Note (chiante) de l'auteur : Salut tout le monde ! Comment sa va bien ? Moi tranquilouut comme d'hab ! Et ben voilà, je uis de retour avec une fiction sur Shingeki. Je préviens d'avance : Les personnages risque d'être OOC et ce la se passe dans un UA ! Dans le notre plus présicement ! Je tiens aussi à dire aux ames sensibles de ne pas s'aventurer là dedans mais bon chacun fait comme y veux donc pas de soucis. Je tiens aussi à remercier ma meilleure aamie qui à corrigé le chapitre ci dessous (le mot je l'ai mis après donc si il y a des fautes c'est normal).

Raiting : M en général

Couple : Quoi de mieux qu'un Riren hein ? Mais je compte en mettre d'autre au fur et à mesure de l'histoire :) Voilouuu bonne lecture !


-Eren prends ce carton !

-Oui p'pa

Après cinq ans d'absence, me voilà revenue, Trost. Je pris le carton que mon père désigna, je me dirigeai vers le portillon noir pour accéder au jardin. Il était vaste, le gazon était d'un vert émeraude, dans le coin à droite un arbre, surement un cerisier, résidait tandis qu'à gauche il y des cordes à linges qui nous servirons surement dans un futur proche. D'un pas décidé je me dirigeas vers ce nouveau « chez moi ». C'était une maison banale, avec un étage. J'ouvris donc la porte. C'était plutôt spacieux. J'ai été surpris de savoir que la maison était plutôt grande à l'intérieur. De ma place je pus voir à gauche la cuisine qui fera surement aussi office de salle à manger, un couloir en face de moi qui conduisait à deux portes, l'une en face de l'autre, et des escaliers à ma droite pour monter à l'étage. Je le pris donc. Une fois à l'étage je me dirigeais vers une des portes que j'ouvris avec hâte. La pièce qui se trouve derrière sera ma nouvelle chambre.

Je posais le carton dans la pièce et redescendis aider mon père malgré mon envie folle de m'allonger sur le lit. Notre déménagement nous prit tout l'après-midi. Exténué, je montai, avant que mon père est la bonne idée de m'appeler pour me demander de préparer à manger. Quand j'eus regagné ma chambre avec succès, je m'allongeais sur le lit encore nu de draps, pris entre mes mains un radio-réveil bien en vue dans un carton, le régla pour 6h00, sachant que je ne me suis pas laver et que demain je dois aller en cours. Une fois ma tâche finie, je le posa sur ma table de chevet, me mis en position fœtus et rejoignis Morphée qui me tendit les bras. Quand le réveille sonna je sursautais, moi qui dormais si bien entendre ce son me mit en rogne. Je décidais donc de l'étendre en lui tapant dessus pour expirer ma rage. Après ceci, je m'accordai encore cinq minutes avant de me décider de me lever, ma couette ne voulait pas me laisser sortir. C'est un vrai démon.

Je pris les premières affaires que je vis dans un carton avant de de prendre la décision de descendre. Quand je fus sortir de ma chambre, je descendis sur la pointe des pieds pour ne pas réveiller l'homme qui me sert de père. Quand je fus au rez-de-chaussée je m'engageai dans le couloir à la recherche de la salle de bain pour enfin prendre une bonne douche froide, si possible pour bien me réveiller. Je la trouvai après avoir ouvert les deux portes. J'entrais donc dans la salle d'eau, me déshabillant et rentra sous la douche. L'eau froide, oui j'adore les douches froides, me réveilla assez. Bon voyons les points positifs de la journée qui m'attend :

1- Je vais me faire un petit déjeuner de malade.

2- Je vais aller en cours et revoir tous mes anciens amis.

3- Je vais pouvoir sourire et rigoler à ma guise.

4- Je vais rester loin de mon père le temps que je serai au lycée.

Je souris timidement en pensant au quatrième point. Quand j'en eu marre de rester sous la douche, je sortis, le plus naturellement possible pour éviter de me casser la gueule. Je pris une serviette, me séchai et pris en mains les affaires qui me permettrons de m'habiller aujourd'hui. J'enfilai donc un tee-shirt manche courte rouge , semi-déchiré, où l'on pouvait voir écrit au marker noir par mes soins « What is the autority ? ». Un jeans bleu, déchiré au niveau des genoux et des chaussettes bleus, avec dessus des feuilles de cannabis. C'était un cadeau de Jonathan, un ami rencontré en France. Quand j'avais pour la première fois déménagé de Trost, mon père et moi étions partis en France. A Villefranche plus précisément. Je sortis et me rendis dans la salle à manger qui d'après ce que je vis sert aussi de cuisine. Je sortis des placards un bol, des céréales et pris dans le frigo du lait et du jus d'orange que je bus au goulot ayant la flemme de sortir un verre.

