Note de l'auteure : Ceci est le dernier chapitre qui conclura ce Three-Shot, qui à la base devait être un One-Shot !

/!\ Je tiens aussi à remercier particulièrement Elise477 car elle m'a donné une idée pour ce chapitre, même si je pense que ce n'est pas la même idée que tu avais au départ, mais j'espère que ce chapitre te plaira tout autant que les autres :D /!\

Réponses aux rewiews :

Elise477 : Je te présente la vrai fin ! Et j'espère vraiment qu'elle te plaira !

Guest (sûrement Marie ! ) : Et ben la voilà ! J'espère que cette fin va te plaire :)

E.T : Merci pour ta double rewiew. Et oui, je vois ce qui manque, et j'èspère que tu seras satisfait avec ce chapitre :)

M Ac : Je crois que toutes les fans de Yaoi ne lisent plus beaucoup d'hétéro x) Je suis contente qu'elle te plaise quand même :D! Et je ne vois pas de quoi tu parle. Qui est ce donc cette fameuse Lowelie ?

Bref : Bonne lecture :D !


Chapitre 3 :

La salle était remplit. Enfin, si l'on pouvait appeler cet endroit une salle. Trois personnes étaient debout. Vêtue d'une longue tunique, tenant un livre ouvert, en dessous d'une arche ornée de fleurs blanche. Et deux autres personnes en face de ce dernier, se tenant les mains fermement tout en souriant. Une en robe de mariée blanche, et l'autre avec un costume noir. Ils étaient heureux, ce jour était celui qu'ils attendaient depuis trois ans. Le temps semblait s'être arrêté. Un silence impérial était présent dans la salle. Il fut brisé par le prêtre, qui fit répéter quelque chose à l'homme en face de lui, qui sourit d'avantage.

-Moi Erwin Smith, Je te reçois Rubis Bennet, comme épouse légitime et je te promets de rester fidèle, dans le bonheur et dans les épreuves, dans la santé et la maladie, pour t'aimer tous les jours de ma vie.

Comme pour accompagner sa parole, il prit entre ses mains un anneau qu'il mit a l'annulaire gauche de sa futur épouse. On dit que les mariés se le mette sur ce doigts précis, car c'est le seul ayant une veine reliée au cœur.

-Moi Rubis Bennet, Je te reçois Erwin Smith, comme époux légitime et je te promets de te rester fidèle, dans le bonheur et dans les épreuves, dans la santé et dans la maladie, pour t'aimer tous les jours de ma vie.

Elle prit un anneau et le passa sur l'annulaire gauche de son futur époux. Le prêtre ferma son livre et annonça d'une voix roque et haussé :

-Peuple de Trost, vous qui vivez derrière Maria, par leur consentement mutuel, je les déclare unis aux yeux de tous par les liens sacrés du mariage. Vous pouvez embrasser la mariée.

Le blond lâcha les mains de sa nouvelle femme, souleva le voile qui ornait son visage, le prit entre ses mains et l'embrassa. Ce baisé n'était pas comme les autres pour la petite Rubis. C'était son premier baisé en tant que mariée. Elle ressentait une sorte de passion qu'elle n'avait encore jamais connue jusque là. Et de plus, savoir que c'était Erwin, son mari, la rendait d'autant plus heureuse. Le baisé se brisant, ils se tournèrent vers l'assemblée constituée des amis et parents les plus proche, qui se levèrent et applaudirent les mariés, criant leur joie pour eux.

Les deux nouveaux mariés sourirent et suivirent les invités, allant dans une petite rue pour finir la soirée. Tous le monde chantait, dansait, souriait. C'était magique. Cette soirée était la plus belle qu'elle avait passé depuis des années. Quand elle fut fiancé à Erwin, elle était allée l'annoncer à sa mère qui sauta de joie. Son père quant à lui était allé chercher Erwin, pour lui passer un interrogatoire et surtout pour aller lui demander pourquoi il n'était pas venu lui demander la main de sa fille correctement. Quand ce dernier lui avait répondu que cette demande c'était faite sur un coup de tête, il en avait bien rit.

Quand à Rubis, elle était allée s'expliquer avec Don, lui expliquant tout ce qu'elle ressentait, lui disant qu'elle en aimait un autre et qu'elle ne pouvait revenir avec lui. Contre toute attente, ce dernier avait accepté cela, comprenant les sentiments de Rubis. Au fil des années, leur relation c'était développée, devenant une relation amical, presque fraternel, et Don c'était mit avec quelqu'un d'autre, ce qui ne dérangait aucunement Rubis. Celle-ci était heureuse pour son ami et ex petit-ami. La rumeur de leurs fiançailles fit le tour du quartier, et ne fis pas l'unanimité, mais le douzième commandant du bataillon d'exploration avait fait taire ces langues de vipère.

