Bonjour à tous ! Je poste ici ma fic sur Fairy Tail que j'ai déjà publiée sur le site francophone de fanfictions. Je ne sais pas encore à quelle fréquence je publierai ici les chapitres : peut-être un par semaine, peut-être deux... Ça dépendra de vous et de ce que vous préférez ! En tout cas, cette fic est déjà entièrement écrite et comporte 6 chapitres. J'espère que vous l'apprécierez !
Disclaimer : Fairy Tail, son univers et ses personnages appartiennent à Hiro Mashima.
Erza salua ses amis et se dirigea vers le dortoir pour filles de Fairy Tail, où elle habitait. La journée, normale, s'était bien passée après un retour de mission assez basique. Après leur victoire au grand tournoi de magie, les mages de Fairy Tail faisaient des missions bien plus intéressantes que depuis leur retour de l'île Tenrô, où les missions étaient quasi inexistantes.
Il faisait beau. Erza leva son regard vers le ciel bleu. L'horizon commençait déjà à se teinter de rouge, signe que la journée s'achevait. Elle était toujours nostalgique en voyant un coucher de soleil. Elle entendait la voix de Jellal qui déclarait d'une voix douce et innocente :
- Pourquoi on ne t'appellerait pas Erza Scarlett ?
Elle sourit à ce souvenir si cher à ses yeux. C'était un des premiers que Jellal avait retrouvé, juste avant d'être emporté par le Conseil de la magie, sept ans auparavant. Depuis, Ultear et Meldy l'avaient libéré, et ils s'étaient revus plusieurs fois, avant et pendant le grand tournoi de magie. Il l'avait embrassée avant de la repousser, prétendant avoir une fiancée… Bien sûr, aucun d'eux n'était dupe : elle savait que c'était faux, et il savait qu'elle savait. Mais ni l'un ni l'autre ne voulait dire à voix haute la vérité dont tous deux avaient parfaitement conscience : il pensait toujours qu'il devait se faire pardonner ses péchés et se jugeait indigne d'elle.
Elle se disait qu'il fallait simplement lui laisser du temps. Un jour, il ne pourrait plus la repousser. Un jour, ils seraient de nouveau réunis.
Un jour.
Pas maintenant.
Elle prit une petite ruelle vide, un raccourci. Elle le prenait tous les jours, et il ne s'y était jamais rien passé. Perdue dans ses pensées, elle ne se méfiait de rien.
Tout d'un coup, elle sentit quelque chose lui piquer le cou, juste au-dessus de son armure. Elle leva sa main vers la piqûre. Une fléchette était rentrée sous sa peau. Elle sentait déjà ses sens s'affaiblir. Elle devait faire quelque chose. Elle regarda autour d'elle, mais elle était seule. Elle leva les yeux sur les toits des bâtiments.
Sa vision était de plus en plus floue. Elle avait du mal à discerner quoi que ce soit. Elle vit juste une forme allongée sur un toit avant de tomber à la renverse. Elle s'évanouissait.
- À l'aide… marmonna-t-elle.
Mais personne n'entendit son appel, et la grande Titania sombra dans les ténèbres de l'inconscience.
§
Erza cligna des yeux. Elle ne distingua d'abord rien, à cause de la faible luminosité de la pièce dans laquelle elle se trouvait. Elle n'entendait pas un son, mais une faible odeur de pourriture flotta jusqu'à ses narines.
Elle se sentait étrangement légère. Elle comprit rapidement pourquoi. Elle ne portait pas son armure habituelle. Elle n'était vêtue que de sa jupe et de son chemisier. Elle tenta d'utiliser la magie, mais rien ne se produisit. Elle ne pouvait pas utiliser ses pouvoirs.
Peu à peu, ses yeux s'habituèrent à l'obscurité. Elle se trouvait dans une cellule. Trois murs en pierre et un autre de barreaux. Mais que faisait-elle là ?
La cellule n'était pas vide. Il n'y avait absolument aucun meuble, mais elle aperçut une forme allongée non loin d'elle. Elle s'approcha.
