Coucou, c'est moi~ (Oh non, pas elle)

Et si, c'est moi~ (Oh non, pas...Bref.)

Coucou mes loulous, comme toutes les semaines me r'voilà et avec un chapitre plus long que les deux derniers qui étaient assez courts, je m'en excuse et j'espère que celui-ci vous plaira.

Le dernier est aussi arrivé un peu en retard, à minuit dix à peu près...en fait c'est parce que avec le décalage horaire, comme je suis actuellement en vacances sur Skypiea ...(Bon, ok, sur YouTube...) Aucune excuse, beuhh.

Vous continuez à me lire malgré tout, merci beaucoup beaucoup beaucoup et merci aussi pour vos reviews, nous savons tous combien ils font plaisirs T^T. Je ferais de mon mieux pour que cette histoire vous plaise encore plus;)

Voilà voilà, bonne lecture !

Disclaimer : Eiichi-kun (parce que c'est trop mignon, désolée Oda)

Vingt-trois heures. Cela ferait bientôt trois jours que le navire voguait vers Drum et il n'était même pas à mi-chemin. Rien n'était venu interrompre sa route, et les perturbateurs étaient tenus à distance par une seule inscription sur la voile principale du bâtiment. Une certaine routine s'était installée à bord.

Smoker restait le plus souvent dans sa cabine, où un soldat venait régulièrement l'informer de leur position, ainsi que de l'éventuelle évolution de l'état de la pirate. Il ne tenait pas à remonter Grandline pour rien, aussi l'idéal aurait été qu'elle se rétablisse. Mais le cap restait le même.

L'Amiral s'ennuyait ferme mais ne s'en plaignait pas. C'était qu'en ce moment, entre trop d'action (pour ne pas dire de bordel) et pas assez, il avait du mal à trouver le bon équilibre.

A choisir, il préférait avoir la paix. C'était sans compter sur une certaine personne.

-Trouvé !

La certaine personne venait de défoncer la porte. Chacun son tour, vous me direz.

En un éclair, elle se retrouva devant le bureau, en face du propriétaire de la cabine qui eu tout juste le réflexe de crisper ses mains sur les accoudoirs de son siège que la pirate (car oui, ce n'est pas une tornade...quoique) appuya un pied sur la plate-forme de bois qui les séparait et se jeta littéralement sur l'Amiral.

En un clin d'œil, le fauteuil bascula en arrière et ils s'écrasèrent sur le plancher, la pirate sur l'Amiral. Encore une fois, chacun son tour.

-Non mais t'es complètement givrée ! Dégage !...Gumf !

La pirate, à califourchon sur son ventre, venait de lui saisir la gorge à deux mains. Son regard était empli de colère.

-La ferme ! Je vais...te tuer !

L'Amiral agrippa d'un geste vif l'avant bras de la folle furieuse et sa main se posa se posa sur d'épais bandages.

-Tu...tu m'as...continua t-elle d'une voix tremblante de fureur

Oui. C'était compréhensible. Il l'avait empêché de se soigner et elle avait faillit en mourir. Elle avait de quoi lui en vouloir.

-Tu m'as...déshabillée pendant mon sommeil !

Pardon ?

-Hein ?

-Quoi ?

-...

-...Te fous pas de moi ! J'étais avec toi et d'un coup je me retrouve dans un lit avec des vêtements différents ! Répliqua-t-elle en désignant d'un geste de tête la robe blanche d'hôpital qu'elle portait à présent. J'ai plus le choix, tu vas mourir !

Au moment où elle voulu resserrer son emprise sur le cou de son ainé, celui-ci s'évapora et envoya valser la pirate dans une explosion de fumée. Elle poussa un cri suraiguë dont elle avait le secret et tenta de se réceptionner en une majestueuse galipette arrière. Elle fut stoppée net par le mur de la cabine derrière elle et se retrouva immobilisée, la tête entre les jambes.

Classe.

