Beta : EmInu. Merci pour la correction de cette histoire.
Réponse à asunadu83 : Merci pour tes idées et ta review mais cette fiction est finie depuis des années et donc rien ne changera :) Bises
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Cette épilogue est juste une suite de petits passages dans la vie des Volturis.
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Quelques minutes plus tard, Hermione était de retour à Volterra, tous ses soucis derrière elle. Elle allait enfin pouvoir se consacrer à son mariage et son nouveau travail.
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- Je ne sais pas ce que c'est, mais ça sent mauvais, grimaça Caïus.
- Tu sais que tu n'es pas obligé de rester là, sourit Hermione sans quitter sa potion des yeux.
Elle ne pouvait se permettre la moindre erreur. Hermione avait trouvé au département des mystères italiens une potion ancienne qui allait l'empêcher de vieillir. Cela ne fonctionnait que sur les compagnons de vampires, l'ingrédient principal étant leur venin. La première étape était de trouver tous les ingrédients, dont certains étaient très durs à trouver. Ensuite, il fallait préparer la potion et cela durant plus de deux mois avec des étapes très précises. La dernière étape devait être effectuée par Caïus lui-même avant qu'elle puisse la boire.
- Si, ce truc est important, dit-il en désignant le chaudron et tous les ingrédients. Je te soutiens.
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- J'ai l'honneur de vous annoncer officiellement qu'une nouvelle matière va être enseignée à Poudlard et cela grâce à Mr Ronald Weasley qui en sera aussi le professeur. Il s'agit du « fonctionnement du monde magique », matière obligatoire pour les élèves ayant au moins un parent Moldu. Bien sûr, tous ceux qui souhaitent y participer sont les bienvenus. Mr Weasley va vous expliquer cela.
Ronald, les jambes tremblantes, se leva et regarda l'assemblée des élèves le fixant. Il se demanda vaguement comment le professeur McGonagall faisait pour sembler sûre d'elle. Rassemblant tout son courage de Gryffondor, il se lança dans son petit discours tout préparé :
- Cette matière commencera dès la première année afin de familiariser les nouveaux venus à notre monde. Cela ira des moyens de transport aux différents villages exclusivement sorciers, toutes les boutiques, le fonctionnement large de la banque, du ministère, de l'hôpital Sainte Mangouste, et bien sûr de Poudlard, bien que les tous les professeurs soient aptes à en parler. Je connais quelques passages secrets, dit-il pour détendre l'atmosphère, avec succès puisque quelques élèves rigolèrent. Nous parlerons, pour les plus âgés, notamment des héritages sorciers et de la politique afin qu'une fois sortis de Poudlard, vous connaissiez ce monde – qui est désormais le vôtre – aussi bien que si vous y étiez nés.
Les élèves applaudirent poliment tandis que Ron se rasseyait en soufflant un « C'est pour toi, Harry. »
La directrice McGonagall se tourna vers lui.
- Il serait fier de vous.
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- Je refuse que tu y ailles !
- On en a déjà parlé, soupira Hermione.
- Mais la potion ?
La sorcière le fusilla du regard, arrivant à bout de patience.
- J'ai reculé au maximum ce rendez-vous, le ministère va me taper sur les doigts.
- Je les tuerai tous, gronda Caïus en mode désagréable.
Hermione sortit sa baguette et la mit sous le nez de son fiancé. Ils savaient tous les deux qu'elle ne s'en servirait pas contre lui, mais cela permit au vampire millénaire de se calmer.
- La potion doit bouillir pendant deux jours. Harry ira jeter un coup d'œil. Et je croyais que tu étais d'accord si tu m'accompagnais, l'acheva Hermione.
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- Je suis si fière de toi, Ronald, sourit Molly, rayonnante. Tiens, mange, mon chéri.
Ronald rougit. Il n'avait pas fait cela pour la gloire, juste pour son meilleur ami et aussi pour tous les nés-moldus qui n'auraient pas eu à chercher des heures à la bibliothèque des informations que tous les nés-sorciers savaient naturellement si cette matière avait existé depuis le départ.
