour contacter les vampires de cette région.
- Mais c'est n'importe quoi il n'y a pas de vampires la bas
- Je le sais, mais je vais en profiter pour rencontrer des sorciers qui pratiques une magie tribale et font des potions inconnus dans nos régions, à mon retour je dirais que les vampires ont refusés et ne veulent pas se déplacer.
- Très bien, et pour la mission que moi, je t'ai confié tu en est ou ?
- Je voulais vous faire la surprise, mais j'ai rendez vous avec un vampire début Août qui accepte de m'emmener au Sanctuaire.
- Tu es sur Sévérus ? ce serait extraordinaire, ou avez-vous rendez vous ?
- A Karnak, en France Monseigneur
- Oui les vieux dolmens, la vieille magie oublié, ah c'est merveilleux, et tu pourras récupérer l'allégeance de toute les créatures du sanctuaire, et je veux que tu trouves un moyen pour que moi et tes frères mangemots puissent y entrer, ainsi nous conquerront ce monde mythique, ce sera ma gloire, oui, ce sera bon…
- Tu as bien travaille, je suis content de toi, continue comme ça…et tu seras récompensé. Tu peux te retirer, j'ai des plans et des projets à préparer
- Bien Maître.
Et Sévérus pu enfin sortir de ce tas de pierre, et transplané vers son amour.
Fin du POV
CHAPITRE 14 Alliances
Pansy et Théo restèrent un long moment silencieux après avoir vu les souvenirs de Seth. Ils étaient dégoûtés, révoltés, par tant de bassesses. Ils ne regrettaient pas leurs serments.
- Alors maintenant vous pouvez me dire ce que vous avez fait à Percy ? demanda Pansy
- Et bien il va commencer à sérieusement souffrir, après son agression au ministère, il vient de recevoir son assignation au tribunal, en plus ce jour là je lui ai lancé le sort furonculose durarus. Depuis il a des pustules sur tout le corps dont il n'arrive pas à se débarrasser, dit Seth avec un grand sourire.
- Mais attends Pansy c'est pas finit, Seth lui a lancé un sort de flatulences …dit blaise en riant.
- Tu oublies de dire, qu'il a réussit à lui coller une mocheté nommée Elisa, qui le colle partout. Que cette même Elisa lui a fait un scandale monumental en pleine rue. Que Blaise a lancé un sort qui à fait un trou dans la rue, ce qui les a fait tomber tout les deux. Cela les a mis dans une situation très compromettante, et comme par hasard, un reporter passait par la…compléta Draco avec un sourire.
- Attends regarde le journal Théo, ils en parlent dedans, dit Blaise en lui tendant le Prophète.
- J'y crois pas cria Pansy, j'aurais tant voulu voir ça !
- Je savais que mon intuition était juste, tu es le plus diabolique des serpendards refoulés dit Théo avec un grand sourire.
- Mais je ne suis pas refoulé dit Seth en faisant la moue, et en croisant les bras.
- Tu peux pas dire ça Théo, car il est vraiment très chaud avec Sévérus dit Draco en riant.
- Quoi ? toi et le Professeur Snape ? ce n'est pas possible dit Pansy effarée.
- Ben quoi, on est marié après tout.
- Là, j'ai besoin de m'asseoir fit Pansy toute retourné par la nouvelle.
- Seth tu es vraiment étonnant dit Théo impressionné.
- Et tu n'as encore rien vu dit Draco.
- Que veux tu dire ? demanda Théo
- Avec lui, des événements étranges arrivent, même Sévérus le dit ajouta Draco
- Et bien …tu as bien fait de changer d'amis, ce nouveau profil te rend moins pathétique, tu es en route sur le chemin de la grandeur….dit Théo
- Il me semble que c'est ce que le choipaux magique ml'avait dit, quand il a voulu m'envoyer à serpendard…dit pensivement Seth
Les quatre nouveaux amis de Seth éclatèrent de rire.
- Et bien il y a de l'ambiance ici, Bonsoir jeunes gens fit Lucius.
Lucius et Antonio venaient d'entrer, les présentations furent faites.
- Lucius, Tonio je suis content de vous voir, je dois vous dire que Pansy et Théo nous ont rejoints, les informa Seth
- C'est plutôt une bonne surprise, bienvenus à vous, Harry tout se passe très bien au journal, nous avons déjà reçu une visite du Ministère, et nous leurs avons bien fait comprendre que dorénavant Le Prophète n'avait plus de comptes à leurs rendre.
Ils étaient furieux, j'ai adoré, mais on ne peut rien contre la liberté de la presse. Le gouvernement a perdu le contrôle des médias, cela va être la panique au Ministère.
Barnabas se sent revivre, il a l'impression de se retrouver jeune journaliste débutant sa carrière, plus de restrictions ou de textes dictés par le Ministère. Cela lui a rendu son enthousiasme et le goût de son métier.
Et, la liberté n'a pas de prix, il à bien compris la nuance, de ce que nous lui apportions : une actualité vrai.
- Lucius…. Harry prononça son prénom d'une façon tellement appuyé que tous le mode éclata de rire, c'est vrai quoi ? tu as déjà entendu ton père parler comme un militant toi ?
- Papa sur ce coup là, Harry à raison, t'es incroyable, mais j'adore ton enthousiasme, du jamais vu chez les Malefoy.
- Oui bon ça va, dit Lucius en se renfrognant.
- Lucius je vous laisse jusqu'à la fin des vacances au journal, vous servez d'intermédiaire avec Tonio, après on passera à l'opération financière, mais on en rediscutera dit Seth
- D'accord, le timing me convient parfaitement, confirma Lucius.
- Harry, mes hommes ont commencés à préparer les dossiers sur la liste de noms dont nous avions parlé, et il y a des choses croustillantes à soulever. Par ailleurs, la femme dont nous avions évoqué la mission, s'occupe de Percy et de Ron simultanément, et cela se passe très bien.
- Parfait, tenez moi au courrant, dites moi Tonio, Ororo cherche bien un nouveau mari ?
- Oui, c'est cela.
- Pourriez vous arranger une rencontre avec Fudge ?
Notre veuve noir, pourrait s'en occuper, elle gagnera le prestige d'un Ministre, elle sortira de la famille, et si par malchance son mari suite à un remaniement ministérielle perdait son emploie…
Je suis sur qu'elle ne le supporterait pas, et que monsieur Fudge serait victime d'un accident fatal, et si elle se fait prendre, ce sera Azkaban, qu'en pensez vous ? demanda Seth pensif.
Un grand silence accueillit la proposition, Seth les regarda inquiet, avait il été trop loin ? Tous le regardaient avec concentration, certains avec étonnement, Harry commençait à vraiment s'inquiéter. Tonio fit un petit sourire, regarda Blaise qui approuva de la tête.
- C'est parfait, je n'aurais pas trouver mieux moi-même, Harry, une fois cette affaire réglée il va falloir que tu viennes en Italie et que tu prennes ta place dans mon clan. Non je veux que tu y réfléchisses sérieusement.
- Bien, nous en reparlerons Tonio
- Harry merci, c'est la solution idéale pour ma génitrice dit Blaise très touché que Harry s'occupe de son problème
- Seth mais d'où tu sorts ? tu es incroyable dit Pansy avec ravissement.
- Ton machiavélisme, ton organisation et tes idées confirment bien la justesse de ma décision fit Théo avec un sourire en coin.
Lucius le regardait une lueur de fierté au fond des yeux, il était encore une fois ému, c'était du grand art.
Narcissa Malefoy fit son entré, elle était suivit par Androméda, Augusta et Neville. Toutes les discussions s'arrêtèrent, et le silence se fit. Augusta majestueuse, vint se placer à la tête du groupe, frappa le sol de sa canne pour bien attirer l'attention. Tous restèrent ébahit devant l'entrée de la Matriarche du clan Londubat.
- Je veux voir Harry Potter, dit Augusta impérieuse.
- Augusta, très chère, je vous avez demandé de la discrétion se lamenta Narcissa.
- Ce n'est pas grave Narcissa, Seth ne semblait pas étonné Draco se promis de lui demander les raisons plus tard, Je suis Harry Potter.
Augusta s'approcha, elle le dévisagea, inspectant son corps, Harry était encore en maillot de bain. S'attarda sur les tatouages runiques autour des biceps, et plongea son regard perçant dans les yeux vert qui la défièrent.
- Je dois dire, que le changement dû au rituel vous a réussit, si j'avais cinquante de moins….bien passons, je veux savoir ce qui se passe, dit Augusta.
- Je dois alors vous demander un serment inviolable, je tiens à garder mon identité secrète, par ailleurs je veux réunir autour de moi un groupe unis.
- Qui me dit que vos projets me conviendront, contre attaqua Augusta d'une façon sournoise.
- Grand-mère, j'ai confiance en Harry, il est mon ami, et je le suivrais intervint Neville, salut Harry content de te revoir.
- Salut Neville, moi aussi je suis heureux de te revoir, répondit Harry. Pour vous répondre Augusta, en ce qui concerne mes projets, je vais éliminer Voldemort, révolutionner le ministère, et mettre plus bas que terre Dumbledore et ses alliés.
- Vous êtes ambitieux, cela me plait, j'aime les hommes qui savent ce qu'ils veulent, je suis des vôtres. Il était temps qu'un homme de poigne prenne en main la situation.
Des petits rires se firent entendre, l'ambiance c'était détendu après l'entrée fracassante de ce vieux dragon. Augusta tendit sa canne à Lucius, en lui faisant un clin d'œil, qui laissa Lucius estomaqué.
- Je sais que vous en prendrez soin, dit elle en désignant sa canne puis elle sortit sa baguette, et tendit le bras. Neville en fit autant. Puis Narcissa et Androméda.
- « Moi Augusta Londubat, chef de la famille Londubat, jure sur ma magie de garder les secrets de Lord Seth Orion Black, de le défendre, et de l'aider comme mon alliée »
- « Moi Neville Londubat, jure sur ma magie de garder les secrets de Lord Seth Orion Black, de le défendre, et de l'aider comme mon alliée »
- « Moi Narcissa Malefoy, jure sur ma magie de garder les secrets de Lord Seth Orion Black, de le défendre, et de l'aider comme mon alliée »
- « Moi Androméda Black Tonks, jure sur ma magie de garder les secrets de Lord Seth Orion Black, de le défendre, et de l'aider comme mon alliée »
Harry tendit le bras, appela sa baguette d'un sort informulé qui faisait toujours son petit effet, et dit « J'accepte », et les cinq fils d'argent s'unirent, puis disparurent. Le pacte était scellé.
Pendant que Neville, Augusta, Narcissa et Androméda plongèrent dans la pensine ou les souvenirs de Harry flottaient toujours. Les discussions reprirent entres les convives réunis sur la terrasse.
- Harry dis moi pourquoi tu n'étais pas étonné de l'arrivé de Londubat demanda un Draco impatient.
- C'est simple Draco, quand nous avons été au square Grimaud, tu te souviens que j'ai accepté que ta mère et Androméda aille parler avec Walburga ? Draco hocha la tête, cette cher Walburga, est une grande bavarde, qui a été privé de son petit plaisir personnelle pendant des années : les potins. J'étais sur qu'elle ne raterait pas l'occasion de dire à ta mère et Androméda, tout les secrets qu'elle avait entendu, surtout ceux concernant l'ordre. De plus Walburga, est tellement contente d'avoir de nouveau un Black à la tête de la famille, qu'elle est prête a tout pour m'aider. Tu as remarqué, que ta mère et Androméda ne s'étaient pas attardées, et étaient parties rapidement après ? Cela, a confirmé mes soupçons, elles en avaient appris beaucoup avec le portait. Le soir même j'ai informé Narcissa de mon identité, et sa réaction a été disproportionnée. Ta tante et ta mère après en avoir discuté, on du décider de chercher d'avantage d'appuis pour moi, et la solution logique était de faire appel à la figure la plus respectable du monde magique : Augusta Londubat.
Draco se laissa tomber sur une chaise, la bouche béante, mais il n'était pas le seul, tous étaient en admiration devant le raisonnement de Seth.
- Bien raisonné fît Lucius, orgueilleux comme si c'était lui qui avait fait cette déclaration.
- Tu avais raison d'anticiper, cela tient parfaitement la route dit Tonio
- Mais tu es un vrai serpendard avec des raisonnement pareil c'est pas croyable lança Pansy.
- C'était bien manœuvré, tu as prit un risque, mais cela a marché, tu es étonnant, je ne regrette rien, et je suis heureux d'avoir assisté à tout cela dit Théo.
Androméda, Narcissa, Augusta et Neville sortirent de la pensine horrifiés par ce qu'elles avaient vus, et plus déterminés que jamais a leurs faire obstacle. Des petits groupes se formèrent commentant les événements avec excitations.
Harry alla récupérer ses souvenirs dans la pensine. Il sentit un regard lui brûler le dos. Quand il se retourna Sévérus se tenait dans l'encadrement de la porte, et il le dévorait du regard.
Sévérus était magnifique, l'homme le plus séduisant qui existe, avec sa longue robe noir, sa cape flottant autour de lui, sa virilité à fleur de peau. Il avait une prestance unique et magique.
Et c'est lui qu'il regardait. Son regard sombre enflamma la moindre parcelle du corps de Harry, faisant couler le feu dans ses veines. La respiration d'Harry s'accéléra.
Il se précipita vers lui, noua ses bras autour de son cou, et ils s'embrassèrent passionnément. Ils retrouvèrent le goût de l'autre avec délectation et bonheur.
Harry passa ses doigts dans les longues mèches sombres avec volupté, poussant un gémissement de plaisir, lorsqu'il sentit, les bras de Sévérus le serrer avec un désir fou.
Les mains de Sévérus caressèrent son dos avec frénésie, oubliant tout, sauf son amour qu'il avait retrouvé. Merlin comme il lui avait manqué.
- Je vous rassure ils sont mariés, dit Lucius avec un petit rires devant les mines gênés.
- Je rajouterais même que se sont de jeunes marié qui n'ont pas encore eu de voyage de noces, ce qui explique sûrement ce débordement de passion, dit Tonio.
- Cela me semble évident, leur amour est visible, il est même d'une incroyable force répondit Augusta avec admiration devant le couple. Mais n'en perdant pas une miette, vivement intéressé.
- Je n'en reviens pas, ils sont vraiment mariés, et c'est vraiment chaud murmura Théo.
- Wahh moi aussi je veux un amour aussi fort, s'enthousiasma Pansy.
Narcissa et Androméda admirait avec ravissement le couple et essayait d'avoir un meilleur angle pour mieux voir le tatouage dans le dos d'Harry qui les intriguaient beaucoup, un serpent s'enroulant avec lascivité autour d'une épée. L'image était torride.
- Harry et le Professeur Snape, je crois que je vais me sentir mal déclara Neville.
- Neville tu n'es pas en cours là, moi je trouve le spectacle plutôt excitant, je ne pensais pas que ça pouvait être aussi bandant entre deux hommes s'étonna Blaise.
- Oui tu as raison Blaise ça fait de l'effet de les voir comme ça répondit Draco.
Sévérus s'écarta de Harry mettant un terme à leurs retrouvailles, il regarda avec étonnement l'assemblée autour de lui, et rougit légèrement.
- Harry que fait tu dans cette tenue ? Va t'habiller…
- Nous étions dans la piscine avec Draco, Blaise, Théo et Pansy…j'y vais de suite, je ne serais pas long.
Sévérus lui sourit, malgré qu'il n'aime pas exposer ce qui lui appartenait, il était fière de son époux et ravis de retrouver autour de lui autant de ses serpents.
- Attends Harry, Blaise et moi allons nous changer aussi…dit Draco.
Les trois garçons entrèrent dans la maison. Lucius et Tonio vinrent près de Sévérus pour lui raconter les dernières nouvelles. Ils lui parlèrent du ralliement des derniers membres à leur groupe, de ce qui s'était passé au journal, et des opérations menés par Tonio.
Narcissa demanda à ses elfes de maison d'installer un grand buffet dehors, avec plusieurs tables et des bougies flottantes pour éclaire le parc et les tables, car la nuit tombait. Androméda et Augusta acceptèrent avec plaisir de passer la soirée avec eux. Théo et Pansy se rhabillèrent et entamèrent la discussion avec Neville, qui se sentit vite à l'aise. Les elfes installèrent rapidement l'ensemble, et commencèrent à circuler offrant des apéritifs aux convives. Narcissa sourit, elle adorait les soirées. L'ambiance était détendue, les invités discutaient, tout se passait bien.
Le nouveau trio redescendit, Sévérus se tourna vivement vers Harry. Il portait un jeans noir avec une chemise d'acromentula verte, par-dessus il avait mis une robe sorcière verte toute brodée d'arabesques de style orientale et de perles, dans des tons plus sombre, il la portait ouverte sur sa tenue. Il lui adressa un petit sourire, son amour était magnifique, Draco avait mis le même genre de tenue qu'Harry en bleu, et Blaise était en jaune ce qui faisait ressortir sa peau métissée de façon très esthétique.
Le trio rejoignit rapidement Sévérus, Tonio, et Lucius.
- Bien Harry, maintenant que tu es là je vais te dire ce qui s'est passé avec le seigneur des ténèbres. Quand je suis arrivé, il était malade, avec des migraines terribles, bien sur il était de mauvaise humeur et m'a envoyé quelques doloris. Mais ce qui important c'est que le rituel d'adoption posthume a eu des conséquences sur le Lord noir.
- Par Merlin Sévérus, je suis désolé qu'il t'ait envoyé des doloris, dit Harry.
- Mais non, Harry ce n'est rien, ce qui est important c'est que le rituel a fortement abîmé le lien. Je lui ai préparé une potion pour arrêter ses migraines, en réalité, elles sont stoppées pour l'instant. Mais elles vont reprendre de plus en plus fort, et la potion a un deuxième effet. Elle a coupé définitivement ton lien avec lui, tu ne recevras plus de visions de ce monstre. J'ai dit que sa douleur venait du lien, et de ta déprime pour la mort de Sirius.
- Oh Sévérus tu es merveilleux, tu ne peux pas imaginer ce que j'ai souffert des visions que j'avais. Ne plus avoir de lien avec lui représente beaucoup pour moi, merci.
- Avec son morceau d'âme que tu avais en toi, tu ne pouvais rien y faire. Le seigneur des ténèbres à subit le contre coups du rituel, son âme déjà fractionné à son maximum, n'a pu y faire face. J'en ai profité pendant que j'étais là-bas pour empoisonner plusieurs rats. Le poison est long à agir, Nagini les mangera, et s'empoisonnera, elle sera morte avant fin Août. Un conseil Lucius ne te rend à aucunes convocations dans cette période, il va devenir fou de la mort de son serpent et des migraines, qui seront beaucoup plus intenses.
- Tu as bien fait de me prévenir répondit Lucius. Harry si tu es d'accord je connais quelques mangemorts qui seraient prêt à nous rejoindre, je pourrais les contacter, et nous leurs ferions prêter serment a eu aussi…qu'en dis tu ?
- Ce serait une bonne idée Lucius, mais il faut que tu sois sur de toi, nous n'avons pas le droit à l'erreur.
- Nous ne seront pas trahit Harry, et je m'arrangerait pour que Petter tombe entre les mains des aurores.
- C'est d'accord, et si en plus je peux réhabiliter mon parrain, ce sera parfait.
- Bonsoir à tous ! Oh, maman tu es là ? C'est une bonne surprise
Tonks venait d'arriver, suivit de Arthur, Fred et Georges Weasley. Toutes les conversations s'éteignirent, et les convives fixèrent les nouveaux venus. Androméda s'avança vers sa fille, pour l'accueillir.
- Nymphadora tu as vraiment le don de travailler tes entrées….Et je vois que tu n'es pas venue seule…
- Dis donc Fred, on tombe en pleine réunion…de quoi ? c'est la question…murmura Georges.
- Oui, je vois même la vieille Augusta, y se passe un truc ici, ajouta Fred.
- Tu m'as appelé Nymphadora, c'est que tu n'es pas contente de me voir, sinon tu aurais dit Nymph, constata Tonks.
Lucius s'avança vers les intrus, il était curieux de connaître les raisons de la présence d'Arthur chez lui.
- Bonsoir Arthur, c'est une surprise de te recevoir chez moi, jamais je n'aurais pensé que cela arriverait un jour…dit Lucius de son ton nonchalant.
- Bonsoir Lucius, excuse moi de te déranger toi et tes invités, mais la raison de ma présence ici est vraiment importante.
- Une raison importante ? puis je en connaître les motifs ?
- Excusez moi Lucius c'est moi qui les ai amené…se justifia Tonks.
- Tonks laisse moi répondre à Lucius, nous voudrions voir Lord Seth Black précisa Arthur.
Harry s'avança alors vers Tonks et les Weasley, la présence d'Arthur était délicate, car il en voulait à plusieurs membres de sa famille, et Harry ne savait pas comment ils le prendraient. De plus, il n'avait pas envie de les blesser, il aimait bien Arthur et les jumeaux, mais la vérité risquait de briser leur famille.
- Bonsoir, je suis Lord Seth Orion Black, se présenta Harry
- Bonsoir, désolé de vous déranger, je suis Arthur Weasley, je suis venu avec mes deux fils Fred et Georges, J'aimerais avoir un entretien privé avec vous.
Les jumeaux détaillèrent Seth, il avait fière allure, avec son pantalon noir, sa chemise verte, sa robe de sorcier d'un vert plus soutenu, c'était un bel homme bougeant avec aisance.
- Serpendard ? demanda Fred.
- Serpendard confirma Georges.
Seth sourit de la répartit, ces deux là étaient unique.
- Seth, tu peux utiliser mon bureau, pour avoir un entretien privé lui indiqua Lucius. Harry répondit d'un hochement de tête.
- Sévérus, accompagne moi je te prie, demanda Seth, en se retournant pour regarder son époux.
Seth, Sévérus, les Weasley et Tonks partirent vers le bureau de Lucius, Seth murmura à l'oreille de Lucius qu'il risquait d'avoir besoin de la pensine. Lucius le regarda dans les yeux, puis hocha la tête.
Ils s'intaillèrent dans le bureau de Lucius, il y avait un grand canapé et deux fauteuils crapaud. Seth invoqua d'un informulé un fauteuil pour lui. Les jumeaux échangèrent un regard qu'il ne pu interpréter. Tous prirent place, le silence qui s'était installé fut brisé par l'arrivée d'un elfe de maison qui apportait une pensine et cinq whisky pur feu.
- Sévérus, c'est une surprise de te voir ici, attaqua Arthur.
- Je te rappelle que Lucius est mon ami répondit Sévérus d'une voie ironique.
- Oui, sûrement….seulement je n'ai pas le sentiment que la réunion de ce soir, n'est qu'une soirée de divertissement, rétorqua Arthur. Sévérus lui renvoya un sourire ironique.
Arthur se renfrogna, suite aux découverte de Tonks, ils avaient parlé une partie de l'après midi, et il fallait y aller avec diplomatie, car ils avaient besoin de réponse. Mais ils ne s'attendaient pas à rencontrer la mère de Tonks, les Zabinis, la fille Parkinson, et surtout les Londubats et Sévérus, chez les Malefoy. Quelque chose se tramait, et Arthur était sur que c'était lié à Harry. Mais comment les mettre en confiance ?
- Nous cherchons Harry Potter dit Arthur.
- Il est chez ses moldus, répondit Sévérus.
- J'en reviens de chez les Dursley, et Harry n'y est pas, lança Tonks.
- Qui est au courrant ? demanda Seth.
- Nous quatre pour le moment….nous voulons savoir ou il est, intervint Arthur.
- Monsieur Weasley, Harry est en sécurité, mais personne ne doit savoir qu'il n'est pas à Privet Drive pour le moment, dit Seth.
- Donc vous savez ou il est dit Tonks
- Allons Tonks, Seth est le tuteur de Harry à présent, coupa Sévérus.
- Ecoute, Sévérus j'ai beaucoup de respect pour toi, l'ordre du Phoenix ne t'a pas toujours traité bien, nous ne sommes pas là en ennemis. Nous nous inquiétons pour Harry. Tonks a fait des découvertes horribles en allant chez les Dursley, tu savais qu'il était emprisonné dans sa chambre, et qu'il avait vécu jusque à l'age de douze ans dans un placard sous l'escalier, qu'il l'appelait monstre parce que c'est un sorcier. Et Dumbledore, l'ordre, l'a forcé à y retourner. Tu le savais ?
- Oui Arthur je savais, dis moi plus tôt des choses que je ne sais pas.
- Alors je vais te dire que Dumbledore veut la mort de Harry pour son argent, qu'il considère Tonks comme une traître, et que je serais manipulé par Molly, Tu le savais aussi ?
- Papa ! ne raconte pas tout, tu sais bien qu'il n'a jamais aimé Harry, dit Georges.
- Peut être qu'il est d'accord avec Dumbledor lui aussi, compléta Fred.
- Je vous interdit d'accuser Sévérus, il n'a rien a voir avec Dumbledore, il aide Harry, intervint Seth.
- Oui Arthur, je savais ce que Dumbledore projetait, Seth nous devrions leur lancer un oubliette ils en savent trop.
Tous se levèrent et sortirent aussitôt leurs baguettes prêtes à se défendre. La situation risquait de dégénérer.
- Tu auras peut être un ou deux d'entre nous Sévérus, mais pas les quatre…intervint Tonks
- Attends Sévérus…Calmez vous, tous, baissez vos baguettes, Monsieur Weasley, Harry a effectivement des ennuis, mais il serait trop…merde je ne trouve pas le mot, vous ne pouvez pas savoir, des gens proche de vous sont mêlés a tout cela, dit Seth.
- Nous nous en doutions dirent les jumeaux en cœur.
- Cela ne change rien Monsieur Black, je veux savoir ou est Harry Potter, et je veux savoir ce qui se passe, j'ai passé une très mauvaise journée Monsieur Black, et je suis très en colère, donc pour la dernière fois ou est Harry Potter ? laissa tomber Arthur.
- Pffffff ces gryffondor tous les même, Sévérus était dégoûté, vas y dis leur Seth, on ne les raisonnera pas.
- Je veux un serment inviolable, pour que vous ne révéliez à personne ce que vous allez apprendre, la vérité peut être dangereuse Arthur, compléta Seth.
- « Moi Arthur Weasley, chef de la famille Weasley, jure sur ma magie de garder les secrets de Lord Seth Orion Black et de protéger Harry Potter»
- « Moi Fred Weasley, jure sur ma magie de garder les secrets de Lord Seth Orion Black et de protéger Harry Potter»
- « Moi Georges Weasley, jure sur ma magie de garder les secrets de Lord Seth Orion Black et de protéger Harry Potter»
- « Moi Nymphadora Tonks, jure sur ma magie de garder les secrets de Lord Seth Orion Black et de protéger Harry Potter»
Quatre bras étaient tendus vers Seth, il tendit son bras à son tour « J'accepte » les cinq fils argentés se mélangèrent et disparurent. Le serment était finalisé.
- Asseyez vous à présent, je vais mettre mes souvenirs dans la pensine, et vous saurez tout.
Seth enleva plusieurs fils blanc, qu'il déposa dans la pensine, quand il eu finit, il leurs fit signe de regarder. Les Weasley et Tonks plongèrent.
Harry resta un long moment pensif, il n'avait pas vu venir l'intervention d'Arthur et des jumeaux, il allait leur faire du mal, et il le regrettait. Sévérus prit sa main et la serra, et ce geste de réconfort lui fit du bien. Qu'est ce qu'il aimait cette homme, c'était dans des petits gestes comme ça, qu'il l'appréciait le plus.
- Cela va aller Harry, ils sont adultes, ils feront face, nous n'aurions pas pu leur cacher.
- Je sais Sévérus, mais ils vont être tellement déçu, comme je l'ai étais, je me souviens comme cela m'a fait mal quand j'ai tout découvert, j'ai voulu les protéger..
- Regarde moi Harry, tu n'as rien à te reprocher Harry, tu es un homme merveilleux, généreux, sensible et je t'aime plus que tout, alors je t'aiderais a porter tout cela…
Harry alla se blottir dans les bras de Sévérus, qui le câlina un long moment, lui caressant doucement les cheveux pour l'apaiser. Il déposa quelques baisers le long de sa joue, et le serra plus fort. Harry reprit son calme, et la tempête dans son cœur se calma. Sévérus lui apportait l'équilibre dont il avait besoin.
Ils se séparèrent lorsque Tonks, et les Weasley émergèrent de la pensine, défigurés par la haine, le désir de vengeance, et une tristesse énorme.
- Seth Black est donc Harry Potter, un rituel d'adoption posthume par le sang, laissa tomber Arthur.
- Je suis désolé, Monsieur Weasley.
- Tu n'as pas à être désolé, par Merlin qu'est devenu ma famille, d'où sortent toutes les horreurs qu'ils sont en train de commettre, et comme j'ai pu être aussi aveugle.
- Tonks, Sévérus pouvez vous nous laisser, il faut que nous parlions.
- Oui Harry, je vais rejoindre ma mère, je comprends à présent et je t'aiderais à leur faire payer, et Tonks sortit.
Sévérus, se leva et serra l'épaule de Harry, il comprenait qu'il devait être seul avec eux, car ils avaient à une époque cru appartenir à leur famille, et ils devaient s'expliquer entre eux, Sévérus ferma doucement la porte en sortant. Harry récupéra ses souvenirs, poussa un gros soupir et regarda ce qui restait des Weasleys devant lui.
- Harry il y a tellement à dire…je comprends que tu ne puisses pas nous faire confiance, être trahit à ce point Merlin je ne sais pas quoi te dire, Arthur était anéantis.
- Je vous fais confiance, Merlin cela m'a fait tellement mal de voir que pour certains ce n'était pas réciproques. C'est pour cela que je ne voulais pas vous mêler à cela, dit Harry.
- Harry nous avons été assez ignorant et aveugle, il faut arrêter maintenant répondit Fred d'une voie en colère.
- Tu as toujours été très généreux et gentil. Il faut que tu comprennes, que nous te considérons comme notre frère, et que tu fais partie de la famille, en tout cas pour nous, mais nous ne pouvons pas accepter ce qu'ils t'on fait, termina Georges d'un ton résolu.
- Cette réunion à l'ordre quel horreur, préparer de tels actes, tu as sauvé Giny, notre père pourquoi n'en tiennent ils pas compte ? la famille à deux dettes de vie envers toi, et ils sont d'accord pour te sacrifier…. Fred était dégoûté.
- Quels sont tes projets Harry ? n'hésites pas à nous les dire, j'ai besoin de savoir, demanda Arthur.
- Il faut que vous compreniez que je ne peux pas accepter et pardonner ce qu'ils ont fait, les autres payeront. Pour les membres de votre famille, dont je suis sur qu'ils m'ont trahit et trompés je ne ferais pas de quartiers, dit Seth.
- Nous le comprenons Harry, dit Arthur.
- Pour Percy il a eu déjà un sort de veracrasse, un furonculose durarus, un sort de flatulances, je vais lui faire un procès pour son attaque à Gringotts, et nous allons ruiner son image publique, je vais lui faire perdre son travail. Pour Ron, Giny et Molly, je n'y ai pas encore réfléchit, pour le moment nous avons mis une fille entre les pattes de Ron qui va casser son entente avec Hermione, et leur faire rater les cours d'aurors. Je me rends compte en vous en parlant que tout cela est un peu mesquin.
- Ecoute moi Harry, si tu le permets je vais m'occuper de certains membres de ma famille, tes punitions son bien trop douce par rapport au préjudice. Déjà pour Giny je vais la forcer à épouser le père de son enfant.
- Alors je dois vous dire qu'il y a trois pistes à suivre Dean Thomas, Terry Boot, et Vincent Crabb, les informa Harry.
- Arthur eu un rire d'autodérision, c'est encore pire que je ne le pensais, pour Ron, Percy et Giny je les renieraient je suis le chef de famille, certains actes ne peuvent être pardonnés. Pour Molly accepte que j'aie une discussion avec elle, j'ai besoin de comprendre, ce qui s'est passé.
Harry hocha la tête avec soulagement. Il ne voulait pas au fond de lui, faire du mal à cette famille, malgré tout ce qu'ils lui avait fait.
- Arthur, ne reniait pas Giny, elle est jeune, je pense que Molly l'a influencé, ajouta Harry.
- Tu es généreux Harry, mais il faut qu'elle soit punie pour son comportement, il n'y a pas que ce qu'elle allait te faire, elle s'est comportée comme une prostituée, elle sera traitée comme une adulte, et répara le déshonneur qu'elle a mis sur la famille. Asséna Arthur d'un ton définitif. Je ne la renierais pas, mais Giny, ira vivre jusqu'à son mariage chez la tante Muriel, elle l'a remettra sur le droit chemin, et je peux t'assurer que c'est une punition énorme. Je demanderais à Sévérus de faire une potion révélateur, elle m'indiquera le nom du père de l'enfant de Giny. Ensuite elle sera mariée.
- Papa à raison la tante Muriel est rigoureuse, maniaque, elle est désagréable, et très attentive aux mœurs, Giny va vivre un enfer, dit Fred.
- Je vais convoquer demain matin Charlie et Bill, pour les mettre au courant de la situation. Harry ne t'en veux pas, c'est moi le responsable. J'aurais du être plus ferme et attentif. A présent, je te promets ici, et maintenant qu'ils payeront pour leur comportement. Mais sache une chose, c'est que je te garde, et te garderais toujours mon affection.
- Nous te soutiendrons et t'aiderons, et nous nous chargerons de quelques farces pour Percy, dit Fred, sache que je parle en notre nom à tous les deux, précisa Georges.
- Je vais également éliminer Voldemort, Dumbledore et changer le ministère, mes plans sont beaucoup plus sérieux vis-à-vis d'eux. Dit harry.
- Dans ce cas je vais donner ma démission a Dumbledore, et je travaillerait avec toi, pour le ministère je t'aiderais aussi…
Ce n'était plus le même Arthur bon vivant et décontracté, Harry avait en face de lui un Lion prêt à mordre, un homme d'action, Harry se rendait compte qu'Arthur avait en réalité l'âme d'un guerrier.
- Tu peux compter sur nous Harry, nous t'aiderons aussi dit Fred, Georges lui répondit par un clin d'œil.
- Je vous propose de venir boire un verre avec les autres, nous avons besoin de nous détendre un peu, proposa Harry
- Tu as raison, ont-ils tous prêter serment Harry ?
- Oui tous m'appuient et m'aides.
- Et bien notre place est avec eux, allons y, dit Arthur.
- Oh une dernière chose, je me suis marié avec Sévérus Snape, c'est une union sorcière.
Quand ils rejoignirent les invités, Sévérus apporta un cocktail à Harry, et le prit par le bras pour l'installer à table devant une grosse assiette de nourriture.
- Mange dit Sévérus.
- Merci Sévérus, Arthur veut te parler
- D'accord, j'y vais, sois sage, il lui déposa un doux baiser sur les lèvres avant de s'éclipser.
Draco, Blaise, Théo, Neville et Pansy, arrivèrent avec leurs assiettes et s'installèrent autour de Harry. Les jumeaux les rejoignirent, et l'ambiance permis à Harry de se détendre, et de profiter de la soirée.
De son coté Sévérus alla voir Arthur qui l'attendait plus loin.
- Sévérus, j'ai un service à te demander, j'aurais besoin d'une potion révélateur, pour connaître le père de l'enfant que porte Giny s'il te plait.
- Viens Arthur, il y a un laboratoire de potion chez Lucius, je n'en ai pas pour longtemps à la faire. Il faudra qu'elle la boive, ensuite quelques gouttes de son sang sur le parchemin et tu sauras qui est le père.
- Merci Sévérus.
Arthur et Sévérus partirent vers le laboratoire de potions.
La soirée se termina deux heures plus tard, les invités partirent par petits groupes, enchanté de leur soirée. Harry et Sévérus, purent enfin se retirer dans leur chambre. Ils décidèrent de dormir rapidement car ils partaient demain en début d'après midi en voyage de noces. Les deux amants se blottirent l'un contre l'autre, soulagés que la journée soit finit.
CHAPITRE 15 Arthur un homme d'honneur.
Arthur, rentra au Terrier avec la potion dans la poche. Ce matin, il y a un siècle, Molly lui avait mentie. Quand il avait demandé si Ginny était malade…quelle blague. Il avait renvoyé les jumeaux chez eux, il avait besoin de réfléchir. Molly l'attendait.
- Tu rentres tard Arthur….la journée s'est bien passé ? demanda Molly.
- C'était chargé….
- Oui j'ai vu ça, la pendule indiquait en déplacement, presque toute la journée..
- Tu veux que je réchauffe ton repas ?
- Non, je n'ai pas faim, je suis juste fatigué, je vais me coucher…
- Mais Arthur…
Arthur sortit de la pièce. Molly haussa les épaules et continua le rangement de la cuisine. Arthur monta dans leur chambre, il ne voulait pas avoir cette discussion maintenant….mais avant, il décida d'envoyer ses messages à Bill, Charlie, et sa démission à l'ordre du Phoenix. Maintenant il pouvait aller se coucher.
Lucius demanda à Tonio de l'attendre plus loin. Ils conseillèrent à Blaise d'aller directement se coucher au manoir Zabini.
Une fois qu'il fut parti, Tonio se tourna vers Lucius, il avait une idée en tête celui-la.
- Bon, Lucius qu' y a-t-il ? Pourquoi n'avons-nous pas parler au manoir, et que faisons nous dans le parc….demanda Tonio.
- J'ai une idée, nous allons aller chercher Peter Pettigrow, maintenant, je sais ou il est là, tout de suite. C'est dans un bar louche qui s'appelle « le bûcher », dans l'allée des embrumes, et il y va pour se saouler. Donc allons y, je le fais sortir, on le neutralise et on le dépose au bureau des aurores après avoir prévenu le journal pour pas qu'ils ne ratent pas le scoop. Ca devrait être rapide. Faut juste faire attention à ce qu'il ne s'échappe pas, son animagus est un rat.
- Toi et tes plans, Harry et toi ensemble cela donne ça, il a ouvert les vannes à ton machiavélisme….ok, partons.
Les deux sorciers passèrent au journal demandant qu'un reporter attende au ministère. Et qu'ils allaient avoir un super scoop.
Ils se dirigèrent ensuite vers le bar « le bûcher », et trouvèrent sans difficultés Peter qui vidait consciencieusement une bouteille au goulot, en compagnie de Fenrir Greyback.
Bon, d'abord gérer la difficulté, pensa Lucius.
Lucius dit à Fenrir, qu'il devait l'attendre, qu'il reviendrait lui parler. Et qu'il avait ordre d'emmener Peter tout de suite.
Peter râla, mais suivit Lucius à l'extérieur.
Vu l'état de Peter, ils n'eurent aucun mal à le stupéfier, et ils transplantèrent au ministère.
Pendant que Tonio surveillait Peter dans le hall du ministère, désert à cette heure. Lucius alla chercher Rufus Scrimgeour, Directeur du bureau des aurors, qui vient accompagné de quatre de ses hommes. Au cas, ou Lucius lui tendrait un piège.
Lucius rejoignit Tonio qui l'attendait, ils lui remirent Peter, toujours stupéfié.
- Lucius, mais c'est Peter Pettigrow…il était déclaré mort, Rufus était très étonné.
- Non, il n'est pas mort, c'est un mangemort, et nous vous le livrons. Sirius Black était innocent, faites le nécessaire.
- C'est très bien, mais il va falloir que vous m'expliquiez, je croyais que vous aviez le même maître, je ne comprends pas là, donnez moi des explications.
- Le seigneur des ténèbres n'est pas mon maître. Je travail pour le clan ennemi, mais cela ne dois pas se savoir. Donc je vous laisse la gloire de sa capture, méfiez vous son animagus est un rat. Je vous livre un dangereux criminel, mais ne parlez pas de mon rôle.
- Qui est votre ami qui vous accompagne ? demanda Rufus très curieux.
- Je m'appelle Antonio Zabini, Monsieur.
- Le Seigneur de la mafia sorcière Italienne ? dit dans un hoquet de stupeur Rufus.
- Hey je ne fais que donner un petit coup de main en toute discrétion bien entendu…répondit Tonio avec un regard dangereux
- Oui c'est entendu, j'ai compris, je ne parlerais pas de votre présence messieurs. Merci à vous deux pour cette capture. Je n'oublierais pas votre rôle Lucius, je vous en donne ma parole, dit Rufus.
Tonio et Lucius se dirigèrent vers un coin du hall, et regardèrent Rufus poser son pied sur un Peter au sol, entouré de ses quatre aurors, avec un sourire victorieux. Tout cela, sous les flashs du reporter qui les mitraillait de photos. Ils disparurent discrètement.
Lucius retourna au bûcher pour discuter avec Fenrir, Antonio rentra au manoir Zabini, il n'aimait pas laisser Blaise seul trop longtemps avec Ororo.
Quand Lucius s'installa à la table de Fenrir, il réfléchissait au moyen de mener la discussion.
- Tu l'a livré, tu portes l'odeur de Scrimgeour, explique toi dit Fenrir.
Bon cela simplifiait les choses, Lucius poussa un gros soupire et proposa à Fenrir de l'accompagner au manoir Malefoy.
Narcissa et Androméda demandèrent un petit service à Augusta avant son départ, de la soirée au manoir Malefoy.
- Augusta nous aimerions vous charger d'une mission très importante, dit Narcissa.
- Expliquez vous, ordonna Augusta.
- Nous faisons appel à vos dons de marieuse, il faudrait que Ororo Zabini épouse Cornélius Fudge, dit Androméda.
- Hmm je vois…vous voulez vous en débarrasser, laissez moi réfléchir. Dans deux jours, va avoir lieu le Gala de bienfaisance, organisé par le Comité de soutient pour l'entraide magique entre la France et l'Angleterre. Il n'y aura que du beau monde. Je ferais envoyer une invitation à Ororo, elle ne manquera pas l'occasion d'y aller. Et là, je m'arrangerais pour que Cornélius soit à la même table qu'elle pour le repas, qui suivra les discours. Votre mission sera vite réglée, leur indiqua Augusta.
- Vous pensez que cela suffira, pour qu'ils se marient ? demanda avec angoisse Androméda.
- Mais oui, écoutez mon expérience, lui est un faible, elle une mangeuse d'hommes, l'affaire sera vite réglé, dit Augusta avec un petit sourire grinçant.
Narcissa et Androméda échangèrent un regard, mission réussit.
Hermione était déprimé, elle ne comprenait pas, la journée avait été horrible.
Elle avait trop de pression. A chaque fois qu'elle avait voulu parler, Elisa lui avait coupé la parole en étalant ses connaissances. Et elle en savait autant qu'une sorcière adulte.
Mais ce qui inquiétait le plus Hermione c'est qu'elle avait raté presque tout ses sorts. Même un wingarium léviosa, Hermione devait soulever un livre et il s'était enfoncé dans le sol. Et tous ces sorts avaient été ratés, tous.
Ron ne s'en était pas préoccupé, il discutait avec Elisa de quidditch. Pendant que Kingsley, énervé, lui faisait recommencer encore et encore le même sort, qui avait des résultats catastrophiques à chaque fois. Le livre après s'être enfoncé dans le sol, avait explosé, il avait fondu, avait brûlé…et enfin il s'était soulevé. Hermione en aurait pleuré de joie.
Et Ron riait avec Elisa, trouvant tout cela très drôle. Hermione s'endormit les joues baignées de larmes.
Elisa était contente de sa journée, elle avait versé dans le verre de Hermione au repas de midi, une potion qui perturbait durablement le noyau magique. C'était bien sur, une potion interdite, elle était donnée par les médicomages pour soigner les troubles de la magie, chez les sorciers âgés. Mais, mal dosés elle inversait la polarité de la magie, inversant les sorts. Elisa donnerait cette potion à Hermione pendant trois jours, les effets seront irrémédiables. Hermione ratera dorénavant la plus part de ses sortilèges.
En sortant des cours, après avoir allumé à fonds Ron, elle avait changé d'apparence et avait guetté Percy à la sortie du travail pour le suivre partout. Elle avait fait tout ce qu'il fallait pour qu'il la remarque. Percy avait eu l'air assez stressé, et il était rentré directement chez lui.
Elisa avait encore le temps de passe au manoir Zabini pour faire son rapport au chef.
Lucius et Fenrir étaient installés dans le bureau du manoir Malefoy. Un elfe apporta du whisky pur feu, et deux verres. Ils burent chacun une gorgé.
- Va y, expliques toi et sois convaincant, et surtout ne me raconte pas d'histoires, le menaça Fenrir.
- Nous sommes plusieurs à ne plus vouloir suivre le seigneur des ténèbres. Il est fou, et va mener le monde magique à la catastrophe, expliqua Lucius.
Fenrir resta silencieux, et pensif. Il ne réagissait pas. Lucius après un moment commença à se sentir nerveux. Il avait besoin de le convaincre, qu'il soit de leur coté.
- Tu n'es pas seul, tu as trouvé quelqu'un d'autre à suivre, dis moi en plus, commença Fenrir.
Et Lucius expliqua tout à Fenrir, l'histoire de Harry Potter alias Lord Seth Orion Black, sa transformation, tout ce qu'il avait subit, son plan pour se venger. Sa décision d'éliminer le seigneur des ténèbres, Dumbledore, et les responsables du Ministère. La volonté d'Harry de changer le monde magique, de le réformer. Les alliances qu'il était en train de créer, sa prise de contrôle du journal le Prophète. Et finalement sa prochaine expédition pour aller au sanctuaire trouver des alliées.
Fenrir était en état de choc, c'était tellement énorme, que cela allait marcher. Harry, ce Harry, pas le gosse pathétique qu'il pensait connaître, avait les moyens de changer le monde magique, et pas en massacrant sa population. Il était impressionné qu'il ai trouvé un moyen d'aller au Sanctuaire, c'était incroyable. Mais l'histoire de Harry Potter était incroyable. Fenrir était inquiet pour l'avenir de sa race, de la place qu'elle occupait dans le monde magique. Il avait vu au fil des années les loups garous être mis au ban de la société. Ils étaient rejetés, ne trouvant plus de travail, ou peu. Les meutes, sa meute était en danger d'être exterminé. Il avait conscience que sa brutalité avait crée un fossé plus grand avec les sorciers, que la solution qu'il avait pensé valable, imposés les loups par la force, était un échec. Cela avait augmenté la haine vis-à-vis de sa race. La peur n'était pas la solution. Il considérait comme sa mission de mordre et de contaminer le plus de gens possible. Il voulait créer suffisamment de loups-garous pour que leur nombre soit plus important que les sorciers. Mais il devait abandonner cette politique pour le bien de sa race. Lucius lui offrait l'opportunité de sauver son peuple, il fallait réintégrer les loups à la société, et Harry aurait peut être une solution. Il devait le voir.
- Quelle est la position de Harry vis-à-vis des loups garous ?
- Il est très ami avec Remus Lupin, qu'il considère comme un membre de sa famille, donc je ne pense pas qu'il ait quoi que ce soit contre les loups garous, répondis Lucius
- Lupin, bien sur….. dit Fenrir pensif.
- Penses tu qu'il ai une chance contre le Lord ? reprit Fenrir.
- Oui, Harry a déjà réussit à briser le lien entre lui et le lord, Sévérus a empoisonné Nagini. Et Harry nous a dit qu'il avait des projets concernant le seigneur des ténèbres.
- Je veux le voir maintenant Lucius.
- D'accord Fenrir, je vais le chercher.
Lucius sentait que la partie était presque gagnée, il alla vers la chambre de Sévérus et de Harry, frappa doucement, et entra. Sévérus se réveilla immédiatement.
- Lucius ? Que se passe-t-il ? demanda Sévérus en alerte.
- Harry doit descendre avec moi, Fenrir est en bas, il veut le voir, c'est important Sévérus.
- Attends, je le réveille.
- Harry, Harry réveille toi.
- Hmmm, quoi ?
- Lucius à besoin de toi, dit Sévérus.
Harry se réveilla, regarda autour de lui, regarda Sévérus, puis Lucius. Il lui fallu quelques instants pour se connecter avec la réalité.
Il se leva, s'habilla rapidement et sorti accompagné de Lucius, qui l'attendait sur le pas de la porte. Lucius lui expliqua en quelques mots la situation, arrivé en bas des escaliers. Harry était tout à fait réveillé.
- Fenrir, je te présente Harry Potter alias Seth Black
- Bonsoir dit Harry, Fenrir inclina la tête.
Il observait le sorcier en face de lui, c'était un très bel homme, plus rien a voir avec le gosse maigre. Fenrir sentait sa puissance, bien cela le rassurait. Il fallait qu'il soit puissant.
Harry s'assit dans l'un des fauteuils, et regarda Fenrir droit dans les yeux, sans lueur de peur ou de haine. Fenrir aima cela.
- Que pensez vous des loups garous ? Quelle est votre position vis-à-vis d'eux ? demanda Fenrir
- Je les respectes, comme toutes les créatures magiques, Remus m'a fait prendre conscience du sort injuste que subissait les loups, le rejets, la persécution…Je voudrais que tous puissent bénéficier de la potion tue-loup, cela aiderait leurs intégrations, si la population comprenait que l'on peut être un loup-garou et se contrôler.
- Lucius m'a dit que vous vous battiez contre le seigneur des ténèbres, Dumbledore, et les responsables du Ministère, dit Fenrir
- Oui, et cela pour des raisons personnelles, mais aussi pour ce qu'ils font de notre monde, il faut que tout cela change.
- Lupin s'est il allié avec vous ? demanda Fenrir avec curiosité.
- Non, car j'ai une divergence d'opinion avec lui en ce moment, je le laisse un peu mijoter. Il me ralliera plus tard.
- Etes vous sur de vaincre le seigneur des ténèbres ?
- J'ai de fortes chances, et quelques atouts, mais je n'ai pas encore finalisé mon plan d'action, répondit Harry.
- Comment dois-je procéder pour m'allier avec vous ? demanda Fenrir.
- Je demande un serment inviolable, pour garantir le secret.
Fenrir se leva, tendit le bras, et sortit sa baguette. Harry se leva à son tour allongea le bras, qui entra en contacte avec la main de Fenrir, l'autre main sur sa baguette.
- « Moi Fenrir Greyback, chef de meute, loups Alpha, jure sur ma magie de garder les secrets de Lord Seth Orion Black, de le défendre, et de l'intégrer à ma meute avec tout les avantages que cela représente »
- « J'accepte » les deux fils d'argents s'unirent et disparurent.
- J'espère que vous n'allez pas me mordre pour m'intégrer à votre meute, dit Harry en plaisantant.
- Non, vous deviendriez un loup alpha, et deux alphas dans une meute c'est impossible, car il y en a un qui meurt obligatoirement. Donc non, mais je vous protégerez comme un louveteau, faisant partie de ma meute.
- Lucius, Harry je vais rentrer chez moi. Bonne nuit, poursuivit Fenrir.
Lucius poussa un énorme soupire de soulagement, après le départ du loup-garou, et se laissa tomber en arrière dans son fauteuil. Il n'avait pas eu conscience d'être si tendu.
- Harry, avoir Greyback avec nous implique tous les loups-garous d'Angleterre, il contrôle beaucoup de meutes, c'est excellent pour nous.
- Je suis quand même soulagé que ce soit réglé, répondit Harry.
- Ah, petites infos Peter Pettigrow a été livré ce soir aux aurors du ministère, devant un journaliste.
- Quoi ? mais c'est génial, Sirius sera reconnu innocent, merci Lucius, je vais le dire à Sévérus, bonne nuit.
Harry alla déposer un gros baiser sur la joue de Lucius, avant de partir comme une flèche vers l'escalier. Lucius mis la main sur sa joue, et resta immobile un très long moment….. avant de se remettre du choc qu'il venait d'avoir.
Le soleil venait de se lever, c'était le matin, et Arthur avait peu dormit. Molly elle, dormait encore. Il se doucha, s'habilla et partit vers la chambre de Ginny. Il la réveilla doucement.
- Papa ? Qu'est-ce qu'il y a ?
- Boit cette potion Ginny, dit son père.
- Mais pourquoi ? Quelle heure est-il ?
- Ne discute pas, fait ce que je te dis, Arthur avait prit une voie plus dure.
Ginny ne discuta plus et bu la potion, aussitôt son père lui fit signe de se lever, en l'aidant. Puis la conduisit jusqu'à son bureau. Il prit une plume, qu'il transforma en petit couteau. Ginny eu un mouvement de recul.
- N'ai pas peur, je ne vais pas te faire de mal, j'ai besoin de quelques gouttes de ton sang.
Arthur lui saisit la main et entailla le bout du doigt. Quelques gouttes tombèrent sur un parchemin vierge. Il referma la plie d'un geste de sa baguette.
- Retourne t'asseoir sur ton lit Giny et attends, lui ordonna Arthur.
Ginny assez impressionné par ce que son père venait de faire, ne comprenait rien a ce qui se passait.
Pourquoi son père lui avait-il prit un peu de sang ? Ginny perplexe s'assit sur son lit et attendit en silence. L'angoisse montant en elle.
Arthur attendait avec anxiété, en regardant le parchemin. Le sang sembla bouger, s'organiser, puis former des lettres : Crabbe Vincent.
Arthur s'assit au bureau, fit une première lettre à l'attention de Crabbe Sr, l'informant de la situation de sa fille, de la responsabilité de son fils, et lui demandant de fixer une date de mariage.
Le deuxième courrier était à l'intention de la tante Muriel, lui demandant de venir chercher Ginny ce matin, pour la garder chez elle jusqu'à son mariage en lui expliquant les raisons.
Arthur se leva, rangea les lettres dans sa poche, et très calme se dirigea vers Ginny. Elle reçu une grande gifle. Ginny dont les yeux commençait à se remplir de larmes, mis la main sur sa joue rouge en dévisageant son père.
-Ca c'est pour ce que tu avais projeté de faire à Harry Potter. Je suis au courrant de tout.
Ginny fondit en larmes, réellement effrayée à présent.
- Au cas ou cela t'intéresserait le père de ton enfant est Vincent Crabbe, tu te marieras avec lui, ou tu seras déshéritée. Bien sur, toutes tes petites combines concernant Harry sont finie. Tu vas préparer tes baguages, tu parts ce matin vivre chez la tante Muriel. Pour le moment je ne veux plus te voir. Ton comportement a apporté la honte sur la famille. Comment as-tu osé t'attaquer à Harry ? tu lui dois la vie. Tu m'as beaucoup déçu Ginny.
- Papa, papa..attends je suis désolé…laisse moi une chance, pitié papa dit en pleurant Ginny.
- Tu ne mérites aucune pitié, en as-tu eu, quand tu as décider de faire endosser à Harry ton bâtard ? Quand tu as décidé de lui faire prendre la potion amour toujours ? en as-tu eu Ginny ? Asséna durement Arthur.
- Papa essaye de comprendre, maman m'a dit que si je me mariais avec Harry je serais riche, que je ne manquerais jamais de rien, pleurait Ginny.
- Te marier avec Harry ? mais tu ne le mérites pas. Tu devais devenir sa riche veuve, tu me dégoûtes. Tu vas préparer tes bagages, la porte et la fenêtre de ta chambre seront verrouillées. Je prends ta baguette, et tu attendras la tante Muriel, ainsi en a décidé le chef de la famille Weasley.
Arthur prit la baguette de sa fille, verrouilla la fenêtre et sortit sans un regard. Il ferma la porte à clef. Sourd aux pleures qu'il entendait derrière le battant. Et partit envoyer ses deux lettres.
Harry se réveilla, et se rappela sa soirée de la veille…Les nouvelles alliances qu'il avait conclue, le retour de Sévérus, l'innocence de Sirius, Greyback…c'était incroyable, sa nouvelle vie lui plaisait. Il regarda Sévérus qui dormait encore, il était déjà fatigué en rentrant hier soir. Harry décida de ne pas le réveiller et de le laisser dormir. Il alla prendre sa douche, puis il mit son pantalon de cuir noir avec une chemise rouge. Il rassembla ses affaires dans sa malle, ainsi sa valise serait prête. Harry prépara les vêtements qu'il avait achetés à Sévérus pour les vacances, et sortit discrètement de la chambre pour prendre son café du matin. Draco, et Narcissa l'accueillirent avec un grand sourire.
- Bonjour Harry, Sévérus n'est pas avec toi ? demanda Draco.
- Bonjour à vous deux, non il dort encore, il était fatigué hier, donc je l'ai laissé dormir.
- Androméda et moi, avons organisé avec Augusta, la rencontre d'Ororo et Fudge à un gala de bienfaisance. Augusta a dit que cela devrait fonctionner pour les marier.
- C'est parfait, Blaise et Tonio seront soulagés, une fois cette histoire de réglée. De mon coté, Lucius m'a réveillé hier soir pour rencontrer Greyback, et j'ai obtenu son serment, dit Harry avec satisfaction.
- Mais c'est génial Harry, Fenrir c'est tout les loups-garous d'Angleterre, tu te rends compte ? S'enthousiasma Draco.
- Oui, c'est vraiment une bonne chose, répondit Harry.
Un elfe apporta le journal du jour à Narcissa, qui en prit connaissance et lâcha une exclamation ravie.
- Regarde Harry dit-elle en lui tendant le journal Peter a été arrêté par Scrimgeour, Sirius est innocenté ! Le Prophète reparle de son emprisonnement sans procès, de l'injustice qu'il a subit. Par Merlin, c'est merveilleux.
- Oui je l'ai appris hier soir, mais ce n'est pas le directeur des aurors qui l'a fait mettre sous les verrous, c'est grâce à Lucius et Tonio, précisa Harry.
- Je le savais, mon père est le meilleur, dit Draco avec orgueil.
Tous les trois discutèrent en déjeunant, parlant des répercutions de ces nouvelles et de ce que cela risquaient d'entraîner.
Arthur attendait Molly dans la cuisine. Il s'était fait un café, et le buvait en patientant.
Ron était déjà parti, attrapant une grande tartine beurrée au passage, afin de ne pas être en retard à ses cours. Tellement enthousiaste, qu'il ne remarqua pas l'humeur de son père.
Molly entra enfin dans la cuisine.
- Bonjour Arthur, que t'arrive-t-il, tu t'es levé aux aurores aujourd'hui ? Demanda Molly en commençant à s'affairez devant la cuisinière.
- Molly peux tu t'asseoir un moment, j'aimerais discuter avec toi, lui répondit Arthur.
Molly alla s'asseoir en face de son mari, avec une tasse de café fumante. Elle regarda Arthur cherchant si il y avait un problème.
- Molly, je veux que tu me donnes des explications sur ces papiers.
Arthur tenait, sortit de sa veste des papiers. Il avait entre les mains les relevés bancaires de Gringotts, dont le compte secret que tenait sa femme. Molly devint livide, puis essaya visiblement de se ressaisir.
- Ou as-tu trouvé ça Arthur ? tu ne t'en occupes jamais…enfin, ce n'est rien, c'est juste des économies que j'ai faites pour nos vieux jours, ou pour aider les enfants, se justifia Molly.
- Ma chère épouse je crois qu'il est temps que tu arrêtes de te foutre de moi, des économies de 86247.22 mornilles ? Ce n'est plus des économies, c'est le gros lot de la loterie sorcière, lui dit avec colère Arthur.
- Mais je t'assure…oh et puis mince, ce n'est pas grâce à ton salaire, ça c'est sur Arthur.
- Par les couilles de Merlin arrête Molly, je sais tout. Tu entends ? Je sais tout, tes plans avec Dumbledore, ta trahison vis-à-vis d'Harry, la grossesse de ta fille, les mensonges que tu m'as fait. Le rôle de Ron, de Percy, et de Ginny dans ce scénario lamentable, hurla Arthur.
- D'accord tu sais tout, et alors ? Il fallait bien que je trouve une solution pour cette famille. Tu m'as fait un gosse chaque années, le pire c'est quand il y en a eu deux, et il fallait que je m'occupes de tout ça seule. Tu es pathétique mon pauvre Arthur, tu végètes au ministère, tu passes ton temps à rêver sur de la quincaillerie moldus. Mais moi as-tu seulement pensé à ce que moi je voulais, répondit Molly très énervée.
- M'as-tu jamais aimé Molly ? Demanda d'une voie froide Arthur.
- Bien sur au début, j'étais une Prewett, notre famille n'était pas aisée, et nous nous sommes mariés juste après nos études. Alors, quand j'ai épousé un Weasley, tu débutais au ministère, j'ai cru que nous aurions une vie dorée. Que nous irions à des réceptions, que j'aurais de belles robes. Mais nous manquions toujours d'argents, et nous étions toujours plus nombreux. Alors il y en a un qui a tout compris, c'est Albus. Il a vu comme c'était dur pour moi. Et Harry Potter était si riche, mais si niais, si bizarre, alors c'est devenu une évidence…De toute façon, il est Horcruxe, il a un morceau de l'âme du seigneur des ténèbres en lui, c'est monstrueux. Il doit être éliminé, il est le mal, il doit être sacrifié pour le plus grand bien, et son argent ne doit pas être perdu. Ce n'est qu'un gosse dépressif, mais d'autres ont besoin de sa fortune pour améliorer le monde sorcier, dit Molly exaltée.
- C'est monstrueux ce que tu dis Molly, Harry nous a sauvé ta fille et moi, et en remerciements tu veux le tuer. Harry est généreux et gentil par Merlin, et tu as entraîné notre enfants dans cette folie, haletât Arthur.
- Les enfants avaient chacun leurs motifs .Giny ne voulait pas mener ma vie, et elle veux faire un riche mariage. Ron a toujours jalousé Harry, il en est venu à haïr ce garçon qui ne savait pas apprécier ce qu'il avait, et Percy pouvait faire de sa mort un tremplin pour sa carrière.
- Et toi Molly quel était ton motif ? Demanda Arthur.
- L'argent principalement, et un projet grandiose qui me sortait de mon rôle médiocre de femme d'intérieur, je m'occupais d'autre chose que du repas pour le lendemain, répondit Molly sans remords.
- Donc si je résume bien, à part ton adhésion complète au plan monstrueux de Dumbledore, et cela sans aucun regret. Pour notre couple, tu me reproches de ne pas t'avoir fait vivre dans l'opulence, de t'avoir fait trop d'enfants, et de ne pas t'avoir donné une vie assez riche en émotions. Ah j'oubliais tu m'as aimé au début, c'est cela ? J'ai bien résumé ? demanda Arthur.
Molly sembla prendre conscience que sur le coup de la colère et des rancoeurs accumulés, elle en avait dit plus qu'il n'en fallait. Elle se sentait soulagé d'un poids, que tout cela soit mis à jour. Mais elle commençait à prendre conscience de la gravité de la situation. Et elle eu très peur devant le regard de froide colère que son époux lui renvoyait.
- Alors je t'annonce que tout cela est finit. En tant que chef de la famille Weasley, je vais vendre le terrier, je te laisserais l'argent de la vente pour te reloger, et vivre. Nous allons divorcer et arrêter les frais. L'argent de tes gains malhonnête sera versé à une œuvre de charité. Ginny ira vivre chez la tante Muriel, et se mariera avec le père de son enfant. Quand à Ron et Percy je les renie. Tu vas quitter cette maison, je te laisse jusqu'à la fin de la semaine, prépares ton déménagement et organise toi, la maison sera mit en vente demain.
- Arthur mais qu'est ce qui te prends ? Je refuse, je ne peux pas…et les enfants ? et l'ordre ? Je suis indispensable dans le combat contre le Seigneur des ténèbres. Enfin Arthur, murmura Molly.