Entre temps, le Contre-Amiral avait repris forme humaine et, tout en balançant ses mégots dans le cendrier posé sur son bureau, il l'observait avec un mélange de pitié et de sarcasme.

-Tss...Tu les portes toujours, tes vêtements.

-Hein ? Qu'est-ce que tu racon...

Ses jambes à présent découvertes, elle se rendit compte qu'elle portait toujours son short sous sa robe.

-...Ah oui, tiens...Bah...c'est bon, alors...

Même pas une excuse (chacun son tour?).

-Attends, continua finalement la pirate sans prendre la peine de prendre une position moins ridicule, il y quelque chose qui cloche...Si tu l'as remarqué c'est que...Mais où est-ce que tu regardais ?!

En même temps, difficile de voir autre chose dans cette situation.

La pirate se releva tant bien que mal et se jeta sur l'Amiral qui soupira avant de tirer sa jitte de son dos. Au moment où la pirate voulu tester une sorte de prise de catch, il « fuma » derrière elle. Quand celle-ci s'arrêta dans son élan et se retourna, il était déjà trop tard et l'arme de granit s'abattit sur son cou, l'entraînant au sol.

-Urgh !

-Qu'est-ce qui cloche chez toi, gamine ? Questionna Smoker sans vraiment attendre de réponse, debout à côté de la pirate et maintenant les deux pointes de sa jitte de chaque côté du cou de la pirate. Tu n'as pas pensé à autre chose ? La raison pour laquelle tu te trouvais à l'endroit où tu t'es réveillée.

-...Le lieu où je me suis réveillée ? Bah...j'ai pas fait attention. Un lit, aproximativement.

Smoker leva la tête et respira profondément, l'air de se dire « retenez-moi où je l'empale sur place » (le verbe empaler n'ayant absolument rien à voir avec celui qu'on peut trouver dans un lemon. Mais qu'est-ce que je raconte...).

Il choisit de garder son calme et s'accroupit près du visage, en descendant sa main le long de la jitte. La pirate le regarda, indécise, prendre deux cigares dans son manteau, les porter à sa bouche et les allumer de sa main libre.

-Bon, dit moi gamine, quelle est la dernière chose dont tu te souviens avant ton réveil ?

-La dernière chose... ? Et ben...tu était avec moi dans ma cellule et on discutait...

Smoker tiqua à l'entente du terme employé. « Discuter »...

-Et ensuite, j'imagine que j'ai perdu connaissance...

-Exactement. Et j'imagine que tu sais pourquoi.

-...Tu m'as drogué pour pouvoir me violer ensuite ?

Une veine apparu sur la tempe du Contre-Amiral. S'en était trop.

-Maintenant, tu vas arrêter de te foutre de la gueule du monde ! On ne peux pas rire de tout ! Ici, tu n'es plus entouré de pirates qui ne respectent pas la vie ! Et si même là où il y a de la justice, on ne réserve pas de place pour chaque être humain, peut importe ce que tu subit, ici vivre est un devoir ! Ne joue pas ! Pas avec ça ! Tu es couverte de blessures, gamine, et tu le sais ! L'autre fois, tu as frôlé la mort uniquement par fierté, parce que tu as refuser de me dire quoi que ce soit ! Non mais réfléchis, qu'est-ce qui compte le plus pour toi, ta vie ou ton honneur ?!

-...Je...

Les yeux onyx de l'Amiral qui la fixaient jusque là se détournèrent, se fermèrent et leur propriétaire appuya son visage contre la jitte toujours appuyée au sol. Un instant, il avait vu les yeux de la pirate s'embrumer.

Ils restèrent ainsi quelques minutes, elle fixant le plafond et lui écoutant le silence, jusqu'à ce que le blanc se relève et libère son emprise.

-Retournes à l'infirmerie.

La pirate se releva à son tour sans un mot, mais à peine eut-elle fait un pas que ses jambes flanchèrent. D'un réflexe, Smoker la retint par le bras.

-Qu'est ce que c'est encore ?