C'était Jellal.
Le jeune homme était inconscient, tout comme elle-même quelques secondes auparavant. Erza ne comprenait pas ce qu'elle faisait dans cet endroit, et encore moins pourquoi lui aussi s'y trouvait ! Avant de le réveiller, elle décida d'explorer un peu mieux son environnement.
Il n'y avait pas grand-chose à voir. Ils étaient seuls dans une cellule vide de tout meuble. Elle jeta un coup d'œil au-delà des barreaux. D'autres cellules semblables à la leur s'alignaient le long d'un couloir sans fin.
Toutes vides.
Alors pourquoi Jellal et elle étaient dans la même cellule ? Quand on séquestrait quelqu'un, on faisait généralement en sorte qu'il soit seul ! À moins que… Et si c'était encore un coup de Mirajane ? La jeune femme était parfaitement au courant de la relation d'Erza et Jellal. Cette vipère avait-elle tout organisé pour que ces deux-là se retrouvent seuls ensemble dans une petite pièce sombre ? Elle ne serait quand même pas allée jusque là ! Si ? Pas que cela lui déplaise, mais il y avait quand même des limites…
Toujours pas plus avancée, Erza s'agenouilla près de Jellal et lui secoua doucement l'épaule pour le réveiller. Ce geste n'eut d'abord aucun effet, elle le saisit alors plus fermement et le secoua plus fortement. Au bout de quelques secondes, il ouvrit les yeux. Il cligna des paupières le temps de s'accoutumer à l'obscurité. Erza le lâcha et il se redressa.
- Erza ? dit-il quand, stupéfait, il la reconnut.
Il dévisagea la jeune femme assise en face de lui. Il avait l'air aussi perdu qu'elle.
- Qu'est-ce qu'on fait dans cet endroit ? demanda-t-il en voyant les barreaux. Je suis de retour en prison ? Qu'est-ce que tu fais là, alors ?
- Je n'en sais malheureusement pas plus que toi, soupira Erza. Nous sommes dans une cellule. Il y en a plein d'autres, et elles sont toutes vides, je ne comprends donc pas pourquoi on nous a laissés ensemble. J'ai essayé d'utiliser ma magie, mais je n'y arrive pas. De quoi te souviens-tu ?
- De rien de particulier… Aux dernières nouvelles, j'étais endormi quelque part dans les montagnes, à la recherche d'une guilde noire. Meldy était avec moi… bon sang, j'espère qu'il ne lui est rien arrivé ! Elle va déjà très mal depuis le départ d'Ultear, alors…
- Le départ d'Ultear ? Qu'est-ce que tu racontes ?
- Après la bataille contre les dragons, Ultear était introuvable. Quelques jours plus tard, nous avons appris que sa vie ne tenait plus qu'à un fil et qu'elle quittait Crime Sorciere. Je crois qu'elle ne nous a pas tout dit… En tout cas, Meldy est inconsolable. Si moi aussi je l'abandonne… je ne sais pas ce qui pourrait lui arriver… Et toi, de quoi te souviens-tu ?
Erza était inquiète pour Ultear, mais elle se dit qu'elle avait d'autres priorités pour le moment.
- Je rentrais quand j'ai reçu une fléchette contenant sûrement un somnifère. Avant de m'évanouir, j'ai tout juste eu le temps d'apercevoir une forme allongée sur un toit. Je n'en sais pas plus. Tu n'as vu personne de suspect avant de t'endormir?
Il secoua négativement la tête et se leva pour coller son visage aux barreaux.
- Il y a quelqu'un ? cria-t-il.
Mais aucune réponse ne lui parvint. Il tenta d'utiliser sa magie, mais il ne se passa rien. Ils étaient tous les deux dépossédés de leurs pouvoirs.
- J'imagine qu'il n'y a plus qu'à attendre, soupira Jellal en s'asseyant à côté d'Erza.
