Note : Bouuuuh ! Vous avez eu peur ? Avouez que vous avez eu peur ! Non ? Ah dommage ça aurait du :( :( bon d'accord, en vrai j'essaye de faire oublier que je suis en retard parce que c'est plus Halloween ! Mais rooh on est bien dans le thème puisque ce chapitre se passe le lendemain de la soirée d'Halloween donc c'est maintenant ! Ok j'arrête d'essayer de me justifier et je vous donne la vraie raison de pourquoi j'ai pas posté ce chapitre hier : je n'ai malheureusement pas eu accès au PC et en plus j'avais ( et j'ai toujours mais j'ai pris cinq minutes .. ouais enfin une heure quand même lol, de pause pour vous ) une quantité de travail monstre donc voilà :/ du coup je suis en retard, désolée. J'espère que vous allez quand même aimer ce chapitre, qui est aussi la fin de cette fic.
Comme j'ai pu le laisser entendre tout le long ( sans parler du rating ), même si ça traite d'un sujet pour enfants, c'est loin d'être une fic pour eux XD et, dans ce chapitre, il y aura un lemon. Je dois vous prévenir que c'est seulement mon deuxième lemon et que, si je le trouve un tantinet ( j'adore ce mot, yakoi ? ) meilleur que le premier bah je suis toujours aussi nulle en lemon donc ça risque de pas vous plaire .. désolée. Je reste à votre disposition pour le lynchage et les insultes suite à ça évidemment.
BREF je me perds de nouveau dans une note gigantesque, c'est toujours ça quand je termine une fic argh ! Donc je vous laisse lire et euh bahhh .. à plus tard !
" Halloween, c'est le moment idéal pour les vrais monstres. Ils peuvent se glisser parmi les gens normaux sans porter de masque .. Le masque qu'ils revêtent chaque jour pour paraître normaux, j'entends. "
Derek était dans son loft, au milieu des vestiges de la fête de la veille. Autour de lui, des ballons éclatés, des cadavres de bouteilles d'alcool, des paquets de bonbons vides. Il est à peine sept heures du matin et seuls le silence et le vide l'entourent, tellement contradictoires avec le vacarme et la démesure de cette nuit. La marionnette pendue au plafond le nargue et le squelette lui offre un sourire narquois. Il se lève de la table sur laquelle il s'était laissé choir et recommence à faire les cent pas, shootant rageusement dans un ballon rescapé au passage.
Il avait tout essayé pour se calmer et se remettre les idées en place, mais rien n'y faisait : il était perturbé. Et la cause de son désarroi dormait paisiblement à l'étage, bougeant et gémissant parfois dans son sommeil. Derek serra les poings. Oui, tout était de sa faute. C'était lui qui l'avait convaincu pour le loft, lui qui avait piqué sa curiosité, l'obligeant presque à aller voir ce qui se passait dans cette maudite fête stupide, lui qui l'avait allumé.
Le loup ne se reconnaissait plus ces derniers jours. D'abord, cet adolescent agaçant avait réussi à lui faire céder son loft, puis il l'avait poussé à le contraindre à accepter de lui rendre un service. Et parlons-en de ce service ! Derek n'avait aucune idée de ce qu'il voulait de lui, pas consciemment en tout cas, lorsqu'il avait passé ce marché. D'ailleurs, au moment où Stiles avait quitté le loft, il avait été aussi perturbé que lui. Qu'est ce qui lui était passé par la tête ? Pourquoi lui avait-il réclamé un service en échange ? D'accord, il n'était pas du genre prêteur mais habituellement il envoyait tout simplement bouler ceux qui lui demandaient quelque chose de ce genre, et il ne s'amusait pas à passer des marchés. Il s'était interrogé là-dessus pendant deux jours, devenant presque fou, surtout lorsqu'il se rappelait comment il avait failli perdre ses moyens face à l'adolescent. C'était de là qu'était partie cette histoire débile de pacte en fait, quand il avait commencé à ne plus avoir les idées claires, hypnotisé par les yeux chocolat en face de lui. Son instinct animal avait pris le dessus et il se souvenait s'être approché de Stiles comme un chasseur fondant sur sa proie.