- C'est terminé les manipulations Molly, il faut assumer tes actes, et je ne te laisse pas le choix. Pour la lutte contre le seigneur des ténèbres, vous avez fait l'erreur de penser, qu'il n'y avait que vous et vos plans pathétiques pour le combattre. Mais je t'annonce que la lutte continuera, et qu'il y a d'autres moyens de lutter. En ce qui concerne les enfants, Ginny va aller vire avec Muriel, puis avec son mari. Ron n'aura qu'à aller vivre avec Percy, puisqu'ils ont les mêmes objectifs, les autres ne vivent plus ici de toute façon. Pour le moment vous n'avez commis aucun délit selon les lois des sorciers. Mais je te préviens Molly, que si tu vas plus loin dans tes projets, ce sera à la justice que tu auras à faire.
- Mais si nous n'avons pas commis de délits selon les lois sorcières, comme tu le dis, pourquoi une peine aussi lourde ? Plaida Molly.
- Aux yeux de la loi, on pourrait vous accuser de complots et de manipulations, ce n'est certes pas sanctionable d'une lourde peine.
Mais ma chère femme tu oublies les règles qui régissent notre société, l'amitié, le couple, et la famille et celle-la tu les a toutes bafouées, conclue Arthur avec rage.
A ce moment là, on frappa à la porte, Arthur accueillit Muriel. Il lui donna la clef de la chambre de Ginny, en la remerciant de son aide. Il attendit leurs départs sourd aux pleures de sa fille, échangeant avec Muriel un regard entendu. Molly était resté prostré dans la cuisine, les yeux perdus dans le vague. Arthur transplana au chemin de traverse. Lorsque Fred le vit arriver, il le conduisit immédiatement dans leur appartement. Arthur pu pleurer ses illusions perdues.
Albus Dumbledore faisait les cent pas dans son bureau, il attendait Maugrey.
Enfin la cheminée crépita et Maugrey apparut.
- Qu'y a-t-il de si urgent Albus ? J'ai du tout lâcher pour venir te voir, grogna Alastor.
- Je viens de recevoir un courrier de Arthur Weasley, qui m'a donné sa démission de l'ordre, dit Albus perturbé.
- Comment est ce possible ? Mais pourquoi Arthur démissionnerait il ? demanda Maugrey
- Non ce n'es pas possible, sûrement une erreur….se rassura Albus
- Albus c'est quoi ce bruit ? J'entends un bzzzzzzzzz depuis tout à l'heure, demanda Alastor.
- Ce n'est rien c'est mon pansement dit Abus, en montrant sa main bardée de fer.
- Ah oui bien sur, ah Albus j'ai effectué hier ma surveillance à Privet Drive, et j'ai vu Harry à sa fenêtre de chambre, lui dit Maugrey.
- Ah une bonne chose, et Harry avait il l'aire de meilleur humeur ? Demanda Albus avec curiosité.
- Oh oui, cela avait l'air d'aller, je lui ai fait un signe de la main, il m'a répondus d'un sourire, confirma Alastor.
- Très bien, bon pour cette histoire avec Arthur, je vous demanderais de passer le voir au ministère Alastor, et tenez moi informé, dit Albus un peu préoccupé quand même.
Un silence consterné régnait dans le salon des jumeaux Weasley. Arthur était assis avec ses fils, Fred, Charlie, Georges, et Bill. Il avait raconté à ces deux derniers tout ce qui s'était passé. L'étendu de la trahison de Molly, Ron, Ginny et Percy.
Bill et Charlie avaient été révoltés par leurs conduites. Mais Arthur, n'avait pas finit, il avait livré tel une bombe la sentence qu'il avait rendu. Ses fils, rassemblés autour de lui voyaient bien qu'il en souffrait, mais que courageusement la colère reprenait du dessus, et que sa décision serait définitive.
- Mes fils, je suis conscient, que tout cela représente un grand chamboulement, mais je ne pouvais faire autrement L'honneur et la respectabilité de la famille Weasley a déjà été trop piétinée.
J'ai déjà prit contacte avec un avocat pour officialiser le divorce d'avec Molly, et légaliser les parchemins de reniement concernant Ron et Percy. Maître Gordon a accepté de prendre l'affaire, après une recommandation de Harry.
Il va s'occuper de faire vendre la maison, et de faire don du compte frauduleux à une organisation caritative. Tout devrait être officialisé définitivement ce soir. J'ai posé une semaine de congé au Ministère, afin de régler la situation. Il faut aussi que je me trouve un nouveau logement, conclue Arthur
- Papa, il y a un deux pièces à louer sur le chemin de traverse, si tu veux je peux m'en occuper, je connais le propriétaire, proposa Fred.
- C'est d'accord Fred, prends le, les enfants j'espère que vous ne m'en voulez pas, dit Arthur.
- Non papa, et je parle au nom de nous quatre, nous te soutenons à fond. Tu ne pouvais accepter tout cela. Tu as du agir en chef de famille, et nous respectons ta décision, déclara Bill.
- Bill et moi avons décidé d'aller voir Harry et de nous engager auprès de lui si il l'accepte. Je ne peux accepter les décisions qu'ont prit maman et les autres. Cela ne correspond pas à mes convictions. Harry à sauvé Ginny et toi, papa, il ne méritait pas d'être trahit de si abjecte façon, intervint Charlie.
- Vous savez j'y ai réfléchit ce qui s'est passé avec Harry, n'a été que le déclencheur d'une situation déjà gangrenée. Si cela n'avait pas été Harry qui avait servit de prétexte, cela aurait été quelqu'un d'autre. Ces quatre là, ont perdus tout sens de la moral et de l'éthique. De plus je dois vous dire, qu'à la demande de Harry je n'ai pas renié Ginny. Toutefois elle est parti vivre avec la tante Muriel, jusqu'à son mariage avec Vincent Crabbe, j'ai reçu il y a dix minute un parchemin me confirmant l'acceptation du mariage il aura lieu début Août, dit Arthur. J'ai également donné ma démission de l'ordre du phœnix, arrivé un moment il faut arrêter de tergiverser.
- Tu sais papa, pour Ginny, Harry a eu raison, ce sera plus facile de la marier si elle n'est pas reniée, et son comportement sera sous la surveillance de son mari, à présent, leur dit Georges.
- Papa, Charlie et moi allons maintenant au manoir Malefoy pour voir Harry, nous repasseront te voir, ne t'inquiéter pas nous ne te laisseront pas seul, conclut Bill.
Sévérus rejoignit Harry dans la bibliothèque du manoir. Harry était plongé dans un épais manuscrit, et ne remarqua sa présence qu'en sentant deux bras l'encercler.
- Mon amour est réveillé ? Je t'ai laissé dormir tu en avais besoin, dit Harry en se retournant et en passant ses bras autour de Sévérus.
- Bonjour, tu m'as manqué ce matin, cela m'a fait du bien de faire la grasse matinée, lui dit Sévérus en faisant de petits baisers sur sa joue. J'ai remarqué que tu avais laissé des vêtements sortis.
- Oui je te les ai acheté sur le chemin de traverse avec Draco, j'ai pensé que tu n'aurais pas le temps de faire les boutiques, dit Harry d'un ton mutin.
- Alors il faut que je te remercie comme il le faut mon amour…et Sévérus posa ses lèvres gourmandes sur celles de son mari. Le baiser devint vite passionné, et les deux sorciers oublièrent tout sauf l'autre.
C'est à ce moment que l'on frappa à la porte, un elfe entra en s'inclinant dit que Messieurs Charlie et Percy Weasley désiraient voir lord Black. Harry poussa un soupire à fendre l'âme, Sévérus lui fit une douce caresse sur la joue avant de s'écarter.
- Il faut que je termines mes valises de toute façon, n'oublie pas que nous partons à treize heures pour notre voyage de noces, il faut que nous soyons à la salle d'embarquement des portoloins internationaux une demis heure avant, et nous aurons tout le temps pour être ensemble. Dites leur d'entrer dit Séverus à l'elfe avant de sortir de la bibliothèque.
CHAPITRE 16 Passion au paradis
Harry et Sévérus étaient arrivés dans un petit bâtiment à coté du ministère. En entrant on pouvait observer, une grande pièce ronde, dont les huit quartiers étaient délimités par des couleurs différente, et coupés par de petits murets, suivant la destination que l'on prenait. Chaque quartier avait une région du monde qui s'affichait. Harry prit le parchemin d'embarquement qu'il avait commandé.
- Pour nous ce sera « région Amérique du sud », quartier bleu, ensuite c'est le guichet trois, pour le Mexique dit Harry en lisant le parchemin. Il était très excité à la perspective du voyage.
Ils se dirigèrent vers le quartier bleu, puis vers le guichet trois, une jeune sorcière en robe bleu, portant un petit chapeau assortie, les accueillit avec un grand sourire. Elle vérifia le parchemin d'embarquement. Elle les conduisit à l'extrémité du quartier, ou était dessiné sur le sol un grand cercle.
- Messieurs mettez vous dans le cercle pour le départ, vous arriverez à Mérida au Mexique, à huit heures du matin, heure local, la température à Mérida est de trente cinq degrés. Voici le portoloin. Elle tendit un petit globe terrestre. Nous vous souhaitons un agréable vol. Vous partirez à zéro, je commence le décompte : 5….4…3…2…1….0
Les deux voyageurs arrivèrent dans une petite salle climatisée, ou les attendait un petit sorcier à la peau mate, brun avec une moustache. Celui-ci vint à leurs rencontres.
- Hola Senores, je suis Paco, vous vous trouver en zone de transit, veuillez m'indiquer votre destination pour que je programme le portoloin, leur demanda Paco avec un fort accent espagnol.
- Buenos dias, nous allons sur l'île de Tulum, pas très loin de Cancun, répondit Harry.
- Si senores, prenez, Paco leur donna un gros coquillage et programma la destination grâce à sa baguette.
Ils prirent le coquillage et le petit sorcier déclencha le portoloin coquillage.
Harry et Sévérus arrivèrent au paradis. Ils restèrent immobiles contemplant le paysage merveilleux autour d'eux. Une plage se sable blanc, bordée de cocotiers, la mer calme aux couleurs turquoise et transparente. Le doux ressac des vagues était apaisant.
Malgré la température un petit souffle de vent soufflait doucement, rendant la chaleur supportable et plus douce. Ils restèrent émerveillés par la splendeur des lieux.
Un peu plus loin se trouvait une grande maison, aux murs de chaux blanc, Winky les attendaient sur un chemin serpentant entre les cocotiers, à leur arrivés elle s'inclina.
- Maître Harry, Maître Sévérus messieurs, Winky est heureuse de vous accueillir à la villa « las noches », Winky est heureuse de vous dire qu'elle s'occupera de vous pendant votre séjour, veuillez me suivre.
- Merci Winky dit Harry, Sévérus regardait autour de lui avec des yeux admiratifs, cherchant les plantes utilisables pour les potions. On entendait le chant d'oiseaux tropicaux dissimulé dans la végétation.
- La maison est de plein pied, elle comprends sept pièces : un salon, une véranda couverte, ouverte sur la plage, une bibliothèque-bureau, un laboratoire de potions, et trois chambres. Il y a également un jacuzzi près de la véranda, et une piscine à l'arrière de la maison.
Harry et Sévérus entrèrent dans la maison ou une douce fraîcheur régnait, Winky leur fit faire la visite de la villa. Toutes les pièces étaient spacieuses, avec des meubles de bois blanc, le sol était fait de marbre veiné de bleu. Il y avait partout de grandes fenêtres laissant entrer une douce lumière. De grandes peintures sorcière décoraient les différentes salles, elles représentaient des paysages tropicaux, avec des arbres bougeant doucement sous une bise invisible, l'ensemble étaient très reposants, et apaisant. Winky leur fit découvrir la chambre ou ils choisirent de dormir, elle était dans les tons de bleu clair et de blanc, un grand lit trônait en face d'une immense porte fenêtre s'ouvrant sur la plage et la mer, et donnant certainement au réveil un spectacle grandiose. Harry sortit sa malle réduite de sa poche et lui rendit sa forme originelle, Sévérus en fit autant, Winky pu commencer a ranger leurs vêtements et affaires de toilettes.
Sévérus ouvrit la grande baie vitrée, faisant entrer l'air humide du large. Autour de la maison il y avait une mince bande de gazon, et sa bordure, délimitant le sable de la plage, était composés de plantes tropicales et de quelques palmiers qui apportaient leurs ombres bienfaisante. Un peu sur la droite de la baie vitré se trouvait une petite table avec des chaises, pour prendre des repas face à la mer.
- Sévérus cette maison est magnifique, nous allons être merveilleusement bien ici, dit Harry enthousiaste.
- Je suis tout a fait d'accord Harry c'est vraiment paradisiaque, dit Sévérus.
- Maîtres vos affaires sont rangés, Winky va vous apportez des cocktails de jus de fruits frais, sur la table devant votre chambre, puis dans un pop Winky disparut.
- Sévérus qu'en penses tu si nous changions de vêtements et mettions nos maillots de bains ? Proposa Harry.
- C'est une très bonne idée Harry, allons y.
Harry mis un maillot vert avec un tee-shirt dans les mêmes tons, il sortit ses lunettes de soleil et alla s'installer sur l'une des chaises très confortables se trouvant autour de la table. Sévérus le rejoignit un instant plus tard, il portait un bermuda noir et une chemise bleu nuit qu'il portait ouverte sur sa large poitrine. Harry ne pu retentir un sourire appréciateur à sa vue. Aussitôt qu'ils furent installés, les verres de cocktails apparurent devant eux. Ils burent a petites gorges la boissons fraîche aux doux goût de goyave, en regardant les vagues qui s'échouaient doucement sur la plage, se laissant envahir par un sentiment de paix.
Harry tout d'un coup se leva et fila vers la chambre en disant à Sévérus « j'ai oublié quelque chose, je reviens de suite ». Harry se précipita d'abord vers son vivarium ou un Apophis pas très content l'attendait, il s'excusa, mais Apophis le rassura Dobby l'avait nourrit, Harry lui proposa de le laisser se promener en liberté sur l'île, ce qui plut beaucoup au petit serpent. Harry prit aussi le livre qu'il avait acheté à Sévérus chez l'antiquaire pour lui donner.
- Voila j'avais oublié de libérer mon serpent Apophis, et j'ai un cadeau pour toi Sévérus, à la condition que tu ne passe pas tout ton temps dedans en oubliant le reste…dit en souriant Harry, qui lui tendit un paquet cadeau enveloppé d'un papier doré avec un nœud violet.
Sévérus fronça les sourcils, un cadeau ? Pourquoi Harry lui faisait il un cadeau ? Il prit le paquet entre les mains, c'était lourd.
- Pourquoi me fais tu un cadeau ? Demanda Sévérus perplexe.
-Faut il une raison ? Alors j'en ai mille, cela me fait plaisir, tu le mérites, ou tout simplement car je t'aime ? Quand je suis partie avec Draco et Blaise pour trouver de nouveaux vêtements, j'ai eu besoin de te ramener quelque chose pour toi aussi, dit Harry.
Sévérus ouvrit donc le paquet délicatement, il découvrit un livre très ancien « Potions oubliées de l'ancien monde ». Il l'explora avec délicatesse, et put admirer des gravures d'inspirations des différentes tribus Mayas, avec la présentation de plantes tropicales rares et inconnues de la jungle.
- J'ai pensé que, vu notre destination, cela donnerait un peu plus d'intérêt au voyage, murmura Harry.
- Merci Harry, je crois que je n'ai jamais reçu un aussi beau cadeau. Pour ce qui est de l'intérêt, c'est toi l'intérêt, stupide Gryffondor. D'ailleurs, c'est aussi la première fois que je prends de vraies vacances sur une île paradisiaque en compagnie d'une personne chère à mon cœur. Tu as donné à ma vie un sens qu'elle avait perdu, jamais je n'aurais seulement rêvé pouvoir vivre ça un jour, dit Sévérus en posant le livre sur la table. Puis il se leva, tendit la main vers Harry pour qu'il le rejoigne.
Sévérus prit son visage en coupe entre ses mains, approcha ses lèvres, et sortit un bout de langue. Harry sortit à son tour sa langue de sa bouche, et la laissa entrer en contacte avec sa partenaire. Un étrange ballet commença, fait de doux effleurements, puis n'y tenant plus, les lèvres se soudèrent et le baiser se fit torride, profond, les langues savourant le goût de l'autre s'enroulant, se délectant de ce contacte, Sévérus suça alors la langue de son partenaire. Harry encercla de ses bras la taille de Sévérus pour coller leurs deux corps l'un contre l'autre. La passion s'attisa alors entre les deux sorciers, ils leurs semblaient que cela faisait une éternité, qu'ils n'avaient pu s'aimer ainsi.
Sévérus conduisit Harry jusqu'au lit, les déshabilla puis attira son amour entre ses bras. Le contacte des peaux enflammées les firent gémirent. La respiration de Harry se fit plus courte, son cœur battait plus vite, et partout ou les mains de Sévérus passaient des frissons naissaient en lui, il caressa à son tour les épaules puissantes, appréciant le galbe des muscles, puis descendit jusqu'au fesses dont il apprécia la fermeté et la rondeur.
Sévérus avait délaissé les lèvres de son amour pour taquiner son cou et le lobe de son oreille, alternant morsures et baisers, lorsqu'il sentit les mains d'Harry flatter son postérieur, un gémissement rauque s'éleva de sa poitrine. Sévérus rendu fous par les caresses de son jeune amant, commença un doux mouvement du bassin qui permis aux deux érections en contactes de se frotter. Cela déclencha en Harry une série de petits gémissements, qui le fit onduler d'avantage sous Sévérus pour augmenter les divines frictions. La montée de leur désir devint brûlante et fit gonfler leurs verges en même temps. Sévérus descendit le long du cou, s'attarda sur un mamelon qu'il agaça des dents et de la bouche, pendant que ses doigts tordaient fermement le deuxième téton. Déclenchant en Harry des crampes de plaisir au creux de son ventre.
Harry enfouit ses mains dans les long cheveux de son amour, caressant avec voluptés les longues mèches, tandis que son corps continuait d'onduler, cherchant à trouver le meilleur angle pour frotter sa verge, qui lui envoyait des décharges d'électricité divine dans tous son corps, irradiant jusqu'à son aine. Sévérus parsema ensuite son ventre de caresses et de baisers, tout en plaçant ses mains sur son postérieur pour le malaxer fermement. Puis sa bouche reprit sa descente jusqu'à la virilité frissonnante. Sévérus s'enivrait du parfum du corps ondulant sous lui, il prit délicatement la verge entre les lèvres et commença une série de sucions, enroulant la langue autour du bout luisant, la faisant aller et venir sur toute la longueur du sexe dressé.
Harry à présent ne cessait se prononcer son prénom dans une litanie, entrecoupé de gémissements, il souleva son bassin afin que Sévérus le prit intégralement dans sa bouche. Ce qu'il fit, humidifiant ses doigts, afin d'assouplir en même temps l'entrée de l'anus. De son autre main Sévérus maintenait la verge montant et descendant au rythme de sa bouche. Il introduisit un doigt dans l'anus et commença un mouvement rythmé par les gestes de sa bouche sur la verge. Harry n'était plus que sensations, une tension sourde montait en lui ravageant toutes pensées rationnelles, son corps était parcourut de tremblements et de frissons torrides, il ne contrôlait plus les gémissements s'échappant de sa bouche, en une litanie sans suite. Lorsqu'il sentit un deuxième doigt le pénétrer, il eu un mouvement brusque du bassin tellement il souhaitait être remplit jusqu'au plus profond de lui, pour combler ce vide qui torturait sa chair frémissante. Sévérus sentit sa reddition, retira ses doigts, sa bouche se désengageant de la verge. Harry sentit monter une vague de frustration à l'arrêt des stimulations divines que Sévérus savait si bien faire naître en lui. Il ouvrit les yeux, qu'il n'avait pas eu conscience de fermer, et regarda Sévérus d'un regard brûlant de passion et de désir. Sévérus lui renvoya un regard enflammé, il positionna sa verge et sans le quitter du regard engagea son sexe en lui. Il attendit quelques instant, la respiration haletante, et les muscles tétanisés, attendant de reprendre le mouvement en suspens.
Sévérus contemplait avec fascination le regard d'Harry chaviré de plaisir quand il entra en lui complètement en lui, cela lui coupa le souffle, et c'est haletant qu'il attendit impatiemment l'esquisse de mouvement du bassin qui lui donnerait l'autorisation de poursuivre sa progression. Le mouvement vint sans tarder, Sévérus agrippa les hanches du plus jeune et se lança sans retenu à l'assaut, de cette entrée si serré et si bonne. Il sentait sa verge se resserré sur toute la longueur au cours de sa progression dans l'intimité de Harry. Il regardait le corps sous lui prit par l'extase, onduler, la peau douce recouverte d'une mince couche de transpiration, les yeux d'Harry se faire suppliant. Il bascula alors dans une frénésie d'amour donnant un rythme soutenu à ses mouvements, le besognant longuement, concentré sur les sensations toujours plus fortes, plus profondes qui se répercutaient en lui. Il se concentrait sur ses mouvements, entrer et sortir, serrant les dents afin de ne pas succomber déjà a la jouissance, lorsqu'il toucha la prostate, et que les gémissement de Harry devinrent de cris d'extases, il saisit sa verge fit des va-et-vient, afin d'accompagner ses mouvements de bassin.
L'image de Harry la tête rejetée en arrière et de son regard perdu dans le plaisir s'imprima dans sa rétine, Sévérus se laissa aller à gémir de plus en plus fort, rejetant la tête en arrière. L'odeur de Harry l'entourait, sa chaleur son désir, son visage laissa apparaître tous ses sentiments, laissant tomber son masque de froideur.
Harry ne pouvait pas s'empêcher de le dévorer du regard, la tension et le plaisir monta, ravagèrent son corps qui se tendait sous les coups vigoureux. Le souffle court, il sentait qu'il allait jouir, il cria et il se libéra. Sévérus sentit l'anneau de chair exercé une pression énorme sur sa verge ultra sensible, et le spectacle d'Harry succombant à l'extase, et le plaisir qu'il ressentait l'entraînaire à son tour dans une jouissance sans pareille, qui se répercuta d'un long cri rauque.
Ils mirent longtemps à reprendre leur souffle, les corps emmêlés, Harry se blottit dans les bras de Sévérus, embrassant doucement son cou, Sévérus entoura le corps encore parcourut de frissons de ses bras, il plongea son regard dans les prunelles vertes, admirant, la perfection de ses traits, le cœur serré d'une indicible émotion, et d'un poignant sentiment de bonheur, sui lui serra la gorge de joie
- Je t'aime Harry, dit Sévérus la voie cassée.
- Je t'aime Sévérus, plus que jamais, lui répondit Harry des larmes de bonheur aux yeux.
Sévérus lança un sort de nettoyage, et ils restèrent un long moment dans les bras l'un de l'autre échangeant de doux baisers. Un souffle d'air parfumé, entrait par la porte fenêtre séchant leurs peaux encore humides de transpiration, le lointain bruit des vagues chantait dans leurs coeurs.
Ils décidèrent d'aller faire un tour sur la plage. Ils se levèrent, mirent leurs maillots de bain, et pieds nus prirent la direction de la mer, main dans la main, ils avancèrent le sable blanc chauffant la plante de leurs pieds. Ils arrivèrent sur le rivage, ou ils laissèrent les vagues mouiller et s'enrouler autour de leurs chevilles. Harry et Sévérus contemplèrent un long moment l'horizon, ou le bleu du ciel se fondait avec la mer, ils prirent une grande inspiration s'emplissant de cette perfection, se laissant submergé par la douce odeur iodé des embruns. Le soleil réchauffait de sa douce brûlure leurs épidermes pales, ils échangèrent un regard, et s'enfoncèrent dans l'eau tiède, se délectant des remous qui s'entouraient autour de leurs corps. Ils nagèrent et s'amusèrent s'envoyant de l'eau, se laissant porter par les vagues.
Fatigués, ils revinrent vers le rivage ou les attendaient un transat double. Ils s'y laissèrent tomber. Un parasol de paille protégeait de son ombre une partie de leurs corps, Harry d'un mouvement de la main attira à lui une crème de protection solaire et le livre de Sévérus, qu'il posa sur la petite table ronde disposé près d'eux. Il prit un peu de crème solaire au creux de la main et en enduisit le dos de Sévérus, qui somnolait sur le ventre, reposant sur le transat. Il appliqua ensuite la crème sur les jambes, les bras, récoltant quelques soupirs de bien être. Harry s'en recouvrit à son tour, et s'allongea sur le dos avant de plonger dans une douce torpeur, porté par le bruit des vagues.
Sévérus le réveilla, quelques heures plus tard, Winky leur avait apporté une collation et des boissons sur un plateau repas. Ils mangèrent tranquillement, Harry décida de retourner nager, et Sévérus s'installa confortablement pour lire son livre, en buvant une boisson fraîche. Harry revint, après avoir remis de la crème, il jeta un regard à Sévérus qui dévorait à présent son livre et se rallongea sur le dos.
En fin d'après midi les deux sorciers décidèrent d'aller prendre une douche avant de dîner. La douche fut un moment de partage, et de passion. Harry se fit prendre vigoureusement contre le mur de la cabine de douche, en poussant des cris de joies aux coups sauvages que Sévérus lui donnait.
C'est détendu et emplit d'une saine fatigue, qu'ils entamèrent leurs repas sous la véranda. Il était composé d'un plateau de fruits de mers, accompagné d'un vin blanc frais et fruité. Ils eurent ensuite une glace savoureuse, et après un digestif, ils décidèrent d'aller se coucher. C'est tendrement enlacé qu'ils se dirigèrent vers leur chambre.
Le lendemain matin Harry se réveilla seul dans le lit, il s'étira, il admira depuis son lit, la plage avec la mer, le ciel bleu, et les palmiers se balançant doucement, qui l'emplit de sérénité, et d'un soupire de bonheur. Après une bonne douche, il partit prendre son petit déjeuner. Winky le lui apporta, l'informant que Maître Sévérus était partit regarder la végétation. Harry réprima un sourire, après son petit déjeuné il s'installa dans une chaise longue et appela d'un geste de la main son livre « Rituels des tribus de l'Amérique du sud », il fallait qu'ils aillent dans le village sorcier près de Mérida. C'était la, qu'avait été découverte cette tombe dans la pyramide tronqué, avec des peintures dans la sépulture représentant une grande arche, ainsi que différents rituels, rituels que connaissait la communauté sorcière vivant près de Mérida. Ils pourraient en savoir plus sur place. Et si la gravure du livre était juste, alors elle ressemblait à celle du département du mystère, ou Sirius avait disparut. Il en saurait alors d'avantage sur ce qui lui était arrivé. Cette perspective était à la fois angoissante et exaltante. Harry posa le livre sur ses genoux laissant son regard se perdre dans le vague.
Sévérus le rejoint alors, le sortant de ses pensés, il lui raconta que la flore de l'île était exceptionnel pour sa richesse et sa qualité, il lui dit également qu'il avait trouvé un coin merveilleux qu'il voulait lui faire découvrir l'après midi.
Ensuite Harry répondit à Sévérus qui l'interrogeait sur son livre, lui expliquant l'arche et les renseignements qu'il souhaitait trouver auprès de sorciers de Mérida. Ils convinrent d'y aller le lendemain pour y passer la journée, cela leurs permettraient de faire également un peu de tourisme. Harry en fut enchanté, ainsi il pourrait trouver des cadeaux pour ses amis.
Après un repas composés de tacos, crêpes de mais fourrés de viandes, accompagné d'une salade de mais, ils dégustèrent des mangues saupoudré de paprika pour le dessert.
Harry s'habilla d'un jean, d'un tee-shirt blanc et de ses baskets. Sévérus portait également un jean avec un tee-shirt noir avec une paire de tennis noir. Harry lui donna un baiser langoureux et passionné pour lui faire comprendre combien il lui plaisait dans cette tenue.
Ils empruntèrent un chemin sinueux noyé au milieux de la végétation qui se faisait de plus en plus dense durant leur progression, a un moment ils arrivèrent a un embranchement Sévérus prit la piste de droite et continua leurs route. Ils croisèrent de nombreux oiseaux au plumage multicolores qui s'envolaient à leurs passages, il y avait également d'étranges petits mammifères au museau très long et au pelage rouge strié de jaune. Harry n'en avait jamais vu. Ils avaient du faire au moins deux kilomètres, et Harry commençait a avoir très chaud dans la chaleur humide de la foret. Lorsqu'ils arrivèrent dans une clairière, au centre de laquelle se trouvait une cascade se déversant dans un petit bassin aux eaux transparentes. Le bassin naturel était entouré de gros rochers, et de végétation, ou apparaissait des taches de toutes les couleurs de fleurs des différentes plantes.
- Sévérus c'est splendide, dit Harry en admiration.
- Ca te dirait d'y nager ? j'ai vérifié il n'y a rien de dangereux.
Aussitôt les deux sorciers se déshabillèrent intégralement et avancèrent vers le bassin, nu.
L'eau était très froide, mais ils s'immergèrent avec des frissons de plaisirs dans l'eau pure. Harry nagea jusqu'à la cascade, ou il laissa l'eau couler sur sa nuque, lui faisant un massage des épaules improvisé, en riant aux éclats de bonheur. Sévérus le contempla les yeux brillant de joie, et le rejoignit profitant avec plaisir à son tour du massage hydraulique.
Quand ils en eurent assez, ils revinrent en nageant paresseusement. Sévérus fit la planche se laissant porter par l'eau, et se sentit envahit par un sentiment d'harmonie, rarement ressentit. Harry s'était assis dans l'eau sur un rocher plat, la tête appuyée contre la pierre sentant les aspérités douces du rocher contre son dos, et se détendit complètement, prenant de profonde inspirations gorgés de chlorophylles et du parfum sucré des fleurs.
Harry sentit des lèvres douces effleurées les siennes, et il répondit au baiser avec enthousiasme, entourant de ses bras la nuque de l'homme le plus tentant qu'il ait rencontré. Sévérus le retourna, prit sa place assise contre le rocher, et reprit ses lèvres avec passion asseyant son jeune amant a califourchon sur lui. Ils échangèrent des caresses enflammées, Harry saisit la verge dure de Sévérus et entreprit de le masturber en lui dévorant le cou et le lobe de l'oreille de sa bouche brûlante qui fit frissonner Sévérus. Ce dernier entreprit de taquiner l'anus de son compagnon insérant un doigt puis deux qui alla directement toucher la prostate. Harry ne put s'empêcher de laisser échapper un cri aigu, qui attisa le désir de Sévérus.
- Enroule tes jambes autour de mes hanches murmura Sévérus d'une voie rauque
Harry se sentit soulever, puis le bout de la verge exerça une pression sur son anus pour en forcer le passage. Ce n'était pas encore agréable, mais un sentiment d'urgence l'emplit. Il prit appuis sur les épaules de Sévérus et s'enfonça sur le sexe long et volumineux, le sentant le dilater en entrant. Il le pénétra doucement, déclenchant une tension lourde dans son bas ventre.
Sévérus commença un doux mouvement, le soulevant et l'abaissant, pendant qu'ils se dévoraient la bouche avec ravissement.
Ce fut long, l'eau empêchant d'accélérer le mouvement, ils purent se délecter de la longue progression du plaisir.
Harry haletait, les mains crispées sur les épaules. Sévérus léchait avec délectation son cou.
- Ah…. plus vite Sévérus, plus vite j'en ai pas assez, geignit Harry
Sévérus se redressa, les jambes de Harry toujours enroulé autour de ses hanches, les mains posées sous les fesses pour contrôler le mouvement.
La cadence s'accéléra sensiblement, Harry d'une main griffant le dos de Sévérus sous la folie de la passion qu'il faisait naître en lui, pendant que l'autre était cramponné à ses épaules, il criait de plaisir.
- C'est comme ça que tu la veux…bien profonde ….dit Sévérus d'une voie haché et entrecoupé par un souffle laborieux.
- Oui…..oui …Sévérus encore….ouiiiiiii et Harry la verge compressée entre leurs deux ventres laissa échapper son sperme dans un grand cri de délivrance. Sévérus jouie en même temps en criant le nom d'Harry dans un cri gutturale, venant du plus profond de lui.
Les deux sorciers revinrent de leur expédition en foret et partirent se reposer sur les transats de la plage, ou ils firent une petite sieste. Le soir, ils dînèrent à la lueur des chandelles dans le salon un savoureux chili con carné étant au menu.
Ils décidèrent d'aller sur la cote après le repas. Winky les conduisit à un petit hors bord, qui les emmena à Cancun, une station balnéaire de la cote. Le voyage en bateau fut plaisant, les grisant de la vitesse, emmêlant leurs cheveux, et leurs arrachant des sensations d'exaltations quand le petit bateau sautait les vagues.
Cancun était une ville très animée la nuit, ou de nombreux touristes circulaient, les boutiques étaient ouvertes, la vie nocturne y était très importante. C'est main dans la main qu'ils se promenèrent dans la rue principale.
La population était accueillante et souriante, tous avaient le teint métissé et étaient très brun, sauf les touristes qui se reconnaissaient par l'excentricité de leurs tenues.
Un bar devant lequel ils passèrent, laissait échapper une musique latine très entraînante, et ils décidèrent d'entrer. Ils prirent deux bières après s'être installé à une table, puis Harry entraîna Sévérus sur la piste de danse ou ils passèrent un moment de détente très agréable. Après plusieurs danses, il y eu une musique plus suave et romantique. Sévérus prit Harry dans ses bras, et le serra langoureusement pendant que Harry se frottait sans complexe contre le corps brûlant de son partenaire. Personne ne faisait attention à eux, les danseurs étant composés surtout d'américains, blasés devant un couple homosexuelle. Harry embrassa doucement le cou de son amour nouant les mains autour de sa nuque, respirant son odeur virile qui l'enivrait, plus il était avec Sévérus plus il le désirait. Sévérus lui se sentait libérer du carcan de sa morne vie anglaise, et c'est sans complexe qu'il savoura le plaisir de danser avec son époux.
Ils rentrèrent tard, reprirent le petit hors bord, et regagnèrent l'île, discutant de leur soirée avec un sentiment de satisfaction. Ils s'endormirent blottis dans les bras l'un de l'autre.
CHAPITRE 17 Le rituel de la mort
Winky vint réveillé ses maîtres, Harry et Sévérus prirent leurs douche commune comme il l'appréciaient tant. Harry mit un bermuda noir et une chemise rouge avec des sandales. Sévérus mis un jeans avec un tee-shirt bleu, avec sa paire de tennis. Harry détaillait avec admiration son homme, ses nouvelles tenues le rajeunissait et mettait son corps tout en muscles en valeur, Harry décida d'attacher les cheveux de Sévérus en catogan, ce qui rendait les traits de son visage plus fin, celui-ci râla un peu mais convint que le changement lui allait bien. Ils prirent un copieux petit déjeuné, prirent un sac à dos avec de l'argent, Harry emmena avec lui Apophis qui s'enroula autour de son poignet, et une bouteille d'eau, et prirent le hors bord jusqu'à Cancun.
De là, ils se dirigèrent vers une annexe du ministère sorcier mexicain, qui était en réalité une petite pièce dans la réserve d'un magasin d'articles de plages, ils y trouvèrent un lieu de transplanage et ils atterrirent en toute sécurité dans une autre pièce, mais à Mérida, une petite sorcière indigène leur indiqua la route pour se rendre au village sorcier.
La ville de Mérida était très belle, beaucoup de bâtiments coloniaux, avec de magnifiques façades blanches, de nombreuses fontaines se trouvaient à chaque coin de rue. Ils se dirigèrent vers une vieille église, échoué dans une rue tranquille, il fallait entrer à l'intérieur, et frapper de sa baguette contre le mur nord, ou se trouvait le tableau de la vierge Marie. Sévérus frappa le mur de sa baguette, et le mur s'ouvrit sur une rue très commerçante. Les sorciers portaient des robes de coton simples de couleurs blanche ou rouge, avec des motifs floraux brodés au col. Ils avaient tous le teint mate, les cheveux noir, et étaient de taille petite en moyenne. Harry et Sévérus commencèrent à faire les magasins. Harry trouva de très jolie plaids de lits décorés avec des motifs mayas, il en prit deux splendides un dans les tons de vert, l'autre avec des reflets argent car il représentait le calendrier aztèque. Il prit pour Dragon pendentif de la représentation d'un dragon stylisé, et pour Blaise un médaillon en forme de pyramide avec des motifs dessus. Pour Neville un médaillon avec un hologramme de plantes se développant de la graine, à la plante mature, et enfin pour Pansy un médaillon très travaillé en turquoises. Sévérus trouva l'inévitable magasin de potions où il entreprit de discuter boutique avec le propriétaire. Harry lassé, sortit pour l'attendre, il entendit alors un cri, et courut voir ce qui se passait. Une petite fille en larmes était effrayée par un serpent noir à rayures rouges, qui sifflaient furieusement, prêt à mordre l'enfant, la mère a coté tétanisée par la peur ne savait que faire. Harry s'avança vers le serpent et lui par la en fourche langue
- Arrête ne mords pas cette enfant
- Elle m'a marché dessus, sssssssssss, et elle m'a fait mal, dit le serpent
- Elle ne l'a pas fait exprès, pardonne lui…
-Non je vais la mordre,sssssssss
- Non ne la mord pas écoute mon maître dit Apophis
- Oh que tu es belle, je ne connais pas ta race, sssssss
- Je suis un serpent égyptien, sssss dit Apophis
- Ecoute Apophis, dit Harry.
- Qui étais tu toi, sssssss, qui parle ma langue ?
- je m'appelle Harry et toi ?
- Moi, je suis un Lampropeltis Mexicana, tu peux m'appeler Lampro,ssssssss.
- Alors Lampro vient avec moi, tu effrayes cette enfant, et Apophis en sera heureuse.
Lampro rampa vers Harry et s'enroula autour de son bras, Harry se retourna vers la mère qui avait prit la fillette dans ses bras. Quand le serpent ne se révéla plus dangereux, l'attroupement qui s'était réunis autour d'eux se dispersa. Mais plusieurs personnes félicitèrent Harry pour son intervention, et lui donnèrent une tape amicale sur l'épaule. Harry était assez surpris que son don n'effraye pas les sorciers d'ici.
- Je vous remercie de votre aide Monsieur ? Dit la jeune mère.
- Black, je me nomme Black, quand j'ai vu la situation, il m'a fallu intervenir.
- Et vous avez sauvé la vie de ma nina, mon nom est Clara, que puis je faire pour vous remercier ?
Sévérus le rejoignit a cette instant et Harry fit les présentations, et lui raconta l'incident qui s'était produit.
- Clara, nous cherchons des renseignements sur la grande arche qui était peinte dans une tombe, pouvez vous nous en dire plus ? Demanda Harry.
- Oh je regrette mais je peux vous conduire à mi padre qui avait fait partie de l'Institut sorcière de recherche philologique de l'UNAM.
- Oui avec plaisir, répondit Harry
Et ils suivirent Clara et sa fille en dehors de la rue commerçante dans une petite maison se trouvant sur une petite place garnie d'une fontaine. Clara les fit entrer chez elle.
- Ma maison est votre maison, c'est une phrase traditionnelle pour souhaiter la bienvenue, je vais aller chercher mon père installez vous.
Clara les fit entrer dans un salon gaie et très colorés, ils s'installèrent sur un canapé, et eurent bientôt la visite d'un homme aux cheveux blanc, portant une petite barbe blanche, ses yeux pétillaient de gaîté, il leurs tendit la main et s'installa face à eux. Clara revint avec des boissons fraîches, indiquant que c'était une boisson traditionnelle nommé pulque, faite avec du suc de cactus, et légèrement alcoolisé.
- Clara m'a raconté que vous aviez sauvé nina, vous avez toute ma gratitude, je m'appelle Estéban.
- Je vous en prie, j'ai la particularité de parler aux serpents, donc je n'ai pas beaucoup de mérite, dit Harry.
- Oh mais c'est un don très apprécié ici, nous avons l'un de nos dieu qui est un serpent Quetzalcóatl, le serpent à plumes, et les gens considère que communiquer avec les serpents est une bénédiction, car ils parlent la langue d'un dieu, dit Estéban.
- Vous semblez avoir beaucoup de connaissances, releva Sévérus avec respect.
- Je suis un chercheur de l'Institut sorcière de recherche philologique de l'UNAM. L'histoire est ma passion.
Harry but une gorgé du pulque, c'était une boisson laiteuse avec un arrière goût acide, mais pas désagréable.
- Justement je suis très intéressé par la découverte faite à Mérida dans la pyramide tronqué, cela concerne les peintures de la sépulture représentant une grande arche, que pouvez vous me dire sur les différents rituels autour ? demanda Harry très excité.
- On n'en dit rien, car c'est un secret appartenant aux peuples mayas, mais exceptionnellement et en remerciement pour ce que vous avez fait pour ma petite fille je vais vous en parler.
Il existe une arche semblable aux peintures, dans la jungle près de Cancun. Cette arche se trouve dans un village sorcier isolé, les gens de cette tribu, pratiquent encore les anciens rituels lies à l'arche.
C'est l'arche de la mort, quand une personne meurt, le corps est embaumé selon les anciens rituels, puis le défunt est présenté devant l'arche, son âme passe alors derrière le voile pour rejoindre les dieux.
Harry avait sentit une incroyable excitation montée en lui au cours de l'explication d'Estéban.
- Donc si je comprends bien c'est une porte, une sorte de passage pour les âmes, mais si un être vivant y tombait, que se passerait il ? demanda avec anxiété Harry.
- C'est impossible seul l'âme des morts passe de l'autre coté, pas les créatures vivantes, s'exclama Estéban.
- Pourtant c'est ce qui est arrivé à mon parrain, et Harry raconta l'histoire du département du mystère.
Estéban resta un long moment silencieux, il était pensif, Harry était impatient de connaître son opinion. Estéban reprit enfin la parole.
- Alors c'est très grave, cela déséquilibre l'ordre de la nature, il faut aller voir le brujo du village de la lluvia, dans la jungle lui saura quoi faire, pouvez vous partir maintenant ?
- Oui répondit Harry, puis il jeta un regard à Sévérus qui après un grand soupir approuva d'un mouvement de tête.
Estéban les fit sortir sur la place et prépara un portoloin avec un vase en cuivre. Les trois sorciers touchèrent le vase pour réapparaître au pied d'un arbre gigantesque en pleine jungle. Ils leurs fallut une heure de marche, Estéban ouvrant leur passage dans la végétation à l'aide d'un hachette, pour arriver dans un village. Le village était constitué de huttes en bois, le sol fait de terres battues, de nombreux indigènes vaquaient à leurs occupations. Ceux-ci portaient des costumes traditionnels fait de toile de lin et décoré de nombreux bijoux en or et en turquoise. Estéban les emmena vers une hutte plus grande, situé au centre du village, et les fit entrer. Un vieil homme était assis en tailleur sur le sol, il portait le costume traditionnel de lin blanc, avec de lourds bijoux en or et en turquoise, dont un pectorale en forme de serpent. Le vieux sorcier avait sur la tête une coiffe faite de plumes multicolores, il fit signes à ses visiteurs de s'asseoir face à lui.
- Brujo Lorca je t'amène ces étrangers, car il leurs est arrivé quelque chose de très grave, je vous présente Black et Sévérus Snape.
Harry et Sévérus étaient impressionnés par la puissance et la sagesse que dégageait le vieux sorcier, ils inclinèrent la tête en signe de respect.
- Parlez, je vous écoute dit d'une voie basse le Brujo Lorca
Harry raconta donc de nouveaux les événements du département du Mystère, et la perte de son parrain.
- Estéban a du vous expliquer que l'arche servait de passage pour les âmes des morts, nul vivant ne doit passer de l'autre coté, c'est un monde différents, faits pour les esprits et pour les dieux, dit Brujo
- Y a t il un moyen pour récupérer Sirius ? demanda Harry
- Il faut donner une âme en échange dit Brujo
- Alors, j'ai en moi un morceau d'âme qui ne m'appartient pas, puis je l'offrir ? demanda Harry plein d'espoir.
- C'est impossible, c'est diabolique et mauvais, que vous est il arrivé ? demanda Brujo avec étonnement.
Harry raconta donc son histoire, la mort de ses parents, le sacrifice de sa mère, et Voldemort qui avait créé plusieurs Horecrux. Brujo resta pensif un long moment puis reprit la parole.
- Nous allons pratiquer le rituel de la séparation de l'âme, des défunts vous protégeront. L'âme de ce Voldemort sera offerte car nous dirons son nom, vous devez comprendre, que tous les morceaux d'âme cachés dans des objets seront aspirés par l'arche en même temps, seul l'âme prisonnière d'un corps aura du mal à se détacher, je vous donnerais une potion qui facilitera son départ. Car une fois l'âme sortit de votre corps, elle aimantera les autres morceaux d'âme prisonniers d'objets inertes.
Seul l'âme restant dans Voldemort ne pourra lui être arraché car encore enraciné à un être vivant.
La cérémonie rendra l'intégrité à votre âme seule, qui ne risque rien car elle ne sera pas nommée.
Le nom de l'âme, est un appel qu'elle ne peut refuser devant l'arche de la mort. Une fois l'âme offerte, nous pourrons faire une demande pour que Sirius black soit rendu. Les défunts déjà de l'autre cotés aideront pour le passage.
Mais il y aura une difficulté, le dieu serpent à plumes est un animal mythologique qui était associé au pouvoir et à la capacité de la nature de renouveler la vie, à partir du fluide vital qui émanait de ce personnage sacré, il permettait de réunifier l'âme, c'est lui qui décidera si votre offrande et votre demande sont acceptable.
- Est-ce que c'est dangereux pour mon époux ? Demanda Sévérus inquiet par la complexité et le danger du rituel.
- Le seul danger vient de Quetzalcóatl.
- Est ce que cela aiderait si je vous dis que je parle serpent, et il exhiba Apophis et Lampro qui étaient tout deux enroulés autour de ses poignets, et qui sifflèrent en cœur. Les trois sorciers ne purent s'empêcher de sursauter d'étonnement devant ce spectacle.
Brujo fit un grand sourire de sa bouche édentée, il se leva brusquement, et sortit donner des ordres, il revint quinze minutes plus tard et leur fit signe de le suivre.
Ils furent conduits dans une clairière en dehors du village, au milieu se trouvait la réplique exacte de l'arche maudite du département du mystère.
Une grande porte de pierre avec un voile, qui semblait se soulever par un vent invisible. Sévérus et Estéban furent conduit sur le rebord de la clairière. En cet endroit, ils pourraient observer toute la cérémonie, sans interférer.
Quatre femmes arrivèrent et dépouillèrent Harry de ses vêtements, le laissant nus. Puis elles passèrent sur son corps un liquide poisseux et colorés en ocre. Elles lui mirent un pagne de lin blanc et un pectorale d'or représentant le soleil.
Harry pu garder ses deus serpents enroulés a ses poignets.
Des hommes s'installèrent autour de lui en demi cercle et commencèrent à battre des tambours, agenouillés sur le sol.
D'autres hommes amenèrent quatre momies indiennes. Elles étaient en position fœtale, et leurs peaux marron gris, étaient parcheminées comme du vieux parchemin. Elles portaient chacune des coiffes de plumes, Harry dévisagea avec effroi leurs visages mort et grimaçant. Brujo posa une main rassurante sur l'épaule de Harry, lui redemandant le nom complet de Voldemort et celui de Sirius, il lui expliqua que les quatre momies étaient d'anciens chefs sorciers qui veillaient sur la tribu.
Brujo fit boire une potion au goût de fer à Harry.
Puis il le poussa au centre du cercle que formaient les momies. Brujo, prit une coupe et versa un liquide sur le sol. Il commença à réciter une incantation lancinante dans une langue inconnue. Cela dura un long moment les tambours se mélangeant aux paroles du vieux sorciers formaient une mélodie inquiétante. Harry se sentait mal à l'aise il avait l'impression que les momies le regardaient. Une femme apporta une bouteille à Brujo, puis sortit du cercle des tambours. Brujo versa le liquide sur le sol en tournant autour des momies. Quand le cercle fut fermé le vieux sorcier se plaça devant l'arche les bras levé résistant une incantation, les tambours augmentèrent le rythme et Harry se sentit entrée en transe.
La tête monstrueuse du dieu serpent Quetzalcóatl, apparut il avait un collier fait de têtes de mort humaine, dont partaient une multitudes de plumes, il ne sortit pas entièrement de l'arche, le reste de son long corps resta dissimulé derrière le voile.
- Brujo Lorca, ce n'est pas un mort que tu m'amènes, le corps au centre du cercle des anciens est encore en vie, dit Quetzalcóatl d'une forte voie sifflante.
- Je te supplie au grand dieu d'écouter ma demande.
Oui, grand serpent à plumes, l'homme est encore vivant, pourtant il a deux âmes en lui, il t'en offre une, celle de Tom Elvis Jedusor nommé Voldemort, ce sorcier maléfique qui a fractionné son âme, et le jeune homme devant toi, demande à ce que tu réunifies son âme, qu'il redevienne un.
Pour cela, je demande à tous les défunts derrière le voile de nous aider, et par le cercle des quatre momies, à la terre il sera lié.
Le jeune sorcier demande en échange de l'âme impie de Voldemort, un sorcier qui tomba par accident vivant et entier derrière le voile, Sirius Black lié par le sang à ce sorcier.
L'âme de Voldemort contre Sirius Black.
- La requête a été faite dans les règles, donc je vais y accéder, mais sur un être vivant enlever une âme peut être douloureux je jugerais du courage du jeune sorcier, et j'évaluerais ce que je pourrais prendre et donner, dit Quetzalcóatl.
Le serpent à plumes siffla alors longuement, les yeux des momies autour d'Harry se mirent à briller.
Quetzalcóatl avança jusqu'à Harry et sa langue fourchu s'enroula autour du crâne de Harry, quand la langue fourchue le lâcha, Harry fut entouré d'un halo doré et décolla du sol, restant suspendu à quelques mètres du sol.
Harry se sentit déchiré de l'intérieur et poussa un long cri strident. Le serpent sembla alors aspiré l'air.
On pu voir alors une fumée noir s'envoler vers le serpent. Celui- ci resta la gueule ouverte dévoilant ses longs crochets et sembla attendre, au bout de quelques instants cinq nuages sombres se dirigeaient vers le serpent. Tous les nuages se réunifièrent et le serpent avala le nuage sombre.
Le bout de la queue du serpent géant émergea du voile laissant tomber une forme humaine.
- Voila Brujo Lorca, l'âme du jeune sorcier est de nouveau un, j'ai aspiré l'âme de Voldemort, et j'ai rendu Sirius Black vivant. A présent je vais juger de la valeur du jeune sorcier.
Quetzalcóatl s'approcha de Harry. Mais les serpents que portait Harry à ses poignets, commencèrent à siffler furieusement.
Le serpent à plumes s'arrêta et s'adressa à l'esprit de Harry en fourchelangue.
- Tu parles le serpent jeune sorcier, et tu as des serpents autour de ton corps, dit le serpent à plumes.
- Oui grand dieux, je parle le serpent, et Apophis et Lampro son mes amis.
- Pourquoi as-tu voulu sauver ce sorcier et quel est ton but dans la vie ?
- Regarde grand Quetzalcóatl mes souvenirs, ainsi tu comprendras mes choix, et Harry laissa tomber ses barrières.
Quetzalcóatl fut fasciné par la vie de cet être si jeune si courageux, et ayant été tellement blessé. Il vit son but et le comprit, il vit son amour pour son compagnon, ses amis.
Le serpent à plumes se retira des souvenirs du jeune sorcier, il admirait cet humain et son respect pour les créatures magiques, mais il avait besoin de plus d'armes et de forces.
- Jeune sorcier j'ai jugé ta valeur qui est grande, tu es courageux comme les anciens guerriers toltèques. Je vais te faire des dons, pour t'aider dans ta quête qui est juste.
- Merci au grand serpent à plumes pour ta générosité.
- Je vais insuffler du fluide vital en toi, je te donne la capacité de maîtriser la magie serpent. Adieu jeune humain.
Harry fut entouré de flammes tel un brasier, il retomba sur le sol inconscient.
Quetzalcóatl se retira derrière le voile. L'arche redevint calme, les tambours s'arrêtèrent. La cérémonie était finie.
Sévérus se précipita vers Harry, fou d'inquiétude il serra contre lui le corps sans connaissances. Il le prit dans ses bras et le porta pour l'éloigner du cercle des momies. Brujo s'approcha de Harry, toujours dans les bras de Sévérus et il passa sa vieille main au dessus du front de Harry.
- Il n'a rien Sévérus, il est juste inconscient, Quetzalcóatl, l'a béni et lui a fait dons de sa magie, il à besoin d'une bonne nuit de sommeil. Vous dormirez au village ce soir.
Puis Brujo se dirigea vers l'autre rescapé, le sorcier Sirius Black, il passa sa main au dessus du corps faisant des passes complexes. Ce sorcier est épuisé, vidé de son énergie, mais vivant.
Il fit signe a ses hommes pour qu'il le portent et rentra au village, suivit de Sévérus qui portait Harry dans ses bras.
Les hommes de la tribu prirent les momies pour les ramener dans leurs tombeaux.
Et l'étrange procession prit le chemin du village.
Harry, Sévérus et Sirius, furent installés tous les trois dans une hutte, on apporta à Sévérus quelques fruits, de la viande bouillit et du pulque, Sévérus grimaça lorsqu'il reconnu la boisson.
Il alla vérifier l'état de Sirius couché sur une natte de fibres sur le sol, il n'avait pas changé, mais semblait épuisé, mais surtout il était vivant. Sirius Black était vivant. Merlin.
Puis Sévérus prit une bassine d'eau et lava Harry de la substance ocre qui le recouvrait.
Il alla se coucher contre Harry, le serrant dans ses bras.
CHAPITRE 18 Sirius Black
Harry se réveilla dans les bras de Sévérus, il se sentait bien, la journée de la veille revint d'un coup. Il resta un long moment songeur, il tourna la tête et vit Sirius allongé un peu plus loin. Il se dégagea doucement de l'étreinte de Sévérus, et alla vers Sirius. Il lui toucha doucement le visage, restant en contemplation de celui qu'il croyait perdu à jamais, la peau était chaude, il respirait. Merlin il était revenu de derrière le voile. Sirius était vivant.
Harry sentit, deux bras s'enrouler autour de lui.
- Là, Harry ne pleure pas, il est vivant tu as réussit, lui dit Sévérus
Harry n'avait pas pris conscience, que les larmes roulaient sur sa joue. Il se retourna, et sa blottit dans les bras de Sévérus, qui le réconforta, et lui laissa le temps de se ressaisir.
- Harry comment te sens tu ? La cérémonie d'hier était assez impressionnante tu sais, demanda Sévérus d'une voie inquiète.
- Etonnement bien, j'ai encore du mal à réaliser.
- Tu n'es pas le seul, tu n'es plus un Horecrux, et tous les objets maudits sont détruit….c'est inespéré, dit Sévérus.
- Mais ce n'est pas tout, je me sens…différent, il faut que je voie Brujo, dit Harry
Sévérus répondit d'un hochement de tête, au moment de sortir Harry hésita à laisser Sirius seul.
- Il est épuisé, il va encore dormir un moment, si tu veux quand nous serons de retour à las noches, je lui ferais une potion reconstituante.
Harry approuva la proposition de Sévérus, et ils se dirigèrent vers la grande hutte du chef Brujo. Le chef les attendait devant sa hutte, ils se saluèrent, puis Brujo leur fit signe d'entrer.
- Estéban est parti hier soir, il ne pouvait rester, mais il m'a dit que si vous aviez besoin de quoi que ce soit, il serait là.
Je voudrais savoir les dons que t'a fait Quetzalcóatl, demanda le vieux sorcier.
- Il m'a insufflé du fluide vital, et il m'a donné la capacité de maîtriser la magie serpent, répondit Harry.
- C'est une très bonne chose, pour le fluide vital cela va augmenter ta puissance, tu t'en apercevras au cours du temps.
Pour la maîtrise de la magie serpent, cela représente tous les sortilèges existants lié aux serpents, ainsi tu vois la marque sur le bras de Sévérus, c'est de la magie serpent…expliqua Brujo
- Vous voulez dire que je contrôle tous les sorts en fourchelangue ? demanda avec stupeur Harry, mais je n'ai pas conscience de connaître les formules.
- Ce n'est pas grave, elle te viendront d'une façon inné, essaye insista Brujo.
- Sévérus ? Veux tu que j'essaye de t'enlever la marque des ténèbres du bras ? demanda avec hésitation Harry.
- Je n'ai jamais cessé de regretter cette marque, cette marque de l'infamie, de l'esclavage…bien sur que je n'en veux plus, mais et mon rôle d'espion ? Les informations dont nous avons besoin sont indispensable, et sans cette marque….Conclu Sévérus.
- Sévérus tu as assez souffert, tu n'a pas de sacrifice à faire, les informations nous les trouverons autrement, et je dois t'avouer que je ne supporte plus de te voir partir rejoindre ce fou, ta vie est en danger à chaque fois, tu n'es plus seul Sévérus…plaida Harry.
-Va y…et Sévérus tendit son bras déterminé.
Harry ne savait pas trop comment procéder, il approcha ses mains, toucha la marque, cette tête de mort hideuse avec ce serpent, puis la regarda se concentrant sur elle. Harry fit abstraction de tout ce qui l'entourait, bruit, odeur…Il ne voyait que la marque, et au plus profond de lui, il sentit un mécanisme se mettre en route, il la comprenait, il percevait ses mystères et ses secrets. Il comprenait le lien de servitude servant à appeler, à faire souffrir, à dominer, à aspirer la magie. Il comprit alors comment briser le lien, et il coupa les fils car ce sort était telle une excroissance se nourrissant, un parasite, et Harry sans s'en rendre compte prononça les paroles en fourchelangue qui détruisirent la marque. Sévérus sentit une grande brûlure, cela faisait atrocement mal, mais il serra les dents, il vit alors la marque s'estomper, puis disparaître. Il sentit en lui une vague d'énergie déferlé, le laissant essoufflé. Sévérus était libre, il n'avait plus la marque des ténèbres.
Harry après un moment de silence et de stupéfaction, que cela ai marché, sauta dans les bras de Sévérus en riant. Celui-ci d'abord stupéfait, abasourdis, laissa enfin éclater sa joie, et les deux sorciers tout à leur joie pleurèrent de joie.
Après s'être remis de leurs émotions, ils prirent congé de Brujo, lui promettant de revenir le voir. Sévérus fit un levicorpus, grâce à sa baguette et ils emmenèrent le corps inconscient de Sirius. Harry se sentait capable de les faire transplaner jusqu'à l'île.
Ils arrivèrent sur la plage, Winky les attendait très inquiète. Elle se précipita vers eux.
-Maîtres Winky était très angoissé de ne pas vous voir revenir hier soir.
- Tout va bien Winky, nous avons eu un contretemps, voici Sirius Black, mon parrain et père adoptif, il est très faible. Nous allons l'installer dans l'une des chambres, pendant ce temps prépare nous à manger, nous sommes affamés. Et pourras tu aller à Cancun récupérer le bateau je te prie Winky, demanda Harry.
- Tout de suite maître, et Winky disparut dans un pop.
Sévérus conduisit le corps inconscient de Sirius dans l'une des chambre, puis partie vers le laboratoire de potion. Pendant ce temps, Harry installait confortablement Sirius, émus de revoir le sorcier. Sévérus revient rapidement avec la potion régénératrice, qu'il fit boire à Sirius.
Les deux sorcier se dirigèrent ensuite sous la véranda ou les attendaient un superbe repas, fait d'entrecôtes bien juteuses et d'une salade de pomme de terres.
Dobby apparut à la fin du repas, dans un petit pop caractéristique.
- Harry Potter Monsieur, quel plaisir de voir le Maître, je vous apporte, le courrier d'Angleterre, comment se passe votre séjour Maître ? demanda Dobby.
- Merci Dobby, tout se passe bien, Winky est parfaite, mais assieds toi et bois quelque chose, je vais regarder si il y a des réponses à faire, dit Harry épluchant déjà son courrier.
- Sévérus regarde ça…c'est le journal le Prophète, il annonce le mariage pour dans deux jours, d'Ororo Zabini et de Cornélius Fudge, ce serait d'après le journaliste un coups de foudre, et en page cinq il y a un articles parlant de l'inculpation à recevoir le baiser du détraqueur pour Peter, et l'innocence de Sirius avec le rétablissement de son honneur à titre posthume. Merlin dit Harry à Sévérus qui saisit immédiatement le journal, avant de lire les articles.
- Harry tu as manqué un article juteux, page huit …écoute « …lors de l'inauguration de la plaque commémorative de l'entente pour l'entraide magique entre la France et l'Angleterre, qui fait suite à la signature de l'accord de coopération, signé lors du Comité de soutient. Une magnifique plaque dorée retraçant cet instant historique à été fixé dans le hall du ministère, afin que le monde sorcier voie les efforts fait par leur gouvernement. Cornélius Fudge et le très controversé Percy Weasley étaient présents pour dévoiler la plaque. Mais Percy s'est encore donné en spectacle avec la jeune fille qui se dit être sa fiancé, et qu'il rejette sans pitié, la malheureuse a fait une crise de nerfs et a du être transféré à Saint Mangouste, sous le regard indifférent de monsieur Weasley. Devons nous rappeler que Monsieur Weasley doit prochainement comparaître au tribunal pour l'affaire « Lord Seth Black contre Percy Weasley et le Ministère » pour diffamation, prise de position, et agression sur sa personne, nous rappelons à nos lecteurs que cette affaire embarrasse beaucoup le gouvernement. Par ailleurs Monsieur Weasley est convoqué cette après midi, avec son frère Ron Weasley pour une histoire familiale assez grave qui n'a pas encore été dévoilé, mais votre fidèle journaliste vous tiendra au courrant de ce qui se passe…. » Et bien, cela bouge, dit Sévérus réprimant un sourire.
- Hmm, Sévérus j'ai reçu une lettre d'Arthur, il m'explique qu'il rencontre Maître Gordon cette après midi, pour officialiser son divorce d'avec Molly, et qu'il renie Percy, et Ron. Giny vit chez la tante Muriel qui semble t il la mène à al baguette le mariage avec Vincent Crabbe a été annoncé, et se fera sous peu. Arthur ajoute qu'il n'a donné aucune nouvelle à Dumbledore, et que Maugrey essaye de le rencontrer, mais qu'il a réussit à l'éviter. Enfin il a trouvé un appartement sur le chemin de traverse qui lui convient parfaitement, car plus proche du Ministère, résuma Harry en lisant sa lettre.
- Arthur a toujours été un homme d'honneur, il a su réagir sainement face a cette situation, Il a beaucoup de mérites, conclu Sévérus.
- Il y a un message de Draco, qui me dit que tout se passe bien, que Blaise est enchanté du mariage de sa génitrice, que Lucius nous envoie ses salutations, et reste très actif au sein du journal. Il ajoute que Neville a croisé Hermione sur le chemin de traverse qu'elle suivait Ron et une fille et qu'elle semblait très déprimée, avec les yeux rouges, ce qui les as bien fait rire. C'est parfait tout ça, je vais rédiger mes réponses dans le bureau, viens Dobby, je n'en ai pas pour longtemps Sévérus. Harry se leva déposa un baiser sur les lèvres de son amour et partit vers le bureau.