Malgré beaucoup d'obstacles, ils y étaient finalement arrivés. Ils étaient là, tous ensembles ici, assis à cette même table. Certains s'amusaient plus que d'autres, mais tout le monde profitait de cette soirée. Erwin se retrouva seul, laissant sa femme danser avec celui qui était maintenant son beau-père, tradition que son père voulait respecter à tout prix et qu'il comprit parfaitement. Il sirota son vers d'alcool, avant de sourire face à son commandant qui était venue s'asseoir à côté de lui.

-Mon petit Erwin est devenu grand maintenant ! Dit ce dernier en souriant.

-Commandant arrêter avec ça je vous pris ! Répliqua Erwin.

-Appelle moi Jack ce soir Erwin. L'interpellé acquiesça. Je sais que tu as déjà reçu un cadeau de notre part à Adria et moi, mais je voudrais t'en faire un autre le bleu.

Le blond tiqua à l'entente de ce surnom. Son commandant ne changerai jamais, mais d'une certaine façon, c'est ce qu'il appréciait chez lui, cette façon je m'en foutiste d'agir, et ce caractère de gamin qui savait se faire respecter tout de même. Mais le regard mélancolique de ce gamin je m'en foutiste l'inquiétait. Il détourna la tête, la levant vers le ciel.

-Le bataillon d'exploration a vraiment fait du chemin depuis sa création. Au début personne ne nous respectait, mais on a réussi tant bien que mal à se faire à peu près apprécier du peuple, et ça parce que tu étais là Erwin et je t'en remercie. Il soupira. On est tous une grande famille, vous êtes comme mes enfants, que ça soit les nouveaux comme les anciens.

Le commandant ferma les yeux, et sourit.

-Vous m'inquiétais Jack.

Le dénommé Jack agrandit son sourire et laissa un petit rire traverser ses lèvres.

-Ce que je veux dire par là Erwin, c'est que j'ai essayé de prendre soin de vous du mieux que j'ai pu. Je me rappelle de chacun de vous, même de ceux qui ne sont plus là aujourd'hui. Mais le temps passe, et la vieillesse me rattrape Erwin. Le commandant se tourna vers son second et lui posa une main sur son épaule. Je prends ma retraite, je veux que tu me succède. Et je ne veux aucune objection. Tu es le plus qualifié pour se poste et tu le mérite !

Erwin écarquilla les yeux de surprise. Il ne bougea pas pendant plusieurs minutes. Avait-il bien entendu ? Son commandant prenait sa retraite et lui laissait les bataillons ? Mais comment était-ce possible ? Malgré le fait qu'il affirmait être vieux, il avait encore de belles années devant lui ! Il finit par sourire, heureux d'avoir été choisi. Cela voulait dire que cet homme qu'il respectait au même niveau que son père lui vouait une confiance assez grande pour lui laisser les rênes du bataillon. Il lui posa à son tour sa main sur son épaule et trinquèrent à leur nouvelle vie.

Le reste de la soirée se passa vite, et les jeunes mariés, ainsi que les invités rentrèrent chez eux. Une fois la porte fermée, le silence animait la pièce. Erwin s'approcha de sa belle et l'embrassa tendrement, baissant ses mains sur ses hanches, rapprochant leur corps. Rubis montât les mains dans les cheveux de son bien aimé, les laissant se perdre dans sa chevelure de blé. Leur baisé passionné prit fin, les laissant essoufflés. Mais Rubis ne laissa pas le temps à Erwin de se reposer qu'elle prit ses lèvres et recula, l'attirant à elle pour finalement tomber sur le lit.

Il délaissa ses lèvres, et vint passer sa langue sur ces dernières pour finir par retracer la ligne du menton de Rubis. Il passa les mains derrière son dos, défaisant le ruban qui tenait sa robe. Cette dernière se desserra, et Erwin lui enleva, la laissant en sous vêtements devant lui. Il reprit ses lèvres, et vint de ses mains caresser chaque parcelle de peau qu'il pouvait. Rubis s'activa et lui enleva sa veste, pour s'attaquer à sa chemise. Elle réussit à enlever ses chaussures, et laissa les mains d'Erwin enlever ses bas en dentelles blancs pour les faire atterrirent par terre.

Il défit son soutient gorge et délaissa sa bouche pour venir lécher la poitrine de la jeune fille, laissant quelques morsures et quelques marque violettes apparaître, laissant une trace de son passage. Rubis émit des soupires d'aise. Elle agrippa les cheveux d'Erwin quand ce dernier s'attaqua à ses seins. Il malaxatson sein droit d'une main, tandis qu'il léchait l'autre, mordillant quelques fois la chaire tendre, laissant sur celui-ci aussi quelques marques plus colorées, montrant sa possessivité à sa demoiselle. Rubis gémissait déjà face au traitement de bien être que le blond lui faisait subir.

Elle descendit ses mains sur sa nuque, qu'elle massa, laissant Erwin sortir quelques soupires d'aises ce qui la fit frissonner. Sentir le souffle froid de son amant contre sa peau chaude lui faisant du bien. Elle lui souleva le menton, lui volant un baisé. Il vint de sa deuxième main malaxer le sein libre de sa femme, la faisant se cambrer de plaisir. Elle vint tant bien que mal caresser le torse pâle du blond, qui souriait face au spectacle que sa femme lui offrait. Elle se sentit vexé, mais laissa ce sentiment disparaître quand Erwin accentua ses caresses, laissant un voile rouge apparaître sur son visage et se cambrant une énième fois avec un nouveau gémissement, encore plus fort que le autres.

