Salut, les gens ! Me revoilà avec une nouvelle fanfiction longue. Je sais, j'avais dit que j'en posterai une dans la section crossover. Mais j'avais envie de faire celle-là, avant.

Au fond de son jardin, Feliciano peignait. Il adorait ça. Depuis sa plus tendre enfance, la peinture lui avait toujours permis de se détendre et d'oublier ses soucis. On le sait, Feliciano n'est pas vraiment ce qu'on peut appeler un perfectionniste. Mais s'il y avait un domaine où il le devenait, c'était bien la peinture. Il voulait que le moindre détail soit parfait. Mais il mettait un soin tout particulier à l'œuvre sur laquelle il travaillait : il comptait l'offrir à Ludwig. Alors qu'il venait de finir, il entendit quelqu'un tousser derrière lui. Il se retourna et vit Vincenzo, son majordome, qui le regardait d'un air embêté.

-Qu'est-ce qui se passe, Vincenzo ?

-Pardonnez-moi de vous déranger, mais le représentant de l'Allemagne est à votre porte.

-Ludwig est là ? J'y vais ! Vee !

Sans plus de manière, il se précipita à l'intérieur. Alors qu'il était au milieu du couloir, il s'aperçut qu'il tenait toujours sa palette et ses pinceaux. Alors, il appela la soubrette la plus proche de lui.

-Aurora !

-Oui ? Fit la jeune femme en s'approchant.

-Est-ce que tu peux me nettoyer et ranger ça, s'il-te-plaît ?

-Bien sûr !

Feliciano donna son fardeau à la jeune femme et continua son chemin. Il ouvrit la porte et se jeta dans les bras de Ludwig.

-Je suis super content de te voir, Ludwig !

-J'espère bien ! Répondit l'Allemand en serrant Feliciano contre lui.

Quand ils se séparèrent, Ludwig dit :

-Je ne te dérange pas, j'espère ?

-Pas le moins du monde ! Au contraire, tu tombes à pic ! Suis-moi, j'aimerai te montrer quelque chose.

Intrigué, Ludwig suivit l'Italien jusqu'au jardin. Ils s'arrêtèrent devant le chevalet. Là, Ludwig pu admirer un tableau représentant une tour. À la fenêtre de ladite tour, on voyait une jeune fille blonde aux cheveux démesurément longs. Accroché à ses cheveux, il y avait un jeune homme dont ont devinait le statut de prince à la couronne qu'il portait.

-C'est... C'est une illustration de Raiponce ?

-Oui. Gilbert m'a dit que tu adore ce conte, alors... Ca te plaît ?

-Et comment ! Je trouve ça absolument fantastique ! Décidément, tes peintures sont toujours aussi belle !

-Merci, Ludwig !

-Est-ce que je pourrai l'emporter chez moi ?

-C'est justement pour te l'offrir que je l'ai peinte. Elle n'est pas encore sèche mais d'ici deux heures, ça devrait être bon.

-Merci, Feliciano. Franchement, je serai toujours admiratif devant tes tableaux. Moi, j'ai beau essayer, j'ai autant de talent pour la peinture que toi pour le lancer de grenade.

Feliciano éclata de rire en comprenant à quoi Ludwig faisait référence. Il avait été hospitalisé trois semaine suite à cet épisode. Lorsque Ludwig rentra chez lui, il avait le tableau sous le bras. En arrivant chez lui, il l'accrocha dans sa chambre.

Voilà, voilà ! Ça fait près d'un mois que j'ai envie de faire une série de one-shot sur les passions de nos chère nations. J'espère que ça vous a plu. Mais du coup, j'ai envie de faire un one-shot sur l'hospitalisation de Feli. Je le fais ou pas ?