Voilà le dernier chapitre, fait de moments de tendresse et d'un peu de SMUT
Ton commentaire me va droit au cœur .Calzona :) Mon PC refuse d'écrire ton pseudo en entier, j'ignore pourquoi...
Merci à toi AmandineReader. Ce chapitre promet encore des moments touchants ;)
N'hésitez-pas à commenter cet ultime chapitre.
Bonne lecture
Brûlante de Désir
Chapitre 16 | Elsa et Anna, véritables...
Le baiser irréel – la preuve d'amour véritable, comme le décrirait plus tard Anna – n'avait pas mené aux plaisirs charnels. Il leur avait insufflé un sentiment de sérénité et de béatitude à la conclusion proche de l'orgasme. Lovées sur le canapé du petit-salon, elles étaient paisibles et silencieuses. La rouquine jouait avec une mèche blonde de sa copine qu'elle enroulait autour de son index puis libérait et elle recommençait cette opération à l'infini.
Le petit-salon était un cocon confortable, une entité éphémère qui perdrait son contenu et sa substance quand les meubles regagneraient leur place dans le séjour. Lorsque le trio des peintres amateurs les avaient déménagés, personne n'avait respecté les codes du Feng Shui. Toutes deux allongées dans le canapé, elles profitaient de l'atmosphère de la pièce ; relaxante et paisible. Le couple investissait l'espace de leurs corps et non de mots. Anna se sentait privilégiée d'être dans un lieu qui ne serait bientôt plus. Elle avait participé à sa création et l'investissait malgré sa courte longévité. C'était de plus une pièce dont elle partagerait le souvenir avec Elsa – et sa mère aussi.
L'odeur de la peinture était vivace et c'était peut-être le seul inconvénient de leur activité de l'après-midi. Pour s'en défaire, Anna avait trouvé une parade. Elle ne faisait pas que jouer avec les cheveux de sa petite-amie, elle s'imprégnait aussi de leur odeur.
Elsa, paisible mais fatiguée, s'endormit. Sa petite-amie la berça, non plus en jouant avec une mèche, mais en lui caressant religieusement et tendrement les cheveux. Sa main se posait, presque imperceptible, sur les cheveux blonds et repartait aussitôt, comme un oiseau qui se pose un bref instant seulement avant de reprendre son envol. Elle ne s'endormit pas et repensa aux moments qu'elle avait passés avec Elsa depuis son arrivée.
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« Bien dormi ma Belle au Bois Dormant ?
- Oui, répondit Elsa d'une voix encore à moitié endormie. Pas trop longtemps j'espère ?
- Non non, une petite demi-heure ».
Elsa pensa au cadeau de sa petite-amie, qui recommençait à caresser ses cheveux. C'était apaisant et elle faillit retomber dans les bras de Morphée. Elle résista et se remémora chaque dessin du carnet qu'Anna lui avait offert. Elle en était encore émerveillée. Le talent d'Anna était époustouflant. Elsa pensa ensuite à sa mère, retenue par son travail mais épanouie grâce à celui-ci. Cela lui rappela de plein fouet qu'elle n'avait aucune piste concernant son futur métier. En revanche, elle avait une idée au sujet d'Anna. Elle engagea une conversation sérieuse, sans se douter qu'Anna avait beaucoup de réponses sérieuses à lui apporter :
« T'as une idée du métier que tu aimerais faire plus tard ?
- La conseillère d'orientation me dit de tenter le concours pour Science-po. Elle veut envoyer tout le monde là-bas. Peut-être qu'elle touche des commissions sur les inscriptions ?
- Non mais, Anna, plus sérieusement ?
- Sérieusement... D'accord, d'accord. J'aimerais être illustratrice pour des films d'animation. Enfin non, j'aimerais commencer ma carrière comme illustratrice et puis devenir superviseur de l'animation dans un studio ».