Rubis commença à trembler d'excitation quand la langue aventureuse d'Erwin vint lécher son nombril, la roulant dedans. Rubis caressait les cheveux d'Erwin, incitant ce dernier à continuer ce qu'il fit sans se faire prier. Une sensation de chaleur commençait à naître aux creux des reins de Rubis, laissant une sorte de contraction naître au niveau de son bassin. Erwin glissa une de ses mains d'une froideur agréable sous le sous-vêtement du bas de sa dulcinée, lui faisant émettre un petit cris de surprise disparaissant face aux gémissements qui s'accentuaient face au massage qu'Erwin lui faisait subir.

Rubis ne se retenait plus maintenant. Elle n'arrivait presque plus à respirer. Une grande excitation venait de naître en elle, et elle vint cacher ses yeux d'un de ses avant bras. Voyant ceci, Erwin se releva, accentuant son massage, et alla enlever l'avant bras de Rubis. Cette dernière ferma les yeux. Il vint l'embrasser.

-Regarde moi.

La voix d'Erwin était douce et calme, ce qui fit entrouvrir les yeux de la jeune fille qui n'était plus que luxure. Une sorte de buée vint recouvrir ses yeux, et ses halètements se firent plus présent. Elle se cambra, sentant une nouvelle contraction et un cri plus fort que les autres sortit. Son cœur commença à battre plus fort à l'intérieur de sa poitrine, son sang tambourinait dans sa tête. Elle se cambra une nouvelle fois, criant le nom de son mari. Le blond sourit et vint voler un baisé à sa femme, l'approfondissant malgré les halètements de cette dernière.

Les deux muscles humides se rencontrèrent, laissant une danse sensuelle et érotique débuter. Rubis noua ses bras autour du cou d'Erwin, le rapprochant un peu plus d'elle. Ce dernier en profita pour lui enlever la dernière barrière de tissu qui la protégeait, laissant le sexe chaud de sa femme se coller contre le tissu de son pantalon, ce qui valut à Rubis un gémissement de bien être face au frottement du tissu contre son intimité. Quand ils se séparèrent, Rubis haletant plus sévèrement, Erwin en profita pour introduire un doigt en elle.

L'effet fut immédiat et Rubis se contracta contre celui-ci, son intimité essayait de le repousser mais en vain. Quand Erwin l'enfonça plus profondément en elle, elle gémit et se cambra violemment en arrière, trop prise dans les limbes du plaisir. Il en entra un deuxième, et commença à les mouvoir en elle, laissant ses délicieux gémissements remplir la pièce. Au bout de quelques temps, il les enleva, et fini par enlever son bas et son boxer, et se plaça entre les jambes de sa belle qui lui ouvrait grand les bras. Il se laissa tomber contre elle la serrant contre lui, et rentra doucement en elle, laissant des petits gémissements sonores se faire entendre dans l'oreille de Rubis, qui elle ne cessait de gémir, serrant toujours plus son homme contre elle.

Une fois en elle jusqu'à la garde, il se défit de son étreinte, et prit sa main qu'il serra dans la sienne. Il commença à se mouvoir en elle, allant lentement au début, puis sous les demandes silencieuses et sous les délicieux gémissements de Rubis, accentua sa vitesse, laissant sortir de ses cordes vocales, des gémissements plus ou moins forts. Ses coups s'accentuèrent, et Rubis se cambra de plus en plus violemment, jusqu'à trembler d'une excitation qui lui était nouvelle. Pendant cette soirée, Rubis avait découvert de nouveaux sentiments, des choses dont elle ne connaissait pas l'existence et cela lui faisait peur.

Mais voir le sourire de son ange la rassurait, se disant qu'elle pourrait tout affronter du temps que l'homme qu'elle aimait serrait à ses côtés pour toujours. Les mouvements d'Erwin s'intensifièrent une nouvelle fois, et fit gémir encore plus bruyamment Rubis. Cette dernière cria le nom de son amant une deuxième fois, et comme à son habitude s'agrippa au dos de son amant qu'elle griffa, lui montrant le plaisir qu'il lui procurait. Ses muscles vaginaux se contractèrent encore plus fort, laissant un Erwin qui avait atteint l'orgasme, se déverser en elle.

Les corps chauds de nos deux amants se rencontrèrent. Erwin sortit de sa belle et s'allongea contre elle, fermant les yeux. Rubis recouvrit leur corps encore brûlant du désir qu'ils venaient d'assouvir. Elle caressa les cheveux de l'homme qu'elle appelait fièrement son mari, et s'endormit avec lui dans ses bras. Le lendemain, se fut la lumière du soleil qui les réveilla. Mais Rubis refusait d'ouvrir les yeux. Mais elle ne put les laisser fermer quand Erwin lui annonça qu'il était le nouveau commandant des explorateurs. La mariée allait répondre, mais quelques choses remontât en elle.