POV Percy et Ron
Percy et Ron se dirigèrent d'un pas nerveux vers le bureau de Maître Gordon, cette convocation ne leurs disaient rien qui vaille. Surtout, depuis que Ron avait expliqué à son frère que leur père avait demandé le divorce d'avec leur mère, celle-ci avait refusé de donner les motifs de la séparation, elle cherchait un appartement et avait proposé à Ron de la suivre. Les deux frères ne s'étaient pas encore remis du choc que la nouvelle leurs avaient causé, ils étaient encore abasourdis et en pleine confusion. De plus, la pauvre Ginny avait été envoyé chez la tante Muriel, et elle allait se marier avec Vincent Crabbe, Ron ne comprenait pas ce qui arrivait. Percy lui était inquiet, il n'avait pas dit à Ron que leur père avait sûrement découvert la vérité, d'où les conséquences qu'ils subissaient. Mais ce qui lui posait surtout un gros problème était le divorce de ses parents. Cela ne se voyait pas dans le monde magique, c'était une infamie, et Percy tremblait des conséquences que cela aurait sur sa renommé. Quand ils entrèrent dans le bureau de maître Gordon, ils eurent la surprise de voir leur père, du moins Ron car Percy commençait à comprendre de quoi il retournait.
- Papa, mais qu'est ce que tu fais ici ? Et c'est quoi cette histoire de divorce avec Maman, et Ginny qu'est ce que tu lui à fait ? Cria avec colère un Ron rougeaud.
- Cela suffit Ronald, tu t'assoie et tu te tais, le chef de famille ici c'est moi, ordonna Arthur d'un ton ferme.
Ron et Percy prirent place dans un fauteuil, Percy de plus en plus angoisser, Ron fulminant. Arthur reprit.
- Avant de laisser la parole à Maître Gordon, je vais vous expliquer les motifs de votre présence ici. Je suis au courrant de toute votre machination avec Dumbledore, dois je en dire plus ? Ma décision en tant que chef de famille est le divorce d'avec Molly, Ginny sera mariée avec le père de son enfant, et vous deux je vous renie et déshérite.
- Non, ce n'est pas possible, tu n'as pas le droit de faire cela, c'est injuste cria Ron en se relevant. Percy lui s'était décomposé prenant conscience de la gravité et des conséquences de la sentence de son père.
- Cela suffit Ronald, si tu ne te tais pas, je te jette un sort de silence, et de glus, pour que tu restes assis. Ce que vous avez fait est ignoble, et vous allez en payer les conséquences. « Au nom de magie magistra moi Arthur Weasley renie et déshérite à cette instant Ronald Bilius Weasley et Percy Weasley »
Un silence impressionnant plana dans la pièce. Percy se leva et sortit sans rien dire la tête basse, il avait tout perdu, il ne lui restait rien. Ron se redressa criant, paniquant.
- Non papa, non, ne fais pas ça, je m'excuse…dit Ron affolé.
- C'est ma décision et elle est irrévocable, asséna Arthur.
- Ron vous pouvez prendre le nom de jeune fille de votre mère Prewett, vous n'avez plus aucun droit de porter le nom de famille Weasley, Arthur les documents de divorce ont été enregistré, la maison le terrier a trouvé un acheteur, elle devra être libéré a la fin de la semaine. Que faisons nous de l'ameublement ? Demanda Maître Gordon d'une voie autoritaire.
- Mon ex-femme n'a qu'a prendre ce dont elle aura besoin le reste vendez le l'argent ira en dot pour le mariage de Ginny, conclu Arthur, qui salua l'avocat et sortit sans un regard pour un Ron écroulé et pleurant sur le sol.
Fin du POV
Harry passa voir Sirius qui dormait toujours, toutefois il fut rassuré de voir qu'il avait repris des couleurs. Au moment ou il allait quitté la chambre Sirius s'agita, Harry revint près du lit et lui prit la main.
Sirius agita les paupières et ouvrit les yeux, il sembla désorienté puis son attention se fixa sur Harry.
- Où suis-je ? Qui êtes vous ? demanda avec curiosité Sirius.
Harry l'aida à se redresser, ce que Sirius apprécia, Harry prit une chaise et s'assit a coté du lit de Sirius, le cœur serré par l'émotion. Il combattit sa gorge étranglée et ses larmes au bord des yeux en murmurant.
- Sirius c'est moi Harry, j'ai réalisé le rituel d'adoption posthume par le sang.
- Par Merlin, Harry…tu l'as fait, Merlin Harry tu es devenu mon fils, comme tu as changé …tu es magnifique dit Sirius avec émerveillement.
- Sirius si tu savais comme tu m'as manqué, je t'ai cru mort, et Harry se précipita dans les bras de son parrain, en pleurant, refusant de le lâcher, j'ai cru t'avoir perdu pour toujours, tu ne sais pas ce que cela m'a fait.
Sirius serra à son tour Harry contre sa poitrine se laissant envahir par l'émotion et peinant à réaliser ce qui s'était passé, il berça longuement Harry contre lui, se maudissant pour sa maladresse qui avait tant fait souffrir cet enfant.
- Tu sais Sirius, maintenant je m'appelle aussi Seth Orion Black dit Harry en souriant fièrement à travers ses larmes.
Sirius était heureux il éclata de ire, essuya les joues de Harry, en posant un baiser sur sa joue.
- Ou sommes nous ? Je ne reconnais pas cette pièce, demanda Sirius.
- Nous sommes au Mexique, chez moi. Devant la perplexité de Sirius, Harry soupira et reprit, beaucoup de choses graves se sont passées.
- Harry que s'est-il passé pendant mon absence ? demanda Sirius de nouveau sérieux.
Harry invoqua une pensine, qu'il posa sur les jambes de Sirius.
- Je vais te montrer tous mes souvenirs, tu comprendras mieux, Harry sortit un filament blanc de sa tête et le mit dan la pensine, ça c'est ce qui s'est passé a ta disparition, Il en prit un autre, ça c'est ce qui est arrivé à Gringotts, celui la c'est la réunion de l'ordre, celui la mon mariage.
Sirius sursauta et le regarda avec de grands yeux étonnés.
- Tu es marié ? Depuis quand ? Avec qui ? N'es tu pas trop jeune ? Interrogea Sirius.
- Non, tu oublies que le rituel m'a fait vieillir de deux ans, avec la maturité qui allait avec, quand au choix de la personne, je veux que tu saches, que tu comprennes que je l'aime plus que tout, que c'est une union sorcière, et que je suis gay, dit avec une pointe d'angoisse Harry, Sirius il faut que tu acceptes mon choix, je l'aime vraiment tu comprends ? Et il me rend heureux comme personne.
- Tu m'inquiète…pour que tu réagisses comme ça, c'est que je ne vais pas aimer ce que je vais découvrir, asséna Sirius d'un ton sinistre.
- C'est le meilleur choix pour moi, bien ce souvenir ce sont tous les événements que j'ai mis en œuvre pour me venger, et celui la comment je t'ai récupéré…au faite je suis en pleine lune de miel en ce moment, alors soit sympa et ne t'énerve pas, ok ?
- Merlin tu es en lune de miel, et tu parles de vengeance, mais qu'est ce qui s'est passé ? demanda avec angoisse Sirius.
- Regarde Sirius, nous discuterons après, répondit Harry.
Sirius plongea dans la pensine, pour un voyage qui ne le laisserait pas indemne.
POV Voldemort
Le seigneur des Ténèbres, Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom, le Lord Noir était furieux. Peter Pettigrow avait été arrêté, quand ? Comment ? Il allait recevoir le baiser du Détraqueur. Black était innocenté même à titre posthume c'était inacceptable.
Fenrir Greyback ne répondait plus à ses appels, il avait envoyé un message comme quoi il quittait la cause. De quel droit on ne quitte par Lord Voldemort, il le tuerait.
Nagini était malade depuis hier, très malade, elle vomissait…un serpent qui vomit, Voldemort n'avait jamais vu ça. Et cet imbécile de Snape qui n'était pas là.
De plus ses migraines recommençaient, certes moins fortes, mais très gênantes.
Et le summum, hier il avait rêvé qu'il se faisait manger par un serpent monstrueux, qui portait un collier de tête de mort avec des plumes, lui se faire menacer en rêve ?
Voldemort dévisagea avec colères les quatre mangemorts agenouillés sur le sol. Bellatrix était parmi eux, il l'avait soumise à un sortilège de magie noir d'adoration absolu, au début de son règne, elle lui était fidèle depuis, elle l'aimait malgré son physique de serpent blanc. Mais aujourd'hui, sa soumission l'énervé, il n'y avait personne d'intelligent prés de lui, c'était des larves. Dans sa colère il tua l'un de ses mangemorts et tortura les autres a coup de doloris. Il s'arrêta lorsqu'il ne supporta plus les cris, cela augmentait son mal de tête.
Fin du POV
Sirius sortit de la pensine furieux, furieux contre ce qu'ils avaient osé faire contre Harry, furieux contre la réaction de Remus qui une fois de plus avait abandonné un ami dans le besoin. Furieux contre Dumbledore et sa bande de traîtres, Sirius était accablé par l'ampleur de la trahison, même si il se doutait qu'il y avait des choses de louches…il n'imaginait pas que c'était à ce point. Merlin il voulait sacrifier Harry, le dépouiller. Et Harry était marié à ce serpent de Servillus. Rahhhhh.
- Sirius calme toi, réfléchit posément, nous avons des choses importantes à discuter, dit Harry avant que Sirius ne disjoncte. Commençons pas les problèmes un par un, suis-je bien ton fils ? Qu'est ce que cela change ? Je veux dire depuis ton retour parmi les vivant, dois je te restituer le titre de Lord Black ?
- Non Harry, dit Sirius en poussant un grand soupire. Tu es bien mon fils, mon sang coule dans tes veines. Je n'ai pas le droit a l'héritage des Black j'ai été déshérité, mais cela ne te touche pas, tu restes le chef de famille.
Je n'ai pas été un bon Black et je ne me suis pas occupé des valeurs du clan.
Magie magistra t'a reconnu toi comme le dernier homme Black de la lignée, et mon retour ne change rien, la chevalière Black emblème du pouvoir du chef de famille, t'a été donné.
Et d'après ce que j'ai vu, tu te débrouilles très bien, tu prend des décisions que je n'aurait su prendre, je suis heureux de te laisser cette charge, je te demande juste de ne pas me rejeter, dit Sirius.
-Pourquoi je te rejetterais Sirius ? Je vais te réintégrer dans la famille, comme les autres. Tu es réhabilité, Lucius a livré prêter Pettigrow aux aurors devant les journalistes, tu as été innocenté. Le square Grimaud va être complètement transformé, tu seras heureux d'y vivre, si la maison te plait je te la donnerais, je te rendrais aussi l'argent que tu m'as légué, je n'en ai pas besoin. Mais j'ai besoin de toi pour me soutenir et m'aider. Sirius tu représentes tant pour moi. Tu m'as dit « je t'aime comme le fils que j'aurais aimé avoir, tu as été mon rayon de soleil, ma joie et ma raison de vivre, Je t'ai aimé car tu étais le fils de James, mon meilleur ami, tu lui ressembles tant. Ensuite j'ai appris à te connaître toi et pendant les trop rares moments que nous avons passés ensemble j'aurais voulu être seul avec toi, ne pas devoir te partager avec tes amis et l'Ordre. Ceci pour rattraper le temps perdu » Alors dis moi pourquoi je te rejetterais ? Ce que tu m'as dit était il faux ? Penses tu que j'ai tant d'amis que je te repousserais ? Demanda Harry en pleurant.
Sirius s'en voulait pour ses paroles malheureuses, Merlin comme il restait fragile, il aimait Harry, encore plus maintenant. Sirius le prit dans ses bras, embrassant ses cheveux, Merlin il lui ressemblait tant.
- Ne pleure pas Harry, tout est vrai, je suis juste encore très désorienté, je resterais près de toi, je t'aiderais, Merlin Harry, tu m'as tant manqué, tu sais je suis resté conscient de l'autre coté du voile, j'étais entouré par des âmes, mais je ne pouvais revenir, je voulais te remercier pour ce que tu as fait pour me libérer. Et Merlin si tu aimes Sévérus, je l'accepterais pour toi, je te le jure Harry. Il faut que je revoie tout, Lucius a livré Peter, pendant que Remus t'abandonnais, Dumbledore t'a trahis et manipulé alors que Sévérus t'as aimé. Comment ai-je pu être aussi aveugle ? Je vais t'aider a leur faire payer. Je serais là.
POV Remus
Remus Lupin avait pour mission de rassembler les loups-garous et de les unifier sous la bannière de Dumbledore.
Mais il se rendit vite compte que toutes les meutes où il passait, étaient déjà sous les ordres de Fenrir Greyback.
La situation était catastrophique. Même les hordes encore indépendantes refusaient de le rallier, sa mission était un échec. Remus broyait du noir.
Depuis la mort de Sirius, plus rien n'allait. Et il y avait ce Seth Black qui l'évitait, oui c'est ça il fuyait la discussion avec lui. Mais il devait parler de son père, pourquoi Sirius ne lui avait il rien dit ?
Le nouveau Lord était le tuteur de Harry, Remus pensa avec un peu de honte qu'il avait abandonné Harry, il devait au moins à la mémoire de ses parents, et de Sirius de prendre la relève.
Merlin qu'avait il fait ? Harry ne pouvait pas savoir….que devenait il ? Remus se sentit rongé par la culpabilité.
Et pourquoi Seth Black l'appelait il Lunard, comme si il se moquait de son ancienne amitié, comme si il avait oublié qui il était. Un ami de Sirius et James, oui Seth mettait en cause son amitié et sa loyauté envers ses amis. Merlin il devait le détromper, il devait parler à Harry.
Remus marchait la tête basse, il était dans un village qui avait refusé l'alliance avec l'Ordre.
- Alors Remus Lupin on recherche ses racines ?demanda une voie rauque.
Remus redressa vivement la tête et regarda autour de lui. Il reçu un énorme choc en découvrant Fenrir Greyback qui le contemplait d'un air goguenard. Que faisait-il la ? Remus s'affola.
- Calme toi louveteau je ne veux que parler, dit en riant Fenrir.
- Je ne suis pas un louveteau, grogna Remus.
- Tu n'as pas été éduqué, tu rejettes l'instruction de la meute, tu es un louveteau, asséna Fenrir.
- Tout est de ta faute c'est toi qui m'a mordus, tu n'est qu'un valet du lord noir, je n'ai aucun conseils a recevoir de toi, cracha Remus avec hargne. Fenrir poussa un profond soupir.
- Remus, j'ai quitté Voldemort, ce n'est plus pour lui que je me bats, mais pour quelqu'un qui prend a cœur la cause des loups. Qui nous défendra, alors ne perds pas ton temps à faire le tour des meutes. Personne ne t'écoutera toi et ton maître pathétique, qui entre nous est bien pire que Voldemort, dit Fenrir.
- Mais de quoi parles tu ? répondit Remus assommé par ce qu'avait dit Fenrir.
- Réfléchit Remus…je parle de Dumbledore, tu ne sais rien, tu n'as rien vu, tu es un idiot, je te donne un conseil, tout est lié à Harry Potter, cherche mais soit discret, tu vas découvrir certaines choses terribles. Dit Fenrir, puis il se retourna pour partir, ha oui n'oublies pas que tu me devras un service pour t'avoir ouvert les yeux dits Fenrir en rigolant.
Remus resta en transe, perdus dans ses pensées, au milieu d'une rue déserte d'un village de loups-garous.
Fin du POV
Sirius bien que fatigué se sentit assez solide pour se lever, Harry lui proposa de venir sur la plage. Ils rejoignirent Sévérus au bord de la mer, qui dès qu'il les vit, il prit Harry tendrement dans ses bras et l'installa sur la chaise longue.
- Winky, appela Sévérus. Le pop caractéristique, et l'elfe apparut, apporte une chaise longue pour Sirius et des boissons rafraîchissant s'il te plait.
- Tout de suite maître, dit Winky.
Sirius observait Sévérus, il ne reconnaissait pas le sorcier, il était en maillot de bain, qui laissait voir un physique agréable, il avait attaché ses longs cheveux qui ne semblaient plus gras en catogan, ce qui affinait ses traits. Il n'avait plus ce teint blafard, mais un léger hale qui l'avantageait énormément. Et il était l'époux de Harry.
Winky revint, installa la chaise longue, disposa le plateau de boissons sur la petite déserte et disparut.
- Sévérus, je voudrais que nous repartions sur de nouvelles bases, je ne suis plus comme toi un adolescent, la vie n'a pas été facile pour aucun de nous, faisons la paix et soyons alliés, pour Harry, dit Sirius en tendant une main ferme.
- Pour Harry, Black, je suis d'accord. Il serra la main de Sirius, un accord historique venait d'être conclue avec le plus indiscipliné des maraudeurs.
Sévérus et Sirius s'installèrent sur les chaises longues, profitant de cette fin d'après midi. Sirius contempla l'horizon, la mer turquoise, Harry qui déjà somnolait au soleil, Sévérus qui s'était plongé dans un gros livre, et il permit à son corps de se détendre
Merci pour tous vos messages. Ca y est vous avez découvert, je suis une grande optimiste, dans le roman je n'ai jamais aimé cette histoire d'horecrux et la mort injuste de Sirius, oui d'accord j'avoue ne pas aimé l'injustice. Merci pour vos messages. Bonne lecture Boa
CHAPITRE 19 Le retour
Les trois sorciers dînèrent sur la terrasse, le soleil se couchait doucement embrasant le ciel de ses couleurs flamboyantes. C'était un moment de paix, de calme, hors du temps. Sirius qui n'avait que rarement connu de tels instants, se sentit bouleversé par l'atmosphère paisible.
Winky leurs avait préparée un festin, un mole poblano, qui est le plat national au Mexique, le mole de Puebla est un ragoût de poulet parfumé aux épices et au chocolat, expliqua-t-elle.
- Winky depuis que nous sommes arrivés nous goûtons les merveilles culinaires du Mexique et cela semble te plaire, dit avec étonnement Harry.
- Oui maître Winky veut vous faire découvrir les spécialités du pays, Winky adore faire la cuisine.
- Et bien, je te félicite Winky, c'est délicieux, dit Sévérus en se léchant les doigts, avec une telle sensualité, que le souffle de Harry resta bloqué dans sa poitrine.
Sirius resta bloqué devant le geste de Sévérus, quoi ce mec là c'était la chauve-souris du cachot ? Le serpendard sarcastique et méchant ? Celui qui faisait froid dans le dos ? La terreur des cachots ? Là Sirius, se dit qu'il était peut être bien dans une dimension parallèle, il fit une telle tête que Harry qui l'observait lui fit une proposition.
- Sirius, tu n'es pas encore remis de ton passage derrière le voile, que penses tu de prolonger ton séjour ici ? Nous rentrons avec Sévérus à la fin de la semaine, proposa Harry.
- Ce ne serait pas de refus cela me permettrais de me remettre en forme, et c'est une île de rêve, dit Sirius pensif, quels sont tes projets Harry ?
- Tu te rappelle tu m'avais laissé un médaillon pour aller au sanctuaire, j'avais l'intention d'avancer notre voyage, pour que nous partions plus tôt, d'ici une dizaine de jours, qu'en penses tu Sévérus ?
- Cela me convient, en plus maintenant je n'ai plus de comptes à rendre au seigneur des ténèbres, dit Sévérus en agitant fièrement le bras, pour montrer qu'il n'avait plus de tatouages.
- Non ? J'hallucine, comment as-tu fait ? Demanda Sirius choqué, c'est clair, jamais l'ancien Servilus n'aurait fait un geste aussi….gamin ? Le batard graisseux faisait de l'humour ? et bien placé en plus….Merlin.
- C'est Harry qui a réussit ce petit miracle, le dieu serpent lui a donné un dons pour pouvoir maîtriser tous les sortilèges de magie fourchelangue, et celui-ci en fait partie, dit fièrement Sévérus.
Et Sirius décida qu'il n'était pas assez en forme pour gérer ce Sévérus.
- Harry c'est un sacré don que tu as la, pour en revenir au médaillon je veux venir avec vous, je vous rejoindrais le jour du départ, ainsi je serais en forme, et Harry je ne veux plus te lâcher, dit Sirius sur un ton catégorique.
Sirius bailla, et décida d'aller se coucher, il ne tenait plus sur ses jambes, c'était beaucoup d'efforts pour lui, aujourd'hui. Il leur souhaita bonne nuit, et partit vers sa chambre.
Sévérus et Harry rentrèrent dans leur chambre, Harry envoya un sort de silence sur la porte, Sévérus haussa un sourcil.
Harry demanda à Sévérus de se déshabiller, de s'installer sur le lit, en lui disant qu'il avait envie de jouer. Sévérus se lécha les lèvres d'anticipation, le programme lui convenait parfaitement. Harry invoqua une musique de jazz, très sensuelle en sourdine, baissa l'intensité de l'éclairage. Et se positionna dos à Sévérus.
Le strip-tease allait commencer, Harry se laissa envahir par la musique et se déhancha très sensuellement, suivant le rythme. Sévérus qui avait compris, le jeu auquel Harry voulait jouer sentit son cœur faire une accélération.
Harry suivant le rythme de la mélodie commença à soulever délicatement son tee-shirt, tout en se caressant, puis il passa le tee-shirt au dessus de la tête, qu'il fit tourner avant de le jeter négligemment. Il tourna alors la tête jetant un regard, qui enflamma son époux.
Sévérus à présent haletait doucement, le sexe dure, ne pouvant détacher son regard du fessier si tentant, ni du dos ou le serpent du tatouage exercé lui aussi une danse lascive et très suggestive autour de l'épée.
Harry fit rouler les muscles de son dos, le serpent se déplaça vers les fesses, ondulant dessus. Puis Harry courba le buste, et se pencha en avant pour faire ressortir son fessier, qu'il fit rouler longuement, puis il se déhancha, pour faire descendre son pantalon. Sévérus à ce stade n'en pouvait déjà plus, et inconsciemment commença à caresser sa verge, en dévorant des yeux le danseur devant lui.
Harry se tourna, ondula sensuellement, tout en se léchant les lèvres de manières gourmandes. Il passa les mains sur son corps, se caressant de façon sensuelle, imaginant les mains de Sévérus le parcourrant, ce qui le fit gémir de plaisir, il baissa lentement son caleçon, puis d'un coup de pied l'envoya plus loin.
Quand il fut nu devant Sévérus, il prit sa verge entre ses mains et entreprit de se masturber lentement d'une main, alors qu'il suçait son doigt de l'autre. Il écarta bien les jambes, en une invite silencieuse. Sévérus était complètement fasciné par le spectacle brûlant que lui présentait Harry, il n'en pouvait déjà plus.
-Je t'en prie Harry, viens, je ne tiens plus, viens, supplia Sévérus.
Harry avança d'une démarche chaloupé jusqu'au lit ou il grimpa en rampant. Il grimpa sur un Sévérus haletant et l'embrassa, ravageant sa bouche, cherchant sa langue, ses mains plongés dans se cheveux, son corps ondulant sur lui, Sévérus lui caressait passionnément le dos, les fesses.
- Sévérus laisse moi te prendre ce soir, j'ai envie d'être en toi, dit Harry en redressant la tête.
Sévérus lui lança un regard grave, puis approuva d'un mouvement de tête.
Il lui saisit les mains immobilisant les poignets au dessus de la tête, puis d'un sort informulé l'attacha au montant du lit. Il se pencha et l'embrassa langoureusement, enroulant de sa langue, sa compagne qui répondait avec passion à tous ses mouvements, Harry descendit sur le corps de son amant et n'épargna pas une parcelle de peau. Il prit possession de tout le corps de son amour, se délectant de la douceur de la peau, de sa souplesse, le léchant, le mordillant, l'aspirant. Caressant les fines cicatrices qui marbraient son corps, les baisants. Il finit par la zone, qu'il avait évitée malgré les gémissements et prit entre ses lèvres le sexe dressé, d'où une perle de désir suintait. Il le suça doucement avec tendresse et passion, montant et descendant, léchant les testicules, puis descendant jusqu'à l'anus qu'il lécha avant de forcer le passage du bout de la langue, entrant et sortant, Sévérus criait de plaisir.
L'une des mains de Harry malaxait les bourses, et l'autre masturbait la verge. Sévérus avait les jambes écartés au maximum, prenant appui sur ses talons pour donner des coups de hanche, il ne cessait de gémir, et poussait des petits cris.
Harry remplaça sa langue par son doigt, repositionnant sa bouche sur la verge qu'il s'appliqua à lécher sur toute la longueur.
- Harry prend moi maintenant, dit Sévérus perdu entre ses gémissements.
Harry d'un mouvement du poignet libéra Sévérus de ses entraves, il lui fit signe de se retourner et de se mettre à quatre pattes.
Harry se positionna et après avoir lancé un sortilège de lubrification, poussa doucement sur l'entré qui se dilatait sous son passage. Harry saisit les hanches, et attendit que son mari lui donne le signal pour entamer son mouvement. Harry se mordait la lèvre pour contenir son désir, Sévérus se détendit, et donna un petit coup de reins. Harry commença alors à aller et venir dans des mouvements amples et réguliers, pendant qu'il continuait son mouvement, l'une de ses mains, qu'il avait lubrifiée saisit la virilité et entama un mouvement lent et sensuel. Harry se redressa un peu et changea l'angle de son entrée, il cogna alors directement dans la prostate, et Sévérus poussa des rugissements de plaisirs a chaque coup qu'il lui portait. Sévérus n'avait jamais sentit des sensations si extrêmes, il se sentait remplis, par l'homme qu'il désirait le plus au monde, son corps était en feu, la stimulation sur sa prostate lui envoyait des décharges de plaisirs dans tous le corps, et sa respiration se fit laborieuse.
- C'est si bon en toi Sévérus dit Harry dans un gémissement.
- Oui, plus vite Harry, oui.
Harry accéléra, et lorsqu'il sentit Sévérus exploser de jouissance, dans un long cri rauque, sa verge fut resserré si fort qu'il jouie à son tour dans un long cri de délivrance.
Ils s'écroulèrent sur le lit, suant et la respiration hachée, Harry sortit du corps de Sévérus et lança le sort de nettoyage.
Sévérus resta sur le ventre, la respiration haletante, Harry s'allongea sur le coté contre lui, il dégagea une mèche de cheveux de son visage humide de transpiration, pourquoi Sévérus ne réagissait il pas ? Avait il été trop brutale ?
- Sévérus ça va ? demanda Harry inquiet
- Par Merlin Harry, oui, c'était si intense, c'était ma première fois, et tu m'as fait ressentir des émotions très fortes…
Sévérus se retourna, prit Harry dans ses bras, l'embrassant, lui murmurant des mots d'amour avec fièvre. Les deux sorciers s'endormirent dans les bras l'un de l'autre avec un profond sentiment de plénitude.
Le reste de la semaine se passa dans d'excellentes conditions, Sirius s'habituant peu à peu à voir Harry et Sévérus échanger des gestes tendres. A la fin de la semaine, il n'avait plus aucun doute sur l'amour qui les unissait.
Les journées se passèrent en farniente au bord de la mer, et à savourer les délicieux repas de Winky.
Sirius n'aimait pas évoquer son séjour derrière le voile, donc ils évitèrent le sujet. Harry lui parla longuement de ses projets, et l'esprit maraudeur de Sirius eu vite fait de trouver quelques aménagements, afin de peaufiner la vengeance. Le cas de Remus, fut évoqué, et Sirius décida de s'occuper de son cas, avec Harry, ensemble.
Sévérus pu durant cette semaine, expérimenter de nouvelles potions grâce à son précieux livre. Il découvrit le luxe d'une vie loin du stress, appréciant les moments d'intimité avec son époux et découvrant l'homme bourré de qualités qu'il était. Cela, ne le fit que l'aimer d'avantage. Leur histoire avait démarré très vite, mais Harry avait eu raison de vouloir venir sur l'île, cette semaine avait été bénéfique pour leur couple, leur apportant un équilibre salutaire pour l'avenir, et renforçant leur amour.
Harry était tout simplement heureux, savourant à chaque instant le cadre exceptionnelle dans lequel ils étaient. Découvrant pour la première fois, les joies d'une qualité de vie, qu'il n'avait jamais connue. Il redécouvrait Sévérus, son humour fin, sa grande intelligence, leurs nuits de passion le laissant toujours émerveillé, devant la puissance de leur amour. Et il y avait Sirius, qu'il avait retrouvé, de le voir manger, bouger, lui parler, respirer, étaient des petits miracles constant dont il ne cessait de s'émerveiller, il avait retrouvé son parrain et il remerciait Merlin, du bonheur que cela lui apportait chaque jours.
Un matin Harry eu la surprise de découvrir Sévérus et Sirius dans le jacuzzi, ils avaient voulu s'expliquer sur leurs nombreuses querelles, et leurs ressentis. La discussion n'avait pas été facile, ni agréable. Mais Sévérus avait pu se rendre compte que les épreuves subites par Sirius lui avaient apporté une maturité qui lui avait longtemps manqué. Sirius était surtout inquiet de la relation du couple, et gentiment Sévérus avait accepté de lui expliquer l'amour qu'il ressentait pour Harry, des doutes qu'il avait eu, mais que la fougue de Harry avait balayé.
Sirius avait découvert, l'intelligence de Sévérus, et l'homme qu'il était, ce fut a ce moment là qu'un profond respect naquis en lui, scellant leur nouvelle amitié.
Harry les rejoignit, et les trois sorciers discutèrent sur un ton plus détendu et apaisé, un grand pas venait d'être franchit.
Le jour du départ arriva. Le retour à la réalité avec son cortège de problèmes ne tentait pas trop Harry, mais Sévérus lui rappela ses responsabilités, et qu'ils avaient encore beaucoup de choses à faire, finalement la perspective de retrouver ses amis, rendit le sourire à Harry.
Harry laissa Apophis et Lampro, qui avaient préféré restez sur l'île, surtout qu'une portée de petites étaient en cours. Winky mettrait un peu d'ordre avant de rentrer.
Sirius n'avait quant à lui, pas très envie de rester seul, et sur un coup de tête, décida de rentrer avec eux, sous un charme de glamour, il se nommerait Cygnus Mallory.
POV Dumbledore
Albus, venait de recevoir la démission des jumeaux Weasley. Il était bien décidé à avoir le fin mot de cette histoire, et se rendit donc au terrier. Il y trouva une Molly débordée entouré de cartons, et de valises.
- Molly, mais que se passe-t-il ici ? Demanda Albus, assez effrayé.
- Oh Albus, et bien vous le voyez, je déménage. La maison est vendu, j'ai jusqu'à ce soir minuit. Arthur a tout découvert, j'ai reçu hier une lettre officielle m'informant que j'étais divorcée, sans aucun recours. Après plus de vingt-cinq ans de mariage, pfiuuut, plus rien, pas de reconnaissance pour tout le travail que j'ai fait à la maison, pour toutes ces années d'esclavage, pour les enfants que je lui ai donné. Non, monsieur Arthur Weasley, me laisse juste la vente de la maison, et ce que je peux emporter, mais je vais en prendre le maximum, qu'il croit pas qu'il va s'en sortir comme ça…Et mon compte ou j'avais économisé l'argent de mes missions va être donner à une œuvre de charité….Non mais, c'est mon travail, comme si on était assez riche, pour donner de l'argent, grognait Molly la tête plongé dans les cartons, continuant son tri.
Albus se laissa tomber sur une chaise, assommé par la nouvelle. Arthur savait tout ! Merlin.
- Et pour Percy, Ron et Ginny ? Demanda Albus
-Pour Percy et Ron c'est terrible, ils sont reniés et déshérités, que vont-ils devenir les pauvres chéris…Ginny s'en tire mieux, elle va se marier avec Vincent Crabbe, elle est chez la tante Muriel, mais au moins elle n'est pas renié, se lamenta Molly en faisant léviter une série d'assiettes vers un carton.
Albus eu du mal à encaisser cette série de révélations, il avait le visage pâle, des sueurs froides coulaient dans son dos. Cela expliquait la démission d'Arthur et des jumeaux, il avait enfin la réponse, et Bill et Charlie allaient suivre à n'en pas douter. Soudain il se redressa il n'était pas le plus puissant sorcier du monde magique pour rien, il fallait redresser la situation.
- Molly, tout cela est bien regrettable, je suis de tout cœur avec vous, je dois juste modifier mes plans, déclara Albus d'un ton ferme.
- Et bien Albus vous verrez avec les enfants, Arthur m'a menacé que si je continuais dans mes projets, ce serait à la justice que j'aurais à faire, alors….dit Molly hésitante.
- Bien sur Molly mais cela n'empêche pas de continuer la lutte contre Voldemort…ou allez vous aller ? Dit Albus.
- J'ai trouvé un appartement dans le Londres moldus, Ron va venir habiter avec moi, et il va falloir que je trouve un travail, ajouta Molly avec découragement.
- Je vais réfléchir à tout cela, j'ai besoin de vous et des enfants dans l'ordre, donnez moi vos coordonnées, je vous contacterais, rien n'est perdu, ils ne voient pas que j'agis pour le plus grand bien ? Ma cause…. l'avenir du monde sorcier repose entre mes mains, répondit Albus.
Molly le contempla avec une lueur d'espoir dans les yeux, Albus la quitta et transplana à Poudelard, et partit vers son bureau, il fallait qu'il revoie ses plans.
Une chose était sur, il devait maintenir l'isolement de Harry, et demander aux Dursley, de le garder enfermer, cela ne poserais pas de problèmes. Il enverrait un hibou à Pétunia.
Et ainsi Harry ne serait pas au courrant des nouvelles, ni par Arthur, ni par les jumeaux. Entre temps il attaquerait en justice la garde en tutelle de Harry. Fudge l'aiderait, il comprenait l'interet de ne pas perdre leur pion. Harry Potter devenait une raison d'état, l'arme de la victoire. Le nouveau lord Black ne ferait pas le poids.
Ron et Percy étaient renié donc libres, surtout Ron, en attisant un peu sa jalousie, il en ferait ce qu'il voudrait.
Si il ne pouvait plus se servir de Ginny, il prendrait Ron ou Rusard, ce dernier ne cracherait pas sur coquette somme d'argent. Des gens bien manipulable, la potion amour toujours était toujours utilisable, peu importe le sexe et l'identité de celui l'utiliserais, aux dépends d'Harry.
Il devait se trouver de nouveaux alliés.
Fin du POV
Harry, Sévérus et Sirius étaient heureux d'être arrivés dans la zone de transit prés du ministère, le retour s'était passé sans problèmes. Les trois sorciers avaient sentirent la différence de température, même si il faisait beau, ils avaient perdus près de quinze degrés Sirius avait juste grimacé en retrouvant les bâtiments gris des rues londoniennes.
Alors qu'ils s'éloignaient du quartier, ils croisèrent Remus, qui lui sortait de l'entrée du ministère. Harry poussa un gros soupire. Bien sur, Remus ne les avait pas manqués.
- Lord Black, quel plaisir de vous rencontrer, puis il jeta un coup d'œil regardant ses compagnons, j'ignorais que vous vous connaissiez avec Sévérus, dit Remus avec suspicion. Il jeta un regard interrogateur sur Sirius.
- Bonjour Remus, je te présente Cygnus Mallory, et oui je connais Lord Black puisqu'il est mon époux dit Sévérus avec ironie.
- Et bien, c'est une surprise…je crois que nous avons beaucoup de choses à discuter, dit Remus d'un ton menaçant.
- Je ne vois pas de quoi nous aurions à discuter, de plus nous revenons de voyage et souhaitons rentrer chez nous, dit sèchement Harry.
- Mais moi je dois avoir un entretien avec vous, insista Remus.
- De quel droit harcelez vous ainsi Seth, interrompit Cygnus avec colère, en faites il était fou de rage.
Remus sembla perdre tous ces repères regardant fixement Cygnus, hébété.
- Ce n'est pas possible vous avez son odeur, sa voie…l'odeur de Sirius jamais je ne l'oublierais, murmura Remus.
Par Merlin, foutu loups-garous, pensa Sévérus, foutu odorat pensa-t-il avec rage, ils n'allaient plus pouvoir s'en débarrasser maintenant.
- Bon rentrons au manoir Malefoy, on ne peut pas discuter en pleine rue, dit avec rage Sévérus.
Les trois sorciers hochèrent la tête et partirent en silence vers l'air de transplanage le plus proche.
Remus ne cessait d'observer Cygnus, ne le lâchant pas du regard, Sirius poussa un gros soupir. En l'entendant Sévérus se retourna vers lui hargneux.
- Tout ça c'est de ta faute clèbard, tu aurais mieux fait de rester là-bas, tu nous aurais évité cette scène.
- Parce que Servilus est si intelligent qu'il savait ce qui allait se passer peut être ? répondit Sirius vexé.
Harry qui avait vu venir à l'échange de répartit sympathique, anticipa la réaction de Remus, il fonça sur lui le ceinturant, la main sur la bouche et lui murmura.
- Tais toi Lunard, ne prononce pas un mot, quand a vous deux fermez la et transplanons de suite, dit Harry.
Harry eu juste le temps d'entendre un petit « Harry » chuchoté par Remus. Bon plus le choix maintenant.
Ils arrivèrent dans le parc du manoir Malefoy, Harry prit la tête du groupe marchant d'un pas furieux.
Draco les accueillit dès leur entré dans le vestibule.
- Salut Seth, et ce voyage? Je vois que vous n'êtes pas rentré seul, dit Draco avec un coup d'œil évaluateur sur les deux autres sorciers, maintenant Remus s'était accroché au bras de Sirius.
- Bonjour Draco, je prends le bureau de ton père, Sévérus je te voie après, je vais régler ça….Venez vous deux dit Seth furieux.
Harry les fit entrer et claqua la porte derrière lui.
- Bon vous croyez savoir quoi Monsieur Lupin ? dit Harry très agacé.
- Oh Harry laisse tomber, il en sait déjà trop, et Sirius enleva le glamour.
Remus resta d'abord tétanisé, puis attrapa Sirius le serrant contre lui en sanglotant. Harry poussa un gros soupire.
Sirius parvint à écarter Remus de lui, il le regardait avec un regard furibond. Remus les regarda a tour de rôle, perdu.
- Bon asseyons nous dit Harry. Les trois sorciers prirent place dans les fauteuils.
- Harry tu portes aussi un glamour ? Je ne reconnais pas ton odeur, demanda Remus.
- Non il ne porte pas de glamour, car il est devenu mon fils, par un rituel d'adoption posthume par le sang, dit avec fierté Sirius.
- Mais tu vas te taire au nom de Merlin ? Tu n'en a pas assez dit ? dit furieusement Harry.
- Quoi ? Qu'est ce que j'ai dit ? Demanda Sirius avec une tête d'ahuris.
- Sirius avec tout le respect que j'ai pour toi, tu n'as pas à livrer mes secrets. Toute mon équipe est liée a moi par un serment inviolable. Je ne supporterais pas tes gamineries, je ne joue pas là. Je suis le chef du groupe, et quand je te dis de te taire, tu te tais, suis-je claire ?
- C'est Sévérus qui t'a monté la tête contre moi, dit Sirius s'un petit ton puéril.
- Réfléchit deux minutes Sirius, contrôle toi, et ne mets riens sur le dos de mon mari je ne l'accepterais pas. Sévérus a raison, tu as tord, il est avec Dumbledore, dit Harry en désignant Remus, je ne peux pas te permettre de nous mettre en péril pour lui, je t'ai expliqué a las noches ce qu'il avait fait.
Sirius vexé et impressionné par l'autorité de Harry, croisa les bras et se renfrogna.
- Mais …mais tu n'as pas confiance en moi ? C'est quoi tout ces secrets ? Et comment Sirius est revenu ? Et pourquoi as-tu fait l'adoption posthume ? demanda Remus complètement perdu.
- Non Remus je n'ai pas confiance en toi, tu n'es pas loyal envers tes amis, cette été tu m'as abandonné, j'ai entendu ce que tu as dit à l'ordre, ton loup ne me supportait plus, alors de quel droit viens tu me demander des comptes ? Quand as-tu été là pour moi ? Tu ne m'as pas soutenu, tu as laissé que l'on m'isole, tu as été aveugle à tout. Je ne te dois rien Remus, et je ne suis plus le petit gosse manipulable que j'étais. Quand a toi Sirius, tu vas me faire maintenant un serment inviolable, ce genre de gaffe ne se reproduira pas, dit Harry.
Sirius avait devant lui le chef de la famille Black, et là, il en prit conscience, il n'avait pas mesuré les enjeux, et Harry avait raison ce n'était plus le gamin influençable et manipulable qu'il avait été, il avait en face de lui un homme.
- « Moi Sirius Orion Black jure sur ma magie de garder les secrets de Lord Seth Orion Black Potter et de l'aider, et le soutenir dans tous ses projets »
« J'accepte » Harry rangea sa baguette un peu apaisé, il tourna son regard vers Remus qui frémit.
- Harry pardonne moi, Fenrir m'avais dit que j'étais aveugle, mais je suis loyal envers mes amis, je ne me suis pas rendu compte pour toi de ce qui se passait Fenrir m'a dit que c'était grave, par merlin Harry je suis un maraudeur, un ami de ton père, je ne te trahirais pas, pardonne moi. Je suis ton ami, tu es comme mon louveteau. Tu es ma famille, comme Sirius et je vous aime tout les deux. Et Remus s'agenouilla devant Harry en sanglotant. Sirius regarda d'un air suppliant Harry. Il poussa un gros soupire.
- C'est la dernière fois que tu abandonne un ami Remus, suis-je bien clair, le prochain manquement je ne te pardonnerait pas, on soutiens ses amis, on leur fait confiance, est ce compris ? Dit Harry.
- Oui Harry, je te promets, dit Remus en sortant sa baguette « Moi Remus John Lupin jure sur ma magie de garder les secrets de Lord Seth Orion Black Potter et de l'aider, et le soutenir dans tous ses projets »
- « J'accepte » les deux liens s'unirent, puis disparurent.
- Redresse toi maintenant Remus je vais te montrer, Harry partit chercher une pensine, et il y mit ses souvenirs, regarde maintenant Remus.
Remus plongea.
- Sirius prépare toi à le maîtriser à la sortie, je crains l'apparition de son loup, dit Harry.
- D'accord Harry, et pardonne moi, je ne me suis pas rendu compte
- Je ne t'en veux pas Sirius, mais je joue gros, et nous aurions pu tout perdre, dit Harry tristement.
Les deux sorciers restèrent silencieux perdus dans leurs pensés. Lorsque Remus sortit, ses yeux avaient déjà viré au jaune.
D'un mouvement de sa baguette Harry l'entoura de chaînes, Sirius envoya des attaches vers le sol, pour contenir le loup. Harry et Sirius virent apparaître les crocs, la pilosité augmenter, la tête s'allonger, et Remus poussa un cri de rage.
Draco et Sévérus entrèrent en trombe dans la pièce et aidèrent les deux sorciers à remplacer les chaînes qui craquaient sous la force de la musculature du fauve déchaîner
- Parrain, parrain, là c'est Black, Sirius Black dit Draco affolé
- Je sais Draco, Harry l'a sauvé répondit Sévérus lançant toujours sort sur sorts pour contenir le loup.
Il fallut une bonne demi heure pour calmer le loup, lorsqu'il reprit son apparence humaine, tous furent soulage. Harry alla récupérer ses souvenirs dans la pensine, qui heureusement ne s'était pas renversé. Sévérus lui fit un clin d'œil.
- J'avais jeté dessus une barrière de protection, dit Sévérus.
Harry lui fit un petit sourire reconnaissant. ils leurs fit signe de sortir, et se tourna vers Sirius.
- Je te laisse t'occuper de lui, vous avez des choses à vous dire, il me semble.
Sirius hocha la tête.
Désolé de ne pas laisser plus de réponses, mais je me suis concentrée sur l'histoire, 18 chapitre en 10 jours, c'est du boulot. J'adore les reviews cela m'encourage, et me permets de faire certaines modifs.
Le Mexique m'a permis de mettre une touche d'exotisme dans l'histoire, et j'avais dans l'idée de faire revenir Sirius avec les légendes de ce pays, et cela devait être crédible.
Pour les changements de point de vue cela me permet de montrer que les évènements se passe en même temps. Et comme je ne sais pas comment le prochain chapitre va etre fait, cela me permets de me resituer dans l'histoire. J'ai une idée de la trame général après c'est l'inspiration du moment.
Merci a Kamyu j'ai adoré ta rewiew, j'ai accepté les reviews anonymes, et yess je suis bien une fille. Je m'éclate a mettre en valeur harry, on le voit trop souvent à la traine et exploité, je me suis dit si j'avais été dans cette situation avec cette enfance je serai comment ? et bien j'aurais été obligé d'être rusé et secret, méfiant, pour m'en sortir, révolté , avec les dursley il avait pas le choix. J'essaye de ne pas trop exploser Harry avec une multitudes de pouvoirs, de dons, donc j'essaye d'etre raisonable tout en le rendant exceptionnel.
Pour les autre couples c'est un gros casse tête….
Merci a tous pour vos messages, j'adore. Bizzzzzzzzzzzzzzzz
CHAPITRE 20 Remus
POV Remus
Quand Sirius et Remus se retrouvèrent seul. Sirius se tourna lentement vers Remus et lui envoya son poing dans le menton, lui faisant faire un vol planer dans la pièce. Remus s'écrasa contre le mur.
- Comment as-tu osé tourner le dos à Harry ? Comment as-tu osé ? Dit Sirius qui pouvait enfin laisser échapper sa fureur trop longtemps contenue.
- Il ne lui restait que toi, tu étais le dernier du groupe. Que dirait James de la manière dont tu as traité son fils ? Continua Sirius en avançant vers Remus.
- Tu étais content qu'il ne soit pas la à la lecture de mon testament, et tu n'as rien dit d'y voir Ron et Granger? Mais tu es un traître ! Un lâche ! à présent Sirius était au dessus de Remus, le dominant de sa hauteur.
- Et tu te disais souffrir face à un gamin de quinze ans ? Bon sang Remus, Sirius l'attrapa par sa chemise lui renvoyant une droite, qui ouvrit la lèvre de Remus, dis quelque chose hurla-t-il.
- Je suis désolé, j'ai merdé, mais je t'avais perdu et je n'entendais que ma douleur, dit Remus en s'essuyant le sang du coin de la bouche de sa manche.
- Ton loup peut bien piquer sa crise après les horreurs qu'il a vu, mais cela excuse-t-il ton manque de jugement ? Je comptais sur toi…Je suis désolé Remus mais là je ne peux plus te comprendre. Quand j'ai été arrêté, à l'époque, je n'ai eu personne pour me défendre et j'ai été seul à Azkaban, déjà tu n'as pas été là pour moi, dit tristement Sirius
- Mais ils disaient que tu avais trahis les Potter, que tu avais tué Peter…
- Mais comment as-tu pu croire ça de moi ? Hurla-t-il. Tu me connaissais…faut il toujours que tu sois absent quand nous avons des problèmes ? demanda Sirius.
- Ne sois pas injuste. Alors pour ça aussi tu ne m'as pas pardonné ? Comprends, que l'on m'a mentis…..Qu'attends tu de moi Sirius ? Ma vie est déjà si misérable…
- Je ne sais pas Remus, je ne sais pas…je tiens à toi, mais comment accepter…et la prochaine fois que tu abandonneras l'un d'entre nous, que se passera-t-il ?
- Je ferais n'importe quoi pour me racheter, dis moi quoi faire supplia Remus.
- Je vais y réfléchir Remus, je ne veux pas te perdre, mais je suis encore trop en colère contre toi. Harry a accepté ton serment, moi je ne sais pas si j'aurais pu le faire. Si tu décides de rester, quand je serais sortie de cette pièce, et que je te retrouve au repas de ce soir. C'est que tu auras choisit définitivement ton camps et tes amis, et tu arrêteras d'être la marionnette de Dumbledore.
- Marionnette de Dumbledore ?
- Oui, car quand on m'a condamné sans procès, qui était derrière tout ça ? Quand Harry a été prisonnier pendant des années en vu d'être sacrifié, qui a choisit son destin ? A un moment donné Remus il faut faire un vrai choix, et arrêter d'être aveugle.
Sirius sortit sans se retourner, il avait mal d'avoir été di dur avec le doux Remus, mais il le fallait…..il espérait juste le retrouver au repas du soir.
Remus resta longtemps allongé au sol, pensant à ce que Harry, puis Sirius lui avait dit. Et il ne voulait perdre ni l'un, ni l'autre. Son loup était furieux, de s'être fait tromper, d'avoir trahis ses amis et ça son loup ne l'acceptais pas, car le loup est fidèle toute sa vie. Remus se redressa, ne sentant pas sa mâchoire douloureuse. Il avait besoin de réfléchir, il sortit dans le parc.
Fin du POV
Quand Harry descendit pour le dîner, il était calmé, Sévérus y avait veillé, et de façon tout a fait satisfaisante. Il portait l'une de ses nouvelles robes sorcière rouge brodée de dragon de style japonais, Sévérus avait préféré rester en jeans avec un sweet noir.
Quand ils arrivèrent dans la salle à manger, il ne manquait plus qu'eux. Il y avait toute la famille Malefoy, Blaise et Tonio Zabini, Sirius, Remus, et Arthur Weasley. Tous admirèrent le couple, la transformation de Sévérus ne portant plus ses robes noir avec son teint blafard, en surpris plus d'un, ce n'était plus le même homme.
- Hey Harry, je suis content de te voir Sévérus et toi, vous êtes super bronzés cela vous va bien. Toi ça fait ressortir tes yeux et Sévérus, cela le transforme, dit Blaise enthousiaste.
- Merci Blaise, il faudra que vous veniez la prochaine fois, c'est paradisiaque, répondit Harry avec bonne humeur.
- Compte sur nous, et vous nous avez trop manqué, alors c'était comment ? Demanda Draco avec une pointe d'envie.
- Trop court, mais magnifique, nous avons adoré, dit Harry.
- Ah Harry, Elisa m'a dit que le noyau magique d'Hermione était complètement déstabilisé, et c'est définitif, elle va lui donner aussi une potion qui diminuera ses pouvoirs magiques. Elle restera plus forte qu'un cracmol, mais cela ne sera pas brillant. Pour Ron Elisa l'a sous son emprise complète, et cela se passe bien, quand à Percy il est au bord de la crise de nerf. Pour les dossiers compromettant c'est presque finit, je les remettrais prochainement à Lucius, dit Tonio avec un grand sourire.
- Harry ma génitrice à épousé le Ministre, c'est Ororo Fudge maintenant, elle ne vit plus au manoir, je suis libéré d'elle, Blaise était heureux.
Harry portait avec lui un gros sac, qui intrigua tous les convives. Après les salutations de retrouvailles Harry sortis ses cadeaux.
- Nous avons ramené des cadeaux pour vous, je n'ai pu résister, commençons par Narcissa, Harry lui tendit un large paquet.
Narcissa ouvrit le paquet et découvrit un magnifique plaid avec des reflets argent et bleu représentant le calendrier aztèque, elle fut très touché de l'attention et réfléchissait déjà ou le mettre, pour qu'il soit bien mis en valeur.
- Pour Draco, et Blaise, Harry leur tendit deux petits paquets cadeaux, que les deux garçons s'empressèrent d'ouvrir.
Draco avait reçu le pendentif d'un dragon stylisé, Harry lui précisa qu'il avait une protection contre les sorts de feu. Draco était enchanté, il ne cessait de le tourner entre ses doigts, avec un petit sourire aux lèvres
Blaise reçu un médaillon en forme de pyramide avec des motifs dessus, ce sont des runes de protection, a toi de les décrypter, dit Harry avec un clin d'œil. Blaise admira avec fascination les différentes face de la pyramide, et ses motifs qui semblait bouger, il ne décolla plus ses yeux de l'étrange médaillon persuadé qu'il avait un secret.
- Et pour Tonio, il lui tendit un paquet long d'une quinzaine de centimètres, Tonio l'ouvrit avec curiosité, quand il découvrit un poignard magnifique avec une poignée ornementée de tête de mort, et de symboles mayas. La lame était étrange, elle semblait faite de cristal, cela rendit Tonio perplexe.
- C'est le couteau rituel de sacrifice, il absorbe le sang et est indétectable, la lame est plus dure que le fer d'après le marchand, lui expliqua Harry
Tonio était enchanté, il adorait ce genre d'objets.
-Tu sais Harry que j'ai une superbe collection d'armes blanches dans ma maison de Palerme? J'ai rassemblé des curiosités extraordinaires, les lames ont encore tout leurs tranchant, sinon je les aiguise. J'ai même une lame qui servait à couper la gorge des prisonniers au moyen age, et il y a encore des traces de sang dessus, dit Tonio avec un enthousiasme.
Harry ne pu s'empêcher de rire en disant qu'il aimerait bien voir ça. Quand il se retourna, tout le monde les contemplait avec perplexité, et incrédulité, trouvant leurs intérêts pour les couteaux très suspect.
- Fais pas attention a eux Harry, ils n'ont pas le sang de la Calabre (1) qui coule dans les veine. Harry eu un petit sourire.
Lucius s'était rembrunis, semble-t-il, Harry ne lui avait rien ramené, pas qu'il ait besoin de quoi que ce soit, mais un petit quelque chose faisait toujours plaisir.
- Pour vous Arthur, Harry lui tendit un paquet très grand. Arthur le prit avec émotion et découvrit un mixer d'une marque américaine. Harry l'avait pris dans la cuisine de las noches. C'est un objet moldu, avec ça vous le branchez sur l'électricité, il montra la prise. Vous mettez des fruits et du lait, et vous obtenez de succulentes boissons.
- Merci Harry c'est parfait, j'ai un adaptateur qui transforme l'Hélekticité, en énergie magique, donc je vais pouvoir l'essayer, répondit Arthur avec une lueur de joie dans les yeux.
Arthur était très touché de l'attention de Harry, celui-ci lui montra un livre de recette qui accompagnait le robot ménager. Harry se rapprocha de lui.
- Arthur ça va, vous surmonter les derniers événements ?
- C'est un cap a passé Harry….ce n'est pas facile, mais étrangement je me sens mieux, et les jumeaux, Charlie, et Bill, me soutiennent beaucoup. Harry hocha la tête avec compréhension.
- J'ai ramené aussi des cadeaux à Pansy, Théo et Neville, et les jumeaux, reprit Harry avec un grand sourire.
- Wahh génial Harry, ils vont être très content, tu me diras ce que c'est ? demanda Blaise avec un sourire charmeur, qui fit rire Harry.
- Harry tu n'as rien pris pour mon père ? demanda Draco inquiet de voir son père se renfrogner de plus en plus.
- Ah pour Lucius, j'ai quelque chose de spécial….
Harry s'approcha de Lucius, et s'agenouilla devant lui. Lucius lui jeta un regard surpris.
- Lucius relevez la manche de votre chemise, oui là, où il y a la marque.
Lucius releva avec réticence sa manche, exposant la marque des ténèbres.
Harry attrapa le poignet pour le maintenir, et de son autre main il toucha la marque, se concentrant comme il l'avait fait pour Sévérus rentrant dans le lien, capturant son essence.
Et tous autour de la table sursautèrent quand il commença à parler en fourchelangue. Ils le regardèrent avec angoisse
Lucius sentit une brûlure profonde, puis la douleur s'effaça, faisant disparaître avec elle la marque. Harry se redressa très satisfait.
Lucius resta immobile, devint livide, et contempla son bras intacte, vierge de toute marques d'infamie. Symbolisant une liberté retrouvé, son honneur lavé, et il eu les larmes aux yeux devant ce miracle.
Draco qui était assis à la droite de son père laissa éclater sa joie, le serrant dans ses bras, celui-ci ne réagissait toujours pas. Draco caressait le bras de Lucius pour s'assurer qu'il ne rêvait pas.
Draco se tourna vers Harry et le serra contre lui pour le remercier dans un grand éclat de rire, Draco était euphorique, il savait ce que cette marque avait coûté à son père.
Narcissa était également émus, et ressentit un grand soulagement, son mari n'était plus lié à ce monstre. Tous autour de la table souriaient.
Lucius se leva, impassible, et se tourna vers Harry, Draco s'écarta.
- Harry merci pour ça, dit il en montrant son bras, cela représente beaucoup pour moi. Lucius prit Harry dans ses bras, lui murmura à l'oreille « ça c'est pour le coup de Greyback », Harry le regarda sans le comprendre.
Lucius lui fit un gros baiser très bruyant sur la joue, avant de se rasseoir avec un sourire serpendard très satisfait, Harry ne pu s'empêcher de rire. Devant la mine stupéfaite de tous.
Les sorciers se réinstallèrent à table et Narcissa demanda à un elfe d'apporter du champagne. L'ambiance fut vite festive.
A la fin du repas, au moment du dessert, les conversations légères s'éteignirent. Harry prit la parole.
- Comme vous le voyez tous notre voyage au Mexique a eu des conséquences. J'ai pu ramener Sirius de derrière le voile, ou il avait disparus, pour cela, j'ai effectué un rituel avec le dieu serpent à plumes : Quetzalcóatl.
En échange de la vie de Sirius, j'ai donné une âme, celle que j'avais en moi, celle de Voldemort. Cela a entraîné la destruction de tous les autres Horecrux, contenu dans des objets. Il n'en reste qu'un, le bout d'âme mutilée de Voldemort lui-même. Il est donc mortel à présent. Pour ceux qui ne le savent pas, Sévérus a empoisonné Nagini, son serpent, qui devrait mourir sous peu. Les deux rituels que j'ai faits, ont abîmés le lien entre moi et Voldy, nous pouvons dire qu'il ne va pas être au mieux de sa forme. Des petits rires éclatèrent autour de la table. Au niveau de ses serviteurs, il a perdu Sévérus, Lucius et Greyback. Mais pour l'abattre j'ai besoin de gagner en puissance et de trouver des alliés. C'est pour cela, que je vais partir, avec certains d'entre vous au Sanctuaire, expliqua Harry dans un silence solennel.
- Harry comme je t'en avais parlé, certains veulent quitter le seigneur des ténèbres, je te propose de te les faire rencontrer demain matin, proposa Lucius.
- Qui sont-ils Lucius ? Demanda Sévérus.
-Les deux frères Lestrange, Nott père, Rookwood Augustus, Karkaroff Igor, veulent nous rejoindre, et je suis sur de ce que j'avance. Par contre Rodolphus a une demande à faire, sa femme serait sous les effets d'une potion de loyauté absolue, et il voudrait qu'on la libère, dit Lucius.
- Sévérus peux tu t'en occuper ? Demanda Harry. Sévérus hocha la tête. Remus tu t'occuperas d'informer Greyback des nouvelles, tu iras le retrouver ce soir, et tu lui demanderas de venir ici demain matin afin que je lui enlève la marque.
- Harry, je ne sais pas si c'est une bonne idée que ce soit moi qui y aille, dit d'un ton hésitant Remus.
- Tu es un loup-garou, et je pense que ton « instabilité » de ces derniers temps vient de ton manque d'éducation en tant que loup. Cette mission te sera bénéfique, tu vas apprendre les bases que ton loup devrait connaitre, cela te donnera un équilibre dont tu as besoin, affirma Harry.
Remus avait du mal à accepter, ce qu'il s'était toujours refusé à faire, mais vu le résultat catastrophique de ses dernières décisions, il ne pu que donner son accord avec amertume.
- Qui va t'accompagner au sanctuaire Harry ? Demanda Draco.
- Sévérus bien sur, et j'avais pensé le proposer à : Blaise, Draco et Sirius. Si vous êtes d'accord.
Tous les trois acceptèrent avec enthousiasme.
- Harry que penses tu de faire venir Pansy, Théo et Neville aussi ? Demanda Draco.
- J'ai peur que nous soyons trop nombreux, mais nous pouvons essayer…nous leurs proposeront, fait les venir demain Draco, dit Harry.
- Les articles du Prophète se succèdent levant la fureur du monde sorcier, l'opinion publique se retourne. Je vais commencer par sortir le dossier sur Ombrage, Percy est mal partit une série d'articles l'a ridiculisés ces derniers temps, et Fudge le met un peu à l'écart, l'informa Lucius.
Sirius avait beaucoup écouté les conversations, il ne s'était pas rendu compte de l'ampleur de ce que Harry avait lancé. Il était devenu vraiment le chef de la famille Black. Et il était impressionnant. Sirius jeta un coup d'œil à Remus, il avait été content de le voir apparaître au repas. Mais Remus semblait vivre très mal les événements, et la décision qu'il aille rencontrer Greyback n'avait pas l'air de lui plaire. Remus avait toujours fuit ses congénères, et Sirius était d'accord avec Harry. Il fallait être ferme avec Remus, cela lui ferait certainement du bien.
- Alors cousin ? Heureux d'être de retour parmi les vivants ? Il a changé n'est ce pas ? dit Narcissa en désignant Harry.
- Oui, tu as raison cousine…je suis content de te revoir, dit Sirius.
- Moi aussi Siri…tout cela c'est le miracle Seth, et c'est un peu à toi qu'on le doit…répondit Narcissa. Les deux cousins regardaient les échanges et la bonne humeur qui régnait, oui quelque chose de magique était en train de se passer, ce jeune sorcier réussissait a rassembler autour de lui des gens que tout opposaient, balayant leurs rancunes. C'était son plus grand pouvoir.
La soirée se termina peu a près et chacun prit congés. Sévérus entoura les épaules de Harry et ils se dirigèrent enlacés vers leur chambre.
- Tu dors ici Sirius, un elfe va te conduire à ta chambre, lui dit Narcissa.
-Oui merci… tu sais, je vais avoir du mal à m'y faire, dit Sirius en contemplant le couple que formait Harry et Sévérus.
- Ton tour viendra cousin, et cela te posera moins de problèmes, dit Narcissa dans un rire.
POV Remus
C'est avec beaucoup de mauvaise volonté que Remus transplana près du village de la meute de Greyback.
Les gardes chargés de la surveillance du village l'escortèrent jusqu'à la maison du chef, et l'annoncèrent à Fenrir.
Fenrir se retourna et regarda avec curiosité Remus, il portait juste un pantalon, laissant son large torse couvert de cicatrices découvert.
- Et bien que me vaut le plaisir de ta présence ici Lupin ? Demanda Fenrir avec un sourire menaçant. Remus ne s'y trompa pas, il était devant un Alpha.
- J'ai découvert pour Harry, et j'ai fait le serment, il demande à ce que tu viennes demain matin pour qu'il t'enlève la marque sombre, répondit Remus les yeux baissés.
- Je ne m'étais pas trompé…je n'aurais plus cette saleté qui me brûle depuis que le vieux serpent a apprit que je l'abandonnais, c'est très bien. Mais si Seth t'a envoyé en messager, tel que je le connais, ce n'est pas innocent. Alors dis moi la vérité Lupin pourquoi es tu ici ?
- Harry veut que j'apprenne les règles des loups, il dit que j'en ai besoin pour mon équilibre, dit Remus avec répugnance.
Fenrir sentit exploser en lui milles sensations, il tenait enfin le loup solitaire….C'était jouissif, depuis le temps qu'il désirait le ramener dans la meute…rien que pour ça Fenrir ce serait engagé avec Seth. Il dévora des yeux avec convoitise un Remus qui se prit une bouffé de testostérone en pleine face.
- Tu habiteras ici Remus, je commencerais ton éducation demain, lui dit Fenrir.
Le piège s'était refermé. Remus avait compris que finalement Harry et Sirius avaient trouvé un moyen de lui faire payer l'addition.
Fin du POV
(1) La calabre : est une région d'Italie située à l'extrême sud-ouest de la péninsule, région réputée mafieuse.
Merci pour tous vos messages, je suis heureuse que cela vous plaise, et bienvenu aux anonymes désolé pour vous je ne savais pas que je devais cocher cette grrr de cases pour que vous puissiez poster, c'est ma 1 er fic alors je cerne encore la bête…
J'ai trouvé deux nouveaux couples remus et fenrir et le deuxième dans le prochain chapitre, et je vais vous surprendre Waw a wa
Fallait pas vous affoler pour Remus j'avais prévu mieux que ça….il va en baver avec Fenrir.