- C'est super, Ron, le complimenta Bill.
- Oui, c'est super, dit sarcastiquement Ginny.
- Ginerva, gronda Molly. Personne ne t'a pardonné ce que tu as fait, alors fais-toi discrète, la menaça sa mère avec sa cuillère.
La petite dernière rentra la tête dans les épaules et regarda son assiette. Pour la première fois depuis quelques mois, elle se rendait compte de l'impact de ce qu'elle avait fait. C'était son psychomage qu'elle voyait trois fois par semaine qui allait être content. Avec un peu de chance, elle ne sera plus confinée au Terrier, à faire toutes les corvées inimaginables que sa mère pouvait lui trouver.
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- Es-tu en train de me demander de poser mon doigt sur cette vieille chaussure ? grimaça Caïus.
Hermione et l'employé du ministère italien sourirent. La jeune femme avait été étonnée de l'accueil réservé aux vampires. Ils ne pouvaient pas circuler librement dans les locaux officiels, mais ils n'étaient pas traqués comme ils pouvaient l'être dans d'autres pays.
L'un des employés du département des mystères avait expliqué à l'Anglaise qu'ils étaient fiers d'avoir la royauté dans leur pays et qu'ils voulaient les garder, donc ils ne les mettaient pas de mauvaise humeur.
- Tu dis que cette chose va nous emmener en Autriche ?
- Départ dans dix secondes.
- Oui, maintenant, touche ce truc, sinon tu restes là, ordonna la jeune femme.
L'employé attendit qu'ils soient partis avant de rire et d'aller raconter à ses collègues la scène dont il venait d'être témoin.
Lorsque le portoloin les relâcha, Caïus ne resta debout que grâce à ses réflexes vampiriques. Il rejoignit rapidement sa compagne, ayant senti l'odeur de loups-garous.
- Alors, ce transport ?
- Mieux que l'autre, grogna Caïus, qui n'avait toujours pas digéré son envie de vomir.
Hermione pouffa de rire et l'embrassa tendrement.
- Merci.
- Pour quelle raison ?
- Pour prendre soin de moi.
- Toujours… Et je te promets d'essayer de ne pas me comporter comme un…
- Roi des vampires ?
- Je ne pensais pas à ce mot.
- Moi non plus, rigola Hermione.
C'est Caïus qui embrassa tendrement sa fiancée, cette fois-ci. Il attendait avec impatience le jour où il la fera définitivement sienne.
- Allons-y. Et n'oublie que nous sommes là pour mon travail, donc pas de bêtises.
- Femme, je suis à tes ordres.
Ils ne firent que quelques pas avant qu'un loup-garou sorte de la lisière de la forêt pour les conduire à son chef.
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- Harry, non, je refuse ce moyen de transport…
Harry ne l'écouta pas et transplana.
- Oh mon dieu, je vais vomir, dit la petite blonde, une main sur la bouche.
- Tu peux vomir ? s'étonna le brun.
- Non, gémit Jane.
Le sorcier ne put s'empêcher de rire.
- Viens, je veux te présenter mes parents.
Il lui prit la main et l'entraîna vers la tombe des Potter. Jane le fusilla du regard, mais ne dit rien, sachant que c'était une étape importante pour lui.
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- Alors ? demanda Aro, curieux.
- Il s'est très bien comporté. Au début, c'était tendu, mais lorsqu'ils ont vu que Caïus voulait juste me protéger, la situation s'est un peu relaxée. J'ai pu poser mes questions et eux les leurs. L'entretien n'a pas duré très longtemps, mais nous restons en contact si besoin, sourit Hermione.
Elle avait visé fort pour son premier entretien. Oui, elle l'avait promis à Aro, mais les rois ont été occupés avec leurs nouvelles politiques et le fait que certains vampires leur avaient demandé de l'aide et que d'autres y avaient vu un signe de faiblesse. Mais au final, il y avait eu plus de points positifs que négatifs.
