Cette fic est organisé en une succession de livres sur le modèle de la saga HP, livre I (chapitre 1-20) livre III (chapitre 21-50)

Un nouveau monde

Jack Frost n'était pas ce que l'on peut appeler un garçon patient, lorsqu'il voulait quelques chose il n'y avait pas grand chose qui puisse l'en empêcher et malheureusement parmi ces choses, il y avait North, ou plutôt « Père » comme il était coutume de l'appeler dans l'orphelinat.

Jack était donc de mauvaise humeur, il avait onze ans maintenant mais il ne pouvait pas avoir son propre balais volant, North le jugeant trop immature et trop imprévisible pour cela. Jack retint un hurlement de frustration pour la sixième fois de la journée. Ce n'était quand même pas de sa faute si sa magie se développait et agissait parfois sans qu'il n'en ai conscience. Le fait que Bunny ai glissé sur une plaque de glace en plein été n'était pas forcément à mettre sur le dos de jack. Sans compter toute les ennuis que lui avait causé Bunny lorsque c'était ses pouvoirs à lui qui se développaient, comment oublier les œufs qui explosaient dès que Jack les prenait dans les mains. Au sommet de la tour de l'orphelinat « guardian gate », Jack essayait de rester positif, bientôt il contrôlerait sa magie et alors...

-Jack! Descends!

Le cris sortit le jeune homme de ses pensées, il se releva et jeta un regard vers le bas de la tour, une petit fille au cheveux noir coiffé en queue de cheval, hurlait son nom.

-Calme toi Vanellope , répondit Jack, j'arrive.

Il se jeta du haut de la tour, se rattrapa in extremis à un rebord de fenêtre, bondi vers la gouttière avant de se laisser glisser jusqu'au sol. Vanellope resta quelques secondes à le regarder avec la bouche ouverte devant l'acrobatie avant de se remettre à parler très vite.

-Papa veut te voir Jack, il a dit que c'était très important et que tu devais venir tous de suite sinon tu n'aurais pas cadeau pour noël.

Jack se retint de sourire, encore cette vieille menace, Père ne changeait vraiment pas, et pourtant jamais personne à l'orphelinat n'avait jamais été privé de cadeaux. Un petit frisson parcouru quand même son dos : pourquoi North voulait il le voir ? Il n'avait rien fais dernièrement, à moins qu'il n'ai compris qui était responsable de la disparition des chocolats, de la disparition de la bague de tooth et de... Jack pris le chemin de l'entrée avec un léger poids sur le cœur. Il traversa toute les pièces jusqu'à arriver à la salle commune de l'orphelinat.

-A le voilà, retentit une voix tonitruante, Jack Frost ! Le héros de la journée.

North semblait de bonne humeur, et jack se détendit un peu, il n'était pas ici pour se faire sermonner. Mais alors pourquoi l'avoir fais venir, d'habitude quand tous allait bien, on ne s'occupait pas de lui.

-Allez Jack, souris l'encouragea le vieille homme, aujourd'hui c'est la fête, on a reçu un hiboux et c'est à toi qu'il est adressé.

Jack mit quelques secondes à comprendre, ils étaient en juillets et il avait onze ans donc... il se retint de crier de joie, afin il allait pouvoir aller dans une école de magie. Il arracha quasiment la lettre des mains de Père et l'ouvris sans ménagement avant de commencer à la lire.

COLLEGE POUDLARD, ECOLE DE SORCELLERIE

Cher monsieur Frost,
Nous avons le plaisir de vous informer que vous avez été admis en première année au collège Poudlard. Vous trouverez ci joint la liste des ouvrages et équipement nécessaire au bon déroulement de votre scolarité. La rentrée étant fixé au 1er septembre nous attendons votre hiboux le 31 juillet au plus tard.
Veuillez croire, cher monsieur Frost l'expression de nos sentiments distingués

Minerva Mcgonagal, directrice adjointe

Jack mis quelques secondes à lire la lettre, mais dans sa tête il n'y avait plus qu'une seul idée : il allait à Poudlard. Bientôt il saurait jeter des sorts, bientôt il saurait transplaner, bientôt il aurait sa propre baguette...

-North ! Je n'ai pas de baguette !

-Ne t'inquiète pas nous irons t'en acheter une ! En fait nous irons tous sur le chemin de traverse dès demain. Sandy, Bunny et Tooth ont aussi besoin de fourniture.

Jack se calma, North était de bonne humeur alors peut être que...

-Euuuh Père ? Comme je vais à Poudlard ça serais possible d'avoir un balais ?