CHAPITRE 21 Découverte
Harry et Sévérus avaient passé une excellente nuit, la lune de miel continuait pour leur plus grande joie. Sévérus s'était levé tôt pour préparer la potion pour Bellatrix. Grâce a son livre maya, Sévérus avait la potion qui lui fallait, elle était lié à la magie serpent, et permettait de restaurer l'unité dans un sorcier, après quelques manipulations complexes d'une autre potion éliminant les effet longue durée de potion absorbé, et une autre de renforcement de la volonté, Sévérus réussit à obtenir la potion qui combattrait ce que celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom avait fait prendre à Bellatrix.
Harry rejoignit Lucius dans son bureau, les futur ex-mangemorts ne devraient plus tarder. Ils s'installèrent dans le canapé et burent un café en attendant. Un elfe vint annoncer des visiteurs, et Lucius lui demanda de les faire entrer.
Nott, Rodolphus etRabastanLestrange, Karkaroff Igor, Rookwood Augustus, entrèrent les deux sorciers se levèrent. Lucius fit les présentations, Harry n'en montra rien, mais au fond de lui il était mal à l'aise face a ces anciens ennemis.
- Comme je vous en ai parlé Lord Seth Orion Black a les moyens de nous débarrasser de notre maître, commença Lucius.
- Je veux rompre mes liens avec ce serpent, mais prouve moi que ce jeune sorcier et bien ce qu'il prétend, dit Igor avec un profond accent slave.
Lucius, releva la manche de sa robe de sorcier, et leurs montra l'absence de marques. D'abords stupéfaits les réactions explosèrent d'enthousiasme et un sentiment de soulagement apparut parmi les hommes.
- Je veux que l'on me l'enlève de suite, exigea Igor, je ne la supporte plus, Lucius dit moi ce que je dois faire.
- Je demande un serment inviolable, Lucius vous a expliquer mes objectifs balayer Voldemort, Dumbledore et le Ministère, si vous êtes prêt à me suivre, j'accéderais à votre demande, dit Seth d'un ton catégorique.
Rodolphus étudiait le jeune sorcier depuis qu'il était entré, il sentait sa puissance, et si il avait le pouvoir de faire disparaître la marque, alors pourquoi pas ? Mais il y avait un autre point à régler.
- Pour ma femme pouvez vous la libérer ? Vous devez comprendre, que je l'aime énormément, à l'époque de la première guerre nous nous sommes engagés avec passion dans cette aventure, souhaitant sauver tous les sangs purs. Nous croyons fermement à cette époque dans l'idéal du Seigneur des ténèbres. Mais les choses ont vite dégénérées, et il y a eu ce qui s'est passé avec les Londubats. Après ça Bellatrix, n'était plus convaincu de la justesse de nos choix, elle venait de détruire des sorciers de sangs purs, et elle a remis en question son allégeance envers le maître. Mais Bellatrix est très mauvaise en occlumentie, et le seigneur noir a tout lu en elle. Il n'avait à l'époque pas assez de partisans, et ne voulait pas perdre les Lestrange, Régulus Black, et les Malefoy, si il la tuait. Alors il lui a fait prendre cette potion de loyauté absolue. Ainsi il gagnait sur tous les tableaux. Mais moi j'ai perdu ma femme ce jour là. Elle est devenue folle, vouant une dévotion sans borne au maître, commettant les pires atrocités en son nom, elle était devenus son esclave. Seulement moi, j'ai découvert ce qui s'était passé, mais je n'ai jamais trouvé la potion pour lui rendre sa lucidité. Alors, je suis resté auprès d'elle, car je l'aime toujours, mais il y a longtemps qu'elle ne me voit plus. Alors si vous pouvez la sauver je m'engagerais auprès de vous.
Harry poussa un grand soupir, cela n'allait pas être simple.
- Pour la potion Sévérus pourra la faire, dit Seth.
- Quoi Sévérus Snape vous a rejoint ? Alors vous ne nous dites pas tout, et je vois bien que la demande de mon frère vous gène, dit Rastaban.
- La potion n'est pas un problème, en ce moment Sévérus travaille dessus…. En tant que chef de la famille Black, réintégrer votre branche est l'un de mes objectifs, seulement j'ai des alliés a qui cela va poser problèmes dit Seth avec honnêteté.
- Alors nous trouverons des solutions, si Sévérus à la potion, insista Rodolphus.
Lucius partit chercher Sévérus. Pendant ce temps chacun s'observait, à ce moment Sirius Black entra dans le bureau. Aussitôt les cinq mangemorts se levèrent la baguette sortit, prêt à attaquer. Harry se jeta devant Sirius, qui comprenait qu'il venait de faire une erreur en entrant dans le bureau.
- Stop, calmez vous, il est avec moi, on se calme, dit Harry avec précipitation. Rookwood s'avança, les autres baissèrent leurs baguettes, mais ne les rangèrent pas.
- C'est Sirius Black…il est sensé être mort…que se passe-t-il ici ? Demanda Augustus. Les quatre autres sorciers les dévisageaient avec curiosité et perplexité.
- C'est Bella qui l'a tué au département du mystère, dit Igor.
- Oui, c'est Sirius Black, je l'ai ramené de derrière le voile, dit Harry.
Il y eu des hoquets de surprise, puis un long silence. Sévérus et Lucius arrivèrent à ce moment et évaluèrent tout de suite la situation en se rembrunissant, et en jetant des coup d'œil furibond à Sirius. Celui-ci ne savait plus ou se mettre, il allait encore s'en prendre une par Harry, Merlin.
- Bon on se calme tous, on s'assoit et on discute. Lucius fait apporter une bouteille de whisky. Sirius tu l'ouvres je te tue personnellement. Assis tout le monde, ordonna Seth.
Les mangemorts dissimulèrent plus ou moins discrètement de petits sourires, la situation finalement les amusait. Tous se réinstallèrent, chacun prit son verre et bu une gorgés, montrant un début de confiance.
- Sévérus as-tu réussit la potion ? Demanda Seth.
- Oui et elle est réussit, répondit Sévérus avec orgueil devant son génie pour les potions.
- Merci Sévérus tu as encore réussit un exploit qui prouve bien que tu es le meilleur, répondit Seth. Sévérus lança un regard défiant à tous.
Les mangemorts commençaient à s'amuser de la situation, par ailleurs Sévérus avait perdu son teint blafard, il semblait différent, ce qui les intrigua.
- Dans ce cas, quels autres alliés pourraient poser problèmes ? Demanda Rastaban.
- Neville et Augusta Londubat, répondit succinctement Harry
Plusieurs mangemorts reprirent leur respiration, Seth black avait rallié le dragon, alors ça…c'était incroyable. Greyback choisit ce moment pour entrer, il resta sur le pas de la porte les observants, les mangemorts commencèrent à se sentir nerveux. Que faisait Greyback ici ?
- Fenrir bonjour, Remus t'a donner le message je vois…dit Seth se levant la main tendu pour l'accueillir. Soulagé de l'interruption de Greyback.
- Bonjour Seth, oui je vais m'occuper de Lupin, je te remercie du cadeau, et Fenrir éclata d'un rire gras, je suis venu pour que tu me libères de cette cochonnerie, dit Fenrir en lui montrant son bras, le vieux serpent m'envoie des mini doloris par la marque, Fenrir grogna. Et tous sursautèrent.
- Viens t'asseoir Fenrir je te fais ça de suite, et Harry tira le grand loup vers le canapé, ou les trois mangemorts étaient installés. Ils se serrèrent les uns contre les autres pour laisser de la place à Fenrir.
Harry s'agenouilla devant lui. Il posa sa main sur la marque, se concentrant pour ne voir qu'elle, elle était active en ce moment même, il pouvait sentir l'envoie de magie, il coupa les fils de liaison, puis la détruisit. Harry ne s'était pas rendu compte qu'il avait encore parlé en fourchelangue, déclenchant une peur certaine, mais aussi une grande interrogation parmi les mangemorts. Quand Harry rouvrit les yeux, la marque avait disparu. Fenrir poussa un rugissement sauvage et serra Harry dans ses bras.
- Ah mon louveteau je t'adore, tu réalise tous mes rêves, et Fenrir frotta sa grosse tête dans le cou de Harry, se gorgeant de son odeur tout en sachant qu'il provoquait Sévérus.
Sévérus serra fermement les dents, atrocement jaloux. Les mangemorts ne savaient plus quoi penser, complètement perdu, le terrible loups garou sanguinaire… faisait un câlin ? Fenrir prit rapidement congé disant qu'il y avait un loup solitaire qui l'attendait
- Je vois que vous êtes plein de surprises Lord Black, donc Fenrir, Lucius, Sévérus, les Londubat sont avec vous, sans compter les maraudeurs….dit Nott admiratif et suspicieux.
- Si vous voulez aller dans ce sens, vous pouvez rajouter certains Weasley, les Zabini et votre fils compléta Seth. Les mangemorts furent très impressionnés, et se jetèrent des regards furtifs.
Nott le regarda pensivement, au bout d'un moment il reprit.
- Vous parler fourchelangue, or seul le maître et Harry Potter parle fourchelangue, de plus vous êtes amis avec les maraudeurs d'après ce que j'ai compris, et vous pouvez prononcer le nom du maître. Mais si vous êtes celui que je crois, pourquoi vouloir abattre Dumbledore ? Demanda Nott franchement surpris.
- C'est pour cela que je demande un serment inviolable, compléta Seth.
- C'est Harry Potter, dit Rodolphus à son frère. En entendant ces mot Augustus et Igor eurent leurs yeux qui s'agrandirent en comprenant les répercutions que cela entraînaient. Nott se leva, et tendit son bras.
- « Moi Alphonse Sr Nott, Chef de la famille Nott jure sur ma magie de garder les secrets de Lord Seth Orion Black Potter et de l'aider, et le soutenir dans tous ses projets »
- « Moi RabastanLestrange, jure sur ma magie de garder les secrets de Lord Seth Orion Black Potter et de l'aider, et le soutenir dans tous ses projets »
- « Moi Rodolphus Lestrange, chef de la famille Lestrange jure sur ma magie de garder les secrets de Lord Seth Orion Black Potter et de l'aider, et le soutenir dans tous ses projets »
- « Moi Karkaroff Igor, chef de la famille Karkaroff, jure sur ma magie de garder les secrets de Lord Seth Orion Black Potter et de l'aider, et le soutenir dans tous ses projets »
- « Moi Rookwood Augustus, chef de la famille Rookwood, jure sur ma magie de garder les secrets de Lord Seth Orion Black Potter et de l'aider, et le soutenir dans tous ses projets »
Harry se leva terriblement ému face aux cinq sorciers, tendit le bras et dit « J'accepte », les six fils argentés s'unirent et disparurent.
Lucius et Sévérus échangèrent un long regard, Harry avait réussit l'impensable, ils ne pouvaient plus perdre, et ils se sourirent.
Sirius avait du mal à avaler sa salive, la respiration lui manquait, c'était impressionnant, Harry avait ralliés les plus dangereux mangemorts à sa cause, c'était tout bonnement historique. Harry se rassit avec un sourire de soulagement, d'un sort informulé il invoqua une pensine, ce qui impressionna tous les ex mangemorts. Harry retira ses souvenirs, ainsi que sa rencontre avec le dieu serpent. Il leur fit un geste et tous plongèrent.
Ils restèrent un long moment silencieux les yeux perdus dans le vague. Puis Lucius redressa la tête, les sortant tous de leurs apathies.
- J'ai eu peur a un moment, mais finalement tout s'et bien passé, dit Lucius dans un murmure.
- Oui, malgré la bourde monumentale de Sirius….enfin, Harry as réussit a redresser la situation dit Sévérus soulagé.
- Mais Harry tu te rends compte ? Tu as rallié les Lestranges se sont des criminelles et Bella tu en fais quoi ? S'écria Sirius.
Sévérus et Lucius soupirèrent de lassitude en même temps.
- Ben quoi ? Dit Sirius énervé.
- Sirius, ne t'énerve pas. Je comprends que tu en veuilles à Bella, moi aussi.
Mais est-ce que tu sais que depuis la première guerre elle est sous l'influence d'une potion de dévotion absolue que lui a donné Voldemort ? Qu'elle ne contrôlait plus ses actes ?
Et oui les Lestranges ont tués, je le sais, mais qui ne l'a pas fait ? Que ce soit pendant la première guerre ou la deuxième, dans un camp comme dans l'autre ? La guerre c'est sale, meurtrier, des gens tues, mais c'est la guerre.
Tu me diras ils ont torturés, mais au moins ils seront moins regardant quand Dumbledore tombera entre mes mains, et ils ne feront pas comme mes faux amis à me mettre en quarantaine pour être sélectionné à la coupe de feu. Car je dois tuer Voldemort…alors quoi je suis aussi un monstre ?
Moi aussi, Sirius je suis a la tête d'une guerre, j'ai en face de moi Dumby, Voldy, et les bouffons du Ministère, ne te fais pas d'illusions, tout ne se réglera pas pacifiquement, et j'ai besoin de soldats. Alors oui je dois aussi faire des concessions.
Je peux t'assurer que ce n'est pas un choix facile mais j'ai choisis de leurs laisser une chance. Quand Bella t'a envoyé derrière le voile, vous vous battiez, ce que je n'ai pas supporté c'est ses provocations, son coté hystérique et heureuse de ce qu'elle avait fait. Mais Sévérus va lui donner la potion et elle redeviendra comme quand elle était jeune avant que toute cette folie ne vous détruise tous.
Tu crois que je ne sais pas que Lucius et Sévérus en ont fait beaucoup aussi ? Je te rappelle que je partageais les visions de Voldemort depuis plus de cinq ans, j'ai vu les raids des mangemorts, j'ai vu ce qu'ils faisaient, je sais donc a qui j'ai a faire. Mais je ne cracherait pas sur mes alliés, amis, et amant, ni maintenant, ni après, car je leur demande de m'aider, de combattre pour moi, alors je serai de leur coté. Je ne changerais pas le monde magique avec de bons sentiments.
Les alliés que je vais chercher au sanctuaire, les loups-garous, ce n'est pas pour faire jolie, mais pour me battre. Je suis un chef de guerre, et j'en ai conscience.
Et ce n'est pas en tuant tout le monde que l'on va s'en sortir, ni en éliminant celui la ou un autre parce que son pedigree ne plait pas on tuera seulement ceux qui nous posent problème. Et je vais m'en arranger avec ma conscience, alors tu me reprocheras d'avoir changé d'être sans cœur, mais je n'ai pas le choix, et ce que je suis devenu, c'est les événements qui m'ont fait tel que je suis, Harry resta tremblant après tout cela.
Ce que Harry n'avait pas remarqué c'est que les mangemorts avaient tout entendus étant sortis au moment ou Sirius prenait la parole. Et pas un dans ce bureau n'était pas émus et touché parce que Harry avait dit.
Sévérus prit Harry par les épaules, et il se réfugia dans ses bras laissant couler ses larmes en silence. Sévérus se tourna vers Sirius, tenant fermement Harry en lui passant une main apaisante dans le cheveux
- Black vas-tu arrêter de le blesser ? Il n'a pas de décisions faciles à prendre. Pour les Londubat on va trouver une solution. Avec mon pouvoir de légimencie, et l'énergie vitale plus le pouvoir d'Harry nous devrions réussir à briser le mur derrière lequel ils se sont réfugiés, dit Sévérus. Ainsi les torts seront réparés, tu es vivant, et si nous sauvons Alicia et Frank, plus personne ne pourra rien dire sur la présence des Lestrange.
- Je suis désolé, dit Sirius réellement embêté.
Lucius était très émus devant ce qu'avait dit Harry, il devait se surveiller il virait poutsouffle ces derniers temps, mais ce gosse disait et faisait des choses extraordinaire.
- Nous avons trouvé un vrai chef, merci de croire en nous et de nous laisser une chance, dit Rodolphus.
Et tout les ex-mangemorts approuvèrent de la tête unie dans cette décision. Ils suivraient Harry.
Quand Harry se fut ressaisit, il débarrassa les ex-mangemorts de leurs marques. Sévérus remis à Rodolphus la potion.
Sirius s'éclipsa discrètement, il avait besoin de réfléchir.
Rodolphus fut le premier a qui Harry enleva la marque, il partit immédiatement pour transplanner et faire prendre la potion a Bellatrix.
Les mangemorts faisaient de petits gestes maladroits afin de réconforter Harry qu en avait encore gros sur le cœur.
Sévérus s'éclipsa afin de préparer une potion pour faciliter la récupération des Londubats, il y avait une recette dans son nouveau livre qui devrait marcher.
Rodolphus revint alors que les ex-mangemorts avaient pris congés, laissant Harry et Lucius seul dans le bureau. Il tenait une Bella tremblante et en pleure dans les bras, qui prenait conscience de ce que Voldemort lui avait fait. Elle prêta le serment inviolable à Harry, qui la laissa voir la pensine. Harry récupéra ses souvenirs, pendant que Rodolphus emmenait Bella voir Narcissa, sur les conseils de Lucius.
Puis Harry et Lucius partirent manger Draco les rejoint, et le repas se déroula tranquillement. Lucius partit au journal, et croisa Sévérus qui revenait avec une potion.
- Harry allons a saint Mangouste maintenant, j'ai une potion qui va nous aider, Draco tu vas chercher Neville, dit Sévérus.
POV Neville
Ils transplanèrent à l'hôpital sorcier, montèrent dans le service où se trouvaient Frank et Alicia.
Les parents de Neville étaient allongés comme des légumes sur leurs lits, et ils étaient dans cet état depuis quatorze ans. Cela faisait vraiment mal au cœur.
Sévérus lança un sort de silence autour d'eux. Il avait deux potions pour chacun, les potions des médicomages ne valaient pas la puissance et la qualité des siennes. Donc Sévérus était optimiste, la première aidait à rétablir les connections entre les neurones du cerveau, et à guérir les lésions qui pourrait exister. La deuxième venait du livre Maya aidait a restaurer l'âme et la conscience.
- Commençons par Frank dit Sévérus, je vais lui donner les deux potions, ensuite entrer par légimencie en lui, toi tu te concentres pour te connecter à mon esprit comme si tu voulais me légimencé. Même si tu n'es pas très doué, il suffit d'un contacte pour que le lien se forme. Puis tu fais comme tu as fait pour la marque sombre, envoyant ton énergie vitale rétablissant l'énergie dans le cerveau. Moi je ne serais que celui qui t'aide a entrer, le support. Après cherche la conscience et ramène là.
- D'accord Sévérus, dit Harry.
A ce moment Draco et Neville haletant arrivèrent, Sévérus leurs expliqua son plan.
- Neville fais moi confiance, je vais te les ramener, dit Harry.
- Je te fais confiance Harry, ramène moi mes parents.
Sévérus mis Frank en position assise, il lui donna les deux potions, prit sa baguette et dit « Légilimence », dés qu'il fut à l'intérieur il ne vit que du noir, mais resta concentré. A son tour Harry dit « Légilimence » sur Sévérus, il avait utilisé sa baguette cette fois. Il se concentra, et il lui sembla remonté un fil doré, qui finissait dans une salle obscure, la il appela a lui l'énergie vitale de Quetzalcóatl, et l'obscurité explosa comme un mur de verre. Il se retrouva dans un château abandonné, Harry se mit à courir cherchant Frank et l'appelant. Il le trouva finalement, un homme recourbé en boule dans le coin d'une chambre.
Harry s'en approcha doucement.
- Frank, n'ayez pas peur, c'est finit, il n'y a plus aucun risque, Harry posa doucement sa main sur l'épaule de l'homme, qui eu un long frisson.
- Frank, je suis Harry Potter le fils de James votre ami, cela fait longtemps que vous êtes la ….il faut sortir maintenant reprit Harry
- Le fils de James ? fit une voie chevrotante.
- Oui, Neville et Augusta vous attende, dit Harry.
- Neville mon fils ? Et ma mère ?
- Oui Neville est près de moi, Frank vous avez reçu un sortilège impardonnable, mais c'était il y a longtemps, il faut revenir Frank, poursuivit Harry. On ne vous fera plus de mal, vous êtes à l'abri.
Frank redressa alors la tête et regarda Harry, puis sembla se redresser.
- Vous ne ressemblez pas à James, dit Frank.
Harry eu un petit rire, se leva et tendit la main à Frank.
- Oui je sais, mais j'ai les yeux de Lily, dit Harry.
Et Franck prit la main et se leva, il sembla désorienté et regarda autour de lui.
- Oui vous avez ses yeux. Où sommes nous ? Demanda Frank.
- Quelque part dans votre tête, personne n'arrivait a vous contacter depuis longtemps, il faut sortir maintenant, cela va aller ? dit Harry avec inquiétude.
- Ca va aller maintenant, répondit Frank
Harry l'aida à faire les premiers pas.
Lui et Frank sortirent du château, aussitôt Harry revint dans la réalité, il fixa le visage de Frank qui ne tarda pas à ouvrir les yeux et à les observer.
- Mais c'est Sévérus Snape, vous vous êtes Harry…mais je ne reconnais pas les autres, dit Frank d'une voie cassé.
-Papa, cria Neville et il se précipita dans ses bras pleurant et l'agrippant, Frank ne semblait rien comprendre.
- Frank on vous expliquera tout plus tard, c'est votre fils que vous tenez dans vos bras et cela fait longtemps qu'il vous attend, dit Sévérus.
- Merci Sévérus, dit Frank, puis il tourna un regard curieux vers l'adolescent qui se serrait contre lui.
Harry recommença la même chose pour Alicia, il la trouva dans une vaste foret sombre, caché dans un arbre creux.
Quand elle émergea, son mari et Neville étaient près d'elle.
Sévérus, Harry et Draco furent très émus par leurs retrouvailles, ils laissèrent à Neville un peu de temps pour apprécier le retour de ses parents.
Neville se croyait en plein rêve, il retrouvait ses parents, grâce à Harry et Sévérus, et cela jamais il ne l'oublierait. Après toutes ces années il pouvait leur parler, et échanger avec eux. Neville était heureux, vraiment pour la première fois de sa vie.
Harry appela Neville, les trois pairs d'yeux des Londubats se tournèrent vers lui. Arrétant leurs messes basses et embrassades.
- Neville, désolé de te déranger, mais nous devons tous partirent, cela pourrait être dangereux. Nous allons aller au manoir de Draco, Monsieur et Madame Londubat on va vous mettre des Glamour et on va vous aider a sortir, vous comprenez ? Dit Harry
- Oui Harry, dit Alicia
- Il faudra que vous nous expliquiez tout, leur dit Frank.
Sévérus envoya les glamours, et aida Frank à se mettre debout et à marcher. Draco et Neville se chargèrent d'Alicia. Harry lanca deux sort pour faire croire qu'ils étaient toujours dans le lit et s'occupa de leur sortie.
Alicia et Frank furent installer dans une chambre, avec Neville qui ne voulait plus les quitter, et qui leurs racontaient tout. Draco partit chercher Augusta, qui arriva peu après en trombe et se précipita vers la chambre d'Alicia et Frank.
Fin du POV
Maître Gordon attendait Harry dans le bureau, un elfe vint lui annoncer dés qu'il revint de Saint Mangouste. Harry demanda à l'elfe d'aller chercher Sirius, il s'inquiétait pour lui depuis qu'il l'avait quitté ce matin.
- Bonjour Maître Gordon, dit Harry en entrant.
- Nous avons plusieurs dossiers a voir…commença Harry
Ils entendirent frapper à la porte, et après le sonore « entrez » de Harry, Sirius pénétra dan la pièce.
- Tu voulais me voir Harry ? Demanda Sirius
- Oui, je te présente Maître Gordon, il s'occupe des affaires de la famille Black, J'aimerais que tu prennes connaissances des dossiers, pour t'en occuper quand je ne suis pas disponible.
- Maître Gordon, je vous présente Sirius Black, mon père adoptif.
- Oh mais je connais Sirius, je vous ai rencontré lorsque vous aviez six ans, je venais voir votre père Orion, dit Maître Gordon d'une voie suave.
- Oui je me souviens vaguement, en effet répondit Sirius.
« Installons-nous dit Seth. Immédiatement ils s'assirent sur le canapé, et Maître Gordon sur un fauteuil en face, et il jeta un sort de silence et de confidentialité »
- Pour notre première affaire qui est « Lord Seth Black contre Percy Prewett anciennement Weasley et le Ministère » pour diffamation, prise de position, et agression sur votre personne.
Le jugement est passé ce matin, Percy Prewett a été renvoyé de son travail au ministère, le gouvernement se détache des actions de monsieur Prewett. Le ministère affirme qu'il n'a pas permis à Percy de le représenter, et qu'il aurait agis en son nom propre. Vos souvenir provenant de la pensine et le témoignage de Nyphadora Black et Narcissa Malefoy ont été accablants. Le gouvernement ne pouvait le soutenir. Pour ces motifs, il doit la somme de mille galions pour l'attaque et la diffamation en dédommagement, et il perds son emploie. Par ailleurs après les différents articles passés dans le journaux le montrant dans des situation très compromettante, et son état nerveux visiblement instable. Le ministère ne pouvait le soutenir, et n'a eu d'autre choix que le licencier.
- Très bien Maître Gordon, conclua Harry satisfait.
- Nous ne pouvons pas enchaîner par le procès de Dolorès Ombrage tant que Harry Potter ne sera pas réapparut, aussi nous allons passer directement par le procès de Fudge « Lord Seth Orion Black Potter contre Fudge et le Ministère pour corruption et trahison envers le pays » et en même temps nous ferons Dumbledore et Ombrage les trois en même temps, nous sommes le 20 Juillet…disons le 15 Août, qu'en pensez vous ? Demanda Maître Gordon.
- Il faudra que je sois rentré du sanctuaire à cette date, dit pensivement Harry, oui cela devrait convenir, et puis je peux repartir une fois ces affaires de régler. C'est d'accord Maître Gordon.
- Parfait, au faite Tonio Zabini m'a fournit des dossiers passionnants.
Harry eu un grand sourire.
- Ah oui Maître Gordon, j'aimerais que vous informiez Gringotts que je réintègre Sirius Black et Bellatrix Lestrange dans la famille Black, si vous pouviez faire le nécessaire, dit Harry.
- Si tu permets Harry, j'aimerais que Maître Gordon s'occupe aussi de ma résurrection officielle, dit Sirius.
- Vous pouvez m'appeler Actarus, mon cher Sirius, je m'occupe des parchemins légaux et je vous les apportes, ah et je voulais vous informer que Peter Pettigrow a reçu le baiser du détraqueur ce matin, dit Maître Gordon.
- Euh…oui, ce sera parfait, bien Harry je dois y aller Sévérus m'attends, et après un bref signe de tête, Sirius sortit du bureau.
Un long silence plana dans la pièce après son départ.
- Dites Maître Gordon, je me demandais si vous aviez un calice ? Demanda Harry avec un sourire en coin.
- Pas encore Lord Seth, mais je viens enfin de le trouver, dit Maître Gordon avec un grand sourire qui dévoilait ses canines très développés.
- Alors il serait judicieux de ma part de vous inviter à manger ce soir, et je sens que je ne serais malheureusement pas très disponible pour traiter les dossiers, proposa Harry avec un grand sourire.
Sirius avait dit n'importe quoi et était sortit, cet homme ou plutôt ce vampire était le diable. Il avait d'une prestance incroyable, jamais Sirius n'avait vu un tel charisme, il était grand, avec un corps athlétique, ses traits virils, et cette pointe de cheveux en v sur son front, bon sang il était foutu, euh non Actarus…était…bien…foutu….voila ! Il avait vu la convoitise et la passion brûler dans le regard d'Actarus…..Il fallait qu'il trouve Snape, il lui fallait une potion de frigidité force dix, pas moins.
POV Remus
Greyback avait donné la chambre voisine de la sienne à Remus, qui ne s'était pas attardé. Il avait eu beaucoup de mal à s'endormir, se retournant plusieurs fois pour trouver le sommeil. Mais sans cesse, il revoyait le regard de convoitise que lui renvoyait Greyback, et là dans son lit, il écrasa sans pitié son érection contre le matelas, en bourrant l'oreiller de ses poings.
Le matin Greyback l'avait réveillé tôt et l'avait envoyé en classe avec les louveteaux pour apprendre les règles de la meute, il s'était retrouvé avec des petits de cinq a douze ans. Sur le coup la décision l'avait beaucoup humilié et révolté, mais même si il ne le reconnaîtrais pas pour tout un empire, cela avait été assez intéressant. Il avait appris que le village comprenait une quarantaine de loups, que c'était une vie en communauté, que Greyback était le chef Alpha et qu'il avait deux second Rag et Polux.
En fin de matinée Greyback était venu le chercher pour travailler aux taches communautaires de la meute. Il y avait une serre, des champs, la chasse, la confection de stratus de loups, de paniers…et tous participaient pour faire vivre la communauté. Remus fut mis à la coupe du bois, avec Greyback, il ne se plaignit donc pas, même si ses mains étaient en sang et pleines de cloques, ils s'arrêtèrent vers cinq heures. Fenrir resplendissait de santé et de force ne semblant même pas fatigué, Remus avait regardé plusieurs fois avec fascination le torse brillant de sueur, suivant une goutte de transpiration coulant sur le torse, mais il avait détourné le regard dés que Greyback redressait la tête. Greyback l'envoya à la cueillette des pommes avec d'autres loups. Polux veillait et donnait les ordres.
Remus rentra à vingt et une heure, fatigué comme jamais, et tenant ses reins douloureux. Greyback l'accueillit et lui dit de passer a table. Ils mangèrent un ragoût de moutons. Remus ne fit aucun effort de conversation ne répondant que par monosyllabes et filant dans sa chambre aussi vite que possible. Fenrir eu un sourire carnassier en le voyant sortir.
Fin du POV
Coucou a tous, merci pour vos messages…
Alors je réponds a quelques questions
« Pourquoi Harry ne serai pas insensible a tout les filtre d'amour vu qu'il a unmaitre des potions sous les mains autant qu'il sert. » Il n'y a pas de reméde pour amour toujours Hermione le dit a un moment, alors même le meilleur maitre des potions pourrait rien faire.
« le mariage » aura lieu au retour du sanctuaire
Harry a bon cœur alors oui il pardonne parce que c'est remus, mais il l'enmene as avec lui non plus.
Banissement = la personne n'existe plus, perds ses droits
« pourquoi le loup de Remus ne s'est pas rebifféquand Sirius l'a frappé? » remus venait deja de piquer sa crise avant, en plus avec ce que sirius lui balancait, ses 4 verites le loup il faisait profil bas, en plus remus se sentait mega coupable, et jamais il se rebifferais contre sirius qu'il vient de retrouver apres avoir embeter tout le monde car il etait mort.
bizzzzzzzzzzzzzzzzzz
CHAPITRE 22 Enlèvement
-Harry, Sévérus je vous remercie pour ma sœur et son mari, je sais que ce n'est pas facile, mais…Narcissa se mordit la lèvre
- Au moins elle est libérée, mais elle va mettre du temps à se remettre si j'ai bien compris, dit Sévérus.
- Laissez la comprendre ce qui s'est passé, qu'elle se cache pour l'instant, le temps que les choses se calmes, de plus elle a causé pas mal de dégâts….allons manger, répondit Harry.
Un martèlement de cannes attira leurs attentions, Augusta se trouvait derrière eux.
- Harry, Sévérus, Je tiens à vous adresser mes remerciements les plus profonds pour ce que vous avez fait, pour la famille Londubat aujourd'hui. Je vais m'occuper d'étouffer l'affaire à Saint mangouste, pour la disparition de mon fils et de sa femme, l'affaire ne fera aucune vagues, il vaut mieux ne pas attirer l'attention sur leurs retour, je les laisserais ici avec Neville, pour le moment.
J'ai appris pour ELLE, l'emprise de la potion… mais malgré le fait que j'ai retrouvé mon fils et sa femme, il va me falloir du temps pour accepter. J'attendrais d'avoir la preuve qu'elle a vraiment changé avant de porter mon jugement. C'est tout ce que je peux vous dire. Je ne resterais pas ce soir, il faut que je règles tout cela, veillez bien sur eux. Et encore, merci à vous deux. Et après un signe de tête Augusta partit majestueuse, mais le sourire aux lèvres.
- C'est vraiment une grande dame, murmura Narcissa admirative, en la regardant s'éloigne.
Ils se rapprochèrent de la table, ou les attendaient Draco, Lucius, Blaise, Tonio, Théo, Neville, Pansy, le père et les jumeaux Weasley, Sirius et Actarus.
- Nous avons beaucoup de convives ici dernièrement, dit Narcissa en élevant un sourcil, mais j'adore recevoir, bien commençons le repas.
- Je vais vous donner les cadeaux que nous vous avons ramenés, vous n'étiez pas là hier dit Harry sur un ton d'excuse. Il tendit des paquets à Neville, Théo, Pansy, et les jumeaux.
Pansy ouvrit avec impatience son cadeau et découvrit, un médaillon très travaillé en turquoises.
- Je ne peux pas t'expliquer comment, mais le médaillon aurait une influence sur le corps. Ce sont des pierresguérisseuse du corps à usages multiples, et cela pourrait t'aider à soulager des blessures bénignes, dit Harry.
Pansy, ouvrit de grand yeux, et contempla avec émerveillement son si précieux cadeau, qu'elle trouvait en plus ravissant.
Théo, découvrit un Talisman coyote pour l'amour, la fortune, le pouvoir et la force. Il était dans un sac rouge de protection avec une dent de coyote, un liquide et des matériaux divers. Il parut enchanté, et très curieux de l'association et des particularités magiques des ingrédients.
Les jumeaux découvrirent différents sachets de poudre, qu'ils contemplèrent avec curiosité.
- Je ne sais pas si cela vous sera utile pour vos créations, mais par exemple, la poudre de scarabée mexicain à de puissants pouvoirs magiques qui procure l'immunité contre les agressions, et neutralise les énergies maléfiques, leur expliqua Harry. Il y a aussi une poudre à base de petits pois sauteurs, qui fait faire de petits bons à des objets, une autre qui modifie un membre du corps au hasard avec des conséquences inattendus…
Fred et Georges furent alors très enthousiastes, réfléchissant aux combinaisons qu'ils allaient pouvoir faire.
Neville reçu un médaillon avec un hologramme de plantes se développant de la graine, à la plante mature.
- Cela aide beaucoup pour l'horticulture, même une plante desséchée redémarre, dit Harry. Neville aima beaucoup son cadeau, Harry lui avait prit exactement ce qui correspondait à ses goûts.
- Cela me plait beaucoup Harry, mais avec ce que tu as fait pour moi aujourd'hui, je n'avais besoin de rien d'autre, dit Neville très émus. Je voulais te remercier, mais les mots ne sont pas assez forts pour ce que tu as fait, ni pour ce que je ressens …
- Si j'avais pu le faire plus tôt Neville…l'essentiel c'est que tu ais ta part de bonheur, répondit Harry.
Harry s'installa, Sévérus à ses coté, et ils commencèrent le repas en échangeant des taquineries avec Blaise et Draco, Arthur parlait tranquillement avec Tonio, et Lucius se fit un plaisir de révéler à un Théo ébahit et ravis que son père les avait rejoint.
Harry regarda vers Sirius qui ne participait pas aux discussions. Il espérait qu'il ne lui en voulait pas. Harry se mordit la lèvre. Sirius avait le nez plongé dans son assiette. Merlin, jamais il ne l'avait vu comme ça. Sévérus posa sa main sur sa cuisse, sous la table, et remonta doucement vers sa braguette. Harry retint un hoquet de surprise, et se composa une expression neutre pour répondre à Pansy. Il regarda brièvement Sévérus qui arborait son masque froid et distant. La main commença à caresser le renflement qui durcissait, Harry piqua une crevette dans son assiette et l'avala sans la mâcher. Il en connaissait un qui aller crier grâce cette nuit.
POV Hermione
Hermione avait réussit à isoler Ron, sans cette fichu Elisa. Il ne passait plus de temps ensemble, se parlant à peine. Et depuis quelques jours Ron semblait très sombre, cela inquiétait Hermione.
- Salut Ron tu as un instant ? Demanda Hermione.
- Oh salut Mione t'as les yeux rouge et gonflés, qu'est ce que tu as ?
- Une petite allergie de rien du tout, répondit Hermione. Ron hocha la tête en ouvrant des yeux impressionnés. Hermione avala une petite pilule.
- Et tu prends quoi la ? Demanda Ron assez alarmé.
- C'est pour mon allergie, répondit Hermione. Et toi, Ron, que t'arrive-t-il ? Tu sais que tu peux tout me dire, je reste ta meilleure amie, tu sais que tu peux me parler de quoi qu'il s'agisse. dit-elle sur un ton suppliant.
- Mon père a tout découvert Mione, il nous a renié Percy et moi, et il divorce de maman, le terrier est en vente…et je m'appelle Prewett, Ron Preweet…c'est affreux.
- Oh Ron, je suis désolé pour toi, mais je suis sur que Dumbledore trouveras une solution, et puis nous avons encore nos voûtes, dit Hermione.
- Oui, heureusement….mais je vais vivre avec maman dans le Londres moldu, jamais je ne m'en remettrais, se lamenta Ron.
- Pour le nom, Dumbledore te laisseras l'utiliser pour la rentré à l'école, c'est sur, personne n'est censé savoir, dit Hermione avec un enthousiasme qui sonnait faux, mais Ron ne s'en aperçu pas.
- Ah ou c'est une bonne idée ça….
- Et puis tu sais moi aussi je vis dans le Londres moldu, et c'est très bien, tu verras…et puis Preweet cela te va bien, c'est comme si tu étais un espion, avec une identité secrète, et tu as les cours d'aurore, tu vas avoir un super niveau. Hermione prit un nouveau cachet.
- Oui, tu as raison Mione, Ron avait retrouvé son enthousiasme, bon je te laisse, Elisa doit m'attendre, dit Ron en partant.
Hermione, n'avait pas voulu lui parler de sa mère, de sa sœur, ou de Percy…maintenant Ron n'avait plus d'importance, il était renié, donc déshérité, il n'était plus rien…et elle avait des soucis bien plus important.
Elle ne lui avait rien dit, mais hier elle avait été consulter un spécialiste à Saint Mangouste, et il avait été catégorique, son noyau magique était perturbé très fortement, et définitivement. Elle avait perdu près de soixante pour cent de ses pouvoirs, elle pourrait regagner cinq à dix pour cents en mangeant des œufs accromentula. Le médicomage lui avait expliqué que cela arrivait parfois avec les enfants issues de parents moldu, un truc génétique. Cela l'avait révoltée. Et elle avait passé la nuit à pleurer. Hermione avait été tellement secouée par la nouvelle, qu'elle était allée voir un médecin moldu pour se faire prescrire des anti-dépresseurs et des anxiolytiques…le traitement été lourd, mais il lui fallait. Le soucis, c'est que la prescription était de deux pilules matin et soir, et cela ne suffisait pas. Après tout elle était une sorcière, donc elle avait modifié le traitement et en prenait une trentaine par jour, et elle se sentait beaucoup plus zen.
Par contre, elle devait changer ses plans, un mariage avec Ron, ne lui apporterait plus rien. Il lui fallait une autre cible, et vite car avec sa baisse de pouvoirs…elle ne pouvait pas perdre de temps. Ce lord Black lui semblait être un bon but à atteindre.
Fin du POV
POV Percy
Percy rentrait chez lui, il avait été acheter trois litres de Whisky pu feu. Il sursauta violemment manquant de lâcher son sac avec ses bouteilles, il lui avait semblé voir, la folle qui le poursuivait.
Percy se mis à courir pour rentrer dans son appartement. Il arriva essoufflé avec une migraine monstrueuse.
Il fit une grimace l'appartement était sale, et cela sentait mauvais, à cause de ses pets, il en avait beaucoup…baah c'était pas grave.
Il se laissa tomber dans le canapé et bu au goulot, sa vie était foutue. Il avait été renvoyé du ministère, sa carrière était finit, ses rêves, ses espoirs, il n'avait plus rien. Percy devait, en plus des dommages et intérêt de mille galions à payer, à ce maudit Black.
Fudge n'avait rien voulu savoir. Il lui avait dit qu'il lui faisait une mauvaise publicité, et qu'il aurait du être discret pour le testament de Sirius, plutôt que de prendre position. Et puis, son ex père l'avait renié, et Fudge l'avait découvert, cela n'avait rien arrangé. Fudge lui avait parlé des photos avec Elisa, en disant qu'il devrait faire son devoir envers cette pauvre sorcière. Il lui avait reproché son apparences : les pustules, et ses flatulences, comme si c'était de sa faute. Il lui avait dit qu'il ne supportais plus sa vue, il lui avait crié dessus pendant une heure. Avant de lui ordonner de disparaître pour toujours….Percy jeta la bouteille vide avec les cadavres des autres, qui commençaient à faire un petit tas par terre. Et en prit une autre. Il se gratta une pustule dans le cou, qui fit un bruit sordide en éclatant.
Percy ne voulait plus entendre parler de Dumbledore, il n'avait rien fait pour l'aider…il restait l'autre… le Lord noir…Ouai, à voir….Il prit une deuxième bouteille.
Fin du POV
POV Sirius
Quand Sirius était descendu pour le dîner, il avait blêmit en voyant Actarus discutant calmement avec Lucius et Tonio, la soirée allait être interminable.
Le repas avait été très long pour Sirius, Actarus était assis à coté de lui. Cela le rendait terriblement mal à l'aise, il avait une conscience aiguë du corps près de lui.
Sirius se teint bien droit prenant garde, à ce que leurs jambes ne s'effleurent pas.
Le vampire avait des mains superbes, qui le fascinaient, par inadvertance leurs doigts s'étaient frôlés, déclenchant une série de frissons en lui. Il avait donc surveillé ses mains aussi, il n'avait pas conscience qu'il ressemblait à un bout de bois assis sur une chaise.
Ensuite il s'était concentré sur sa respiration, pour ne pas se laisser envahir par les effluves virils de son voisin, maudit odorat de chien.
Sirius s'était interdit de le regarder, et lorsque Actarus lui avait posé une question, il avait répondu la tête baissée dans son assiette. Mais il avait sentit son corps vibrer à la mélodie rauque que son voisin chantait à chaque fois qu'il parlait.
Il s'était alors, concentré sur la discussion, réfléchissant à comment abordé Harry après la série de bavures qu'il avait enchaîné, mais sans cesse son attention revenait vers son voisin.
Et ce Servilus qui lui avait dit qu'une potion de frigidité cela n'existait pas.
Le repas- torture prit enfin fin, les invités prirent congés, il salua quelques personnes, et Sirius essaya de s'éclipser discrètement et rapidement.
Au moment où il traversait le couloir, avec un intense sentiment de soulagement, une main lui saisit fermement le bras et l'attira dans le salon de musique. Sirius se retourna prêt à tempêter devant ces manières, quand ses mots se retrouvèrent bloqués dans sa gorge. Devant lui se trouvait Actarus Gordon.
Ils se dévisagèrent longuement, Sirius avait conscience, qu'il ne pourrait pas l'ignorer plus longtemps. Le regard qu'il posait sur lui le brûlait, mais Sirius refusait d'accepter l'évidence.
- Que me voulez-vous ? Et pourquoi m'avoir entraîné ici ? Demanda Sirius, qui jouait les innocents.
- Excusez mes manières cavalières, mais nous avons besoin de discuter, et comme vous avez évité tous dialogues durant le repas, vous m'avez contraint à provoquer une rencontre, dit Actarus avec un rictus ironique.
Sirius remis en place une longue mèche brune, puis se dirigea nonchalamment vers le piano. Tournant le dos au vampire, et semblant se passionner pour une partition.
- Et de quoi voulez vous parler ? Dit Sirius avec indifférence.
- De nous, dit une voie grave au creux de son oreille.
Sirius sursauta, il ne l'avait pas entendu se déplacer, il avait été si rapide. Maintenant il sentait sa présence dans son dos, et cela le troublait.
- Nous ? Il n'y a pas de nous…répondit Sirius avec une indifférence feinte.
A peine termina-t-il de répondre, qu'Actarus le retourna pour s'emparer de ses lèvres. Le baiser était clairement une prise de possession, une langue essaya brutalement de forcer le passage de ses dents.
Sirius tenta de résister, repoussant la ferme poitrine, qu'il sentait sous ses mains, mais déjà Actarus enroulait l'un de ses bras autour de sa taille, l'autre se positionnant derrière sa nuque, et l'enserrant dans un étau.
Sirius le corps bloqué contre le piano, ne pouvait se libérer de cette montagne de muscles qui le retenait.
Soudain, le baiser devint doux, ensorcellent, quémandeur. Sirius se sentit prit d'ivresse devant cette douceur, et entrouvrit les lèvres, laissant la langue l'envahir, le dominer.
La main sur sa nuque se fit caresse, s'enfoncent avec voluptés dans ses cheveux.
Sirius sentit tout son corps frémir, épouser le corps aux lignes dures, il se fit souple. La main dans le dos le parcourait avec dévotion, ouvrant des chemins de feu dans son corps.
Alors Sirius, bascula dans la spirale du désir dans un gémissement rauque, répondant avec passion aux lèvres, à la langue qui le rendait fou.
Ses mains s'enroulèrent autour de la nuque du vampire, s'enfonçant dans son épaisse chevelure noire aux reflets bleus, il sentit son corps pris de tremblements, et d'ivresse, devenir brûlant. C'était de la folie.
Sirius se détacha avec difficultés des lèvres tentatrice, son regard plongea dans les yeux jaune qui semblait être de l'or en fusion, il n'eu pas conscience de ses petits halètements, ni qu'il tenait toujours fermement la nuque du vampire.
- Sirius je t'ai attendu depuis une éternité, maintenant que je t'ai trouvé je ne veux pas te perdre, je ne veux pas que tu t'éloignes loin de moi, quand je t'ai vu, que j'ai respiré ton odeur, j'ai su que c'était toi. Toi et uniquement toi, mon calice, dit Actarus d'une voie rauque.
Sirius sentit son cœur raté un battement, jamais il n'aurait pensé vivre un instant si intense, mais partager toute sa vie ? Ne plus être seul ? Devenir son calice, le voulait il ?
- Je ne sais pas, j'ai besoin d'y réfléchir, d'apprendre à vous connaître, murmura Sirius.
- Je vous laisse la semaine Sirius, dit Actarus en lui caressant doucement la joue, et en se tournant pour partir.
- Attendez…je vous ai dit que je voulais vous connaître avant de vous donner une réponse, il faut que je puisse vous voir pour cela, dit Sirius en courrant derrière le vampire, qui était déjà arrivé à la porte.
Avant que Sirius ne puisse le réaliser, Actarus l'avait prit dans ses bras, le portant comme une jeune mariée.
- Mais que faites vous, reposez moi, Actarus…. cria avec affolement Sirius.
- Je vous emmène au manoir Gordon, nous allons vivre ensemble cette semaine, et vous me donnerez votre réponse comme convenus, dit le vampire.
- Mais ce n'est pas possible, mes affaires, Harry, enfin je ne peux pas partir comme ça…insista Sirius, alors que Actarus se dirigeait vers la sortie.
- Je vais vous courtiser, et une semaine ne sera pas de trop, mais ce sera aussi interminable. Pour vos affaire un elfe viendra les chercher, il déposera en même temps un message expliquant tout. Harry à Sévérus. Et enfin, rien ne vous retient.
Sirius n'eu plus d'arguments a opposer, il passa ses bras autour de la nuque et posa sa tête sur l'épaule du vampire. Actarus sourit en s'enfonçant dans la nuit avec son captif.
Fin du POV
Harry caressa la joue de Sévérus qui dormait encore, il l'avait vraiment épuisé pensa-t-il avec un petit sourire, mais que cela avait été bon, il aimait tellement le sentir en lui, ses mains sur son corps le faisait gémir de plaisir, ses mots le bouleversait à chaque fois.
Quand il se rappelait, son ancien professeur froid et sarcastique qui l'avait si souvent blessé, puis l'évolution de ses sentiments, et cette longue attente sans espoirs, ses nuits dans le dortoir des gryffondor, où il rêvait qu'il le prenait sauvagement, s'inventant mille scénarios, pour se réveiller seul et frustré…
Que de souffrances, et maintenant il avait le bonheur de l'avoir, de le toucher, de l'aimer, il l'admirait tellement, à ses yeux cela n'avait pas de prix. Sévérus était tellement plus détendu, depuis qu'il n'avait plus Voldy et Dumy pour lui pourrir la vie…
Sévérus ouvrit doucement les yeux, et lui sourit, Harry ne pu résister et l'embrassa, le baiser se fit langoureux.
- Tu n'en as pas eu assez ? Dit paresseusement Sévérus.
- Jamais, mon amour.
Leur étreinte fut encore un moment merveilleux.
C'est tard qu'ils descendirent déjeuner, Draco les attendait, et donna le courrier à Harry.
- Il y avait un hibou impatient qui t'attendais, alors j'ai pris le parchemin pour toi, lui dit Draco.
Harry commença à lire sa lettre, tout en buvant son café de l'autre main.
- Merci Draco, hmm…. c'est une lettre de Sirius, Harry éclata de rires.
- Que se passe-t-il avec le clébard ? Demanda Sévérus en se beurrant un toast.
- Maître Gordon l'a enlevé hier soir pour en faire son calice, il restera toute la semaine avec lui, avant de se décider, dit Harry avec un grand sourire, son avocat était vraiment un rapide.
Sévérus haussa les sourcils, mais ne fit pas de commentaires, Draco recracha son jus d'orange avec stupéfaction. Sévérus lança à Draco un coup d'œil d'avertissement, puis reprit.
- Bon on sera tranquille jusqu'a notre départ, j'ai réfléchit au sujet du sanctuaire…. Je pense que ce serait plus judicieux, que nous y allions avec seulement Draco et Blaise. Et, peut être Arthur, cela lui ferait du bien. On ne sait pas ce qui se passe là-bas, je pense que ce serait plus sur. Il est possible que ce soit dangereux, si la situation est sans risques, et que nous avons réussit a trouver des alliés…alors nous pourrions y retourner avec les autres. Je pense vraiment que ce serait le mieux. Dit Sévérus très sérieusement.
Harry resta pensif un moment, puis il redressa la tête décidé.
- Je dois reconnaître, que ton analyse de la situation est la meilleure. Tu as raison Sévérus, je me suis laissé entraîner par l'enthousiasme et n'ai pas suffisamment réfléchit. Je te remercie de ta clairvoyance. Je dois te dire qu'hier soir, j'ai eu des doutes quand à cette idée, c'est pour cela que je n'en ai pas parlé. Cela m'est venu lorsque je discutais avec Neville, il ne voudra pas quitté ses parents maintenant qu'il vient juste de les retrouver, et je ne peux pas lui demander ça. Quand à Sirius si il devient calice, il ne pourra plus quitter son vampire.
Sévérus j'aimerais que cette semaine tu prennes des dispositions pour que nos alliés soient en sécurité durant notre absence. Il faut que les anciens mangemorts ne risquent rien avec Voldemort, et les autres soient à l'abri de Dumbledore. Sert toi de Dobby, le manoir Potter devrait être la planque idéale. Tu préviendras aussi Arthur de notre projet.
Draco j'aimerais te charger de préparer notre expédition, l'indispensable pour les vêtement une tenue chaude, une tenue froide, des vivres avec de l'eau. Et des potions de soins, pourquoi pas des cadeaux, cela nous aidera dans les négociations. Et du matériel de camping, surtout ne nous charge pas trop, n'oublie pas que nous devrons sûrement marcher beaucoup. Fais toi aider de Blaise, il en sera heureux.
Sévérus eu un sourire soulagé et reconnaissant vis-à-vis de Harry. Il appréciait qu'il accepte et entende ses conseils, cette reconnaissance il en avait besoin. Harry le rendait plus fort.
- D'accord Harry, je vais m'en occuper. Et toi que comptes tu faire ? Demanda Draco.
- Tonio m'a proposer un entraînement au couteau, je vais lui envoyer un hibou pour commencer cette après midi.
POV Voldemort
Si Voldemort avait eu un meilleur ami, il lui aurait conseillé de consulter un médicomage de façon urgente. En effet voldy avait toujours des migraines de plus en plus forte, et il avait « les dents qui poussaient », métaphoriquement bien sur. Le seigneur des ténèbres n'avait pas une rage de dents, mais une furieuse rage de mordre, et de déchiqueter a pleine dents la première personne qui tomberait sous sa main, lui arrachant des morceaux de chair avec ses crocs, tellement il était énervé. Il voulait du sang, d'ailleurs il avait déjà tué tous les prisonniers moldus de ses geôles. Mais cela n'avait pas soulagé sa douleur, sa haine.
Il faisait toujours des cauchemars avec ce serpent à plumes, qui venait le menacer accompagné de momies assez désagréables elles aussi. Ce serpent minable osait l'agresser, l'insulter, lui? Mais il ne lui faisait pas peur ! Cela le rendait juste un peu plus dingue chaque matin, de devoir subir sans répondre. Et cette douleur dans la tête lancinante, continuelle, cette sensation de sentir le sang pulser dans ses tempes le rendait dingue. Mais voila voldy n'avait pas d'ami.
Nagini était morte dans ses vomissements, il en avait tué quinze elfes de colère. Ou était Snape ce traître ? Qu'il l'écorche, pour avoir laisser mourir sa si précieuse Nagini. Il devait revenir de sa mission en Afrique, il l'attendait de pied ferme.
Et il avait un gros souci avec ses mangemorts les plus proches. Il ne pouvait plus les appeler, il ne sentait plus leurs énergies. Quelqu'un les avaient-ils tué ? Ce serait catastrophique, même sa petite Bella ne venait plus, pourtant elle était sous l'emprise de sa potion de loyauté. Et si ils avaient tous été tué le ministère s'en serait vanté, alors ou étaient ils ? En plus cela diminuait son énergie magique et c'était inacceptable.
Et Greyback qui lui avait tourné le dos, il lui avait envoyé des doloris par la marque, mais il n'était pas revenu, ce sac à puces.
Mais ils reviendraient tous en rampant, on n'abandonnait pas le seigneur des ténèbres.
Il appela furieusement à un rassemblement. Quelques mangemorts tremblants apparurent à ses pieds, trop peu.
- Avery, Crabbe, Goyle, Macnair,….quatre, il ne reste que vous ou sont les autres ? Et Voldemort eu les yeux qui explosèrent d'une lumière rouge, il lança doloris sur doloris. Finalement la bave aux lèvres, il s'arrêta haletant de fureur. Trouver les autres, Hurla-t-il
Oui vraiment un ami lui conseillerait de consulter très vite.
Fin du POV
POV Remus
Remus n'avait jamais travaillé aussi dur, de toute sa vie. Pourtant il en avait bavé, il avait souffert de la misère, de l'isolement, de la solitude. Mais la semaine avait été très dure, tous les matins il allait en classe avec les petits, et l'après midi, il travaillait comme une bête de somme, faisant les travaux les plus lourd, il ne sentait plus un muscles de son corps. Il avait beaucoup appris, la vie en communauté était intéressante et chaleureuse. La meute pouvait être un bon refuge, pour peu qu'on en accepte les règles. Ce qui l'avait choqué, c'est d'y trouver cette amitié, cette fraternité, cet esprit d'entraide et d'amour qui régnait au sein de la meute.
Il avait au cours de la semaine découvert malgré lui, Fenrir Greyback, un homme dévoué à sa meute, prêt à tout pour la protéger, cachant de nombreuses qualités sous sa brutalité et une violence mal maîtrise, mais qu'il contrôlait pourtant. Il l'avait vu aider, conseiller avec clairvoyance, participer… et cela ne cadrait pas avec la vision qu'il avait eu de lui. Greyback lui avait expliqué que si il l'avait mordus petit, c'était qu'à l'époque il considérait comme sa mission de mordre et de contaminer le plus de loups-garous, pour que leur nombre l'emporte sur celui des sorciers. Mais qu'il s'était rendu compte que ce n'était pas comme cela qu'il aiderait son peuple, en créant la peur, il récoltait la haine. La place des loups dans le monde sorciers était devenue intenable.
Il y avait aussi, cette lueur de désir, de convoitise qu'il surprenait dans ses yeux, mais l'homme lui faisait peur, et son loup refusait la domination. Pourtant Remus avait de plus en plus de mal à ne pas le quitter des yeux, car il admirait sa puissance et son charisme, et il écrasait son désir, tous les jours plus vif.
Seulement en fin de semaine, Remus était en pleine révolte, il ne supportait plus les ordres et son loup voulait égorger quelqu'un. De plus la pleine lune arrivait demain, et il avait de plus en plus de mal à contenir ses instincts Ici les nuits de pleines lune, les loups n'étaient pas enchaînes dans une cave, ils étaient libres, avec la seule loi des dominants, les deux seconds et l'Alpha, et le loup de Remus refusait leurs autorités. Remus était fatigué, et excédé.
Remus avait de plus en plus de mal à supporter Rag, l'un des seconds de Greyback. C'était un homme petit, râblais, mais tout en muscles. Depuis qu'il était dans le clan, il ne lui évitait aucun sarcasmes, insultes, le rabaissant constamment. Une jalousie féroce brillait dans son regard, il ne supportait pas qu'il habite chez le chef de meute, et lui faisait payer par une série de mesquineries qu'il n'acceptait plus.
Quand Rag lui demanda de décharger seul une charrette de sac de pommes, en persiflant sur sa force et sa rapidité, c'est là que tout dégénéra. Remus refusa, le ton monta, la colère explosa, et les deux hommes subirent une transformation partielle de leurs loups.
Augmentation de la musculature, de la pilosité, apparitions de crocs, des queues, de griffes. Et les deux loups se jetèrent dans un combat violent, fait de coups de griffes, de morsures. Ils détruisent une porte, renversèrent le chariot de pomme. Remus eu le dessus finalement, Rag a ses pieds à moitié assommé, et pleins de blessures. Le loup de Remus exultait pour la victoire sur ce rival, sur sa supériorité. Il s était déchargé du trop plein de tension qu'il accumulait depuis une semaine.
C'est alors que Greyback arriva, Remus encore ivre de sa réussite et plein d'un sentiment de toute puissance, refusa l'autorité de l'alpha. Greyback en quelques coups, étala sa force, maintenant le loup au sol jusqu'à ce qu'il reconnaisse son maître, jusqu'à ce qu'il apprenne sa place. Ecrasant de sa volonté la rage du loup de Remus, qui se soumit dans un long geignement plaintif de soumission.
Greyback le força, malgré ses blessures a réparer ses dégâts, en lui ordonnant de le rejoindre lorsqu'il aurait finit.
Ce fut un Remus calmé, repentant, honteux, et plein d'appréhension qui se présenta à la nuit tombé chez Greyback.
Greyback l'attendait dans le salon, il lui indiqua d'un geste un siège, ou Remus s'assit. Puis toujours sans une parole, il nettoya ses coupures, bleus, ecchymoses qui recouvrait un Remus humilié. Greyback servit deux whiskies, lui tendit un verre et s'installa en face de lui. Remus sans un mot, prit une gorgé avec un soupire de soulagement et regarda enfin Fenrir dans les yeux.
- Aujourd'hui tu as appris une leçon très importante, le respect, dit Fenrir. Si tu devais te rebeller encore une fois face à moi, je devrais te tuer.
- J'ai compris, avez-vous autre chose à me dire ? Demanda Remus. Une sourde tension régnait dans l'air.
- Tu as prit la place de Rag, tu es devenu mon second, méfie toi de Rag à l'avenir il n'acceptera pas sa défaite de gaîté de cœur, dit Fenrir.
- Je ferais attention, Remus se détournait pour sortir, lorsque la main de Greyback se posa sur son épaule. Remus ne pu arrêter le frémissement que provoqua ce contacte, il contraignit son corps à se raidir.
Greyback vint coller son corps contre le dos de Remus, qui ne pu s'empêcher de gémir. Il signa sa perdition.
Fenrir lui saisit la nuque et l'embrassa, un baiser à couper le souffle, violent, brutal, mais c'est ce que Remus voulait, que cela fasse mal. Il s'agrippa aux épaules, griffant le dos, sous la fougue de l'assaut. Aussitôt, il prit conscience de la virilité, pressé contre sa hanche. Il sentait les mains massives parcourir fébrilement son corps. L'instinct de leurs loups les dominait, ils arrachèrent leurs vêtements, et Greyback se jeta sur la verge de Remus la suçant vigoureusement, il fit lécher deux doigts à Remus qui était dominé par ses cris de plaisir. Greyback fit pénétrer ses deux doigts et entrepris un mouvement de va et viens, puis de ciseaux tout en léchant le sexe à grand coups de langues la verge raidit et douloureuse de Remus. Celui-ci se tordait sue le sol, griffant le parquet de ses griffes, geignant et bougeant vigoureusement des hanches. Fenrir le retourna, et le pénétra en une seule poussée. Remus laissa échapper un long cris de douleur. Puis Fenrir entama la possession de ce corps qu'il désirait tant, le loup de Remus accepta avec ravissement cette domination. Les longues poussées de la verge malmenant sa prostate, lorsque l'autre main saisit la hampe pour la masturber fermement, Remus ne pu contrôler d'avantage l'assaut de plaisir qui le ravageait. Fenrir se pencha, et entreprit se lécher, de mordiller, et de sucer son cou. Remus explosa alors d'une jouissance monstrueuse, il ne sentit pas Fenrir le mordre sur l'épaule le revendiquant aux yeux de tous comme sien, il joui en même temps dans un grognement de bonheur. Remus s'écroula sur le parquet épuisé et le corps repus de sensations. Fenrir se redressa, et prit dans ses bras Remus, l'emportant vers sa chambre.
Fin du POV
Salut a tous, merci pour vos messages, j'espère que le chapitre vous a plue. Le prochain chapitre devrait être le départ pour le sanctuaire. Bizzzzzzz
CHAPITRE 23 Le départ
Harry et Tonio, s'entraînaient dans la salle d'arme du manoir Zabini, depuis une semaine. Harry s'était vite passionné pour le maniement des armes blanches. Tonio était un excellent professeur, qui prenait plaisir à lui enseigner son art avec patience et fermeté.
- Non Harry, ne tiens pas ton couteau comme ça, dit Tonio, en se plaçant a coté de Harry et en modifiant la courbe d'inclinéson du poignet.
Harry refit le mouvement d'éventration en tenant le couteau parallèle au sol. Tonio hocha la tête
- Comme je te l'ai expliqué, un couteau de combat est un couteau conçu pour l'usage militaire, spécialement pour le combat rapproché. Nous avons vu les différents mouvements qui se situent en deux catégories, lesquelles ? Demanda Tonio.
- L'attaque et la défense, répondit Harry
- Très bien reprenons ce que tu as appris….je t'écoutes.
- Pour des attaques au couteau, le geste est vraiment lent et téléphoné, lorsque l'on dégage, ne pas vous retrouver dos au porteur de l'arme car là... plus de moyen de se défendre.
Nous avons vu les mouvements d'Indonésie, ou on trouve essentiellement le Pencak Silat. Pencak signifie "mouvements formels". Les techniques sont composées de frappes, de saisies, de projections et de clés. En plus du Buah Kunci Mati (clés) il existe une série de mouvements, le Pukulan (combat), composée de divers types de frappes visant les points vitaux.
On trouve également des techniques de combat au sol, telles que les Gerakan Harimau ("mouvements du tigre").
