Cela se passe après l'arc Thriller Bark, avant d'arriver à Sabaody. Les Mugiwaras accostent sur une île pour se détendre car cette îleest réputée pour ses sources chaudes. Sanji ne vient pas avec le groupe car il lui fallait des cigarettes (bon je ne suis pas trop d'accordmais c'est important qu'il se sépare des autres pour l'histoire)

Luffy : Tu nous rejoins après hein ?

Sanji : Oui Luffy, je fais aussi vite que je peux.

Le blond partit donc en direction du centre-ville tandis que le groupe allait aux sources chaudes. Sanji voulait se dépêcher car il voulait à tout prix voir Zoro presque nu. Pourquoi ? Parce que notre cuisinier avait découvert ses sentiments envers le bretteur. Il ne l'insultait plus et Zoro ne lui en lançait plus non plus. Comme s'il se fichait du blond. Cela l'attristait mais il ne le montrait pas à ses nakamas. Comment pourraient-ils comprendre que l'homme le plus hétéro de la terre tombe amoureux d'un homme, qui plus est l'homme le plus viril de la terre. De plus Zoro passait plus de temps avec Luffy plutôt qu'à s'entraîner. Cela lui faisait peur. Le second aimerait son capitaine ? Même si Luffy est idiot il est tout de même mignon et ... non impossible. L'histoire du sacrifice à Thriller Bark ne lui venait pas à l'idée que ça pourrait être la cause du rapprochement des deux pirates.

C'est donc le cœur serré mais surtout pressé de retrouver le vert que Sanji se dépêche de trouver un tabac. Mais depuis quelques minutes il se sentait observé. Il tourna dans une rue sombre sans s'en rendre compte et se fit coincer par quatre hommes. Ou chasseurs de primes vu ce que l'un d'eux dit :

Chasseur 1 : Il y en a qui ne te reconnaissent pas mais nous on est des pros, hein, Sanji la Jambe Noire ?

C'est vrai que l'avis de recherche du blond l'avait sauvé plus d'une fois mais là il était mal.

Sanji : Vous voulez ma prime c'est ça ?

Chasseur 2 : Tu es malin pour un blondinet.

Sanji allait se battre mais l'un d'eux lui tira une flèche dans la jambe. Il hurla de douleur.

Chasseur 1 : Tu vas dormir un peu comme ça tu ne nous ennuieras pas.

Sanji : Ils ne vous laisseront pas faire ...

Le blond s'effondra et l'un des chasseurs le prit sur son dos après avoir enlevé la flèche. Il fut conduit à leur repaire où il fut enchaîné aux poignets dans une cellule de pierre. Les hommes partirent.

Sanji se réveilla une petite demi-heure après. Il était assis et les chaînes étant rouillaient elles lui blessaient les poignets. Ses jambes ne bougeaient pas, comme si on les avait tranquillisées.

Sanji : *Où je suis tombé ?*

Chasseur : Alors comme ça tu te réveilles enfin ? À la bonne heure. Il était temps je commençais à m'impatienter.

Le chasseur avait une lueur perverse dans les yeux. Le blond prit peur.

Chasseur : La Marine ne vient que demain. J'ai donc le droit de m'occuper de toi.

Il ouvrit la porte de la cellule et s'agenouilla près de Sanji.

Sanji : Qu'est-ce que vous allez me faire ? Ne m'approchez pas !

Chasseur : Chhht ... Je vais te donner du plaisir.

Il commença à déboutonner la chemise du blond qui se débattait. Il le coucha sur le ventre et abaissa son pantalon entrainant son caleçon par la même occasion. Le blond avait vraiment très peur. Le chasseur le mit sur les genoux, à quatre pattes et caressa ses cuisses.

Sanji : Non arrêtez !

Le blond sentit quelque chose de froid sur son membre, tendu malgré lui.

Chasseur : Calme toi ... ton corps me dit oui petite traînée ...