Elle mit sa main devant sa bouche, se leva du lit, recouvrant son corps d'un drap et alla aux toilettes où elle laissa couler de sa bouche un liquide verdâtre. Quand se fût finit, elle se leva, et se lava les dents, ainsi que la bouche et fini par tirer la chasse d'eau. Erwin vint vers elle, et la regarda avec une certaine inquiétude dans le regard. Elle lui sourit, et il la prit dans ses bras. Les semaines passaient, et Rubis ne cessait d'avoir des nausées matinal, et son absence de règle l'inquiétait fortement. Elle était atteinte de saute d'humeur, qui faisait qu'Erwin s'inquiétait.

Des crampes d'estomacs, et de grosses envies d'aliments vinrent s'ajouter, et inquiète elle alla chez Grisha pour une auscultation. Quand ce dernier lui annonça qu'elle était enceinte, elle se statufia, avant de sourire. Elle partit et alla dans le bâtiment du bataillon, dans le bureau de son mari, saluant au passage plusieurs soldats dont elle avait fait la rencontre. Quand elle entra dans le bureau. Elle vit l'ex commandant, apprendre au nouveau commandant comment gérer une armée, et comment remplir plusieurs papiers. Cette scène fit rire Rubis tendrement, attirant sur elle l'attention des deux hommes.

Jack la salua avec un sourire et un petit geste de la main, tandis qu'Erwin la regarda avec incompréhension.

-Désolée de vous déranger les garçons, mais je voulais juste dire à Erwin que je suis enceinte. Bon bah, à plus tard ! Fit-elle avec un grand sourire avant de refermer la porte.

Elle repartit chez elle, le cœurs léger, chantonnant une musique douce, heureuse de porter l'enfant de l'homme qui lui avait volé son cœur. Le soir venu, elle commença à préparer le repas, voulant qu'Erwin mange directement après être rentré du travail. Quand la porte claqua, elle tourna la tête et Erwin vint directement l'embrasser, caressant son ventre doucement. Il était heureux, il allait devenir papa, et surtout avec Rubis comme femme. Ils s'embrassèrent une nouvelle fois, et ayant finit de manger quelques temps plus tard, ils allèrent s'endormir dans les bras l'un de l'autre.


8 ans plus tard...

Un petit garçon était assis, un livre entre les mains. Il rêvait de ce monde qu'il ne lui était pas offert. Ce garçon avait à peine sept ans, mais son intelligence et son imagination étaient déjà fortement développés. Les rayons du soleil couchant dessinaient les très fin de sa peau halée. Ses yeux bleus étaient concentrés sur ces phrases merveilleuses qui parlaient du monde extérieur. Ses cheveux cuivrés, court mais ornés de petites bouclettes, dansaient au rythme du vent qui s'engouffrait dedans et ressortait en chantant.

Il était assis sur la rive centrale, un pied pendant dans le vide, et qui touchait presque l'eau, et l'autre plier en tailleur qui s'appuyait sur sa cuisse tendue. Son livre l'absorbait plus qu'il ne le croyait. Une jeune fille du même âge vint se mettre derrière lui, se penchant, lisant par dessus son épaule. Elle, avait la peau d'une blancheur tel que la lune, mais pas trop, certain reflet de beige pouvaient se faire voir. Elle avait les yeux gris foncés, et deux couettes à l'arrière de sa tête, laissaient tomber ses cheveux châtain foncés jusqu'au bas de son dos.

Elle vint finalement s'asseoir à côté du garçon, qui par réflexe tendit ses bras, laissant un trou rond se former, et s'assit écartant légèrement ses jambes. La petite châtain, ayant compris le message vint s'asseoir entre les jambes du jeune homme, et s'adossa contre son torse. La lecture reprit, laissant apparaître la lune et des millions d'étoiles mystérieuses mais brillantes. Il ferma son livre et regarda la petite fille qui s'était endormie contre son torse. Il lui caressa la joue, et la secoua légèrement. Cette dernière ouvra légèrement les yeux et se les frotta.

Elle se redressa et bailla, bougeant légèrement ses jambes qui flottaient dans le vide. Il se leva et lui tandis une main qu'elle prit et se leva à son tour. La petite châtain avait un visage blasé tandis que le garçon abordait un sourire qui illuminait cette rue sombre. Ils croisèrent pas mal de monde avant d'arriver devant une petite maison où ils rentrèrent. Rubis se tenait assise, un café en main, face à Lowelie, qui elle buvait du thé. La table était déjà dressée et les deux femmes se tournèrent vers les enfants. Ils s'installèrent à table et mangèrent dans une ambiance de discussion animé.

Seule la petite fille ne parlait pas beaucoup.

-Tu ne parles pas beaucoup Anastacia, un problème ? Demanda Rubis à la petite fille.

-Nh.

Lowelie soupira.