- Très bien Harry, tu as appris et maîtriser très vites toutes ces techniques, s'exclama Tonio extatique. Maintenant passons à la manipulation au couteau papillon (autrement appelé Balisong), c'est un mouvement d'attaque.
Harry refit le mouvement que lui avait montré Tonio, plusieurs fois avant qu'il ne soit satisfait.
Ils terminèrent la séance par le moment de détente en lançant des lames sur des cibles, Harry appréciait vraiment cet art, il fallait de la concentration et de la précision. Tonio de son coté n'avait jamais eu autant de plaisir, Harry était un bon élève, et Tonio était admiratif de la maîtrise à laquelle il était parvenu en une semaine. Bien sur Tonio avait remarqué que cela plaisait à Harry, et qu'il travaillait avec sérieux et persévérance. Finalement c'était normal, ils avaient ça dans le sang les Zabini.
Harry et Tonio étaient assis sur le tatami, buvant une bière au beurre et discutant tranquillement.
- C'était notre dernière séance je crois…c'est demain que tu parts au sanctuaire ? Demanda Tonio.
- Oui, Draco et Blaise ont finit les préparatifs, ils sont excités comme des puces. Au faite merci tonton Tonio pour les cours, c'était vraiment bien. dit Harry avec une petite voie enfantine, qui les fit rires. Puis reprenant son sérieux, Harry ajouta, il faut que j'aille ce soir au ministère pour Sirius, Sévérus m'accompagnera.
POV Sirius
Sirius arrêta sa monture hors d'haleine, Actarus se retourna et fit revenir sur ses pas son sombral.
- Alors fatigué ? Demanda Actarus d'une voie moqueuse.
- Non, ça va.
- Rentrons tranquillement, et profitons de cette belle matinée, proposa le vampire.
Actarus approcha sa monture et saisit la nuque de Sirius pour lui voler un baiser, il enroula sa langue autour de la sienne avec passion, quand ils se séparèrent Sirius était haletant et Actarus très satisfait de son effet.
Sirius ne pu retenir un soupir de bien être, en tournant son visage vers le soleil déjà chaud, et en respirant l'air pur et vivifiant.
Tous les matins, depuis leurs arrivée, ils faisaient une promenade a dos de Sombrals. Actarus lui avait expliqué que c'était le meilleur moyen de découvrir l'immense domaine.
Sirius devait reconnaître, qu'il avait en effet vu des paysages magnifiques. L'exercice physique lui avait également fait beaucoup de bien, cela lui avait permis de se défouler, et de se griser de cette sensation de liberté lorsque son sombral partait au galop dans une plaine.
La vue de la nature sans barrière s'étendant à l'infini, remuait quelque chose de sauvage en lui. Actarus lui avait dit qu'ils étaient en Irlande.
La semaine s'était passée étonnement bien et vite pour Sirius. Lorsque Actarus l'avait enlevé, ils avaient utilisé un portoloin, qui les avait conduit aux portes d'un manoir très ancien, sombre et lugubre, donc c'est avec étonnement que Sirius avait découvert que l'intérieur était d'un luxe inouï. .
La sophistication, la qualité de l'ameublement, les œuvres d'arts, la recherche du moindre détail avec un goût pour le raffinement, faisait du manoir Gordon un écrin de toute beauté.
Actarus l'avait installé dans la chambre communicant avec la sienne. Il s'était comporté avec respect et sollicitude, le comblant d'une multitude d'attentions.
Ainsi il lui avait offert une nouvelle garde de robes chez le meilleur tailleur de Londres. Un soir Actarus l'avait emmené par portoloin à Paris, pour un repas aux chandelles dans un restaurant tzigane.
Un autre jour il avait loué un circuit automobile, afin que Sirius essaye différentes voitures de courses, il l'avait également emmené dans un parc d'attraction moldu, ou Sirius s'était amusé comme un petit fou.
Il lui avait fait rencontré la responsable d'un refuge pour chien, pour lequel Actarus aidait financièrement, et Sirius s'était amusé longuement avec les animaux, prenant sa forme animagi, et jouant avec eux.
Ils avaient aussi passé une journée dans les Alpes à faire du ski. A la fin de la semaine Sirius était fatigué, mais comblé, jamais il ne s'était autant amusé.
Et, il y avait aussi toutes les petites attentions à sa personne, quand il lui faisait un compliment, lui ouvrait une porte, lui caressait doucement la main, les moments de complicités partagés, la rose différente chaque matin sur son oreiller au réveil…
Actarus lui avait raconté son histoire, il était un très vieux vampire ayant vécu à l'époque romaine, il avait été sénateur pour le consul de Rome. Et avait été mordu alors qu'il revenait de mission à Pompéi. Il avait traversé les siècles seul, ne découvrant jamais celui avec qui il pourrait unir sa vie. Il était resté longtemps en Hongrie, ou il avait partagé la vie des gens du voyage, les bohémiens. Et un jour, il avait vu un enfant de six ans dans la maison de son père, il était alors devenu l'avocat de la famille Black. A la vu de Sirius, il était tombé sous son charme, Actarus avait su qu'il lui était destiné. Il lui avait laissé le temps de grandir, et puis Sirius avait été emprisonné, puis un fugitif, puis il avait été déclaré mort. Alors Actarus s'était reclus, jusqu'à ce que Harry ne fasse appel a lui.
Sirius était littéralement sous le charme du ténébreux vampire, et ne souhaitait que balayer la lueur de tristesse qui brillait par moment dans ses yeux. Il voulait sentir ses lèvres sur les siennes, ses mains sur son corps. Le désir n'avait cessé de monter et de le consumer. Il avait fait quelques tentatives maladroites, pour charmer le vampire, mais malgré qu'il sente son désir, Actarus avait voulu patienter, rendant Sirius fou de cette attente.
Ce soir il devait donner sa réponse…et ce soir il avait choisit d'unir sa vie au vampire qu'il ne voulait plus quitter. Lorsque Sirius lui dit qu'il l'avait choisit, il vit la joie illuminer Actarus. Car jusqu'au dernier moment le vampire avait douté que Sirius le rejoigne pour l'éternité.
Il lui expliqua ensuite le déroulement du rituel pour devenir Calice, et Sirius réclama un baiser pour sceller leur accord. Le baiser fut doux, passionné et enivrant. Actarus le prit dans ses bras et le déposa au creux de son lit avec un sourire plein de promesses que lui renvoya Sirius.
Sirius se débarrassa de sa chemise et se rallongea regardant son vampire, avec envie.
- Je vais être doux Sirius, détend toi, tu ne sentiras qu'une petite piqûre, dit Actarus qui se pencha doucement vers le cou de Sirius, lui tournant la tête, humant avec délice son odeur. Sa langue remonta lentement le tracé de la veine jugulaire, elle déclancha des frissons incontrôlables en Sirius.
Il posa doucement sa main sur son poignet pour contrôler tout mouvement de recul, et enfonça doucement ses canines dans le cou de son calice. Il aspira avec délectation le doux nectar, se gorgeant de sa saveur et de son parfum. Quand il eu finit, d'un coups de langue il referma la blessure, puis se mordit le poignet et le présenta devant la bouche de Sirius.
- Bois mon ange, dit Actarus la voie voilée par l'émotion. Sirius bu à petites gorges le liquide chaud et épais qui avait un goût de fer.
Actarus enleva délicatement son poignet, et referma la plaie. Sirius se sentit sombrer dans un profond sommeil, il perçu juste la voie de son vampire avant de sombre dans les limbes.
- Dort mon amour, nous finaliseront le lien demain, je veille sur toi.
Lorsque Sirius se réveilla, il chercha la présence d'Actarus.
- Je suis la mon aimé, Actarus le rejoignit nu dans le lit, et se colla à son corps brûlant.
Sirius ne remarqua pas, qu'on l'avait débarrassé de ses vêtements durant son sommeil. Doucement Actarus l'embrassa, caressant tendrement son corps. Sirius le repoussa et le regarda droit dans les yeux.
- Arrête avec cette douceur, je veux de la passion, que tu me brûles, je veux que tu me fasse fondre, s'exclama fougueusement Sirius.
Les yeux jaunes devinrent or en fusion, et Actarus se jeta avec passion sur un Sirius plus qu'impatient de répondre à sa fougue. Il l'embrassa enfin avec une ivresse divine, dévorant sa bouche de sa langue, la suçant, l'aspirant dans un ballet effréné.
Ses yeux se remplirent de désir comme Sirius avança à genoux, enserrant sa taille de ses cuisses. Sa main passa derrière lui pour saisir à nouveau le sexe d'Actarus.
Sirius fit courir la pointe de son sexe contre ses fesses, jouant avec leurs nerfs à tous deux. Ses cheveux lui tombaient devant les yeux, et il dut secouer la tête pour voir d'Actarus correctement. Il ne put s'empêcher de sourire largement devant l'expression médusée de celui-ci.
Actarus luttait pour garder les yeux ouverts, mais sa respiration s'entrechoquait chaque fois que l'extrémité de son sexe effleurait l'anus de Sirius.
- Tu veux que j'arrête ? demanda-t-il.
Actarus frissonna et secoua la tête.
Sirius empoigna le sexe raidit de son vampire, fit quelques mouvement de va et viens, qui firent gémir son amour. Il humidifia son anus de sa salive et s'installa à califourchon pour s'empaler d'un mouvement lent mais ferme sur la verge du vampire, avec un cri de soulagement.
Actarus haletait de plaisir en remplissant Sirius, il passa ses mains sur son corps pinçant, les mamelons, caressant la verge avec vigueur. Il regardait avec passion Sirius la tête projeté en arrière, dans un mouvement d'abandon magnifique. Et cela l'enflamma plus que tout.
Sirius se déchaîna allant à un rythme effréné, Actarus l'accompagnait dans ses mouvements, une main tenant le sexe suintant, l'autre accompagnant le mouvement des hanches. Et très vite Sirius cria de plaisir en jouissant sur Actarus. Il se laissa tomber sur lui haletant.
Actarus, ne lui laissa pas le temps de se ressaisir, et le retourna et commença à lui faire la meilleure fellation de sa vie, léchant avec délectation les traînés de sperme, il rendit vite toute sa vigueur à Sirius.
Le vampire se positionna entre ses cuisses, le pénétra et entama de langoureux mouvement de hanches, qui firent crier Sirius de plaisir. Actarus gémissait à chaque mouvement le propulsant dans Sirius. Il l'embrassa langoureusement et quand il sentit l'anus se resserrer, et la jouissance exploser en Sirius. Actarus le mordit et jouie a son tout dans un élan de bonheur fou.
- Alors je t'ai fait fondre ? Demanda Actarus haletant.
- Tu as déclenché un incendie plutôt…tu savais que ta morsure avait provoqué une deuxième vague de jouissance ? Tu vas te retrouver avec un calice accros et souvent en manque vampire de mon cœur.
Actarus émis un petit rire de joie avant de resserrer le corps de Sirius contre lui, qui fut que trop heureux de se blottir contre lui.
- Je t'aime depuis si longtemps Sirius, murmura Actarus.
Sirius redevint sérieux à ces mots, et regarda Actarus.
- Moi aussi je t'aime Actarus, je t'ai tellement rêvé, et je t'ai enfin trouvé, dit Sirius émus.
Ils échangèrent un baiser passionné, puis Actarus s'éloigna des lèvres tentatrices, il voulait que son Calice mange quelque chose.
- Sirius, Harry part demain, je lui ai fixé rendez vous au ministère, il faut qu'il soit la pour légaliser ton retour, un elfe va t'apporter un plateau repas, ensuite il faut que tu dormes un peu, la création du lien fatigue, lui dit Actarus.
Sirius s'étira de tout son long en baillant et donna son accord pour le programme.
Fin du POV
POV Neville
Cette semaine avec ses parents avait transformé Neville, il se sentait plus fort, et tellement heureux. Et tout cela il le devait à Harry.
Neville trouva Harry qui revenait de son entraînement avec Tonio, il devait lui parler.
- Harry tu es de retour, tu as un peu de temps à m'accorder ? Demanda Neville.
- Oui bien sur mais je n'ai qu'une heure, j'ai rendez vous au ministère. Attends je pose mon sac de sport, et je serais disponible, voilà.
- Je voulais dans un premier temps te remercier encore pour mes parents.
- Je t'en prie, vont-ils mieux ?
- Oui, avec mami Augusta nous leurs avons raconté tout ce qui s'est passé, et ils veulent te parler.
Harry acquiesça de la tête et suivi Neville dans la chambre de ses parents. Lorsque Harry entra il les trouva assis dans le coin salon de leur chambre. Ils avaient encore mauvaise mine et semblaient fatigués.
- Monsieur et madame Londubat, bonjour, salua Harry
- Harry, tu peux nous appeler Alice et Franck, dit Alice, installe toi, toi aussi Neville.
Les deux jeunes gens prirent place autour de la table.
- Nous voulions vous remercier pour nous avoir sortie de notre coma magique, vous et Sévérus, aucun mot ne sauraient exprimer ce que cela représente, dit Frank.
- Je vous en prie, n'en parlons plus cela me gène beaucoup, répondit Harry.
- Harry, Neville et Augusta nous ont expliqué la situation, et nous aimerions nous engager auprès de toi, nous aussi. Nous étions des amis proches de tes parents.
- Je dois vous dire avant tout, que Bellartix et Rodolphus Lestrange nous ont rejoint, Neville a du vous expliquer qu'elle a agis sous l'influence d'une potion de loyauté, aussi je peux comprendre que vous ne prêtiez pas de serments, termina Harry.
Il y eu un long moment de silence, les Londubats étaient pensif. Les époux échangèrent un regard.
- Effectivement c'est un sujet sensible pour nous, nous serons de ton coté et garderons tes secrets, mais il nous est difficile de les accepter, pour le moment, dit Frank.
- Je m'en doutais, et sachez que je ne vous en veux pas pour votre décision. J'aurais une proposition à vous faire. Je possède une villa sur une île au Mexique, je pense que cela vous ferais du bien, de vous y ressourcer, et de faire le point sur votre vie, proposa timidement Harry.
Après une concertation les Londubats acceptèrent, il fut décidé qu'ils partiraient le lendemain sous un charme de glamour, et qu'ils avertiraient Augusta de leur décision. Neville regrettait le départ de ses parents, mais il comprenait que cela leurs feraient le plus grand bien. Il ne pu empecher la tristesse d'apparaître sur son visage. Harry le remarqua et proposa à Neville de les accompagner au sanctuaire, à la condition que Draco et Blaise puisse modifier les bagages.
Les deux jeunes gens partirent donc avertirent leurs amis.
Fin du POV
Harry et Sévérus rencontrèrent Maître Gordon et Sirius au ministère devant le bureau du recensement. Harry avait eu juste le temps de se doucher et de se changer pour partir avec Sévérus au ministère. Il était impatient de revoir Sirius, et c'est fébrilement qu'il le chercha du regard. Enfin il le repéra et les deux sorciers s'observèrent longuement, avant de s'avancer l'un vers l'autre. Sirius prit Harry dans ses bras et le serra longuement.
- Harry je suis heureux de te revoir, dit Sirius.
- Moi aussi, tu as l'air en pleine forme, répondit Harry en s'écartant doucement de Sirius pour le regarder
- Oui, je te raconterais mais j'ai passé une semaine extraordinaire. Harry je dois te dire que je suis le calice d'Actarus à présent.
- Je m'en doutais un peu, es tu heureux ? Demanda harry.
- Oui, plus que je ne l'imaginais, je comprends mieux ce que tu ressens pour Sévérus maintenant, mais Harry cela ne change pas que je serais toujours là pour toi, je te l'ai dit je t'aime comme mon fils, dit Sirius angoissé que Harry comprenne.
- Ne t'inquiète pas Sirius, et puis même si nous sommes tous les deux mariés à présent, cela ne changera rien.
- Tu as raison Harry, tu sais je ne vais plus pouvoir t'accompagner au sanctuaire, maintenant que je suis un calice, dit Sirius d'une voie gênée.
- Je ne t'en veux pas, ne te fais pas de soucis…commença Harry.
- Quoi vous partez pour le sanctuaire ? Alors je dois vous dire que je connais quelqu'un la bas, il s'agit d'un ami vampire Ebénézer Grhams, il pourra vous aider, coupa Maître Gordon.
- Vous connaissez du monde là bas ? C'est une très bonne nouvelle, qui est il ? Demanda Harry.
- Un vieil ami, et un vampire très ancien et puissant, il vous aidera, dit Maître Gordon.
- Bien allons remplir ces parchemins, ne restons pas trop longtemps au ministère, s'exclama Sévérus avec impatience.
Les quatre sorciers, pénétrèrent dans le bureau. Ils y trouvèrent un petit fonctionnaire à lunette gribouillant sur des parchemins. Maître Gordon toussota pour attirer son attention.
- Je suis Maître Gordon, voici les documents officieux de Gringotts afin de reconnaître l'identité de mon client Sirius Black comme vivant, suite à une malencontreuse erreur administrative.
Le petit sorcier adressa à peine un petit regard blasé, avant de saisir les documents. « Le susnommé Sirius Black, doit mettre une goutte de sang sur ce parchemin, devant un fonctionnaire accréditez pour valider le fait. »
Actarus prit délicatement la main de Sirius, et mordit un doigt, puis en tenant la main au dessus du parchemin, laissa tomber une goutte de sang. Le fonctionnaire le prit, le tamponna, et les rangea dans un dossier.
- L'enregistrement sera fait, demain matin, dit il d'une voie fluette.
Les trois sorciers le dévisagèrent avec effarement, ce gratte-papiers n'avait même pas réagit à l'annonce du retour de Sirius Black. Maître Gordon, sortit d'autres parchemins.
- Ces documents sont pour l'enregistrement de nouveaux membres dans la famille Black, et cela reconnu par le chef de famille Seth Orion Black ici présent, dit Actarus.
Le sorcier prit les documents, et les observa minutieusement.
Donc, d'après ces parchemins Androméda Black Tonks, Sirius Black, Narcissa Black Malefoy, Bellatrix Black Lestrange, Nympadora Black Tonks et Draco Black Malefoy sont réintégré dans la famille, c'est bien ça ?
- Oui, dit Harry.
- Vous êtes le chef de famille ? Demanda le petit sorcier.
Au mouvement affirmatif de Harry, il lui tendit une plume.
- Veuillez signer ici, et apposer le sceau du chef de famille.
Harry prit la plume, et apposa sa signature, puis il fit apparaître sa chevalière et posa le chaton de la bague sur le parchemin qui fuma brièvement, avant de laisser les armoiries des Black.
- Bien tout est en règle. Bonne journée Messieurs.
Harry, Sévérus, Sirius et Actarus sortirent du bureau et se regardèrent un peu hébété, puis ils éclatèrent de rire.
Ils se firent leurs adieux, Maître Gordon tenant à rentrer rapidement car Sirius était fatigué. Harry et Sirius promirent de se revoir des leurs retour.
Sévérus demanda à Harry de l'attendre dans le hall du ministère, car il devait passer en coup de vent voir Arthur, qui était venu déposer une demande de congés à durée indéterminé.
Harry attendit dans le hall, espérant que Sévérus ne serait pas long à revenir.
POV Hermione
Hermione sortait de ses cours d'auror, ce n'était pas une réussite, avec la perte de ses pouvoirs, elle avait beaucoup de mal à réaliser des sorts simples. Et cela sous le regard indifférent et supérieur de Ron. Ca l'énervait vraiment.
La semaine avait été horrible, Ron ne voyait plus qu'Elisa, et ça jamais elle ne lui pardonnerait. Même si il revenait en rampant devant elle, Hermione lui ferais payer son abandon à cet idiot.
Elle avait du demander à un sorcier croisé dans le ministère de lui dupliquer ses pilules, inventant une histoire de mère malade. Hermione n'aurait surtout pas voulu échouer ou faire une erreur en jetant le sort elle-même. Elle en était là, elle, l'une des plus brillante sorcière…quel misère.
Son traitement sous anti-dépresseur et anxiolytique, la calmait, mais elle avait des effets secondaires : céphalées, vertiges, insomnie, baisse de la libido, et des périodes d'agitation, d'hostilité.
Elle réfléchit à son plan, pour approcher Lord Black. Il fallait qu'elle se glisse à une réunion officielle ou il serait, pour qu'elle puisse le prendre dans ses filets. Pour cela, elle avait une arme secrète, une bague ayant un crochet enduit d'un philtre d'attraction totale. Cela ne marchait que si le sorcier n'aimait personne. Mais aux renseignements qu'elle avait réussit à trouver, il était toujours célibataire. Elle regarda la bague à son doigt avec jubilation.
Elle traversait le hall du ministère pour rentrer chez elle, quand elle le vit. Hermione resta statufié, admirant la beauté du sorcier. Il portait une élégante robe de sorcier noir moirée, mettant en valeur son corps magnifique. Ses cheveux couleur d'ébène laisser libre autour de son visage, la couleur doré de son visage appétissant, mettant en valeur ses yeux vert étincellent. Hermione sentit son cœur bondir devant tant de charme et de sensualité. « Seth » susurrât elle avec envie, se délectant de la saveur de son nom sur sa langue.
Il semblait attendre quelqu'un.
Hermione ne s'y trompa pas c'était une chance unique d'arriver à ses fins.
Mais elle revenait de ses cours, elle n'était pas élégante avec sa robe sale flottant autour d'elle, et l'odeur de transpiration qu'elle dégageait après une journée d'intenses efforts physiques, sans compter ses cheveux emmêlés.
Elle alla donc rapidement se cacher derrière un pilier pour métamorphoser sa tenue. Au lieu d'obtenir la tenue fraîche et distinguée qu'elle souhaitait, ses vêtement se transformèrent en une mini jupe en cuir rouge avec des bas résille, des talons aiguilles et un bustier avec un profond décolleté.
Hermions ragea, puis se dit que cela pourrait l'aider. Elle prit six anti-dépresseur, et s'avança résolument vers Lord Black. Ce qu'elle ne remarqua pas c'est que ses cheveux avaient prit une teinte blonde assez terne et qu'elle était maquillée à outrance.
- Bonjour, je suis Hermione Granger, nous nous étions rencontré à la lecture du testament de Sirius Black.
Lord Black eu l'air très choqué lorsqu'il se retourna pour la regarder. Elle sentit un frisson de plaisir la parcourir lorsque son regard parcourue son corps. Elle ne remarqua pas la moue horrifiée que fit Seth.
- Euh Bonjour, je ne me souviens pas…répondit Seth.
- Si vous m'invitez à boire un verre je dirais oui…fit Hermione avec une mimique aguicheuse.
- Si vous étiez belle je l'aurais fait, répondit Seth dégoûté.
Hermione se renfrogna, il ne devait pas aimé les tenues moldus, pour un sang pur c'était logique. Elle prit une pose suggestive, écartant les cuisses et se penchant pour montrer son décolletée, et se rapprocha de lui.
- Ne dites pas cela, j'ai des robes sorcières ravissantes, de plus je suis très intelligente, et je ne demande qu'à vous connaître….mieux, susurra Hermione.
- Cela ne m'intéresse pas, répondit Harry hargneux.
Hermione énervé, attrapa la main de Lord Black et le piqua de sa bague. Seth retira vivement sa main pour la frotter en lui lançant un regard furibond.
- Que m'avez-vous fait espèce de folle ? Dit Seth furieux.
Hermione le dévisageait avec anxiété attendant que se manifestes les premiers signes d'attractions, Elle était excités au plus haut point, imaginant déjà le Lord se jeter sur ses lèvres en un baiser passionné.
C'est alors que Sévérus Snape apparut, et enlaça la taille de Lord Black de son bras.
- Mademoiselle Granger, pour une surprise…puis je savoir ce que vous voulez à mon époux ? Demanda Snape d'un ton glaciale.
Harry remarquant le regard appuyé et dégoûté de Sévérus jetait sur le décolleté d'Hermione.
- En même temps elle a raison d'en profiter dans cinq ans, ils lui tomberont aux genoux, lança Seth perfide.
Sévérus émis un petit rire goguenard, puis prit la main de Harry et observa la petite plaie, il l'approcha de son nez, pour la respirer, posa le bout de sa langue sur la plaie, puis cracha au sol. Tout en retournant un regard méprisant vers Hermione.
- C'est un philtre d'attraction totale, il devrait être sans effets, mais prends ça, cela neutralisera et éliminera tout risques potentiels.
Sévérus tendit à Harry, une potion qu'il dissimulait dans sa robe, Harry la bu aussitôt en lui laçant un regard reconnaissant.
- Mais, mais…. ce n'est pas possible, il est trop beau pour vous, vous êtes vieux et moche, vous ne pouvez pas être mariés. C'est répugnant, vous êtes écoeurants, criait à présent Hermione d'une voie hystérique.
- Je vous interdis d'insulter mon mari espèce de bouse de dragon dégénéré, il est bien plus beau, séduisant, et intelligent que vous, répondit Harry furieux.
- Je ne vous permets pas Granger de m'insulter. Vous êtes une petite sorcière pathétique, dite Sévérus d'une voie polaire.
- Mais vous ne pouvez pas aimez cette chauve souris graisseuse, c'est un semblant d'homme, c'est contre nature, c'est moi que vous devez choisir, cria Hermione.
- Pas pour tout un empire, je suis gay et marié avec le meilleur sorcier du monde magique, répondit Harry méprisant.
- Granger a semble t-il du mal a se trouver un homme, pour recourir a ces pratiques vulgaires, dit Sévérus d'un ton narquois.
-Tu as raison, c'est une évidence. Je vous interdis de vous approcher de moi à l'avenir, lui dit Harry. Puis il se tourna vers Sévérus et l'embrassa passionnément.
Hermione fut pris d'un élan de rage énorme et voulu donner un coup de pied dans la jambe de Seth, mais elle perdit l'équilibre à cause de ses talons, et tomba au sol les cuisses écartées, mortifié de honte.
Autour d'eux s'était formés un attroupements de sorciers, très curieux et outrés de ce qui se passaient. Un homme portant une tenue d'auror sortie du groupe.
- Puis je savoir ce qui se passe ? Demanda l'auror d'une voie autoritaire.
- Cette créature m'a piqué la main avec sa bague, celle-ci contenait un philtre d'attraction total dit Seth en montrant sa main.
L'aurore prit la main et regarda la petite plaie. Puis il se tourna vers Hermione tétanisé au sol. Il se baissa, attrapa la main pourvue d'une bague.
- Faite attention cette bague est munie d'un crochet empoisonné dit Sévérus.
L'aurore hocha la tête et retira la bague du doigt avec précaution, il constata qu'en effet il y avait un petit hameçon suintant accroché à l'anneau.
- Mademoiselle je vous arrête pour agression sur un sorcier, et veuillez avoir une tenue descente au sein du ministère, je vous prie.
L'auror la redressa et emmena un Hermione en pleure avec lui. Les sorciers s'exclamaient sur leurs passages, insultant Hermione la traitant de moldu, et de sang de bourbe. Ce fut sous les hués qu'elle disparut avec l'auror au sein d'un couloir sombre.
Fin du POV
Harry et Sévérus rentrèrent au manoir Malefoy. Draco, Blaise et Neville les attendaient, leurs disant que tout était prêt pour le départ. Ils passèrent une excellente soirée, a rire de ce qui s'était passer au ministère avec Hermione.
Draco et Blaise voulurent absolument voir le souvenir. Harry le mis dans une pensine, Neville et Lucius voulurent regarder aussi. A leurs sorties, ils ne cessaient de se tordre de rire en parlant de la jupe de cuire rouge, et de son humiliation.
Arthur les rejoint peu de temps après, il dormait au château, afin de pouvoir partir tous ensemble. Ils décidèrent de se coucher tôt car ils allaient se lever aux aurores le lendemain.
La nuit fut courte, après un petit déjeune, Blaise et Draco distribuèrent a chacun un sac à dos contenant le matériel pour l'expédition. Tous étaient très excités par l'aventure dans laquelle ils allaient se lancer.
Ils transplanèrent à Stonehenge.
C'était dans la plaine de Salisbury que se dressait depuis cinq mille ans, le plus beau monument mégalithique d'Europe.
Le soleil n'allait pas tarder à se lever, ils furent impressionnés par la majesté de l'ancien site druidique. C'était un grand monument mégalithique composé d'un ensemble de structures circulaires concentriques. Ils purent sentir la magie primaire qui planait sur ses lieux, c'était réellement impressionnant.
- Harry, as-tu le médaillon ? Demanda Sévérus.
Harry le sortit de sous sa chemise, il détacha la chaîne de son cou pour l'observer. Il était composé d'une grosse pierre verte, ronde et bombée en son centre. Tout le pourtour était fait d'une bande garnie de runes dorées, puis d'un ensemble de pics ressemblant à des rayons de soleil.
Les sorciers se réunirent autour d'eux observant le médaillon avec fascination.
- Je me souviens de ce que m'avais écrit Sirius, il disait : « …il existe un domaine magique appelé Le Sanctuaire, ce domaine abrite toutes les créatures magiques existantes ou ayant existées, il y a au centre du domaine un manoir, dans ce manoir vis une femme, Estrie, elle est le chef de ce domaine, elle t'aidera. Pour que tu puisses accéder à ce domaine et qu'elle t'apporte son aide je te donne le médaillon de Darras. Il faudra que tu te rendes à Stonehenge, là-bas manipules le médaillon, une porte devrait s'ouvrir… » Récita Harry d'un ton concentré.
-Cherchons un endroit ou l'énergie magique semble plus concentrée, dit Arthur.
Tous se mirent à la recherche d'un courant de magie plus fort, que ce qu'ils ressentaient sur le site. Au bout d'un moment on entendit la voie excitée de Neville.
- Venez, vite je crois que je l'ai trouvé, criait Neville.
Tous se précipitèrent cers un énorme mégalithe qui semblait pulser.
- Vite, que chacun pose sa main sur Harry….Harry approche toi et tend le médaillon vers la pierre, dit Sévérus avec impatience.
Harry s'avança doucement vers la pierre, il avait conscience que ses amis gardaient un contacte corporelle avec lui. Il tendit le médaillon vers le mégalithe, qui sembla aimanté soudainement, quand il entra en contacte avec la pierre, une lueur verte éblouissante les enveloppa et ils disparurent.
Réponse aux reviews
diane666 mais et Tonks vous y pensezréponse ;Euh ? C'est un perso carrément secondaire, l'histoire n'est pas sur elle, elle fera des apparitions mais sans plus. Et clairement je ne vais pas reprendre tous les perso du livre, je n'ai pas parlé de mc go non plus…
Alie-yaoi Toujoues aussi bien, le nom de famille n'est pas Preweet mais PREWETT, et cen'est pas Aurore mais AURORréponse oui désolé, mais comme déjà dit, ma super bêta n'est pas encore passé pour les corrections, et toujours c'est avec un r
stormtrooper2 …..Calice d'actarus (tu ne regardais pas goldorak toi par hasard ? réponse grillé …t'as tout découvert, mais en plus avec Sirius, Orion, ….y a pas une étoile qui s'appelle aussi actarus ? on reste dans l'espace en gros.
Darkayora, tu m'as tué mdr, j'en pouvais + en te lisant j'imaginais la scène….excellent…c'est tout a fait mon genre d'humour, j'adore
Kamyu les 3 frangines black ? Oui tu l'auras, même tout le clan black ça va être énorme.
Darkayora merci pour ton message qui m'a beaucoup touché
Clairehime
Quelques précisions : tu me dis que Harry est trop puissant, pour le moment il a juste récupérer quelques dons Black (la magie sans baguette, la magie noire, et le contrôle de son animagus) ce qui n'est pas énorme, et avec le serpent a plumes de l'énergie vitale et les sorts/serpents. Et il va récupérer d'autres petites choses au Sanctuaire, personnellement je ne trouve pas cela démesuré, comme dans certaines fic ou il est le maître des 4 éléments et roi des elfes et des mages de lumière, la les pouvoirs en font superman. Ce Harry doit aussi être crédible pour mon histoire il doit battre Dumby, Voldy et le ministère….Donc a la base juste les pouvoirs d'un 6 eme année c'est pas le top
Pour la relation de Sévérus qui débute vite, elle n'est venu qu'au 6 eme chapitre, et j'ai essayé d'expliquer que Harry avait craqué sur lui depuis longtemps, et Sévérus avait eu le coup de foudre un peu avant, je n'ai pas trouvé cela choquant. J'ai voulu montrer une histoire d'amour vraiment passionnée et forte, alors pourquoi attendre les 3 rdv réglementaires ? Et je n'avais pas prévu de développe autant l'histoire…
Pour la relation père/fils avec Sirius qui n'a pas changé, Sirius a toujours eu un comportement un peu « gamin », et s'imposer en tant que père avec un garçon de 18 ans en plus marié et chef de guerre, avec le peu de temps qu'ils ont eu c'est mission impossible…l'adoption posthume permettait la justification des changements sur Harry, je n'ai jamais eu l'intention de faire de Sirius un père autoritaire, cela ne va pas avec l'histoire.
Après tout cela ce n'est que mon opinion et ma vision des choses.
Merci a tous les autres, pour vos gentils messages j'aime bien savoir quelle partie vous aimez et ce qui vous a fait rire c'est vraiment sympa. Bizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz
CHAPITRE 24 Le SANCTUAIRE
Le groupe de sorciers réapparut au milieu d'un halo vert, ils attendirent que la lumière s'atténue, puis ne disparaisse pour ouvrir des yeux étonnés.
Ils se trouvaient en plein milieu d'un désert de sable d'un jaune très pale. Le soleil brûlant était haut dans le ciel, il n'y avait aucun nuage, et la température était caniculaire. A l'horizon, quelque soit la direction ou l'on se tournait, il n'y avait que les étendus désertiques de dunes de sable. Ils se regardèrent consternés.
- Déjà il faut se couvrir la tête, se protéger de la chaleur, et vérifier nos provisions d'eau, intervint Arthur.
Tous posèrent leurs sac a dos au sol et modifièrent leurs tenues. Draco avait eu la bonne idée de joindre à leurs trousseaux une longue écharpe de coton, ils s'en confectionnèrent une coiffe.
Chacun pu se changer et se sentit mieux.
Ensuite Neville sortit sa baguette pour invoquer un verre d'eau il commençait à souffrir de la chaleur. Mais le sort ne fonctionna pas, à son grand affolement.
Ils sortirent alors tous leurs baguettes, mais le sortilège ne marchait pas, ils en essayèrent d'autres, mais aucun ne fonctionnaient. C'était comme si ils agitaient des morceaux de bois dans le vide. Cette contestation les effraya, leurs magies semblaient bloquées.
- Et maintenant ? Qu'allons nous faire sans magie ? Et quelle direction prendre ? Demanda Blaise.
- Nous aviserons dit Arthur, cela va rendre les choses difficiles, si nous n'avons plus de magie.
- Et pour l'eau ? Contrôler vos réserves chacun, dit Sévérus.
Mais le moral baissa, lorsqu'ils découvrirent les provisions d'eau…ils n'avaient que trois litres par personnes. Sévérus inquiet, releva la tête.
- Il va falloir trouver rapidement un point d'eau, sinon nous ne tiendrons pas dans cette fournaise, dit il préoccupé.
Harry était très anxieux par la situation, qu'allaient ils faire ? Il regarda pensivement le médaillon qu'il tenait à la main, et soudain fixa avec étonnement un petit point d'un vert plus soutenu qui clignotait sur le rebord de la grosse pierre verte.
Aussitôt, il interpella ses compagnons pour leur faire constater l'anomalie.
- La pierre a peut être subit un choc durant le transfert, dit Draco.
- Non elle ne semble pas fêler, dit Blaise.
Ils se plongèrent dans une intense réflexion.
- Et si…si c'était comme une direction à prendre, dit Neville d'une petite voie.
- Mais oui comme les boussoles moldu, dit Arthur.
- Donc, nous pouvons partir dans la direction qu'indique ce point, sur le médaillon ? De toute façon nous n'avons pas le choix, conclua Sévérus.
- C'est notre seule indice sérieux…essayons, nous n'avons pas beaucoup d'autre alternatives, dit Harry.
Ils reprirent chacun leurs sac, Harry prenant la tête du groupe. Il passa la chaîne du médaillon autour du cou, et prit la direction sud ouest, qu'indiquait le point lumineux.
Au bout de trois heures de marches, ils n'en pouvaient plus, avancer dans le sable était pénible et fatiguant. Ils étaient tous trempés par la transpiration, et n'avaient pas parlé, la chaleur, le sable, et l'angoisse desséchant leurs gorges.
Leurs yeux les brûlaient à cause de la réverbération du soleil, sur les dunes.
- Harry le point a-t-il bougé ? Demanda Sévérus.
- Non, toujours la même direction.
- Nous devrions monter la tente, et nous reposer, marchons de nuit, nous ne supporterons pas la traversé de ce désert sinon, dit Arthur d'une voie exténué.
Draco sortit la tente et la déplia avec l'aide de Blaise. Elle fut rapidement installée. Les sorciers se précipitèrent à l'intérieure.
Draco mis en route un système sorcier d'air conditionné, et dès que la température se refroidit, ils se sentirent mieux. La tente était simple pourvue de trois chambres double et d'une salle de bains.
- Nous n'y avions pas pensé, mais nous aurons de l'eau qui sera fournit par la tente, après que Blaise ai vérifié qu'un robinet fonctionnait.
Tous poussèrent un soupire de soulagement à ce constat.
- Draco pour la nourriture combien de jour pouvons nous tenir ? Demanda Neville.
- Trois jours, en se rationnant cinq, dit sombrement Draco
- T'en fais pas Draco, ça va aller, dit Blaise optimiste.
- Comment veux tu que cela ailles ? Nous n'avons plus de magie, nous ne pouvons pas faire jaillir d'eau, faire de sorts d'allégement sur nos sac, et si on nous attaque comment nous défendrons nous ? Dit Draco avec beaucoup d'énervement.
- Draco à raison, cherchez chacun une arme, si nous sommes attaqués nous devons pouvoir nous défendre comme des moldus, dit Arthur.
Harry, Blaise et Sévérus prirent des couteaux dans la cuisine, Neville un club de golfe, Arthur une hachette et Draco le bâton du balai.
Neville prépara un thé très sucré, pour reconstituer leurs réserves d'énergie. Ensuite chacun alla s'allonger pour essayer de dormir un peu. Draco et Blaise, prirent une chambre, Arthur et Neville l'autre, et Sévérus et Harry la dernière.
Ils s'allongèrent sur le lit et Harry se blottit dans les bras de Sévérus.
- Je suis inquiet Sév, et si nous ne trouvons pas à temps, cette femme Estrie ? Nous n'avons plus de magie, et si peu de vivres, dit Harry abattus.
- Harry nous avons ton médaillon, garde courage, tu es juste fatigué, dors.
Sévérus lui caressa gentiment sa tête pour l'apaiser, Harry s'endormit doucement. Sévérus ne dormit pas, il garda les yeux ouverts, fixant le mur.
Tous purent prendre du repos, mais ils dormirent peu, toutefois cela leurs permis de reconstituer leurs forces.
Peu avant la tombée de la nuit, Neville et Harry préparèrent le repas. Ils mangèrent avec délectation des sapagetthi bolognaise, puis ils replièrent la tente et se remirent en route.
La nuit était tombée, et les températures chutèrent, chacun sortis un pull, en râlant sur ses modifications de températures extrêmes.
Ils reprirent leurs marches, qui fut moins pénible, la lune et les étoiles éclairaient leur route, le désert la nuit était magnifique, et se nimbait de différents tons de bleus. Les sorciers contemplèrent émerveillé la voûte céleste, jamais ils n'avaient vu autant d'étoiles.
Vers les quatre heures du matin de gros nuages firent leurs apparitions cachant la faible clarté des astres, rendant leurs progressions difficiles. Leurs muscles hurlaient sous les efforts qu'ils faisaient subir à leurs corps.
- Nous avons changé de direction nous marchons au nord à présent, dit Harry.
- J'espère que cela veut dire que nous arrivons, le sac à dos me cisailles les épaules, et je suis fatigué, se plaignit Draco.
- Chut, taisez vous, j'entends quelque chose, dit Blaise.
Aussitôt les sorciers firent silence, et guettèrent le cœur battant le moindre son. Ils entendirent un frottement, puis un ensemble de pas piétinant et précipités, puis plus rien.
- Remettons nous en marche, sortez vos armes, et tenez vous prêt, dit Sévérus nerveusement.
Tout d'un coup l'obscurité environnante devient angoissante, et menaçante.
Dés qu'ils se remirent en marchent, le piétinement reprit, cette fois le bruit semblait provenir de chacun de leurs flans. Les sorciers devinrent nerveux, et accélèrent le rythme de la marche.
Le piétinement continuait en les suivant, à présent ils entendaient des cris sauvages et aigus. Une tension effroyable augmenta parmi les sorciers.
- Arrêtez vous, cela nous encercle, formez un cercle, vite dit Sévérus.
Aussitôt, les attaques commencèrent, les attaquants avaient de longues aiguilles de fer aiguisées et ils voulaient les transpercer.
Neville éclata une tête avec son club de golfe, Draco envoya un violent coup dans le ventre à l'une des créatures avec son bâton. Blaise ne pu éviter l'une des aiguilles et se fit transpercer le bras, aussitôt Harry plongea, et fit son mouvement d'éventration avec son couteau sur la créature.
Les hurlements des créatures guerrières étaient assourdissants, et elles effrayèrent les sorciers, qui se défendaient avec l'énergie du désespoir.
Sévérus d'un coup habile de couteau réussit a en égorger une autre, mais Arthur, rata sa cible avec sa hachette et se fit transpercer la jambe. Neville vint aussitôt à son aide et explosa le crâne de la créature avec le club de golf.
Harry réussit à en tuer plusieurs, mais il fut submergé par le nombres, et Draco et Sévérus se précipitèrent pour l'aider Harry avait une très mauvaise blessure au ventre, et au bras. Le jour commença à poindre, et les créatures disparurent.
Les sorciers s'écroulèrent dans le sable épuisés et terrifiés. Sévérus se précipita vers Harry, il prit ses potions de soins qu'il avait accrochés autour de sa taille, et rapidement versa une fiole arrêtant les hémorragies et fermant les plaies. Il lui fit prendre de la potion reconstituante, puis circula dans le groupe soignant les diverses blessures. Harry resta allongé en état de choc les plaies le brûlaient comme si elles étaient encore ouvertes.
- Mais qu'est ce que c'était ? Cria Draco paniqué.
- Je ne sais pas, il n'y a aucun corps, dit Arthur.
- Si là, elles en ont oubliés une, dit Neville.
Sévérus aida Harry à se redresser, ses blessures lui fessaient mal, ils encerclèrent la créature morte reposant sur le sable. Ils la fixèrent hébétés.
Elle était hideuse, longue et maigre, sa peau était transparente. On voyait tous ses organes, muscles, et vaisseaux sanguins internes.
La tête était effrayante une bouche sans lèvre pleine de dents affûtés comme de petits rasoirs, et des yeux globuleux sans paupière, les pieds étaient fourchus. Les sorciers se mirent à haleter à la vue de cette horreur.
- Mais qu'est ce que c'est ? s'exclama Neville
Un long silence lui répondit augmentant leurs angoisses.
- Je ne sais pas Neville, je ne connais pas cette créature, répondit Arthur en état de choc.
- Moi je la connais, répondit Sévérus d'une voie sinistre. J'ai vu une gravure dans un livre de magie noir très ancien. C'est une goule, elles mangent la chair humaine, ou bien elles sont cannibales, elles aiment les cimetières où elle déterre les cadavres pour s'en nourrir.
Les sorciers reprirent leurs marchent, voulant s'éloigner de cette abomination, mais les blessés ne se sentaient pas bien. Ils durent faire halte, Draco et Sévérus installèrent la tente et traînèrent ceux qui avaient reçu un coup d'aiguille dans la tente. Arthur, Blaise et Harry s'étaient écroulés dans le sable, gémissant de douleur. Ils commençaient à avoir une forte fièvre, Sévérus les installa dans une chambre, très inquiet.
- Qu'est ce qu'ils ont ? Demanda Neville avec angoisse.
- Je ne comprends pas, j'ai refermé leurs plaies, elles étaient propres….Peut être du poison, mais je n'ai pas de matériel pour faire des recherches, dit Sévérus énervé.
- Parrain, il faut réfléchir a nos moyens de défense pour cette nuit, s'exclama Draco.
Sévérus poussa un gros soupire de découragement en fourrageant dans ses cheveux.
- Je vais nous faire un thé cela nous fera du bien, proposa Neville.
Ils commencèrent à boire la boisson chaude qui leur rendit un peu de lucidité. Mais les trois sorciers étaient livides.
- Nous allons faire des brancards, et nous en tirerons chacun un, nous ne pouvons pas rester ici, et leurs état ne va pas s'améliorer. Il va falloir marcher dans la journée, et la nuit….que faire ? S'exclama Sévérus avec dépit.
- Si seulement nous avions encore notre magie, nous mettrions une barrière de protection, ragea Draco.
- Mais oui….c'est ça, je connais un sort de runes, il se base sur l'énergie de la terre, faisons un cercle protecteur autour de notre campement, dit Sévérus.
- Et si cela ne marchait pas ?La magie est bloquée ici, répondit Neville.
- Non Neville, là nous faisons appel aux forces de la terre. Bien Neville prépare nous à manger, je vais vous donner une potion d'énergie, cela nous boostera aujourd'hui. Draco fais les brancards, prends les couvertures, des bouts de bois. De mon coté je vais leur donner un anti-poison générale, et je vais les hydrater dit Sévérus.
Ils se mirent au travail, deux heures plus tard, ils reprenaient la route. Sévérus avait prit le médaillon pour s'orienter, il tirait Arthur, le plus lourd. Draco tirait Harry, et Neville s'occupait de Blaise. La potion semblait les avoir soulagés, mais ils avaient perdus connaissance.
La marche dans le désert sous un ciel de plomb fut très pénible, toute les heurs ils buvaient et faisaient boire les malades. Quand la nuit commença à tomber, ils n'eurent pas la force d'installer la tente. Sévérus prit le bâton de Draco et traça le cercle et les runes en récitant une incantation. Neville alluma un feu en récupérant dans la tente qu'il avait déplié trois chaises qu'il brisa. Il leurs prépara un repas avec une conserve réchauffé sur le feu, et ils mangèrent en silence guettant les bruits dans la nuit.
Les premières attaques survinrent vers deux heures du matin. Mais le cercle arrêta les goules, ils durent néanmoins subirent une partie de la nuit la pression des créatures qui cherchaient à pénétrer avec rage le cercle.
Les trois jours suivant furent pareils, les malades n'avaient pas reprit connaissance, et leurs compagnons se rongeaient d'inquiétude pour eux.
Enfin le quatrième jour ils arrivèrent à la bordure du désert, dés qu'il franchirent la limite, le paysage changea brusquement.
Il y avait des plantes, des arbres, une foret bordait une route de terre, la température était douce, avec une brise légère. Ils étaient enfin sortis de l'enfer.
Après un moment de repos, ou ils s'étaient écroulés au sol. Il virent venir a eux une étrange créature. Elle avait la peau bleu, avec des oreilles pointus et de long cheveux blancs. Elle était vétus de long voiles blancs vaporeux, elle les salua.
- Bonjour étranger, je me nomme Yor, je ne suis pas hostile et je suis un Sylphe, quel est le but de votre quête ? demanda la créature d'une voie chantante.
- Nous cherchons Estrie, et nos compagnons ont été blessé par des goules, ils ont besoin de soins, répondit Sévérus en se redressant péniblement.
Le Sylphe regarda de ses grands yeux doux, les blessés sur le brancard puis les sorciers épuisés. Yor émis un long sifflement mélodieux et deux charrettes tirés par des licornes sortirent de la foret avec d'autre Sylphe.
Vous monterez dans un chariot, vos amis malades dans l'autre, ainsi nous pourrons commencer à leur donner les premiers soins. Je vais vous conduire auprès de la Gardienne, nous arriverons en fin de journée.
Sévérus, Draco et Blaise, furent envahit par un intense sentiment de soulagement, et laissèrent les larmes enfin couler.
Quand ils arrivèrent le jour tombaient, tout les trois avaient somnolé complètement vidés de leurs forces. Ils avaient découvert une région paisible, et verdoyante.
Les trois sorciers regardaient avec étonnement la ville dans laquelle, ils venaient d'entrer, l'ensemble était d'inspiration romaine sans conteste, toutefois ils virent d'étranges construction faites de tours.
Ils aperçurent un grand bâtiment en pierre blanche, au détour d'une rue, il surplombait la cité, un temple immense de style romain.
Yor, s'approcha de la charrette, et leurs parla doucement
- Vos compagnons vont mieux, sauf le jeune homme à la cicatrice, il mettra plus de temps à récupérer. Nous allons vous installer dans vos quartiers, un Sylphe vous conduira aux Thermes pour vous laver, puis vous mangerez et vous vous reposerez.
La gardienne vous recevra dans trois jours, ainsi vous et vos amis aurez pu reprendre des forces.
- Pour Harry, le jeune homme à la cicatrice puis je le voir ? demanda Sévérus avec inquiétude. Il n'avait pas eu la force de bouger de la charrette.
- Nous allons le conduire maintenant voir notre guérisseur, vous ne pouvez rien faire pour lui, vous le verrez demain, répondit Yor.
Sévérus, Draco et Neville, furent conduit aux termes, ou des Sylphes les déshabillèrent, les firent entrer dans un grand bassin d'eau chaude. Ils les lavèrent malgré les cris farouches de protestation des sorciers. Ils les conduisent ensuite sur des tables de massages, ou ils s'endormirent, soulagés par les attentions que l'on portaient à leurs muscles douloureux. Un Sylphe les conduisit à leurs chambres ou les attendaient un repas froid. Les trois sorciers épuisés allèrent se coucher.
Ils se réveillèrent le lendemain, en fin de journée, et demandèrent à voir leurs amis. Ils avaient reprit connaissance, mais Harry restait encore très faible. Au bout de deux jours, ils pouvaient se déplacer même si leurs forces n'étaient pas revenues.
Yor, vint les chercher pour rencontrer la gardienne du Sanctuaire. Il les conduisit vers le temple qu'ils avaient aperçu le premier jour. Yor refusa de répondre à leurs question, expliquant que la Gardienne leurs expliquerait tout.
Ils pénétrèrent dans un temple blanc d'inspiration romaine, les hauts piliers imposaient le respect. Le bâtiment projetait ses dimensions gigantesques en longueur. Le sol était fait de marbre blanc
Ils arrivèrent devant une femme assise dans un siège surélevé, elle fit un signe de la main à Yor, qui fit apparaitres aussitôt six chaises, une table et des rafraîchissements.
C'était une très belle femme aux longs cheveux bouclés auburn, sa peau était dorée, et elle avait de grands yeux gris. Elle portait une toge romaine, et un fin diadème d'or enserrait sa tête.
- Je suis heureuse de vous accueillir je m'appelle Estrie Vlad D'Ores, je suis la gardienne du Sanctuaire, prenez place je sais que vous avez de nombreuses questions à me poser, dit elle.
Les sorciers la saluèrent et se présentèrent, Harry qui avait remis son médaillon, et se fit connaître.
Estrie se leva et commença à parler.
« En Xanadu n'a Khan Kubla
Un décret imposant les dômes:
Lorsque Alph , le fleuve sacré, s'est écoulés
Grâce à l'homme des cavernes incommensurable
Xanadu naquis d'une mer sans soleil.
Donc, deux fois cinq miles de la terre fertile
Avec des murs et des tours ont été ceinturés ronde:
Et il y avait des jardins lumineux avec rigoles sinueuses,
Où fleurit beaucoup d'arbres d'encens;
Et là étaient les forêts anciennes dans les collines,
Enveloppant les endroits ensoleillés de verdure.
Je ferais construire ces dômes dans l'air,
Ces dômes ensoleillés! Les grottes de glace!
Et tous ceux qui écoutaient devraient les voir
Et tous devraient pleurer, Attention! Méfiez-vous!
Ses yeux étincelants, ses cheveux flottants!
Tisser un cercle autour de lui trois fois,
Et fermez les yeux avec terreur sacrée »
Extrait (un peu modifié) de "Kubla Khan, ou une vision dans un rêve. Un fragment."
- Vous êtes dans la citée de Xanadu, reprit Estrie, que cherchez vous en ces lieux ?
- Nous cherchons des alliés, nous sommes en guerre, et venons demander de l'aide, répondit Harry impressionné.
- Cela fait longtemps que nous n'avions pas eu de visites, expliquez moi votre quête.
Harry raconta alors son histoire, la vie dans le monde sorcier, la corruption du ministère, la lutte de pouvoir entre Voldemort et Dumbledore. La destruction progressive du monde magique. Enfin sa volonté de tout changer. L'alliance qu'il était en train de créer.
Quand il eu finit, Estrie resta pensive, puis reprit la parole.
- Je vais vous expliquer ce qu'est le Sanctuaire. C'est le dernier refuge des êtres magique, le domaine est en dehors du temps et de l'espace. Une année ici, vous coûtera dix jours chez vous. Le domaine est physiquement sur la terre bien qu'il bouge souvent de place, mais invisible au monde magique.
La gardienne est le chef du sanctuaire, je dirige deux domaines, celui de la nuit et celui de la lumière. Ainsi chaque domaines est gérés par un maître de dôme, Le domaine de la nuit est les territoire des créatures dites sombres, à l'opposé le domaine de la lumière, regroupe les êtres purs et bénéfiques.
Je suis prête à vous aider, à vous fournir des alliés ….mais à mes conditions.
- Quels sont ces conditions ? Demanda Sévérus.
- Je vais vous demander de résider une année ici, je vous répartirait en deux groupes, l'un séjournera pendant six mois dans le domaine de la lumière, l'autre dans celui de la nuit. Au bout de six mois vous changerez de domaine. Si je vous demande cela c'est pour la raison que vous me demandez des alliés, et peut ont avoir des alliés dont on ne sait rien ? Par ailleurs durant votre séjour vous vous apprendrez techniques, secrets et compétences dans différents domaines qui vous aideront dans votre guerre. C'est moi qui formerais les groupes.
Harry, Neville et Draco seront ensemble. Sévérus, Arthur et Blaise composeront le deuxième groupe. Vous vous séparerez demain matin.
- Mais c'est impossible…je ne veux pas me séparer de Sévérus nous sommes mariés, j'ai besoin de lui, cria Harry en se redressant.
- Je m'y oppose aussi, j'aime Harry, dit Sévérus.
- Je ne veux pas non plus être séparé de Blaise cria Draco.
- Je regrette, mais cela vous sera plus bénéfique ainsi, vous comprendrez ma sagesse plus tard, dit Estrie avec compassion.
Harry laissa couler ses larmes de frustration et de douleur, Sévérus passa ses bras autour des épaules de son époux en serrant les dents de colère.
- Comprenez moi, je comprends que cette décision soit dure a accepter, lorsque vous êtes apparut dans le domaine, vous avez atterrit dans le désert des goules, elles ont faillit vous tuer, après cette année, vous ne craindrez plus rien d'elles, reprit Estrie.
- Mais pourquoi devons nous nous séparer, nous pourrions rester tous ensemble, insista Harry.
- Je ne peux pas envoyer plus de trois sorciers dans chaque domaine, c'est une question d'équilibre, et cela évitera des rivalités entre les deux domaines.
- Et pour nos magies, nous n'avions plus de pouvoir dans le désert, que se passe t il ? Demanda Arthur.
- Suivant le peuple avec lequel vous résiderez vous aurez accès ou pas à votre magie. Quand vous n'y aurez pas accès, ce sera pour développer une autre compétence, expliqua Estrie.
Les sorciers se résignèrent à accepter la décision de la gardienne. La séparation allait être difficile. Sévérus serra Harry dans ses bras appréhendant le moment ou il devrait quitter son amour.
J'espère que ce chapitre vous a plue, vous avez compris cela va être une période d'entainement que je ne développerais pas trop…niarc niarc.
J'ai aimé décrire les goules, avec le combat, pour montrer la valeur des sorciers sans magie.
Merci pour tous vos messages, vous êtes géniaux. bizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz
CHAPITRE 25 Entraînement
Domaine de la lumière
Harry regardait Név et Draco faire leurs exercices de Cha Quan, qui sont des coups de pieds volants très acrobatiques. Ils étaient devenus très bons à ce type d'exercices, comme lui d'ailleurs. Cela faisait maintenant six mois qu'ils vivaient dans le domaine de la lumière. A leurs arrivé le Maître de dôme, Astoria Emerys, une elfe de lumière, leurs avait présentés son domaine avec fierté. Celui-ci était vallonné, débordant d'une végétation luxuriante, le temps y était doux et clément.
Ils allaient vivre dans le monastère Shaolin, afin de fortifier leurs corps, atteindre un haut niveau de concentration, et développer des techniques de combats. Lorsque Neville s'était étonné de la présence d'un monastère Shaolin, demandant le lien avec la magie. Astoria l'avait regardé avec un sourire mystérieux sans répondre.
A présent ils connaissaient le secret du monastère, ces techniques avaient développé la force de leurs Ka, l'énergie spirituel. Ils avaient aussi découvert le contrôle de leurs corps, la maîtrise de leurs gestes. Tout cela n'avait pas été inutile, car ils sentaient une plus grande domination sur leurs magies, et le développement de leurs capacités.
Au monastère leurs maître Chan-Li, leurs faisait faire chaque matin, de la méditation, l'après midi étant consacrés aux techniques de combats, à mains nus, ou avec des armes. L'entraînement avait été dur, surtout pour Draco et Neville, qu n'avaient jamais appris à développer leurs capacités physique, jusqu'à ce haut niveau, mais ils avaient tout trois considérablement augmenté leurs endurance.
Harry avait mis une bonne semaine pour se remettre de l'attaque des goules, mais les moines lu avaient préparé chaque de jours des boissons reconstituantes, pleine d'énergie zen qui l'avait remis sur pieds.
Les exercices furent difficiles fait de courses d'endurance, de soulevé de poids, de gymnastique pour acquérir de la souplesse.
Le résultat en valait la peine, ils étaient transformés. Au niveau moral, ils avaient une plus grande maîtrise de leurs émotions, ils avaient acquis du calme et de la sérénité, cette partie là avait été très difficile à contrôler pour Harry.
Au niveau physique leurs musculatures s'étaient développées, ils avaient des abdominaux en bétons, leurs pectoraux avait forcis, chaque muscles de leurs corps s'étaient renforcés. Ils avaient tous tes trois gagnés quelques centimètres, et ne craignaient plus d'affronter personne.
Quand ils repensaient à leurs arrivés il y a six mois, et la défense pitoyable qu'ils avaient offerte aux goules….Ce serait aujourd'hui, elles n'auraient aucunes chances.
Neville était celui ou le changement avait été le plus spectaculaire, il avait perdu les rondeurs de l'enfance, son corps s'était complètement transformé, développant avantageusement ses jambes, qui en faisait le meilleur dés lors qu'il y avait une course.
Draco, avait d'avantage appréciés les cours de stratégie militaire, cela l'avait immédiatement passionné, les principes d'équilibre du yin et du yang l'avait fasciné, il se débrouillait aussi très bien en kung-fu.
Pour Harry la maîtrise des différents arts de combats avait relevé du talent, il aimait pousser son corps à ses dernières extrémité, la souffrance de ses membres lui permettant d'ignorer le manque de Sévérus, et de vider sa colère.
Toute la semaine, ils travaillaient avec Chan-Li, le week-end, ils rendaient visites aux différentes races du domaine et de façon individuelle.
Astoria avait organisé toutes leurs fins de semaine, ils avaient plusieurs races à rencontrer, et tous les trois de façons autonomes, devraient s'y soumettre. Chan-Li était tellement satisfait de leurs travails et de leurs efforts, qu'ils avaient pu passer le dernier mois avec les peuples qu'ils souhaitaient.
Harry avait rendu visite aux nains vivant dans les galeries souterraines, il y avait appris l'art runique et la connaissance des énergies telluriques. Harry avait découvert le pouvoir des pierres précieuses, et il avait constitué une petite réserve alors qu'il se trouvait dans les galeries. Grimnir Sans Peur, lui expliqua les secrets des métaux, il lui fit découvrir le plus grand sanctuaire, Karak Azul, citadelle réputée pour ses armureries et ses forges. Harry s'essaya à la forge et créa des bijoux et des armes, Grimnir lui apprit à y insuffler de la magie. Celui-ci lui offrit deux couteaux antiques, Harry décida d'en garder un pour Tonio, De profonds liens d'amitié s'étaient forgés entre Grimnir et Harry, son expérience, sa vision simple de la vie l'avait aidé à surmonter son mal-être, à relativiser.
Harry développa sa magie sans baguette avec les elfes sylvestres, qui lui livrèrent quelques secrets pour communiquer avec les animaux, appréciant son don avec les serpents.
Neville avait eu beaucoup d'affinités avec les elfes sylvestres, et avaient partagés avec eux l'amour des plantes et de la nature. Neville apprit à communiquer avec les esprits de la nature, et avec les animaux, apprenant les bienfaits des pouvoirs de guérisons. Il y découvrit le petit peuple, composé de leprechauns, de farfadets, de lutins, des nymphes, ondines, et fées. La communication avec la nature lui ouvrit une nouvelle vision de l'univers végétal, son respect et son émerveillement grandirent.
Draco avait découvert le monde des Dragons, mais cette race avait disparus de la terre, ceux-ci étaient anciens. Ils avaient la capacité de communiquer, de réfléchir. Draco eu la chance de se lier d'amitié avec un dragon argenté et noir, d'une race depuis longtemps disparus, Ils se reconnurent immédiatement. Leurs âmes communiquaient, ils décidèrent d'échanger leurs sangs. Draco s'ouvrit la main, puis fit une entaille sur le cou de son dragon, et pu réunir leurs sang. Dés lors, un lien très fort s'était crée entre eux.
Le nom du Dragon était donné par son père à la naissance, ce secret était gardé jalousement. Le vrai nom du dragon n'est sut que par lui-même et celui avec qui il se liait. Il donna son nom à Draco, qui en pleura d'émotion. Son dragon se nommait Garjzla, qui veut dire lumière, il était astucieux, adorant les énigmes. Il était très expérimenté en magie de l'air, des végétaux et de l'eau. Il savait comment manipuler la nature pour laquel il avait toujours démontré un énorme respect. Draco fut transporté de joie à cette rencontre qui allait changer sa vie, il pu voler sur le dos de Garjza, il se sentit ne faisant qu'un, accédant à la compréhension d'énergies le dépassant. Son Dragon lui expliqua que le lien lui permettait de découvrir ses sensations.
Harry se refusait à présent à penser à Sévérus. La nuit de leurs séparation, avait été passionné, et triste, même désespéré. Harry avait sangloté dans ses bras refusant de le lâcher, Sévérus avait été terriblement malheureux, Harry l'avait sentit, il n'avait eu de cesse de l'embrasser, pour graver son goût en lui. Le matin de la séparation il se sentait horriblement vide, comme anesthésié, et il n'avait pas voulu d'un dernier baiser, effrayé que ce soit le dernier. A présent il donnerait tout pour un instant dans ses bras.
Draco l'avait beaucoup aidé, et soutenu, un lien très fort s'était forgé entre eux, il avait compris sa détresse. Neville à sa manière l'avait aussi aidé, essayant de lui changer les idées, lui parlant des races de créatures, des plantes, et d'animaux disparus sur terre, et qui existaient ici.
Les premiers temps Harry pleurait chaque nuit, il y avait ce vide qui s'était creuser au fond de lui. Il ne cessait de repenser aux moments qu'ils avaient passés à la noches, à sa douceur, sa passion et cela lui faisait mal, mais c'était un mal ou il aimait se complaire. Comme si cette souffrance le rapprochait de lui.
