Résumé : Début de l'essor de l'ère Edo: 1603, c'est environ un siècle plus tard en 1711 qu'une noble famille pris de l'influence sur le japon, étendant ses ressources commerciales et militaires partout sur le Japon. Fatigué des supplications constantes de ses parents vis à vis du fait qu'il ne possède pas encore le moindre serviteur personnel; Le jeune Akashi obtenant toujours ce qu'il souhaite, iras au quatre coins du pays pour créer ce que l'on appelleras plus tard, la génération des miracles.

Disclamer : aucun personnages ne m'appartiens et heureusement pour eux XD ! mais à Fujimaki Tadatoshi.

Couples : je n'en es aucun idée pour le moment mais bon en majorité des couples yaoi !

Cette histoire m'es venue en tête lorsque j'ai vu des images. mon imagination me perdra un jour. Et un grand merci à ma jumelle :3 ! Qui est m'a beaucoup aidée à démarrer, grâce à sa culture sur l'ère Edo. Merci Yui666444 3

hum bonne lecture? je suppose ~

Chapitre - 1 : Résolutions

Assis tranquillement en tailleur face à son au combien chéri plateau de shogi, Akashi soupira et regarda par avance en direction des portes à coulisses déjà ouvertes en ce magnifique début de printemps.

Le rythme des pas qui s'approchaient, posé et d'une allure moyenne, ils ne les connaissaient que trop bien pour les avoir entendus pendant dix-neuf longues années; Quoi que très souvent ses temps ci, oui depuis presque deux semaines, il s'efforçait à perdre son temps pour "son bon à rien de fils entouré de vide".

Et finalement l'origine du bruit empêcha la charmante vue sur le jardin, de son imposante stature se tenait maintenant dans l'entrée son père, ses deux prunelles rouges le fixant sévèrement.

- Akashi ...

- Oui, père ?

- Je crois t'avoir laissé suffisamment de temps pour réfléchir, tu m'avais dit laisse moi jusqu'au premier jour du printemps, il est la depuis deux semaines ...

- Sauf votre respect père, ce n'est point ma faute si les fleurs ont tardé à sortir, regarder les cerisiers ont tous juste quelques pétales, les fruits auront du retards. Je considère le printemps à l'éclosion des fleurs.

- Ma patience à ses limites Akashi, je crois avoir été assez tolérant jusque là.

- Voyez vous père, j'ai réussis à tirer cette patience à son maximum, je suis donc bien capable d'obtenir tout ce que je veux ... C'est ainsi que je vais vous répondre.

- Très bien ... Je te l'accorde tu es visiblement maître dans l'art d'obtenir ce que tu souhaite, mais sache que je suis ton père ce don ne t'es pas venu des fleurs, maintenant veut tu répondre.

- Vous avez raison père, j'accepte de prendre des serviteurs personnels mais, à une seule condition.

- Uh ? Laquelle je t'en prie ...

- Je les choisirais et je les entraînerais moi même ...

- Très bien, ta condition sonne à mes oreilles comme une récupération du temps perdus en venant de moi même ici, j'accepte ta demande.

- Vous ne serez pas déçu père...

Se retrouvant de nouveau seul, le petit homme déplaça un pion de son jeu et eu un léger rire à peine audible.

-Oh non loin d'être déçu ... Je reconnais les gens prometteurs lorsque je les vois ... Hum il se peut que je trouve une première perle rare grâce à l'une de nos relation, les chances sont infimes, mais si je ne commence pas mes recherches père reviendras perturbé mon petit confort.

Soupirant pour la énième fois de la journée, il se leva, réajusta son kimono rouge, avertit plusieurs ménages qu'il sortait. Être le fils héritier de la famille Akashi n'était pas donné à tout le monde.

Et aujourd'hui il comptait bien se servir de son statut, une petite visite chez le clan Kirisaki Daichi, ce rassemblement de fils de plusieurs famille. Connus pour son évidente fourberie ce clan plutôt sauvage pourrais s'avérer lui être utile.

Si ses souvenirs étaient bon, et ils l'étaient toujours, le petit coin où les membres de Kirisaki Daichi se rassemblaient, se situait dans une vieille auberge non loin de chez lui.

Enfin non loin c'était vite dit, en sachant déjà que, rien que le fait de dépasser la maison familiale peut prendre cinq minutes dut au fait que celle-ci soit immense.

« Vieille » était peut être même léger, de l'extérieur on pourrait croire que le bâtiment allait s'effondrer. C'est suite à cette constatation que le jeune aux cheveux rouges passa les portes et un rire sinistre l'y accueillit .

-Oh ~ , que me vaut la visite du grand héritier Akashi ?

Un coupe papier fila dans la pièce et effleura la joue de l'homme au fond de la pièce.

-Pas de ça avec moi, Hanamiya Makoto.

-Ah ah ! Pourquoi es-tu ici ? Kõjirõ, amène du thé veut-tu ?

Contrairement a ce que l'extérieur laissait paraître, l'intérieur était propre spacieux et simplement meublé, et seules les murs porteurs, recouverts de petits panneaux avec différent kanji inscrits dessus, soutenaient le bâtiment.