Sanji regarda son membre et vit avec effroi un cutter. Alors il allait le blesser là ? Sanji devait à tout prix se libérer sinon il allait y passer. Il se débattit et une douleur lui lança dans l'arrière cuisse. Le chasseur venait de planter un bout de la lame.

Chasseur : Je t'ai dit de te calmer. Tu veux peut être que je recommence !

Il venait de la planter dans son autre cuisse. Le blond hurla de douleur et ne put retenir ses larmes. Le chasseur lui fit 4 belles entailles plus ou moins profondes, toujours à l'arrière des cuisses. Ses blessures saignaient abondamment et le blond se mordait la lèvre pour ne pas hurler.

Chasseur : C'est bon t'es calmé ? Il était temps.

Il baissa son pantalon et le pénétra d'un coup. Sanji hurla sa douleur. Il pleurait et ses poignets étaient en sang.

Chasseur : Hmm t'es si serré ...

Il bougea à l'intérieur du blond qui ne savait pas quoi faire à part se vider de toutes les larmes de son corps. Après quelques minutes qui paraissaient une éternité pour notre blond, l'autre se libéra et Sanji sentit quelque chose de chaud en lui. Le chasseur se retira et se rhabilla. Sanji sentit la semence couler sur ses blessures, accentuant encore plus la douleur déjà bien présente. Il s'effondra sur le côté et se recroquevilla sur lui-même. Le chasseur partit, laissant le blond comme ça, qui se pouvait s'arrêter de pleurer. Est-ce qu'il allait mourir de ses blessures ?

De son côté, Zoro s'inquiétait pour le blond.

Luffy : Mais qu'est-ce qu'il fait Sanji ? Il devrait être là depuis longtemps.

Usopp : Ouais c'est bizarre qu'il ne soit pas encore revenu.

Zoro (se levant) : Je vais y aller. Bougez pas je le ramène. Chopper tu veux bien venir avec moi ?

Chopper : Tu crois qu'il est en danger ?

Zoro : On ne sait jamais. J'ai entendu dire qu'il y avait beaucoup de chasseurs de primes.

Chopper : D'accord.

Le vert et le petit renne sortirent donc des sources chaudes. Après s'être rhabillés ils partirent à la recherche du blond. En ville, ils entendirent des brides de conversations. Comme quoi un blond s'était fait enlever par quatre hommes et qu'ils s'étaient dirigé vers le vieux port. Zoro regarda Chopper.

Zoro : On y va.

Chopper : Oui.

Ils se dirigèrent donc en direction du vieux port après avoir demandé un plan à un passant. C'était bien sur Chopper qui l'avait pris des mains de Zoro. Arrivés ils ne virent personne dehors et avancèrent sur leurs gardes. Ils se cachèrent quand ils entendirent des voix.

Chasseur 1 : Alors, tu t'es occupé de lui ?

Chasseur 3 : Ouais. Il a hurlé et pleuré comme une fillette. C'était drôle.

Ils rigolèrent. Apparemment ils n'étaient que deux. Zoro se montra et leur lança un regard noir.

Zoro : Alors comme ça vous vous en êtes pris à notre compagnon ? Vous allez voir ce qu'il en coûte de vous en prendre à nos amis. Chopper va chercher Sanji je m'occupe d'eux.

Chopper : D'accord.

Le petit renne au nez bleu partit donc chercher le blond. Zoro s'élança vers le chasseur qui avait fait du mal au blond. Le vert faisait souffrir le chasseur qui hurlait de le laisser pendant que son acolyte était dans un coin, paralysé.

Zoro : Je vois. Vous vous en prenez à un contre 4 ou plus. Vous êtes une belle bande de lâches.

Après s'être occupé des deux hommes, les faisant bien souffrir, Zoro partit à la recherche de Chopper.

Zoro : Chopper ! T'es où ?

Chopper : Je suis là.

Il se dirigea vers la voix et trouva Chopper ... avec Sanji. Lorsque le bretteur vit le bassin nu ainsi que les blessures graves et surtout une substance blanchâtre dont il connaissait le nom une colère sourde l'envahit. Comment on peut être aussi cruel avec une personne ? Il entra et libéra le blond de ses menottes.

