L'amant du cuisiner.

Les personnages ne sont pas ma propriété mais celle de l'auteur du manga one piece.

Blabla de l'auteur : Voilà la suite, avec beaucoup de retard il faut l'admettre et j'en suis sincèrement désolée. Je voulais également vous prévenir que pour cette fiction là, je ne répondrais pas au reviews sur le chapitre mais directement en message privé (seulement pour cette fiction là !). Et maintenant à vous de lire !

Chapitre 3.

POV Zoro

Blackmore : Pour moi un gay pur souche, votre ami me faisait beaucoup d'effet, je me suis donc approché de lui et je l'ai abordé me rendant vite compte qu'il devait surement être gay vu qu'il me regardait avec un air un peu pervers. Nous avons donc finit au lit et c'est là que je suis tombé sous le charme devant tant de beauté, et le fait qu'il ne soit pas possible qu'il m'aime s'est avéré quand au sommet de notre plaisir il a crié le nom d'un autre homme, quand il a crié le nom de…

Zoro : En en sais assez, ok ?

Je ne pouvais pas supporté une seconde de plus d'écouter le récit de l'homme que j'aimais couché avec un autre, même si je savais depuis longtemps ne pas avoir une seule petite chance, ne serait-ce que minuscule avec lui, ça faisait beaucoup trop mal. Ce fut cet état d'esprit qui m'obligea à sortir de la cuisine, je regrettais vite cette action, lorsque je vis Sanji sortir de sa cabine pour pouvoir fumer. Mon cœur ce serra encore un peu plus lorsque je le vit afficher cet air si triste et désespéré, ainsi l'homme qu'il aimait ne devait surement pas partager ces sentiments, quel gâchis et dire que moi je serais même prêt à affronter la mort pour ses beaux yeux… Je choisis de faire comme si de rien n'était et de remonter directement dans ma salle d'exercice pour pouvoir me défouler non seulement physiquement mais aussi psychologiquement, sinon j'allais rapidement craquer, seulement c'était sans compter sur Sanji qui m'arrêta dans mon élan en m'adressant la parole.

Sanji : Que ce passe-t-il pour que notre morphale de capitaine ne quitte pas la cuisine ?

Alors comme ça il souhaitait jouer l'indifférent à ce qui venait de ce passé ? Très bien. S'il croyait que j'allais rentrer dans son jeu, il se fourrait le doigt dans l'œil.

Zoro : Notre capitaine semble assez captivé par le récit de tes ébats avec notre nouveau compagnon pour tout dire.

Sanji : Tu te foues de ma gueule ? Il n'a pas fait ça tout de même ?

Zoro : Pourquoi ? Tu as donc réellement quelque chose que tu souhaites caché ? Ton amour non réciproque peut-être ?

Son visage se décomposa au fur et à mesure de mes paroles, et il se mit rapidement à tremble, je sus à ce moment qu'il aimait toujours l'homme qu'il aimait il y a deux ans. Je choisis donc d'en rajouter une couche, après tout autant avoir le cœur complètement brisé, au lieu de rester dans cette ignorance que je ne supportais plus.

Zoro : Je dois avouer que je ne pensais pas que tu avais de si mauvais gouts.

Je sus immédiatement que je m'étais trompé quand il me regarda droit dans les yeux, intrigué.

Sanji : Tu ne sais pas qui c'est. Si tu l'avais sut tu n'aurais jamais dis ça.

Zoro : Pourquoi ton Apollon est beau à ce point.

Sanji : Là n'est pas la question, c'est simplement tu ne le rabaisseras jamais à ce point.

Sa réplique piqua au vif ma curiosité, je voulais à présent savoir à tout pris qui c'était.

Zoro : Je ne vois pas une seule personne que je puisse admirer à ce point.

Sanji : Moi si … Sur ce.

Il jeta sa clope à la mer d'un geste qui se voulait nonchalant, et revint s'enfermer dans sa cabine, me laissant comme un idiot dans l'ignorance. Après avoir rapidement grommeler sur mon sort, je suis monté directement faire mes abdos ne pouvant me chasser de l'esprit que j'ignorais qui aimait Sanji. Je passai mon temps à faire des pompes et des abdos, encore et encore en me répétant la même interrogation dans l'esprit tout ce temps. Qui j'admire à ce point ? Qui j'admire à ce point ? Qui j'admire à ce point ? Qui j'admire à ce point… Je finis par faire la lumière dans mon esprit, mais bien sur ! La seule personne que je ne pouvais pas insulter c'était bien moi-même, mais ce n'était pas possible n'est-ce pas ? Roh et puis je ne peux pas rester dans l'incertitude comme ça ! Je descendis donc rapidement, et alla directement tambouriner à la porte de la cabine du sourcil en vrille.

Sanji : Nan mais ça va pas la tête, tu veux la défoncer ou quoi !

Et il ouvrit sa porte pour cesser ce raffut, profitant de l'opportunité je rentrais rapidement et fermai la porte à double tours derrière moi, ignorant ses protestations.

Zoro : Ca ne peux pas être moi n'est-ce pas ? La personne que tu aimes ?

A suivre…