Il était aussi perdu que la jeune mage. Non seulement il était prisonnier, mais en plus, avec Erza ! Il pouvait comprendre qu'à lui, on lui en veuille. Mais à Erza ? Qui pouvait bien vouloir la voir derrière les barreaux ? Quelqu'un qui était jaloux de ses pouvoirs ? Il pensait bien qu'elle ne devait pas avoir que des amis, mais à ce point-là !
Plusieurs minutes après leur réveil, des bruits de pas se firent entendre. Ils se levèrent en même temps et s'approchèrent des barreaux. Ils distinguèrent trois personnes se rapprochant d'eux. Deux hommes et une femme.
- Je n'en connais aucun… marmonna Erza. Et toi ?
- Aucun d'entre eux ne m'est familier.
En quelques secondes, les trois inconnus furent devant eux.
- Bien, bien, bien, sourit la femme. Vous êtes enfin éveillés. Nous allons pouvoir commencer.
- Commencer quoi ? grogna Erza. Qui êtes-vous ? Que faisons-nous ici ?
- Que de questions ! Tout cela t'intrigue, Titania ? Tu te trouves dans mon œuvre ! Malheureusement, je ne peux l'achever, et j'espérais que vous m'y aideriez, tous les deux. Vous le ferez, n'est-ce pas ?
- Vous n'avez répondu à aucune de ses questions, la coupa Jellal.
La femme se tourna vers lui.
- C'est vrai, mon chou. Tu veux savoir, toi aussi ? Bien. Je m'appelle Cassandre, et voici Steven et Boris. Vous n'avez pas besoin d'en savoir plus sur nous. Tout ce qui vous importera dorénavant, c'est votre rôle ici. Vous êtes dans un R-Système.
À ces mots, Erza et Jellal reculèrent d'un même mouvement, comme si le diable lui-même les avait approchés. Des milliers de souvenirs remontèrent à la mémoire de chacun d'eux. La Tour du Paradis… Un R-Système… Jellal fut le premier à pouvoir de nouveau articuler quelques mots.
- Les R-Systèmes ont été interdits depuis longtemps par le Conseil de la magie. De plus, je sais de source sûre que tous les documents concernant leur mode de construction ont été détruits. Il vous est tout simplement impossible d'en construire.
Cassandre eut un petit sourire en coin.
- C'est vrai. Nous ne pouvons pas en construire par nos propres moyens. Mais avec votre aide, nous le pourrons. Vous avez chacun étudié pendant des années les R-Systèmes, l'un dans le but de finir la Tour du Paradis, l'autre dans celui de la détruire. La seule façon pour nous de finir notre R-Système, c'est que vous nous aidiez.
- Vous délirez, dit calmement Erza. Jamais nous n'accepterons ceci.
- C'était malheureusement prévu.
À ces mots, Steven et Boris qui, jusque-là, étaient restés muets et inactifs, ouvrirent les portes de la prison et se saisirent chacun d'un prisonnier. Erza et Jellal se débattirent, mais ils ne pouvaient pas utiliser la magie, et le somnifère, toujours présents en faibles quantités dans leur organisme, les empêchait de se battre efficacement. Ils se firent entrainer hors de la cellule et, après quelques minutes de lutte inutile, arrivèrent dans une grande salle où il se firent chacun enchaîner contre un mur, l'un en face de l'autre. Différents instruments de torture étaient posés un peu partout dans la pièce.
- La torture ? Pas mal, avoua Jellal. Ça marcherait sans doute avec la plupart des gens. Mais comme vous le savez, nous venons de la Tour du Paradis. C'est pas la joie, là-bas. Vous aurez du mal à faire pire qu'eux. On ne parlera pas.
- Je sais, je sais. Vous aurez beau souffrir, vous ne direz sans doute rien. Mais en voyant l'autre souffrir ?
Erza et Jellal échangèrent un regard.
- Ne dis rien, Jellal, ordonna Erza. Quoi qu'ils me fassent, ne parle pas. Tu ne parles pas, je ne parle pas, d'accord ?