Zoro : Chopper ?

Chopper : Je viens de le trouver. Je vais lui administrer les premiers soins ensuite il faudra le ramener au Sunny.

Zoro : D'accord.

Après quelques minutes d'angoisse pour Zoro et de soins pour Chopper, le silence se brisa.

Chopper : Il a été traumatisé et ses blessures ne sont pas à prendre la légère. Nous sommes arrivés à temps.

Zoro : Tu as ... une idée de ce qui a pu causer ses blessures ?

Chopper : D'après la longueur, ça devait être un cutter ou une lame de la même taille.

Le petit renne banda les poignets du blond après les avoir désinfecté. Après l'avoir complètement soigné et rhabillé, Zoro porta Sanji comme une princesse et suivit Chopper. Arrivés au Sunny ils se dirigèrent tout de suite vers le cabinet du petit docteur où Zoro posa le cuisinier sur le lit. Chopper partit pour aller préparer un remède pour le remettre sur pieds. Il enleva les chaussures et la veste du blond avant d'y aller.

Chopper : Tu peux rester là Zoro ?

Zoro : Oui bien sûr.

Chopper partit dans la réserve pendant que Zoro prenait une chaise et s'installait près du blond. Il prit sa main avec hésitation.

Zoro : S'il te plaît Sanji ... réveille-toi ...

Le vert le regardait. Il se dit qu'il était vraiment beau. Et il avait réalisé lui aussi il n'y a pas longtemps (5 ou 6 jours) qu'il était fou amoureux du cuistot. Il caressa sa joue et déposa un léger baiser sur les lèvres de Sanji. Était-ce réciproque ? Le vert allait s'endormir quand la main qu'il tenait bougea. Il se leva en sursaut quand il vit que le blond était réveillé.

Zoro : Sanji comment tu te sens ?

Sanji : Zoro ... je vais mieux merci ... on est au Sunny ... ?

Il avait parlé faiblement. Zoro s'assit à côté de lui, sur le matelas. Sanji réalisa : alors, c'était lui qui l'avait trouvé comme ça ? Quelle honte. Il tourna le dos à Zoro et pleura silencieusement.

Zoro : Sanji, qu'est-ce qui se passe ?

Sanji : Ne me ... regarde pas ... va-t'en ...

Zoro le retourna et le pris dans ses bras.

Zoro : Ne t'inquiètes pas. Tu es en sécurité maintenant. Tu ne crains plus rien.

Sanji s'accrocha à la chemise du vert et se calma.

Sanji : Zoro ... je ...

Zoro : Je suis là, ne t'en fais pas.

Le blond calmé, Zoro se sépara de lui et pris son visage entre ses mains pour l'embrasser. Sanji, au début surpris, mit ses bras autour du cou du vert et approfondit le baiser. Ils se séparèrent à bout de souffle.

Sanji : Zoro qu'est-ce que ? ...

Zoro : Je t'aime Sanji. J'avais peur que ce ne soit pas réciproque mais en fait si.

Sanji n'en revenait pas. Zoro l'aimait. C'était trop beau pour être vrai. Il se jeta dans les bras de son homme et l'embrassa à son tour.

Sanji : Il n'y a que nous deux sur le bateau ? Où sont Robin et Nami ?

Zoro : Elles sont parties en ville. Et Chopper prépare un remède.

En parlant du renne, il entra avec le remède.

Chopper : Sanji ! Comment tu te sens ?

Sanji : Beaucoup mieux. Merci Chopper.

Chopper : Ne me remercie pas idiot, j'ai horreur de ça.

Il se dandinait de gauche à droite. Le nouveau couple rigola. Chopper se calma et donna le remède à Sanji qui le but.

Chopper : Zoro tu restes là, je dois aller chercher les garçons. Ils vont se demander ce qu'on fait.

Zoro : D'accord.

Chopper sortit et Sanji se lova dans les bras du vert qui resserra son étreinte.

