Caméra cachée : Le chirurgien sadique

Hey ! Vous avez été piqué de curiosité par le titre ou le résumé apéritif ? Ou alors vous avez voulu cliquer sur la fiction au dessus et vos souris à zappé, restez si vous voulez perdre des minutes de votre vie à sourire voire rire en lisant cette « caméra cachée »

J'étais tranquillement en train de bronzer sur mon transat quand j'ai eu l'idée de faire une série de One shot et de Two shot sur le thème indémodable des caméras cachées. Alors voilà ce qu'a pondu mon cerveau.

Le principe est simple et facile.
Notre envoyée spéciale, Taylor va s'infiltrer dans une pièce personnelle de notre cible du jour. Elle y placera une caméra – voir plus en fonction du budget – et un micro hyper performant. Bien sûr, la victime n'en saura rien et se comportera comme si elle était seule.

Sur ce, bonne lecture

Disclaimer : One Piece n'est pas à moi bien sûr, mais Taylor est née de mon esprit tordu .

Rating : K+

Genre : 100 pourcent humour.

Mots: 3500 environs

Personnages de cette caméra cachée numéro une : Trafalgar Law, Taylor et Bepo le nounours blanc parlant de Law.

/!\ Le texte est écrit à la 2e personne du pluriel, mais aussi au féminin vu que le personnage principal est une femme et non un homme.


Vous avez enfin réussis à entrer dans cette chaîne de télévision dont vous rêviez depuis votre plus tendre enfance. Pour faire remarquer par votre boss, vous avez proposé un nouveau programme inédit et unique ! Vous avez proposé de placer des caméras cachées dans les endroit fréquentées par des personnages connus et reconnus dans le monde entier ! Aujourd'hui est votre premier jour de travail afin de mener à bien ce projet. Votre première cible sera le célèbre pirate et supernova, Trafalgar Law. Son sous-marin est arrivé au port ce matin même. Ses hommes devaient faire le plein de vivre, vous allez attaquez à ce moment. Et ce moment c'est maintenant.

A pas de loup, vous vous dirigez vers le sous-marin jaune canari de Trafalgar Law. Il n'est pas question de vous faire prendre en flagrant délit par un des membres en combinaison blanches !

C'est donc en toute logique que vous cherchez une bonne cachette des yeux.

- Bingo ! Murmurez vous cachée dans un buisson à proximité.

Effectivement, vous remarquez que l'une des nombreuses caisses que sont en train de rentrer les Heart's, était entre-ouverte. Vous vous y glissez et refermez le couvercle sans bruit. Vous palpez autour de vous et attrapez quelque chose de gluant et humide. Dégoûtée, vous relâchez votre découverte. Soudain, vous sentez que ça bouge de l'autre côté de la caisse. Vous ramenez vos jambes contre votre torse par réflexe et tendez l'oreille.

- Penguin ! Viens m'aider. Cette caisse est trop lourde. S'exclame une voix masculine assez jeune, sûrement la vingtaine.

- Quoi ?! Tu n'arrives pas à soulever de la salade? Se moque ledit Penguin.

- Te fous pas de moi et ramènes ton cul ici ! Grogne Sachi.

Donc vous êtes enfermée et entourée de salade. Chouette, un bon bain s'impose à la fin de cette mission.

Vous revenez à la réalité lorsque qu'un rire retentit. Il ne faut pas être Sherlock Holmes pour deviner que c'est ce Penguin qui rit de son ami.

Des pas se rapprochent et votre cachette se soulève d'à peine cinq centimètres.

- Tu blaguais pas Sachi ! C'est une baleine là dedans ou quoi ?!

Sympa...Il s'est vu ! Enfin vous en pouvez pas le voir, mais ça en se dit pas à une femme.

- Pff.. allez à trois on soulève cette putain de boite ! Fait Sachi d'une voix autoritaire qui ne lui allait pas du tout.

- 1...Commence l'autre.

- 2...Poursuit Sachi.

- Et 3. S'écrient les deux en cœur .

Ils soulèvent la caisse en soufflant et entrent dans la réserve au niveau le plus bas du sous-marin, là où était stocké les vivres en réserve.