Heureusement, après avoir posé son ultime condition, l'alpha avait réussi à congédier l'humain avant que tout ne parte en vrille, avant qu'il n'arrive plus à se contrôler. Mais contrôler quoi d'ailleurs ? Son envie de lui sauter dessus ? Parce que si Derek avait réussi à se trouver des explications rationnelles quand à son comportement, elles ne tenaient à présent plus debout. Déjà qu'il était fragile au départ, l'adolescent et son comportement avaient foutu en l'air tout le raisonnement du loup, en une seule foutue soirée !
Mais il n'était pas seulement en colère contre Stiles, il était surtout majoritairement en colère contre lui-même. Parce qu'au fond de lui, il savait que c'était de sa faute tout ça ! C'était lui qui avait accepté que cette fête se déroule chez lui, lui qui avait imposé une dette au jeune homme, lui qui avait réagit à ses provocations. Et c'est cette dernière partie qui le perturbait le plus. Il se souvenait parfaitement de ce moment la, de son corps qui s'était instinctivement collé contre celui de Stiles, qui avait suivi le mouvement de son bassin. Il se souvenait parfaitement avoir répondu au baiser de l'adolescent, de cette difficulté qu'il avait eu à décliner l'offre alléchante que ce dernier lui avait fait, de cette pulsion qu'il avait eu de le traîner jusqu'à sa chambre pour lui faire des choses pas très catholiques et déconseillées au moins de 18 ans. Il ne se comprenait pas, il ne se comprenait plus, et ça le rendait fou, ça le mettait dans une rage folle.
Mais il était surtout perdu, face à un dilemme crucial : renvoyer Stiles chez lui et lui intimer d'oublier toute cette histoire, y comprit ce service débile, ou alors monter le voir et lui faire payer sa dette ainsi que tout ce qu'il lui faisait subir. Mais, bien que cette dernière proposition lui fasse plus qu'envie, il savait que ce n'était pas raisonnable voire même carrément dangereux pour lui comme pour sa victime. Et s'il risquait de blesser l'adolescent, il craignait aussi de se perdre lui-même. Car, s'il était passablement énervé, on pouvait aussi affirmer sans avoir réellement peur de se tromper qu'il était surtout terrifié. Rien que le fait d'avoir des sentiments était tout nouveau pour lui, alors d'en avoir aussi forts et qui plus est pour Stiles, ça le faisait carrément flipper. Et Derek se sentait faible, impuissant et démuni et il avait horreur de ça.
Maintes fois il avait du faire face à lui-même et à sa conscience mais jamais ça n'avait été aussi difficile. Un petit bruit de tissu froissé interrompit soudain sa réflexion et l'odeur de la confusion, du stress puis carrément de l'angoisse vinrent chatouiller son odorat et lui apprendre que Stiles s'était réveillé. Instinctivement, sans se poser de questions, il monta les escaliers qui le séparaient de son hôte.
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Stiles paniquait, les souvenirs de la vieille se rappelant par vagues à son cerveau. Mais surtout, le plus obsédant de tous ne lui laissait pas de répit, et il se revoyait sans cesse en train de frotter allègrement ses fesses contre Derek, le tout en poussant des petits gémissements obscènes. Et puis, il lui avait carrément fait des avances bordel de Dieu, utilisant cette foutue histoire de service !
Et maintenant il se retrouvait dans cette pièce inconnue, à moitié nu, et présumait qu'il était encore chez l'alpha, dans la partie qui leur avait été interdite. Un coup d'œil à l'escalier en colimaçon qui menait vers l'étage d'en dessous et un petit détour par ses souvenirs lui confirma cette hypothèse, pour son plus grand malheur. Génial, il était seul, dans l'appartement d'un loup-garou qui le détestait de base - pire que ça, dans son lit, se sentit-il obligé de rectifier - juste après avoir organisé une gigantesque fête dans ce même appartement, avoir enfreint les règles que son propriétaire avait posé et surtout après lui avoir plus que fait comprendre qu'il était intéressé par lui. Bordel il était dans la merde, c'était son dernier jour de vie. Derek allait le tuer, le découper en morceaux et peut-être même le faire cuire et le manger.