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- Encore combien de temps ?
- Trois semaines.
- Parfait, dit Caïus en se frottant les mains, le regard calculateur.
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- Mmm, Harry, c'est délicieux. Je ne vois pas pourquoi tu stresses, ton restaurant va marcher. Et j'aime l'idée de la cuisine ouverte, ainsi que le fait de proposer des plats anglais et italiens.
- Buongiorno ! Possiamo mangiare* ? demanda un couple d'Italiens.
- Sì, naturalmente**, répondit Harry, qui avait appris l'italien et qui se servait au cas où d'un sort de traduction.
Hermione leva les deux pouces pour encourager son ami. Quelques autres clients arrivèrent. Hermione aida son ami pour le service, mais lui conseilla de trouver quelqu'un de plus compétent.
Pour une première journée, le survivant était content d'avoir eu une dizaine de clients qui avaient tous été satisfaits.
Hermione était persuadée de la réussite du restaurant de son ami.
* Bonjour, peut-on manger ?
** Oui, bien sûr.
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- Asseyez-vous, Miss Granger, dit sérieusement Aro.
Pour une fois, il était le seul sérieux. Caïus, Marcus et Hermione sourirent. La jeune femme le remercia néanmoins et s'assit. Les trois rois en firent de même en face d'elle.
Aro sortit une pile de papiers et la jeune femme savait qu'il s'agissait de la liste de questions qu'ils voulaient lui poser lors de l'entretien.
- Bien. Première question, dit Aro.
- Combien y en a-t-il ? demanda Hermione en voyant toutes les feuilles.
- Une bonne centaine, dit Aro. Alors…
Hermione écarquilla les yeux.
- Notre enthousiasme a peut-être pris le dessus sur notre raison, constata Marcus.
- Certaines sont peut-être superflues ou indiscrètes, rajouta Caïus en fusillant son frère du regard.
Les trois rois s'étaient mis d'accord pour faire attention à leurs questions, sachant que le passé de la jeune femme était sombre. Cependant, cela n'avait pas empêché Aro de faire des siennes.
- Balivernes, dit Aro.
- Nous verrons cela, tempéra Hermione.
- Savoir comment sont leurs toilettes est un peu exagéré, sourit Marcus.
- Oh, eh bien, les toilettes des filles du deuxième étage de Poudlard sont hantées par le fantôme de Mimi Geignarde, une élève morte à l'école. C'est aussi l'entrée de la Chambre des Secrets, pièce qui a été créée par un des quatre fondateurs de l'école, qui a d'ailleurs plus de mille ans. Cette pièce abritait un basilic de plus de vingt mètres de long.
Hermione ne put que rire devant les trois rois, qui avaient la bouche grande ouverte. Ce fut Caïus, le plus habitué à la vie d'Hermione, qui reprit ses esprits en premier :
- Le basilic, c'est bien un serpent ?
- Oui.
- Fantôme ? demanda Aro d'une voix blanche.
- Oui. Mais les fantômes visibles ne sont que sorciers. Il faut de la magie pour que tous puissent les voir… J'ai aussi eu un professeur fantôme, finit-elle pour achever Aro.
Hermione attendit les autres questions. Ils s'étaient mis d'accord pour découvrir uniquement le monde magique, vu qu'elle pouvait faire son rapport sur les vampires n'importe quand.
- Ton école semble dangereuse, dit Marcus.
- Oui, et je ne vous ai pas parlé du chien à trois têtes, du calamar géant ou des dragons. Oh, et les escaliers bougent aussi, sourit Hermione, nostalgique.
- Tu aimes cette école, constata Caïus.
- Énormément. Poudlard a été ma deuxième maison.
- Les dragons existent ? dit Aro, excité.
- Oui et ils vous dévoreront avec plaisir, mais si vraiment tu veux les voir, Aro, il y en a une réserve en Roumanie et j'ai un ami là-bas.