Zoro (caressant son dos) : Tu n'as plus rien à craindre, je suis là. Celui qui t'as fait ça a bien morflé.

Sanji : J'ai vraiment été nul sur ce coup-là.

Zoro : Ça aurait pu aussi bien être moi ou un autre membre de l'équipage.

Sanji : Si tu le dis. En attendant j'ai faim.

Zoro : Tu veux faire comment ?

Sanji : Je ne sais pas si je peux me lever.

Il se sépara des bras chauds du vert et s'assit au bord du lit, voulant se lever.

Zoro : Ne force pas si tu n'y arrive pas.

Zoro se leva et se mit devant lui. Sanji s'accrocha à ses épaules et se leva. Le vert de rattrapa dans ses bras mais perdit l'équilibre et tomba. Sanji se retrouva à plat ventre sur Zoro.

Sanji : Désolé Zoro ...

Zoro : Ce n'est pas grave.

Sanji se leva avec peine, s'accrochant à Zoro. Une fois debout le bretteur le prit dans ses bras.

Voilà. Comme ça il n'y aura pas de problèmes.

Sanji : Merci.

Zoro lui sourit et partit dans la cuisine. Il mit le blond sur le canapé et alla aux fourneaux.

Zoro : Qu'est-ce que je te fais ?

Sanji : Je crois qu'il reste assez de pâtes à la carbonara pour deux dans le frigo. La clé est entre le micro-ondes et le four mais ne le dis pas à Luffy s'il te plaît. Après il ne va pas se gêner pour vider le frigo.

Zoro : Je ne lui dirais rien ne t'en fais pas.

Il prit la clé et ouvrit le frigo. Il trouva la boîte et mit la mit dans le micro-ondes.

Zoro : Tu veux t'installer où pour manger ?

Sanji : À table mais ...

Zoro : Je vois. Attends je reviens.

Zoro sortit et revint 2 minutes après avec un coussin.

Zoro : Ça devrait résoudre ton problème de ... fesses.

Sanji (rougissant un peu) : Oui ... et puis ce ne sont pas mes fesses mais mes cuisses.

Zoro : Ah, oui.

Il mit le coussin sur la chaise de Sanji et partit arrêter le micro-ondes qui avait sonné. Il revint avec le plat et sortit une petite nappe, deux assiettes, deux verres et des couverts pour deux. Il installa Sanji sur la chaise coussinée et s'installa en face.

Zoro : Tu n'as pas mal comme ça ?

Sanji : Non ça va. Merci.

Zoro servit son blond puis lui et ils mangèrent en silence. Silence que Sanji brisa.

Sanji : Zoro, je peux ... te poser une question ?

Zoro : Bien sûr vas-y.

Sanji : Je ... voudrais ... prendre un bain après. Tu pourrais ...

Zoro : Bien sûr que je vais t'aider.

Sanji : Merci.

Zoro lui sourit et ils finirent leur repas en silence. Quand il eut terminé le vert mit tout dans le lave-vaisselle et replia la nappe qu'il rangea. Il leva le blond et le pris dans ses bras. À vrai dire Sanji n'avait plus mal depuis un moment mais il adorait quand Zoro le portait comme ça. Le sabreur l'emmena à la salle de bains et l'assit sur une chaise à côté de la baignoire et alla fermer la porte.

Sanji : Est-ce que tu peux ... rester avec moi ?

Zoro : Oui . Je t'aiderais en cas de besoin.

Sanji : Non je voudrais que tu ... te baignes avec moi. Enfin si tu veux.

Zoro : Je pensais que ça te gênerait vu que ...

Sanji : J'ai confiance en toi donc ça ne me dérange pas.

Zoro : Bon d'accord alors.

Le blond enleva sa chemise pendant que Zoro lui enlevait son pantalon. Il hésita arrivé à son caleçon. Sanji sentit la gêne de son amant.

Sanji : Tu peux y aller Zoro.

Zoro : D'accord mais pour tes bandages comment on fait ?

Sanji : Je vais me baigner avec et ...