Entendre sa petite-amie s'exprimer de façon si adulte termina de réveiller Elsa. Apprendre qu'une autre lycéenne pensait de manière rationnelle à son avenir et à sa carrière la rassura. De plus, l'idée de sa copine était concrète et Elsa l'en savait capable. Comment ignorer ses talents artistiques ? Comment résister à l'envie de faire de sa passion son métier ? Elsa n'avait aucune idée du métier qu'elle voulait exercer mais il était certain qu'elle consacrerait toujours une partie de son énergie à écrire. Elle n'écrivait pas que des nouvelles érotiques et elle espérait être publiée un jour. L'idée et la trame d'un roman reposaient dans un tiroir de sa chambre. Mais, contrairement à Anna, elle savait que miser sur sa passion était risqué. C'est pourquoi elle encouragerait toujours les personnes souhaitant unir leur métier et leur passion.
"Je ne connais pas la conseillère d'orientation mais elle est totalement à l'Ouest. "Superviseur de l'animation", ça en jette! Je suis sûre que tu peux le faire et ça t'irais parfaitement.
- Oui, mais il faut des qualités artistiques...
- Que tu as ! intervint vivement Elsa.
- Mais il faut aussi des compétences techniques. Les dessins ont plus d'importance pour les films en 2D mais pour ceux en 3D, ce sont les exigences techniques qui sont plus importantes. Les gens qui ne maîtrisent pas les deux ont des difficultés à progresser. Tu sais, il faut maîtriser des logiciels de dessin. Et puis, il faut avoir le sens du jeu d'acteur pour que les dessins prennent vie et aussi avoir le souci du détail, et...et la capacité à travailler en équipe*. Plein de choses quoi.
- Tu en connais beaucoup sur le sujet, dis-donc.
- Je me suis beaucoup renseignée et...en fait, j'ai un secret. Personne n'est au courant...ni mes parents...même Kris' et Punz' savent pas. Jure-moi de rien dire et je te le dis.
- Je te le jure, promit Elsa, main droite sur le cœur.
- L'année dernière, j'ai postulé pour l'école des Trolls mais j'avais pas regardé l'âge minimum. Ils m'ont quand même envoyé un mail qui expliquait tout ce que je viens de te dire. Ils m'ont encouragés à candidater de nouveau quand j'aurai l'âge requis, parce que le jury a trouvé que j'avais du potentiel ».
Les Trolls était une école d'animation située à une heure trente de route d'Arendelle. C'était l'équivalent des Gobelins en France. Anna avoua que le jour des portes ouvertes elle s'était portée pâle pour s'y rendre au lieu d'aller au lycée. Elle avait été subjuguée par les ateliers mis en place à l'occasion, par les démonstrations de l'utilisation des logiciels et par les créations des élèves. Un court-métrage réalisé par la promotion précédente avait été projeté et elle était sortie de la séance certaine de vouloir un jour intégrer l'école et certaine d'avoir sa place dans le monde de l'animation.
Une précision concernant la Caverne des Trolls s'impose. L'établissement des parents de Kristoff avait ainsi été baptisé en référence à un site archéologique ceinturé d'une couronne de pierres rondes – ou ovales –, sur lesquelles poussaient verdures et tapis de mousse. Ils avaient souvent été se promener à cet endroit, situé au Nord de la ville, perché dans les montagnes. Depuis toujours, Kristoff adorait crapahuter dans la montagne et il avait fait découvrir le site à ses deux meilleures amies. Le nom de l'établissement s'inspirait donc du site que les habitants de la région appelaient familièrement le Terrain des Trolls.
Elsa était de plus en plus impressionnée par sa petite-amie. Non seulement elle réfléchissait à l'avenir et ne vivait pas uniquement dans son présent de lycéenne mais elle avait activement fait des recherches sur les établissements et la formation qu'elle voulait suivre. Elle avait fait des démarches difficiles et agaçantes à accomplir même pour des gens plus âgés : remplir les dossiers d'inscription, pondre la traditionnelle lettre de motivation...
