Note : Cette histoire se termine ici… Rendez-vous en fin de chapitre pour les remerciements de la mooooort \o/


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Chapitre 6 : Samedi - fin de l'enquête

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Sherlock arpentait avec hargne le couloir immaculé du Whittington Hospital, attendant impatiemment d'accéder enfin à la chambre où médecins et infirmières s'affairaient inutilement. L'horloge affichait déjà deux heures du matin et il bouillait de ne pouvoir interroger la jeune fille pourtant réveillée – soi-disant était-elle sous le choc et avait-elle besoin de soins avant de pouvoir aider à la résolution complète de l'énigme. Une excuse des plus minables. Les ambulanciers l'avaient amenée ici depuis plus d'une heure et il savait de source sûre que mis à part une anémie sévère, une légère déshydratation, deux épaules luxées et quelques écorchures plus ou moins profondes, elle était en pleine forme. C'était du moins le diagnostic de John, à quelques mots près. Le fait que ledit diagnostic ait été établi dans l'obscurité humide d'une cave et sur une jeune fille inconsciente qui l'était restée, alors même qu'il lui remettait en place ses épaules démises, n'avait que peu d'importance et n'influençait en rien son exactitude. Les médecins de cet hôpital en faisaient des tonnes pour pas grand-chose. Et pendant ce temps, la piste de Madden refroidissait.

Il s'apprêtait une fois de plus à exprimer son mécontentement en invectivant le personnel médical sous les regards assassins de Lestrade et de John quand un homme d'une cinquantaine d'années, les cheveux grisonnants, le front plissé et un stéthoscope autour du cou sortit enfin de la chambre inaccessible.

« Inspecteur Lestrade ? Monsieur Holmes ? Vous pouvez y aller. Mais je vous demande de la ménager, elle est encore très faible. Vous avez dix minutes. Vous pourrez revenir demain pour les détails, elle a grand besoin de repos ».

Sherlock fit rouler ses yeux dans ses orbites. Coffrer le psychopathe qui avait bien failli lui trancher les mains était certainement bien plus urgent que de s'inquiéter de son manque de sommeil.

Dans son empressement à pénétrer dans la pièce où reposait la jeune fille, il manqua de rentrer en collision avec Mr et Mrs Müller alors qu'ils quittaient le chevet de leur fille le temps de l'interrogatoire. Pour la deuxième fois en une heure, Sherlock dut assister au spectacle écœurant de Mrs Müller sautant au cou de John et pleurant sur son épaule. Il prit note de demander à Mrs Hudson d'emmener la veste du médecin au pressing quand elle rentrerait de son voyage sous les tropiques. Il était tout bonnement hors de question que son blouson garde les effluves sucrés et nauséabonds du parfum bon marché de la gérante de l'Apple Tree.

« Oh John ! Merci, merci infiniment. Merci de m'avoir ramené ma petite fille ! »

Il regarda d'un air mauvais un John manifestement gêné qui essayait de se dégager maladroitement de l'étreinte larmoyante de Mrs Müller.

« Mrs Müller je vous en prie, je n'y suis absolument pour rien. Remerciez plutôt Sherlock, toussota-t-il. Je n'ai fait que le suivre. Le mérite lui revient entièrement. Il a accompli l'impossible pour tenir sa promesse ».

Sauf que Sherlock n'avait rien promis du tout.

Ainsi était le Capitaine Watson: toujours à lui prêter des vertus qu'il ne possédait pas, tout en minimisant son propre rôle. Il n'avait pas conscience d'être la moitié la plus importante de leur duo. C'était inadmissible.

D'un sourire crispé et commercial, Sherlock accepta mollement l'accolade virile de Mr Müller tout en balayant de la main ses éloges et celles de sa femme – seules celles de John lui importaient. Une fois débarrassé de ces convenances idiotes, il pénétra enfin dans la chambre aseptisée pour poser les questions qu'il retenait depuis des heures.

Il ne fallut pas plus de deux minutes à Lestrade pour lui retirer les rênes de l'interrogatoire – encore une fois était-il soi-disant trop brusque dans ses gestes, dans ses mots et terrifiait-il la pauvre petite chose tremblante dans son lit d'hôpital. John, ce traître, n'avait par ailleurs pas pris la peine de contredire l'inspecteur. Pire, il avait même abondé dans son sens.

Alors, assis sur l'unique chaise terriblement inconfortable de la chambre trop blanche et trop étroite, Sherlock Holmes boudait.