-Elle est fatiguée. On s'est levées tôt ce matin pour voir Levi partir.

Rubis acquiesça. Elle comprenait, après tout, Théodore et elle avait fait la même chose. Ce matin, pour une raison qu'Erwin n'avait pas partagé, il avait mené le bataillon d'exploration en dehors des murs. Enfin, inconnue, inconnue... Elle savait très bien de quoi il retournait. Depuis la chute de Shinganshina, le bataillon d'exploration était acculé et surtout subissait une certaine pression. Ce qui leur faisait faire fréquemment des expéditions extra muros. Enfin, par fréquemment elle entendait plus que la normale, car à chaque fois que le bataillon doit en faire, les impôts augmentent un temps...

Et faut avouer que ces derniers ne sont pas bas... Mais ils ne sont pas encore partit à l'extérieur du murs. Les soldats ayant une famille ont le droit de vivre autre part que dans les bâtiments militaires, mais quand une expédition se prépare, ils doivent partir la veille et dormir là-bas, au grand damne des nombreuses familles qui les attendent...

Anastacia avait beaucoup plus pris, au grand damne de certaines personnes - mais à la grande joie de son père, de Levi que de Lowelie, mais qu'importe, les enfants s'entendaient bien, c'était l'essentiel.

Le repas se termina et Anastacia et Lowelie partirent. Avant que la porte ne claque, la petite Anastacia vint déposer sur la joue de Théodore un baisé. Elle avait dû se mettre sur la pointe des pied, ayant hérité de la petite taille de ses parents. La porte se ferma finalement, laissant la pièce vide de bruit. Théodore aida sa mère à ranger, et prit d'une soudaine fatigue, il s'endormit sur la table qu'il avait lui même nettoyé. Rubis rigola tendrement, et pris son fils dans ses bras pour l'emmener dans sa chambre. Elle, alla se doucher et se coucher à son tour. Morphée l'appela et elle le rejoint.

Elle s'endormit sur un mauvais pressentiment. Comme si demain allait être un mauvais jour. Déjà qu'elle s'inquiétait pour Erwin, ce pressentiment était quelque chose de trop. Le lendemain ce fut le frottement d'un tissu qui la réveilla. Elle ouvrit les yeux, et vit Théodore en train de dormir à ses côtés. Elle eut un petit sourire avant de passer sa main sur sa tête, remontant les quelques bouclettes qui lui étaient descendues sur le front et déposa un tendre baisé sur ce dernier. Quand il était petit et qu'Erwin partait en dehors des mûrs, elle avait prit l'habitude de le faire dormir avec elle pour ne pas se sentir trop seule, et depuis, à chaque fois qu'Erwin partait ils dormaient ensemble.

Quand il avait commencérà grandir et qu'elle le déposait dans son lit, il se réveillait la nuit et venait s'endormir au près d'elle, et avec ce qu'elle voyait chaque matins, cette petite habitude ne semblait pas vouloir s'arrêter. Pour une certaine raison, cela lui plaisait de savoir qu'avec le temps qui passe, son fils ne changeait pas. Elle se leva finalement et alla préparer le petit déjeuner. Quelques minutes plus tard, l'odeur ayant remplit la petite pièce de la cuisine et ayant continué son chemin jusqu'au salon où résidait un canapé-lit, un Théodore à peine réveillé et se frottant les yeux apparu et vint s'asseoir automatiquement sur une chaise tandis que sa mère lui servait un petit bol de chocolat chaud et quelques petites tartines qui, grâce au grade d'Erwin étaient un luxe qu'ils pouvaient s'offrir de temps en temps.

Le petit engloutit son petit déjeuner avec sa mère, et une fois prêts, ils allèrent ensemble au marché, où ils croisèrent comme à leurs habitude Anastacia et sa mère. On pouvait voir une foule se rassembler à un certain endroit, et on vit du haut de leurs chevaux, le bataillon d'exploration passer. Erwin vit le regard de sa femme et lui envoya un bref sourire auquel Rubis répondit d'un bref soupire puis d'un sourire éclatant. Son fils fit de même, et après qu'Anastacia et Lowelie firent pareille avec Levi, ils repartirent en direction du marché.

Un petit groupe de trois personnes attirèrent leur attention, étant un peu plus bruyant que les autres. Il était constitué d'une fille à l'air blasé, d'un garçon aux yeux bleus avec les cheveux blond, et d'un autre garçon avec des yeux émeraudes et des cheveux ébènes. Ils portaient l'uniforme des nouvelles recrus. Cette dernière sourit, se disant que les jeunes recrue d'aujourd'hui promettaient d 'être fort inintéressantes. Elle leva les yeux au ciel et regarda le soleil brillait. Son mauvais pressentiment était toujours présent. Rubis rentra et fit à manger, le repas se passa dans le silence, Théodore n'étant pas là, elle s'autorisa à se laisser aller, se posant après avoir fini de manger, sur le canapé-lit.