Le ventre de la pirate répondit pour elle et elle esquissa un sourire gêné.

-Idiote. C'est bien ce que je pensais. Tu auras aussi compris que rien ne sert de se priver par simple fierté. J'imagine que tu n'as rien mangé depuis que tu es ici. Tss ...tant qu'aà faire la grève de la faim, moi j'en aurais profité pour pour faire du chantage pour que je te laisse sortir...mais bref. Quelle idée de s'agiter comme ça quand on fait de l'anémie...Reste là, je reviens.

Apparemment, le boucan qu'ils avaient fait pendant une bonne quinzaine de minutes n'avait alerté personne car le pont était désert. Ivres morts, sans doute, pensa Smoker avant de se rendre compte qu'il émanait de la cale des décibels largement comparables à celles qu'il avait utilisé quelques temps plus tôt. Ses brutes étaient sans doute encore en train de s'amuser avec les pirates (cette fois ci, je vous laisse libre d'interpréter à votre guise le verbe « s'amuser ». Cependant, je m'excuse auprès des yaoistes mais nous ne descendrons pas dans la cale pour confirmer vos soupçons quand aux penchants des soldats du G5. Cordialement.).

Il n'avait pas le temps de s'attarder, il ne tenait pas à se retrouver une nouvelle fois avec une gamine inconsciente sur les bras et un poids sur la conscience. Il usa donc de son fruit du démon pour arriver plus rapidement au garde manger, qui était loin d'être aussi vide que la réserve médicale, tant en nourriture qu'en alcool.

-Tiens.

La pirate, qui s'était assise sur le bord du lit de l'Amiral, tendit la main pour prendre le paquet que l'Amiral lui tendait.

-Du chocolat ?

-Un problème ? Fais pas ta difficile et mange.

Le Contre-Amiral s'éloigna vers la fenêtre en tirant sur ses cigares. Il venait de réaliser qu'il avait prit du chocolat par simple instinct. Parce que cette odeur, il l'avait sentit dans les cheveux de la pirate. Il avait inconsciemment associé les deux éléments. Sur le coup, il se sentait vraiment con.

-Mmh...T'es bizarre. Déclara simplement la pirate en l'observant.

-La ferme.

S'ensuit un silence brisé seulement par les craquements réguliers de la tablette, puis par l'Amiral.

-Maintenant, à moi de te poser les questions. Qu'est-ce qu'il s'est passé quand tu t'es servit de mon arme contre moi ? Après que je me soit...évanouit. Prononça-t-il avec une grimace.

-Ah ah !Je croyais que tu ne voulais plus en entendre parler...

-Tais-toi et réponds

-Toujours aussi logique...

Le regard froid du Marine la rappela à l'ordre.

-Ok, ok...Ben tu m'es tombé dessus, je me suis tordue la cheville et je n'ai pas réussi à me rattraper. On s'est retrouvés par terre et tu t'es endormi sur moi comme un gros bébé. Enfin, un bébé qui n'arrive pas à digérer, vu la tête que tu avais...et comme ton truc en pierre était coincé entre nous deux, j'imagine que tu n'arrivais pas à reprendre connaissance. J'ai eu du mal à me dégager et à te retourner, alors c'est vrai que tu dois avoir un trou de mémoire assez étendu dans le temps...En tout cas, je t'avouerais que sur le coup tu m'as fais peur.

Voilà qui expliquai qu'il ai senti la même odeur qu'a l'infirmerie. Il avait du passer un bon moment dans les cheveux de la rouge. Ceci dit, il aurait préféré ne rien savoir, tout compte fait.

-Ça ne sort pas d'ici.

-Ok, je reste, mais il y a assez de place pour deux dans ce lit ?

-C'est cette histoire qui reste ici. Toi tu dégage. Une veine s'était remise à battre sur la tempe du Marine.

-Toujours autant d'humour. C'est d'accord, je m'en vais.

-J'ai pas besoin de ton accord pour te mettre dehors.

