Résumé : Clarke aime sa meilleure amie, alors quand le frère d'Octavia a besoin d'un endroit où resté, Clarke ne réfléchis pas à deux fois avant d'offrir son appartement. Il n'y a pas de problème du tout, ça c'est jusqu'à ce que Clarke réalisa quel porc arrogant et sûr de lui il est. Quand quelques jours se transforment en quelques semaines il est trop tard pour revenir en arrière, et maintenant elle se retrouve piégée avec un colocataire indésiré. BY shippershape.

Disclaimer de la Traductrice : Je tiens à souligner le fait que je n'ai pas écris cette histoire, je ne fais que traduire l'œuvre de shippershape afin de la faire découvrir aux lecteurs français. Si le cœur vous en dis, ce n'est pas la première de ses fictions que je traduis alors n'hésitez pas à aller y jeter un œil.

PS : Il y a une suite.

Bonne lecture et n'hésitez pas à laisser vos avis, je les transmettrais à l'auteur.


L'invité,

The house guest.

OoOoOoO

Écrit par shippershape,

Traduit par Lilly.

OoOoOoO

« Oh mon Dieu. » Clarke se réveilla en gémissant, la bouche comme du papier de verre. « Pourquoi ai-je fais ça ? » Se demanda-t-elle à voix haute, se rendant à la salle de bain. Elle fonça dans un mur, pourtant immobile, et le martèlement dans sa tête redoubla d'un cran. Putain. Elle avait oublié qu'elle se trouvait chez Octavia.

S'arrêtant en passant l'encadrement de la porte, elle laissa échapper un gémissement quand la lumière qui inondait le couloir l'aveugla.

« Bonjour, rayon de soleil. » Clarke, ayant porté une main devant ses yeux pour les protéger, écarta les doigts pour regarder à travers et voir une Octavia déjà habillée et s'approchant d'elle en souriant. Elle fronça les sourcils.

« Comment fais-tu ça ? » Demanda Clarke.

« Quoi ? »

« Tu as bus au moins autant que moi la nuit dernière. Comment peux-tu déjà être debout et habillé ? Et... en vie ? » Clarke la fixa suspicieusement. Octavia sourit à nouveau, cette fois, légèrement machiavélique. « O, tu ne l'as pas fais. » Pour toute réponse la concerné rit fortement et c'était tout ce qu'elle avait besoin de savoir. Depuis qu'elle l'avait rencontrée, un an et demi auparavant, Octavia avait été un enfant sauvage. Il y avait l'alcool, et de l'herbe, deux choses que Clarke avait non seulement tolérée mais auxquels elle s'était également joint. Mais certaines fêtes étaient totalement dingues et Octavia avait un goût pour une vie avec supplément narcotiques. Finalement, Clarke s'était suffisamment sentie concernée pour intervenir, et Octavia avait laissée tomber la drogue. Jusqu'à la nuit dernière visiblement.

« Ne t'inquiètes pas, ce n'est pas ce que tu crois. C'est une sorte de mélange de café et de ginseng. Un cure miracle de lendemain de soirée. » Octavia lui tendit une bouteille et Clarke l'attrapa. Elle inspecta l'étiquette, écrite principalement en Espagnol. Le lorgnant dubitativement avant de se retourner vers son amie.

« Je ne peux pas lire ça. » Elle laissa les pilules sur la table, et termina son douloureux parcours jusqu'à la salle de bain. Regardant dans le miroir, elle reteint un nouveau grognement. Son maquillage avait coulé sous ses yeux, elle n'avait clairement pas été assez lucide pour l'enlever. Ses cheveux avait étonnement bien tenue, mais il y avait quelque chose de suspicieux dans son cou comme... « OCTAVIA ! » Hurla-t-elle en sortant de la salle de bain, avec un mélange de colère et d'anxiété.

« Quoi ? » Octavia était dans la cuisine, des toast français posés devant elle. Ça dégageait une odeur à la fois délicieuse et nauséeuse. Clarke marcha jusqu'à elle, dégageant ses cheveux de son cou.