La plupart du temps ils vaquaient a ses occupations, se donnant à fond dans son entraînement. A d'autres, il voulait tout plaquer, aller chercher son mari, et rentrer sur leurs îles loin de tous. Et tout ces tiraillements le rendait agressif, agressivité qu'il avait versé dans les combats. Neville et Draco avaient été effrayé par l'acharnement et la violence que Harry libérait. Mais Chan-Li, les avaient rassurés disant que la méditation l'aiderait, et que son énergie était canalisé dans les combats. En effet ils purent constater les progrès phénoménaux qu'il réalisa en un temps record lui permettant de contrôler des arts martiaux très techniques.
Mais c'était surtout la nuit, malgré la fatigue physique, qu'il ressentait comme une brûlure le manque de Sévérus, il le voulait là, contre lui, en lui. Au bout des six mois, il avait décidé qu'il trouverait une solution pour le retrouver.
- Harry, Harry ? Cela fait dix minutes que je t'appelle, nous avons notre entraînement de Tai Chi Chuan, maintenant, viens, dit Draco le regard préoccupé.
- Oui, désolé Draco, j'arrive.
Harry et Draco partirent rejoindre Neville qui les attendait plus loin. Ils se positionnèrent et commencèrent les gestes gracieux, enchaînant les mouvements avec une parfaite synchronicité. Le Tai Chi Chuan, est comme une sorte de gymnastique, d'un art martial chinois, qui a pour rôle de fortifier le corps en lui apportant un équilibre en recentrant les énergies.
De nombreux habitants du monastère arrêtèrent leurs taches quotidiennes pour admirer le spectacle, ils étaient splendides, beau, fort, et l'harmonie de leurs gestes allégés leurs soucis et réchauffaient les cœurs.
Après leurs entraînements les trois garçons se retrouvèrent près de la fontaine pour se désaltérer. Quand ils virent Chan-Li courrirent vers eux.
- Astoria le maître de Dôme, vous demande au palais, vous devez partir de suite, dit Chan-Li.
Ils partirent aussitôt pour le Dôme, quand ils arrivèrent Astoria les attendaient.
- Je vous remercie d'être venu si vite, les peuples que vous avez rencontrés enverront à la Gardienne, la décision qu'ils ont prise concernant l'alliance, les informa Astoria.
- Nous avons été testé pendant tout ce temps ? D'exclama Neville.
-Bien sur, mais je ne pouvais rien vous dire, pour ne pas contrarier vos rencontres, Bien, si je vous ai fait venir ici, c'est pour vous faire un cadeau au nom du dôme de lumière.
Les trois sorciers la regardèrent intrigués, elle leurs fit un geste pour qu'ils la suivent. Elle les conduisit dans une grande salle ronde, en son centre se trouvait une énorme pierre verte, retenus par des lierres qui pulsaient.
- Cette pierre est reliée à la magie du sanctuaire, elle va vous permettre de révéler votre animagi. Harry, Neville et Draco eurent des mines ébahis, et furent soudain très excités.
Sachez que la pierre augmentera un peu la puissance de votre animal intérieur, donc vous n'aurez rien de classique, mais vous avez déjà tous les trois dépassés le niveau de sorciers communs, continua Astoria avec un petit rire. Placez vous, tous les trois sous la pierre et videz votre esprit, ensuite laissez vous conduire par la flamme verte.
Harry, Neville et Draco se placèrent sous la pierre. Ils vidèrent leurs esprits et se laissèrent aller en état de méditation.
Harry se retrouva assez vite auprès de son noyau de magie, une grosse boule dorée et de fins files de couleurs rouge, verte bleu et argentés, la survolaient. C'était réellement magnifique, il était fasciné par les mélanges des fils qui ne cessaient de s'unir et de se défaire, la grosse boule rayonnait doucement, lui apportant un sentiment d'amour. Ca, c'est la magie, pensa Harry, il vit alors une flamme verte se tenant à coté de la boule et ondulant doucement. Harry se dirigea vers elle, elle s'éloigna doucement du noyau de magie, puis s'immobilisa, Harry tendit doucement la main, la flamme ne brûlait pas elle semblait le caresser, l'apprivoiser. Puis elle recula, et se transforma en une étrange créature. Portant une pierre précieuse sur le front, elle ressemblait à un serpent munie d'ailes sans bras, elle était de différent vert, elle faisait deux fois sa taille. Harry ne connaissait pas cette créature.
- Qui es tu ? Demanda Harry.
- Je suis ton animagi, une part de toi. Je suis une Vouivre ou appelé aussi Wyverne. Une cousine des Dragons, je garde les trésors souterrains, je suis lié à la magie de la terre et des sources souterraines, je crache aussi le feu. M'acceptes tu ? Veux tu fusionner avec moi ?
- Oui, répondit Harry admiratif devant la superbe créature.
La vouivre redevint flamme et s'envola vers lui pour se fondre dans sa poitrine. Harry sentit une brève douleur, ferma les yeux, quand il les rouvrit, il était dans la salle de la gemme sous sa forme de Vouivre.
Neville ferma les yeux, se relaxant, retrouvant le rythme de respiration paisible, qui lui permettait d'explorer son moi intérieur. Il se retrouva prés de son noyau magique, il était doré moiré de vert, de fins filaments blanc jaune et verts foncé filaments l'entouraient. C'était merveilleusement reposant, il tourna la tête et vit une flamme verte dansant devant lui, il la suivit alors qu'elle s'éloignait de son noyau.
Neville attendit puis la flamme s'allongea et se transforma en un arbre gigantesque, pourvus d'yeux, d'une bouche, et ses bras étaient des branches. Neville resta un instant stupéfait, puis sourit doucement.
- Je suis ton animagi, une part de toi. Je suis un arbre sylvestre, je suis un gardien de la foret, je peux parler et me déplacer, je connais la magie ancienne, des sorts je suis protéges, vénère par la foret j'en suis le protecteur. M'acceptes tu ? Veux tu fusionner avec moi ?
- Oui répondit Neville émus.
L'arbre devint flamme et s'envola vers lui pour se fondre dans sa poitrine. Neville sentit un bref pincement, ferma les yeux, quand il les rouvrit, il était dans la salle de la gemme sous sa forme d'un arbre Sylvestre
Draco détendit tous ses muscles se concentrant sur l'énergie qu'il sentait palpiter en lui, il se sentit attirer vers un noyau argenté qui irradiait de douceur, des filaments bleu et verts circulaient et dansaient dans un enchevêtrement féerique. C'était une vision de toute beauté. Il distingua une flamme verte qui montait et descendait, il se tourna vers elle, puis avança dans sa direction. Elle le conduisit plus loin. La flamme grandit et se transforma. Il avait devant lui une créature ressemblant à un dragon recouvert d'écailles noir brillantes avec une crête et de grandes ailes repliés argentés. Il était un peu plus grand qu'un homme.
- Je suis ton animagi, une part de toi. Je suis un Dragon Naga, je suis lié à la magie de la terre, Je crache du feu, M'acceptes tu ? Veux tu fusionner avec moi ?
- Oui répondit Draco émerveillé.
Le dragon devint flamme et s'envola vers lui pour se fondre dans sa poitrine. Draco une ressentit une brûlure, ferma les yeux, quand il les rouvrit, il était dans la salle de la gemme sous sa forme de dragon.
Astoria Emerys, trouvait le temps long, elle en était étonnée, leurs transformations devaient être très complexe. Soudain apparut une Vouivre, un arbre sylvestre et un dragon Naga. Astoria fit un pas en arrière abasourdis. Ces créatures étaient très puissantes et incroyablement rare. Mais surtout dangereuses.
La vouivre, le dragon et le sylvestre s'observèrent, puis redevinrent humain. Après quelques minutes de stupéfactions, les trois sorciers poussèrent des cris de joie.
Domaine de la nuit
Sévérus avait été furieux de se séparer d'Harry, celui-ci n'était pas encore bien remis de ses blessures, et surtout il ne supportait pas de l'avoir loin de lui.
Il avait besoin de Harry, ce qu'il lui avait apporté personne, jamais quiconque ne le lui avait donné, il voulait être près de lui, le protéger et surtout l'aimer, son Harry était devenue une drogue, et maintenant qu'ils étaient unis, il n'était pas question qu'ils se séparent.
Sévérus avait besoin de son corps chaud, de la jouissance qu'il prenait dans ses bras. Et ce manque l'avait rendu exécrable, agressif et vindicatif durant six mois. Les créatures qu'ils avaient rencontrées l'avaient adorés, pour son tempérament. Sévérus fit une moue dégoûtée.
Cela faisait six mois qu'ils étaient ici, et le temps n'avait jamais parut aussi long à Sévérus.
Mais il n'était pas le chef de la maison serpendard pour rien.
Flash-back
Quand ils étaient arrivés, ils avaient rencontrés le maître du dôme de la nuit : Ebénezer Grahms. Sévérus avait retenu un sourire victorieux, il allait pouvoir mettre son plan en place, et disposer ses pions sur l'échiquier.
Ebénezer était un homme étrange grand, fin, sûrement avait il du sang d'origine élfique. Ce qu'il confirma, il était un vampire, il leurs avait expliqué, peu après, que sa mère avait été une elfe et son père un démon. Il avait le visage émacié, des yeux bleus semblables à la banquise, une coupe de cheveux argentés en brosse, il dégageait un pouvoir considérable. Sévérus, Arthur et Blaise se décrochèrent un regard angoissé.
Ebénezer leurs avait présenté son domaine, la nuit y était constante, le jour se manifestant par un ciel mauve strié de nuages violet, certaines régions recevait des pluies acides, le paysage était désolé, fait de rocher, d'une terre noir, de montagnes escarpées, de roches sombres, de profonds ravins, et de volcans en éruption laissant entendre un lointain grondement sourd. Ebénezer leurs avait expliqué qu'ils s'installeraient parmi les anciens vampires, et qu'ils rencontreraient de façon indépendante, les autres peuples, quand ils seraient prêt.
- Si j'ai fait le choix de vous placer parmi mes frères, c'est que le domaine est dangereux pour les humains ou les sorciers, venez, dit Ebénezer.
Ils partirent à dos de sombrals, empruntant une route accidentée, ils croisèrent une goule traînant un zombie par une laisse. La vision était cauchemardesque.
- Cette goule emmène son repas, elle en mange un petit morceau si elle a faim, elles aiment la viande pourrie, dit Ebénezer en riant ironiquement.
Les trois sorciers sentirent un frisson d'effroi remonté le long de leurs dos. Ebénezer tendis le doigt vers une carrière brune que l'on voyait plus loin.
- Ne vous en approchez pas, ce sont les carrières ou travaillent les esclaves des elfes noires, ils finiront leurs vie au fond des mines des Druchii, ou mourront dans des tourments inouïs sur les autels de leurs dieux.
Blaise ne se sentait pas du tout bien, ce domaine lui foutait la trouille, c'était sinistre. Bien sur il aimait bien Sévérus, il connaissait un peu Arthur, mais il aurait préféré être avec Draco et Harry.
- La, regardez sur le rebord de la route, ce sont des excréments de harpies. Plus rapides que le vent, invulnérables, caquetantes, elles dévorent tout sur leur passage.
Le reste du trajet se fit dans un silence mortel.
Ils arrivèrent à un château sinistre muni de multitudes de tours. Ils descendirent de leurs sombrals, un petit démon cornu à la peau rouge vint s'en occuper. Ebénezer les fit entrer dans le château.
- Ne descendez jamais à la cave, venez je vais vous montrez pourquoi, dit Ebénezer.
Il ouvrit une porte qui grinça affreusement, ils descendirent quelques marches, Ebénezer ouvrit une deuxième porte pourvue de plusieurs barres de fer.
Les sorciers sentirent leurs bouches s'assécher, de plus il faisait très humide et une odeur de pourriture les agressa quand Ebénezer ouvrit la porte. D'un geste il alluma une torche, ils se trouvaient sur le promontoire d'une grotte, ou une multitude de créatures grouillaient. Ebénezer prit une autre torche et la laissa tomber. Les sorciers virent des créatures ressemblant a des vampires, sauf que c'était leurs incisives qui servait a mordre, tel deux long poignards, elles avaient les yeux rouge la peau blanche blafarde, et une absence total de pilosité.
- Ce sont des vampires primitifs, ils n'obéissent qu'aux anciens, ce sont des machines à tuer, fort cruel, sanguinaire, termina Ebénezer.
Blaise se précipita hors de la pièce pour vomir. Ils remontèrent.
Sévérus était déterminé à ce que Harry ne vienne pas ici sans lui. Jamais.
Blaise demanda à Arthur si il pouvait dormir dans sa chambre, Arthur accepta…aucun des deux n'avaient vu aucune pensées de luxure dans cette proposition.
Ils firent la connaissance d'un vampire nommé Octavius qui s'occuperait de leurs entraînements. Durant les deux premiers mois ils apprirent à combattre face à un vampire, celui-ci fit travailler leurs masse musculaire, jusqu'à ce qu'il soit satisfait. Ils apprirent la magie du sang, la magie sans baguette, et à renforcer leurs défense mental occlumancie et légimencie. Sévérus fut dispensé de cette partie des cours, il en profita pour rencontrer seul Ebénezer Grahms.
- Je voulais vous voir, pour vous dire que nous avons un ami commun Actarus Gordon, dit Sévérus.
- Vous êtes ami avec Actarus ? demanda Ebénezer avec un regard évaluateur.
- Effectivement il a pour calice le parrain de mon époux.
- Hmm alors nous avons découvert un lien de parenté, je suis le cousin d'Actarus, et j'ai beaucoup d'estimes pour lui, que voulez vous de moi ? Demanda Ebénezer.
- J'ai été séparé de mon époux par la gardienne, je veux le retrouver.
- Cela va être difficile, mais je vous aiderait, avez-vous un plan ?
- J'ai remarqué lors de notre rencontre que Arthur et Estrie s'observaient de façon …disons intéressé. Trouvez un moyen pour qu'ils se rencontrent, dit Sévérus
- Vraiment ? Que c'est amusant, j'ai justement besoin d'un ambassadeur auprès de la gardienne, mon messager a eu un…accident malencontreux. De plus je suis sur que votre ami sera ravis d'aller à Xanadu. Proposez lui le marché, je ne pense pas qu'il refusera.
Vous devrez continuez votre entraînement, de toute façon un vampire vous accompagnera a chacune de vos visites. Je vous épargnerais les trolls et les goules. Mais vous verrez les elfes noirs, les nécromanciens et les démons.
Finalement Arthur avait servit d'émissaire se rendant souvent à Xanadu, il continuait ses exercices avec les vampires, il avait changé. D'un point de vu physique, il avait perdu la petites brioche qui avait commencé à s'installer. Son corps s'était re-musclé, il avait appris à se battre, à un tout autre niveau, laissant loin derrière lui les aurors du ministère. Il était devenu impressionnant. Moralement les exercices de protections de l'esprit lui avaient servit, de plus il semblait avoir trouvé un certain équilibre dans la relation qu'il suivait avec Estrie. Arthur lui avait dit qu'Estrie avait également subit une trahison qui l'avait laissé brisé, il y a des années, leurs similitudes les avaient rapprochés. Les trois derniers mois Arthur vivait à la capital et ne faisait que de brèves apparitions, pour donner des nouvelles à Sévérus et Blaise.
Blaise et Sévérus avaient trouvé avec les nécromanciens une façon d'augmenter leurs connaissances en magie noire. Ils leurs apprit à se protéger afin que le coût pour pratiquer cette art ne leurs reviennent pas trop cher. Ils apprirent à contrôler les détraqueurs, ou à les détruire.
Ces connaissances les aidèrent pour les visites aux autres peuples.
Sévérus rendit visite aux elfes noirs, et développa ses connaissances des plantes, et des potions. Il y poursuivit son entraînement physique et devint redoutable. Les elfes noirs ayant une fascination pour les araignées, Sévérus apprit donc des sortilèges d'invocations, la connaissance des poisons et des sorts de captures liés avec les arachnides.
Blaise apprit les sorts de domination du feu, parmi les démons, il pouvait contrôler des flammes, et la foudre. Quelques rituels d'invocation, et l'utilisation des runes, dans les sorts d'attaques. Mais il passa d'avantage de temps auprès des vampires continuant son entraînement physique et développant ses capacités à leur résister.
Sévérus s'était plié aux exigences de la gardienne, à présent il estimait avoir assez attendus. Lorsque Arthur vint leurs rendre visite, il exigea de voir Harry. Arthur, le rassura et lui dit qu'ils se rencontreraient à Xanadu, et qu'il n'y aurait plus de séparation, que des aménagements seraient apportés.
Sévérus sourit avec satisfaction. Lorsqu'ils prirent congés d'Ebénezer, celui- ci leurs remis une petite fiole de sang, leurs indiquant qu'une fois qu'ils l'auraient bu, cela modifierait certaines de leurs compétences. C'est du sang de vampire ancien, il renforcera votre force, augmentera votre vision nocturne, et vous donnera une résurrection. Une seule, si un sort de mort vous frappe, vous serez protéger, bien sur les créatures démoniaque sentiront votre modification, cela vous immuniser d'elles aussi.
Fin du Flash-back
Xanadu
Arthur embrassait langoureusement Estrie, caressant son dos, ses fesses, il sentait les seins opulents de la femme serré contre sa poitrine vigoureuse, jamais il n'avait cru qu'il ressentirait une passion aussi forte. Cela faisait quatre mois qu'ils vivaient ensemble, l'un comme l'autre s'était attachés, ils appréciaient d'être ensemble. Arthur, ne savait si cela était de l'amour, mais il savait qu'entre c'était sérieux.
Ils se séparèrent quand le groupe du domaine de la lumière entra dans la salle du temple.
Arthur, resta émerveillé par la transformation des trois sorciers, ils étaient magnifiques, leurs corps était musclés et viriles, ils n'étaient plus de jeunes hommes, mais des hommes tout simplement. Au même instant Blaise et Sévérus entrèrent d'un pas pressé à leur tour.
Tous virent Harry et Sévérus se chercher du regard, leurs pupilles se dilatèrent quand ils se reconnurent, et ne se lâchèrent plus. Le désir brutal qui jaillit dans la pièce était choquant. Les deux sorciers restèrent longuement immobiles se détaillant, et bientôt ils sentirent la passion flamboyer entre eux. Estrie reprit le contrôle de la situation, pour en finir au plus vite et les laisser fêter leurs retrouvailles.
- Messieurs, je réclame un peu de votre attention, commença Estrie.
Mais ni Sévérus, ni Harry ne l'écoutèrent, ils s'embrassaient avec tout le manque, et l'urgence que ces six mois leurs avaient coûtés.
Arthur, fit signe à Estrie de reporter la réunion et ils sortirent tous discrètement, avec quelques sourires goguenard et des ricanements, laissant les amants se redécouvrirent.
La bouche de Sévérus s'écrasa contre celle de Harry qui enroula ses bras autour de son cou, répondant à la fièvre de l'homme. Sévérus d'un mouvement de la main fit disparaître leurs vêtements, aussitôt leurs peaux brûlantes entrèrent en contacte, et ils émirent ensemble un gémissement de volupté.
- Jamais, plus jamais sans toi, murmura Sévérus.
- Jamais, confirma Harry les larmes aux yeux.
Sévérus souleva Harry en le prenant dans ses bras, sa bouche contre la sienne. Il tourna sur lui-même et plaqua Harry contre le mur. Ils se dévisagèrent le souffle court, affamés.
- Tu m'as manqué, si tu savais, ne me quittes plus jamais … Souffla Sévérus.
- Pour toujours à toi, Je t'aime Sévérus, je t'aime, répondit Harry éperdus.
Harry commença à onduler en gémissant contre son amour, appréciant ses muscles fermes.
Leurs corps étaient incapables de se séparer, se caressant, se prenant encore et toujours, les mains palpant fébrilement, se redécouvrant. Harry arqua son corps contre son amant, frottant au passage son érection contre celle de Sévérus.
Sévérus redressa la tête plongeant son regard dans les prunelles verte, y découvrant tout la volupté que provoquaient leurs retrouvailles. Sévérus tremblait, il le désirait tellement, l'amour qui pulsait en lui, demandait l'assouvissement par leurs union. Il sentit la main de Harry, descendre sensuellement sur son ventre et saisir sa verge, ou il entama un lent mouvement de va et vient.
-Oui, gémit Sévérus, oui….
Harry mordilla la peau sensible du cou, aspirant le lobe de l'oreille, se régalant des soupires de plaisirs de Sévérus. Il sentit sa main descendre sur ses fesses le caresser, se glisser dans le sillon et s'introduire délicatement en lui. Harry rejeta la tête en arrière avec un sifflement de plaisir, s'agrippant désespérément aux larges épaules de Sévérus. Qui en profita pour reprendre l'avantage, en dévorant son cou.
Sévérus souleva son compagnon par la taille, Harry noua ses jambes autour de ses hanches, et bascula son bassin, pour appuyer son anus contre la virilité tendu. Doucement il se laissa glisser, respirant à grand coup. Sévérus rapprocha leurs corps, Harry plaça ses mains derrière sa nuque, puis d'un regard lui demanda de continuer. Harry se décontracta, laissant son corps accepter l'intrusion douloureuse qui le dilatait. Quand il le sentit prêt, Sévérus entama un mouvement énergique, claquant les hanches l'une contre l'autre en serrant les dents, pour contrôler la monté du plaisir. Harry avait enfouit sa tête au creux de son épaule étouffant ses gémissements de voluptés. Harry redressa la tête et s'épanouit sous le regard amoureux et passionné dont Sévérus le couvrait. Sévérus lui ne pouvait détacher les yeux du visage bouleversé de son amour. Il entama un ample mouvement de hanches qui provoqua en Harry l'extase.
- Oui comme ça, là…oui plus vite, criait Harry.
Il accéléra le rythme et ils éclatèrent ensemble dans un éclaire de jouissance jamais égalé.
Harry reprit contacte avec le sol les jambes tremblantes. Sévérus le maintenait par les hanches, il l'attira de nouveau contre lui et lui déroba les lèvres, enroulant sa langue contre sa jumelle en un baiser qui les laissa à bout de souffle.
-Tu es magnifique, dit Sévérus en caressant doucement les abdominaux fermes, tu es encore plus beau que dans mon souvenir, ces six mois ont été une torture.
- Pour moi aussi, si tu savais comme tu m'as manqué, et je trouve très musclé Sév, aurais tu l'intention de charmer quelqu'un ? Demanda Harry le sourire aux lèvres.
- Tu es le seul que je veux séduire, Merlin, Harry si je ne t'avais pas…
- Mais tu m'as mon amour, je ne veux que toi, je n'aime que toi.
Quand ils rejoignirent leurs amis, il était l'heure de passer à table. Des petits sourires entendus et des clins d'œil les attendaient. Sévérus fit celui qui ne voyait rien, Harry émis un petit rire pas du tout repentant.
Au moment du désert, chacun avait pu raconter son séjour respectifs, et certaines choses qu'ils avaient apprises. Blaise fut très impressionnés par les nouvelles compétences de ses amis. Estrie décida de l'apaiser.
- Pour les six prochain mois, j'ai tenu compte de vos souhaits a tous. Neville souhaite résider avec les elfes de la lumière, Draco veut rester avec son dragon. Harry tu dois aller dans le domaine de la nuit même si ce n'est que pour un mois, bien sur Sévérus restera avec toi, ensuite vous pourrez rejoindre vos amis dans le domaine de la lumière, dit Estrie.
- Et Arthur ? Où va-t-il aller ? Demanda Neville.
- Je vais rester à Xanadu avec Estrie dit Arthur un peu gêné, mais je vous rendrais visite au domaine de la lumière.
Harry, posa sa main sur la jambe de Sévérus sous la table et commença à remonter le long de la cuisse.
Sévérus se raidit, et regarda droit devant lui.
- Cela me va très bien comme programme Estrie répondit Harry d'une voie neutre.
Harry descendit la braguette, pour caresser l'érection naissante.
- Harry je n'en reviens pas comme vous avez tous changés, vous aller tous les faire craquer à notre retour, dit Blaise avec enthousiasme.
- Figure toi que nous avons aussi découvert nos animagi il faut absolument que tu le fasses Blaise, dit Draco.
Harry entama un doux mouvement montant et descendant, et prit son verre de vin pour en boire une gorgé, en adressant un sourire innocent à Draco, qui fronça les sourcils.
- C'est génial qu'est ce que c'est ? Demanda Blaise.
Sévérus se mordit fortement la lèvre pour s'empêcher de gémir.
- Pour moi un dragon Naga, Harry une Vouivre, Neville un arbre sylvestre, répondit Draco en lançant un regard suspect sur Harry et Sévérus.
Soudainement Sévérus passa les mains sous la table, se reboutonna difficilement. Il se redressa, furieux, attrapa Harry qu'il jeta sur son épaule et sortit de la pièce.
Tous autour de la pièce restèrent muets de stupéfaction. Draco éclata alors de rire.
Finalement ils restèrent quatre mois au domaine de la nuit. Harry surpris Ebénezer dans ses capacités de combat, qui se retrouva en mauvaise posture, et c'est avec satisfaction qu'ils firent découvrir leurs techniques mutuelles. Harry visitait les autres races du domaine le week-end, avec Sévérus, qui prit plaisir à lui montrer ce qu'il avait appris. Il eu un sourire calculateur en voyant la magie arachnide.
Harry apprit enfin à maîtriser l'occlumence et la légimencie, avec Octavius, qui lui montra comment fermer efficacement son esprit. Sévérus devant ce résultat préféra ne pas approfondir le sujet avec une assez mauvaise conscience, Harry lui dit que Dumbledore le lui avait demandé en toute connaissance de cause, et qu'avec les relations qu'ils avaient eu à l'époque cela n'aurait pu fonctionner.
Harry pu enfin développer ses connaissances en magie noire, qu'il maîtrisa très rapidement, ce qui intrigua beaucoup les nécromenciens qui le prirent en amitié, et lui enseignèrent certains de leurs secrets. Ils sentirent que son âme avait déjà été déchiré, s'en suivit une discussion très intéressantes sur les pouvoirs du dieux serpent. Les Nécromenciens tenaient un nouveau sujet de recherches.
Avec les démons, Harry approfondit ses connaissances sur ses runes et apprit de nouveaux sorts.
Il poursuivit aussi ses entraînements avec les vampires, prenant plaisir à se battre, sous l'œil admiratif de Sévérus qui restait pantois de sa dextérité, et de ses progrès.
Profitant que Sévérus soit partit consulter l'énorme bibliothèque d'Estrie à Xanadu, Harry demanda à Ebénezer de l'emmener voir Zia la reine des goules. Elles étaient toujours aussi répugnantes, mais Harry contint son dégoût, et s'inclina devant leur reine.
- Tu veux faire de nous tes alliés alors accepte le défis de ma guerrière, et gagne le combat, ce sera un duel à mort sans magie, proposa Zia avec un sourire carnassier.
Harry descendit dans l'arène avec son couteau offert par Grimnir Sans Peur, sous le regard préoccupé d'Ebénezer. C'était l'une des plus grosse goule que Harry ait jamais vu. Le combat l'amusa, il prit plaisir a taillader la goule qui devint folle de rage. Elle essaya de porter des coups enragés et vicieux avec sa longue aiguille, mais Harry l'évitait avec souplesse, satisfait de ses réflexes. Il testa plusieurs techniques, qu'admirèrent les spéctateurs du duel. Harry avait accepté cette affrontement pour tester sa maîtrise du combat, et c'est avec un plaisir pervers qu'il éventra la goule.
Un grand silence régna sur l'arène, avant que les goules ne se mettent à hurler de joie, a la grande surprise de Harry.
Sur le chemin du retour Ebénezer lançait un regard évaluateur sur Harry.
- Zia a accepté d'être ton allié, tu as gagné un précieux soutien aujourd'hui. Tu sais que tu viens de vaincre leur guerrière la plus forte ? Demanda Ebénezer.
- J'avais envie de m'amuser, j'ai aimé ce combat, dit Harry un peu boudeur.
-Tu sais j'aimerais que tu y réfléchisse mais je pense que tu serais à ta place ici, tu ferais un très bon vampire, dit Ebénezer.
Harry émis un petit rire, mais déclina la proposition.
Sévérus fut très en colère, lorsqu'il apprit l'escapade de Harry. Celui-ci mis beaucoup d énergie pour se faire pardonner, jamais Sévérus n'eu une fellation aussi bonne et il fut longuement récompensé de sa mansuétude.
Ce que Harry ne prévu pas, c'est que la rumeur de son combat allait circuler dans tout le domaine lui attirant l'acceptation et l'admiration des créatures sombres.
Sévérus décida qu'il était temps de partir, il emmena Harry à Xanadu et décréta, après lui avoir fait découvrir la bibliothèque, qu'ils allaient travailler sur les potions, la métamorphose, les runes, l'arithmancie, sortilèges, DCFM, botanique, Histoire de la magie et ses lois, pour passer les examens au niveau ASPIC.
- Mais Sévérus en deux mois ce n'est pas possible…dit Harry découragé et effrayé par l'ampleur de la tache.
- Estrie et Arthur m'aideront, je t'enseignerais un sort de mémoire qui t'aideras et si il le faut nous prolongerons notre séjour, lui dit Sévérus déterminé.
Arthur parla du projet de Sévérus à Draco, Blaise et Neville, ceux-ci décidèrent de rejoindre Harry pour le soutenir et l'encourager.
Finalement ils restèrent une année de plus, mais tout les quatre réussirent brillamment l'examen finale que leurs fit passer Sévérus.
Neville qui avait énormément change, découvrit les potions d'une façon différente, et avec ses nouvelles connaissances reliant les sorts de guérison et les plantes, cela lui permis de passer le cap de son blocage.
Blaise trouva son animagi il était un phoenix de glace. Il se passionna dés lors pour découvrir les capacités de son animal.
Draco emmena Harry rencontré son dragon, ils prirent tous les trois leurs formes animagi et purent voler dans le ciel pour leurs plus grand bonheur.
Il était temps de rentrer, ils avaient été absents deux ans, mais sur terre vingt jours seulement étaient passés.
Estrie voulu organiser une soirée pour leurs départ, et elle invita les maîtres de dôme et les amis qu'ils s'étaient fait.
Le dragon de Draco le rejoindrait, car il ne voulait plus se quitter.
Estrie Vlad d'Ores leurs remit officiellement à chacun un médaillon. Elle dit à Harry que toutes les races des deux domaines l'aideraient pour son combat.
Le groupe des six sorciers avait un sourire victorieux. Demain ils rentraient chez eux.
Réponse aux reviews
Mirabelle31 non pas d'amour entre blaise et Draco, mais une profonde amitié…..Draco va frapper vilaine mirabelle mdr
Cathy une grossesse ? j'y pense mais faut choisir le bon moment….
The Daemon, j'ai écrit cette fic comme j'aimerais en lires des dizaines d'autres, je ne me lasse pas du sujet. Merci a toi
Kamyu moi je suis jalouse du couple harry/sev, j'adoooooooooooore le yaoi
Mihamster et Kamyu quand j'ai lu cette VDM je l'ai trouvé tellement bonne que j'ai voulu la replacer, il y a des trucs vraiment excellent trop fort !
Emiiliya je ne sais pas du tout le nombre de chapitres au mois une dizaine encore
Merci pour tous vos messages, mois aussi je riais en rédigeant l'humiliation d'hermione, niarc bizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz
CHAPITRE 26 Harry Vs ….
Ils étaient tous rentrés sans problèmes à Stonehenge. Le temps de cette mi août était chaud, ils échangèrent un sourire de bonheur, ils étaient revenus, comme l'Angleterre leurs avait manqué.
Estrie avait accompagné Arthur, afin de suivre les événements de prés, elle ouvrirait des portes sur différents sites mégalithiques, pour regrouper les guerriers, qui viendraient aider Harry. De plus elle voulait pouvoir contrôler les créatures lors du combat final, certaines pouvaient échapper à tout contrôle, c'était une mesure de prudence. Yor gérerais l'intendance du domaine et la tiendrait informé aux moindres problèmes.
Arthur et Estrie transplanèrent sur le chemin de traverse, Arthur voulait présenter la nouvelle femme de sa vie à ses fils. Pour l'instant ils habiteraient dans son appartement. Et il devait ramener ses fils au manoir Malefoy.
Arthur espérait que la différence de standing ne générait pas sa compagne. Mais Estrie malgré son titre de Gardienne et le fait qu'elle vive dans un temple, était demeuré très simple, n'accordant pas d'importance a ce genre de détails. Elle avait expliqué à Arthur que ce qui importait était la qualité de leurs relations.
Arthur avait été soulagé, au moins il n'était pas avec une seconde Molly, loin de là d'ailleurs. Car quand il pensait a leurs nuits torrides, il redevenait le fougueux étudiant qu'il avait été.
Draco, Blaise, Harry, Neville, et Sévérus avaient transplané au manoir Malefoy. Le dragon de Draco les avait rejoint et attendrait sur le domaine, Neville lança un sort d'invisibilité sur la créature.
Lucius et Narcissa eurent du mal à les reconnaîtes, ils furent fous de joies de les revoir, mais une multitude de questions les habitaient. Harry proposa de leurs raconter, mais voulant éviter de se répéter il demanda à ce que Lucius, appel les autres. Aussitôt Narcissa se leva, avec entrain, pour donner des ordres à ses elfes pour un grand repas. Lucius contacta par cheminette, les membres du groupe.
Ils s'installèrent dans le salon attendant les premiers arrivés.
Lucius et Narcissa prirent Draco dans leurs bras, peinant à reconnaître l'homme qu'il était devenu. Narcissa ne cessait de toucher ses bras, ses pectoraux admirant la dureté des muscles. Draco leur dit qu'il avait trouvé son animagi un dragon Naga, ses parents en furent très impressionné, il leurs dit que pour lui et les autres, cela faisait en réalité deux ans qu'ils étaient partis. Lucius se laissa tombé dans le fauteuil le plus proche estomaqué, Narcissa porta sa main à ses lèvres en s'exclamant : « Merlin mais alors…tu es majeur ». Draco hocha la tête. Ses parents étaient abasourdis.
Je me suis lié à un dragon là-bas et il est revenu avec moi, il ne vous fera pas de mal. Il se cachera sur le domaine, précisa Draco, devant le regard effrayé de ses parents
Les parents de Neville étaient revenues bronzés et en forme du Mexique. Ils eurent beaucoup de mal à reconnaître leurs fis, Alice pleura découvrant l'homme qu'était devenu son bébé, Frank était impressionné et fière d'avoir un aussi beau garçon. Lorsque Augusta les rejoignit, elle frappa d'un coups sec avec sa canne, en disant « Il était temps qu'un homme prenne la relève, je me fais vieille pour tout ça » Mais la vieille dame rayonnait de joie de voir la transformation de son petit fils, plus personne n'oserait le traiter de cracmol à présent.
Neville leurs expliqua qu'il avait trouvé son animagi, qu'il était un arbre sylvestre, le gardien de la foret, qu'il avait vécue parmi les elfes sylvestres, et avaient partagés avec eux l'amour des plantes et de la nature, apprenant et développant ses pouvoirs propres. La famille de Neville fut éblouie par l'homme qui leurs expliqua ce qu'il avait vécue en quelques mots, sa maturité ne faisait plus aucun doutes.
Tonio Zabini serra contre lui Blaise et Harry, enthousiaste de les revoir, il nota de suite en les prenant dans ses bras de leurs puissances musculaires, ils étaient devenus fort, l'orgueil du chef de clan Zabini frôla des hauteurs insoupçonné, sa famille était puissante.
Blaise lui raconta que pour eux deux ans s'était écoulé, et qu'ils avaient subit un entraînement aux combats très difficile, il lui parla de son animagi un phoenix de glace. Harry lui dit que le sien était une vouivre, Tonio siffla longuement, très impressionné.
Harry alla chercher rapidement le couteau que lui avait donné Grimnir Sans Peur, et offrit la lame antique à Tonio, en lui disant que c'était un nain forgeron qui lui avait donné. Tonio fut muet de saisissement par la merveille qu'il tenait entre ses mains, cette beauté serait le clou de sa collection.
Blaise lui parla de sa formation auprès des nécromanciens et des vampires. Il lui raconta la goule qui traînait un zombie en laisse, Tonio en fut malade de jalousie, ce qui fit rire Harry. Quand celui-ci contempla ses yeux avides, il lui raconta alors son combat dans l'arène avec la guerrière goule et comment il l'avait éventré. Tonio en eu les mains tremblantes d'excitations, et se retint de baver devant leurs histoires.
Puis, Harry vit Sirius et Actarus se joindre à eux. Il se jeta dans les bras grand ouvert de Sirius, qui éclata de rire en le voyant. Harry avait encore changé, il était devenu un homme superbe. Harry fit un grand sourire à son parrain, il était heureux de le revoir. Sévérus les rejoignit et informa Actarus qu'il avait les salutations de son cousin, le vampire et l'homme échangèrent un lourd regard.
Tous soudainement arrivèrent en même temps, Tonks, Androméda, Théo, Pansy, Bellatrix, Remus, Greyback, Nott Sr, Rodolphus et RabastanLestrange, Karkaroff Igor, Rookwood Augustus, Fred, Georges, Bill Charlie, Arthur Weasley, Estrie Vlad d'Ores.
Il y eu un instant de silence pesant, le temps sembla s'arrêter. Tous s'observèrent, rarement un groupe de sorciers aussi disparate n'avait été rassemblés.
Les Londubats, et les Lestrange s'observèrent. Bellatrix soutenu par son mari, fit deux pas dans leurs directions, les regarda.
- Je m'excuse, ce ne sera jamais une assez bonne excuse, pour ce qui s'est passé…mais sachez que je regrette, dit Bellatrix.
Les Londubat la regardèrent, puis Frank s'avança et prit la parole.
- Nous en avons parlé en famille, je ne peux pas dire que je vous pardonne pour toutes ces années de perdus, toutefois…nous verrons si vous avez vraiment changé et nous nous méfierons…. Nous sommes aujourd'hui dans le même camp, et pour notre cause restons…chacun de notre coté, et courtois, c'est tout ce que je peux vous dire.
Les Lestrange hochèrent la tête, c'était plus qu'ils ne pouvaient espérer.
Beaucoup de personnes lançaient des coups d'œil furtif vers la femme qui accompagnait Arthur, lui aussi transformé, ils étaient intriguées
Harry s'éloigna pour englober tout le groupe et décida de commencer.
- Installez vous tous, il y a plusieurs nouvelles, dont nous devons parler, dit Harry d'une voie forte et autoritaire, Aussitôt les bavardages s'éteignirent. D'un geste de la main Harry fit apparaître des chaises pour tous. Et les participants s'installèrent.
« Pour ceux qui ne le sauraient pas, nous revenons d'un voyage de deux ans, nous avons été dans un monde ou le temps passe de manière différente, de nombreux regards curieux le regardait. Sévérus, Arthur, Draco, Neville, Blaise et moi avons fait ce voyage. Nous sommes allés au Sanctuaire pour trouver des alliés…. »
Des exclamations enthousiastes interrompirent Harry, certains c'était levé, d'autres semblaient abasourdis. Harry fit un signe des mains pour qu'ils retrouvent leurs calmes.
« Je vous présente Estrie Vlad D'ores, la Gardienne du Sanctuaire » Estrie rejoignit Harry et se tint droite et royale prés de lui. Tous observèrent cette femme très belle à l'étrange peau dorée. Harry reprit.
« Le sanctuaire dont Estrie est le chef, est constitué de deux domaines, celui de la nuit et celui de la lumière, les deux domaines nous rejoindront pour notre combat ! »
Des cris enthousiastes se firent entendre, des sourires fleurirent sur les visages, avec des expressions de soulagement.
« Nous sommes tous, dans cette pièce unis pour le même combat abattre Voldemort, Dumbledore et le Ministère, changer le monde magique. J'ai décidé de donner un nom à notre groupe, en remerciement de l'aide du Sanctuaires, nous serons « les dômes ». Durant notre séjour nous avons appris la magie de certaines races. Par exemple moi, j'ai fraternisé avec les nains. De petits rires moqueurs se firent entendre. Blaise avec les nécromanciens. Les sorciers jetèrent des regards choqués sur Blaise. Tous, nous nous sommes entraînés aux combats, et aux sorts. J'aimerais si vous êtes d'accord que certains d'entre vous suivent notre exemple, je pense aux fils Weasley, à Théo, Pansy et Tonks, Estrie vous accompagnera, cela vous évitera de vous faire harceler par une bande de goules sanguinaires, comme cela nous est arrivé. Des expressions horrifiées naquirent sur certains visages.
A présent nous allons exposer la situation actuelle, commençons par le ministère. Tonio, Lucius et Maître Gordon s'en occupent, ou en sommes nous ? »
- Le procès de Dolorès Ombrage commence demain, Harry Potter devra venir témoigner, pour cela Tonio a préparé un sortilège qui te donnera ton ancienne apparence. Le chef d'inculpation pour Ombrage est « meurtre, utilisation de la magie noire, et tortures ». Nous avons découvert, qu'elle kidnappait des moldus et faisait des expérimentations dans sa cave, transformée en salle de tortures. Elle se débarrassait des cadavres en les transformant en os, et les enterrées dans son jardin. Et il y a de nombreux ossements dans le jardin, nous avons réussit à trouver une moldu qui à réussit à s'échapper et qui va témoigner. Nous la gardons à l'abri. Ombrage a été arrête hier soir en toute discrétion, l'instruction aussi, mais le procès sera publique. Elle ne pourra pas s'en sortir, termina Maître Gordon.
- Du coté journal, nous ferons une publicité approprié sur les membres du gouvernements, nous avons un autre article qu va sortir en fin de semaine, et qui va faire beaucoup de bruits, nous allons prouver que des membres du ministère touche des pots de vins, et détourne l'argent des sorciers, dit Lucius.
- Une fois cela fait nous attaquerons Fudge, Le 4ème procès « Lord Seth Orion Black Potter contre Fudge et le Ministère pour corruption et trahison envers le pays ». Le procès de Dumbledore aura lieu en même temps.
- Beaucoup de mangemorts subalternes travaillent au ministère, je donnerais la liste complète à Lucius, cela anéantira la réputation du gouvernement, dit Rookwood.
- Bien Lucius tu t'en occuperas, dit harry.
- Parfait, nous enchaînerons par Voldemort, tous ces horecrux sont détruits, Nagini est morte, et il ne lui reste que quatre mangemorts de l'ancien cercle, même si il en recrute de nouveaux, ils ne seront pas à la hauteur. La marque des ténèbres a été retirée de nos alliés. Par ailleurs il souffre de puissantes migraines, nous irons le liquider fin Août. Rookwood avez-vous eu des nouvelles de ce coté ? demanda Harry.
- J'ai appris que Percy Weasley l'avait rejoint et avait pris la marque, il semblerait qu'il soit un peu alcoolique, Augustus émis un petit rire, Le seigneur des ténèbres se plaint de cauchemar avec un serpent à plumes qui le persécuteraient. Il ne comprend pas que ses anciens fidèles ne reviennent pas, il pense qu'ils sont morts. Il ne cesse de piquer des colères monstrueuses, ne comprenant rien à la situation, dit Rookwood
- Je sais qu'il est furieux contre Greyback, il veut le faire tuer, le loup garou émis un ricanement ironique, il attend le retour de Snape, mais je ne sais pas si c'est pour le tuer ou s'en servir, dit Nott Sr.
- Très bien, quand est il de votre séjour au manoir Potter ? Vous devez rester dissimulés tant que le problème Voldemort n'est pas réglé, je ne veux pas que l'on vous attaque, dit Harry.
- Cela se passe très bien, une aile du manoir est entièrement remise à neuf, vos elfes sont très efficaces, répondit Rodolphus.
- Bien, pour vous Rookwood, vous ne pouvez plus travailler au ministère de la magie en Angleterre. Mais j'ai une proposition à vous faire, Tonio Zabini à des relation au ministère de la magie en Italie, il peux vous trouver un postes là-bas, et c'est la même chose pour vous Arthur, proposa Harry.
- Oui très bien cela me convient, j'ai besoin de changer d'air, dit Rookwood.
- Je vais y réfléchir Harry, pour le moment j'ai posé un congé à durée indéterminé…dit Arthur. Harry hocha la tête.
- Igor Karkaroff, j'aurais besoin que vous nous fassiez passer nos ASPIC à Drumstang cet été, pour Neville, Blaise, Draco et moi, pouvez vous organiser cela ?
- Da, Da je peux, les professeurs reprennent une peu plus d'une semaine avant la rentrée, je m'en occupe, répondit Igor.
- Pour Dumbledore, c'est une vieille pieuvre. Je vais donc lui couper ses tentacules une par une. Arthur Weasley a renié Percy et Ron, Ginny sera marié avec le père de son enfant Crabbe Vincent, et il a divorcé de Molly. Nous avons un espion qui surveille Ron, qui va avoir sous peu des soucis. Pour Hermione ou en est on ? demanda Harry.
- J'ai appris par un client au magasin, qu'elle avait été renvoyé de ses cours d'Aurore, avec interdiction d'exercer une profession au ministère, il l'aurait aussi vu dans l'allée des embrumes achetant des œufs d'accromentula pour soigner une perte de son potentiel magique. Elle serait également dépressive et se shooterait aux médicaments, au faite Harry, Georges et moi c'est ok pour le sanctuaire, on à un apprentis qui s'occupera de la boutique, dit Fred enthousiaste.
- Pour moi aussi, Gringotts m'accordera un congé si c'est pour partir aux sanctuaire, dit Bill calmement.
- Moi aussi c'est d'accord, répondit Charlie.
- C'est parfait, pour toi Charlie, sache qu'il y a là-bas des Dragons qui parle, tu en discuteras avec Draco qui s'est lié avec l'un d'eux, répondit Harry.
- Quoi ? Ils parlent tu veux dire qu'ils ont une voie ? On part quand ? Il es ou ton dragon ? Cria Charlie hystérique en regardant Draco, qui retenait un sourire.
- Nous aussi on vient dirent Pansy et Tonks d'une même voie.
Cette déclaration déclancha des rires dans la salle, quand le calme fut revenu Harry reprit la parole.
- Pour Dumby, il va y avoir son procès, actuellement il lui reste Maugrey, Molly, Ron, Ombrage, Fudge, Granger, on s'occupera de Maugrey plus tard avec sa paranoïa il doit bien y avoir des choses à faire pour son cas, Augusta vous avez des relations au magenmagot, je suis sur que vous saurez les utiliser a bon escient, dit Harry avec un petit sourire diabolique. Augusta hocha la tête ravie en tapant avec sa canne.
- Je ne t'avais pas dit qu'Ebénezer, le chef des vampires voulait le recruter, dit Sévérus à un Maître Gordon impressionné puis satisfait. Harry fit celui qui n'avait rein entendu, les mangemorts échangèrent un regard conspirateur.
- Ensuite nous renversons le gouvernement, et la nous ferons intervenir nos alliés, d'ailleurs j'aurais besoin d'une centaine de goules, et de quelques démons quand je rendrait visite à Voldemort, pour s'occuper de ses hommes de mains, dit Harry en se tournant vers Estrie, qui approuva.
- Harry en fin de semaine je voudrais que tu viennes au mariage de Ginny avec Draco et Blaise…Tonio pourrait nous procurer des potions de transformation. Tous les cinq échangèrent des regards de connivences.
- D'accord Arthur, répondit Harry. Lucius dés que vous avez un peu plus de temps j'aimerais que vous réfléchissiez à la constitution du nouveau gouvernement. Je pense que l'on pourra garder Amélia Bones et son équipe qui sont intègre, et les langues de plombs. A vous et Tonio de les contacter quand le moment sera venu. Nott Sr, si vous voulez joignez vous à leur équipe….
Lucius, Tonio et Nott échangèrent des signes d'accord.
- Bien la réunion est finie, je crois que Narcissa nous a préparé un repas dit Harry.
Le reste de la soirée se passa dans d'excellentes conditions, l'atmosphère était détendue. Sirius et Remus se retrouvèrent mais leurs amitiés avaient souffert des derniers événements, leurs conjoints les rejoignirent, et s'évaluèrent mutuellement.
Les loups face aux vampires, plus rien ne serait jamais pareil, chacun avait choisit sa voie.
- Je resterais ton ami Sirius, j'ai compris beaucoup de choses dernièrement, et je regrette ce qui s'est passé, dit Remus d'une voie triste.
- Moi aussi je resterais ton ami Remus, je suis heureux que tu t'en sortes, et il le prit dans ses bras, dans une accolade sincère.
Draco s'éloigna discrètement avec un Charlie impatient, quand ils revinrent il avait le regard rêveur, Charlie était sous le charme, en plus c'était une race de dragon qui avait disparu…Charlie venait d'atteindre l'eldorado.
Les ex-mangemorts étaient très satisfait de la réunion, ils étaient enthousiastes, et pour une fois ils avaient des perspectives d'avenir. Igor posa à un Arthur surpris des questions sur les créatures du domaine, quand il lui eu expliqué, Igor jubilais en se frottant les mains.
Rookwood alla trouver Tonio pour discuter du poste au ministère Italien, très intéressé. Tonio lui dit qu'il avait besoin de quelqu'un qui assouplirait les procédures douanières, ils échangèrent un sourire de compréhension. Ils étaient sur la même longueur d'ondes.
Arthur expliqua à Harry et Blaise qu'ils les invitaient au mariage, car Ginny méritait une sanction plus lourde, et qu'il comptait sur eux pour ne pas l'épargner. Les deux garçons échangèrent un sourire sournois, qui fit froid dans le dos à Arthur.
Androméda, Narcissa, et Bellatrix se serraient les unes contre les autres heureuses de se retrouver, elles regardèrent Harry, puis avec un regard entendu elles se dirigèrent vers lui. Harry se retourna surpris de les trouver toutes les trois ensembles face à lui, Narcissa s'avança vers lui.
- Nous voulions te remercier d'avoir fait de nous, de nouveau une famille, les Black sont revenus, et nous te le devons, dit Narcissa.
Les trois sœurs plongèrent sur Harry et l'embrassèrent toutes les trois en le serrant dans leurs bras. Harry jeta un regard en biais à Bellatrix qui lui dévorait la joue de bisous, Narcissa l'autre, et Androméda le front. Les goules ne lui avaient pas fait peur, ça oui.
Heureusement Sévérus arriva et le sortit de là, en entourant les épaules de Harry pour le tirer en arrière avec un regard vindicatif.
-Oh, Sévérus, tu n'es pas drôle, pour une fois qu'on tenait un bel homme, susurra Bellatrix.
- Et bien ce bel homme est a moi, arrières femmes on ne touche pas mon mari, dit Sévérus catégorique.
Plusieurs personnes qui avaient assisté à la scène s'écroulèrent de rire, dont Rodolphus qui n'avait pas autant ri depuis des années.
POV Hermione
Dumbledore lui avait sauvé la mise au ministère, sans lui elle ne sait pas ce qui lui serait arrivé. Mais la sanction avait été lourde, trois jours de prison, avec interdiction des cours d'auror, mise à l'épreuve durant six mois, et interdiction a vie d'avoir un emploi au ministère.
Hermione ravala un sanglot, et chercha ses pilules, elle en prit quatre. Elle ne pouvait plus s'en passer, elle avait l'impression par moments de flotter dans un brouillard bienfaisant.
Elle regarda sur son bureau le sac d'œuf d'acromentula, c'était des petites sphères vertes transparentes avec une araignée pas encore développée qui flotté dans un liquide jaune. Elle eu un haut le cœur, et se remis a pleurer, ses yeux étaient rouges et gonflés, elle n'avait pas réussit a redonner à ses cheveux leurs couleurs d'origine, elle restait donc blonde.
Ron n'étais pas venu la voir durant ces trois jours, il avait ignoré ses messages à l'aide, oh comme elle le détestait à cet instant. Elle se moucha, et réfléchit à son nouveau plan, puisque Ginny se mariait avec Crabbe, Harry était libre, elle devait le séduire, alors à elle la richesse, et le pouvoir, et Harry était tellement bête qu'il ne remarquerait rien.
Hermione éclata d'un rire hystérique et effrayant, puis se remit à pleurer, en attrapant le sac d'œuf pour en manger.
Fin du POV
Le lendemain matin, Harry arriva au ministère escorté de Sévérus et de Tonio, le sortilège avait rendu à Harry son ancienne apparence. Ce fut un choc pour lui de se regarder dans un miroir, il avait tellement changé depuis cette époque que s'en était effrayant.
Ils passèrent sans encombre le contrôle des baguette, Harry avait repris sa vieille baguette, il sourie ironiquement quand il se rappela la dernière fois qu'il s'en était servit, Merlin comme sa vie avait changé depuis.
Ils prirent discrètement place dans la salle d'audience, qui se remplissait de différents sorciers de la population magique, l'audience serait publique.
Le Magenmagot était la grande cour de justice magique de Grande-Bretagne. Au centre de cette salle se trouvait une chaise pourvue de chaînes magiques, sur laquelle l'accusé s'assiérait. Les quelques cinquante membres de la cour occupent des sièges surélevés.
Le Président sorcier Amélia Bones frappa énergiquement de son maillet pour obtenir le silence.
On conduisit Ombrage à la chaise, dés qu'elle fut installée des chaînes s'enroulèrent autour d'elle.
- Dolorès Jane Ombrage, sorcière sous-secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Magie, professeur de DCFM à Poularde et Grande Inquisitrice et directrice de Poularde, 1995 - 1996, Surveillant les audiences de la Commission d'enregistrement des nés-Moldus, est accusé de « meurtre, utilisation de la magie noire, et tortures ». Que plaide l'accusé ? Demanda Amélia.
- Non coupable ! Cria Ombrage
- Maître Beurk, faites taire votre cliente, ou elle sera bâillonné, ordonna Amélia. Pour les accusations de meurtres j'appelle l'auror Prousfoot, expliquez moi ce que vous avez vu.
- Nous avions reçu une dénonciation anonyme, comme quoi des cris venait du domicile de l'accusé. Nous avons donc attendu qu'elle se rende à son travail, et avons perquisitionner, nous étions sept, dit Prousfoot.
- Greffier vous marquerez le nom des autres auror présent, continuez dit Amélia.
- Nous avons trouvé dans son bureau derrière une bibliothèque amovible, une grande collection de livres noir, je dirais même très noir, des livres interdits, j'ai donnée une liste au greffier. Puis nous sommes descendu à la cave, nous y avons découvert une salle de tortues, avec des instruments, des potions servant à créer une grande douleur, il y avait partout des résidus de sang, d'os, de cheveux, il y avait eu un grand carnage. Mais le pire c'est quand nous sommes sorties dans le jardin l'un de mes adjoint a faillit tomber, a cause d'un objet enfouis dans le sol. Il l'a déterré c'était un os. Nous avons alors creusé, il y avait trois cent vingt quatre os. Il faut savoir que chaque os est un corps réduit par sorcellerie, nous avons trouvé le sort sur chaque os. Le jardin était un charnier, termina l'auror en pleurant.
Des gémissements se firent entendre, des cris de révoltes les sorciers de la salle étaient furieux. Amélia tapa avec son maillet, le silence revint.
- Maître Beurk, quelque chose a ajouté ?
- Ma cliente maintient que c'est un coup monté par ses ennemis, murmura Beurk avant de se rassoire.
- Faites entrer Peggy Campred, Cria le greffier.
Une petite femme brune très apeurée entra dans la salle, elle accepta de prendre le sérum de vérité, et parla d'une voie monocorde.
- Mademoiselle Campred, vous êtes une moldu, racontez nous ce qui vous est arrivée, demanda Amélia.
- Je rentrais du travail tard, on m'a assommé par derrière, quand j'ai reprit connaissance, j'était attacher sur une table. Je suis resté trois jour prisonnière, cette femme, elle désigna Ombrage qui serra les lèvres avec fureur, m'a torturé, coupé, brûlé, donnes a boire des produits qui m'ont fait atrocement souffrir. Elle n'avait aucune pitié, et riait, m'humiliant, me frappant, elle aimait me terrifier me disant ce qu'elle allait me faire, ce fut horrible, mais un soir elle est partit vite et à mal fermé ma cellule, alors je me suis enfuis, et depuis je me cache, je suis terrorisée, termina Campred.
- Des questions Maître ? Dit Amélia ironiquement. Un silence pesant régnait dans la salle. L'avocat baissa la tête en faisant signe que non. Faites entrer le témoin suivant.
Un homme se présenta à la barre, la quarantaine, sec.
- Déclinez nom, qualité, dit le Greffier.
- Médicomage Clark Bins, je travaille a Saint mangouste, j'ai fait des examens sur mademoiselle Campred, pour déterminer quels sorts elle avait reçu, les voici
* dix huit doloris.
* deux sectumsempra, soigné ensuite.
* deux oubliettes.
* trois sorts de conjonctivite
* cinq maléfices cuisants.
* huit furonculose
* deux haleines pimentés.
* un imperium
Ainsi que de profonde cicatrices sur tout le corps de la victime de coups de fouets, j'ai retrouvé la signature de la baguette magique de ombrage, sur toutes les blessures. Dois je rappeler que cette jeune fille est une moldu ?
Sur les os que l'on m'a amené, tous ont été des êtres humais, ce boucher a tuée trois cents vingt quatre personnes, il restait sur les os des traces de magie noir. Je tiens à ajouter que j'ai examiné Madame Ombrage, et que je ne peux certifier qu'elle n'était pas sous impérium, ni aucune potions d'influence, termina Bins.
Toute la salle était abasourdie par l'ampleur des crimes. Les membres du magenmagots étaient horrifiés. Dumbledore baissait la tête essayant de se faire oublier, il était assis au premier rang, ne pouvant se joindre aux membres de la cour, étant témoin dans l'affaire.
- Greffier récapituler les charges, dit Amélia d'une voie lasse.
- Madame ombrage kidnappait des moldus et faisait des expérimentations dans sa cave, transformée en salle de tortures. Elle se débarrassait des cadavres en les transformant en os, et les a enterrées dans son jardin, trois cent vingt quatre victimes, en faisant usages d'impardonnables et de sorts de magie noir, termina le greffier d'une voie sinistre.
- Nous appelons à la barre Harry Potter qui se porte partie civile pour usage sur lui-même de magie noir, et tortures, dit le greffier.
Toute la salle éclata en de nombreux murmures, Amélia redonna un coup sec de maillet. Harry se leva et s'avança jusqu'à la barre des témoins.
- Madame le juge je m'oppose a la déposition de Harry qui n'a pas le droit de sortir de chez ses moldus pour des raisons de sécurité, dit Dumbledore en se levant, et en jetant un regard furibond sur Harry.
- Monsieur Dumbledore, asseyez vous, et taisez vous, je vous interrogerais après. Monsieur Potter que pouvez vous répondre aux paroles de votre Directeur ? Demanda Amélia.
- Que le monde sorcier gagnerait a ce qu'il reste à sa place, que je suis majeur émancipé et qu'il n'a aucune autorité sur moi en dehors de l'école, que ce que je fais en dehors de la dite école ne le concerne en rien, et je le prierais de s'adresser à moi en tant que Lord Potter, répondit Harry d'un ton glacial.
Amélia retint un rire, ainsi que de nombreux membres du magenmagot. De nombreux sorciers du publique applaudirent même la déclaration de Harry.
- C'est faux Madame le juge, il est trop jeune, il n'est pas Lord il ment, cria Dumbledore fou furieux.
Amélia donna plusieurs coups de maillet, et cria « silence » aux rumeurs de protestations des sorciers dans la salle.
- Lord Potter prouvez nous que vous avez reçu votre titre, dit Amélia.
Harry d'un geste de la main enleva le sort de désillusion de sa bague, et s'approcha d'Amélia pour lui montrer, puis il la montra aux membres du magenmagots, et au publique, et sans un mot il retourna à sa place.
- Bien Dumbledore c'est vous qui êtes dans l'erreur encore une fois, j'ai bien devant moi Lord Potter, maintenant asseyez vous, et si vous interrompez encore cette séance vous serez expulsez avec une amende, suis-je clair ? Demanda Amélia furibonde.
- Désolé Lord Potter, pouvez-vous nous dire ce que vous a fait Madame Ombrage ? Reprit Amélia
- Lors de ma scolarité à Poudelard, elle a été nommé Professeur en DCFM, ou nous n'avons d'ailleurs jamais fait de sorts, lisant des manuelles toute l'année….Elle n'a eu de cesse de m'humilier, et de me mettre en retenue, elle me forçait à écrire « je ne dois pas raconter de mensonges avec une plume de sang, dit Harry.
- C'est faux cria Ombrage en essayant de se redresser malgré les chaînes. Un auror sur un signe d'Amélia lui lança un sort de silence.
Des cris de protestations surgirent de toute la salle, Amélia frappa de son maillet.
- Pouvez vous le prouvez Lord Potter ? demanda Amélia.
- Oui, et Harry montra les cicatrices sur sa main, je dois signaler que Albus Dumbledore n'a rien fait et l'a laissé poursuivre ces agissements, et que d'autres élèves ont subis la même chose que moi, termina Harry.
- Vous pouvez retournez à votre place Lord Potter, dit Amélia en pinçant les lèvres.
Dumbledore essaya d'attraper le bras d'Harry quand celui-ci passa, sans un mots, ni un regard envers lui. Harry évita agilement la main et alla s'asseoir à sa place. La salle poussait des huées envers Dumbledore et Ombrage lui montrant le poing.
Amélia frappa violemment avec son maillet, un silence plein de rancœur du monde sorcier plana. A la demande d'Amélia si l'avocat de la défense avait des questions, Maître Beurk hocha piteusement la tête, en regardant ses pieds.
- Nous appelons Albus Dumbledore pour la défense, cria le greffier.
- Nous vous écoutons, qu'avez-vous à dire pour sa défense, dit Amélia d'un ton désagréable.
- Dolorès a eu des méthodes un peu dure quand elle enseignait, et elle a voulu rattraper le retard des élèves en leur apprenant la théorie, cela partait de bons sentiments. J'ai bien peur que Harry n'exagère. Quand à cette histoire de meurtres cela doit être une erreur, Dolorès est une personne responsable, sous-secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Magie, et elle fait du très bon travail, dit Dumbledore en agitant sa main bandée avec les structures de fer.
- Monsieur Dumbledore…commença Amélia.
Hey ho hey ho nous revenons du boulot la la la…ce refrain interrompit Amélia, qui regarda Albus avec de grand yeux
- Ce n'est rien c'est mon bandage des sept nains, dit Albus tout heureux en regardant son pansement.
- Donc, je disais….Monsieur Dumbledore ou vous êtes atteint de sénilité ou vous avez un gros problème d'audition. L'accusé a été reconnu coupable de meurtre, d'usage de la magie noir, d'usages d'impardonnables, de tortures. Par ailleurs Lord Potter nous à prouvé qu'on a bien utilisé sur lui une plume de magie noir, classé comme objet maléfique niveau six, interdit, et en plus dans votre école et sous votre responsabilité. Et vous niez ces graves accusations ? Mais ou est passé votre logique ? Je forme de gros doutes quand à votre manière d'éduquer les enfants, et je m'en inquiète, car si une plume de sang vous parait normal…alors nos enfants courent un péril mortel, termina Amélia sur un ton grave
Dumbledore se rassit vexé, furieux, et affreusement honteux, les sorciers du public le regardaient avec inquiétude et suspicions. Amélia et les juges sortirent pour délibérer.
