Hey :D, je vous présente "Le patron dérape" ma première fan fiction sur Salut les geek et surtout sur le patron (que j'aime beaucoup avec le hippie 33) je me suis demander ce qu'il se passerais si le patron en avait marre de Salut les geeks... ^^ et aussi je voulais faire autres choses qu'une fiction ou le patron tombe amoureux de la fille qu'il a violer et que la fille tombe amoureuse du patron ou un patron x geek que je ne supporte pas... :p
Enfin bref, je ne vais pas vous retenir plus longtemps j'espère que cette pitite fanfic vous plaira ;)
Comme c'est la première que je fais, je sais que ce n'est pas parfait, si vous avez des conseils a me donner ou que vous voyez des fautes d'orthographe, n'hésiter pas! :D
Bien sur les personnages sont la propriété de Mathieu Sommet mais ça vous le savez déjà fan de slg! ;D
Bonne lectuuuuuuuuuuuuuuuuuuuure..! :D:D
Chapitre 1
C'était un jour comme les autres, il se levait le matin à 4h00, bien entendu, il ne dormait pas de la nuit, il prenait une douche, regardait dans le frigo… Ok, il n'y a rien dans le frigo… Donc s'affalait dans le fauteuil, allumait sa cigarette, disait bonjour au poisson dans l'aquarium, tirait une taffe et attendait que les autres se réveil.
Il regardait par la fenêtre la ville commencer à s'animer. C'est incroyable comme le temps passe lentement.
Le prof se réveillait toujours après lui et disais que « l'avenir appartient à ceux qui se lève tôt ! », puis le geek avec son doudou pikatchu qui préférais attendre que le prof soit là pour ne pas être seul avec le patron, le Panda en chantonnant et toujours de bonne humeur, Mathieu qui courais vers la machine a café et enfin le Hippie, toujours beaucoup trop fatigué de son bad trip de la veille ou… Toujours en bad trip…
- 'Lut, qui va chercher les croissants ? Lança Mathieu avec sa tasse de café en main.
- Moi, je me dévoue gamin… Déclara le criminel.
Il sortait de l'appartement des Sommet en se dirigeant vers la boulangerie. Il regardait les gens autour de lui sous ses lunettes noirs. Mais un étrange sentiment le traversait. Il avait l'impression que quelqu'un l'observais, le scrutait.
Il connaissait la ville comme sa poche (ou comme l'intérieur de son pantalon) et décida de changer de direction. Il prit un cul-de-sac, endroit où il pouvait être sûr de coincé la personne qui le suivais depuis au moins 5 minutes. Il continuait à avancer dans la petite rue avec un sourire carnassier aux lèvres.
Il se retourna, attrapa la personne qui le suivait par le cou et le plaqua contre le mur.
- Qu'est c'que tu me veux ?!
Pas de réponse. Sa tête était couverte d'une capuche noire. On ne voyait rien, on ne distinguait même pas si c'était une fille ou un garçon.
Agacé par l'absence de réponse, le criminel ferma son poing et envoya une droite directement dans son visage.
Elle tomba sur le sol, elle, il venait de frapper une jeune fille. Il s'apprêtait à recommencer mais son élan fut stopper par la beauté de son visage… Qu'il venait de détruire…
- Mais ça va pas la tête ! Espèce de dégénéré ! On frappe pas les gens comme ça ! Hurla la jeune fille.
Le patron, déconcerté, regardais la fille s'agiter, crier et même l'engueuler sans rien faire.
- Ben quoi ? Tu vas continuer à me regarder comme ça encore longtemps ?
- Pourquoi tu me suivais ? Répliqua calmement le patron.
- Je ne te suivais pas !
- Alors qu'est-ce que tu fais dans cette putain de ruelle ?! Grogna-t-il en ayant de plus en plus de mal à garder son calme.
- Je ne peux pas te le dire… Et de toute façon je ne te suivais pas… Alors si tu veux bien me laisser passer j'aimerais bien continuer ma route…
Le patron se retourna et avança pour sortir de la ruelle.
- Merci ! Au plaisir de ne jamais vous revoir ! Lança la jeune fille.
Il était déconcerté. D'abord elle le suivait, puis elle ne répondait pas et quand elle se prend une baffe elle commence à crier. Elle est schizophrène ou quoi ? Enfin bref, autant aller chercher le déjeuner, ça lui changera les idées. Il entre dans la boulangerie, il n'y avait pas de file d'attente et c'était très calme. La boulangère arriva. Qu'elle était belle, c'est cheveux blond mi- long et onduler, ses yeux bleus et ses lèvres parfaite. Bon d'accord elle n'était pas très original et ressemblais a beaucoup d'autres belles personnes, mais dans cette ville, c'était la seul qui ferais tomber beaucoup d'homme. Beaucoup oui, mais pas tous, le patron ne l'aimais pas, la trouvais laide, banale, une proie beaucoup trop facile, mais elle, elle était très amoureuse de lui.
- Bonjour Patron, c'est vous qui venez me voir aujourd'hui ? La boutique est ouverte pour vous.
Elle le regardait dans les yeux en prenant des poses plus sexy les unes que les autres.