« C'est quoi ça ? » Elle pointa la sombre marque sur son cou.

« C'est un suçon. »

« Oui, je te remercie. Je ne me rappelle de rien après qu'on soit partis de l'Arche la nuit dernière, devrais-je demander où j'ai eu ça ? » Clarke fronça les sourcils, attendant une réponse. Bien qu'elle aimait s'amuser, elle aimait bien plus s'en rappeler, tout particulièrement quand elle se réveillait avec un suçon.

« Oh, relax. C'est moi qui te l'ai fais. On était plutôt bourrés, je pense que c'était au Phoenix ? Ou peut-être au Zero G ? Non, attends... » Octavia marqua une pause quand la porte d'entrée claqua. Alarmée, Clarke attrapa la première chose qui lui tomba sous la main. Lorsqu'elle regarda de quoi il s'agissait, elle se rendit compte que c'était une louche.

« Tu n'as pas verrouillée la porte ? » S'enquit-elle. Octavia fronça les sourcils.

« Si, je l'ai fais, donc ça doit être - » Avant qu'elle ne puisse finir sa phrase le mystérieux intrus entra dans la cuisine, marquant une pause lorsqu'il vit Octavia et Clarke. Octavia courut dans ses bras en criant : « Bell ! Qu'est-ce que tu fais là ? » Il la réceptionna dans un câlin, la décollant facilement du sol, et Clarke ne put s'empêcher de remarquer le mouvement des muscles de ses bras lorsqu'il le fit.

« Je suis en ville pour quelques jours. Je ne pouvais pas ne pas passer voir ma sœur. » Rit-il, la reposant. Ses yeux dérivèrent sur Clarke, et elle se rendit soudain compte qu'elle ne portait qu'un tee-shirt blanc qui, elle en était sûr, était totalement transparent et laissait voir ses, très sexy mais très inappropriés pour la situation, sous-vêtements noirs. Décidant qu'il était bien trop tard pour faire quoi que ce soit à ce sujet, et étant bien trop fière pour courir jusqu'à la salle de bain, Clarke le fixa également en retour. Il était sexy, elle n'allait pas le nier. Il était grand, probablement autour des 1 mètre 90, avec des cheveux noirs bouclés et d'intense yeux marron. Il avait l'air maigre, mais Clarke pouvait dire qu'il était bien musclé sous son tee-shirt.

« Tu es le frère d'Octavia ? » Elle en avait un peu entendu parler, mais à part des plaintes à propos de son côté surprotecteur, Octavia n'en avait pas dit grand chose. Il approuva, ses yeux détaillant lentement son corps d'une façon que Clarke ne pouvait s'empêcher d'apprécier. Finalement, son regard revint à son visage.

« Ouai. Bellamy Blake. » Il lui tendit une main. Décroisant ses bras de sa poitrine, Clarke la serra. Un sourire fendit son visage, et elle rit. Bellamy sembla confus.

« Désolé. » Elle haussa les épaules. « C'est juste que ça semble bien formelle, en considérant... » Elle fit un geste pour se désigner, mais il continua simplement à la fixer, impassiblement. « Je suis Clarke. » Octavia s'éclaircit la gorge.

« Bell, pourquoi ne m'aiderais-tu pas avec les toast français. Clarke, pourquoi n'irais-tu pas enfiler un pantalon ? » Octavia jeta un regard entendu à la salle de bain. Soupirant, Clarke obéit. Octavia était loin d'être prude, mais il y avait une étrange tension dans la cuisine, et Clarke ne pouvait pas la blâmer pour vouloir que sa meilleure amie soit un peu moins nue devant son frère. Décidant de laisser à Octavia et son frère un peu de temps pour se retrouver, Clarke prit une douche avant de son changer et de retourner dans la cuisine. Elle enfila un pantalon de yoga qu'avait acheté Octavia quelques mois auparavant, et un tee-shirt de la McGill université. Elle trouva Octavia et Bellamy assit sur le canapé, débattant à propos de quelque chose à la télé.