Alors qu'il était au bord de la crise de panique, son corps s'arrêta de battre et donc d'oxygéner son cerveau lorsque la personne qu'il redoutait le plus de voir apparut en haut des escaliers et s'arrêta devant lui. Sous le coup de la peur et de l'admiration, Stiles ouvrit grand la bouche et ses yeux s'écarquillèrent. La lumière du jour entrait maintenant à flots et entourait l'homme devant lui d'une aura blanche, presque surnaturelle qui le rendait encore plus beau. Il avait les cheveux en bataille et les cernes sous ses yeux clairs indiquaient qu'il n'avait pas passé une meilleure nuit que lui.
Pourtant, ça n'enlevait rien à son charme et son charisme naturel et Stiles se sentit tout petit, encore plus mal à l'aise qu'avant devant ces yeux inquisiteurs. Et il prit soudain conscience d'une chose, qui rendait la situation encore plus gênante qu'elle ne l'était auparavant. Il attrapa donc le coussin le plus proche et en couvrit son entrejambe proéminente.
Derek lui lança une serviette humide avec un simple grognement, et l'adolescent crut discerner un " nettoie toi le visage ". Ah oui, le maquillage. Il passa donc le linge à plusieurs reprises sur son visage, l'eau froide le réveillant un peu, l'aidant à reprendre ses esprits. Au bout de quelques minutes, il estima qu'il devait avoir plus ou moins reprit forme humaine et laissa choir la serviette autrefois verte, maintenant recouverte de rouge et de blanc. Il focalisa son attention sur Derek, qui l'observait toujours, ses yeux verts émeraude lui donnant l'impression de vouloir sonder son âme. Stiles, de plus en plus mal à l'aise, se décida enfin à briser le silence et commença d'une voix mal assurée et un peu rauque
" Euh on devrait .. parler non ? "
Derek le fixa encore plus intensément puis acquiesça. Stiles prit son courage à deux mains et balança
" Bon alors, par quoi tu veux commencer ? Le fait que je t'ai désobéi, que j'ai sans-doute dévasté ton loft, que je squatte ton lit, ou alors le Pire du Pire, et tuvoisdequoijeveuxparler. Donc, quel est le programme des réjouissances ? Tu me fais d'abord tout nettoyer à quatre pattes évidemment, avant de me torturer, de m'écarteler, de me trancher la gorge avec tes griffes, de me couper en morceaux avant de manger les meilleurs et donner le reste aux oiseaux ? Ou t'as prévu d'autres trucs encore plus atroces ? "
Devant l'air plus que sérieux de l'adolescent, Derek ne put s'empêcher de se mettre à rire. Puis il se rendit compte qu'il inspirait vraiment la peur à Stiles et redevint sérieux lui aussi. Il se décida à prendre la parole.
" Je .. non je ne compte pas te tuer et encore moins te torturer. " déclara-t-il simplement avant de plonger ses yeux dans l'océan chocolat face à lui.
" A .. Alors quoi ? " demanda bêtement Stiles, déconcerté et par la réponse qui venait de lui être donnée et par le regard de son vis-à-vis.
Ce dernier repartit d'un rire nerveux.
" Alors rien. Tu rentres chez toi dès que tu t'en sentiras capable et tu reviendras ranger avec le reste de la meute quand tu te seras reposé. "
Stiles fut désarçonné.
" Mais .. tu m'engueules pas au moins ? Enfin je veux dire .. on oublie tout ce qui s'est passé .. ? Vraiment TOUT ? " demanda-t-il timidement.
" Si c'est que tu veux, oui. " répondit simplement Derek en détournant les yeux.
" Et toi, qu'est ce que tu veux ? " fit l'adolescent, une lueur étrange dans le regard.
