Bonsoir à vous, chères fans de SLG, WTC, Matoine et autres pairings improbables avec les chères personnalités de Mathieu ! :3

Bon et bien, je me lance enfin -Il était temps je crois, après avoir passé plus d'un mois et demi à lire des fics en silence ! XD, et je vous présente donc ma première fan fiction sur ce fandom ! Je pensais qu'elle arriverait beaucoup plus tard mais bon, je sais pas, l'inspiration, les rencontres avec des fans de SLG,... Bref, du coup nous voilà ici avec un OS en trois parties (Three Shots ? XD) sur l'un de mes pairings préférés, et de loin : Le Geek et Maître Panda ! *^*

Je ne sais pas quoi dire de plus, hormis que j'espère juste ne pas faire trop d'OOC, n'étant pas encore vraiment habituée à donner vie à ces personnages. Et si jamais monsieur Sommet venait à tomber dessus, et en serait gêné, qu'il sache que je la supprimerai aussitôt, par respect pour lui et son émission dont je suis très fan.

Copyright : Le Geek, le Hippie, le Patron, Maître Panda, la Fille, le Prof ne m'appartiennent pas, et sont la propriété de Mathieu. C'est toujours à rappeler.

Rating : M. Et oui ! Un lemon à venir ! Âmes encore pures et innocentes, veuillez passer votre chemin, merci. ^^

Je tiens à remercier du fond du cœur Emo.16, qui y est sûrement pour quelque chose si cette fic a vu le jour. Comme quoi parler de reviews qui partent se faire des sandwiches poulet-mayonnaise entre deux épisodes de SLG ou de WTC, de Maître Panda en train de manger du pain de mie, de pairings et de Mpreg, ça finit par inspirer. XD Nan promis, pas de Mpreg ici, mais il n'empêche que tu m'as permis de me lancer sur ce fandom, alors merci ma puce ! Ça y est, ta p'tite Racoon est dans la place ! :D

Sur-ce, bon visionnage mes chéries !


Le chant du Panda.

Partie 1 : Un panda désespéré et un épisode inachevé.

Il les regardait se féliciter du succès du dernier épisode, insensible à l'euphorie générale de ses alter-ego.

Pourtant, il aurait pu participer à leurs embrassades et leur dégustation de bière, riant aux éclats et poussant la chansonnette avec eux tout en faisant s'entrechoquer leurs bouteilles de verre, pleines à ras bord du précieux breuvage à base de houblon. Il aurait même du être le premier à s'en réjouir, c'était la fin de sa toute première saison au sein de l'émission après tout ; mais non. Même le Prof, pourtant gentiment mis au chômage depuis son arrivée dans le clan Sommet, était plus heureux que lui en cet instant, rajoutant encore plus d'ironie à la situation ! Sérieusement, qui ne trouverait pas la situation juste ridicule, quand on y pense !

Oui, c'était ça. Personne, effectivement. Mais peut être était-il juste ridicule, au moins autant que la situation elle-même... Ridicule de ne pas partager leur bonheur, ridicule d'être si pessimiste alors qu'ils partaient pour pratiquement un mois de repos bien mérité,...

Ridicule de ne pas se sentir comme faisant partie du groupe qui s'amusait sous ses yeux aux implacables iris de glace, d'un bleu presque gris.

Mais cela ne changeait rien au problème, que ce soit ridicule de ne pas autant s'enthousiasmer que les autres ou pas. Lui, il n'avait aucune joie à tirer de cette fin de saison.

Maître Panda se décida à quitter discrètement le salon, laissant les autres personnalités de Mathieu, et Mathieu lui même d'ailleurs, en passant, à leur petite beuverie. Sans une parole, sans même prévenir qui que ce soit, et puis pourquoi l'aurait-il fait d'ailleurs puisque personne ne semblait avoir remarqué qu'il était le seul à ne pas être aussi heureux que ce qu'il aurait du l'être. Sa bière à la main, donnée à la volée par un Hippie bien plus défoncé que d'ordinaire, les épaules voûtées et la tête basse. Comme un pauvre malheureux à qui on venait d'apprendre le pire.