Une fois à terre, vous soulevez légèrement le couvercle et regardez pas une petit fente ce qui se passe autour de vous. Vous remarquez que les deux hommes qui vous ont transportés sont encore là, mais ils ne semblent pas vous avoir remarqué.

- On a finit ? Demanda celui avec écrit « Penguin » sur son couvre-chef.

- Jean-Bart a dit qu'il se chargerait de rentrer les dernières caisses tout seul. Répond simplement le rouquin avec des lunettes de soleil.

- Il est tellement balèze qu'il peut transporter dix caisses d'un coup !

- On se sent nuls à côté de lui. Se lamente Sachi.

- C'est un géant aussi. Se console l'autre.

- Vu comme ça...

Le roux s'essuie le front du revers de la main et se dirige vers la porte. Il est talonné de son nakama et ils laissent la porte grande ouverte. Sûrement pour que le géant rentre sans problème. En parlant de lui, comme vous n'avez pas très envie de faire la connaissance d'un géant, il faut vous dépêchez de partir de cette pièce et de trouver la cabine du chef des lieux : Trafalgar Law.

Sans attendre, vous sortez de cette foutue caisse remplie de salade verte et tirer la langue d'un air dégoûté. Une fois les pieds posés au sol, vous vous étirez et dégourdissez vous membres endormis. Vous retirez un par un les morceaux de salade qui se sont glissés dans vos vêtements et sous-vêtements.

- Bah ! Dégoûtant !

Soudain, le sol se met à trembler légèrement et vous comprenez que le géant de l'équipage va débarquer d'ici d'une seconde à l'autre.

Poussée par votre instinct de survie, vous retournez dans votre caisse de légumes à feuilles vertes et voyez Jean-Bart rentrer dans la pièce en portant dix caisses semblables à celle dans laquelle vous êtes cachée.

Les deux hommes avant n'exagéraient pas. Il a une force titanesque, mais il n'a pas l'air méchant il vous semble même loyal et fidèle. Vous l'observez en train de ranger les dizaines de caisses et repartir sans vous avoir repérée. Vous effectuez la même rengaine qu'avant son arrivée, mais cette fois comme vous avez un petit creux , vous mangez une feuille de salade.

- C'est pas mauvais en fait, constatez-vous en dégustant votre feuille.

Vous sortez de la pièce en mâchant ce pauvre bout de salade. Votre fidèle caméra infrarouge et votre micro dans vos mains que vous vous dépêchez de ranger dans le sac à dos que vous bien pris soin de prendre avec vous. Vous marchez à l'instinct et continuez d'avancer en tournant à chaque intersection, montez à chaque escalier, mais vous ne vous risquez pas à ouvrir toutes les portes. Un peu de professionnalisme enfin !

- Ce Putain de sous-marin est un vrai dédale ! Grognez vous entre vos dents.

Une odeur que vous connaissez très bien trône dans l'air : celle de la viande cuite à point. Vos jambes vous guident vers, ce qui semble être, la salle à manger.

Une fois arrivée, vous vous stoppez et réfléchissez.

En effet, deux portes se présentent à vous. Sûrement deux pièce adjacentes.

Des bruits de couverts, des éclats de rires, et des insultes sortent de la porte de droite. Tandis que c'est un silence de mort dans celle de gauche. Vous ouvrez dons la porte de gauche et vous glissez à l'intérieur. Vous fermez la porte doucement et vous vous retournez pour tomber nez à nez avec un ours polaire.

Vous en avez vu des choses votre carrière , mais « çà » non !

- Bonjour. Dit l'ours comme si c'était normal que vous infiltriez le sous-marin de son capitaine sans y être invitée.

Comme vous êtes encore sous le choc, vous ne répondez pas.

- Je m'appelle Bepo. Désolé si je t'ai fais peur. Continue l'ours en face de vous.

- Heu..Mo...moi c'est Taylor. Répondez vous un peu surprise.

- Tu sens bon !

- Heu...merci, j'imagine.

- Désolé.

Vous froncez les sourcils en ne comprenant pas pourquoi il s'excuse.

- Que fais tu Bepo ? Demande une voix venant de la pièce à côté.