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L'ile de Beurk était un lieu vraiment unique. Même au XXIème siècle, elle était l'un des seuls lieux où la chasse au dragon était encore possible. Étant le lieu de reproduction d'une grande partie de la population draconique du nord de l'Europe, les dragons y sont toujours très nombreux. Jadis réalisée pour protéger les troupeaux, la chasse au dragons était maintenant un sport très prisé et réglementé par les conventions de la chasse des créatures magiques. L'île située dans les mers du nord de l'Angleterre était l'un des derniers endroits au monde où les moldus, les personnes dépourvu de pouvoirs magiques, et les sorciers coexistaient. Les premiers devant subir un sortilège d'amnésie temporaire dès qu'ils quittaient l'île, les second utilisant leurs pouvoirs pour rendre la vie quotidienne plus agréable.

Une vie quotidienne qui ne convenait pas à Harold Horrib' Haddock troisième du nom. Étant le fils du chef, toute l'île le connaissait et pendant longtemps on s'était attendu à ce qu'il réalise des actions d'éclats comme vaincre un dragon vipère à l'aide de ses pouvoirs naissants. Et tous avaient été très déçu, pendant près de 10 ans, Stoik pensa avoir un fils Cracmol. Et cela aurait pu être acceptable à ses yeux si Harold avait eu un peu plus de force physique. Car il était maigre comme un clou, tous ses efforts pour le faire se muscler avait échoué. Stoik avait fini par se faire à l'idée que son fils ne correspondrait jamais à ses attentes.

Cela jusqu'au jour ou Harold, tourmenté comme à son habitude par Rustic et sa bande, avait réussie sans trop savoir comment à se faire protéger par une horde de lapins sauvages. Stoik avait vu dans l'événement le signe qu'il attendait, son fils était peut être faible et maladroit mais au moins il était un sorcier comme lui. Et à partir de là, la vie de Harold devint encore plus difficile car son père avait cherché par tous les moyens à faire ressortir ses pouvoirs naissants.

-HARRRRROOOOOOOLLLLLLD, hurla le vieux Geulfor, un moldu qui était simultanément le meilleur ami de Stoik, le forgeron du village et le professeur particulier de Harold.

-C'est bon j'arrive, grommela celui ci avant de rejoindre son instructeur en traînant les pieds.

-DÉPÊCHE TOI UN PEU ! TON PÈRE VEUT TE VOIR !

Harold se retint de se boucher les oreilles, Geulfor portait bien son nom car il n'avait jamais appris à parler, il ne savait que crier, ce qui était peut être l'une des raisons de sa profonde amitié avec le père de Harold.

L'étrange duo descendit le flanc de la falaise de beurk, le plus petit sifflotant une chanson populaires de l'île, le plus jeune essayant désespérément de ne pas se souvenir des paroles de la dite chanson qui parlais des tripes d'un dragon. En dix minutes ils arrivèrent devant la maison de Harold, l'une des plus imposante du village. Si il l'avait pu, le petit viking aurait attendu trois bonnes minutes que son rythme cardiaque se calme mais Geulfor ne lui laissa pas ce plaisir, il ouvrit la porte et poussa le jeune homme à l'intérieur.

-Aaah Harold, tu es là dit Stoik lorsqu'il vit son fils.

Harold fut complètement désorienté, son père n'avait pas l'habitude de lui parler avec calme et diplomatie, en fait il n'avait pas l'habitude de lui parler du tout. Devant son silence, son père continua :

-Et bien voilà, nous venons de recevoir une lettre... une lettre de Poudlard, une école de magie.

Harold était déjà secoué mais cette nouvelle lui fit un choc plus grand encore. Beurk était loin de tous et qu'une école de sorcellerie ai pu savoir qu'il maîtrisait la magie était une chose tous à fais inédite.

-Attend ce n'est pas tout, tu n'es pas le seul à avoir reçu une lettre... il y a quelqu'un d'autre...

Harold mis quelques secondes à assimiler l'information qu'il n'irait pas seul à Poudlard. Alors qu'il s'apprêtait à demander qui, une voix féminine s'éleva du fond de la pièce

-Alors c'est avec lui, que je vais faire le voyage ? J'espère que tu ne vas pas faire de gaffe.

Harold pencha légèrement la tête pour voir la nouvelle venu. La jeune fille installé dans le canapé du salon était blonde, avec les cheveux coiffé en tresse, un corps fin et musclé et des yeux vert à qui rien ne semblait pouvoir échapper.

-Harold je te présente Astrid, c'est elle qui part avec toi, lui expliqua Stoik.

Les deux adolescents se regardèrent, Harold essaya de sourire mais renonça devant la mine de dédain de sa nouvelle camarade.
Ça commence bien se dit-il

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Dans l'une des profondes forêts de grande Bretagne se trouvait une haute tour, protégé par de complexes sortilèges qui la rendait incartable, impossible de transplaner à l'intérieur, invisible aux moldus, impossible à repérer depuis le ciel...