Harry en profita pour s'éclipser avec Sévérus reprenant son apparence normale dans les toilettes. Tonio resterait pour leur donner le verdict. Ils transplanére au manoir Malefoy. Sévérus prit alors Harry dans ses bras, et l'embrassa langoureusement avec tendresse et douceur. Harry se laissa aller contre la forte poitrine apaisée, protégée, et Sévérus le berça doucement, il savait que cette confrontation au tribunal avait été difficile pour son amour. Harry se laissa conduire dans le salon, ou ils s'installèrent sur le canapé, aussitôt Harry vint se blottir contre lui amoureusement.
Peu de temps après Tonio arrivait, aussitôt, il se servit un whisky et leur raconta.
- Dolorès Ombrage est condamné à trois mois de prison à Azkaban, pour qu'elle souffre des détaqueurs ensuite elle recevra le baiser. Les journalistes courraient partout impatient de faire leurs articles. Et Dumbledore t'a cherché partout Harry il était furieux, là ou il passait les sorciers rigolait sur son passage. Harry c'est une grande victoire aujourd'hui, dit Tonio en lui souriant doucement.
Réponse aux messages
Merci a tous vos messages ils sont super. Je suis content que le chapitre sur l'entraînement vous ait fait plaisir, je ne vais pas tous les caser car c'est du travail après pour gérer les couples. Pour le Mpreg je ne sais pas ce sera suivant l'évolution de l'histoire…J'ai voulu trouver des animagi qui changeaient...gros casse tête. Bonne lecture a bientôt, je vais ralentir un peu le rythme, 1 chap par jour cela devient dur, surtout qu'il faut trouver des idées…
Kamyu oui merci pour ton message, mais pour répondre a ceux qui ne sont pas inscrits, ce n'est pas possible, donc des que j'ai un peu de temps je le lirais…
JTFLAM ()où est l'hippogriffe du Square ? Réponse Il est avec Hagrid qui s'en occupe très bien, il le brosse tous les jours, et il est heureux de se balader dans la foret.0_0
CHAPITRE 27 Le mariage
Les articles du prophète avaient envahit le monde sorcier. « La sous-secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Magie est une MEURTRIERE », « Dumbledore autorise la torture par la magie noir sur ses élèves », « Dumbledore sénile ou machiavélique ? », « Après Percy, Ombrage un reflet du ministère ? ».
Ces articles avaient provoqués la panique dans le monde sorcier. Le monde magique exigeait des explications, de nombreuses familles retirèrent leurs enfants de Poudelard.
Fudge complètement paniqué essayait de sauver la situation, il fit imprimer des tractes expliquant qu'il n'était pas responsable, il envoya un courrier au Prophète pour qu'il le publie, en expliquant que le gouvernement avait condamné Ombrage, qu'une enquête serait mené à l'école de sorcellerie, Fudge était prêt à tout pour sauver sa peau. Cela apaisa un peu les tensions, mais la situation demeurait tendue.
Dumbledore se terra à Poudelard, comment Harry avait il pu s'échapper ? Comment était il entrée en possession de son héritage ? Il avait l'air de lui en vouloir, mais il pouvait encore le récupérer, il ignorait ses plans. Il lui proposerait de vivre avec Molly, ha non …ce n'était pas une bonne idée, non qu'il reste à l'école, ça cela lui plairait. Il devait trouver Lupin, lui l'aiderait à le récupérer.
La deuxième équipe composé de Georges, Fred, Tonks, Pansy, Théo, Charlie et Bill était partie pour le sanctuaire, Estrie les avait accompagné, et confié à Yor, à temps pour être présente aux coté d'Arthur pour le mariage.
Harry se préparait pour le mariage avec Blaise et Draco, ils subiraient encore la transformation qui leurs rendraient leurs ancienne apparence.
Sévérus voulait venir, mais ils décidèrent qu'il prendrait l'apparence de Théodore Nott avec une potion de Polynectare. Il était trop dangereux qu'il se révèle devant le père de Crabbe.
Arthur avait négocié avec Crabbe Sr, qu'aucune attaque ne les menacerait Harry et lui lors de la cérémonie. Crabbe Sr avait donné sa parole.
Quand ils arrivèrent au manoir des Crabbe, ils découvrirent Ginny au bras de Vincent Crabbe, son ventre rond se voyait bien, car sa robe blanche de mariée était moulante. Molly, Ron, Hermione, et la tante Muriel étaient présent.
Un instant d'un silence lourd plana lorsque le groupe d'Arthur débarqua.
Molly toisa avec haine la femme qui était au bras d'Arthur. Celui-ci fut ravie de la détresse de son ex-femme, il rapprocha Estrie de lui, qui lui sourit avec complaisance. Molly devint livide de rage.
Ron et Hermione étaient très surpris de voir Harry en compagnie de Draco, Blaise et Théo. Que fichait il avec des serpendards ? Quand était il sortie de chez les moldus ? Et pourquoi les regardait il si froidement ?
Ginny se mis à fondre en larmes en voyant Harry, tous ses rêves étaient brisés…et pourtant il était là a porté de main, elle jeta un regard à Vincent, grand, gras, trapus, puis à Harry et son cœur chavira.
Vincent s'avança vers Draco avec un grognement.
- Salut chef, je suis content que tu sois venu à mon mariage avec Blaise et Théo. Mais que fait Potter ici ? demanda Vincent d'une voie grave.
- C'est un ami à nous maintenant Vincent, soit gentil avec lui, de plus c'est un ami des vrai Weasley, dit Draco en regardant Molly et Ron.
Vincent répondit par un long grognement en dévisageant Harry. Ron devin rouge de colère en serrant les poings.
Ron et Hermione avancèrent vers Harry, déterminés à savoir ce qu'il faisait ici, et avec des serpendards.
-Mais Harry que fais tu ici ? Tu ne peux pas sortir comme ça sans permission de chez les Dursley, qu'est ce qui te prend ? Et ta sécurité ? Commença Hermione très énervé.
Harry détailla Hermione d'un regard froid, elle était toujours blonde, elle avait les yeux rouges et gonflés, et semblait un peu perturbé, il sentit une montée de haine gonfler en lui, mais il lui répondit avec un petit sourire.
- Ha Hermione, tu ne dois pas être au courrant mais mon nouveau tuteur, m'a enfin sortit de chez les Dursley…je ne vis plus là bas désormais, mais toi que fais tu ici je te croyais en vacances en France ? Répondit Harry ironiquement.
Hermione tiqua, puis soupira, ce n'est pas comme ça qu'elle l'épouserait, en lui faisant des reproches.
- Je suis revenue plus tôt de vacances, mais tu dois tout me raconter, tu sais que je suis ton amie…dit Hermione en battant des cils.
- Qu'est ce que tu fous avec ces serpendards Harry ? Cracha Ron.
- Ah eux ? Ce sont de vrais amis, j'habite chez Draco vois tu…dit Harry avec nonchalance.
- Quoi ? Espèce de traître, tu t'es retourné contre nous hein ? Hurla Ron rouge de colère.
- Tu ferais mieux de te taire le traître ici c'est toi, je suis au courrant de vos petites manigances, je sais tout espèce de jaloux, vous me dégoûtés dit Harry avec colère.
Ron sortit sa baguette voulant jeter un sort sur Harry. Mais Harry fut le plus rapide et lui lança un expelliarmus. Draco lui lança un sort de malchance. Blaise lui lança un Mortémus, qui est un sort de pourrissement de certaines parties du corps. Et Théo alias Sévérus lui lança un aragna hypnotica. Ron resta allongé sur le sol assommé.
Molly et Ginny se précipitèrent vers lui, Ron reprenait peu à peu conscience. Molly se redressa outragé.
- Comment oses tu faire ça a mon fils ? Hurla Molly sur un Harry indifférent. Puis elle se tourna vers Arthur et toi tu ne peux par faire quelque chose ? C'est ton fils, cria Molly en regardant Arthur.
- Il n'a eu que ce qu'il méritait, il n'avait qu'à pas trahir Harry dans un premier temps et essayer de lui lancer un sort. Ensuite je te rappelle qu'il n'est plus mon fils je l'ai déshérité et renié. Maintenant marrions Ginny et finissons en, dit Arthur d'une façon autoritaire.
Ginny se rapprocha doucement de Harry et lui dit en chuchotant.
- Sauve moi Harry, empêche ce mariage je t'ai toujours aimé, je t'en prie, dit Ginny.
- Tu n'as que ce que tu mérites, je n'ai que mépris pour toi, va retrouver le père de ton enfant et ne m'approche plus, dit Harry avec mépris.
- Oui ça suffit Molly tiens tes enfants, et toi Ginny va voir ton futur mari, et commençons la cérémonie, dit Muriel avec colère.
Le cortège se constitua et ils pénétrèrent dans un champ qui avait été préparé par un druide pour la cérémonie sous un grand chêne.
Aussitôt tous prirent place, et le vieux druide commença ses sanctifications en vieux gaélique.
Ron buta contre une racine et s'étendit de tout son long. Molly soupira en le redressant.
Hermione essayait de réfléchir, donc Harry était au courrant du plan de Dumbledore, il savait qu'elle n'était pas partie en vacances en France, il savait pour le plan de Ginny, pour la jalousie de Ron, mais elle ? Elle pourrait dire qu'ils l'avaient forcés, qu'elle ne lui avait rien fait. Qu'elle s'inquiétait pour lui car elle l'aimait…oui c'était parfait. Elle prit six pilules qu'elle avala, et se sentit plus calme.
Quand elle releva la tête, le druide venait de lier les mains des mariées avec un ruban et une lumière rouge brilla un bref instant.
- Je vous déclare mariés par magie magistra à jamais, termina le druide.
Le mariage était finit, unissant à jamais une Ginny en larme avec un Vincent grognant.
Après la cérémonie ils se dirigèrent vers le manoir pour le vin d'honneur. Crabbe Sr, essayait de savoir auprès de Draco ce qu'était devenu son père, et Draco lui répondait qu'il était très inquiet car il n'avait aucune nouvelles. Crabbe Sr fronça les sourcils très contrariés par la nouvelle.
Hermione se rapprocha de Harry qui restait collé à Blaise et Théo. Elle fronça les sourcils de contrariété.
- Harry je voulais te dire des choses importantes, pouvons nous parler en privée ? Demanda Hermione.
- Non, je reste avec Théo et Blaise, si tu as quelque chose à dire, fais le devant eux, répondit Harry froidement.
- Harry, ils m'ont forcés à exécuter leurs plans, je ne voulais pas, je t'ai toujours aimé Harry, jamais je n'aurais pu te faire du mal, plaida Hermione.
- J'ai bien du mal à te croire, ne me prends pas pour un naïf manipulable, et sache que le seul que j'aime c'est celui a cote de moi, répondit Harry.
Hermione avança d'un pas décidé vers Harry en balançant des hanches exagérément, et susurra.
- Harry dit pas ça, je te connais mieux que quiconque, je te ferais des choses si bonnes que tu en redemanderas, je serais ton esclave dévoué, à tes ordres, et prête a tout pour toi, rappelle toi toutes ces années d'amitié, maintenant nous pourrions explorer tellement d'autre facettes de notre amitié, dit Hermione d'une voie charmeuse.
- Il n'en est pas question, il est a moi, si vous vous approcher encore une fois de lui je vous enverrais des sorts si sombres que vous hurler de terreur, dit Nott d'une voie polaire et impérieuse
Théo enlaça alors Harry et colla ses lèvres à lui, glissant sa langue dans la bouche de son partenaire. Aussitôt les bras de Harry se resserrent autour de sa taille et ils échangèrent un baiser torride.
Hermione les regarda choqué, non pas lui aussi, mais qu'est ce qu'ils avaient tous à être PD ? Elle sentit ses jambes se dérober sous elle, tomba les fesses sur le sol, et prit ses pilules le regard halluciné fixé sur le couple.
Quand ils se séparèrent, il la regarda glacial.
- Jamais je ne voudrais de toi, va rejoindre Ron, les traîtres restent ensemble, dit Harry.
- Ca c'est sur Harry est gay t'as aucune chance, sang de bourbe, tu mettras pas la main sur sa fortune, dit Blaise.
- Qui voudrait d'une idiote de cracmol comme toi, dit Draco qui venait de les rejoindre.
Ron se précipita vers Hermione et l'éloigna, leurs lançant un regard furibond.
- J'ai suivit des cours d'auror moi, tu ne ferras pas le poids Potter l'homo, je t'aurais dit Ron avec tous son venin.
- Oh mais viens Prewett, tu ne me fais pas peur, et quand à m'avoir …il faudrait que tu sois mieux membré pour ça, répondit Harry en riant. Hermione retint Ron en pleurant de rage et les éloigna.
Ginny regardait Harry embrasser Théo et elle se mit à pleurer, Vincent lui donna une gifle en lui disant de se tenir correctement, il en avait assez de ses pleurnicheries.
La tante Muriel expliquait à Arthur comment elle avait dressé Ginny lui apprenant les devoirs d'une bonne épouse, la serinant sur la moral, et les devoirs qu'elle avait. Lui rappelant les règles de pudeur et de chasteté. Elle eu un petit rire quand elle lui expliqua qu'elle lui avait mis une ceinture de chasteté, en lui faisant prendre une potion de luxure, l'empêchant de se soulager, pour qu'elle apprenne à se contenir. Arthur fit un petit sourire avant de s'échapper pour rejoindre Estrie. Il l'a prit dans ses bras échangeant un baiser fougueux, sous le regard courroucé de Molly.
Soudain Ron se mit à hurler en montrant le mur en disant « araignée ». Hermione se précipita vers lui en lui disant qu'il n'y avait rien, quand l'illusion disparus Ron jeta un regard confus autour de lui.
Crabbe Sr, se dit que décidément les fils Weasley avaient tous un problème… Ce qui l'intéressait d'avantage était la présence de Potter avec Blaise et Draco, et que dire de ce baiser échangé avec le fils Nott ? Il devait réfléchir à ça.
Molly avança d'un pas décidé vers Arthur. Elle refusait de se faire humilier ainsi.
- Arthur que fais tu avec cette gourgandine, dit hargneusement Molly.
- Nous sommes divorcé je te le rappelle, voici Estrie Vlad D'Ores, une riche héritière et la femme de ma vie, répondit Arthur.
- Mais tu ne peux pas faire ça…pria Molly.
- Laissez nous tranquille, vous avez perdus tout droit sur lui lorsque vous l'avez trahit, il a été clément avec une créature comme vous, lui dit Estrie royale.
- Oh vous, je vous haie, et Molly pointa sa baguette sur Estrie. Celle-ci bloqua le sort d'un geste de la main, et le retourna contre l'expéditrice. Molly fit un vol plané dans la pièce, avant de s'écraser contre le mur.
Ginny et Ron coururent vers elle. Ron glissa et s'étala sur le sol. Arthur lança à son ex-+femme un regard de pitié.
Le groupe d'Arthur décida de partir, et alla saluer Crabbe Sr, les mariés, et la tante Muriel. Théo enlaçait Harry qui se collait contre lui, sous le regard hilare de Blaise et Draco. Ginny se remit à pleurer en tendant une main tremblante vers Harry. Vincent, la tira violement en arrière la faisant tomber au sol.
Crabbe Sr regarda pensivement les quatre jeunes sorciers partirent en riant.
Ron, Hermione et Ginny les suivirent du regard, dégoûtés et furieux, jusqu'à ce qu'ils transplannes. Molly éclata en sanglots.
- Blaise qu'est que c'est le sort que tu as lancé a Ron ? Demanda Harry.
- Le mortémus ? J'ai apprit ça avec les nécromanciens, la personne qui reçoit ce sort a des parties du corps qui se décomposent comme les cadavres, puis redeviennent normale, sauf que tu gardes une odeur de pourriture, dit Blaise avec satisfaction.
- Génial ton sort Blaise, moi je lui ai juste jeté un sort de malchance, dit Draco déçu.
- Ne t'en fais pas Draco je lui ai lancé un aragna hypnotica, j'ai apprit cela avec les elfes noir, il va voir des araignées partout, mais cela ne durera pas longtemps, ensuite le sort prend de l'ampleur et il à l'impression de se faire dévorer par des arachnides, il ne va pas s'en remettre, dit Sévérus qui venait de reprendre son apparence avec un soupire de satisfaction.
- Très bien, on sera donc bientôt débarrassé de Ron. Hermione à l'air dépressive et désespéré, et a autant de pouvoirs qu'une cracmol, et Ginny est casé avec Crabbe…trois de moins fit Harry satisfait.
Harry fit un geste de la main et dissipa le sortilège de transformation physique, les trois sorciers respirèrent plus à l'aise dans leurs corps.
- Oh Harry, j'ai bien peur d'avoir lancé un petit sort supplémentaire à Hermione, un petit sort d'isolement, elle va se retrouver bien seule, dit Sévérus d'un ton sinistre, cela lui apprendra d'essayer de voler mon homme deux fois.
Les trois sorciers éclatèrent de rire.
- Bien préparons nous, demain nous partons à Drumstang.
POV Voldemort
Il avait mal, il étais tellement en colère, des crises de rages l'envahissaient, mais il s'obligea a contrôler ses émotions, car il devait reprendre le contrôle. Voldemort rassemblait ses forces et il n'était pas finie, oh non….
Il contrôlais la moitié du ministère de la magie, la moitié de ses hommes étaient des mangemorts, soit des sous fifres sans réelles compétences mais ils avaient la marque.
Il se reconstituait un cercle, il avait eu la surprise de voir arriver Percy Weasley, et il l'avait marqué, car grâce à lui il pourrait traquer la tribu de Dumbledore. Et c'est là que c'était excellent, il avait enfin l'adresse de Potter, et lui et ses mangemorts allaient leurs rendre une petite visite, et les massacrer.
Percy lui avait dit que Potter vivait prisonnier chez ses moldus, faible, dépérissant, il n'en ferait qu'une bouchée, de chairs sanglantes.
Il allait attaquer des villages sorciers et en tuer le plus possible.
Crabbe mariait son fils avec la plus jeune des Weasley, et la fille une fois mariée servirait à distraire ses hommes….le jeune Percy était tellement imbibé par l'alcool qu'il ne réagirait même pas…
Voldemort convoqua ses troupes, et transplana à Privet Drive. Les Dursley, ne comprirent rien à ce qu'il leurs arrivaient. Le seigneur des ténèbres furieux de ne pas avoir trouver Potter, les torturas longuement avant de laisser leurs corps mutilés et sans vie.
Prit d'une rage incommensurable, ils partirent dans trois villages sorciers et tuèrent tout ce qui s'y trouvait.
Fatigué et satisfait d'avoir inspiré la terreur Voldemort rentra dans son château prendre un repos bien mérité, et soigner sa migraine.
Fin du POV
Harry, Draco, Blaise, Neville et Sévérus partirent le lendemain matin pour l'école de magie de Durmstrang, en Bulgarie. Igor vint les chercher et il activa un portoloin.
Ils se retrouvèrent sur le vaste terrain de l'école.
L'école était un immense château de quatre étages, munis de cinq tours. Il faisait froid même en plein mois d'août, un vent glacial soufflait des montagnes entourant l'école. On pouvait voir plus loin un grand lac aux eaux sombres, et une épaisse foret de pins noirs.
Igor les fit entrer et leur montra leurs appartements. Spartiate ne contenant que le strict nécessaire, Draco, Neville et Blaise avait des chambres individuelles. Harry fut soulagé de découvrir qu'il ne serait pas séparé de Sévérus, ils avaient une chambre double, un peu plus confortable, comprenant d'épaisses fourrures jeté sur le sol ou sur le lit.
Il leurs fournit des tenues de l'école, un long manteau rouge sombre bordé de fourrure, et un pantalon bouffant ainsi qu'une casaque marron. Ils leurs remis une paire de bottes noire, insistant pour qu'ils portent les tenues de l'école.
- Les examens commenceront demain, voici votre programme. Commença Igor, en leur fournissant des parchemins.
- Lundi : Potions pratique 8h à 12h - Potion théorie 13h à 16h / 16 h à 19h théorie Métamorphose.
- Mardi : Pratique Métamorphose 8 h 12h / 13h 19h théorie et pratique des runes.
- Mercredi : Théorie de l'arithmancie 8h 12h / 13h 19 h théorie et pratique des sortilèges,
- Jeudi : toute la journée pratique et théorie des DCFM et de la magie noire avec une pose de trente minutes le midi.
- Vendredi : théorie et pratique de la botanique et des créatures magique 8 h 12h / Histoire de la magie 13h 16h
Le programme pour vos ASPIC est chargé, on vous apportera votre repas dans votre chambre, bonsoir, Sévérus je te verrais demain, et Igor partit.
- Et bien quel accueil dit Harry, dés que la porte de leurs chambre fut refermé.
- Igor, est comme ça, de plus il prends un risque en révélant sa présence, Voldemort le cherche toujours, répondit Sévérus.
Harry se dirigea vers la cheminée et alluma le feu d'un geste de la main, il contempla un instant les flammes qui dansaient avec des couleurs rouge orangés, puis se tourna vers Sévérus en lui faisant signe d'approcher. Sévérus eu un petit sourire en coin.
- Toi tu as une idée derrière la tête dit-il, mais il faut te reposer demain la journée va être longue…
- J'ai besoin de me détendre…qu'en penses tu ? Là sur cette fourrure, devant le feu, et toi en moi…dit Harry en se léchant les lèvres.
Sévérus ne résista plus, d'ailleurs il n'avait aucune envie de résister. Il le coucha sur la fourrure et entrepris de le déshabiller en l'embrassant partout ou la peau apparaissait. Harry réussit à lui retirer sa robe de sorcier, puis impatient d'un geste de la main, tous les vêtements disparurent.
- J'ai trop envie de toi, murmura Harry sur un ton d'excuse.
Sévérus lui sourit, puis s'allongea à ses coté « montre moi » lui dit il, Harry sentit immédiatement son corps s'enflammer.
Il se positionna au dessus de Sévérus, son sexe déjà dure au dessus de sa tête, puis Harry se baissa pour prendre la verge raide de son amour, délicatement il prit le prépuce entre ses lèvres. Il sentit Sévérus se contracter, puis l'entendit haleter. Il commença alors à le téter doucement en prenant garde à ses dents, puis il passa sa langue sur toute la longueur en remontant. Sévérus le pris soudainement dans sa bouche à son tour et lui fit les mêmes gestes, et au même rythme qu'il donnait. Très vite Harry poussa des gémissements et se tendit, quand Sévérus le prenait plus profondément dans sa caverne chaude et humide, il avait du mal à contrôler les tremblements de son corps, et à ne pas s'écrouler sur lui.
Sévérus agrippa une hanche d'une main, tandis que de l'autre il glissait un doigt dans son anus. Harry ne pu retenir un long gémissement de plaisir. Il engloutit d'avantage le sexe faisant aller et venir plus rapidement sa bouche. Sévérus l'écarta brusquement et le retourna pour s'allonger sur lui. Ils étaient hors d'haleine, ils échangèrent un long regard, et Sévérus l'embrassa voluptueusement. Ils sentirent dans la bouche de l'autre leurs parfums intimes avec un long frisson d'extase.
Harry écarta les cuisses tout en soulevant les hanches.
Sévérus se redressa, et se positionna en poussant l'extrémité de sa verge contre l'anus qui se dilata doucement. Il attendit un instant, puis poussa entièrement, il pris un rythme très lent.
Harry admirait le reflet des flammes donnant un aspect doré à la peau de Sévérus, quand celui-ci poussa un long gémissement de plaisir, Harry souleva les hanches et il buta là ou des millions de sensations irradièrent dans son corps.
Sévérus regardait Harry les yeux fermé gémir de plaisir, sa peau couverte de transpiration et accéléra le rythme, il sentit Harry venir à la rencontre de chaque coups de hanches, et ils explosèrent dans le même crie de jouissance.
POV Remus
Remus était revenu pensif de la soirée. Qui aurait cru que Sirius Black deviendrait calice ? Il était content pour son ami, bien sur leurs relations avait changé, mais Remus avait été soulagé de le voir heureux, il ressemblait à l'adolescent qu'il avait connu.
Et il n'était pas encore remis de la manière dont Harry avait mené la réunion, d'ailleurs il l'avait à peine reconnu tellement il avait changé, il avait atteint sa taille adulte, il était tout en muscles, et quel puissance, il était loin l'éléve chétif et timide.
- Tu baves sur lequel ? Sirius ou Harry ? Demanda Fenrir dans un grognement jaloux.
- Aucun, ce sont des amis et Harry est comme mon louveteau, soupira Remus.
- Et bien ton louveteau il avait les dents d'un loup alpha qui dirige sa meute ce soir, fit Fenrir avec un rire de dérision.
Ils entrèrent dans la maison de Fenrir.
- Je vais me coucher, je suis fatigué, et Fenrir sortit en claquant la porte.
Merlin, pensa Remus il est jaloux, et il fait la gueule en plus. Remus se laissa tomber sur une chaise, sous le coup de cette révélation. Depuis cette première nuit, leur relation n'avait guère évoluée. Aucune parole douces, aucun mots d'amour, juste l'acte brutale, mais toujours aussi bon. Le loup de Remus aimait sa domination, il aimait se soumettre à cette force de la nature. Remus en était venu a avoir du respect pour Fenrir, si droit avec la meute, il était juste, loyal…un bon alpha, un bon chef de meute. Mais ce soir Remus reconnaissait qu'il n'était pas que cela, il l'attirait, il le désirait…Etais ce de l'amour ? Pourquoi cette première nuit l'avait il mordu le reconnaissant pour son compagnons.
Les loups n'aime qu'une fois, et il l'avait choisit, lui. Tout cela rendait Remus confus. Et il y avait le problème Rag, oh il ne l'insultait plus en face, non il était bien plus sournois. Lorsqu'il savait que Remus avait une tache, il s'arrangeait pour la saboter. Soit la roue de la charrette lâchait, soit le sac de grain accroché à une corde cassait, faisant éclater le sac de grain sur le sol. Et les exemples étaient nombreux, mais Remus ne pouvait le prouver, il n'avait aucune preuve, mais il savait que c'était Gar.
Remus se leva et rejoignit Fenrir dans leur chambre, celui-ci avait exigé qu'il partage le même lit. Remus se coucha de son coté, et sombra bien vite dans le sommeil.
Le lendemain matin, il se réveilla seul, il se prépara il gérait aujourd'hui l'intendance, c'est-à-dire que les groupes de travail soient bien répartit. Après s'être occupé des équipes, il décida de rejoindre les femmes à la cueillette des pommes, pour les aider à porter les paniers. Quand Rag arriva complètement affolé.
- Vite, vite Greyback à des ennuis, il est tombé dans une crevasse et s'est sûrement cassé un os, je ne peux pas le remonter seul.
- Je prends une trousse de secours et une corde et je te suis, dit Remus
Rapidement, ils se mirent en route, Rag l'emmena dans un secteur qu'il ne connaissait pas et ou se trouvait une carrière.
- C'est encore loin ? Demanda Remus.
- Non, tu vois ce trou, il est là, répondit Rag, en désignant une crevasse.
Remus s'approcha du bord de la crevasse, mais ne vit rien, il allait appeler Fenrir, quand il sentit qu'on le poussait dans le dos. Remus glissa essayant de se raccrocher a la paroi, quand il reçu un sort d'étourdissement, et sombra dans le néant.
Quand il reprit connaissance, il était enchaîné à un mur et trois mangemorts le regardaient en ricanant. Rag était parmi eux. Remus se redressa difficilement.
- Pourquoi ? Cria Remus avec colère.
- Car tu es le parfait appas. Greyback, viendra te chercher ici, et nous le tuerons, le seigneur des ténèbres veut sa tête, et toi tu mourras ensuite, cria Rag avec haine.
- Comment peux tu trahir ton chef, ton alpha ? Dit Remus dégoûté
- Il n'avait qu'a pas te choisir…en plus il t'a pris pour compagnon, toi qui n'est rien, tu ne l'aime même pas, tu ne vois même pas ce que tu le fais souffrir par ton égoïsme, tu ne le mérites pas, et tu vas crever comme le chien que tu es, dit Rag avec une rage froide, amusez vous avec lui.
Les mangemorts lancèrent des doloris, des sorts de découpe, ils s'amusèrent longtemps. Rag était appuyé contre le mur en souriant. Remus perdit connaissances
Réponse aux messages
Je vous mettrais une histoire tout les 3 jours ou au pire 1 par semaine, mais promis je finis l'histoire. JTFAM t'en fais pas Harry n'a pas besoin de poison pour exploser Voldy, je veux juste trouver quelque chose de sympa pour sa fin.
Et c'est clair que Hermione n'est plus trop lucide…
Voila du Remus
Merci encore pour vos messages
Bizzzzzzzzzzzzzzzzz
CHAPITRE 28 Le procès de Fudge
Suite du POV Remus
Greyback était fou d'inquiétude, Remus avait disparu. Etait il parti ? Il n'aurait pas du se mettre en colère hier soir, mais la jalousie l'avait rongé, lorsqu'il l'avait vu sérer le calice contre lui. Il n'avait pu se maîtriser, en fait si, il s'était maîtriser sinon il les aurait tué tous les deux, tellement la rage l'étouffait. Seulement Remus était aveugle, il ne voyait pas ou ne voulait pas voir qu'il tenait à lui.
- Chef, chef, vite Remus s'est fait capturer par des mangemorts, il faut partir l'aider, dit Rag essoufflé.
Une rage puissante monta en lui.
- Attends je vais chercher ma baguette, dit Fenrir avant de foncer vers sa maison ou il entra, sauf qu'il sortit directement par la porte de derrière et couru voir Pollux à l'atelier de menuiserie.
- Vite réunis plusieurs loups et suis moi à distance, je pense que c'est un piège, fais vite, et sois discret, lui dit Greyback avant de repartir
Greyback sortit de chez lui, heureux de toujours dissimuler sa baguette dans sa manche, il la fit glisser dans sa main.
- Voilà j'ai eu un peu de mal à la trouver, allons y, dit Fenrir.
Ils coururent un moment. Fenrir observait son ex-second, son intuition ne le trompait jamais, le loup était nerveux. De plus jamais il n'aurait aidé Remus jaloux comme il le connaissait, c'était impossible.
Et l'endroit où il l'emmenait était étrangement loin de son territoire, cela faisait une heure qu'ils couraient.
- Sais tu combien ils sont ? Demanda Fenrir
- Il me semble qu'ils sont trois, répondit Rag.
Donc il sont facilement cinq fois plus, pensa Fenrir. Si ils l'ont touché, je les tues tous.
Remus reprit connaissance, il écouta autour de lui, il était seul. Son corps lui faisait un mal de chien. Il devait sortir de là et prévenir Fenrir. Remus tira sur ses chaînes….. Trop solide.
Hier soir il avait discuté avec Tonio, s'éloignant de Sirius pour calmer la colère qu'il sentait monter en Fenrir. L'italien lui avait confié qu'il avait un don avec les serrures, qu'il les ouvraient sans baguette. Remus était curieux, et il lui avait demandé le sort, Tonio avait refusé de lui dire son secret.
Remus avait été très déçu, mais au moment de partir il lui avait dit un mot dans l'oreille « abierto rapido ». Sur le coup Remus avait pensé que c'était la manière de dire au revoir en italien, mais il n'en était plus sur.
Il regarda l'une des chaînes qui enserrait son poignet, pria Merlin, se concentra et dit « abierto rapido ». Remus faillit pousser un hurlement de joie quand la menotte tomba à ses pieds.
Greyback arriva devant une maison abandonnée, isolé, en pleine campagne. Il regarda autour de lui, tout était trop calme, beaucoup trop calme.
- Vite, vite, il est à l'intérieur, dit Rag d'un ton stressé.
Greyback s'avança, Rag le suivant. Arrivé devant la porte, il poussa Rag devant lui et le propulsa dans la maison. Aussitôt une multitude de rayons s'abattirent sur Rag. Fenrir serra les dents.
- Arrêtez c'est pas lui, arrêtez…c'est Rag, cria une voie.
- Pourquoi il n'a pas frappé cinq fois comme convenus ? Répondis une autre voie.
- Il est mort ? Non ? Bon, va voir dehors si il y a quelqu'un, il devait ramener Greyback
Il entendit l'homme grommeler et sortir en traînant des pieds.
Des que le mangemort sortit, Greyback, qui était déjà a moitié transformé, saisit le mangemort par le cou et lui arracha la gorge a pleine dents, il laissa tomber le corps à terre, le laissant se vider de son sang. Pas un cri, ni un son n'avait été émis, Greyback eu un sourire carnassier. Du coin de l'œil il vit Pollux et ses loups arriver, mais ils étaient encore loin. Alors Greyback fonça à l'intérieur.
Quand Remus arriva en haut des marches, il tendit l'oreille, mais il n'y avait plus aucun bruit. Par contre l'odeur métallique du sang agressa ses narines. Il ouvrit précautionneusement la porte. Il découvrit un vrai massacre, des mangemorts étripés, éventrés, des bout de bras, et du sang…tellement de sang. Remus serra les dents, empêchant la bile de sortir de sa bouche, ce n'était pas le moment. Par-dessus l'odeur du sang, il reconnu celle de Fenrir. Il couru enjambant les corps, et trouva Le loup assis sur le sol, appuyé contre le mur. Il semblait blessé, sans connaissances. Vite il se précipita vers lui.
Il avait été salement touché, Remus se baissa et lécha une longue plaie d'où coulait du sang. La salive des loups-garous soigne leurs compagnons, doucement il lui caressa le visage, tremblant de peur pour lui.
Il repensa aux paroles de Rag « tu ne l'aime même pas, tu ne vois même pas que tu le fais souffrir par ton égoïsme, tu ne le mérites pas » Merlin, ce n'est pas vrai. Soudain il prit enfin conscience que ce qu'il ressentait pour le loup c'était de l'amour, il l'aimait. Merlin combien il avait pu être bête.
Remus se pencha vers Fenrir, passa doucement les mains dans ses cheveux si doux, le huma.
- Fenrir mon amour reviens à toi, je t'en prie, je t'aime Fenrir, dit Remus émus, en l'ambrassent et lui caressant le visage.
Un rugissement de joie accueillit sa déclaration, Fenrir referma ses bras autour de la taille de Remus, et prit ses lèvres passionnément. Remus lui répondit avec tout l'amour qu'il venait de découvrir, le baiser se fit plus doux, faisant doucement gémir Remus contre ses lèvres.
Ce gémissement de plaisir, Fenrir l'avait tant attendus, ses paroles aussi, son cœur avait fait une embardé, il en trembla d'émotion. Fenrir prit le visage de Remus entre ses mains, écarta ses lèvres de quelques centimètres, et murmura.
- Redis le, je t'en prie redis le, j'attends ce moment depuis si longtemps.
- Je t'aime Fenrir, pardonne moi, je t'aime, cria Remus
Fenrir, ferma les yeux savourant les mots, et repris amoureusement les lèvres de Remus aspirant doucement sa lèvre, enroulant sa langue à la sienne. Jamais cela n'avait été aussi bon, jamais, pensèrent ils.
Pollux arriva avec vingt loups- garous, quand il approcha de la maison il reconnu l'odeur du sang, il accéléra le pas et entra. C'était un vrai carnage, il y avait près de trente cadavres déchiquetés éparpillés sur le sol. Il repéra Rag, étendus sans connaissance dans un coin, mais toujours vivant, il eu une moue méprisante et fit signe à deux de ses hommes de s'en occuper. Rapidement il chercha son Alpha, et le trouva avec Remus s'embrassant avec passion, il donnait chaud ces deux là. Les choses semblaient s'être arrangé dans le couple, c'était une bonne nouvelle. La meute sentait la tension qui les habitait depuis le premier jour, et cela devenait insupportable. Il fallait les interrompre sinon ils allaient consommer là, et rapidement.
- Hmm, hmm…excusez moi de vous déranger, mais il faudrait partir, dit Pollux retenant un sourire en entendant leurs grognements de protestation.
Fenrir et Remus se détachèrent à contre cœur. Remus aida son compagnon à se redresser, et enroula son bras autour de sa taille pour qu'il prenne appuie contre lui.
Quand ils sortirent, les loups les attendaient devant la maison. Remus remarqua Rag plus loin encadré par deux loups. Il émit un grognement sourd. Rag le regarda avec haine. Fenrir se détacha de lui, et lui dit.
- Va régler ça une fois pour toutes, fais attention à toi.
Les deux loups garous s'éloignèrent de leur prisonnier. Puis tous les loups garous firent cercle autour d'eux. La situation était claire.
Remus et Rag s'observèrent avec haine. Ils se transformèrent partiellement tout les deux.
Rag plongea vers lui, envoyant sa main devant pour l'éventrer se ses griffes. Remus fit un bon sur le coté, et lui décrocha une manchette sur la nuque. Rag roula sur le coté, puis se releva, retroussa les babines et fonça sur Remus, cherchant à le ceinturer. Remus s'aplatit sur le sol et lui balança un coup de pied au passage qui fit craquer quelques os. Remus décida de passer à son tour à l'attaque, il donna un violent coup de griffe dans le dos de Rag, qui hurla de douleur.
Rag fit une roulade et planta ses dents dans la cheville de Remus, qui grogna de rage et de douleur. Il prit ses deux mains jointes, les serra pour donner de fort coup sur la tête et le faire décrocher. Quand il le lâcha, Remus s'éloigna un peu reprenant sa respiration. Rag se redressa, et courut vers lui, les babines écumant de bave et de sang. Remus au dernier moment fit un pas sur le coté et a une rapidité et une force surprenante plongea ses griffes comme un couteau, vers la poitrine, brisant les cotes et perforant le cœur. Rag s'écroula sur le sol, mort.
Tous les loups du cercle hurlèrent en l'honneur de la victoire. Remus tituba, mais Fenrir le stabilisa, et le prit dans ses bras.
- Brûler la maison, et laissez celui là pourrir, nous partons, dit Fenrir.
Remus passa ses bras autour des épaules de Fenrir, enfouissant son visage au creux de son cou. Fenrir partit au pas de course. Suivit pas sa meute.
- Tu as été blessé toi aussi, tu vas rouvrir tes blessures si tu me portes, murmura Remus.
- Personne d'autre ne te touchera, tu es a moi, répondit Fenrir déterminé.
Remus regarda les flammes s'élever de la maison. Il ferma les yeux à l'abri dans les bras de son loup.
Le retour, fut rapide. Fenrir entra dans la maison avec son précieux fardeau, et l'emmena dans la chambre.
- Je vais chercher les potions de soins, attends moi, dit Fenrir.
Remus alla faire couler un bain, ils étaient pleins de sang l'un et l'autre. Lorsqu'il entendit le pas de Fenrir dans la chambre il l'appela.
- Je suis dans la salle de bain, rejoins moi, dit Remus.
Fenrir entra, et resta bloqué par la vision de Remus nu, enjambant la grande baignoire ronde. Remus tendit la main vers la boite de potions, Fenrir lui tendit mécaniquement.
Remus s'en passa partout ou il y avait des plaies, celle-ci se refermant aussitôt. Il posa ensuite le coffret sur le rebord de la baignoire.
Puis Remus s'installa dans le bain avec un soupire de plaisir, il tourna la tête vers Fenrir qui continuait de le contempler avec un regard affamé.
- Viens me rejoindre, il y a de la place pour deux…et tu en as besoin, dit Remus le regard gourmand, et se léchant les lèvres.
Fenrir arracha ses vêtements, et le rejoignit. Aussitôt il prit ses lèvres, suçant sa langue sans hâte. Remus se détacha doucement.
- Laisse moi te laver, mon amour, dit Remus.
Juste le mot « amour » fit fondre Fenrir qui s'appuya contre la baignoire, regardant Remus enduire ses mains de savons, les faisant mousser, avant de les passer doucement dans son dos, sur ses épaules, sa poitrine.
- Assied toi sur le rebord, murmura Remus. Fenrir, s'exécuta avec des gestes lents.
Remus reprit ses caresses mousseuses sur le ventre, puis les cuisses, les mollets, les pieds. Remus voyait les nombreuses cicatrices qui parsemaient le corps de son loup, il ressentit de la douleur, devant tant de blessures. Il remonta massa les testicules, puis la verge imposante d'un Fenrir gémissant.
Remus prit la douchette et rinça son compagnon, puis il prit les potions cicatrisantes et passa le baume sur les blessures, qui se refermèrent aussitôt. Il reposa la potion, puis se pencha vers le sexe de Fenrir soufflant doucement dessus, celui-ci ne pu empêcher des frissons le parcourent.
Remus passa le bout de sa langue sur la pointe de la verge, appréciant son goût salé, puis il le prit en bouche et entama une lente sucions, qui fit gémir de plaisir Fenrir.
Fenrir arrêta Remus et glissa doucement dans le bain, il attrapa la nuque de Remus en exerçant une douce pression et ravit ses lèvres. Remus vint s'installer avec un soupire de satisfaction à califourchon sur son loup, quand leurs deux érections entrèrent en contacte, ils ne purent s'empêcher de gémir.
Les mains entamèrent un ballet de caresses redécouvrant le corps de l'autre, et provoquant un incendie de voluptés. Remus était sur que jamais Fenrir n'avait connu autant de douceur. Il entama un mouvement de hanches pour frotter leurs sexes, et ils crièrent en cœur, tant les sensations étaient fortes.
Puis il se suréleva en s'appuyant d'une main sur son épaule, et de l'autre dirigea la pointe du sexe contre son anus, il se laissa glisser doucement, s'ouvrant sur son passage. Remus mordait sa lèvre de concentration, quand il le reçu entièrement en lui, il rouvrit les yeux regardant Fenrir, qui était captivé par le spectacle qu'il venait de lui offrir. Remus entoura de ses bras sa nuque et commença à entamer un lent mouvement en roulant des hanches. Fenrir ne le quittait pas du regard, légèrement haletant, les reins en feu. Remus s'approcha de sa bouche le regardant dans les yeux et lui dit.
- Je t'aime Fenrir.
Fenrir attrapa les hanches de Remus et le fit aller et venir aussi vite que la résistance de l'eau lui permettait, il était littéralement fou de lui. Remus poussa des gémissements, puis poussa des petits cris d'extases. Fenrir l'embrassa enrobant sa langue de la sienne, et dans un denier coups de rein plus vigoureux sentit Remus se resserrer autour de lui. Remus poussa un grand cri de délivrance, alors que Fenrir le mordait à l'épaule en se libérant en lui. Ils restèrent un long moment essoufflé, puis Fenrir le repoussa pour sortir du bain.
Remus sentit son cœur se serrer avec angoisse. Fenrir lui fit un petit sourire rassurant, se pencha vers lui, le prit dans ses bras, et le regardant droit dans les yeux lui dit « Je t'aime aussi Remus », puis il l'emporta dégoulinant d'eau dans leurs chambre.
Fin du POV
La semaine d'examens des ASPIC s'était bien passée, ils n'avaient rencontrés aucune difficulté que ce soit en théorie ou en pratique. Le professeur Pouliakoff et le membre du ministère Bulgare, qui surveillaient les examens, avaient été impressionnés par leurs niveaux.
Blaise en examen pratique des runes avait fait grâce à un cercle de runes, une très belle invocation de démon. Celui-ci avait la peau rouge, des cornes, et lorsqu'il était apparu une effroyable odeur de souffre avait emplie la salle de classe. Les examinateurs avaient d'abord étaient effrayés, puis ils avaient été fascinés par la créature. Harry avait crée à base de magie runique des nains, un champ de protection se basant sur la magie de la terre, que le professeur Pouliakoff avait trouvé fascinant.
En cours pratique de potion, Draco avait réalisé une potion de goutte du mort vivant, très réussit, en trouvant des raccourcis permettant de réaliser la potion plus rapidement. Neville avait pour sa part fait une potion de vieillissement, ou l'on pouvait choisir le nombre exact d'années que l'on voulait prendre. L'exactitude n'étant pas une qualité de cette potion, le Professeur Ouraloff, était restée admirative devant son talent.
En métamorphose, ils avaient tous les quatre montrés leurs formes animagi, même Igor et Sévérus étaient venu admirer les créatures merveilleuses, Le dragon nâga de Draco, avait impressionné et effrayé. L'arbre sylvestre de Neville intrigué, le phoenix de glace de Blaise émerveillé. Mais quand Harry se changea en vouivre, son escarboucle sur la tête brillant de milles feux, les examinateurs se sont assis bouche bée.
Neville avait été époustouflant en botanique, réveillant la nature, faisant pousser des plantes inconnues, et domptant les plus féroces, qui venait se frottaient contre lui, comme des chats ronronnant.
En magie noir, Blaise réussit un très beau sort de magie du sang vampirique, qui laissa les examinateurs admiratifs. Harry réalisa un sort de nécromancie d'invocation des âmes, qui fit froid dans le dos.
Le représentant du ministère Bulgare repartit fortement impressionné devant les talents qu'il avait découverts, ces quatre jeunes sorciers avaient largement dépassé le niveau des ASPIC, dans certains domaines cela révélé même de l'art d'un maître qui aurait pratiqué toute sa vie.
Harry, Sévérus et ses amis rentrèrent le vendredi en fin de journée, ils étaient tout de même fatigués par cette semaine intensive d'examens. Leurs résultats seraient envoyés rapidement.
Lucius les attendaient, quand ils arrivèrent il avança vers Harry et lui remis le journal informant le monde sorcier des attaques de Voldemort, et de l'assassinat des Dursley. Harry resta pensif, les yeux dans le vide, pas qu'il pleurait, ou qu'il ait de la peine de leurs morts, non simplement, la prise de conscience qu'une page de sa vie venaient d'être tourné. Sévérus entoura son épaule de son bras, en geste de soutien, il comprenait ce qu'il ressentait. Ils se retirèrent pour la nuit, Harry était fatigué et avait besoin de repos.
POV Ron
Ron était roulé en boulle, accroupis dans un coin de sa chambre, une couverture sur la tête, depuis le mariage catastrophique de sa sœur, il avait vu huit fois apparaître des araignées monstrueuses.
Mais personne d'autres ne les avait vu, il n'y avait que lui, alors il avait essayé d'arrêter de crier à chaque fois, ne faisant qu'une grimace dégoûté qu'il n'arrivait pas a contrôler. Ce qui était horrible, c'était tous les détails de ces hallucinations, il voyait les pattes, le duvet, les petits yeux noir, les crochets qui bougeaient, il en avait des sueurs d'angoisse.
En plus sa maladresse naturelle s'était aggravée, il ne cessait de tomber, de renverser des choses, de se cogner, de se tromper, bref une très grosse malchance. Et cela était devenu très problématique pour suivre ses cours d'aurors. Il n'arrêtait pas de se tromper de sort, ou celui-ci rebondissait et atterrissait ou il ne fallait pas. L'auror chargé de sa formation l'avait renvoyé chez lui excédé, et disant qu'il n'avait pas de temps à perdre avec des incapables.
Elisa l'avait alors plaqué lui disant qu'il était nul, et qu'elle s'ennuyait avec lui. Ron avait essayé de la retenir mais elle lui avait ri au nez. Ron s'était écroulé en larme, puis avait piqué une crise de colère. Seul problème il avait oublié qu'il était encore dans la salle d'entraînement des aurors. Et que ceux-ci l'avaient contemplé horrifiés.
Mais cela ne s'était pas arrêté là. Il avait eu en plus un problème avec son pied. Celui-ci avait commencé à se décomposer, il avait prit une teinte noir, puis vert, des morceaux de peau avaient commencé à se détacher, et alors les vers étaient apparus, faisant des petits trous. Quand il avait vu les petits asticots blancs, bouger dans tout les sens, il avait eu un malaise et s'était évanouis. Il était dans le vestiaire des aurors à ce moment là. Il avait été transporté d'urgence à St mangouste. Quand il avait repris connaissance, son pied n'avait plus rien.
Il avait été très embêté pour expliquer au médicomage, qu'il avait cru voir une bête sur son pied. Le médicomage l'avait examiné ne constatant rien d'anormal, il lui avait seulement demandé si il prenait des drogues moldus. Ron était partit furieux de l'hôpital.
C'est alors qu'il avait reçu une lettre du ministère l'informant de l'arrêt définitif de ses cours d'aurors, son niveau n'étant pas satisfaisant, et son état psychologique inquiétant.
Et Ron depuis était furieux, tout était de la faute de Potter. Car tout avait commencé au moment du mariage de sa sœur, il haïssait Harry à présent, son ressentiment était clair. Cette pédale couchait avec Nott, un serpendard, et en plus il vivait chez les Malefoy. Harry vivait dans un manoir et lui, dans un minable appartement moldu. Il avait toujours trop de chance. Ron rumina un moment son ressentiment.
Sa mère n'arrêtait pas de pleurer, elle n'avait pas supporté de voir son père avec une autre femme.
Sans parler d'Hermione, une vraie fontaine, et elle mangeait ces horreurs d'œufs d'accromentula, elle lui donnait envie de vomir. De toute façon il ne la supportait plus, depuis qu'elle avait été en prison et qu'elle avait voulu compromettre sa bonne réputation, pour qu'il vienne l'aider. C'était une bonne chose qu'elle ait été renvoyée des cours d'aurors, elle avait vraiment un problème avec sa magie.
Ron retint un cri, et regarda sa main, qui commençait a pourrir….Merlin ça recommençait.
Fin du POV
POV Fudge
Cornélius serrait de parchemin dans sa main, son poing crispé. Il marchait d'un pas pressé dans les couloirs du Ministère. Il était convoqué pour passer devant le tribunal, le motif : « Lord Seth Orion Black Potter contre Fudge et le Ministère pour corruption et trahison envers le pays ».
Black Potter ? Qu'est ce que cela voulait dire ? Quel était le lien entre eux ? Et comment osait il le mettre lui et le ministère en accusation ? Il avait essayé de joindre Dumbledore depuis presque une semaine, mais il restait injoignable, sa cheminée avait été bloquée, et sa gargouille refusait de s'ouvrir. Fudge était très inquiet, il n'avait vraiment pas besoin de ça en ce moment. Heureusement la séance aurait lieu en huit clos. Mais il déchanta en arrivant dans le tribunal public et journalistes le guettaient comme une bande de vautours. Fudge sentit une grosse goutte de transpiration couler sur son front. Malgré ses tentatives, il ne pu obtenir que le publique sorte. Fudge était tendu.
Fudge à sa grande humiliation fut conduit sur la chaise pourvue de chaînes magiques, les cinquante membres de la cour du Magenmagot le contemplaient gravement. Le silence dans la salle était pesant et oppressant.
Cornélius failli avoir un malaise quand il vit que Maître Gordon était présent, le plus grand et féroce avocat d'Angleterre, ses jambes furent prises de tremblements.
Le Président sorcier Amélia Bones frappa énergiquement de son maillet pour signaler le début du procès.
- Cornélius Oswald Fudge, Ministre de la magie, et son Ministère, sont accusé de « corruption et de trahison envers le pays ». Que plaide l'accusé ? Demanda Amélia.
- Non coupable ! Cria Willy Thrips, avocat de la défense.
- Maître Gordon, représente l'accusation, Lord Seth Orion Black Potter. Pouvez vous présenter votre client et expliquer ce procès exceptionnel et unique, demanda Amélia.
- Bien volontiers dit Maître Gordon, j'appel Harry James Potter, à la barre.
Des murmures se firent entendre dans la salle, quand Harry s'avança, pour se placer aux cotés de Maître Gordon. Il portait le charme lui donnant son ancienne apparence. Maître Gordon avait pensé que le coté spectaculaire impressionnerait favorablement la salle.
- Je vous présente Harry Potter alias Lord Seth Orion Black Potter, à la disparition de son parrain Sirius Black, Lord Potter à accepté un rituel de reconnaissance posthume par le sang, effectué par le conseil Gobelin de Gringotts, et sous la protection de magie magistra. Cela, à changé son apparence physique entre autres, mais c'est normal puisque lié au rituel. Lord Black Potter reprenait votre apparence normale, je vous prie.
Harry d'un geste effaça le sortilège pour reprendre sa véritable apparence, il se tourna pour que tous puisse le regarder.
Des exclamations émerveillés et étonné fusionnèrent dans la salle. Fudge était au bord de la crise d'apoplexie. Les membres du magenmagots étaient stupéfaits par le changement, ils admiraient l'homme superbe qui se trouvait devant eux. Plusieurs sorciers et sorcières tombèrent immédiatement amoureux de lui.
- Voila un événement exceptionnel et d'une grande rareté, vous pouvez retournez vous rassoire Lord Black Potter, je vous en prie poursuivez, dit Amélia.
- J'ai ici toutes les preuves de notre accusation, commençons par la corruption. Voici la liste des pots de vins versés à différents membres du ministère, ainsi qu'à l'accusé.
J'ai une liste noire de près deux cents quarante cinq noms, ayant fait des transactions en vue d'obtenir un avantage matériel ou un privilége, Maitre Gordon énuméra la liste des membres du gouvernement concernés, dans un silence mortels, ensuite la liste de sorciers ayant monayés ces faveurs.
La corruption était tentaculaire, démontrant que le gouvernement dans sa presque intégralité était touché.
J'ai la preuve de toutes ces transactions par des documents officiels certifié de Gringotts.
Maître Gordon remis une épaisse liasse de parchemin au Greffier, qui les remis à Amélia. Celle-ci en prit connaissance et blêmit, puis elle en fit une copie et les transmis aux membres du magenmagots qui en prirent à leur tour connaissance. Cela dura une heure, durant laquelle personne ne parla.
Finalement Amélia demanda à Maître Gordon de poursuivre.
- De plus l'argent du contribuable sorcier a été détourné par Monsieur Fudge pour :
* L'achat de quatre châteaux dans différents pays
* Influencer des avis politiques
*Acheter des silences et des complaisances
* Alimenter ses différent comptes chez Gringotts et la banque moldu la Llyod's
* L'achat d'objet de luxe et d'œuvre d'art
* Divers investissement dans des sociétés
Il remit une nouvelle liasse de parchemins au greffier, Amélia se tenait à présent la tête devant l'énormité de la corruption. Elle fit un geste abattus vers l'avocat pour qu'il continue.
-Par ailleurs l'accusé a monté un complot pour dépouiller mon client de sa fortune, avec l'aide d'Albus Dumbledore. Voici le souvenir de leurs trahisons. Maître Gordon exhiba un flacon contenant le souvenir.
- Greffier prenez le flacon et versez le dans la pensine, grâce à un sortilège toute la salle pourra assister au souvenir, dit Amélia.
Le greffier fit ce qu'on lui avait demandé et la scène apparut sur l'un des murs de la salle.
« … D'abord son immense fortune, il doit mourir ! Martela Albus et enfin il détient bien trop de puissance…
Oui Albus, nous savons tout cela, intervint d'un ton impatient Fudge, ma campagne de calomnies grâce aux médias que je contrôle et toutes les restrictions qui le concernent sont déjà en place….rappelez-vous ce procès pour avoir fait de la magie accidentelle, pour avoir gonflé sa tante c'était… magistral…il a été assis sur la chaise des criminels, il manquait juste les chaînes, il faudrait un autre procès du même style cette année, ainsi le public serait convaincu de sa folie.
L'Ordre du phoenix vous enverra dans la journée un virement de 3000 galions fit Albus avec un froncement de sourcils.
Albus, pour l'argent de Sirius, on peut en récupérer ? demanda Fudge, lassé de ses discutions.
La lecture du testament est pour demain, j'imagine que Sirius laissera un petit quelque chose à l'Ordre, à Lupin et Tonks et le reste à Harry, les fonds ne son pas énorme il n'était pas chef de la Maison Black dit d'un ton condescendant Dumbledore. Harry n'est pas prévenu, bien sûr je l'informerais en Septembre, mais rassurez-vous je compte bien récupérer une partie de son héritage une fois mis sur son compte. Pour la maison ici, il ne la supporte pas donc il la laissera à l'Ordre…et vous aurez tous votre part, je suis son tuteur il est normal que je gère ce capital pour le plus grand bien.
Ah Albus je fais quoi de la vraie prédiction ? Celle qui a été faite à l'époque de Merlin. demanda Fudge.
Bien ! Bon mes chers amis j'ai une réunion au Ministère, allez Percy, Dolorès on se dépêche, Bonne journée à tous ! Annonça Fudge
Un silence stupéfait, outré, et révolté s'abattit sur la salle. Le publique et le Magenmagot n'avaient pas de mots pour exprimer leurs indignations et leurs colères. Amélia était devenue rouge de fureur. Cornélius avait pris une jolie teinte verdâtre, il était perdu.
- Vous remarquerez que dans ce complot se trouvait Fudge, Dumbledore, Ombrage, et Percy Prewett. Je crois que j'ai prouvé l'étendu de la corruption. Passons maintenant à la trahison du monde sorcier.
Maître Gordon fit quelque pas dans la salle imposant sa présence, et écrasant Fudge de son mépris.
- Le gouvernement à trahit le monde sorcier, car il ne défend pas nos concitoyens contre la menace du seigneur des ténèbres. Et je vais vous expliquer pourquoi.
D'abord il y a eu une énorme campagne de désinformation sur le retour de vous savez qui, ensuite le dénigrement systématique de Lord Black Potter qui a voulu prévenir la population magique.
Mais heureusement Lord Black Potter a rendu sa liberté a la presse muselé, et manipulé, depuis trop longtemps.
On vous a caché des informations vitales cria Maître Gordon en pointant son doigt sur le publique.
Il y a eu non protection de la population par négligence, mon client à perdu sa famille moldu, trois villages sorciers ont été anéantis, et sans rencontrer de résistances. Ou était le gouvernement ? Je dis qu'il y a complicité.
Regardez ce qu'il a fait Ombrage, sous-secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Magie, est une meurtrière, Percy Prewett qui travaillait au département de la coopération magique internationale est un mangemort. Vos aurors ne sont même pas capable d'arrêter la destruction d'un village sorcier, de protéger le sorcier de la rue.
J'ai appris que les détraqueurs abandonnaient la prison d'Azkaban pour rejoindre le seigneur des ténèbres, Mais le gouvernement cache ces événements gravissimes.
Fudge fait partie du complot pour détruire le monde magique. Il rejette les créatures magiques qui sont la base de notre monde, les marginalisant, les isolant, les rejetant. Monsieur Fudge ferait n'importe quoi pour sauver son poste, c'est un arriviste lui et son gouvernement corrompus ne pensent qu'a l'argent et au pouvoir. Personne ne défends le monde sorcier, personne ne prend à cœur ses intérêts, il n'y a qu'injustice, corruption, manipulation.
En plus le monde sorcier doit affronter la menace de Voldemort, mais qui va nous défendre ? Le ministère est infiltré.
Voici la liste des mangemorts infiltrés au ministère, Maître Gordon donna une liste au greffier
Un silence mortel plana à la fin du plaidoyer de Maître Gordon. Dans ce silence mortel, Amélia se leva. Elle prit la parole
- Je n'ai pas de mots pour exprimer l'horreur, et la consternation que j'éprouve devant toutes ces preuves. Maître Willy Thrips, votre client est indéfendable, et coupable. Le seul qui a eu le courage de nous alerter est Lord Potter Black, grâce à lui nous devons faire face aux réalités. Lord Black Potter que préconisez vous ? Demanda Amélia.
Harry se leva et s'avança jusqu'à la barre.
- Je veux prendre connaissance de la prophétie que le ministère cache et qui me concerne, ensuite je vous répondrais, déclara Harry.
Bien je déclare une suspension de séance d'une heure, nous rendrons notre jugement pendant ce temps. Amélia fit un geste et les chaînes s'enroulèrent autour de Fudge, qui pleurait avec de gros sanglots, sans que cela n'émeuve personne.
Réponse aux messages
Merci à tous encore une fois pour vos messages d'encouragement.
Fan de garou Stop ce n'est pas une histoire sur les loups garous, je fais au mieux, mais je resterais dans ma trame. Et j'écris avant tout pour mon plaisir.
le passage sur la ceinture de chasteté de Ginny avec la potion. Est aussi un passage ou j'ai bien rit en l'écrivant
darayora mdr on va lui trouver autre chose que de l'aspirine
Bizzzzzzzzzz
CHAPITRE 29 La prophétie
Harry escorté de Sévérus et d'Actarus entra dans le département du mystère, situé au niveau neuf. Il passèrent la salle du temps, et pénétrèrent dans une vaste salle.
Dans celles-ci reposaient des centaines de petits globes de verre poussiéreux, sous lesquels étaient collées le nom du destinataire. L'éclairage y était faible.
- Augusta m'a dit, qu'elle se trouvait à la place d'honneur, sur un coussin d'or, dit Harry.
Les trois sorciers se mirent à la recherche de la prophétie. Actarus longea les murs et atteignit une alcôve. Dans la niche se trouvait sur un coussin d'or, et la prophétie qui luisait faiblement d'un halo blanchâtre. Il appela aussitôt Harry et Sévérus qui s'approchèrent prudemment.
Ils restèrent tout trois à contempler le globe de verre. Il n'y avait aucun nom comme pour les autres reliques
- Va y Harry touche le, dit Actarus.
Harry approcha doucement ses mains du globe, à l'instant ou ses doigts entrèrent en contacte la boule brilla d'avantage. Harry la prit délicatement dans sa main, elle était tiède. La luminosité augmenta passant du blanc, au bleu, puis bleu foncé.
- Que dois je faire ? Demanda Harry.
- Donne ton nom, et laisse couler la magie qui est en toi au bout de tes doigts, dit Actarus.
- Harry Seth Black Potter, puis Harry ferma les yeux et laissa sa magie couler entre ses doigts.
Une brume opalescente jaillit du globe, s'éleva et prit la froide apparence d'une femme aux longs cheveux bruns, son image restant flottante, et d'une transparence blanche et lumineuse. La femme parla d'une douce voie.
« Moi, Viviane la Fäe dit, à une époque lointaine où la loi mourra.
Ou viendra le temps de la persécution des êtres de magie, oh vil souffrance qui étouffera magie magistra.
Où viendra l'ombre noir du serpent maléfique, qui menacera.
Où viendra pertes et peines au cœur des êtres, qui anéantira.
Ou grande guerres, batailles et mort la terre souffrira.
Où viendra grand mal fait par hommes renégats.
Béni la chrysalide sera par magie magistra.
Né d'un rituel ancien d'adoption par le sang, renaîtra.
Sur tous, suprême il sera.
Son rôle d'unir, de purifier, de punir et de sauver, il devra.
De grands pouvoirs, il disposera.
Et tout enfant de la magie pour conseillé suprême le reconnaîtra.
Emblème de sa royauté sa peau portera.
Si le suprême échoue, le monde magique, sombrera.
Car l'unique suprême seul pourra sauver monde magique et magie magistra. »
Harry sentit une brûlure sur son épaule gauche, il confia le globe à Sévérus, et défit sa robe de sorcier, sur son épaule un triskèle doré avec un marteau. Harry et ses compagnons regardèrent les symboles choqués.
- C'est quoi encore ça ? Dit Harry dégoûté.
- Pour le marteau en breton "Ar mel beniged", c'était l'attribut du dieu celte Dadga. Merlin était bien en relation avec ce symbole du marteau sacré, capable par l'un de son côté de détruire, tuer, et par l'autre de ressusciter. Pour le triskèle, la spirale tournant dans le sens des aiguilles d'une montre, elle était donc constructrice, le bien, la création dans la matière, dit Actarus.
- Et ça veut dire ? demanda Harry un peu énervé.
- Que tu portes le symbole de magie magistra et de Merlin, l'emblème royal, en gros tu dois conseillé et dirigé le monde magique, dit Actarus
- Non mais c'est une blague ? Parce que la ….Harry ne trouvait plus ses mots.
- Allons ton but est de balayer, Dumbledore, Voldemort, Fudge et le ministère. Tu es sur la voie pour devenir le pouvoir suprême du monde magique, dit Sévérus se voulant réconfortant.
