J'ai toujours pas de chapitre d'ANDLL mais j'ai une crackfic de JustePhi ! (qui, comme sa PP Twitter indique, consomme en grande quantité diverses drogues pas si charlie qu- /baf/)(et le fait que ce soit moi, sous la direction de Kalincka, qui l'ai bidouillée ne change rien au fait que Phi est une droguée).

Pas de rating, and enjoy !


Au Nom De La Liberté (dans un univers parallèle)

Alors, c'est l'histoire d'une bande de vidéastes ma foi fort sympathiques qui vivent bien tranquillement, quand soudain, après des attentats d'une rare barbarie (des terroristes armés de brosse à dents, la violence quoi !) un type prend la tête du pouvoir et impose une dictature.

Le problème, c'est que le monsieur en question, Idnhada (ça rime avec Nutella), est moche, mais moche, du coup personne n'ose l'interrompre parce qu'on ne peut pas le regarder en face sans rigoler - ce qui la fout mal, pendant une tentative de rébellion. Ce gougnaffier impose donc toutes ses lois en toute tranquillité et va même jusqu'à interdire Internet (souvenir douloureux d'une vidéo embarassante qui l'avait fait passer dans WTC, ce qui lui a valu un traumatisme infantile qu'il a refoulé tout au fond de de lui pendant sa puberté).

Nos vidéastes (surtout Antoine, pour des raisons évidentes) sont donc considérés comme de dangereux hors-la-loi et ils décident de fuir. On ne sait pas trop où, mais le fait est : ils prennent la fuite. Parce qu'ils sont comme ça, ces chers petits : courageux et braves. Bref, une fuite que ne se fera pas sans encombre puisque Jérémy, David et Charlotte décident de les lâcher en cours de route à causes d'ampoules aux pieds. ("Ma motivation tombe sous les ampoules, pas les idées" dira alors cette jeune femme fantastique.) En parallèle, deux amies extrêmement kikoos ayant pour nom Lena/Logan et Leïzzy décident de fuir également - elles ont raison, Myriam la Gydias désire les inscrire dans un internat horrible où toutes les photocopies sont en Comic Sans et où les élèves votent LePen, c'est chaud maggle.

Mais laissons de côté le rythme EFFRENE de cette intrigue (roflcopter) pour nous centrer sur les personnages principaux de cette fantastique épopée :

Tout d'abord nous avons Victor, qui est le bisounours de la bande (Petit, il s'est évanoui de terreur en voyant sa mère écraser une malheureuse guêpe qui avait toute sa vie devant elle. Depuis c'est un pacifiste acharné, très porté sur les actions humanitaires et le macramé en maison de retraite.) Derrière lui (c'est une métaphore sérieux, bande d'obsédées) nous avons Antoine, un mec homophobe et profondément hétéro qui n'a jamais regardé un homme de sa vie - d'ailleurs, il s'entend très bien avec Mathieu sur ce point, mais pour ce dernier, c'est parce qu'il est asexuel, asexué, et a passé les trois quarts de son adolescence dans un couvent. Ils sont donc de très bons amis sans ambiguité aucune, n'est-ce pas.

Ensuite, nous avons Yéyé, monogame et très pudique, qu'on n'entend rarement mais que tout le monde soupçonne d'être habité par des pulsions meurtrières incontrôlables ("parce quand on chante aussi faux, ça ne peut QUE être une tentative de meurtre déguisée" - Patrick Baud, 2015). Patrick et François, respectivement...euh..."raconteur d'histoires" et cinéphile, sont très proches, parce que même dans un univers parallèle, Mad arrivera à mettre du yaoi, hein, ho, hé dis, faut pas déconner. (Première et (presque) unique fois où j'éris du yaoi. Savourez, les enfants, savourez.).

Au dessus de tout ce petit monde (là aussi c'est une métaphore, vous êtes vraiment des perverses c'est incroyable) nous avons les Grenier, qui ont la particularité d'être immortels. Oui oui. Links est très proche d'eux d'ailleurs, puis qu'il ne ressent pas la douleur, ce qui confère à ces trois-là un bonus de 1000 points de badassitude. Links aime la vie, il l'aime passionément, et d'ailleurs quand sa famille les abandonne (les ampoules au pied, suivez un peu) il dit lui même « Osef, j'ai toute la viiiiiie » (juste avant de se faire assommer par Yéyé, qui craint qu'on lui vole son statut de chanteur du groupe).

Mais la révolte gronde. Depuis qu'un petit rigolo a parlé de fermer les kebab de Béziers au prétexte que «c'est pas très charlie», la France - toujours sous la présidence de Luther - est en ébullition. Le pays se coupe totalement du reste du monde. D'une part, parce que le président est toujours aussi moche, alors bon, les autres présidents européens ne veulent pas le rencontrer, et ensuite parce que lesdits sont tous solidaires du Kebab. Ils ont même des pancartes «Je suis Sauce Blanche» ce qui fait bien marrer Antoine. Allez comprendre. Bref.

Dernière chose. Je ne peux pas parler de La Liberté N'a Pas De Nom sans parler d'une sous-intrigue capitale. Une énigme qui a passionné Twitter tout entier. Un nom sur toutes les lèvres, sans que nul ne puisse y mettre un visage. Un chef d'oeuvre de la web-littérature, un algorithme démentiel, générateur de pulsions meurtrières depuis 2014, j'ai nommé : l'Ecrivain. (D'après un poulpe bleu, c'est mieux avec une majuscule, et elle a parfaitement raison cette gourgandine).

Qui est-il ? D'où vient-il ? Est-ce l'Homme-Ecureuil ? On ne le saura que bien plus tard dans l'histoire, mais comme je suis sympa, je ne vais pas vous spoiler. Ma générosité me perdra. (Encore que, si vous êtes sur ce recueil, logiquement vous avez lu la fic originale...enfin j'espère pour vous.) Toujours est-il que cet auteur en a fasciné plus d'une, avec ces soldats dont il parle sans cesse mais qu'on ne voit jamais arriver (c'est comme l'hiver dans Game Of Thrones. Mais je m'égare. GARE).

Après moult péripéties, ces vidéastes rencontrent le couple Logan/Leizzy (Victor et Logan ? Haha non. Ecoutez, je sais que vous faites tout pour que ce ship devienne réel dans la fic mais tout de même, trois OS consécutifs sur ce couple, ça commence à se voir), car le monde est aussi petit que Mathieu. Ils trouvent un endroit sans 4G («Au Choix de Buscarron», c'est un bar très sympa. En plus, comme aucun de nos héros ne dispose d'arme nucléaire, pour tout un tas de raisons plus ou moins évidentes, ils sont tout de suite bien accueillis, c'est bonne ambiance.)

Yéyé décide alors de squatter la cave du bar pour monter son Cabaret Noir (avec Antoine et les Grenier à l'ingé son), Logan et Leizzy se marient, Mathieu et Links font un Point Culture sur la Rhubarbe (feat E-Penser), Victor et François font une vidéo ensemble (feat Patrick que tout le monde oublie, le pauvre garçon), et tout est bien qui finit bien.

Ils vivent heureux et font plein de petites reviews.


Un journal sans auteur agite faiblement ses pages, oublié de tous.

Et les soldats n'arrivent toujours pas...


Voilààà (sa crackfic me tue à chaque fois)(elle est bien)(de ouf)

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