Et au sommet de cette tour (qui n'avait en fait que le dernier étage d'habité), logeait une sorcière et sa fille. Raiponce Tower, car c'était le nom de la jeune fille, était appuyé sur le rebord de la fenêtre, observant la beauté du soleil dans les branches.

Un craquement sonore la fit sortir de ses pensées. Quelques secondes plus tard, Gothel Tower émergea de la forêt où elle venait de transplaner. La mère de Raiponce parcouru rapidement la prairie qui entourait la tour avant de crier

-Raiponce ! Envoie ta chevelure !

La jeune fille ajouta une allonge à ses cheveux qui avait déjà la longueur peut commune de trois mètres, suspendit sa chevelure à une poulie puis jeta le tous vers le sol. Sa mère le récupéra et d'un coup de baguette magique activa la poulie qui la fit monter lentement vers le sommet de la tour. Gothel atteint la fenêtre en quelques minutes et se glissa dans l'ouverture.

-Oooh ma chère petite, se désespéra t elle, à chaque fois je me demande comment tu parviens à me hisser jusque ici

-Vous savez ce n'est pas grand chose, mère

-Oui tu as raison raiponce c'est la poulie qui fait tous !

Et la vieille femme éclata de rire à sa blague. Raiponce un peu décontenancé recula un peu pour la laisser entrer dans le salon.

-Raiponce ! Appela Gothel, je suis très fatiguée, pourrais tu chanter pour moi ?

Raiponce, toujours très obéissante, installa deux chaises face à face, donna une brosse à cheveux à sa mère et commença à chanter :

-Fleur aux pétales d'or Répands ta magie Inverse le temps Rends-moi ce qu'il m'a pris...br /Guéris les blessures Éloigne la pluie Ce destin impure Rends-moi ce qu'il m'a pris, Ce qu'il m'a pris...

C'était à la fois son plus grand secret et sa plus grande fierté car ses cheveux avaient un puissant pouvoir. Lorsqu'elle chantait son incantation, ils pouvait guérir la plupart des blessures, briser les malédictions et rajeunir le patient.

-Bien, conclu Gothel à la fin de la chanson, Il n'y as rien eu en mon absence ma chérie ?

-Si mère, un hiboux a apporté le courrier et...

-Très bien, la coupa sa mère, donne le moi, je vais le lire

-Mais il y en a une qui est pour moi, dit Raiponce à toute vitesse pour empêcher sa mère de lui couper à nouveau la parole.

Gothel se figea. Elle jeta un coup d'œil autour d'elle, et localisant le petit tas de lettre elle l'attira à elle en pointant sa baguette dessus. Elle jeta la lettre que lui avait envoyée son correspondant en potion pour regarder la lettre dont parlais sa fille. C'était une lettre simple fermée par une sceau de cire montrant 4 animaux très reconnaissable autour d'un P stylisé. Une série d'émotion contradictoire passa sur son visage qui ne manquèrent pas d'être remarquée par la jeune fille blonde assissent devant elle.

-Mère ? Vous allez bien ?

Gothel regarda raiponce comme si elle venait de s'apercevoir de sa présence. Sa surprise fut rapidement remplacée par une lassitude extrême.

-Raiponce assis toi, commença la mère sans se rendre compte que la blonde était déjà assise. Il faut qu'on parle.

-Mère ? Quelque chose ne va pas ?

-Cette lettre qu'y t'ai adressé vient de Poudlard, une école de sorcellerie qui cherche à former les jeunes sorciers. Depuis le règne de Voldemort, c'est obligatoire et ils sont capable de repérer tous les sorcier de moins de 17 ans.

-Et vous ne voulez pas que j'y aille ? Mère... Je ne peux pas rester pour toujours dans cette tour.

-Je le sais bien ma chérie, et même si je le voulait je ne le pourrais pas, cependant il faut que je te dise quelques chose. D'abord sache que les sorciers ne sont pas tous des gens biens, certains tourne mal. Il y a quelques années, une sorcière a mal tourné, très mal tourné et elle a cherché à obtenir l'immortalité. C'était pendant ton enfance, elle a tenté de s'emparer de tes cheveux, sans mon intervention le pire serais arrivé, heureusement tu n'as perdu qu'une seul mèche. J'ai donc cherché à te protéger à tous prix, au moins jusqu'à ce que tu puisses te défendre seul.

-Et cette sorcière... elle est morte ?

-Non je ne pense pas et c'est pour ça que tu devra être très prudente, Poudlard est un endroit sûr mais le mal est souvent vicieux, aussi je vais te demander d'être très prudente, ne parle de tes cheveux à personne, même celles qui te semble être tes amis et n'utilises jamais leur pouvoir. Tu comprends ? Personne ne doit être au courant !

-Oui mère répondit la jeune fille docile.