« Miss Müller, pouvez-vous nous décrire votre agresseur ? demanda Lestrade d'une voix douce, comme s'il s'adressait à une enfant attardée.

— J-Jack?

— Je ne sais pas, à vous de me le dire. Était-ce Jack ? L'homme qui vous a enlevée après votre service à l'Apple Tree vendredi dernier, et qui vous a séquestrée dans cette cave, là où Sherlock et John vous ont retrouvée ?

— O-oui, bégaya la jeune femme en jetant un regard affolé en direction du détective. Jack. Jack Madden. Mon… petit copain. Je pensais qu'il m'aimait. Qu'on s'aimait ! Mais… c'était des mensonges ! Pourquoi moi ? Qu'est-ce que j'ai fait ? Il… il m'a fait du mal et… il n'arrêtait pas de parler de lui ! »

Elle avait crié ces derniers mots en pointant le brun d'un doigt tremblant, menaçant s'arracher ses perfusions sous la brusquerie de son geste puis éclata en pathétiques sanglots. Ça devait être de famille.

« Cathy, Cathy, je vous en prie, calmez-vous, expliquez-nous, que voulez-vous dire ? s'enquit John en s'agenouillant à sa hauteur.

— Jack il… il n'arrêtait pas de me parler du Grand Sherlock Holmes. Ch-chaque jour, il venait me narguer, me… dire à quel point j'étais s-stupide et… in-signifiante pour avoir cru au gr-and amour sur le net. Que chacun de ses mots et… de ses gestes depuis ces trois dernières semaines n'étaient que… qu'une mise en scène pour attirer l'attention de Sherlock Holmes. Que je n'étais qu'une g-gamine… ordinaire et sans... sans saveur. Un insecte, un p-pion dans le jeu grandeur nature qu'il avait tendrement confectionné p-pour… Sherlock et… et son 'chien-chien'.

— Qu'avez-vous dit ?! rugit Sherlock en se levant brusquement de sa chaise tandis que John pâlissait dangereusement.

— J-Je… c'est comme ça qu'il parlait de vous. 'Sherlock et son chien-chien'. Il n'avait que cette expression à la bouche, c-constamment », geignit la jeune-femme qui avait recommencé à trembler sous le regard glacé du détective.

Sans un mot, John prit la place du brun sur la chaise, chancelant.

« Décrivez-le nous, maintenant ! » ordonna le détective.

Et cette fois-ci ni Lestrade, ni même John ne le reprirent pour son ton dur et ses mains qui s'abattirent violemment sur le matelas. L'électrocardiogramme bipa bruyamment alors que le rythme cardiaque de la jeune femme s'emballait.

« D-De taille moyenne, brun, les… yeux noisettes, le front haut, des dents très b-blanches, une légère barbe de trois jours parfaitement taillée et… t-toujours impeccable dans ses costumes sur mesure. »

Un silence lourd de tension et de non-dits accueillit ses paroles avant que le médecin en charge de Miss Müller, alerté par la frénésie du moniteur cardiaque, ne chasse tout le monde de la chambre exiguë à grands cris et avec interdiction formelle d'y remettre les pieds avant le matin, aux heures officielles de visite.

Dans le couloir, Sherlock enfonça violemment son poing dans le placo effrité du premier mur lui faisant face.

« C'est pas possible ! » hurla-t-il, la rage au cœur.

La main chaude et apaisante de John se posa alors sur son épaule, requérant son attention.

« Sherlock… C'était sous nos yeux depuis le début, lui dit-il en lui montrant son carnet de note. Regarde. »

Le détective baissa les yeux sur le calepin familier et accrocha son regard sur l'écriture en pate de mouche de son ami.

'Jack Madden. JM'

Au même moment, le portable de Sherlock tinta en signe d'un nouveau message.

'Hello Sexy ! Cette fois-ci, c'était moins une ) À la prochaine xxx – JM'

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Sherlock observait les mouvements hypnotiques des glaçons tournant lentement dans le verre de Whisky de John.

Le voyage du retour, sur la banquette arrière défoncée de la voiture de fonction de l'inspecteur, s'était fait dans un silence assourdissant. Avant de les déposer devant la porte du 221B, Lestrade leur fit promettre de ne pas retourner au Whittington Hospital avant quelques jours et de rester sagement à Baker Street pour le reste du week-end. Tous étaient maintenant cruellement conscients que Jack Madden n'était qu'une façade inventée de toutes pièce et que le vrai coupable ne serait de toute façon pas incriminé.