Zoro : Je te les changerais ne t'inquiètes pas.

Sanji : Merci.

Zoro lui enleva son dernier vêtement et se déshabilla à son tour. Sanji put admirer les muscles parfaits de son désormais protecteur. Une fois Zoro nu, il prit Sanji dans ses bras et le mit dans la baignoire. Il commença à la remplir sous le regard brûlant du blond. Si Zoro continuait à être aussi sexy il n'allait pas tarder à bander. Le vert se sentit observé et regarda le blond qui croisa son regard empli de désir.

Zoro : Qu'est-ce que tu regardes ?

Le blond regarda ailleurs.

Sanji : Euh rien.

Zoro : Ah ah. T'es mignon.

Sanji rougit et Zoro vint dans la baignoire puis l'embrassa. Le blond répondit volontiers. Une fois l'eau arrivée à leurs hanches Zoro mit du moussant. Une fois la baignoire bien remplie (Nami allait crier) Zoro arrêta l'eau et ferma le rideau de douche puis s'installa allongé au bout de la baignoire. Sanji vint se blottir contre lui. Et Zoro l'entoura de ses bras, le protégeant. Ils étaient tellement bien qu'ils auraient pu rester comme ça une éternité. Le blond enfouit sa tête dans le cou de Zoro et respira son odeur. Ce sera lui sa nouvelle addiction maintenant.

Zoro : Je t'aime Sanji.

Sanji : Je t'aime aussi Zoro.

Ils se reposèrent un moment et quand ils furent sur le point de s'endormir, ils entendirent du remue-ménage dehors. Luffy criait qu'il voulait voir Sanji. Chopper cria quand il vit que Sanji avait quitté l'infirmerie. Puis il sentit son odeur jusqu'à la salle de bains et toqua à la porte.

Chopper : Sanji tu es là ?

Sanji : Oui. Désolé Chopper, mais j'avais vraiment besoin de me laver.

Chopper : Je comprends mais j'espère que tu as gardé tes bandages.

Sanji : Oui bien sûr mais tu pourrais m'en ramener d'autres ? Je prends un bain.

Chopper : D'accord. Je vais t'en ramener.

Puis il partit. Une fois les amants décidés à se laver, ils le firent mutuellement. Ils se rincèrent. Sanji avait enlevé ses bandages avant et Zoro avait regardé comment étaient ses blessures.

Sanji : Alors ?

Zoro : Tu n'as presque plus rien. C'est dingue comme Chopper soigne tout.

Sanji sourit mais se rappela de ce qui s'était passé.

Zoro : Sanji ?

Sanji ne dit rien et Zoro sut qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas. Il se mit devant Sanji et vit que son petit blond était triste. Il le prit dans ses bras, le rassurant.

Zoro : Ne t'inquiètes pas, c'est fini, je suis là.

Sanji s'agrippa au dos de Zoro.

Sanji : Je sais mais ...

Zoro ne dit rien mais eut une idée. Il descendit ses mains dans le bas du dos de Sanji et le chatouilla. Le cuisinier réagit et rigola.

Sanji : Non pas les chatouilles ! Au secours !

Zoro : Je préfère te voir comme ça.

Zoro arrêta et déposa ses lèvres sur celles de son chéri.

Zoro : Ça va mieux ?

Sanji : Oui, merci Zoro.

Le vert lui baisa le front.

Zoro : Tant mieux.

Ils se séchèrent et s'habillèrent. Zoro alla ouvrir la porte et vit les bandages au sol, près de la porte. Il les prit et revint vers le blond. Il prit soin de bien bander les blessures même si elles étaient presque guéries.

Zoro : Je n'ai pas fait ça comme Chopper mais ça devrait aller.

Sanji : Je suis presque guéri mais ça ira, merci Zoro.

Zoro : De rien.

Sanji finit de se rhabiller et les amants sortirent pour aller voir les autres. Quand Luffy vit son cuisinier il lui posa des tas de questions et Sanji y répondit plus ou moins.

FIN