Vous secouez la tête négativement et posez votre doigt sur votre bouche pour lui faire comprendre de se taire. Cette voix est sinistre et celle d'un homme. Elle vous a glacer le sang.

- Rien capitaine. Répondit gentiment l'ours avant de s'excuser une fois de plus.

- Qu'attends-tu pour nous amener les desserts ? Demande la voix du capitaine.

- J'arrive capitaine . Désolé. S'excuse une nouvelle fois l'ours en prenant des mousses au chocolat qui avaient été mises au frais.

Vous le regardez l'eau à la bouche. Vous commencez à avoir un petit creux tient !

- Tu en veux ? Il y en a de trop de toutes manières. C'est Ban le cuisinier qui les fait elles sont délicieuses. Explique-t-il en prenant un pot sur le plateau qu'il tient sur sa patte gauche.

Vous vous apprêtez à refuser cette offre alléchante venant de l'animal, mais votre ventre en décide autrement en se mettant à grogner. La salade ça ne remplit pas le ventre longtemps surtout une feuille.

En souriant de toutes ses dents, le second du navire vous donne un des nombreux desserts présent sur le plateau qu'il porte à bout de patte. Il vous donne aussi la petite cuillère qui va avec.

- Je reviens. Vous prévient-il rapidement avant de sortir à toute vitesse de la cuisine. Des « Ah enfin ! » ainsi que des « Désolé » retentissent dans la pièce à côté.

Sans attendre plus longtemps, vous mangez ce délicieux dessert. C'est vrai que c'est un délice ! Ce cuistot est un génie de la cuisine ainsi que de la mousse au chocolat.

Quelques minutes plus tard, votre nouvel « ami » refait son apparition avec une vingtaine de pots vides sur son plateau.

C'est à ce moment que vous revenez à la réalité : Vous ne pouvez pas rester ici sinon vous allez vous faire démasquer.

- Heu..Bepo ?

- Oui Taylor-chan que puis-je ... Débute-t-il.

- Tu ne m'as pas vue. OK ? Le coupez vous brusquement.

- Mais pourquoi ? Je voulais te présenter au capitaine. Se plaint-il en déposant les pots vide dans l'évier.

- Parce que...Heu...C'est impossible. Bafouillez vous.

- Comment ça ?! S'étonne l'ours bipède en face de vous.

Sans réfléchir, vous sortez la première connerie qui vous vient en tête.

- Je suis un fantôme.

Bepo se prépare à crier d'effrois, mais vous le faites taire en posant vos deux mains sur sa gueule.

- Mais je suis gentille. Je ne te ferrais pas le moindre mal. Alors promets moi de ne pas crier.

Il hoche la tête et vous retirez votre main en essuyant la bave s'y trouvant avec un mouchoir.

- Pourquoi je peux vous voir alors Taylor-chan ? Normalement les fantômes sont invisibles, non ?

Vous n'y aviez pas pensé à cette question ni même au gros mensonge que vous venez de lui dire. Vous une revenante ?! C'est du délire vous venez de passer des vacances au soleil et votre peau bronzée peut en témoigner. Mais cet ours n'a pas l'air très réfléchis et est naïf. Alors autant en profiter.

- Parce que tu es l'élu, Bepo. Lui sortez vous avec un grand sourire angélique.

- L'élu ? Répète l'ours votre interlocuteur. Je ne comprends pas.

- C'est simple. Tu es l'élu, car je t'ai choisis pour que tu sois la seule personne sur Terre qui puisse me voir.

- Et...Et qu'est ce que je dois faire ?

- Tu dois garder mon secret. Comme quoi tu ne m'a jamais vue sinon...

Vous laissez votre phrase en suspens afin que l'inquiétude pèse au dessus de vous deux.

- Sinon quoi ? Demande-t-il légèrement stressé.

- Je vais en enfer. Chuchotez vous d'un ton effrayant.

- Mais c'est terrible ça !

- Oui, alors chut.

Vous posez une nouvelle fois votre doigt sur votre bouche et il vous imite pour prouver qu'il a comprit.

- Je n'en dirais pas un mot. Même pas au capitaine. Promet votre nouvel ami.