Dans ces conditions, leur déposition pouvait bien attendre.

À peine rentrés, John s'était directement dirigé vers le placard de la cuisine où il rangeait sa réserve d'alcool fort et leur avait servi à chacun une généreuse dose d'eau-de-vie trouble et ambrée. Une de ses meilleures bouteilles sacrifiée dans une tentative touchante de réconfort.

Assis dans leurs fauteuils respectifs, Sherlock et John se faisaient face, encore sous le choc des événements de ces dernières heures.

« Je me sens stupide, confessa le brun, ce qui eut pour mérite de faire sourire le blond pour la première fois depuis l'épisode lointain des yeux de biche.

— Bienvenue dans mon monde », répondit John avec malice.

Silence.

« C'est comme ça, Sherlock, reprit-il plus sérieusement. Ne sois pas trop sévère avec toi-même. Personne n'a rien vu.

— Je ne suis pas personne. Et j'aurais dû le voir. C'était évident !

— Non. Pas cette fois, et tu le sais. Bien sûr, maintenant que nous avons tous les éléments en main, nous passons pour des idiots… Mais n'oublie pas à qui nous avons affaire. Des mois qu'il se faisait discret et qu'on n'entendait plus parler de ses petites manigances. Il comptait sur ce long silence pour qu'on l'oublie assez longtemps et qu'on ne fasse pas le rapprochement avec lui, du moins pas tout de suite. Moriarty avait tout prévu.»

Sherlock ne répondit rien parce qu'il n'y avait rien à répondre. Il avait certes sauvé la jeune femme d'une atroce mutilation mais n'en n'avait pas moins perdu la partie. Et aucun alcool ne pourrait jamais effacer l'arrière-goût âcre qu'il gardait en bouche, surtout quand John employait avec tant de diplomatie ses talents de comédien pour effacer de sa voix toute l'admiration que lui inspiraient les parfaites machinations de Jim Moriarty.

Il le regarda prendre une longue gorgée et suivit attentivement des yeux sa pomme d'Adam monter et redescendre. Les mains de John entourèrent fermement la large base de son verre tandis que sa tête basculait en arrière contre le dossier de son fauteuil et qu'il fermait les yeux, le tout en poussant un profond soupir. Cette vision ébranla Sherlock qui eut soudainement la gorge serrée. Il avala le reste de son verre cul sec alors que John reprenait la parole, les yeux toujours clos.

« Pas que je veuille absolument comprendre l'esprit tordu de ce psychopathe mais… à la question 'Pourquoi', tu vas sans doute me répondre…

— Qu'il s'ennuyait. Oui, répondit abruptement le détective avant même que son ami n'eut fini sa phrase.

— Bien… Bien, répéta-t-il en prenant une grande inspiration. Je suppose qu'il n'y a rien de pire que l'ennui. »

Et John supposait bien.

Sherlock prit soudainement conscience que cette vérité valait également pour son colocataire. Après tout, quand leurs connaissances communes – il refusait d'employer le terme inexact d'amis – plaignaient le blond de sa ô combien difficile cohabitation avec Sherlock, ce dernier répondait toujours d'un énigmatique 'je ne m'ennuie jamais' qu'il ponctuait d'un sourire rayonnant.

En définitive, tout n'était qu'une histoire d'ennui. Et du remède pour y échapper.

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Une fois qu'il eût finit son verre, John décida qu'il était grand temps pour lui de retrouver les bras de Morphée. Et bien que les quatre heures du matin qu'affichaient ostensiblement l'horloge penchaient effectivement en sa faveur, Sherlock préféra rester un moment encore dans le salon pour ruminer ses pensées sans la présence distrayante de John dans le fauteuil lui faisant face.

Après un deuxième verre de Whisky amplement mérité, le détective arriva à l'amère conclusion que l'univers s'amusait à ses dépens.

L'Ennui était la clé de toutes choses.

Par ennui, et parce que l'Ennui menaçait l'amitié tranquille qu'il partageait avec John, Sherlock avait accepté cette maudite affaire de disparition. Et ironiquement c'était l'Ennui et sa toute-puissance qui avait poussé Moriarty à lui concocter ce petit jeu de piste personnalisé. Le pire était sans doute qu'au final, non seulement Sherlock n'avait jamais été aussi proche de perdre son ami que pendant cette enquête mais qu'en plus, passé l'excitation des deux premiers jours d'investigation, il s'était mortellement ennuyé tout au long de la semaine.

Sauf quand il était avec John. Ou qu'il pensait à John.