« C'est des conneries, O, on ne va pas regarder ça. »

« C'est ma télé, va regarder tes émissions ennuyeuse dans ta propre maison. »

« Sérieusement, cette merde va te bouffer le cerveau. »

« Alors c'est une bonne chose que je n'ai pas de cerveau à bouff - »

Clarke se racla la gorge alors qu'elle se dirigeait vers le canapé, amusée. Elle était une enfant unique et elle avait toujours été un peu envieuse des personnes autour d'elle qui avaient des frères et sœurs. Plus elle avait grandit, plus se désire avait disparu, et à présent elle était plutôt contente de n'avoir eu personne pour voler ses fringues ou pour débarquer dans sa chambre sans frapper. Tout ça avait changé lorsqu'elle avait rencontré Octavia, mais elle s'en moquait. C'était comme avoir une sœur, et après la mort de son père quelques années plus tôt, Clarke se réjouissait de toute la famille qu'elle pouvait avoir.

« Oh, eh. On t'a laissé des toats français dans la poêle. » Octavia se retourna vers son frère, mais il regardait Clarke. Encore.

« Quoi ? » Clarke baissa les yeux pour se détailler précautionneusement.

« Euh, rien. » Bellamy secoua la tête comme s'il essayait d'enlever de l'eau de ses oreilles. « C'est juste que c'est mon tee-shirt. » Il fit un mouvement vers le torse de Clarke.

« Oh. » Clarke regarda le dit-maillot. Haussa les épaules. « Désolé. Tu veux que je me change ? » Il hésita, et Clarke commença à se sentir mal à l'aise, se préoccupait-il honnêtement d'un tee-shirt qu'il n'avait pas vu depuis des mois ? Il secoua finalement la tête.

« C'est pas grave. » Murmura-t-il et Clarke hocha la tête avec raideur. Octavia se décala, faisant de la place pour Clarke sur le canapé.

« Vas te chercher à manger et ramènes tes fesses. Tu es le vote qui nous départageras, va-t-on regarder Les Plus Bêtes des Criminels ou les infos ? » Clarke roula des yeux. « Tu crois vraiment que tu vas faire regarder les infos à Octavia ? A quel point connais-tu ta sœur ? » Elle sourit à Bellamy et se laissa tomber à côté d'Octavia. Il al regardait toujours, mais il détourna son regard sur la télé.

« Bien. Je n'arrive pas à croire que tu regarde cette merde, je croyais que les étudiants en médecin étaient supposés être plus intelligent que ça. » Bellamy zappa pour mettre le programme désiré, et Clarke tenta de cacher sa surprise. Clairement, Bellamy parlait d'elle. Ignorant sa flagrante insulte, et son attitude en générale, Clarke s'installa pour regarder un homme portant des bas de nylon sur sa tête et tentant de voler une balançoire.

Quelques heures plus tard, Clarke termina de nettoyer la cuisine, et elle réunissait ses affaires de la nuit dernière quand elle entendit le frère et la sœur s'engueuler à nouveau ?

« Je suis vraiment désolé, je ne savais pas que tu venais - »

« Ce n'est pas grave O, j'irais à l'hôtel, j'aurais du te le dire. »

Clarke les rejoignit, s'étant rhabillée de sa robe de la veille. Elle ne se préoccupait plus du regard de la « marche de la honte » qu'on lui lançait, elle pensait qu'elle pourrait ainsi maintenir la réputation qu'elle avait depuis qu'elle était devenue amie avec Octavia. Elle était interne en chirurgie avec un bon appartement, grâce à l'argent de son père, et globalement bien respecté. Après sa mort, il lui avait laissé bien plus d'argent que nécessaire pour aller à l'école, et bien qu'elle aimait sa mère, Clarke voulait vivre seule. Décidant qu'elle avait vécu assez de temps dans la région, là où elle avait fais ses études de pré-médecine et de médecine, et son stage, Clarke avait investit dans un grand loft au centre de Vancouver, près du Vancouver Générale, l'endroit où elle avait achevée son stage.