Vous lui souriez. Cet ours est adorable et très doux vu comment son poils est brillant signe qu'on le brosse souvent.

- J'ai encore une petit question puis je te laisse tranquille.

- Je t'écoute.

- Tu veux bien me dire où se trouve la cabine de ton capitaine ? Demandez vous avec un petit regard de chien battu.

- Bien sûr. Sourit-il. C'est la troisième porte au fond du couloir à droite.

Vous vous levez de votre chaise et le remerciez d'un signe de la tête.

Vous quittez la pièce et suivez les indications qu'il vous a donné. Même si elles ne sont pas très clair vu qu'il n'y a que deux portes au fond du couloir de droite.

Pas question d'abandonner après tout ce que vous avez déjà enduré pour rentrer dans ce foutu sous-marin !

Heureusement, après une énièmes tentatives , vous tombez devant la cabine du capitaine Trafalgar Law. L'homme qui fait fantasmé plus d'une femmes voir aussi des hommes. Le médecin que tout les monde voudrait dans son lit.

Vous vous demandez sûrement comment être sûr que c'est sa cabine et pas une autre ? Eh ben c'est simple à deviner avec la pancarte « Toquez avant d'entrer sinon je vous découpe ! ». Il avait même signé par : « T.L. » .

Bref, vous empoignez la poignée de la porte – logique- et entrez. Vous savez très bien que le beau médecin est encore en cuisine avec ses compagnons, mais vous vérifiez quand même si personne ne se trouve à l'intérieur. On ne sait jamais, peut-être que sa conquête de la nuit dernière dort encore et se trouve dans son plus simple appareil.

Pas que cela vous dérange loin de là , mais vous préférez est discrète. Déjà que le second est au courant que vous vous trouvez sur le sous-marin et pense que vous êtes un fantôme...

Vous tendez l'oreille. Pas de bruit d'eau qui coule dans la salle de bain, ni de ronflements venant du lit double. C'est bon, vous êtes seule.

Vivement vous parcourez la pièce des yeux après avoir refermer la porte derrière vous.

Le lit se trouve au centre de la pièce recouvert de couvertures jaunes et noires frappées du Jolly Roger des Heart's, ainsi que les oreilles assortit avec les couvertures. De part et d'autres du lit se dressent deux tables de chevet en chêne. Sur celui de droite, se trouve un livre de médecine. C'est sûrement de ce côté que dort le propriétaire des lieux.

Votre regard tombe sur une bibliothèque immense remplie à ras bords. Vous vous en approchez en fessant grincer le plancher sous vos pieds. Vous lisez les tranches des livres rangés les une à côté des autres.

- « Chirurgie oculaire », « Comment dresser son ours polaire ? », ... Dites vous à voix haute pour vous toute seule.

Comme vous trouver quelques de ces livres intéressants, vous les glissez dans votre sac à dos et sortez votre équipement de télé- réalité.

Vous placez la mini-caméra entre deux livres et le micro sur la pile de livre à côté. Vous placez la caméra de façon à filmer le lit l'intégralité de la pièce. Vous allumez la caméra et elle commence à filmer.

Vous vous préparez à déguerpir, mais une chance pareil ne se présente qu'une seule fois dans une vie d'une envoyée spéciale.

Vous sautez dans sur le lit du craquant supernova et sortez votre appareil photo, celui qui vous suit dans toutes vos « expéditions ». Vous réalisez quelques selfies de vous et descendez du lit en vérifiant qu'il ne se soit pas trop froissé. Il ne faut laissé aucune trace de votre passage. Vous vérifiez si vos photos sont bien faites et vous le rangez dans votre sac à dos zébré.

Vous fouillez les armoire et sortez ce fameux sweat jaune et noir. Toutes souriante, vous le bourrez dans votre sac et sortez de la cabine, car vous entendez votre cible arrivé.

Vous rejoignez le pont sans vous faire repérer. Par chance, le sous-marin n'est pas encore partit. Normalement, il ne partira que demain dans la soirée.

Vous posez un pied sur la terre fermez et courez jusqu'à votre hôtel pour aller voir les résultats des exploits que vous avez réalisés aujourd'hui et ne pas en perdre une miette.