- Mouais… Donne-moi des croissants gamine…
Il était désespérer et fatiguer… Il en avait marre de kidnapper des gens qui avait peur de lui et des gens qui l'aimait, ils se laissaient tous faire à cause de la peur ou de l'admiration. Tout ça parce que pleins de fan girl l'aime sur YouTube. Cette émission le ramollis et l'adoucis de plus en plus. Il le savait et voulait retrouver cette réputation de dangereux criminel pervers et psychopathe. Il en était au point de se balader dans la rue et d'aller acheter des croissants sans que personne ne le craigne…
- Voilà mon beau, tes croissants ! Je t'ai rajouté mon numéro, appelle moi !
*Mon beau… Appelle-moi… Non mais pour qui elle se prend celle-là, jamais personne n'aurais osé me parler comme ça i ans… Mais qu'est-ce que j'attends-moi…*
Il était à la porte de la boulangerie, immobile, à réfléchir. Il se retourne alors, regarda la boulangère et la frappa avec le sac de croissants, elle était part terre presque immobile.
Il sortit le flingue de sa poche et lui tira une balle dans la tête. Il prit une cigarette et tira une taffe avant de s'en aller avec ses croissants, en miette bien sûr. Il la laissa agoniser sur le sol et rentra dans l'appartement.
- T'en a pris du temps ! lança Mathieu qui mourrait de faim. Dis, c'est moi ou il y a une petite tache rouge sur le sac ?
- Ouais, y'a eu un petit problème à la boulangerie, mais c'est régler…
- Qu'est-ce que t'a encore fais comme connerie… Ça vas encore me retomber dessus parce que si j'me souviens bien c'est grâce à moi que tes là… Mais à cause des expériences du prof qu'on peut vous voir et qu'on me prend plus pour un schyzophrène!
- Haha haha… Tu verras gamin, tu verras…
- Non pas ''tu verras'' ! C'est plus pareil maintenant, tu peux aller en taule pour tes conneries !
- Tu vas arrêter de hausser le ton avec moi gamin ! Je te rappelle que je suis le patron et sans moi tu ne serais peut-être plus là !
- Oh on se calme là-bas, peace, pas de dispute, la pollution sonore c'est pas bon pour la rhubarbe…
- TA GUEULE TOI ! Hurla Mathieu dans la pièce. Et toi ! Tu t'casse ! Avant que je découvre ce que t'as faits !
- Mais Mathieu, c'est lui qui amène notre public féminin… Dis le Geek tout bas en essayant de ne pas énerver plus que ce que ça ne l'est déjà.
Sur ces mots, la porte de l'appartement claqua et le patron n'était plus là, les croissants non plus d'ailleurs.
- Maintenant faut aller rechercher des croissants gros !
- J'ai plus faim… Grogna Mathieu.
- Moi j'y vais ! Lança le geek. Il faut bien déjeuner !
- Oui, c'est le repas le plus important de la journée ! En attendant je vais essayer de transformer de jus d'orange en une orange compact ! S'exclama le prof.
- Tu m'fatigue gros… Oh un poney !
Quelques minutes après on entendit un cri aigu dans toute la rue, des sirènes de police et d'ambulance roulaient à toute vitesse dans les rues en directions de la boulangerie. Sur la place de nombreuse personne se sont arrêter et regarde la scène.
Mathieu et les 3 autres descendais dans la rue qui était juste en face de leur maison. Le geek tout tremblant les attendais, il s'approchait d'eux et leur dis : « C'est le patron, j'en suis sur… Et ce n'est pas la dernière à mourir… »
- C'est surement les Sommet ! Cette bande de fou ! Je le savais qu'il fallait soigner sa schizophrénie au lieu de matérialiser ses personnalités ! C'est de sa faute !
La femme fut rapidement embarquer par la police pendant que les Sommet s'éclipsaient.
Le geek était traumatisé, il avait vu cette femme, yeux ouvert, pâle et morte. Dégoulinante de sang et un trou dans la tête. Une fois rentré, le panda alluma la télé et au journal on parlait déjà du meurtre de la boulangerie
"La police a retrouver une femme tuée dans sa boulangerie, nous ne savons pas qui peut se cacher derrière, ni la raison de se crime. Une femme dans la foule a directement accuser la famille Sommet résident dans un appartement près de la boulangerie. Bien qu'il n'y est aucun témoin, nous pouvons voir les films sur les cameras de surveillance se trouvant en dehors de la boulangerie. La police a également retrouver une femme morte deux rues plus loin, tué de la même façon que la précédente, avec une balle dans la tête. S'agit t-il de meurtre en série? Il n'y a pas asser de preuve pour l'indiquer mais la police creuse cette hypothèse... C'était Anna Bovih en direct de la place du kangourou pour canal 7"
Mathieu ferma la télé et se rapprocha de la fenêtre.
- Je l'avais bien dis que ça ne serais pas la dernière... Chuchota le geek, toujours traumatisé.
- Ouais, et ça va continuer. Il ne s'arrêtera pas a deux... Renchéris le prof.
- Mais qu'est-ce qu'il veut prouver...? Se questionnais Mathieu.
Voilà c'est la fin du premier chapitre ;D Déjà, si c'était nul ben dites moi comment améliorer mais rester s'il vous plait! Hum... Pardon... Et si c'étais bien, la suite très bientot! :D
BiZzoU les n'amis et a très viteeeee! ;p