« Je trouve ça super, vraiment super. Tu, insista-t-elle en pointant son index sur le front d'Anna, es super et...superbe.
- Ça fait beaucoup de "super" ! »
Elles s'embrassèrent et Anna trouva le moment approprié pour poser une question personnelle à sa belle blonde incendiaire.
« Est-ce que tu peux me dire ce que représente le crocus ?
- Oui, répondit Elsa timidement. Bien sûr, ajouta-t-elle avec plus d'aplomb ».
Sa grand-mère maternelle avait confectionné un ours polaire alors qu'elle était enceinte de Liliane. L'ours était devenu la peluche favorite de sa fille son doudou. A sa naissance, Elsa en avait hérité et il avait pris pour elle la même importance que pour sa mère. Elle l'avait trimbalé partout (à l'école, chez la nourrice, pendant les voyages...) et il était maintenant tout rapiécé. Arrivée à ce stade de son récit, Elsa était partie le chercher pour le montrer à Anna. Une moitié de son ventre était en velours côtelé, l'autre en tissu induit, similaire à la texture d'un imperméable. Ses oreilles, qu'Elsa mâchouillaient quand elle était petite, étaient faites de coton. Quant au reste, c'était du tissu gaufré. En dessous de sa patte, il y avait un crocus que sa grand-mère avait placé là car il s'agissait de sa fleur favorite. L'ours rempli de ouate – et c'est bien la seule chose qui n'avait pas subie de modification avec le temps – c'était naturellement imposé dans la famille comme le symbole de l'amour entre mère et fille.
« Trop mignon, conclu Anna à la fin du récit. Je trouve ça adorable ».
Suite à cette tendre histoire, elles décidèrent de quitter le canapé et d'être productives. Elles s'activèrent aux fourneaux afin que le dîner soit prêt quand Liliane rentrerait du travail. Elle n'aurait qu'à mettre les pieds sous la table et à savourer le repas.
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« Ah je vous jure, s'exclama-t-elle en rentrant, les artistes. Quelle bande de bras cassés ».
La table était dressée, les flûtes de champagne servies et les serviettes en papier avaient pris l'apparence de cocotiers sous les pliages délicats d'Anna. Pour s'amuser, les filles avaient rédigé le menu sur une ardoise retrouvée par miracle et les dents d'Elsa avaient grincées plus d'une fois quand sa copine l'avait rédigé.
Amuses bouches (saumon, rillettes, champignons)
Concombre finement coupé, assaisonné de vinaigrette maison
Pâte carbonara sur un lit de coquilles d'œufs
Cookies aux smarties
Liliane fut épaté et contente de n'avoir qu'à s'asseoir. Elle comprit pourquoi le menu précisait « coquilles d'œufs » quand elle en enleva plusieurs éclats de son plat.
" Je n'ai jamais réussi à casser les œufs, désolée. Mais c'est pas ma faute. Madame, ici présente, a voulu m'apprendre.
- Un éléphant les aurait moins massacré que toi s'il s'était assis dessus.
- Vous voyez, j'avais l'impression d'être dans une émission culinaire et le chef était particulièrement méchant. Tu pouvais pas t'empêcher de me faire des remarques, hein ? En plus, je t'avais prévenu. C'est toi qui as insisté !
- Même avec les coquilles, c'est excellent" dit Liliane, sincère.
Les jérémiades des musiciens l'avaient épuisée. Sa décision de leur interdire l'open bar découlait de raisons valables. Lors de ses visites mystères, pendant lesquelles elle gardait l'anonymat et se faisait passer pour une cliente lambda, elle avait remarqué que les artistes terminaient le spectacle trop tôt dans la soirée. A partir de vingt-trois heures, les doigts du pianiste hésitaient sur le clavier et manquaient les bonnes notes – bien que le jazz supporte toutes les erreurs de doigté. Le saxophoniste et le bassiste devenaient gauches avec leurs instruments. Le quatrième larron à la batterie n'était pas mieux. Leurs esprits brouillés par l'alcool, ils perdaient leurs moyens. Liliane avait fait le rapprochement entre leur comportement et celui d'un enfant à qui on confisque le jouet préféré, mais sermonner quatre grands dadais en costume trois pièces lui avait fait un drôle d'effet. Très professionnelle, elle n'y était pas allée par quatre chemins. Désormais, ils n'avaient droit qu'à deux verres pendant leur service et à un troisième s'ils ne prenaient pas la voiture pour rentrer chez eux.