Elle savait qu'il s'en voulait terriblement de l'avoir fait souffrir par le passé, et qu'il ne voulait plus qu'il lui arrive quoi que ce soit. Il ne voulait plus qu'elle souffre par sa faute. Et ce sentiment risquait d'être la cause de la création d'un nouveau R-Système.
Jellal était déchiré. Il savait qu'il ne devait pas parler. Il savait que de son silence dépendrait sans doute la vie de plusieurs personnes. Sa raison, très calme, lui ordonnait simplement de tout endurer en silence. Mais son cœur lui hurlait de cracher dès maintenant tout ce qu'il savait, pour qu'Erza n'aie pas à souffrir par sa faute une fois de plus.
- Erza… murmura-t-il.
- Jellal. Pas un mot.
Il ferma les yeux et hocha la tête. Elle avait raison.
- On commence doucement ? proposa Cassandre, qui semblait être la chef.
Apparemment, Steven et Boris savaient déjà ce qu'ils devaient faire, car chacun s'approcha d'un prisonnier et se mit à lui briser les os de leurs auriculaires et de leurs annulaires uniquement, pour qu'ils puissent toujours écrire si jamais ils cédaient. Ni Jellal, ni Erza ne cria.
- Vous appelez ça de la torture ? se moqua Erza. J'ai déjà vu bien pire. Vous n'obtiendrez rien comme ça.
- Je sais, je sais, dit négligemment la femme. Ce n'est que le début.
Aucun d'eux ne prévoyait de sortir la moindre information. Ils avaient déjà enduré bien pire, mais devinaient également que ce qui arriverait ensuite les pousserait à bout.
Et ils n'avaient pas tort.
Au fil de la journée, chacun failli plusieurs fois révéler toutes les informations que souhaitaient leurs tortionnaires à cause des cris de l'autre. Les tortures se révélaient toutes pires les unes que les autres, dépassant l'imagination, provoquant des hurlements déchirants tant chez Erza que chez Jellal. Chacun assura plusieurs fois, entre deux cris, que ce n'était rien du tout, et que l'autre ne devait absolument pas parler.
Heureusement, à la fin de la journée, personne n'avait cédé. Mais ils avaient vraiment été à deux doigts de le faire.
Ils furent reconduits vers leur cellule, dans laquelle ils furent jetés sans ménagement. Leurs bourreaux les enfermèrent à double tour et s'éloignèrent.
Ils avaient terriblement mal partout. Ils étaient couverts de sang, et certaines de leurs blessures saignaient encore. Ils se sentaient terriblement affaiblis. Ils n'avaient rien mangé, mais ce n'était peut-être pas plus mal, car sinon, ils auraient certainement vomi. Mais ils avaient soif.
Jellal s'approcha en rampant d'Erza. Aucun d'eux n'avait la force de tenir debout. Elle leva les yeux sur son visage tuméfié, où le rouge de son tatouage se mêlait à celui de son sang. Même ainsi, elle le trouvait beau.
- Jellal… murmura-t-elle en levant une main tremblante pour caresser sa joue. Il ne faut rien dire. D'accord ?
- Erza… te voir ainsi… je ne tiendrai pas très longtemps comme ça.
- Il le faut ! Je te comprends, je ressens la même chose, mais il le faut ! Nous avons survécu à la Tour du Paradis. Nous saurons leur résister.
La main d'Erza était toujours posée sur la joue de Jellal. Elle avait mal à ses doigts brisés, mais elle ne pouvait s'en empêcher. Sentir la peau de celui qu'elle aimait était un léger réconfort. Elle en avait besoin.
- Erza… murmura néanmoins Jellal. Enlève ta main, s'il te plait. Tu sais que je ne peux pas.
Elle ne s'exécuta pas.
- Arrête. Je sais que tu penses ne pas pouvoir, et je respecterai ton choix aussi longtemps que je pourrai me retenir. Mais toi, arrête de me mentir en me disant que tu as une fiancée. Je sais que c'est faux, et tu sais que je sais. Alors arrêtons de nous voiler la face et dis-moi simplement que tu as besoin de temps.