Le jeune Akashi pris place en face d'Hanamiya, on put entendre « D'où est-ce qu'il le sort ce coupe papier ?! » de la bouche d'un autre homme présent dans le pièce, ce simple murmure fit sourire le chef de Kiriski Daichi.

-C'est l'un des nombreux mystère qui l'entourent lui et sa famille, Hiroshi …

-Tu as eu raison de m'avertir de certains aspect de tes hommes … en effet surprenant. Enfin, bref, passons. Je ne suis pas venu ici pour parler de la pluie et du beau temps.

Un grand brun déposa les deux tasses fumantes sur la table, puis tourna les talons pour rejoindre ses acolytes.

-Je me doute bien de ça Akashi-kun, pour que tu vienne me voir en personne tu dois avoir une demande bien particulière ?

-Oui, mon père tiens absolument à ce que j'ai des serviteurs personnels, de son point de vue cela équivaux à des combattant capable de s'occuper aussi bien des taches ménagères que de ma protection.

-Viens en au fait, je peut tout te trouver, même les plus dures demandes...

-Je possède toujours des coupes papier sur moi …

-Je n'en doute pas.

-J'aurais besoin de savoir si tu aurais des informations sur une quelconque vente d'humain, je pense trouver quelque chose la bas.

-Oh, c'est donc ça ~

-As-tu des informations Makoto ?

-Oui, ce soir il y a une vente au enchère en ville, tu dois être au courant de ça ?

-Évidemment. Il y aurait une vente officielle et une autre plus officieuse ?

-Exactement, j'ai appris que lors de cette vente en plus de japonnais, les hollandais avec qui le japon trafic encore sous secret des hommes, femmes et enfants. Donc il y auras des étrangers. Je pense que cette information t'es utile ?

-En effet, sais-tu ou se trouveras cette fameuse vente ?

-Je te l'es dis en ville...

D'un geste habile, il planta son coupe papier entre deux des doigts de son interlocuteur, le transperçant de ses yeux rubis et ambre.

-Makoto ! Je te l'es déjà dis, pas ce petit jeu la avec moi...

Ce geste ne lui fit pas perdre son sourire, il tira un tiroir et en sortit plusieurs papiers, il en mis plusieurs face de son vis à vis.

-Avec un petit exercice de torture sur un homme chargé du marché, j'ai obtenus ce que tu me demande, si j'avais su que tu serais la personne à venir chercher ça.

-Viens en au fait …

-Sur une des trois feuilles il y à l'annonce de cette vente, comme il ne peut être affiché quelque part, cet homme était chargé de les donner à de riches personnes données, pour les informé de cela.

Il regarda le papier concerné il était juste inscrit « il y en à un ». Ce « un » désignait certainement le marché.

-Un signe discret, et qui ne peut pas être compris immédiatement par les autorité si quelqu'un venait à être pris avec cet écriteau.

-Hum je vois. Et les deux autres, comme je le vois il y à une carte, celle du lieu de la vente ? Et je suppose a un passe d'entrée ? N'importe qui ne peut pas entrée là bas non ?

-Oui, excellent sens de déduction Akashi-kun, Ils ne sont pas nominatif c'est juste un papier permettant l'accès à l'endroit. Il te suffiras de donner ça à la personne marqué d'une croix sur le plan et il te feras entrer dans la zone.

-Et sais tu comment se déroules les sorties ?

-Oui, j'ai même envoyé un de mes hommes sur la zone et encore tôt ce matin des nouvelles marchandises arrivaient. Ils ont organisé ça avec soin, les sorties avec ou sans achats, ne me regarde pas comme ça Akashi-kun ! Je n'es pas beaucoup d'humanité en moi, je suis aussi peu recommandable que ses vendeurs d'esclaves !

-C'est vrai, alors viens au fait cafard...

-Oh, ce surnom m'avait manqué, tout est fait pour que personne ne remarque la trafic humain, tu n'as pas à te soucier de ça, vous sortez tous par des sorties différentes il y en a tout en trois, et la vente se termine avant le marché officiel. De plus ils sont vêtus humblement pas juste un linge sali et mal découpé.

-Eh bien merci pour tes bon et loyaux services, l'une des dettes que tu devait à ma famille vient d'être effacée.

-Je peut toujours les prévenir de l'arrivé de quelqu'un d'important pour...

-Non ça iras, je peut me débrouiller pour les transaction, je n'est pas besoin de toi pour obtenir ce que je veux, pas dans ce cas là.

Akashi se leva et récupéras ses deux coupes papiers, qu'il rangea savamment dans son kimono et se dirigea vers la sortie.

-Tu sais que je suis du genre très persuasif.

C'est sur ces mots que le rouge sortit du bâtiment des Kirisaki Daichi, aussi surnommé l'antre des cafards, détestable, mais plus coriace que n'importe quel petit clan. Ce soir risquait d'être une longue soirée.

Et voilà un premier chapitre ahah ! Oui j'avoue quelque part je l'aime bien Hanamiya. *esquive les pierres* j'espère aussi pas avoir été trop OOC avec les personnages.

Alors qu'est-ce que vous en pensez ? un ch'tite revieuw ? :3