Théodore rentra, et quelques minutes plus tard après qu'il soit rentré, des cris se firent entendre, ce qui alerta nos deux protagonistes. Ils sortirent et virent des gens figés sur place, son mauvais pressentiment s'accentua et elle prit son fils dans ses bras. Elle alla se poser sur la route principale, et ce qu'elle vit la figea. Il était là. Lui. Sa tête dépassant du mur. Il n'avait pas de peau, et on pouvait voir sur le mur des soldat ancrés dans celui-ci. Le titan colossal était de retour. Elle se mit à trembler légèrement, et la main du Titan colossale vint s'agripper au haut du mur. Quelques secondes plus tard, un bruit de défoncement se fit entendre.

Puis plus rien, un plan, et des cris de terreurs suivirent. Un des soldat se précipita sur lui, laissant le gaz de son équipement tridimensionnelle le portait dans les air. Rubis écarquilla les yeux, le voyant foncé sur lui, évitant avec habilité le bras de ce dernier, et quand elle le vit aller derrière lui un petit sourire lui échappa. Quand son amie se montra devant elle, Anastacia dans les bras, elle comprit vraiment la gravité de la situation. Lowelie lui prit le bras, et elles se mirent à courir toutes les deux, essayant tant bien que mal d'éviter la foule qui les bousculait mais en vain, les gens avaient trop peur.

On vit sur les toits plusieurs soldats se déployer, laissant le gaz de leur équipement faire pression sur la tête de certaines personnes. Les deux femmes tournèrent dans une petite ruelle, espérant éviter la foule, mais des bruits de pas se firent entendre lorsqu'elle débouchèrent sur une autre route. Elle virent au loin la tête d'un titan dépasser et elles se remirent à courir dans la direction opposée. Beaucoup de cris d'horreur se faisait déjà entendre, mais elles ni firent pas attention, fermant les yeux pour les oublier. Mais, laissant les émotions les submerger, elle finirent dans un cul de sac, et une ombre derrière elles apparue. Elles se retournèrent avec crainte et elle le virent. Devant elles, un titan était là. Par simple réflexe Lowelie attira Rubis derrière elle, lui donnant par la même occasion sa fille. La seule pensée qui traversa Rubis à cette instant là fut Erwin...


Pendant ce temps là...

Erwin et le bataillon était arrivé dans un village où plusieurs Titans étaient présent. Ils étaient descendus de leurs chevaux et la plupart étaient en train de créer des points de ravitaillement avec Erwin, tandis que les autres essayaient de se débarrasser des titans qui voulaient manger les braves hommes du baitaillon d'exploration. L'un des titans se tenait debout, les jambes un peu plisser au niveau des genoux, et les bras légèrement pliés au niveau des coudes. Il avait la tête haute et mâchouillait un homme blond, comme si tout était normal.

-Vous verrez...commença l'humain en train de se faire manger, Tôt ou tard, vous... L'humanité vous anéantira. Il commença à se redresser légèrement. A la fin, c'est l'humanité qui survivra ! Il planta la lame cassée de son équipement dans la joue du Titan.

Le Titan quand à lui, baissa les yeux vers l'homme blond et le mordit encore plus, laissant des effluves de sang sortir et éclabousser son visage. Un cri de douleur provenant de l'homme se fit entendre. Il se mit à trembler de douleur.

-Vous serez tous exterminés par le caporal chef Rivaille ! Cria t-il les larmes aux yeux.

Ce dernier lança un des câble vers le bâtiment à côté du Titan et vint le couper au niveau de sa nuque, laissant retomber son solda et le Titan mort. Il se mit sur un toit et regarda aux alentours. Un Titans à droite et deux à gauche. Certains soldats vinrent à sa rencontre, il les divisa et ils allèrent s'occuper des Titans. Erwin quant à lui, sourit face à la scène qu'il venait de voir. Au fond, Levi le surprendrai toujours. Malgré ses airs froid et distant, il avait vraiment un grand cœur au fond. Il aida l'un de ses hommes à finir de remplir l'endroit de ravitaillement et ils allèrent se positionner sur un toit.

Il fronça les sourcils en voyant le spectacle qui se dérouler devant lui, plusieurs Titans se dirigeaient vers le mur. Un tilt dans sa tête se fit sentir, il sauta sur son cheval et alla rejoindre Levi qui tenait la main de son homme à terre. Petra était en train de pleurer. Son soldat devait sûrement être mort.

-Rivaille !

Le caporal-chef se leva et se retourna vers son commandant.

-On se repli !

Petra se releva. Elle laissa échapper un « Hein ? »

-On se replit ? Reprit le caporal. On aurait put aller plus loin, un air sévère s'ancra sur son visage, mon soldat est mort pour rien ?

Erwin le regardant avec un air sévère, lui aussi, sur son visage.

-Des Titans se dirigent ensemble vers la ville.

Petra et Levi se contractèrent face à cette parole.

-C'est comme il y a cinq ans, il se passe quelque chose en ville. Le mur a peut-être était détruit. Dit-il en tournant son visage vers la direction qui menait à Trost.