Elle s'était ensuite entretenue avec les parents de Tiana au sujet de contrats à revoir avec certains des fournisseurs. Pour terminer, Tiana avait fait des siennes.
« Elle est bien gentille votre amie Tiana, mais qu'est-ce qu'elle est têtue. Elle m'a encore demandé pourquoi elle ne devait plus offrir les repas à ses connaissances. Parce que, petite, ton tiroir-caisse se rempli grâce à tes connaissances : les habitués. Si tu offres le repas à 78% de la clientèle, le restaurant fermera ».
L'ambiance était festive et le repas fut très apprécié par Liliane. La bouteille de champagne sifflée, elle proposa un verre de vin blanc que les filles acceptèrent. Elles n'étaient pas familières avec le goût doux-amer du vin blanc mais elles burent tout de même leur verre. Elles parlèrent de l'école, des amis, de la famille, du travail, etc. Quand Liliane commença à parler d'amour, ses deux interlocutrices se firent cependant plus timides.
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Les chocolats apportés par Anna furent dévoré devant le film. Le tirage au sort avait été en faveur de celui choisi par Liliane : Harry Potter à l'école des sorciers. Elles replongèrent toutes les trois volontiers dans le premier volet des aventures magiques des sorciers et sorcières et dans l'univers de Poudlard. Liliane les taquinait en racontant qu'elles auraient toutes deux intégrées Poufsouffle. Ce à quoi elles protestaient vivement, affirmant qu'elles auraient fait partie de la maison Gryffondor. Elles se chamaillaient jusqu'à ce que l'une d'elle commente la scène du film en train de se jouer à l'écran.
Petit à petit,Elsa et Anna comblèrent la distance respectueuse qui les séparait au début du film sur le canapé. Elles agissaient maintenant naturellement, à la manière d'un couple les jambes d'Elsa passaient sur les cuisses d'Anna, sa tête reposait sur son épaule gauche, leurs mains étaient jointes. La proximité entre sa fille et sa petite-amie ne dérangeait pas Liliane. C'était du moins le cas pour le moment.
Passées du petit-salon à la chambre d'Elsa, les filles étaient sous la couette. Alors que la nuit était davantage voisine de l'aube que des étoiles, elles s'embrassaient langoureusement. Les pyjamas étant pliés au pied du lit ou encore en boule dans les sacs de voyage, elles étaient nues. Leurs corps entrelacés dansaient une danse intime, unique et fiévreuse.
Elsa avait pris le contrôle dans leurs ébats, et, allongée de tout son poids sur sa petite-amie, elle jouait avec son clitoris. Cela faisait dix minutes qu'elle la torturait ainsi, à tracer lentement des cercles à l'endroit le plus érogène de son corps. Elle ne variait que la pression de son toucher, jamais le rythme. Le contact de leur corps réunis était merveilleux pour Anna, mais le sien – et c'était bien là l'intention de la blonde incendiaire – ne pouvait pas répondre comme il en crevait d'envie aux assauts d'Elsa. Elle ne pouvait pas se cambrer, elle ne pouvait pas dégager son bassin pour réclamer plus ou pour s'offrir davantage aux doigts d'Elsa, chacun de ses gestes étaient limité par le corps sublime de sa petite-amie, qui faisait obstacle au sien. Faute de pouvoir s'exprimer à travers son corps, la voix d'Anna et ses gémissements allaient bientôt prendre la relève.