Il aurait dû être au centre de toutes les attentions, trinquant avec ses colocataires qui le féliciterait pour sa dernière chanson. Oui, c'était prévisible, même.

Enfin... Pour ça, il aurait fallu que le dernier épisode, portant le numéro 85, en comporte une, de chanson ! C'était ça le problème d'ailleurs.

Pas de chanson. Aucune parole à remettre à Mathieu, ou à fredonner. Rien.

Depuis celle nommée Pleure pas, chanson du précédent épisode, il n'avait pas eu la moindre once d'idée. Le néant. Pourtant il avait essayé, avait redoublé d'efforts, en avait fait plusieurs nuits blanches, mais rien n'y avait fait.

Pas la moindre idée, alors qu'il en avait à ne plus savoir quoi en faire d'habitude. A croire qu'il avait épuisé tout ce qu'il avait en réserve.

Et le pire dans tout ça, c'était que Mathieu n'avait même pas pris la peine de venir lui demander s'il avait écrit quelque chose. Comme s'il l'avait oublié, comme un enfant se lasse de ses jouets et les laisse dépérir dans un coin sitôt de nouveaux achetés.

Le jeune homme en kigurumi claqua la porte de sa chambre sans grande conviction, avant de se laisser glisser au sol, soupirant bruyamment. Il en avait marre. Il n'en pouvait plus. Déjà plus.

Il n'arrivait pas à se faire à cette vie, c'était décidément trop pour lui. Trop de folie, trop de cris, de pression, de travail, de remarques blessantes venant du Patron, pour bien trop peu de reconnaissance au final. Pourtant au début, il avait été la personne la plus heureuse du monde lorsqu'on avait fait appel à lui, saisissant le micro à la moindre occasion et chantant jusqu'à l'épuisement, voulant à tout prix montrer sa reconnaissance à Mathieu, cet homme qui lui avait donné la vie, et le droit d'expression.

Puis l'ursidé avait rencontré les autres personnalités de son créateur, réalisant alors qu'il n'était pas le seul à partager l'affiche de l'émission du Youtubeur. Avant d'apprendre qu'il avait littéralement volé la place d'un de leurs congénères, le Prof.

Et avant de tristement réaliser qu'en plus de susciter les jalousies de la Fille, qui n'apparaissait quasiment plus dans les émissions de Salut les Geeks, il faisait également peur aux autres personnalités, représentant à leurs yeux la preuve que si Mathieu se lassait d'eux, ils seraient impitoyablement remplacés, comme le Professeur et sa Science Infuse avait du laisser leur place à l'Instant Panda. Son émission.

La peur de l'oubli, l'épée de Damoclès qui pendait sur la tête de chacune des personnes de la maisonnée Sommet. Et il en était le triste porte-parole, l'exemple même, la personnification de cette sentence.

Inutile donc de préciser que les autres ne l'aimaient pas beaucoup, ça allait de soi.

Une larme roula doucement sur sa joue, sans qu'il ne puisse rien y faire. Il serra le poing, honteux, alors que d'autres en faisaient tout autant, la première ayant ouvert la porte à un torrent de larmes. Un cri silencieux de sa peine.

Il n'avait jamais demandé à avoir un tel rôle aux yeux du Hippie, du Geek, du Patron, de la Fille, ou même du Prof. Jamais. Et il avait beau tout essayer pour se faire aimer, c'était du pareil au même. La réserve, la méfiance, et la retenue.

Quel dilemme pour un animal tant aimé en général !

Qu'avait-il donc bien pu faire pour mériter ça ?

Le plantigrade était agité de spasmes, les sanglots l'étouffant à moitié alors que les larmes coulaient sans retenue, les genoux contre la poitrine. Désespérément seul. Il aurait voulu que quelqu'un le serre dans ses bras, lui montre qu'il n'était pas à craindre, qu'il comptait pour les autres, mais personne ne venait. Il voulait que quelqu'un lui prouve qu'ils n'en avaient pas rien à faire de lui, que l'on remarque qu'il n'était pas à leur petite soirée, que l'on vienne à s'inquiéter pour lui, signe d'un réel attachement, mais personne n'en prenait la peine. Il aurait pu se mettre à hurler que cela n'aurait pas affolé plus de monde que ça, il en était sûr.