« Tout va bien ? » Demanda Clarke, se penchant pour tenter de persuader ses pieds endoloris d'entrer de nouveau dans ses chaussures talons. Quand elle regarda de nouveau Octavia, elle avait un drôle de regard, celui qui lui indiquait qu'elle s'apprêtait à lui demander un service.

« En fait, non. » Dit Octavia alors que son frère secouait la tête.

« Mais si. » Insista Bellamy, regardant sa sœur. « C'est bon. » Intrigué, Clarke attendit.

« Tu sais que Lincoln vient en ville. » Dit Octavia lentement, adressant un regard à Clarke chargé de sous-entendus étranges. Clarke commençait à avoir un mauvais pressentiment. « Eh bien, je lui ai dis qu'il pouvait rester ici. » Clarke savait déjà tout ça, Octavia fréquentait ce mec, Lincoln, depuis quelques mois dans une relation longue distances, et elle lui rabâchait les oreilles parce qu'il allait bientôt venir la voir. Elle ne voyait toujours pas le problème. « Eh bien, Bellamy n'a pas réservé de chambre dans un hôtel, parce qu'il pensait qu'il pourrait rester ici, et bien que j'aime l'avoir dans le coin, je n'ai pas assez de place. » Oh. Clarke commençait à comprendre. En fait, c'était très clair. Octavia avait bien assez de place, mais le vrai problème était qu'avoir Bellamy ici serait un réel obstacle à ses plans pour passer le week-end au lit avec son petit-ami. Clarke soupira.

« D'accord. » Elle fronça les sourcils, toujours un peu perdue. Soudain, ça la frappa. « Oh. Ok. Bellamy peut rester chez moi. » Dit-elle, réalisant où Octavia voulait en venir. Bellamy semblait incroyablement inconfortable, et Clarke sourit. « Bien sûr qu'il peut, si c'est ce que tu demandes. Tu sais que j'ai plus qu'assez de place, de plus je ne suis pratiquement pas là. » Elle pencha la tête, regardant Bellamy. « Tu es le bienvenu, si tu veux. » Il passa sa main derière sa nuque, semblant embarrassé et irrité. Clarke ne comprenait pas quel était son problème, et elle ne l'appréciait pas particulièrement, mais la famille d'Octavia était sa famille, et elle ne passait vraiment pas assez de temps à la maison pour qu'il la dérange.

« Je peux simplement aller à l'hôtel, ce n'est vraiment pas grave. » Octavia le frappa, et il la regarda comme si elle avait perdue la tête. « C'est quoi ton problème. »

« Je te veux proche. En plus, tu n'auras pas à payer pour un hôtel comme ça, et tu connaîtra vraiment l'une de mes amies. Peut-être qu'une fois que tu la connaîtras tu arrêtera de t'inquiéter autant pour moi. Clarke est quelqu'un de bien. » Le regard de Bellamy passa entre les deux filles, piégé. C'était évident qu'il ne voulait pas se disputer avec Octavia, mais Clarke suspectait qu'il avait des problèmes à laisser les gens lui rendre des services. Elle pouvait comprendre ça, elle était pareille.

« Euh, d'accord. » Il cligna des yeux, regardant Clarke. « Bien sûr, ce sera génial. Je ne veux pas m'imposer. » Clarke secoua la tête.

« Non, pas de problème. Je ne passe pas beaucoup de temps à la maison de toute façon. Je vais rentrer là, si tu veux déposer tes affaires. » Elle lui tendit ses clés. Bellamy acquiesça.

« Bien sûr. Je déposerais ma valise. » Il disparut pour aller chercher ses affaires et Clarke se tourna vers son amie.

« Es-tu sûr que c'est une bonne idée ? Je ne crois pas qu'il m'apprécie des masses. » Octavia rit.