- Je vais réfléchir à ton offre.
Aro se dit que si cet animal pouvait le tuer sans problème, il allait garder sous contrôle sa curiosité.
- Bien, parle-nous de ton école, cela devrait être un bon sujet pour aujourd'hui, dit Marcus, la voix de la raison. A moins qu'Aro veuille en savoir plus sur vos latrines ?
- Ma douce, ne m'avais-tu pas dit que les employés de ton ministère entraient par les toilettes ?
- Si, littéralement. Tu dois mettre les deux pieds dans la cuvette et tirer la chasse d'eau.
Tous les trois grimacèrent à cette image.
- N'est-ce pas, rigola Hermione qui avait eu la même réaction lorsqu'elle avait dû le faire.
- Vous êtes quand même bizarres, vous les sorciers.
- Un petit peu et je ne vous ai pas parlé de notre sport favori.
Caïus se dit que cela serait un bon sujet pour leur prochain entretien.
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- Bien, c'est prêt.
Hermione se tourna vers Caïus, qui semblait soudainement moins sûr de lui.
- Caïus ?
- Et si ça ne marche pas ?
- Eh bien, on trouvera une autre solution, dit doucement Hermione.
Le roi s'approcha du chaudron, s'arracha quelques cheveux et les mit dans la potion. Il prit fébrilement la louche et commença à tourner, un tour dans le sens des aiguilles d'une montre, un tour dans l'autre.
- Combien de temps ?
- C'est marqué que le temps peut varier, mais la potion doit devenir rouge sang.
Quinze minutes plus tard, la potion translucide commença à se colorer en rose jusqu'à devenir quelques minutes plus tard de la couleur souhaitée. Il remplit la louche et la porta à la bouche de sa compagne qui but tout, ainsi que la totalité du chaudron.
- Comment te sens-tu ?
- Nauséeuse.
- Et maintenant ?
- Si tu meurs, je meurs.
- Et si tu meurs en premier ?
- Tu n'auras plus qu'à chercher une nouvelle compagne, dit Hermione, pince sans rire.
Caïus lui releva la tête et posa ses deux mains sur ses joues.
- Si tu meurs, je te suivrai.
Hermione en eut les larmes aux yeux. Il était très rare que son compagnon s'ouvre autant.
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- Ça y est ? Tu es immortelle ? demanda Harry.
- Oui. Reliée à mon compagnon pour l'éternité. Et bientôt, ça sera ton tour.
Harry était plus inquiet de la réalisation de la potion que de passer l'éternité au côté de Jane. Heureusement qu'Hermione lui avait promis de le seconder, mais il devait la faire lui-même. Les ingrédients devaient avoir son essence magique à lui s'ils voulaient que la potion marche et Jane devait l'aider pour la fin.
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- Wouah, tu es superbe, dit Harry, ému en voyant son amie ainsi vêtue.
- Merci. Est-ce que tu acceptes de m'accompagner ? demanda Hermione d'une voix tremblante.
- Ce serait un honneur pour moi.
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- Je ne peux pas venir avec toi. Et je crois que je te préfère loin du château le temps que les choses se calment.
- Ces Roumains sont-ils dangereux ? s'inquiéta Hermione.
- Oui, ils étaient les anciens dirigeants jusqu'à ce qu'on prenne leur place. Ils ne l'ont toujours pas supporté. Mais nous sommes plus nombreux et plus forts. Ils n'ont aucune chance.
- Et sinon, tous les vampires sont rancuniers ? demanda Hermione, sarcastique.
- Oui, c'est souvent notre raison de vivre. Et les Roumains réclament des morts.
- Ne deviens pas comme eux.
- Comment le pourrais-je, je t'ai toi.
Après les aux revoirs, Harry et Hermione partirent pour une réserve en Amérique du nom de « La Push » pour rencontrer un Alpha du nom de Sam ainsi que sa meute.
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- Je n'en reviens pas de me trouver là, dit Hermione derrière les deux portes de la salle des trônes.