Le loup haussa les épaules, le regard toujours fuyant.
" Non parce qu'il va bien falloir remettre cette histoire de sevice sur le tapis à un moment donné et .. je veux dire, je suis là maintenant donc si tu veux quelque chose en particulier autant en profiter. " ajouta Stiles, se surprenant lui-même par son audace.
Son interlocuteur darda ses yeux verts sur lui, avant d'assener sur un ton presque désespéré
" Je sais pas ce que je veux. "
L'adolescent se leva et se dirigea vers lui, lentement, ne sachant pas très bien ce qu'il était en train de faire.
" C'est bizarre, affirma-t-il pour lui-même, je ne suis plus bourré pourtant je me sens comme si. C'est ça la gueule de bois ? J'ai jamais compris cette expression d'ailleurs, ça n'a aucun rapport avec l'alcool mais peut-être que c'est parce que je n'en avais jamais bu avant enfin si en petites quantités pour faire le malin à Noël devant Tata Simone mais oh pourquoi je parle de ça, je t'en prie Derek fait moi taire. "
Ce dernier ne se fit pas prier et mit le seul plan qu'il avait trouvé à exécution : il se pencha vers l'adolescent et l'embrassa, les surprenant tous les deux. Le baiser était chaste au début, leurs lèvres bougeant simplement l'une contre l'autre, appréciant cette sensation nouvelle, mais se fit rapidement plus pressant. Une des deux langues se mit en quête de son homologue et força l'entrée de la bouche de son propriétaire. S'ensuivit une valse qui se transforma bientôt en une lutte féroce pour savoir qui aurait le dessus. Elles se séparèrent enfin à regret, les lèvres se quittant, les poumons réclamant de l'air.
Leurs deux têtes se levèrent en même temps, permettant à leurs yeux de s'accrocher et de se livrer une lutte sans-merci, émeraude contre chocolat, froid contre chaud, mais tous deux consumés par le même désir. Pendant ce temps, les doigts s'entremêlaient les cœurs s'emballaient, les érections grandissaient. En clair, tous les membres de leurs corps répondaient aux signaux que leur envoyait l'autre, sauf leurs cerveaux.
Les deux hommes livraient bataille contre leurs principes et leurs peurs mais aussi contre leurs envies et leurs empressements. C'était à celui qui perdrait le contrôle le plus rapidement. Derek perdit à ce jeu la et revint bien vite à l'assaut, fondant sur le torse nu de Stiles, déposant des baisers brûlants sur la moindre parcelle de peau qu'il pouvait atteindre. L'adolescent ne tarda pas à le rejoindre dans la luxure et glissa ses doigts dans les cheveux de son amant, en poussant des petits gémissements qu'il n'arrivait pas à retenir. L'aîné comprit le message implicite et, lorsqu'il parvint au téton de l'humain, il commença à l'attaquer avec sa langue, puis avec ses dents, mordillant légèrement. Il remonta jusqu'à son cou, son nez effleurant la peau laiteuse et arrachant des frissons à sa victime, qui redoublèrent lorsqu'il commença à embrasser fiévreusement son cou tendu, puis à aspirer la peau, laissant des petites traces violettes.
Mais Stiles, qui ne voulait pas être en reste, se dégagea de l'étreinte du loup et lui arracha son t-shirt, puis s'arrêta un instant pour contempler le torse qui s'offrait à lui. Il avança la main, effleurant la peau bronzée et retraçant les contours des muscles, faisant tressaillir leur propriétaire. Ses mains se posèrent sur les hanches de Derek et descendirent dans son bas du dos, et le loup se cambra.