Le blond était bien plus qu'un simple catalyseur capable de l'amener à la résolution des énigmes les plus tordues.

John Watson était le seul homme sur terre capable de le préserver de l'Ennui – et qui y'avait-il de plus rare et de plus précieux que cela ?

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L'heure du thé venait de sonner lorsque Mrs Hudson fit son apparition dans le salon.

« Youhou, les garçons !

— Mrs Hudson ! l'accueillit joyeusement un John frais et dispos après de longues heures de sommeil et un copieux déjeuner. Regardez-vous, vous êtes resplendissante !

— Oh vil flatteur, gardez donc vos sornettes pour les jolies jeunes femmes que vous ne manquez pas de séduire à tour de bras », lui répondit la gouvernante d'un air taquin.

Mais comme toujours, les compliments de John firent mouche et les joues de Mrs Hudson rosirent de bonheur. Sherlock s'avança à son tour pour serrer brièvement mais chaleureusement leur logeuse dans ses bras.

« Mrs Hudson, comment s'est passée votre croisière ? J'espère pour Mr Chatterjee et son intégrité qu'il s'est comporté comme le parfait gentleman qu'il m'a assuré être ?

— Mon cher, cessez d'intimider ce pauvre homme, vous l'avez terrifié et vous le savez très bien. Venez plutôt m'aider à rentrer mes valises. Les tarifs prohibitifs que les chauffeurs de taxi pratiquent le samedi ne comprennent visiblement pas le respect dû aux personnes âgées, ce rustre s'est contenté de jeter mes bagages sur le trottoir ! »

Sherlock esquissa un sourire et n'essaya même pas de se dérober à la demande de la vieille femme. L'énergie débordante et les remontrances de Mrs Hudson lui avaient manqué. De plus, porter ses innombrables malles était du pain béni pour le plan qu'il fomentait depuis son réveil.

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« Mrs Hudson est une tortionnaire, gémit Sherlock à l'attention de son colocataire.

— Et pourquoi ça ?

— Je crois qu'elle a dissimulé une enclume dans ses bagages pour se venger de la petite discussion que j'ai eue avec son prétendant la vieille de leur départ. Je ne vois pas d'autre explication logique au poids franchement inhumain de ses valises.

— Dans ce cas, elle m'en veut aussi. Sans doute parce que je ne t'en ai pas empêché. Ses malles étaient déjà atrocement lourdes à l'aller. J'ai bien failli me faire un tour de rein en les chargeant dans le coffre de son taxi la semaine dernière, sourit John derrière son journal.

— Ah, tout s'explique. Je comprends mieux la raison pour laquelle le brave John Watson, toujours prompt à défendre la veuve et l'orphelin, ne s'est pas proposé à ma place lorsque cette femme mesquine a sollicité mon aide. Tu me déçois, John.

— J'en suis mortifié, ironisa le blond.

— J'ai le dos en miettes, se plaignit le détective en soutenant délibérément ses lombaires, cherchant ainsi à s'attirer la sympathie de son colocataire.

— Pas de chance...

— Tu es médecin. Et il me semble que tu m'as déjà débarrassé d'un mal similaire, très efficacement d'ailleurs.

— Vraiment ? ricana son ami. C'est étrange car d'après mes souvenirs tu m'as pourtant accusé dès le lendemain d'être doté de… comment les as-tu qualifiées déjà ? Ah oui, de 'gourdes de mains incapables de taper correctement sur un clavier d'ordinateur'. Dans ces conditions, j'ai bien peur qu'elles ne puissent rien faire pour soulager ton dos. C'est bête… Par contre, je connais un très bon kinésithérapeute. Tu veux son numéro ?

— John, ne me prends pas pour une poire. »

Pour d'autres, et hors contexte, ce trait d'humour douteux aurait certainement fait un flop retentissant. Mais les deux amis étaient seuls et le rire cristallin de John enchanta les murs de Baker Street et fit gonfler le cœur de Sherlock.

« Très bien, tu as gagné, insupportable connard, lui répondit affectueusement le blond, toujours secoué par son fou rire. Je vais te faire passer l'envie d'insulter à nouveau mes fabuleuses mains !

— Je ne demande que ça », murmura le brun pour lui-même alors qu'il suivait John jusqu'à sa chambre.

Sherlock n'était doué ni avec les mots, ni avec les relations humaines et encore moins avec les sentiments. Et il était encore beaucoup trop tôt pour qu'il exprimât à John tout ce qu'il ressentait à son égard. Mais rien ne l'empêchait pour autant de profiter de son amitié, de sa gentillesse et de le manipuler, un petit peu, rien qu'un peu, pour expérimenter une fois encore l'exquise sensation de ses mains sur son corps.