- Si tu veux fuir, je peux nous faire transplaner loin, plaisanta Harry.
Ils entendirent tous les deux un grognement menaçant, faisant rire tous les vampires de Volterra présents dans la salle.
Hermione le regarda, légèrement amusée. Elle n'avait pas oublié la douleur ressentie lorsqu'elle était loin de son autre moitié.
- Non ? Tu es sûre ? Bien, allons-y.
En souriant, Hermione s'agrippa au bras d'Harry et remonta l'allée, tous les vampires ayant le regard fixé sur la future mariée. Pas assez rapidement, elle rejoignit Caïus l'attendant avec Alec, qui avait endossé le rôle de prêtre. Harry allait se mettre à côté de lui pour faire les incantations sorcières.
- Je n'en reviens pas que tu aies organisé ça dans mon dos, dit Hermione, amusée.
Caïus bomba le torse, fier.
- Les femmes ont bien choisi ta robe. Tu es la plus belle femme qui m'est été donné de voir.
Une fois les rougissements d'Hermione passés, ils échangèrent leur vœux.
Après la cérémonie, Caïus avait organisé un bal où quelques invités avaient été conviés, comme les Cullen ou quelques vampires appréciant le nouveau régime des rois.
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Afin de se venger de ses deux frères pour leurs moqueries, Caïus et Hermione partirent pour la boutique Weasley.
Cela faisait quelques minutes qu'ils regardaient les différents articles quand la jeune femme reconnut Ron. Lui aussi la vit et la rejoignit.
Ils restèrent quelques secondes dans un silence gênant. Hermione décida de le briser :
- Félicitations pour ta matière à Poudlard, cela a dû être un gros travail.
Ron haussa les épaules, les joues légèrement rouges.
- Merci. Je l'ai fait pour Harry.
- Je suis sûr qu'il est touché par cette attention, sourit doucement Hermione.
Son amitié avec le rouquin lui manquait. Elle espérait que les choses iraient mieux.
- Et pas pour Hermione ? gronda Caïus, faisant sursauter Ron.
- Non, dit-il, honnête. Hermione a toujours aimé apprendre et je suis sûr qu'elle en a toujours su plus que moi sur le monde magique.
- Bien, gronda Caïus, fier de sa compagne.
- C'est une évidence, Hermione est brillante et Ron un peu lent, sourit George avant de prendre brièvement son amie dans les bras.
- Eh ! dit Ron, nullement offusqué. Comparé à Hermione, tout le monde est lent d'esprit.
La jeune femme rougit.
- Que faites-vous dans ma merveilleuse boutique ? En quoi puis-je vous être utile ? demanda George.
Caïus expliqua qu'il voulait se venger de ses deux frères et qu'ils devaient s'en souvenir encore dans cent ans. George ne comprit pas cette dernière partie, mais n'insista pas et l'aida à réaliser tous ses souhaits.
Arrivé à la caisse, George allait lui faire un prix, mais Caïus insista fermement pour payer plein pot, argumentant que le talent devait être payé à sa juste valeur. Le roi ajouta même que s'il voulait ouvrir une boutique en Italie, il lui fournirait un lieu.
Hermione, Ron et George en furent choqués.
- Ai-je le droit d'entrer dans la finance sorcière ? demanda-t-il quand même à Hermione qui referma la bouche, ayant compris la véritable implication de ses mots : George était le bienvenu sur le territoire des Volturis. Qu'importe ! On mettra tout à ton nom, rajouta-t-il avant de voler un baiser à sa compagne, toujours sous le choc.
Caïus prit tous ses achats et s'en alla guilleret. Hermione, après un vague au revoir, le suivit, hébétée.
- C'est une bonne journée, tu ne trouves pas ?
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FIN
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Alors cette épilogue ? Cette fiction ?
En tout cas, merci à tous de m'avoir suivi sur cette histoire. Je suis encore étonnée qu'elle ait si bien marché.
Bisous
hp-drago