Stiles en profita pour lui retirer son pantalon, les deux hommes se retrouvant maintenant tous deux en boxer ( un point partout, la balle au centre ) et vint se coller contre lui, frottant leurs deux érections à travers le tissu. L'alpha grogna et le repoussa légèrement, puis libéra son sexe douloureux de l'emprise du boxer, invitant l'adolescent à faire pareil. Mais lorsque les deux hommes se retrouvèrent nus l'un en face de l'autre, Derek eut soudain un accès de lucidité et s'adressa à Stiles
" Tu veux vraiment .. ? Je veux dire, tu ne pourras plus revenir en arrière après et .. "
Mais l'intéressé l'interrompit et retourna se coller contre lui, permettant enfin à leurs peaux brûlantes de se rencontrer, et lui susurra d'une voix rendue rauque par le désir
" Ce que je veux, c'est que tu ne t'arrêtes surtout pas. Considère que je te rends ton service. "
Sur ces paroles, il esquissa un mouvement pour se saisir de la virilité de son amant, mais celui-ci ne l'entendait pas de cette oreille. Il retourna l'adolescent et le poussa sans ménagement vers le mur tout en lui embrassant le dos. Stiles recula instinctivement les fesses, les offrant à son partenaire qui ne se fit pas prier pour en prendre possession, et il grimaça quand un premier doigt vint se glisser en lui. Mais il s'obligea à se détendre, Derek caressant son torse d'une main et continuant d'embrasser son dos et sa nuque quand un deuxième doigt vint rejoindre le premier, puis un troisième. L'aîné le prépara avec soin et, lorsqu'il sentit son amant prêt, il lubrifia son sexe avec de la salive et se présenta à son entrée avec son sexe avant de s'enfoncer en lui d'un coup de rein, puis stoppa tout mouvement. L'autre gémit sous la douleur de l'intrusion mais Derek fit glisser la main le long de son torse, à la recherche de son sexe pour lui faire oublier la douleur. Il s'en saisit et commença un mouvement de va-et-vient, qu'il imita avec son bassin après avoir prévenu Stiles. Ce dernier poussait maintenant des petits gémissements de plaisir, qui s'intensifièrent proportionnellement à la vitesse et la force des coups de rein de l'alpha, qui buttait à chaque fois contre sa prostate. Ces derniers ainsi que le sort que faisait subir la main de son amant à son sexe eurent raison de lui et il jouit, bientôt imité par Derek qui se déversa en lui.
Celui-ci s'écroula sur son dos, tous deux s'appuyant sur le mur, incapables de bouger. Stiles, les jambes flageolantes, arborait un sourire béat et se tourna vers le loup. Celui-ci comprit la demande implicite et l'embrassa, avant de le prendre dans ses bras et de l'emmener vers le lit. Alors que tous deux étaient sur le point de sombrer dans le sommeil, Stiles brisa le silence et demanda malicieusement
" Alors, on est quittes maintenant ? "
Derek se tourna vers lui, le fixant de ses magnifiques yeux verts.
" En théorie oui. Même si j'aurais bien aimé que tout ça ne se passe pas uniquement parce que tu avais un service à me rendre. " déclara-t-il, ce à quoi Stiles répondit par un sourire espiègle.
" Oh mais je compte bien remettre ça Sourwolf, et pas uniquement parce que j'ai un service à te rendre. "
Et il fondit sur les lèvres de l'alpha, espérant reprendre possession de son corps immédiatement. Mais soudain, des voix se firent entendre et quelqu'un cria
" Houhou t'es la ? On vient ranger ! Derek ? "
Les deux amants se regardèrent affolés.
" Merde ! "
" .. Oui mais voilà, parfois les masques tombent. "
FIN.
Note : Eh voilà encore une de mes fics de fini bouhouhouhou :'(:'( donc voilà, comme je l'avais annoncé c'était une fic assez courte, j'espère qu'elle vous a plu, en tout cas moi j'ai bien aimé l'écrire. Désolée pour ce lemon aussi, évidemment vous pouvez me lyncher, les reviews ou les PM sont la pour ça, et puis je sais que c'est mérité lol. Je crois que je vais définitivement arrêter les lemons d'ailleurs XD
Enfin bref, merci de m'avoir lu, merci à ceux qui ont mis des reviews ( surtout les guests que je n'ai pas pu remercier ) et évidemment ceux qui ont fav ou follow cette histoire, vous êtes géniaux :3:3 ! Bizzzzzzzzz