« Il t'aime bien. En réalité, probablement plus que bien en considérant la manière dont il ta maté dans la cuisine, mais c'est un abruti avec tout le monde. Il sera plus chaleureux avec le temps, peut-être. » Clarke voulut rétorquer qu'il ne resterait que quelques jours, et que donc elle doutait qu'il se dégivre d'ici là, mais soudain il réapparut, et elle se mordit la langue.

« Ok, je suis prêt. » Il avait enfilé une veste en cuir, lui donnant un étrange mais vraiment sexy look de bad boy, et Clarke se sentit momentanément troublé.

« Je... cool. Je suppose qu'on va y aller, salut Tav. » Clarke enlaça rapidement son amie, puis se tourna vers la porte. Bellamy la suivit, et ils se rendirent au parking.

« Alors, depuis combien de temps connais-tu ma sœur ? » Demanda Bellamy. Clarke était un peu surprise qu'il lui parle étant donné la façon dont il s'était comporté toute la mâtiné.

« Environs un an et demi. Je travaillais à l'hôpital quand je l'ai rencontrée. » Clarke marqua une pause, pas sûr de savoir ce que Bellamy savait des fêtes de sa sœur.

« Quand elle a fait son overdose. » Ce n'était pas une question. Clarke soupira.

« Ouai. Je faisais les rondes avec mon résident, et on avait un temps mort. Je passais devant sa chambre et j'ai jeté un coup d'œil, elle était simplement assise. Elle était seule, et elle semblait si jeune, et j'ai pensé qu'elle semblait perdue. Peu importe, le lendemain c'était pareille, et le jour qui a suivit. Il n'y avait personne avec elle, alors je suis entrée, et je lui ai demandé si elle avait besoin de quelque chose, puis j'ai commencé à déjeuné là. Elle est sortit au bout d'une semaine mais on est resté en contact. » Ils étaient à présent arrivés à la voiture et Clarke avait finit son histoire, et glissa la clés dans la porte. Parfois elle espérait avoir une de ces voitures qui s'ouvrait avec une télécommande, mais elle était trop attaché à celle-ci pour un nouveau modèle. Bellamy l'écoutait silencieusement, mais quand il réalisa que la voiture était la sienne, il laissa échappa un bruit de surprise.

« C'est ta voiture ? » Il siffla d'appréciation. C'était une Doge Charger de 1969, et c'était la fierté de Clarke et sa joie. Elle était à son père, et bien que Clarke ne savait rien à propos des voitures, elle avait un bon ami qui s'occupait de la mécanique, et la voiture était en parfait état. Elle sourit à Bellamy.

« Elle était à mon père. » Elle entra dans la voiture et déverrouilla la portière de Bellamy. Il mit sa valise à l'arrière, regardant l'intérieur.

« Alors, quelles sont les probabilités que je puisse te convaincre de me laisser la conduire ? » Clarke se contenta de rire, pressant son pied sur la pédale. La route était courte, même si elle ne montra pas exactement de quoi sa voiture était capable, ils arrivèrent en quelques minutes. Alors qu'elle descendit sur le trottoir, devant son bâtiment, elle sentit Bellamy la regarder à nouveau.

« Quoi ? » Il secoua la tête.

« Je n'avais simplement pas réalisé que tu étais riche. La voiture aurait du être mon premier indice. » Clarke se renfrogna. Elle détestait pas être désigné par le mot riche. Toute sa vie on s'était moqué d'elle parce que sa mère était une chirurgienne et son père un brillant ingénieur, et la bande avec laquelle elle traînait n'était pas aussi aisée qu'elle. Elle était souvent désigné comme quelqu'un de bien née, de snob et de privilégié.

« Je ne le suis pas, vraiment. La plupart de mon argent ait passé dans ce loft ou dans les études. » Bellamy roula des yeux.

« Si tu le dis, princesse. » Cracha-t-il, Clarke le regarda faire son chemin jusqu'à sa porte, scrutant autour de lui comme s'il n'avait jamais vu un bâtiment avec un portier auparavant. Bien qu'elle aimait énormément Octavia, Clarke commençait à avoir des doutes à propos de cet arrangement. Dans quoi s'était-elle embarquée ?