-C'était gratuit, ça. Tu me portes ?

-Dans tes rêves

La pirate se leva et se dirigea vers la porte. Avant de sortir, elle se retourna, afficha un grand sourire en tranche de courge et lança :

-Ne vous en faites pas, monsieur l'Amiral, je ne dirais à personne que vous m'avez sauté dessus !

Sale gosse.

Smoker la regarda s'éloigner dans la nuit. Elle boitait un peu.

Ce que ses subordonnés pouvaient l'agacer, parfois. Il était pour une fois sortit sur le pont et en faisant le point avec le pseudo-navigateur du navire, il s'était finalement rendu compte que celui-ci les avait emmené à faire un énorme détour. Enfin, maintenant qu'il avait mit les choses au clair à sa manières, ils devraient accoster à Drum dans moins de deux jours.

-Amiral, Amiral ! Elle ne va pas bien !

Le médecin de bord. Décidément, sortir en trombe de l'infirmerie était une manie chez lui. Mais ce qui l'inquiétait, c'était plutôt la tornade rousse qui squattait cette même pièce et ce qu'elle avait encore bien put inventer.

-Quoi encore ? Et puis ne laissez pas cette porte ouverte, j'ai demandé qu'on la laisse fermée tant qu'elle sera à l'inté...

Trop tard ! La tornade était sortie. Et pas de la manière la plus discrète qui soit.

-Je suis libre ! Vous ne m'attraperez jamais, mouhahahahaha !

Irrécupérable. Après tout, ce n'était pas ses affaires. Mais...la cabine vers laquelle elle filait...Oh non.

Et...coupez !

Conscience : c'est nul, pourquoi tu dit ça ? C'est même pas un film...

Mais arrêteuh...

Breeef.

La suite vous la connaissez cher lecteurs...Quoi ? Mais non, enfin ! Qui vous dit qu'ils vont faire des trucs cochons dans la cabine ?! N'importe quoi ! Tout le monde les verrait avec la porte ouverte !

Conscience : c'est pas ça le problème...

Breeef.

Vous comprenez bien que le cycle pourrait se répéter à l'infini, mais pauvre Smoky, il faut arrêter de l'embêter comme ça...Trouvons plutôt un autre moyen de le torturer mouhahahahaha !

C'est pourquoi je vous réserve un super chapitre pour la semaine prochaine !

Long.

Avec un changement de décor.

Et nouveauté, de l'aventure !

Ce chapitre était un peu un chapitre avec beaucoup de parlote...pour éclaircir les choses...avec beaucoup...de...points de suspension...

C'est pourquoi maintenant, on peut passer à autre chose ! Il ne s'est pas passé grand chose mais là, promis, de l'action, du suspence, des sentiments (où quelque chose qui y ressemble), ainsi qu'un possible sentiment de déjà vu par rapport au manga d'origine. Attention, je ne dit pas qu'on va voir d'un coup apparaître les Mugi' qui vont foutre le bordel, c'est plus subtil...vous aviez déjà remarqué que j'étais toujours subtile, non ?

Conscience : …

...Tais-toi. Je suis une artiste incomprise.

En fait, en parlant d'art...pour le sujet que je vous avait vaguement présenté la dernière fois, et bien le voici en entier: « Beau comme la rencontre fortuite entre un parapluie et une machine à coudre sur une table de dissection » En gros, ça se rapporte au surréalisme.

Et donc, en réponse à se sujet, j'ai nonchalamment attrapé une feuille sans aucune idée en tête et j'ai tout simplement écris au stylo :

« J'aime les flamants roses blonds ».

Quand je l'ai rendu au prof, il m'a dit que c'était très bien. Une copine à moi qui connaissait One Piece à commencé à pouffer de rire. Vive Doffy.

Ça m'a bien fait marrer pour le coup :')

Breeeef

J'espère que vous avez aimé ce chapitre, en tout cas merci d'avoir lu:)

Un pitit review ?

B'sous !