Une seule pensée traversa Erwin à la fin de cette phrase, cette pensée était celle de sa femme et de son fils en train de courir pour leur vie. Levi pensa pareil, mais pour sa propre famille. Ils devaient retourner coûte que coûte à Trost, et sans perdre une seconde...


-Merde ! Fut le seul mot prononcé.

Ce seul mot définissait très bien la situation dans laquelle les deux femmes et enfants se trouvaient. Le titan plia ses genoux et approcha une main rapidement vers les quatre personnes qui l'esquivèrent. Elle poussa Rubis vers l'avant la faisant courir pendant que le titan était trop occupé à rapporter sa main vers lui. Il ré-attaqua vers Lowelie, qui l'esquiva encore une fois et partit à la poursuite de Rubis. Elles arrivèrent à lui échapper mais ce dernier les poursuivait, et les rattrapait vite.

Son pied les dépassa, et quand les deux jeunes femmes croyaient que leur heure était venue une personne vint tuer le titan, venant par le haut pour lui découper la nuque. Rubis redonna Anastacia à sa mère, et elles regardèrent leur sauveur. C'était une fille portant une écharpe rouge, et ayant les yeux en amendes. Rubis sourit à la personne, la reconnaissant et Théodore alla vers le soldat lui donner une fleur qu'il avait cueillit plutôt. La femme la prit, un peu rouge sur les joues, et remercia le jeune garçon.

Ce dernier lui sourit. Anastacia quand à elle, se mit par terre et commença à tirer la gueule, ayant un drôle de sentiment qui se créait en elle. La fille à l'écharpe rouge fit un salut, et partit. Il fallut dix bonnes minutes de courses avant que deux femmes arrive vers la porte de sortie. Mais ici, un chariot bloquait l'entrée, et plusieurs personnes criaient contre l'homme qui ne voulait pas faire bouger son chariot. Puis des bruits de pas se firent entendre et tout le monde se retourna. Un titan fonçait droit sur eux. Dans des cris de paniques, tout le monde essaya de pousser le chariot mais en vain.

Le titan se dirigait toujours vers eux. Mais contre toutes attentes, ce dernier tomba au sol. La fille de tout à l'heure était de retour. Rubis soupira et se dit qu'elle avait beaucoup de chance aujourd'hui et que surtout, l'armée avait beaucoup de chance d'avoir un personne comme elle dans ses rangs. Il fallait juste espérer que cette dernière intègre le bataillon d'exploration. Elle regarda l'homme en face d'elle, et se mit à avancer en lui parlant. Cette dernière planta son épée dans la cargaison de son chariot, le menaçant et finalement l'homme décida de le pousser laissant rentrer les survivants en priorité.

Rubis et Lowelie rentrèrent et soufflèrent un bon coup. Le plus dur était passé, maintenant resté aux garçons de revenir sain et sauf à la maison.

Plusieurs heures étaient passées depuis l'alerte qu'Erwin avait donné, et tout le monde était sur le pied de guerre. Si ce qu'avait dit le commandant s'avérait vrai, beaucoup de choses avaient dû se produire, et le nombre de victimes devait être vraiment énorme étant donné que le bataillon n'était pas présent. Étant le plus fort corps d'armée, leur aide était quelque chose d'essentiel. Le bataillon n'était plus très loin de la ville, et un bruit fracassant se fit entendre. Comme un choque entre deux pierre. Ils tuèrent quelques Titans se trouvant aux abords des murs et traversèrent ce dernier.

Ce que vit Levi le laissa bouche bée. Des enfants en train d'extirper quelqu'un d'un corps de titan. Il tua celui qui voulait les bouffer, les regarda et leur demanda ce qu'il se passait. Erwin quant à lui, avait trouvé bon d'aller chercher des explications, et tomba sur Pixis qui lui expliqua la situation. Il écouta tout, sans en perdre une miette, et fut très surpris de voir qu'un humain pouvait se transformer en titan. Il ordonna au bataillon d'aller tuer les titans restant, ce qui leur valut encore une journée entière vu le nombre qui rodait dans la ville de Trost.

Pendant tout ce temps, seul Rubis hantait ses pensées. Il espérait vraiment au fond de lui que son fils et sa femme soient encore vivant. Quand il put enfin aller vérifier ça, il les trouvèrent en train de rire sous un préau. Il se dirigea vers eux, et les prit dans ses bras une fois qu'il fut arrivé à leur hauteur. Au bout de quelques minutes, Théodore décida de laissait son père et sa mère tranquille tout les deux et partit. Erwin regarda Rubis, et ne put s'empêcher de l'embrasser, encore et encore, sans s'arrêter jusqu'à ce que cette dernière retienne la tête de son aimé.

-Je vais bien Erwin, et je suis heureuse de savoir que toi aussi. Elle lui sourit et caressa la joue de son mari avant de reprendre ses lèvres avec douceur. Erwin sourit à son tour.

-Je suis rassuré de vous savoir sain et sauf tous les deux. Répondit-il à Rubis la serrant dans ses bras.