Il était seul au monde, un panda seul face à l'incompréhension des autres.

Non, reprends-toi, tu es entouré mine de rien, tu n'es pas seul, loin de là… Ils t'aiment. A leur façon.

Ouais, ça ça restait à prouver.

Les aimait-il au moins, dans le fond ?

Non parce que bon, la Fille l'agaçait avec ses remarques sans intérêt, le Prof le fuyait comme la peste suite à son remplacement, le Geek n'arrêtait pas de le rabaisser à la moindre occasion, comme lors de l'épisode dédié aux trois ans de l'émission, le Hippie l'ignorait, comme il le faisait le trois quart du temps avec tout le monde, et le Patron…

Lui c'était le pire.

Il le détestait. Quel connard, ce type !

Pris par un soudain accès de colère, il se releva, faisant les cent pas dans son refuge, sa chère chambre, aménagée en une sorte de grotte agrémentée de pousses de bambous çà et là, avant de foncer à son bureau. Il était furibond rien que de penser au criminel, cet homme pervers, vulgaire et violent, qui ne savait que déverser son fiel sur les autres et violer tout ce qui bougeait.

S'asseyant brusquement sur son tabouret, il croisa ses mains puis appuya son front dessus. Il devait se calmer, s'apaiser, et ne pas perdre son sang froid, l'homme en question n'en valait même pas la peine. Pourtant ce dernier le dégoûtait tellement ! C'était inhumain. Comment pouvait-on être aussi foncièrement mauvais ?

Et puis, surtout, pourquoi s'énervait-il autant pour une telle ordure ?

Mais ça, la réponse, il la connaissait déjà.

Malheureusement.

Mais ça il ne fallait pas y penser. Surtout pas. Ce n'était que son esprit qui délirait, rien de plus.

Oui, surtout ne pas y penser. Oublier. Question d'honneur.

Maître Panda fixait son cahier, tentant désespérément d'oublier ses pulsions meurtrières En temps normal, il aurait écrit une chanson avec des paroles bien assassines, un de ces nombreux morceaux dont Mathieu n'aurait jamais la connaissance, et qui lui servaient à se défouler. Des textes très sombres, et profondément marqués par son désamour pour l'homme en noir, la plupart du temps. Et sa peur, quand ce n'était pas à ce sujet.

Son jardin secret, en gros.

Personne ne doit jamais être au courant pour ses chansons. Personne. Ils me détesteraient pour de bon sinon… Ou me feraient enfermer, au choix, pensa tristement l'ursidé en secouant la tête en et rangeant son cahier de textes après avoir constaté qu'aucune idée ne lui venait. La prochaine chanson de l'Instant Panda ne serait pas pour tout de suite, décidément.

Cela faisait combien de temps qu'il n'avait pas couché ses pensées sur le papier, déjà ?

Il décapsula sa bière sans même la regarder et en but une longue rasade, de nouveau envahi par une profonde tristesse, et une peur certaine Il demeurait muré dans son silence malgré les hurlements qui résonnent dans son esprit, ne demandant qu'à sortir. Il avait encore envie de pleurer. Mais il fallait lutter. Ne pas craquer.

C'était un mâle après tout ! Bon sang il n'était pas faible !

Un panda mâle, certes, mais incapable de faire convenablement ce que son géniteur lui avait donné comme unique mission : Chanter et écrire des chansons.

A la fois la chose la plus simple et la plus difficile du monde, quand on avait perdu l'inspiration. Car c'était ça le problème, le vrai. Il n'arrivait plus à écrire. A fredonner.

Et alors qu'il broyait du noir, assis sur son siège, il fit le pire des constats.

Il avait perdu son gagne-pain.

Exit l'inspiration, exit les paroles… Et le pire, exit la voix.

Pour la peine il aurait aimé être un salaud du genre du Patron, à qui on ne demandait de faire que des remarques salaces ou désagréables, passant ses journées à fumer et à s'envoyer en l'air avec tout ce qui possédait un trou. Lui, au moins, on ne l'embêtait pas et il ne croulait pas sous la pression du travail ! Célèbre sans même avoir à tenir une rubrique ou à se défoncer pour produire du contenu de qualité.

