Mot de l'auteur : Euuuh. Evitez les tomates, merci, ça me rappel trop Gally, huhuhu. Pardonnez-le retard, merci. Ah et ceci n'est que la première partie du chapitre, merci.

Disclamer : JAAAAAMES. T'es sérieusement chiant. Donne-moi ces adorables personnages une bonne fois pour toute, merci.

Chapitre VIII - partie une - ou « J'ai envie de pisser. »

C'est à contrecœur que Newt remis correctement le tee-shirt à Thomas et qu'il se remit debout, libérant les genoux du brun. Brun qui à ce moment-là grogna très légèrement, le contact des fesses du blond sur ces cuisses était royalement magique. Pour se faire pardonner, Newt lui embrassa la joue, avec un sourire en coin, puis dans un geste enfantin, il frotta son nez à celui du brun.

Là. Oui, juste à ce moment précisément, les yeux de Minho se plissèrent encore plus. Il l'avait vu, lui. Oh oui, il avait tout vu. (T'es sûr ? Tu sais, avec les yeux aussi plissé que ça, tu pourrais te tromper, hein. – La ferme. J'ai tout vu. – Bon, bon. Mais. Mais rentre ta langue, merde !) Il ne laisserait pas Thomas faire, oh non. Quitte à l'effrayer – une deuxième fois, incognito, ça passe crème, man – et à le traîner pour de bon devant un griffeur, il ne laisserait pas le brun faire.

- Au faîte, commença Newt, pourquoi la boîte est-elle remontée ?

- Ah oui ! Elle nous apporte un nouveau blocard, ou devrais-je dire une nouvelle blocarde.

- Quoooi ? Une fille, sérieusement ?

- Et ouais, mec, répondit Minho en croisant les bras sur son torse. T'as qu'à aller voir par toi-même, je m'occupe de la crapule.

Newt restant Newt, ne put s'empêcher d'hocher la tête et de partir en de grande foulée vers le milieu du bloc, sans un regard en arrière. Après tout, Newt était le second du bloc, son devoir était d'être présent là-bas. Ouais, et puis c'est aussi parce que Minho et Thomas doivent avoir une discussion que tu dois bouger, Newtie, sorry.

- Thomas, fit durement Minho après c'être assuré que Newt était bel et bien partie. Explication, maintenant.

- Hein ?

- Ton frisson, ton regard, ton corps tendu.

Thomas déglutie lentement et bruyamment. Punaise, mais tu fais que ça ma parole, sois un homme à la fin, assume les réactions de ton corps et tes doutes. Attendez ? Venais-je de dire « doutes » ? Oui, oh mince alors, j'ai niquez la fin de la fanfiction, là ! Bon, maintenant que vous savez tout, motus et bouche cousu, vous laissez l'histoire se déroulé sans accroche. Je suis la seule à pouvoir intervenir, niark.

- Je ne vois pas de quoi tu parles !

Okay. Minho rit grotesquement, diaboliquement avec le petit filet de bave s'échappant de sa bouche, comme un … Euh, un vieux pervers pédophile qui débloque complètement avant de violer sa proie effrayer. Voilà, c'était ça ! Et la proie effrayé, eh bien, c'était Thomas à cet instant. Thomas qui d'ailleurs ne comprenait absolument rien – en même temps, je ne suis pas sûr qu'il ait déjà compris grand-chose.

- TU CROIS, gueula Minho une fois remit de son effrayante crise d'hystérie, QUE JE N'AI PAS VU TON FRISSON, TA LUEUR DANS TES YEUX ET LE PLISSEMENT DE TES LEVRES, TOCARD ?

Minho, le célèbre coureur asiatique, débloqué complètement ? Oh, c'était un doux euphémisme.

- Mais. Mais.

- Y'a pas de « mais, mais » qui tienne, Thomas. Qu'est-ce que t'as l'intention de faire avec Newt, exactement ?

Thomas se mura dans le silence le plus complet, abaissant ces iris chocolat sur le sol, mordant sa lèvre. Pour une fois qu'il ne pleure pas, ne gémit pas ou ne déglutit pas, on ne va pas se plaindre, okay. Mais il soupira fortement, tapant frénétiquement du pied contre le sol, signe qu'il ne pouvait plus tenir assis mais Minho, à cet instant, s'en contre-fichait royalement. S'il fallait pousser Tommy dans ces retranchements, il le ferait.

- Alors, Tommy ?

- Ne m'appelle pas comme ça, trancha le brun.

- Tu n'as qu'à parler, Tommy.

Vous rappelez du chapitre trois ? Vous savez, quand Minho a littéralement explosé, en de grand cris et en de phrases froides et cinglantes, parce que personne ne s'intéressait à lui, parce qu'il commençait à devenir cinglé dans le Labyrinthe ? Oui, c'est ça, ça vous revient. Eh bien, Thomas fit exactement la même chose : il explosa, hurlant des morceaux de phrase, murmurant des mots incompréhensible, brouillant ce qui sembla être des excuses aux oreilles de Minho – qui d'ailleurs, pour être honnête n'en avait foutrement rien à cirer.