-Très bien conclue Gothel, maintenant Raiponce est ce que tu as bien fais tous ce que je t'avais demandé ce matin ?

-Oui mère bien sûr !

-Nous allons voir ça, legilimen!

Le sortilège frappa raiponce qui ne chercha même pas à résister, elle avait subis trop de fois ce sortilège pour savoir qu'elle ne pouvais pas le combattre, la totalité de sa journée lui revint en mémoire comme dans un film accéléré. En quelques secondes, sa mère avait étudié la totalité de sa journée.

-Raiponce, encore une fois tu as oublié couper les fèves sopophoriques, lui reprocha Gothel je vais devoir m'en occuper moi même

-Mais mère...

-Suffit Raiponce, vas préparer le repas, je te rejoins dans quelques minutes, ensuite nous irons nous coucher, il faut être en forme pour aller au chemin de traverse demain.

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Au château des Dumbroch, il n'y avait que très peu de salles qui soit inutilisé. En reine exemplaire, la première dame du domaine avait fait en sorte que rien ne soit à l'abandon, et que chaque pièce puisse servir, on avait ainsi 4 salles à manger, une trentaine de chambres, une vingtaine de salons, au moins autant de salles de bain. Sans compter les salles réservées à l'éducation de sa fille : la salle de musique, de lettre, de couture, d'art... en fait toute les salles possibles à l'exception d'une salle de sport. Et le pire était que la reine vérifiait chaque salle au moins une fois par jour et pour la princesse Merida, trouver un endroit tranquille relevait de l'exploit. Car la princesse était éprise de liberté. Plus que tous autre chose, elle voulait quitter le cocon familiale pour faire ses propres choix mais ses parents, ou plutôt sa mère considérait que à 11 ans on n'est pas assez expérimenté pour faire ses propres choix.

Merida s'était donc réfugiée dans l'un des greniers du donjons. D'habitude elle avait l'habitude de s'entraîner à l'arc ou chevaucher dans les bois mais aujourd'hui elle avait juste envie de réfléchir, de rêver en regardant les nuages. Adossée au rebord de la fenêtre, elle observait le ciel d'été. Un oiseau de proie fit de trois fois le tour du château avant de fondre sur la tour et d'y pénétrer. Merida fut tellement surprise qu'elle se leva d'un bond. Sur le sol, la chouette avait laissé tomber une lettre sur laquelle il était inscrit :

Mme Merida Dumbroch
Dans le grenier de la plus haute tours du chateaux
center;château d'Eilean Donan
Dornie, Kyle of Lochalsh

L'enveloppe était très épaisse, et fermé d'un sceau frappé d'un écusson représentant quatre animaux très reconnaissable entourant la lettre P.
Sachant pertinemment ce qu'elle contenait, Merida ouvrit la lettre. Après l'avoir parcouru, elle essaya de mettre un peu d'ordre dans ses pensés, elle allait à poudlard, déjà c'était quelque chose, ensuite comment annoncer ça à sa mère ?

Merida finit par choisir la manière forte, sa préférée en faite. Elle descendit les marches quatre à quatre et hurla dans l'escalier :

-MAMAN ! JE VAIS ALLER A POUDLARD !

La réaction de sa mère fut mitigé, d'abord elle passa une demi heure à rappeler à sa fille de ne pas crier dans les couloirs, puis elle passa dix minutes à lire et relire la lettre de juste quelques lignes avant de passez une nouvelle demi heure à faire des recommandations à sa fille sur l'honneur de la famille Dumbroch en milieu scolaire et comment devait se comporter une princesse dans chacun de ces cas.

-Demain nous irons t'acheter une baguette d'ébène avec une plume de phénix qui siez à une personne de ton rang

-Mais maman...

-Pas de mais ! La coupa sa mère, il faut s'occuper de tous un tas de détail avant ton départ.

-Oui mais pour ma bagu...

-Assez ! Tu n'avais quand même pas l'intention de prendre une banale baguette frêne.

Merida ouvrit la bouche et la referma, ne pas hurler sur sa mère lui était très difficile, mais elle avait un plan...

-D'accord maman répondit Merida avec les plus d'humilité feinte qu'elle pouvait produire.

La jeune fille remonta dans sa chambre laissant sa mère s'interroger sur le soudain changement de sa fille.

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Voilà le premier chapitre d'une fanfic crossover big four (les 5 légendes, raiponce, Rebelle, Dragons) et l'univers de Harry Potter, j'ajouterais de multiples références à d'autres oeuvres de disney ou dreamwork (comme le nom du directeur). J'ai déjà des tas d'idées mais il faut que je me motive pour tous taper. Désolé si vous venez à trouver des fautes d'orthographes, je fais de mon mieux pour me relire mais ce n'est pas mon domaine de prédilection.