Et un jour, oui un jour, il le lui dirait.

'John, je ne m'ennuie jamais avec toi'.


Fin.


Et voilà, cette aventure s'arrête ici… Je suis très émue d'avoir pu vous proposer cette casefic/première fic à chapitres. SCN, encore une fois, joyeux anniversaire et merci de m'avoir inspiré cette histoire.

J'espère avoir été un minimum convaincante dans ce premier essai et que la fin ouverte et sans coffrage de méchant ne vous frustre pas trop (je saiiiis je n'ai pas fait de « vrai » JohnLock :p ). Bravo pour celles qui ont deviné que c'était Moriarty (en même temps je n'ai pas été très subtile XD ).

Dites-moi ce que vous en avez pensé !

Remerciements (de la mort qui tue) :

Bien bien… j'ai juste envie de pleurer quand je vois tous vos commentaires *je vous aime*

MERCI à tous pour avoir suivi cette fic, pour les nombreux follow et favorite sur cette histoire et BIEN SUR pour vous, fabuleuses revieweuses qui avez illuminé mes 6 semaines de publication : Saku-chan06, Ranne-Chan, Miiss Sadiik, Nalou, sama-66, Atsamy, Citwhoille, Lafinada Scott, SomeCoolName, Satan-sensei, The Bloody Sentimental Queen, shadowquill17, adalas, Simramise, Gargouilles, Danse et Quatre saisons, odea nigthingale, melysen, Temi-Chou et Hatter's-Daughter !

Un câlin spécial pour celles qui m'ont laissé un petit mot à chaque chapitre O_o Z'êtes merveilleuses 3

Et que dire de l'engouement extraordinaire autour de « La Poussière en Dit Long » ? Je ne savais paaaaas que vous aimiez autant le Fluff :p Alors plein de bisous dégoulinants de guimauve pour SomeCoolName, odea nigthingale, Electre1964, Asyliss, Nalou, The Bloody Sentimental Queen, adalas, laptiteanaelle, Flo'wTralala, Satan-sensei, Kathleen-Holson, shadowquill17, Carbo Queen, Glasgow, Citwhoille, Hatter's-Daughter, Amelia theFujoshi, Vampire1803, Atsamy, raito hana et Kristiel. Et profitez bien de cette dose de fluff car ça va pas se reproduire souvent XD

Merci aussi de continuer de lire mes anciennes fics, ça me touche beaucoup.

Bisous aux perverses Nalou, Hatter's-Daughter et Amelia theFujoshi qui ont bavé (ou vomi au choix) sur « Doux Euphémisme », à Amelia theFujoshi et Vampire1803 pour avoir souffert sur « Icare », à no conect et Elizabeth Mary Holmes qui ont souri sur « Rien Vu, Rien Entendu », à Hatter's-Daughter pour avoir apprécié mon sadisme sur « Aphasie » et sur « Don't Be Dad », à SuperWhoLockAddict qui a surmonté sa frustration extrême sur « Make me Beg For Mercy, Twice », et enfin à Hatter's-Daughter et Soullakh pour avoir été émues par « Six Pieds Sous Terre ».

Et enfin, un énooooorme merci pour les favorites author et les follows, vous faites battre mon cœur, vous ne pouvez pas savoir à quel point !

Votre soutien est inestimable et me motive comme jamais ! N'oubliez pas de laisser une review aux autres auteurs que vous lisez et de donner une chance aux petits nouveaux qui se lancent dans la fabuleuse aventure de la fanfiction \o/

Réponse à ttoujourossicon : Merde, je suis démasquée : je paie bel et bien mes lectrices pour avoir des reviews ! Flute, ne me dénonce pas au ministère du travail s'il te plait car ces salaires ne sont pas déclarés et je dois un paquet de fric à l'URSSAF :-) Hey, merci de continuer à me lire alors que tu détestes autant tout ce que je fais, je crois que je suis flattée en fait :p Allez, plein de bisous riiiiien que pour toi !

Note spéciale : Avec des copines auteurs, nous avons fondé le collectifNONAME, dans l'espoir de soutenir les auteurs en mal de reviews et pour inciter à l'écriture, tous fandoms confondus. Pour plus d'infos, vous trouverez le lien vers le profil du collectif dans mon propre profil.

Des Bisous !

Clélia K.