« Si, mmmh, gémit-elle, si ta mère nous entend !
- Reste silencieuse. Laisse-toi faire.
- Je...AH...je peux pas. Oh ! »
Ce dernier gémissement, Liliane l'entendit. Elle essayait de dormir mais sa chambre était adjacente à celle d'Elsa. Elle savait sa fille active sexuellement, mais comme tout parents, elle ne voulait ni le voir ni l'entendre – l'inverse est bien entendu vrai. « Seigneur Dieu, mes pauvres oreilles, pensa-t-elle. Épargnez-moi ça, s'il-vous-plaît, implora-t-elle dans son for intérieur ». Pour leur faire comprendre qu'elle ne souhaitait pas en entendre plus, elle tapa trois petits coups secs contre le mur.
« Faire moins du bruit, d'accord, pensa Elsa, je comprends. Mais arrêter, ça non ! »
La solution s'imposa à elle, logique et attirante. Elle alla chercher dans ses placards deux foulards. Elle noua le premier de façon à obstruer la bouche d'Anna. Quant au second, elle le serra de manière à rendre sa rouquine aveugle. C'était la première fois qu'Anna était bâillonnée et aveugle. L'expérience la fit frissonner d'impatience et d'excitation.
« Sois sage. Mords le tissu, je t'y autorise. Mais au moindre gémissement, au moindre cri, j'arrête tout et tu devras te donner du plaisir comme une grande, toute seule ! C'est compris ? »
Chaque mot l'avait pénétrée plus sauvagement qu'aucune de ses ex n'y étaient parvenu par les gestes. Anna fit la seule chose qu'elle pouvait : elle acquiesça. Elsa était en position de force, elle avait les rênes en mains. Elle savait sa petite-amie proche de l'orgasme et, soit elle l'y conduisait, soit elle la regardait se masturber. Les deux cas de figures lui plaisaient, tant qu'Anna atteignait l'orgasme, elle était satisfaite elle aussi.
C'était si dur pour la rouquine de rester silencieuse. L'expérience inédite du bâillon et du bandeau éveillait ses sens à un niveau qu'elle ne pensait pas possible. Chaque touche d'Elsa la paralysait une micro-seconde, puis lui envoyait aussitôt des sueurs chaudes, agréables mais incontrôlables. Elsa travaillait plus ardemment qu'auparavant son clitoris, et quand elle la pénétra de trois doigts, l'orgasme frappa Anna. Elle jouit violemment...presque silencieusement.
TAP TAP TAP, entendirent-elles de nouveau frapper contre le mur.
Anna subissait les soubresauts suivant l'orgasme, pareilles aux répliques d'un séisme qui fanait. Elsa ne la délivra du bâillon et du bandeau que lorsque qu'elle fut de nouveau calme et elle lui murmura : « La prochaine fois, tu seras pieds et poings liés ».
"Quelle fantastique journée !" pensa Anna.
Elles s'endormirent dans les bras l'une de l'autre, rêvant toutes deux de cette « prochaine fois » si prometteuse. Elles étaient alors inconscientes qu'il y aurait d'innombrables prochaines fois, et autant de nouvelles expériences. Elles étaient faites l'une pour l'autre et les aléas de la vie ne parviendraient jamais à séparer ces deux âmes-sœurs.
C'est bien là ce qu'elles étaient : des âmes-sœurs.
Elsa et Anna, véritables âmes-sœurs! Dans mon esprit, elles le sont! Et j'ai l'impression que dans le votre aussi sinon vous n'auriez même pas lu cette fanfiction.
*citation de Kristof Serrand, directeur de l'animation des studios DreamWorks. Extrait du Télérama hors-série intitulé États-Unis, Japon, France : La grande vague du cinéma d'animation
Encore merci à vous tous de m'avoir suivie dans cette aventure :) J'ai pris un grand plaisir à écrire cette histoire et à la partager.
Elmelephant