Rubis l'entoura à son tour de ses bras, fermant les yeux, la tête dans le cou de son blond. Elle sourit, et une larme de joie tomba du coin de son œil. Oui, elle était heureuse qu'Erwin soit enfin là. Elle avait besoin de sa présence maintenant plus que jamais. Même, elle ne pouvait imaginer sa vie sans lui, c'était son âme sœur, elle le savait. Ils s'embrassèrent une nouvelle fois, laissant la douce brise caresser leur visage souriant à la fin de leur baisé.


Du côté de Levi...

Il chercha parmis la foule qui l'horripilait, cette petite tête châtain qui l'avait fait devenir père. Il voulait tuer tout ces gens inutiles qui le gênait, déjà par leur grande taille, chose que lui n'avait pas et aussi parce qu'ils l'empêchaient de passer et de trouvait la femme qui comblait son cœur aujourd'hui. Non, lui et Lowelie n'étaient pas mariés, pour la seule et unique raison qu'ils ne voulaient pas se lier et aussi parce qu'il savait que s'il la demander en mariage, cette dernière refuserait pour la même raison que lui, et c'est ça qui l'amusait.

Après quelques minutes de recherche, il la vit, bandant le pied d'Anastacia. Cette dernière c'était foulée la cheville après avoir courut pour aller chercher de quoi se couvrir. Il arriva à leur hauteur, et sa fille lui sourit suivit de sa compagne. Il se baissa et prit sa fille de petite taille dans ses bras et donna un chaste baisé à Lowelie. Il rassura Anastacia, et après quelques minutes, cette dernière décida elle aussi de laisser ses parents tranquille, ce qui les surprit. Dès qu'ils furent seuls, les deux adultes s'enlacèrent et continuèrent à parler, puis à s'embrasser, laissant la peur s'envoler du cœur des deux personnes qui s'aimaient.


Du côté de Théodore...

Après avoir marché quelques minutes, il leva la tête et sourit quand il vit Anastacia assise sur un muret. Il alla s'asseoir à côté de la jeune fille, mais pour une raison qu'il ignorait, cette dernière lui lança un regard bref avant de remettre sa tête à sa place initiale. Théodore sentit en lui une petite vague d'irritation. Qu'est ce qu'il avait fait pour qu'Anastacia l'ignore ? Il savait que ce n'était pas la peur, puisque cette dernière se serait collé contre lui, même si elle n'aurait pas voulut l'avouer. Il aurait su que c'était pour se rassurer, pour s'assurer qu'ils étaient bien vivant, mais rien.

Cela l'inquiétait et quand il tendit un bras pour venir déposait sa main sur sa tête, cette dernière l'esquiva. Il fronça les sourcils.

-Qu'est ce qui y'a Anastacia pour que tu réagisse comme ça ?!

Aucune réponse. Même pas un regard. Il attendit quelques minutes pour avoir ne serait-ce qu'un signe mais rien, toujours rien, juste les bruit de la foule au loin, partageant leur peur, leur crainte et leur deuils face aux personnes qui avaient du mourir lors de l'attaque des Titans sur la ville. Il s'énerva et sauta du muet. Il se tourna vers Anastacia et la regarda les sourcils froncés.

-Ouais ben si c'est pour tirer la gueule je pars !

Il se retourna et fit un pas lorsque la petite fille aux couettes prit la parole.

-Oui c'est ça, va la rejoindre celle à qui t'as offert une fleur.

Il s'arrêta net, et écarquilla les yeux. Un petit sourire se dessina sur ses lèvres. Alors c'était ça ? Elle était en quelques sorte jalouse de ce qu'il avait fait. Il avait juste offert une fleur à cette inconnue pour la remercier de les avoir sauvé, il ne l'avait fait pour rien d'autre. Il alla se positionner à côté d'Anastacia et la tourna. Il lui vola un baisé avant de la regarder tout sourire. Cette dernière avait les joues colorées et son regard dérivait ailleurs.

-Tu es la seule à mes yeux. Si je lui offert une fleur c'était juste pour la remercier de nous avoir sauvé. Rien d'autre.

-Hum...

Le jeune fille vint ancré son regard dans celui de Téhodore et le petit garçon embrassa encore une fois la petite fille. Quand leur baisé se brisa, ils souriaient tous les deux. Après tout, l'amour n'as pas d'âge et traverse les générations pour lier plusieurs personnes au fil du temps. Qu'importe si elles sont enfants, adolescentes, adultes ou vielles, un seul sentiments les relie et qu'importe si cet amour partagé est juste familial, amical ou amoureux. Ce seul sentiment à lui tout seul peut faire faire des choses extraordinaires à la personne la plus ordinaire qui soit. Ce sentiment évolu et change au fil du temps et des années mais jamais il n'est oublié, et jamais il ne disparaît. Après tout, l'amour ne meure jamais...

L'amour ne meure jamais FIN !


Héhéhéhé ! Avez-vous reconnus une scène qui apparaît dans le manga ? :3

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Kiss :*