Puis il le prit dans ses bras le regarda dans les yeux, et y vit des larmes contenus.
- Tu était destiné a être le sauveur, mais cela ne change rien pour moi, c'est Harry que j'aime, on gérera au jour le jour, et je serais toujours à tes cotes, tu n'es pas seul Harry, n'est pas peur, prend ton destin entre les mains, je serais prés de toi, dit Sévérus.
Harry se jeta sur les lèvres de Sévérus scellant cette promesse d'éternité, et rassuré de l'avoir à ses coté, Merlin comme il aimait ce sorcier.
Actarus s'écarta en voyant une lumière bleue s'enrouler en serpentin autour des deux sorciers unis dans un baisé passionné. Il eu un petit sourire, leurs magie venait de s'unir de la façon la plus étroite possible pour deux sorciers. Quand ils se séparèrent la lumière avait disparus, et il ne remarquèrent donc rien.
- Nous devrions retourner au tribunal, la séance va reprendre, dit Actarus.
- Attendez deux secondes Maître Gordon, il me faut une cheminée, vite, dit Harry.
Ils sortirent rapidement du département du mystère. Sévérus les guida en courrant vers une cheminée, Harry contacta Estrie et lui demanda de venir immédiatement.
Quand ils entrèrent dans la salle d'audience, Amélia venait de faire son apparition, le visage grave. Fudge était toujours assis sur le fauteuil entouré de chaînes et de deux aurors. Il avait la tête basse, et semblait tendu. Elle frappa d'un coup de maillet.
- Moi Amélia Bones, et la cours du Magenmagot, déclarons Cornélius Oswald Fudge coupable de corruption et de trahison envers le pays, pour ces raisons il sera enfermé a vie à Azkaban.
La foule commença à parler à haute voix commentant la décision, approuvant, applaudissant. Amélia frappa de nouveau avec son maillet plusieurs fois. Le silence revint.
- J'ai donné l'ordre d'arrêter tous les membres du ministère corrompus et coupable de malversations. J'ai donné l'ordre d'arrêter tous les mangemorts infiltrés. Les portes du Ministère sont fermés nul ne pourra sortir tant que les arrestations ne seront pas finit.
Je déclare la loi martiale sur le monde magique, le gouvernement est dissolu, que la sentence soit exécutée, cria Amélia.
- Lord Black Potter que préconisez vous pour le problème d'Azkaban ? Demanda Amélia.
- Madame Bones, il y a en ce moment une femme du nom d'Estrie Vlad D'ores devant le ministère laissez la entrer. Elle va nous aider.
Aussitôt d'un mouvement de tête Amélia envoya l'un des auror auprès de Fudge, s'en occuper.
Quelques instants plus tard, Estrie fit son entrée. La salle écoutait dans un silence religieux, la suite de ces événements historiques.
- Permettez moi de vous présenter Estrie Vlad d'Ores, Gardienne du Sanctuaire.
- Vous êtes réellement le chef, la Gardienne du mythique sanctuaire, lieu d'hébergements de toutes les créatures magiques depuis la nuit des temps ? Demanda Amélia admirative et stupéfaite.
- Oui, c'est moi, je suis la gardienne sacrée du domaine de la nuit, et du domaine de la lumière, Lord Seth Black Potter est mon allié, il a suivit les enseignements du Sanctuaire durant deux ans.
Des exclamations enthousiastes et émerveillé fusionnèrent dans la salle. Amélia se montra très impressionné.
- Bien maintenant que les présentations sont faites. Dans un premier temps retirez tous les détraqueurs d'Azkaban, Estrie va mettre à notre disposition une troupe de goules et d'elfes noirs qui se feront un plaisir de garder la prison, dit Harry avec son autorité naturelle.
Estrie approuva de la tête. Beaucoup de sorciers restèrent bloqués devant la confiance et l'autorité que dégageait Lord Black. Fudge se mit à pousser des gémissements plaintifs et horrifiés.
- Emmenez le avec les autres prisonniers, Gardienne voulez-vous vous occuper d'équiper au plus vite la prison ? Dit Amélia.
- Ce sera fait dans l'heure, et elle sortit à la suite de l'auror et de Fudge qui avait uriné dans son pantalon.
- A présent que préconisez vous Lord Black Potter ? J'ai remarqué le grand pouvoir que vous avez, ainsi que la puissance de vos alliés, le monde magique à besoin de votre aide, dit Amélia.
- Faites un gouvernement provisoire, avec vous à sa tête, replacez les membres du gouvernement qui restent à des postes clef. Restructurez, faites des réformes réhabilitant les créatures magiques, et détruisez cette horrible fontaine à l'entrée du ministère qui glorifie la puissance du sorcier sur toutes les créatures magiques, dit Harry
Certains dans la salle eurent des petits rires, cela eu le mérite de détendre l'atmosphère.
Un auror entra en courrant, « Madame Bones, La Gardienne a chassé les détraqueurs, et ouvert une porte dimensionnelle pour faire venir les créatures. Comme il n'y avait pas assez de place elle a agrandit la prison de deux étages, c'était fantastiques. Tous les prisonniers sont enfermés sous la garde des goules, les elfes noirs font la sécurité, les prisonniers sont terrifiés, pire qu'avec les détraqueurs on a jamais vu ça. »
Amélia donna un grand coup de maillet.
- La séance est finit, ouvrez les portes détruisez la fontaine, je l'ai toujours trouvé hideuse, et faites circuler la nouvelle que le monde magique va changer.
Les sorciers, les journalistes, et les représentant du magnemagot de dépêchèrent de sortir, le monde magique était bouleversé.
- Lord Black Potter, il faudrait que nous parlions en privé, dit Amélia.
- Je réside au manoir Malefoy, passez me voir à vingt heures si cela vous convient, répondit Harry.
POV Ginny
Elle était installée assise en tailleur, sur le grand lit de la chambre de Crabbe, il l'avait enfermé. Fou furieux après son comportement au mariage.
Ginny eut un petit sourire narquois, elle était trop intelligente…Quand elle était chez cette folle de Muriel, qui l'avait saoulé sur les règles de ceci, de cela, dont elle se fichait. Elle avait réussit un coup magistral.
Sous le prétexte des cours de cuisine, elle avait préparé une potion, une potion pour faire sauter le gosse. Car il n'était pas question qu'elle laisse son corps se déformer, et qu'elle ait un bébé braillard sur les bras à quatorze ans. Surtout de ce gros tas niais de Crabbe.
Lui, elle l'avait juste essayé, car il était grand et fort, mais c'était une nullité au lit, fonçant en elle comme un bourrin, sans préliminaire. Elle avait eu du mal à supporter ses grognements, et ses coups de langues baveux, un vrai cocker…Le pire coup de sa vie.
Et le pire, c'est que cette unique fois avait été le ticket gagnant. Alors qu'elle en avait eu des dizaine d'autres plus doués, quelle pitié.
Alors oui, elle avait été désespéré quand elle avait appris que c'était lui qui l'épouserait, mais garder sa larve ? Pas question. Ginny s'était déjà renseigné au cas ou une telle chose lui arriverait, elle était une fille prudente. Elle avait trouvé une potion interdite abortive, préconisé quand la grossesse mettait en danger le vie de la mère. Et elle l'avait appris par cœur. Alors quand elle s'était retrouvé coincé chez la vieille bigote, elle avait réussit a préparer en secret la potion. Elle avait été malade deux jours, l'hémorragie lui avait déchiré le ventre. Elle l'avait bien caché. Mais le meilleur c'est qu'elle ne portait plus le mollusque.
La vieille folle de Muriel avait osé lui mettre une ceinture de chasteté, et lui faire prendre une potion de luxure. Cela l'avait brûlait, elle avait souffert du manque durant trois longs jours, la vieille lui avait même attaché les mains en la regardant gémir, l'empêchant de se frotter, pour se soulager.
Depuis elle l'a haïssait. A ce moment elle aurait donné n'importe quoi, pour en avoir une en elle, même celle du Crabbe aurait fait l'affaire, oh oui. Elle en avait pleuré de rage et de frustration, se tordant comme une possédée, rien que d'y penser cela la brûlait encore. Elle aurait fait n'importe quoi pour sortir de chez Muriel, alors elle ne s'était pas opposée au mariage, il fallait qu'elle s'échappe de cette prison.
Après, elle avait eu un choc au mariage de voir Harry, il était quand même mieux que Crabbe, et elle en aurait fait ce qu'elle voulait. Ginny croyait qu'il lui retomberais dans les bras, avec une petite larme, mais ce nul l'avait laissé se marier, et en plus c'était une tantouze…Il l'avait dégoûté à se frotter à ce Nott, elle avait été tellement en colère après leurs départ, sa rage avait été si grande, qu'elle avait dit à son mari, qu'il n'y avait plus de bébé. Il lui avait donné une autre gifle, et l'avait enfermé dans leur chambre. Il n'était pas venu de la nuit, mais elle ne s'inquiétait pas, qu'est ce qu'il pourrait lui faire ? Rien.
Vincent déverrouilla la porte, et regarda celle qui était sa femme avec dégoût, il lui dit qu'ils allaient sortir rendre visite à un ami. Ginny heureuse se dépêcha de le suivre. Elle fut étonnée de voir le vieux château en ruines. Quand ils entrèrent, elle eu un mauvais pressentiment, mais Vincent la força à avancer devant Lord Voldemort.
Dés le lendemain de la cérémonie Vincent excédé par les pleurs constant et les mensonges de sa femme, l'avait amené au seigneur des ténèbres, afin de s'en débarrasser. Elle n'aurait jamais du faire du mal au bébé, elle allait payer. Il la jeta aux pieds de Lord Voldemort et sortit.
Vous-savez-qui, lui lança quelques doloris, pour qu'elle hurle pour une bonne raison. Il demanda à un elfe de la conduire dans un cachot et de la mettre nu, puis il informa ses nouveaux magemorts qu'il avait une récompense pour eux.
Moins de dix minutes après, une quarantaine d'hommes faisaient la queue devant la cellule, les hurlements durèrent longtemps. Il n'y a rien de comparable entre un adolescent amoureux, et un sorcier adulte et mangemort très en manque…
Fin POV
POV Dumbledore
Albus se terrait dans sa chambre depuis une semaine. On a beau être le sorcier le plus puissant du monde magique, on avait le droit d'avoir des petites faiblesses.
L'humiliation public qu'il avait subit lors du procès de Dolorès, la mésaventure de Molly, le renvoie de Percy, le rejet de Potter, l'abandon d'Arthur, avait été difficile à supporter.
Sans parler, qu'on lui avait raconté le renvoie de Ron de chez les aurors, Hermione étant déjà renvoyé, après le scandale qu'elle avait provoqué.
Les journaux aussi qui l'avaient traité de sénile, lui qui oeuvrait pour le plus grand bien du monde magique….Ils ne comprenaient rien de ses plans supérieur.
Tout cela l'avait miné, alors il s'était retiré, pour réfléchir à un nouveau plan. Il avait fermé toutes les entrées, car il avait besoin de réfléchir, de trouver une solution.
Il regarda pensivement sa main bandée avec de petits oiseaux qui volaient en faisant « cui cui ». Quel joli sonorité, il fredonna « cui, cui, cui…cui ». Quand Pompom lui enlèverait toute la ferraille, il avait décidé de garder les bandages, ils les aimaient.
Potter serait obligé de retourne à l'école, et alors là il serait en son pouvoir. Il devait juste supporter la commission d'enquête qui le surveillerait dans on travail de directeur, mais cela ne poserait pas de problème, la manipulation était son royaume.
Albus sortit, de sa chambre, bien, il allait reprendre les choses en main. Il remarqua quelques hiboux attendant sur le rebord de la fenêtre, avec un froncement de sourcil, il prit les messages, se faisant violemment mordre au sang par les bestioles excédées.
Toutes venaient de Fudge, il transplana vite au ministère, il était fermé. Mais que s'était il passé ? Jamais le ministère ne ferme dans la journée. Albus fut très inquiet soudainement.
Il ramassa un vieux journal sur le sol que le vent poussait, le titre lui coupa le souffle « Le ministre Fudge, inculpé de corruption et de trahison envers le pays ». Albus poussa un cri de rage, qui fit s'envoler quelques paisibles pigeons, qui demeurait sur les bâtiments.
Il transplana et alla chez Molly. Il trouva la femme en larmes, il comprit entre deux sanglots et grâce à son insistance que le mariage avait été catastrophique.
Que Arthur avait une maîtresse, une créature à la peau jaune, que Ron avait reçu des sorts, que Crabbe avait giflé sa pauvre petite fille malheureuse, qu'elle était humiliée, bafouée. Albus poussa un soupire exaspéré.
Il alla lui préparer un thé, quand il réussit enfin à la calmer, il faisait presque nuit.
Ron apparut, c'est lui, qui lui dit que Potter était là, qu'il l'avait attaqué avec des serpendards, qu'il couchait avec Nott.
Albus tiqua, que faisaient des serpendards dans l'entourage de Harry, qu'est que cela voulait dire ?
- Quels serpendards était là ? Exigea Albus très énervé qu'on ne le lui ai pas dit plus tôt.
- Euh, Nott, Zabini et Malefoy, ils sont tous venus avec mon père. Potter il a même embrassé Nott sur la bouche, c'était à vomir. Il doit sûrement coucher aussi avec Malefoy, dit Ron pensivement.
- Pourquoi dis tu cela ? Demanda Albus surpris.
- Ben il habite chez lui, alors comme c'est un homo, il doit se faire les deux, dit Ron hargneux.
Soudain Ron fit une grimace, complètement paniqué en tendant le doigt vers le mur « la, la …araignée….horrible…haaaaaaaa….ses pattes….haaaaaaaa » Et il s'enfuit en courant dans sa chambre.
Albus regarda le mur, il n'y avait rien, il regarda Molly qui haussa les épaules en parlant d'une réaction poste traumatique dû au divorce.
Albus se leva est se précipita dehors, loin de cette maison de fous.
Fin du POV
Harry et Sévérus rentrèrent au manoir Malefoy. Actarus partit rejoindre Sirius qui l'attendait.
Harry avait besoin de se détendre un peu, il décida d'aller voir Draco qui passait son temps dans le parc avec son Dragon.
- Salut Harry, alors comment ça c'est passé ? Demanda Draco.
- Salut Draco, plutôt bien mais stressant quand même. Fudge a été condamné à Azkaban à vie. Le monde magique est sous loi martiale, touts les mangemeorts, et les agents du gouvernement corrompus ont été arrêté et envoyé en prison en attendant leurs jugement. J'ai demandé à Estrie de venir, elle s'est occupée de réorganiser la prison. Elle a renvoyé les détraqueurs, et a mis à leurs places des goules et des elfes noirs, dites Harry.
Draco siffla longuement très impressionné. Tout d'un coups il releva la tête et sembla parler télépathiquement avec son dragon. Draco se retourna vers Harry perplexe.
- Mon dragon me dit qu'il sent en toi les pouvoirs de Merlin et que tu es le représentant de magie magistra sur terre, qu'est ce que cela veut dire ?
Harry lui raconta la prophétie, et son contenu. Draco resta pensif, mais son dragon lui donna un doux coup de tête et sembla lui parler à nouveau.
- Que veut il ? demanda Harry.
- Mon dragon dit que tu as le pouvoir de lui donner forme humaine, c'est important pour lui , il demande à ce que tu l'aides, dit Draco.
- Mais je ne sais pas comment faire, répondit Harry paniqué.
- Le dragon dit, que tu dois poser tes mains sur lui et demander à magie magistra de t'aider.
Harry souffla, puis s'avança doucement et toucha les écailles argentées lisses et douces, il ferma les yeux et en appela à la force de magie magistra, pour qu'elle l'aide, pour qu'elle aide le dragon.
Une lueur argentée les entoura, brilla fortement, quand elle diminua. Harry avait ses mains sur les joues d'une femme magnifique. Il s'écarta vivement. Elle avait de longs cheveux argentés raides lui arrivant en bas des reins. Ses formes étaient généreuses, mais gracieuses. Elle avait un visage fin, de grands yeux entièrement noirs sans pupille, une bouche bien ourlée et rouge. Une peau claire diaphane. Elle portait une tunique faite d'un tissu miroitant gris et noir. Elle était superbe, fière, noble.
- Je m'appelle Garjzla, qui veut dire lumière, merci de m'avoir donné cette forme, dit elle à Harry. Puis elle se tourna vers Draco qui la contemplait fasciné et émerveillé.
- Draco, je suis venue pour toi, nos âmes sont sœurs, nous avons échangés nos sangs, Draco, répétât elle.
Draco avança doucement vers elle et lu prit les mains. Il ne voyait qu'elle. Elle était merveilleuse.
Harry s'éloigna discrètement, pou leurs laisser toutes l'intimité dont il avaient besoin, et alla prévenir Sévérus et Narcissa que Draco avait trouvé sa moitié.
POV Amélia
Amélia avait eu une fin de journée chargé, elle eu un sourire satisfait quand elle passa dans le hall du ministère et qu'elle constata que l'horrible fontaine avait disparu. Le ministère était resté fermé toute la journée, après la sortie du publique.
Elle avait commencé à réformé toutes les lois sur les créatures magiques, leurs rendant leurs droit, mais il resetait tant à faire. Amélia n'avait pas le courage, ni la volonté de devenir le prochain ministre de la magie.
Il fallait qu'elle discute sérieusement avec Lord Black Potter de ses projets, car il était derrières tous les changements de leur monde. Elle transplana au manoir Malefoy, mais elle avait des doutes concernant cette famille.
Un elfe l'introduisit dan le salon. Elle reconnu, Lord Black Potter, Lucius Malefoy, Sévérus Snape, Augusta Londubat et Arthur Weasley. Elle était plus que surprise par la composition de l'assemblée, et cela la laissa perplexe. Elle connaissait bien Arthur et Augusta, des personnes intègres, justes et honnêtes.
Harry fit les présentations et tous prirent place. Harry commença a expliqué que ni Sévérus, ni Lucius n'était des mangemorts, ils montrèrent leurs avant bras. Harry expliqua qu'ils avaient servit d'espions et s'était faits aussi manipuler par Dumbledore et Fudge. Que Lucius avait reprit en main le prophète, et que c'était grâce à lui que le journal avait été plus réaliste. Harry expliqua que Sévérus était son époux. Il lui expliqua le rôle de Dôme, dans cette guerre.
Amélia était plus que favorablement impressionné par leur organisation. Elle était admirative devant Lord Black Potter, qui n'était décidément plus un enfant, et cela la rassura.
- Lord Black Potter pouvez vous me révélez le contenu de la prophétie qui date de l'époque de Merlin, demanda Amélia.
- Moi aussi je veux la connaître, c'est à mon avis d'une importance capital, dit Augusta en tapant le sol de sa canne, son horrible chapeau avec des hirondelles de guingois.
Sévérus sortit la prophétie, et la donna à Harry, qui insuffla son énergie. Tous avaient les yeux braqués sur lui, captivés. Dans un brouillard blanc Viviane prit forme et donna le message.
Quand la fumée se dissipa, les sorciers présents le regardèrent avec stupeur.
- Lord Black Potter, pouvez vous nous montrer la marque. Harry acquiesça et découvrit son épaule gauche. Amélia et Augusta voulurent toucher le tatouage, elles ressentirent comme une petite décharge électrique à son contacte. Lucius et Arthur, l'examinèrent de près. Tous se réinstallèrent.
- Lord Black Potter, parlons clair, quels sont vos projets, maintenant que nous savons que voue êtes le sorcier suprême qui doit sauver magie magistra et le monde magique.
- J'ai conscience de l'importance de ma tache. Pour le moment Madame Bones je vous demanderait de continuer l'intérim du gouvernement. Ensuite je voudrais réformer le monde magique.
Il n'y aura plus de ministre. la communauté des sorciers et créatures libres sera composé d'un représentant de chaque race pour prendre les décisions concernant le monde magique. Ce sera eux qui géreront le pays, les principaux départements continueront d'exister :
* Département des jeux et sports magiques.
* Département des accidents et catastrophes magiques.
* Département de la coopération magique international.
* Département de la justice magique.
* Département des transports magiques.
* Département et relation et aide entre créatures magiques.
En tant que sorcier suprême je resterais le régulateur et l'arbitre afin que le monde magique s'épanouisse. Nous garderons les anciennes structures, mais je ne veux plus que le pouvoir soit entre les mains d'une seule personne. La communauté des sorciers et créatures libresélira tout les an un représentant.
Le Dôme va s'occuper du problème Voldemort définitivement. Le monde magique retrouvera la paix. Avant que ces procédure ne se mettent en place, je vous demanderais a tous le secret. Albus Dumbledore sera assigné à comparaître avant la fin de la semaine.
Une fois le problème Voldemort et Dumbledore réglé, nous annoncerons la nouvelle structure gouvernementale.
Amélia fut enthousiasmée par le projet, Lord Black Potter était un visionnaire.
Ils enchaînèrent sur diverses discussions pour la mise en place du gouvernement, de la distribution de la direction des départements. Il fut décidé que Arthur gérerait le Département et relation et aide entre créatures magiques, et Lucius le Département de la coopération magique international. Et que Amélia resterait à la tête du Département de la justice magique.
Un elfe vint chuchoter à l'oreille de Lucius qui se leva et s'excusa.
POV Dumbledore.
Albus avait été au chaudron baveur boire un whisky, essayant de réfléchir. Mais quand il était entré un silence glacial l'avait accueillit, avec des regards hostiles. Il avait avalé son verre en vitesse avait payé pour une bouteille et était sortie rapidement sur le chemin de traverse.
Un hibou l'avait poursuivit depuis sa sortie de l'auberge. Porteur d'un parchemin. Albus le serrait à présent dans sa main valide, son assignation à comparaître « Harry Seth Orion Black Potter contre Dumbledore, motifs : détournement de fonds, manipulation d'héritage, complots, tortures, intervention illégale sur le noyau magique d'un jeune enfant ».
Il avait appris ce qui s'était passé au procès de Fudge, sa condamnation, les modifications faites à Azkaban avec des goules, il en frissonna d'horreur. Quand il avait appris avec le parchemin d'assignation que Potter et Black ne faisait qu'un, il était devenu tellement rouge qu'il s'était étouffé, et étais tombé dans la rue se tordant en se tenant la gorge. Un jeune médicomage qui passait par là, l'avait ranimé, mais quand il l'avait reconnu, il lui avait craché dessus avant de lui tourner le dos. Albus s'était alors mis à vomir violemment.
Albus était accroché à la grille de la propriété du manoir Malefoy, criant et pleurant qu'il voulait voir Harry. Il prit une autre gorgée de whisky au goulot, il avait remplis dix sept fois au moins la bouteille.
Il vit un homme blond sortir, il le reconnu : Lucius Malefoy.
- Que voulez vous Dumbledore ? demanda froidement Lucius.
- Je veux voir Harry, il faut que je lui explique, que j'agis pour le plus grand bien, dit Albus.
- Vous le verrez au tribunal, partez, répondit Lucius.
- Mais pour Voldemort il a besoin de moi, j'ai besoin de lui, dit Albus.
- Personne n'a jamais eu besoin de vous vieux cinglé citronné, dit Lucius, qui lui tourna le dos et rentra chez lui.
Albus resta quelques instants hébété puis transplana à Poudelard.
Dumbledore regrettait amèrement son excès d'ivresse de la veille au soir, mais la nouvelle l'avait tellement assommé, l'avalanche de mauvaises nouvelles plutôt. Il fallait qu'il trouve une solution, qu'il réfléchisse.
Fin du POV
Réponse aux messages
Merci pour tous vos messages, j'adore, ce qui est sympa aussi c'est quand vous me dites ah ça c'était bien, en général c'est des passages que moi aussi j'ai aimé.
Je reprends le boulot a l'hosto ce we, donc les parutions seront plus lentes, obligé.
Alors j'ai un peu bloqué sur ce chapitre, car mine de rien il est charnière…
Luchun grosses bises à toi, et courage, je suis bien contente si mon histoire t'aide à te changer les idées…accroche toi.
Darkayora Harry va-t-il avouer au monde sorcier qu'il estmarié à Sévérus? Oui mais quand certains vont faire le lien Seth/Harry cela va être claire/. Pour Voldy on peut tenter un coup de masse derrière la tête aussi. Bof je voudrais trouver un truc qui lui fasse bien mal…coté sadique à l'action
Graety t'en fais pas dumby arrive, je peux juste pas le caser a chaque chapitre
Cathy merci moi aussi je trouve que l'équilibre est plutôt bon
Lil'am merci snif c'est super gentil pas de soucis j'adore les hystérique…qui a dit bizzard ? gros yeux
Chlo007. Miam miam un petit œuf pour l'apéro ? et fait pas ta difficile faut manger de tout !
Princesse Saeko oh désolé je voulais pas te traumatiser avec les goules bizzz
CHAPITRE 30 Harry règle ses comptes
Maître Gordon, Harry, Sévérus et tous les membres du Dôme était présent au tribunal pour le jugement d'Albus Dumbledore. Il y avait juste un petit retard, Albus avait tenté de fuir, et il aurait sûrement réussit, si Estrie n'avait mis à ses trousses, quelques vampires anciens, deux elfes noir, et un nécromancien.
Amélia tapa nerveusement du bout des doigts sur son bureau. Le silence régnait dans la salle. La porte s'ouvrit, le prisonnier entra. Il était escorté par les soldats du Sanctuaire, et il n'avait pas fière allure, quelques blessures saignaient encore. L'age rattrape toujours le sorcier, même le plus rusé, et le plus puissant. Albus entra la tête haute, et fut installé sur la chaise munie de chaînes, qui s'enroulèrent aussitôt autour de lui.
- Albus Perceval Wulfric Brian Dumbledore, sorcière directeur de l'Ecole de Sorcellerie Poudlard , président sorcier du Magenmagot et Manitou suprême de la Confédération internationale des mages et sorciers , est accusé de « détournement de fonds, manipulation d'héritage, tortures, intervention illégale sur le noyau magique d'un jeune enfant». Que plaide l'accusé ? Demanda Amélia.
- Non coupable ! Déclara Albus.
- Vous n'avez pas d'avocat, et avez décidé de vous défendre seul, vous parlerez uniquement lorsque je vous donnerais la parole, ordonna Amélia.
- Pour les accusations de intervention illégale sur le noyau magique d'un jeune enfant, j'appelle le gobelin Ragnock de Gringotts, expliquez moi ce que vous avez constaté, dit Maître Gordon.
- Monsieur Potter est venu me voir au début de l'été pour parler de l'héritage de son parrain, en effectuant le rituel d'adoption posthume par le sang, j'ai découvert que Lord Black Potter avait des bloques qui diminuaient et bloquaient sa magie, des bloques de niveau neuf, je les donc retirés. Mais j'en ai tiré deux conclusions, les bloques ont été posé sur un enfant de un an, et j'ai reconnu la signature magique de celui qui les avait posé, sans aucune erreurs possible. Car c'était la signature magique d'Albus Dumbledore, et je suis formel sur tout ce que je viens de dire.
Des murmures de protestions et de révoltes se firent entendre sans la salle. Les journalistes prenaient de nombreuses photos. Et les membres du Dôme restaient stoïques.
- Merci Maître gobelin, vous pouvez retournez à votre place, dit Amélia.
- Qu'avez-vous à répondre à cela Monsieur Dumbledore, demanda Maître Gordon.
- Ma chère Amélia, Chère Maître, il faut resituer les événements dans leurs contexte, à l'époque Voldemort venait de disparaître grâce a un enfant de un an. Il fallait donc prendre des précautions pour qu'il ne blesse personne, ou que sa magie provoque des dégâts. Et si je ne les ai pas enlevé plus tard, c'est que Harry semblait très bien s'en passer et il avait un niveau normal par rapport aux autres. Même si il a quand même fait des prouesse alors qu'il avait ses bloques. Imaginez ce que cela aurait pu créer comme difficultés si il ne les avait pas eu. Il serait dangereux et incontrôlable, dit Albus.
- Monsieur Dumbledore je vous prie de m'appeler Madame le Juge, et le défendeur Lord Black, dit Amélia.
- J'appelle le médicomage Steve Gray. Monsieur Gray que pouvez vous dire sur la pose de bloque de magie sur un enfant de un an ? Demanda Maître Gordon.
Un jeune médicomage aux cheveux châtains s'avança à la barre.
- Je dirais que poser des bloques de magie sur un enfant de cette age est criminel. Cela aurait pu faire de lui un cracmol, le gobelin a dit que les blocs étaient de niveau neuf, ça c'est de la barbarie, il n'y a pas plus fort, cela empêche le développement physique et magique du sorcier. Rien ne justifie la pose de bloques, c'est un procédé moyenâgeux. De plus, laisser si longtemps, c'est criminel je le répète. Si un enfant a de hauts pouvoirs, il ne faut jamais l'exposer à des moldus, mais le mettre dans un environnement magique. De plus quand on lui enlève les bloques, il est possible qu'a la première action magique, le sorcier explose, relâchent toute la magie d'un coups, on ne le fait que si l'on veut que le sorcier meurt, et tout enfant quelque soit sa puissance n'est pas un danger, l'école est faite pour apprendre a gérer la puissance justement, dit Steve Gray.
- Albus Dumbledore, il a été prouvé que vous aviez tord sur ce point, et que c'était criminelle, motif suivant. Et elle donna un grand coup de maillet. Détournement de fonds et manipulation d'héritage.
- J'appelle le gobelin Ragnock de Gringotts, vous avez la parole, dit Maître Gordon.
- Voici les documents de Gringotts prouvant les détournements d'argent des voûtes Potter.
88 000 galions pour les Dursley soit 4500 euros par mois depuis ses un an.
25000 galions pour la scolarité à Poudlard.
188 000 galions à l'Ordre du Phoenix.
200 000 galions pour Albus Dumbledore.
Depuis cinq ans 50 000 galions par an pour les Weasley, depuis deux ans et demie, des voûtes ont été ouvertes au nom de Ron Weasley, Ginny Weasley, Hermione Granger, chacun recevant 10 000 galions par an,
5000 par an au Ministre Fudge.
500 galions par mois à Mme Figgs.
Un don de 45000 galions a Mme Ombrage pour son Club pour Chat.
Mon client n'avait jamais reçu de relevé bancaire, ils étaient tous détournés par l'accusé.
Des cris indignés éclatèrent dans la salle, les membres du Magenmagot avaient des mines dégoûtées.
Vous trouverez aussi une copie du testament des Potter, Lilly Potter refusait que son fils soit placé chez le moldus Durdley elle avait nommé tuteur : Alice Longdubat, Sirius Black, Narcissa Malefoy. Ses dernières volontés n'ont pas été respectées
- Merci Maître gobelin. Qu'avez-vous à répondre à cela Monsieur Dumbledore, demanda Maître Gordon.
-Pour ce qui est de l'argent et du tuteur c'était des investissements pour le confort et la sécutité de Harry. Sirius Black était un criminel à Azkaban, Alice Londubat était dans le comas, et Narcissa Malefoy…pfff tout le monde sait leurs attachement a Voldemort, dit Albus.
- Calomnies, cria Maître Gordon, pour Sirius Black, vous avez bloqué le dossier pour qu'il n'ait pas de procès, et pour lui voler son rôle de tuteur, et quand à Narcissa Malefoy vous n'aviez aucun droits de lui refuser d'être tuteur, son mari n'est pas un mangemort, il en a donné la preuve. Lord Black Potter aurait été mieux chez eux que chez ces moldus. Vous vous êtes opposé à la volonté des parents de Harry, c'est un crime. Et le vol sur ses voûtes est injustifiable. Je vais vous présenter le souvenir de Lord Black Potter, et vous montrer les réelles intentions de Dumbledore sur son argent.
Actarus vers le souvenir dans la pensine. Et tous purent voir les réelles intentions de Dumbledore. (Voir chapitre 4)
Vous avez la preuve, qu'il voulait voler sa fortune, le dépouiller, le contrôler le manipuler. Je vous accuse de vol, escroquerie et tromperie, dit Maître Gordon.
- Mais ces personnes sont mortes ou presque aujourd'hui, personne d'autre que moi aurait pu veiller sur lui, cria Albus.
- C'est faux, je demande à Sirius Black, Alice Londubat et Narcissa Malefoy de se lever, dit Maître Gordon.
Ils se levèrent tous les trois et avancèrent jusqu'à Albus, qui ne fut que capable de murmurer « ce n'est pas possible …non…les morts ne revienne pas à la vie…non » en état de choc.
- Oh que oui, ils sont tous les trois vivant, et vous êtes coupable, dit Maître Gordon.
Les trois sorciers retournèrent s'asseoir satisfait de leurs mises en scène.
- Albus Dumbledore, il a été prouvé que vous aviez tord sur le détournement de fonds et la manipulation d'héritage, passons à la dernière accusation torture, dit Amélia.
- J'appelle Harry Seth Orion Black Potter, dit Maître Gordon.
Harry se leva pour rejoindre Actrarus. Il raconta la vie chez les Dursley, douze ans dans un placard, presque pas nourrie, maltraité, servant d'elfe de maison, Mais le pire dit-il, c'est que Dumbledore les avait mis sous un sort d'haine douce, et que tous les étés il l'obligeait a retourner la bas. Il raconta le complot contre lui, la trahison de ses amis, la manipulation. Que tout ce qu'il cherchait été de le faire tuer pour lui voler son héritage. Que chaque année il subissait une épreuve à Poudelard, alors qu'il aurait pu l'éviter. Et Harry termina sur ces mots les épaules tremblantes.
Beaucoup de gens parmi le public, et le jury pleuraient émus du calvaire qu'avait vécue Harry. L'émotion était à son comble.
Sévérus vint alors le rejoindre pour le prendre dans ses bras, et Harry s'agrippa a lui. Beaucoup de gens furent choqué par ce geste.
- Harry est mon époux, nous sommes mariés, et je ne le laisserais pas seul dans cette épreuve, dit Sévérus.
Toute la salle éclata en de nombreux murmures, Amélia redonna un coup sec de maillet.
- Avez-vous quelque chose à ajouter, demanda Maître Gordon.
- Ce sont nos choix, Harry, qui montrent ce que nous sommes vraiment, beaucoup plus que nos aptitudes. J'ai agis pour le bien du monde sorcier et pour ses intérêts. Votre vie n'est rien face à la menace de Voldemort, dit Albus.
- Voldemort est une excuse bien pratique pour justifier vos agissements honteux et criminels. Vous n'aviez aucun droit de vous poser comme juge et bourreau, vous n'êtes qu'un vieux sénile manipulateur et pathétique, répondit Sévérus d'une voie polaire.
- Albus Dumbledore les charges sont accablantes, vous êtes coupable de tous les chefs d'accusations. Je vais rendre le verdict immédiatement.
Nous allons poser le même nombre de bloques de magie sur vous, que vous en avez mis à Harry, vous êtes déchu de tous vos privilège et condamné a dix ans de prison à Azkaban, vu votre âge, cela suffira. Bien sur tous vos biens reviendront à Lord Black Potter en dédommagement de vos crimes contre lui. Que merlin ai pitié de votre âme., termina Amélia.
La séance fut levé aussitôt le publique sortit, ne laissant dans le tribunal que les membres du dôme, qui se levèrent et allèrent autour de Harry et Sévérus.
Dumbledore dévisagea le groupe effaré, regardant Bella, Androméda, Narcissa, Sirius, Tonks, réunis. Le choc fut si brutal qu'il le fit vaciller. Il regarda les autres membres du groupe et baissa la tête en signe de défaite.
Albus sortit dignement encadrés par les soldats du sanctuaire.
Fol'œil dissimulé sous un déguisement avait assisté atterré a tout le procès. Il décida de sortir noyé dans la foule et de disparaître à l'étranger. Il était mort de peur.
Harry et Sévérus ainsi que tout le dôme partit. Sévérus monta directement Harry dans leur chambre. Il avait besoin de se remettre.
Le lendemain, Harry avait décidé de régler définitivement le problème du Seigneur des ténèbres. Le dôme et Estrie furent immédiatement prévus, la bataille aurait lieu en fin de journée.
POV Voldemort
Le seigneur des ténèbres était fier de son armée, il avait près de cent soixante dix mangemorts, il avait récupéré tous les détraqueurs d'Azkaban, et un groupe d'une trentaine de vampires de Roumanie l'avaient rejoint. Ce qui lui faisait près de trois cents combattants. Hors, Voldemort voulait donner l'asseau final sur le ministère et le monde sorcier rapidement. Car il ne pourrait maintenir l'unité fragile de son groupe longtemps, les vampires capricieux et versatiles, voulaient passer à l'action. Ils l'avaient déjà menacé de l'abandonner…
Mais surtout Lord Voldemort souffrait toujours de terribles migraines, qui l'inquiétaient, car les potions restaient avoir peu d'effets pour le soulager. Alors avant d'être très handicapé par son mal, il fallait qu'il domine le monde sorcier.
A cet instant, un mangemort entra précipitamment dans la pièce, et se laissa tomber sur ses genoux devant le trône qu'occupait Lord Voldemort.
- Maître, une armée et devant le château, et elle est conduite par un certain Harry Black Potter, qui vous défie, ici et maintenant, dit le mangemort essoufflé.
Voldemort laissa échapper un grand cri de rage et se précipita à une fenêtre pour observer ses ennemis. L'armée de Harry n'était composée que d'une centaine de personnes. Avec un hoquet de rage et de colère il reconnu parmi eux tous ses anciens mangemorts disparus. Il se jura qu'il les tuerait tous dans d'abominable souffrance. Aussitôt il appela tous ses mangemorts, et prévins les vampires de l'imminence de l'attaque.
Harry et Sévérus se trouvaient devant le château en ruine repaire de Voldemort. Le Dôme était présent à leurs cotés, les créatures du Sanctuaire étaient, elles dissimuler sur les flans, avec pour mission de pénétrer dans le château. Harry venait de lancer son défi à Voldemort. Et il attendait une réponse. Il avait donné pour ordre de faire un maximum de prisonniers.
Au niveau des troupes du sanctuaire qui étaient caché, il avait obtenu d'Estrie, une dizaine de vampires anciens encadrant une cinquantaine de vampires primitifs, ils étaient placés sur le flan droit.
Une centaines d'elfes noirs encerclé la propriété, empêchant toute fuite. Les elfes de lumière avaient tissé un voile magique empêchant tout départs et fuites par transplanage de la forteresse.
Vingt cinq Nécromanciens avaient pour mission de s'occuper des détraqueurs. Une cinquantaine de goules les accompagnaient dissimulés avec eux sur le flan gauche.
Une trentaine de nains, étaient venues une heure plus tôt, pour désamorcer tous les pièges magiques que Lord Voldemort aurait pu dissimuler autour de sa forteresse. Ils avaient travaillé sous terre.
Enfin une meute importante de loups garous, conduit par Greyback conduirait sa meute en prenant à revers le château, et en surveillant les sorties par les passages secrets.
La grande bataille allait commencer.
Voldemort sortit, encadrés pas ses mangemorts et ses vampires. Les détraqueurs sortirait par l'entrée latérale pour prendre à revers le pathétique armé.
- Tu oses venir me défier Potter, mais quel est cette apparence je ne te reconnais pas, dit Voldemort.
- J'ai un peu changé Tom, aujourd'hui est l'heure de ta mort, et tu vas payer pour tout tes crimes, lui répondit Harry.
- Non c'est toi qui va mourir avec tous ces traîtres, et toi Sévérus je te réserve une mort des plus douloureuse, répondit Voldemort.
Le seigneur des ténèbres était tellement prit par la haine et la douleur qui martelait à présent constamment son cerveau, que certaines choses étranges, ne le firent pas réagir. Les changements physiques de Harry l'étonnaient, mais il n'analysa pas ce qu'ils pouvaient entraîner. La présence de ces ex mangemorts à ses cotés le rendaient furieux, mis il ne chercha pas à comprendre pourquoi ils l'avaient ralliés, ni comment ils avaient résistés à ses appels. Non, tout ce qu'il voyait, c'est qu'il avait l'armée la plus puissante et qu'ils ne feraient pas le poids contre lui, il était bien trop rongé par sa colère, et sa vengeance.
Voldemort d'un signe de la main donna le départ de l'attaque. Aussitôt les sortilèges explosèrent entre les mangemorts et les membres du dôme.
Beaucoup de mangemorts du coté de Voldemort, tombèrent, car beaucoup étaient moins expérimentés.
Les vampires foncèrent vers les sorciers. Aussitôt ceux du sanctuaire surgirent du flan droit, et un combat sanguinaire commença Ebénezer ne faisait pas de quartier et décapitait d'un coups précis les vampires ennemis, ses alliés furent tout autant acharnés. Les vampires de Voldemort furent livrés aux vampires primitifs, qui s'amusèrent à les torturer avant de les tuer. Ensuite Ebénezer, Octavius, et d'autres anciens vinrent en aide aux membres du dôme qui combattaient parfois a trois contre un.
Sur le flan gauche les Nécromanciens anéantirent les détraqueurs, s'emparant de leurs âmes maudites. Des cris inhumains retentirent, effrayant les sorciers aux alentours.
Les loups garous investirent le château délogeant les mangemorts qu'ils trouvèrent, tous furent faits prisonnier. Un loup garou découvrit Ginny dans une cellule, mais elle portait la marque des ténèbres, partout sur son corps nu, il lui donna sa chemise et il l'emmena au milieu des autres prisonniers. Ils seraient transférés directement à Azkaban, sans jugement, la marque des ténèbre étant la preuve de leurs crimes. Quelques combats isolés éclatèrent, mais les loups restaient les plus forts.
Blaise combattit Percy Weasley, lui envoyant des sorts de feu, Percy se protégea par un bouclier assez efficace, et répondit par des doloris. Blaise réussit à les éviter, s'enchaîna une multitudes de sortilèges vicieux. Puis Blaise invoqua grâce à un sortilège de runes, plusieurs petits démons, haut d'une vingtaine de centimètres. Ceux-ci avaient la peau rouge, une queue fourchue, et une bouche énorme, démesuré par rapport à la taille de leurs corps, remplis de dents pointues.
Qu'ils s'empressèrent de planter dans la chair d'un Percy hurlant de douleur.
Voldemort invoqua alors une cinquantaine d'infries qui se jetèrent dans la bataille. Avant d'enchaîner ses échangent de sortilèges avec Harry.
Neville fit sortir des plantes carnivores et étouffantes pour détruire les infries, mais cela resta sans résultat. Draco lui vint en aide, aidé de Garjzla, qui envoyèrent de petits éclaires afin de griller les créatures.
Igor Karkaroff, combattit les infries en envoyant des sorts de feu pour les brûler
Lucius aidé de Tonio combattirent Dolohov qui lança son attaque spécial une longue flamme violette dirigée vers la poitrine de sa victime pour causer d'assez sévères blessures interne, Lucius fut blessé, et Tonio aussitôt lança des sortilèges envoyant une multitudes poignards vers Dolohov, celui-ci parvient a en arrêter certains, mais il fut toucher, et tomba sur le sol grièvement blessé. Tonio se précipita vers Lucius, Neville vint le rejoindre et lui fit les premiers soins.
Crabbe Sr voyant la situation dégénéré, et leur camps perdre, fut pris de panique, il avait vu ses anciens compagnons dans le camps adverse et décida de les rallier, en aidant Théodore Nott en difficultés face à Walden Macnair, le combat fut difficile.
Les Lestrange se battaient contre Jugson, la haine était palpable entre eux, Rodolphus fut gravement touché à la jambe, aussitôt son frère lança un avada kedavra sur Jugson.
Alice et Franck Londubat combattaient Goyle et son fils, Alice allait être victime d'un sort, lorsque Bella se jeta devant elle, le recevant à sa place. Aussitôt Franck répliqua et réussit un sortilège très puissant qui mit au tapis Goyle Sr, puis il réussit à lancer un expelliarmus à son fils. Alice rampa vers Bella pour la soigner.
Tonks,Narcissa, Androméda avaient décidés de combattre ensemble, elles furent très efficaces réunis. Bella vint les rejoindre, encore blessé mais prête à reprendre le combat. Elles étaient tel un rouleau compresseur éliminant sans pitié tout ce qui se dressait devant elles, se protégeant les unes les autres. Thonks invoquant des boucliers redoutables appris auprès des elfes de lumière.
Georges et Fred Weasley aidé de Nott Sr combattirent Thorfinn Rowle et Selwyn, Fred ne pu éviter un sortilège qui l'assomma, le blessant au torse, Georges et Nott Sr répliquèrent immédiatement. Georges envoya un sortilège noir de putréfaction sur Sewyn, qui le renversa sur le sol dans d'abominables douleurs avant de le tuer.
Augusta et Rookwood se battirent contre cinq mangemorts. Rookwood sauva Augusta d'un sortilège mortel, et tua le mangemort qui avait envoyé le sort. Ils reprirent le combat contre les quatre autres restant.
Plusieurs elfes noirs arrêtèrent des fuyards essayant d'échapper du champ de bataille.
Les goules rejoignirent le champ de bataille tuant ceux qui leurs résistaient ayant beaucoup de mal a ne pas massacrer tous les humains avec leurs redoutables aiguilles, finalement elles se focalisèrent sur les infries les dévorants, épouvantant les sorciers, par leurs cruautés, et l'horreur du spectacle.
Harry se battait contre Voldemort enchaînant les sorts de protections, avec des sorts complexes. Voldemort tenait le rythme, mais avait déjà reçu un sort de découpe sur le bras qui le rendit fou de rage. Sévérus stoppait les attaques essayant d'atteindre Harry, pour donner au seigneur des ténèbres un avantage. Voldemort réussit à envoyer plusieurs sortilèges qui affaiblir la barrière d'Harry qui tomba à genoux, celle-ci allait se fissurer. Harry se changea en vouivre, espèrent t que son animagus réussisse à déstabiliser le Lord, une expression de profonde surprise se peignit sur le visage de Voldemort. Harry profita de son avantage pour le mordre au bras, déchirant profondément les chaires. Aussitôt le Lord se transforma en cobra géant. Les animaux combattirent s'infligent de sévères blessures. Voldemort réussit à lancer un sort sur l'escarboucle que portait la vouivre sur le front. La vouivre tomba sur le sol, et Harry reprit sa forme.
Il réussit à lancer un sort se servant de la magie serpent détruisant les écailles. Voldemort reprit son apparence, évitant au sort de progresser. Harry était à bout se souffle, épuisé. Voldemort avançait vacillant vers lui la baguette tendue.
Lorsque Sévérus le rejoignit le prenant dans ses bras, ils unirent leurs magies.
Un rayon d'une blancheur incroyable se propulsa alors vers le seigneur des ténèbres, qui ne pu l'éviter.
Magie magistra venait les aider, mélangeant leurs magies et envoyant un sortilège d'amour le plus pur, qui brûla Voldemort, des flammes le recouvrirent consumant chaque parcelle de peau, on pouvait voir des flammes rouges virant au bleu, le parcourirent faisant fondre l'épiderme, provoquant des cloques, creusant dans les chairs.
Harry et Sévérus ne purent que contempler horrifié le spectacle du seigneur des ténèbres hurlant de souffrance, se roulant sur le sol dans l'espoir d'éteindre l'incendie qui le ravageait. Mais le feu prenait de la vigueur se nourrissant du sorcier, carbonisant le bout de ses doigts, une partie de son visage, progressant à l'intérieur de son corps pour portant à ébullition son sang. Cela fit exploser son cœur, détruisit ses organes internes. Voldemort poussa son dernier soupir, ayant essayé de résister jusqu'au dernier instant. Le feu continua de carboniser les chairs ne laissant qu'un corps carbonisé et tordus dans une expression de souffrance.
Quand les mangemorts restant sur le champ de bataille prirent conscience de la mort de Voldemort, ils levèrent leurs mains en signe de rédition pour épargner leurs vies. La guerre était finit Voldemort était mort. Le monde magique était sauvé.
Fin du POV
Maître Gordon alla avertir Amélia de leur victoire. Lucius fit un saut au journal pour donner l'information, avant de rentrer chez lui pour soigner ses blessures avec son épouse et se reposer.
Tous les prisonniers mangemorts survivant ou blessés furent conduits à Azkaban.
Crabbe et son fils ne furent pas arrêtés en raison de leurs aide durant la bataille.
Les créatures rentrèrent au sanctuaire sous la surveillance de la Gardienne.
Aucun membre du dôme n'avait perdu la vie dans la bataille, mais les blessures restaient nombreuses.
Le reste de la semaine se passa dans une liesse générale dans le monde sorcier. Le nouveau gouvernement fut mis en place, avec de nouvelles lois. Le monde magique avait définitivement changé.
Le dernier geste de ministre d'Amélia fut d'installer à l'endroit ou avait été exposer la fontaine de la suprématie des sorciers sur les autres créatures, une nouvelle statut d'Harry et Sévérus enlacés, dans une position de combattant victorieux.
Harry et Sévérus décidèrent de partir une semaine en Italie chez Tonio.
Réponse aux messages
Merci a tous pour les messages que vous m'envoyer, ils me font très plaisir, et sont très encouragent.
Il devait rester à peu près un chapitre pour terminer l'histoire.
J'ai modifié le nom de la communauté de l'anneau et j'ai mis un nom plus adapté.
Mona La position de Ginny ne reflète pas mes idées personnelles, je respecte le droit à l'avortement, et ne souhaite pas entrer dans cette polémique. Je ne pense pas que la revieweuse, souhaitait le remettre en question non plus. Ginny dans cette histoire est une fille de 14 ans qui ne veut pas d'enfant, je la décris comme égoïste et narcissique, je ne voulais pas qu'une femme enceinte subisse un viol collectif, pour des raisons morales et le bien du bébé. Le choix de Ginny pour ses raisons à elle, ne représente pas ma position, je pense que certains lecteurs ont été satisfait qu'elle soit punis, non a cause de son avortement mais uniquement de ses réactions révoltantes qu'elle a depuis le début. Donc merci de ne pas interpréter.
CHAPITRE 31 Temps de Paix
POV Ginny
Le jeune homme qui l'avait sortit de cette cellule infecte, venait de lui donner sa chemise. Elle s'agrippa à lui en pleurant, ce geste désintéressé lui donna un coup au cœur, elle le supplia de la sauver. Elle lui dit qu'elle avait été prisonnière, elle le supplia de la croire, le loup garou, l'emmena avec lui, et la ramena chez lui dans la meute. Il la laissa dans la salle de bain lui disant qu'il reviendrait très vite. Ginny se laissa tomber au sol, et eu une vrai crise de larmes, se sentant mieux, elle prit une longue douche, et trouva la chambre pour s'allonger, elle ne sentait pas très bien.
Quand Pollux rentra chez lui , il retrouva la jeune fille brûlante de fièvre. Il la soigna pendant deux jours, mais la fièvre continuait. Ne sachant plus quoi faire, il alla prévenir son alpha, qui fronça les sourcils quand il la vit.
Greyback partit chercher Sévérus et Harry, ils arrivèrent rapidement Sévérus, se rendit compte que la fièvre était du aux marques des ténèbres qu'elle portait sur son corps et qui empoisonnait son sang. Harry enleva méticuleusement chaque marque, pendant ce temps Sévérus appliquait des baumes cicatrisant sur ses blessures, au bout de deux heures de soins, ils avaient finit. Greyback déclara que Ginny resterait dans la meute. Harry acquiesça, Sévérus donna des potions de soins Puis ils rentrèrent chez eux.
Ginny se remit peu a peu, elle se sentait bien au cœur de la meute, les nuits de pleine lune, elle restait dans sa chambre. Elle participa aux travaux de la meute, deux ans après son sauvetage, elle se rapprocha de Pollux qui l'avait sauvé. Elle découvrait enfin l'amour et se lia avec Pollux. Elle refusa de sortir de la meute, sa vie dorénavant serait ici, elle eu deux petite filles.
Fin du POV
Harry et Sévérus se détendaient sur une chaise longue. Ils étaient dans la banlieue de Palerme en Sicile, dans une magnifique villa appartenant à Tonio, depuis trois jours. Le soleil brillait dans le ciel, la température était douce. Ils se détendaient enfin, l'un comme l'autre n'aimaient pas les mondanités, ni la foule, et ils avaient été heureux de s'échapper. Car les quelques jours qui avaient suivi la victoire, il avait fallu répondre aux journalistes, même si Lucius avait diminué les demandes, et aider pour l'organisation du futur gouvernement, veillé a ce que tous se remettent bien de leurs blessures…ils n'avaient pas eu une minute pour souffler.
S'éloigner de la folie qui régnait en Angleterre depuis leur victoire, et la restructuration du gouvernement avait donc été salutaire. Le monde sorcier avait été complètement chamaboulé, des fêtes s'étaient organisés dans la rue, les gens souriaient, riaient, chantaient. Les sorciers étaient libres, enfin plus de menaces. L'ensemble de la population accepta assez bien les nouvelles mesures concernant les créatures, leurs reconnaissant des droits, et leurs place dans la société. Un nouveau type de cours apparut à Poudlard, le cours « Culture et harmonie » afin de connaître les différentes règles régissant chaque race, pour qu'aucuns sorciers par ignorance n'offense une culture différente. Le ministère était en train de préparer un livret d'explication sur l'entente entre races, Arthur y tenait fortement disant que l'information faisait tomber les barrières.
La communauté des sorciers et créatures libres, avait commencé à s'organiser, et les premiers membres élus par leur race, les représenteraient. On pouvait y voir, un gobelin, un vampire représenté par Sanguini, Greyback pour les loups garous, Firenze pour les centaures, un elfe de maison, une sirène qui était dans un petit aquarium, un troll, un épouventard, un géant regardant par la fenêtre, un vélane, un fantôme, un héliopathe. Un elfe de lumière représentant les intérêts des licornes, griffons…de toutes les créatures ne pouvant parler, l'elfe avait été choisit de part son lien très fort avec la nature. Aucune race n'était rejetait, Tonks accepta de faire partie du conseil pour représenter les sorciers, et elle était très fière de son rôle. Le conseil remplacerait le ministre.
Harry était heureux que la mise en place du nouveau gouvernement se soit réalisée dans de bonnes conditions. A présent c'est le conseil qui gérerait le monde sorcier, lui n'ayant qu'un rôle de régulateur de l'énergie magique, et éliminer le prochain mage noir qui menacerait l'équilibre.
Ils avaient discuté de leurs avenirs, Sévérus gérerait un laboratoire de recherche sur les potions appartenant à son époux, il en avait assez de donner des cours à des étudiants, et souhaitait faire ce qui lui plaisait de la recherche. Harry avait décidé d'écrire des livres sur la magie oubliée, son premier livre serait sur la magie fourchelangue et la magie serpent. Il était sur que quand il retournerait au Mexique voir Estéban et brujo Lorca, il trouverait des rituels et sorts propre à leurs cultures, de plus Sévérus serait ravi d'avoir la possibilité d'obtenir de nouvelles plantes.
Le monde de la magie vivait une véritable révolution. Harry et Sévérus avaient moyennement apprécié d'avoir leur statut dans le hall du ministère, mais Amélia avait dit qu'ils étaient le symbole de la liberté et du changement. Beaucoup de membres du dôme trouvaient la statut très belle, Sévérus avait mis en doute leurs sincérité.
Le nouveau gouvernement avait été décidé aussi, que les sorciers issus de moldus auraient un sortilège sur eux et leurs familles pour ne pas révéler l'existence du monde magique. Dorénavant le monde magique devait être préservé.
Minerva Mcgonagall avait été nommé directrice de Poudlard. La vie se réorganisait doucement. Les étudiant reprenant leurs cours.
Ses amis avaient reçu comme lui le résultat de leurs ASPIC, ils l'avaient tous. Sévérus s'était montré très fière de ses élèves.
Draco poursuivait sa relation avec Garjzla, il s'était fiancé, et ils étaient très amoureux l'un de l'autre. Drago avait reprit les affaires familiales, laissant à son père la politique.
Blaise s'était rapproché de Bill Weasley aussi bien du point de vue personnel que professionnel, et souhaitait travaillait comme briseur de sort.
Neville avait postulé comme professeur de Botanique à Poudlard, sa demande avait été acceptée. Il s'était rapproché de Pansy avec qui il se liait de plus en plus.
Charlie Weasley avait décidé de vivre sur le territoire des dragons au sanctuaire.
Estrie partageait son temps entre le sanctuaire et sa vie auprès d'Arthur, ils avaient acheté un hôtel particulier en plein cœur de Londres, et ils avaient décidé d'officialiser leur union pour la fin de l'année.
Harry caressa rêveusement son ventre, bientôt il annoncerait à Sévérus qu'il allait être père, magie magistra avait aidé à ce que ce miracle se réalise, et il en avait fait profiter secrètement ses amis. La veille de leurs départ, Harry avait voulu passer une soirée avec Sirius et Remus comme avant, tout les deux étaient heureux dans leur couple. Harry avait proposé à Remus et Sirius, de leurs insuffler la magie magistra dans leurs ventres, pour aider une grossesse magique à démarrer. Ils avaient accepté avec enthousiasme. Harry eu un petit sourire discret.
Tonio arriva à ce moment là, superbe avec ses lunettes son costume noir, il s'installa à coté d'eux.
- Harry, tu te rappelles cette discussion que nous avions eue au manoir Zabini, lorsque nous nous sommes rencontrés ? Tu m'avais dit : « le lien est ma mère décédée, et c'est son père, donc mon grand père qui était de votre famille son nom était Octavio Zabini. » Je t'avais répondu, qu'il y a une cinquantaine d'années en Italie s'est déroulée la plus meurtrière guerre de clans qui ait existée. Octavio Zabini était mon frère, aîné qui était à l'époque à la tête du clan. Il a été tué par Césarée Borgia, un chef ennemi, mais avant de le tuer il l'a traqué longtemps, la vendetta fut lancée après la mort de mon frère et Borgia fut à son tour tué. Votre grand-mère Magda Prince serait morte en couche et un elfe dévoué à mon frère aurait emmené votre mère Lily loin, pour alléger sa peine. J'ai réussit a reconstitué les événement de cette époque. Octavio Zabini s'est marié secrètement avec Magda Prince, celle-ci était la fille unique de l'ambassadeur de Grande Bretagne en Italie. Elle est bien morte en couche, mais l'elfe qui a enmené Lily l'a fait sur l'ordre d'Octavio. Mais ce que j'ai découvert c'est que Magda avait eu des jumelles, la deuxième a été cachée par le même elfe dans une famille Italienne les San Marco. C'est une famille sorcière très importante en Italie. L'autre jumelle s'appelait Maria et elle a une fille Olivia. J'ai prit rendez vous pour que tu les rencontres demain si tu es d'accord. Harry accepta.
Ils arrivèrent dans une jolie maison donnant sur les canaux de Venise. Tonio fit les présentations. Maria San Marco, était une femme très brune à la peau mate, elle était très élégante. Tonio raconta à Maria l'histoire des jumelles, Maria très émotive ameuta toute la maison en poussant de grand cris et en pleurant. Quand toute sa famille fut réunis elle leurs raconta l'histoire de Tonio, et attrapa les mains de Harry avant de le serrer contre elle. Toute la famille le prit dans ses bras, l'embrassant heureux de l'accueillir parmi eux. Tonio et Sévérus reçurent le même traitement à leurs grands gènes et sous le sourire moqueur de Harry. Ils passèrent une semaine avec les San Marco, des liens se nouèrent. Harry avant leurs départ, voulu absolument faire une promenade en gondole. Et c'est là, qu'il annonça à Sévérus qu'il allait être père. Celui-ci fut fou de joie et embrassa passionnément l'homme de sa vie.
Quelques mois plus tard Harry donna naissance à des jumeaux qu'ils nommèrent James et Alan. Remus et Fenrir eurent un garçon qu'ils nommèrent Romulus. Et Actarus et Sirius eurent une petite fille qu'ils appelèrent Edwige.
Que sont ils devenus ?
Quand Ron avait appris la révolution du monde magique, la défaite de Voldemort, le procès et l'incarcération de Dumbledore, Harry Potter alias Lord Black héros du monde magique, il en avait été malade de jalousie, malade devant sa réussite, sa fortune, sa renommé. Et la haine l'avait consumé en plus il était marié au bâtard graisseux, horrible. Puis il avait eu peur, peur de représailles, alors il s'était terré dans sa chambre. Puis Ron avait reprit difficilement de chemin de Poudlard. Ron avait caché son handicape aussi longtemps qu'il l'avait pue. Mais voir apparaître des araignées n'importe quand, lorsque l'on est arachnophobe peut devenir problématique. Et il avait toujours des parties de son corps qui pourrissaient, en ce moment c'était son ventre, cela stressait énormément Ron. Et puis quelques chose de terrible était arrivé l'odeur de pourrit était apparut, et cela tout le monde le sentait. Alors il s'était mis un sort de camouflage olfactif, mais si cela marchait sur les autres sur lui non. Il sentait donc l'épouvantable odeur, au début cela le faisait vomir, il n'arrivait presque plus à s'alimenter Ce fut un mois après la rentrée scolaire a Poudlard que les choses s'aggravèrent un matin il découvrit une vingtaine de petites araignées lui dévorer le genou. Il n'arrivait pas à les enlever, il hurla de terreur, et bascula dans la folie. Il fut transporté d'urgence à St Mangouste en unité psychiatrique. Il y resta cinq ans, cinq ans d'analyse pour soigner son obsession sur Harry, le sortilège de pourrissement finit par se terminer, mais il continu a voir de petites araignées de temps en temps. Il trouva un travaille d'homme d'entretien sur un stade Quidditch, et il en fut content.
Hermione lorsqu'elle avait appris les derniers événements avait été traumatisé, Harry et Lord Black ne faisait qu'un, elle aient réalisé à quel point elle s'était rendue ridicule. Hermione se rendit compte de son erreur de jugements, elle écrivit à Harry pour s'excuser. Elle n'avait pu reprendre les cours à Poudlard son niveau de magie étant trop bas, et surtout son gros soucis de dépendance aux médicaments. Ses parents ne lui avaient pas laissé le choix, ils l'avaient envoyé en cure de désintoxication durant six mois. Puis l'avait inscrite dans une école moldu, pour terminer ses études. Elle obtint un diplôme d'enseignante, et travailla dans le Surrey.
A Azkaban
Dumbledore, purgea ses dix ans de prison, à sa sortie il avait vécue de mendicité durant deux ans. Son frère Albelforth le trouva un soir à sa porte, Albus y travailla comme serveur.
Fol'œil, vécue caché dans la banlieue de Rio au Brésil, il ne revint jamais en Angleterre.
Réponse au message
Voila l'histoire est finit, j'espère que vous aurez pris plaisir a sa lecture, je m'étais lancé dans une histoire compliqué et longue, mais je l'ai mené à sa fin.
Il ne fallait pas vous affoler pour Ginny, il y a toujours des rebondissements, au bout de 30 chapitres vous devriez vous en douter…Merci a tous les autres pour m'avoir soutenu pendant la rédaction de cette histoire.
Kayle et oui désolé j'ai crée un héros sauveur, mais il ne dirige pas le monde magique. Harry est le sorcier suprême au moment ou Amélia lui parle, donc oui elle est clairement impressionné par le mec qui a réussit a rallié le sanctuaire, qui a fait le groupe du dôme, qui gère comme un chef depuis le début. Pour Ginny je peux comprendre que tu n'aimes pas, mais l'histoire depuis le départ est sur la vengeance, donc c'est un peu hard, mais bon…
Luchun j'espère que tes amis s'en sont sortie au japon, c'est dramatique, j'espère aussi qu'ils ont échappé au tsunami, semble t il les séismes ne sont pas finit…je suis de tout cœur avec toi, sois courageuses pour eux. Bizz
Bizz à tous et à la prochaine