Une fois que Thomas eut fini de s'exciter comme un dément, Minho croisa les bras et releva les sourcils, avant de déclarer :

- C'est bon, t'as fini ta crise ?

Le brun ouvrit la bouche et, une seconde le maton des coureurs crut qu'il allait repartir dans son hystérie, mais celui-ci resta finalement calme, très calme. Sa respiration était posée et il semblait … Euh ? Sérieusement, Thomas ? Vraiment, maintenant ? Tu ne pouvais pas te retenir ? C'était plus fort que toi, la tâche ? FALLAIT VRAIMENT QUE CA T'ARRIVE MAINTENANT, BORDEL ? ALORS QUE C'EST UNE SCENE ULTRA, MEGA, GIGA IMPORTANTE, TOI, TU FAIS TOUT FOIRER A CAUSE DE CA ? Non, mais très bien, Thomas, je retiens et je me vengerais.

- Thomas, pourquoi tu te dandines comme ça ? demanda Minho, nullement conscient de ce que le brun s'apprêtait à lui répondre.

- Je … je, balbutia Thomas, ces joues commençant à virer vers le bordeaux. J'ai envie de pisser, Minho, marmonna-t-il.

La mâchoire de l'asiatique ce décrocha, pour finir sa chute sur le sol dans un bruit sourd, parmi les nombreuses épines de sapin et donc, s'ouvrir et donc saigna misérablement. En conclusion, Minho souffrit irrévocablement. Oui, le sarcasme en personne aka Minho, cher lecteur eut horriblement mal. D'ailleurs, je ne compatis pas, mais alors pas du tout. C'est pour TOUTES les scènes sexuelles que TU as osé ruiner. Bien fait, et de une vengeance.

Minho hurla. De douleur pour commencer, puis de frustration – parce que ça faisait quand même trois ans qu'il était dans le Labyrinthe, à gambader derrière les murs, en mode petit chaperon rouge je ne veux pas me faire manger le cul tout cru par un griffeur, et parce que maintenant que quelque chose de bien, de génialissime, de fantastique, ce passait dans sa petite routine, il s'ouvrait lamentablement la mâchoire – et pour finir de colère – envers l'auteure bien entendu, et envers toutes ces lectrices et lecteurs, parce qu'ils ne pourraient jamais comprendre à quel point, c'était difficile d'interrompre ces meilleurs-amis en moment intime, surtout qu'il n'était pas maître de son corps et n'avait donc, par conséquent, pas le choix.

Alors que Thomas se dandinait sur place pour retenir sa vessie, qui semblait sur le point d'explosé littéralement, Minho lui ramassait sa mâchoire à même le sol et qui semblait ne pas vouloir s'arrêter de saigner. L'auteur elle était tranquillement allongée dans son canapé, et soupirait lacement devant cette scène qui lui paraissait beaucoup trop commune maintenant. Quand ces jeunes allaient-ils grandir et stopper leur connerie ? Sans doute jamais ou peut-être dans la phase deux. – Oh, ouais on se passera des détails d'après la phase deux, okay, merci.

Finalement, après avoir ramassé sa mâchoire, qu'il essayait désespérément de remettre correctement à sa place, Minho adressa un regard noir et lourd de reproche au brun. Brun qui n'en avait que faire, redoutant plus de se faire dessus – et donc d'interrompre la méga scène importe qu'il aurait dû avoir – en basculant d'avant en arrière et ignorant le regard noir qui pesait sur lui. Et, Oh My Fucking Minho ! Thomas bascula en avant, écrasant Minho qui n'eut pas le temps de prévoir cette … Euh, option ? Scène ? Solution ? Action ?

- Arrg !

- Excuse, Minho !

- Pfouu, pfouu …

Non, non, non. C'était faux, archi faux, Thomas n'empêchait pas Minho de respirer. C'est une illusion. – Tu souffres, j'espère, l'asiatique ? Bien fait.

- Thomaaas … Dégage, j'étouffe …

- Je suis pieds et poings lié, Minho.

QUEL EST LE CON QUI A EU L'IDEE DE L'ATTACHER, AUSSI ? pensa le maton des coureurs. Ah oui, c'est encore cette ENFOIRE DE GALLY LA TOMATE, avec ces idées à la con, putain.

- Minho, j'vais pisser, là !

Réagissant au quart de tour, Minho dégagea ces mains et les plaqua sur le torse à Thomas, qu'il se hâta de repousser le plus possible, au moment où le brun commençait à se pisser dessus. Wait, what ? WHAT ? IL SE PISSE DESSUS ? MAIS T'ES DEGUEULASSE, MAN ! Beuurk. Et tu oses dire que tu veux sortir avec Newt ? Alors là, jamais. NEVER, TU M'ENTENDS ? N.E.V.E.R

- Oh shit, c'est dégueulasse, Thomas.