Allait-il être remplacé après seulement une saison, si jamais sa chère inspiration ne revenait pas bientôt ?

L'homme en kigurumi finit sa bière puis, dans un accès de rage et de désespoir, jeta sa bouteille contre le mur le plus proche, la faisant exploser lorsqu'elle heurta ce dernier. Puis il poussa un cri, un seul viscéral et empreint de souffrance.

Il voulait disparaître. Tout plutôt que de sombrer dans l'oubli aussi vite.


Et pendant que Maître Panda hurlait, enfermé dans sa grotte, une personne restait plantée devant la porte, un ours en peluche beige dans les bras. Les larmes aux yeux.

Il n'aimait pas quand une des personnalités de Mathieu était triste. Il n'avait jamais aimé ça.

… Bon, en même temps, ce n'était pas quelque chose qui arrivait tout les jours chez les Sommet. Heureusement d'ailleurs ! Non, ses propres larmes suffisaient, et c'était déjà pas mal.

Sincèrement.

Le Geek continuait de fixer la porte devant lui, indécis quand à la procédure à suivre. Que devait-il faire ? Aller réconforter le Panda ? C'était tout à fait logique, non ?

Oui mais il était un garçon, et il ne fallait pas faire un câlin à un garçon, même pour le réconforter. C'est ce qu'on lui avait dit.

Et puis, dans les jeux vidéos, on ne voyait jamais ça. C'était pas viril, de pleurer !

Oui, c'était ironique de dire ça quand on passait son temps à pleurer et à se faire harceler sexuellement par le plus grand criminel que cette Terre n'ait jamais portée. On avait connu plus viril, et pourtant, si seulement il pouvait être un homme, un vrai…

Oui, mais le Patron lui avait dit qu'il ne serait un homme que s'il se trouvait une copine un jour. Il n'était donc pas encore un homme… ?

Le Geek regarda Monsieur Nounours, les sourcils froncés. Il n'était pas d'accord, il était un homme, il le savait !

Mais ça ne l'empêchait pas d'être encore un passionné de jeux vidéos avec une âme d'enfant. Pas le moins du monde même ! Ainsi pour lui, faire un câlin à un ami n'avait rien d'étrange et déplacé.

Et puis, il était gentil, Maître Panda… !

Bon, ce n'était pas faux, il n'avait pas été très gentil avec le garçon en kigurumi quand celui-ci était arrivé. Il lui en avait voulu d'avoir pris le travail du Prof. Il lui en avait voulu d'être si mignon, au point de le détrôner dans le cœur des fans, et de chanter aussi bien.

Et il était viril, lui, malgré son pyjama en peluche.

Enfin, il pensait qu'il était viril, mais puisqu'il pleurait là…

Non, le Panda est viril, lui ! Il est fort, puissant, grand, il chante bien, après tout il a la survie de son espèce sur les épaules, il n'a pas le droit d'être faible. S'il pleure c'est que quelque chose a du le rendre très triste, ou lui faire mal…

Le jeune homme à la casquette se demandait ce qui pouvait bien miner son colocataire chanteur. Une mauvaise nouvelle ? Pourtant ils fêtaient la fin de la quatrième saison, de la première du Panda dans l'émission, il aurait du être heureux, et faire la fête avec les autres. Alors pourquoi était-il donc là, à l'écart ? Était-ce du au fait que le dernier épisode n'avait pas de chanson du Panda ?

Pourtant, Mathieu l'avait bien expliqué, il ne pouvait pas y avoir de chanson cette fois-ci, vue la tournure de l'épisode… Est-ce qu'il était vexé ?

A moins qu'il ne l'ait pas entendu… ?

Mais dans ce cas-là, il devait avoir une chanson sous le coude pour Mathieu ! Il aurait du la lui donner, histoire de faire un petit hors-série avec son morceau, ç'aurait été une bonne idée et puis les fans ne s'en plaindraient pas, jamais ! Ils aimaient tellement le Panda !

Oui, il devait le faire. Le Geek se promit de lui en parler le lendemain, pour le rassurer. Il le fallait ! Tout pour rendre le Maître heureux !