Il ferma les yeux. Il savait que cela devait arriver.
- Tu as raison, c'est faux. Techniquement, je devrais être capable de t'aimer librement. Mais je ne peux pas. Et le temps n'y changera rien. Je ne peux pas t'aimer, c'est aussi simple et aussi compliqué que ça. Tu connais mes raisons. Alors, je te le répète, enlève ta main.
- Non. S'il te plait, juste pour cette fois, laisse-moi rester comme ça toute la nuit. Près de toi. J'en ai besoin. S'il te plait… C'est moi qui te le demande.
Il plongea son regard dans celui d'Erza. Il voyait qu'elle avait bien plus mal et bien plus peur qu'elle ne voulait l'admettre. Il savait qu'elle avait toujours fait la forte, mais que, même si elle paraissait indestructible, elle était bien plus fragile que l'on pouvait penser. Il passa difficilement son bras sur la taille de celle qu'il aimait et son front vient se poser contre le sien.
- C'est d'accord.
Après un long regard durant lequel ils durent tous deux se retenir de ne pas s'embrasser, il fermèrent les yeux et cherchèrent un sommeil réparateur.
Mais ils eurent du mal à s'endormir, chacun ayant en tête des souvenirs de la Tour du Paradis. Il ne fallait pas qu'un autre R-Système soit créé, surtout pas ! La Tour du Paradis à elle seule avait déjà détruit des centaines de vies.
Quand Erza trouva enfin le sommeil, il ne lui fut absolument pas réparateur. Au contraire, elle ne cessait de faire des cauchemars. Des souvenirs de la Tour du Paradis lui revenaient en mémoire.
Dans son rêve, elle n'était d'abord qu'une enfant. Tremblante de peur, elle travaillait sous les ordres d'adorateurs de Zeleph qui l'exploitaient, elle et tant d'autres personnes, enfants comme adultes.
Elle se revit dans cette horrible cellule où elle avait bien failli perdre la vision de son œil droit.
Elle revit Jellal, en qui elle avait toute confiance, être possédé par les ténèbres, et tomber à son tour sous la coupe de Zeleph.
Elle se revit, des années plus tard, de retour à la Tour du Paradis.
Elle se revit combattre Jellal.
Elle revit la mort de Simon.
Elle revit le regard fou de Jellal.
Douleur. Peur. Tristesse. Trahison. Terreur. Tous ces sentiments se mêlaient en elle.
Elle se réveilla en sursaut. Devant elle se trouvait le visage endormi de Jellal, identique à celui de son cauchemar, mis à part l'expression et le sang qui le maculait. Encore dans les brumes du sommeil, sa première réaction fut d'avoir peur. Puis elle se souvint qu'elle n'avait plus aucune raison de le craindre. Au contraire. Elle tenta de se rendormir.
Jellal aussi était tourmenté par ses cauchemars. Comme Erza, il se revit, enfant, à la Tour du Paradis. Comme Erza, il se revit possédé par le soi-disant esprit de Zeleph. Comme Erza, il revit leur combat, des années plus tard. Comme Erza, il revit la mort de Simon.
Mais, contrairement à Erza, le sentiment dominant n'était ni la tristesse, ni la peur, ni la trahison, mais la honte. Il avait été coupable de tellement de crimes, il devait payer ! Il avait trop fait souffrir Erza pour pouvoir la mériter. Pourquoi diable l'aimait-il, à présent ? Il ne pouvait que la faire souffrir en restant à ses côtés. Il devait disparaître de sa vie pour qu'elle puisse l'oublier, ainsi que tout son passé, et être enfin heureuse.
Alors ? Qu'en avez-vous pensé ?
Maintenant, libre à vous de jouer le jeu et d'attendre patiemment la sortie du prochain chapitre ou d'aller lire cette fic dans son intégralité sur ! Mais dans tous les cas, dites-moi ce que vous en pensez, s'il vous plaît !