Bonjour, je vous présente ma toute première fiction.
Voici le prologue. La première phrase est mon idée de départ, celle qui me trottait dans la tête avant même de devenir une fiction (je ne m'attendais pas à en écrire une un jour, même si j'en suis une grande lectrice), le reste est venu spontanément avant que je me mette à visualiser la trame plus concrètement. C'est une histoire légère, il ne s'y passe pas grand chose au final, enfin je crois. désolé pour ça.
J'ai mis T pour le langage de Livai, ah oui et j'écris Livai et non Levi, ça me perturbe moins sachant qu'il n'est pas américain à la base. J'enchaîne le chapitre 1 parce qu'en fait, il est plutôt court.
En espérant que ça vous plaise,
Bonne lecture~
Chapitre 0 :
Un jour, j'ai trouvé un chat errant.
J'ai décidé de l'adopter avant même d'avoir un contact concret avec lui.
Je ne sais pas encore si je le regrette, mais en tout cas il m'a dit que l'on doit vivre sans regrets et que je n'ai certainement pas l'air d'être le genre de personne à s'encombrer de ce genre de chose.
Je ne sais toujours pas comment je dois le prendre.
Mais au final, je l'ai quand même gardé.
Il est de douze ans mon aîné mais il fait dix centimètres de moins que moi. Je crois qu'il boit du lait par habitude car il en buvait beaucoup dans son enfance pour grandir, jusqu'à ce qu'il dépasse la tranche d'âge où il pouvait encore espérer. Ça lui est resté, depuis.
Il est super vulgaire, un peu -beaucoup- maniaque sur les bords. Il est super intimidant et plutôt costaud aussi, et séduisant… . Heu donc je disais : il impose un respect implacable mais est du genre grognon.
Sa peau est super blanche alors qu'il aime se chauffer au soleil : il est frileux, il aime se pelotonner dans une couette sur le canapé.
Il est un peu sauvage -j'essaye de l'apprivoiser- et n'en fait qu'à sa tête.
Ah, et il aime traîner sur les toits.
Parce que le ciel est immense et donne une infinité de liberté, qu'ainsi la merde est sous ses pieds et qu'il peut alors l'oublier un instant en levant le nez et respirant un air plus pure qu'en bas. Il aime mettre ses moustaches au vent, quoi. Enfin non, ses cheveux, il n'a pas de moustache.
Ses yeux vous transpercent à chaque regard et expriment toute leur liberté et tout leur mépris sous cette expression constamment blasée, quand ce n'est pas contrariée.
Je n'aimais pas vraiment ça au début, puis j'ai vite compris que c'est un mécanisme de défense, ou d'attaque, je ne sais pas trop…
Bref, j'ai adopté un chat bien fascinant.
Ah, j'allais oublié ! Il s'appelle Livaï.