Et c'était dans ce but que le petit gamer, à neuf heures du matin, revint se poster devant la porte de l'ursidé, toujours aussi close que la veille. Mais toqua, cette fois-ci.

Il n'avait que moyennement dormi cette nuit, tant il était inquiet pour Maître Panda. Sa détresse le touchait, et il n'aimait pas voir les gens souffrir, surtout au sein de sa famille. Et même s'il était le dernier arrivé, même s'il avait contraint le Prof à prendre sa retraite avant l'heure, il n'en restait pas moins une des personnalités de Mathieu, que ce dernier appréciait tout particulièrement d'ailleurs. Il ne devait pas être oublié, ou mis de côté sans raison.

Aucune réponse.

C'est logique, il doit encore dormir ! Quel idiot tu es de venir aussi tôt, tu sais très bien qu'on ne voit jamais Maître Panda sortir de son antre avant la fin de la matinée…

Oui, mais il y était, autant continuer dans sa lancée n'est-ce pas ? Il avait trop peur d'être ensuite pris dans un de ses jeux et d'oublier de parler à son alter-ego, c'est donc ainsi qu'il tourna doucement la poignée pour ouvrir la porte et se faufiler dans la pièce aux allures de grotte. Une forte odeur de bambou frais l'accueillit aussitôt. Il lui fallut du temps pour s'habituer à la pénombre des lieux.

Et il trouva Maître Panda endormi dans son lit, entouré de peluches de pandas en tout genre, à peine recouvert d'un drap pour lui tenir chaud, en plus de son kigurumi.

Le cœur du jeune homme se serra dans sa poitrine, à la vue de son ami. Il avait l'air si détendu, si paisiblement endormi, comme si rien ne le tracassait… Un ange, vêtu de blanc et de noir, qui semblait à l'abri du mal être.

Pendant un instant, il fut traverser par l'envie la plus absurde de son existence : Courir le serrer dans ses bras, et se rendormir là, à ses côtés, en lui promettant qu'il n'était pas tout seul dans cette famille, qu'il pouvait compter sur lui. Il se mit mentalement une gifle à cette pensée. C'était vraiment idiot.

C'est à ce moment là que sa curiosité le poussa à aller jeter un œil à la chambre du Panda, qu'il ne connaissait absolument pas en fait. On lui avait toujours dit de ne pas être trop curieux, que ça n'attirait que des ennuis, et pourtant, il voulait en apprendre plus sur l'autre homme. Ses jeux vidéos préférés s'il en avait, ce qu'il aimait écouter comme musique, s'il collectionnait autre chose que des peluches de panda,…

Et son regard se posa de lui même sur le bureau en bois, où l'un des tiroirs était toujours ouvert, son propriétaire ayant omis de le refermer la veille, que ce soit du à l'ivresse ou à un simple accès de flemme. Il n'en fallut pas plus au gamin pour s'en approcher sur la pointe des pieds.

La première chose qu'il put remarquer, ce fut une photo, encadrée, posée sur le bureau. Plusieurs même, en fait, toutes représentant le Panda avec les autres personnalités, et Mathieu aussi. Ils semblaient tous fous de joie, unis, heureux. Quel mensonge, à en juger par les pleurs et les cris qu'il avait surpris la veille…

Puis il vit le cahier noir, dans le tiroir. Seul.

Sa main le saisit, avant même qu'il ait pu se dire qu'il ne fallait peut être pas céder à la tentation.


Bon et bien voilà, c'est tout pour le moment ! :D /sadique/

Comment ça y a du suspens ? Mais noooon ! Et puis ça rajoute un peu de piment à l'histoire ! :p

Promis la suite arrivera très vite, d'ici une semaine je pense, grand maximum. Vive les vacances, n'est-ce pas ? ^^

Alors qu'en pensez-vous, trop OOC ? Non ? Ça allait ? éwè J'ai peur que vous soyez déçus, je reste encore assez mitigée concernant le début de cette fic... Je vous laisse en juger, et s'il faut me lancer des tomates, faites donc ! T_T

Bref, n'hésitez pas à donner votre avis, ça fait toujours plaisir. :3

A très bientôt pour la suite, mes chers Geeks !