Je mis en marche le gris pain et y inséra deux tranches pour avoir des toasts. Je remontais dans ma chambre prendre mes chaussures, ma vielle veste bleu trouée sur la manche droite, mon mp3, mon portable et pour finir mon sac de cours avec les livres que je devais prendre pour aujourd'hui. Quand je fus de nouveau dans la cuisine mes tranches était prêtes. Elles finirent beurrées. Je mangeai ces dernières, mes céréales et bus mon lait. Quand j'eus fini mon petit déjeuné, j'entendis la porte de la chambre de mon père s'ouvrir, l'écran de mon portable affichait sept heures. Malgré cela, et pour ma propre santé, je partis dans le silence froid de la ville. Je m'engageai donc dans les rues de la ville. Je m'arrêtai cinq minutes pour mettre en marche mon mp3 et mes écouteurs à mes oreilles. J'écoutais, sans pitié pour mes pauvres oreilles, Empty Space de The Story, volume à fond. Cette chanson fait partie des meilleures du répertoire du groupe d'après moi.

Je repris la route pour aller à l'arrêt de bus qui m'emmènera dans mon nouveau lycée. Les rues de Trost ne changeront vraiment jamais. Sachant que les rues sont désertes à cette heure ci je pris la peine de me laisser bercer par la musique et fermai les yeux avançant toujours tout droit n'ayant pas d'obstacles devant moi. La musique se termina, j'ouvris donc les yeux, décidé à la changer quand j'aperçu une tignasse blonde qui marchait non loin de moi, elle me rappela vraiment quelqu'un. Je souris et sans me soucier si les gens dormaient ou pas à cette heure je criai dans la rue :

-ARMIN !

L'interpellé se retourna, quand il me vit son visage s'illumina d'un de ces grands sourires que je n'avais depuis longtemps plus vue.

-EREN ! Cria-t-il à son tour.

J'enlevai mes écouteurs et courus en sa direction. Quand je fus enfin à sa hauteur je mis mon bras au niveau de sa nuque et la sortis au niveau de son épaule lui obligeant à se pencher vers moi et je commenças à lui frotter la tête de mon poing.

-Alors qu'est c'que tu deviens depuis le temps hein ! Lui dis-je en souriant

-Arrête Eren ! Ca fait mal. J'arrêtai donc mon geste lui permettant de se redresser. « Je suis encore plus plongé dans les études qu'avant ». Il leva son poing en guise de détermination. « Et toi sinon? Ca fait longtemps que l'on ne sait pas vus face à face. Malgré que nous soyons restés en contact ça fait vraiment plaisir de te revoir et de pouvoir te parler en face. »

-Oh ! Tu sais moi. Rien de spécial c'est toujours pareil. La vie suis son court. Je vais super bien quoi.

Je déglutis difficilement. Armin est mon meilleur ami d'enfance, il fait parti des seules personnes, avec Mikasa, à savoir quand je mens ou à sentir quand quelque chose ne vas pas. Ma réponse n'est pas un mensonge en soi, chez moi tout est toujours pareil et je vais bien ces temps-ci donc pas de quoi s'inquiéter non ? Je lui souris. « Mais sinon ton grand-père va bien ? Et c'est il passé pendant mon absence ? »

Il me rendit le sourire que je lui avait fait précédemment. J'éteignis mon mp3, et j'écoutais Armin jusqu'à l'arrêt de bus. Il me raconta ce qu'il s'était passé au collège, en dehors, puis son entrée au lycée. Si j'ai bien suivi il est dans la même classe que Connie, Mikasa et un certain Reiner. Vu comment il me parle de lui je pense qu'il en pince un peu pour lui mais bon... Je ne vais rien dire on sait jamais si je me trompe. Mais ce qui m'a le plus surpris c'était de savoir que Connie et Sasha se sont mis en couple. Quand le bus eu enfin la bonne idée de se montrer nous montâmes dedans, passâmes ma carte de bus sur le scanner et quand je vis dans le bus la plupart de mes amis, je me sentis, pour la première foi depuis la mort de ma mère, chez moi. Ils me saluèrent tous en cœur. Je rejoignis donc, accompagné d'Armin, Connie, Sasha et Mikasa qui me regarda étonnée de me voir là.

-Surprise, dis-je à Mikasa en souriant.

-E-Eren, que fais tu là? Dit-elle en ouvrant grand les yeux.

-Je suis revenu vivre à Trost. Je pris place à côté d'elle.

-Ahh ! Tu aurais pu me prévenir ! Tu le savais toi ?! Tourna la tête en direction d'Armin en fronçant les sourcils.