Vous vous affalez sur le lit en soupirant.

- Quelle journée ! Soupirez vous une fois de plus. Bon maintenant il faut que je regarde ce que fait « le chirurgien de la Mort » lorsqu'il se croit seul.

Allongée sur votre lit miteux et puant la mort. Vous prenez la télécommande de votre mini-télé personnelle à laquelle vous avez synchronisé votre mini-caméra et mini-micro -ça fait beaucoup de mini là!-

Vous libérez le sweat volé de votre sac tout neuf, l'enfilez et regardez ce que filme votre caméra en ce moment même sur le navire.

Avec chance, le chirurgien se trouve bien dans sa cabine et vous vous délectez déjà de son torse nu. En plus il se trouve juste face à la caméra et heureusement, il ne semble pas l'avoir vu. Vous pouvez donc admirer son haut du corps parfait à votre guise sans vous faire repérer. Ses abdominaux sont comparable à des tablettes de chocolat.

Vous descendez votre regard plus bas et restée bouche bée. Il ne porte qu'un boxer moulant ses cuisses ainsi que sa virilité.

Une petite goutte de sang coule de votre nez, mais trop prise par votre admiration vous ne l'essuyez pas.

Vous prenez un petit carnet et notez sans quittez l'écran des yeux et écrivez quelques chose.

- Alors comme ça Trafalgar se met à l'aise en pleine après-midi lorsqu'il se croit seul dans sa cabine. J'imagine même pas comme il est habillé quand il dort.

A ces paroles perverses, vous rougissez violemment et essuyiez votre nez avec un mouchoir.

Malheureusement pour le plaisir de vos yeux, le bel homme enfile un nouveau jeans tacheté et un T-shirt noir laissant apparaître le bout de ses tatouages sur les bras. Ce T-shirt possède aussi, pour votre plus grand bonheur, un col en V laissant à découvert le haut de son tatouage dorsal. Vous essuyez la bave au coin de votre bouche et revenez à la réalité.

Law est maintenant en face d'un mur sans décorations ni meubles et palpe la tapisserie.

Soudain, une porte s'ouvre dans le mur.

- Qu'est ce que c'est ?!

Il s'engouffre dans le trou et quitte le champs de vision de votre caméra.

C'est le moment de faire rentrer le micro en jeu. Vous placez une petite oreillette sur dans votre oreille droite. Vous augmentez le son et écoutez attentivement les paroles du chirurgien en fixant toujours l'écran, plus précisément la porte ouverte dans le mur.

Plus qu'une petite dizaine et je pourrais m'en vanter. FFait sa voix.

De quoi parles tu, Law ? Chuchotez vous en plein dans votre réflexion.

La porte séparant la cabine du couloir s'ouvre et Bepo entre.

- Heu...Capitaine. Désolé de vous déranger, mais c'est pour vous demandez ce qu'on doit faire des marines fait prisonniers. Demande l'ours en direction du mur dans lequel c'est engouffré son supérieur quelques minutes auparavant.

- Amènes les dans la salle d'opération si tu veux bien. Retentit la voix du médecin. J'arrive.

- Aye capitaine on fait ça tout de suite.

L'ours repart comme il était venu après avoir effectuer une petite courbette en s'excusant.

Deux minutes après, Law sort du passage secret avec des gants plein de sang entre les mains. D'un geste habile, il ferme le passage et jette les gants dans la poubelles la plus proche.

- Une chose de faite. Plus que dix cœurs et ce sera terminé . Se dit-il à lui même.

Vos yeux s'écarquillent.

- C'est quoi ce bordel ?! Ne pouvez vous pas vus empêchée de crier. C'est un malade ce type ! Qu'on l'enferme !

Vous voyez le malade en question sortir de la pièce.

Cette caméra cachée va avoir du succès vous le sentez.

Demain c'est décidé vous irez reprendre votre caméra et votre micro afin d'éclaircir cette affaire, mais avant ça, un petit somme s'impose.

Fin...ou du moins pour le moment.


Voilà le premier numéro de « caméras cachées ». J'espère qu'il vous a plu. Si c'est le cas laissez votre avis en review.

A la prochaine, normalement.