-O-oui, déglutit-il difficilement, « Si je ne t'ai rien dis c'est parce-qu'Eren me l'a demander hier après midi »

-Hier après-midi ? Intervena Connie.

-Ouep, en fait hier pendant que je déchargais le camion avec mon père, Armin est passé devant la maison. J'étais surpris de le voir. Je pense que c'était réciproque vu que je n'avais encore prévenu personne. Après tout j'avais dis que je ne revenais que ce matin, t'as vraiment du être surpris non ?

Armin acquiesça. « Bref, je lui ai demandé de ne rien dire pour faire la surprise à Mikasa.

-Ah ouais ? Alors que nous on a eu le droit qu'à un coup de téléphone pour le savoir ? Dis Sasha, avec un air faussement offusqué.

-Au fait, félicitation. Armin m'a dit ce matin que vous étiez ensemble. Dommage, Sasha n'est plus sur le marché, on s'en passera. Je fis un clin d'oeil à Connie qui rigola. Puis comme d'un commun accord on explosa de rire tous ensemble comme au bon vieux temps. Mikasa me regarda bizarrement tout le long du voyage. Elle se doute peut-être de quelque chose mais bon, je fais pas gaffe, après tout elle n'osera rien me dire si je ne lui en parle pas. Nous avons donc continué de parler de tout et de rien pendant le trajet. C'est quand le chauffeur de bus cria « Terminus » que nous arrêtons de parler et descendis de bus pour nous diriger vers le chemin qui nous amènera vers le nouveau bâtiment que j'appellerais « Lycée » maintenant.

-Alors comme ça tu as pris arts appliqués ? Dis Mikasa, un sourcil levé surement de surprise et d'ennui également.

-Ouep.

-Pourquoi ça ne m'étonne pas, ria Connie « Quand on était petits des fois on te retrouvait en train de dessiner sur les murs des voisins.

-Ouais et le seul à ne pas m'avoir fait nettoyer mes « cochonneries » comme disaient les voisins, c'est ton grand-père Armin. Fis-je en explosant de rire à mon tour.

-Hum... Après tout mon grand-père trouve que malgré le jeune âge que tu avais, c'était du « grand-art ». Ria moqueusement Armin.

Une fois arrivés devant le futur bâtiment qui devait m'instruire, je le détaillai avec surprise . Il est vraiment plus petit que celui où j'étais avant, bon aussi réussir à faire plus grand que le lycée Masséna à Nice est un record ! Non, sérieusement, vous allez me dire non ? Le lycée Shingeki est l'un des deux Lycées qui résident à Trost. Le premier est le lycée Akari mais celui-ci est un lycée professionnel alors que Shingeki est un lycée général. Apparemment il fais deux étages, pas plus, long, large, plein de vitres, les murs jaunes. Bref, le lycée typique que l'on trouve un peu partout quoi. Je m'aventurai dans la cours où je dis un bref « salut » à la petite bande pour pouvoir pénétrer dans le lycée. Je me rendis à la vie scolaire pour savoir où se trouvait le bureau du principal que l'on m'indiqua avec une certaine précision. Une fois arrivé devant la porte, je toquai une, deux, trois fois avant d'entendre une réponse qui me permit d'entrer. J'ouvris donc la porte et me présenta dès que je fus au milieu de la pièce.

-Bonjour, je suis Eren Jagear...

-Ah, le nouvel élève transféré de France, me dit l'homme assit en face de moi tout sourire.

Il était blond, avait des yeux bleus, aussi clairs que ceux d'Armin et je pouvais dire de ma place qu'il avait de larges épaules.

-Je suis Erwin, j'ai horreur que l'on m'appelle par mon nom, ça me fait paraître plus vieux que je ne le suis déjà. Il rit, se leva puis me tendit sa main pour que je la serre.

-O-oui, d'accord, répond dis-je en m'avançant et lui serrant la main. Whouawe, de plus près il est plutôt mignon... Ahhh, faut pas que je pense ça maintenant ça sera quoi après sinon.

-Bien, tu seras en 2-C, salle 214, ton professeur sera Hanji, tu verras elle a l'air un peu folle et distraite mais elle est gentille.

Il me tendit d'une main mon emploi du temps que je détaillais avec soins. Bon ça va, apparemment à part le mardi je n'ai pas de mauvais horaires. Je le remerciai et sous son autorisation je disposai, sortant de son bureau. Voilà, un nouveau chapitre de mon existence est en train de s'écrire. Je n'ai plus qu'à espérer qui sera moins douloureux que les autres...


Et voilà c'est la fin du premier chapitre ? Vous en pensait quoi ? Laisser une petite Rewiew pour que je puisse m'améliorer ou juste pour m'encourager. En tout cas merci à tous les Loulous qui lisent ceci ;) !